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[RP] Bévue classée Hellénique

Enguerranddevaisneau
[Introduction]

Souvenez vous du petit blond aux grands airs.
Il est noble, il est beau, il est riche et il est plutôt teigneux.
Avec ca - comme si ce n'était pas suffisant- il fricote avec un des meilleur parti de Bretagne, j'ai ainsi nommé Marzina de Montfort Penthièvre princesse de Breizh.

Récapitulation:

Il y a quelques années, alors âgé de 12 ans, un petit blondinet attachant et prétentieux faisait une apparition très remarquée en Anjou. Il avait le beau verbe, il avait le bon genre, il avait le bon être.
Il avait aussi roulé une pelle à un autre gamin, Thibaud de Chandos Penthièvre, mais ca, il n'est guère bon de le rappeler.
Il avait là bas sa douce et charmante Fildaïs, nourrice depuis sa prime jeunesse, qu'il avait retrouvé avec joie.
Depuis bambin, il s'était promis d'en faire sa maitresse, c'était chose faite en Languedoc, où, comme un homme, un vrais, il avait exploré de fond en comble les méandres de la féminité.
Vice qui l'avait longtemps rendus heureux, les yeux brillant, la mine enjouée. Il était passé à l'age d'homme, grâce à une nuit de luxure, mais surtout d'amour en compagnie de sa belle cinglée.
Un peu avant, il n'est pas inutile de préciser que le blondin avait fricoté, mais très légèrement avec une mini rousse, soeurette de la baronne de Lignière, qui s'était follement entichée de lui.

Puis était venu le temps du sacre de sa majesté Elfyn de Montfort, roué de Breizh, organisé intégralement par sa douce fille Marzina, princesse capricieuse mais en touts points attachante.
Elle était belle, elle était drôle, elle était sexy et elle était-surtout- aussi dépravée que lui.
Oui, lui et elle c'étaient bien trouvés, parfaitement bien, et après une heure d'entretien la soeur ainée de la princesse blonde les avait retrouvés dans la même couche.
Scandale à Nantes, entretien et menace du roy qui n'avaient fait que renforcé le lien qui unissait les deux tourtereaux.
Ils ne s'étaient plus jamais quittés.
C'est bon, pleure lecteur:


[ Après ca, à la frontière Bretagne/ Anjou]

La nouvelle était tombée comme un couperet: Marzina était enceinte! Ô bonheur, ô joie!! Et bien non, car Penthièvre, comme toutes racailles qui porte ce nom, avait eu l'obligeance de lui signifier que le marmot attendu n'était pas le siens, par pleutrerie qui plus est.
Chose fausse en sus, mais le baron n'étant pas omniscient, il n'en savait rien.
Ivre de colère, il l'avait quitté illico presto, déclamant que ce n'était pas sa place d'élever un enfant qui n'était pas le siens, le père probable se devant d'assumer ses actes et leurs conséquence.

Il avait donc quitté Nantes, emmenant avec lui toutes ses affaires, du valet à la moindre chaisne, qu'il ne laisserait pas à celle qui l'avait trompé!
La coche avait tout de suite pris la direction de la France, pays civilisé où il n'aurait pas à supporter la perfidie des femmes et la sauvagerie des Bretons, du moins cumulés.
Il était mal, très mal même, mais se devait d'affronter tous celas la tête haute, comme un homme, viril en sus, qu'il était.
Assis sur des coussins moelleux, il écrivait une lettre.
Destinée à Thibauld, le seul, l'unique, le Penthos par excellence, et celui avec qui il avait les plus "cordiales" relations:


Citation:
De moi, Enguerrand de Vaisneau, tueur de Penthièvres et pourfendeur de la connerie humaine (souvent associée aux Penthos, je sais)
A toi, Thibaud de Chandos PENTHIEVRE, petit Angevin pas trop couillon pour le moment.

Salutation vieille carne!


Tu remarquera que j'utilise quelques appellations familières pour que tu comprenne ce que j'écris, te sachant Penthièvre et en plus Angevin, je pense que rendre mes écrits plus simples ne peut être que bénéfique.

Je prends ici la plume pour te faire part de mon arrivée éminente en Anjou.
Certes, je reste à la frontière, mais tout de même, le geste et là. Je m'arrêterais donc dans l'auberge Frontalière et je compte t'y voir.
Bien entendu, tu n'as pas le choix, je souhaite boire à outrance, et ne portant pas ton nom de famille, je ne puis le faire seul.
Tu ne viens pas, je balance à tout l'Anjou par annonce que TU m'as embrassé tel un grec, et pire, que tu as tenté de me toucher.
Ne cherche pas, je joue très bien les victimes il parait.

Ayant hâte de me saouler en ta compagnie, reçois toutes mes amitiés.

Ton plus grand ami, Enguerrand de Vaisneau, l'inimitable.

PS: Je me charge de te réserver une chambre sur place.


La lettre avait était expédiée, et il s'était donc rendu à la dite Auberge.
La réservation de sa chambre avait était rapide, celle de Thibauld un peu plus délicate


Comment ca plus de chambre?!!?
....
Ah, les écuries, mais c'est PARFAIT!!! Thibauld va adorer!


L'affaire était conclu, et il avait pu prendre place au comptoir, où il sirotait un verre de vin, dans l'attente de son compagnon de beuverie de la soirée.
_________________
Thibauld
[Résumé & Récapitulatif de la Récapitulation]


Enguerrand de Vaisneau jeune homme blond fraichement défloré par sa nourice et qui a eu en peu de temps l'aubaine se fricoter avec la 'Haute' bretonnante avec qui il a même réussi a pondre un morpion un quart Montfort et un quart Penthièvre, un quart Vaisneau et un quart on sait pas trop quoi, noté déjà que ce pauvre enfin va avoir une personnalité difficile et en opposition qui le conduira probablement à la folie démentielle ou au suicide lors de l'adolescence. Bref pour revenir à notre histoire cet Enguerrand là dont je vous parle a l'envie subite de se rincer la gueule justement parce que le Kouign-amann aux boucles blondes vient de le quitter et tant qu'à faire il veut se miner avec un Angevin, Penthièvre qui plus est. Pour cela il écrit une lettre à celui qu'il a choisi pour partager sa vinasse. Thibauld de Chandos-Penthièvre petit adolescent prodige, extremement modèste entre 23h00 et 23h01.

Bref pas besoin de récapitulationner le lien des unissants parce que ca vient d'être fait mais un récapitulatif de cette dite Récapitulation s'impose. Agés de 11 et 12 ans, un blond et un brun l'un Angevin (la classe), l'autre Orléannais (ça craint) s'était roulé une grosse pelle dans des circonstances un peu chelou. Voyez le genre de circonstance où t'en a un qui veut égorger l'autre contre un arbre et qui finit par lui rouler un gros palot. Ben c'est ça. Bref il s'emballe bien comme il faut, ils trouvent ca dégueulasse (ça les empeche pas de faire du 3000/tours minute) . On sait pas trop pourquoi le brun ne le tue pas. Au final ils se séparent (au sens propre du terme s'il vous plait). Il ne sont revu qu'une seule fois lors du courronement royal depuis. Autant dire que depuis ils kiffaient moyennement chacun poursuivant sa vie amoureuse chacun de son côté.



[Recevement de la lettre en bonnet du haut de forme]


Imaginez donc la surprise de Thibauld lorsque dans son courrier il tombe nez à nez avec une lettre d'Enguerrand de Vaisneau. La première chose qui lui vint à l'esprit à ce moment ce fut


Putain, qu'est-ce qu'il me veut lui ? Oula ça sent le plan foireux ça, c'est chelou !

Il décachete la missive et là lit. Nan mais il est sérieux lui ? Il y croit trop dans ces rêves que Thibauld va se déplacer juste pour ses beaux yeux ? Nan mais sans blague même si il payait 1000 écus il irait pas... ouais si pour 1000 écus il irait mais quand même faut pas qu'il abuse le petit blond. Il a envie d'alcool le petit mignon ? Rho comme c'est dommage il a pas d'amis pour se miner. C'est franchement pas drole pour lui. Une subite envie de rire et commence à imaganer 10 000 répliques pour le clashé sévèrement et lui dire qu'il viendra pas dans son bordel. Celle qu'il aime le mieux c'est quand même la plus littéraire de toutes genre "Mais vas te faire foutre mon petit bichon".

Super ça ! Ouais ouais ouais... Mais nan c'est pas super ! Le petit Angevin a envie de pleurer. Lui qui se voyait déjà dans la peau de Gbeezy entrain de le remballer retombe bien vite sur terre. Il n'a pas le choix ? Vraimenet même pas le plus tout petit choix qui soit ? C'est pas possible ca. C'est vraiment dégueulasse se vieux chantage. Il est autant responsable que le petit Thibauld l'espèce de sale blond sauf que contrairement à lui il est actuellement celibataire alors il s'en fout comme de l'an 1440. Très bien Thibauld ira, il le saoulera comme un cochon pour lui faire plaisir, après tout une petite virée c'est pas une si mauvaise idée surtout quand y'a un bon ballon de rouge à la clef. Il se lève, va s'assoir à son bureau pour lui rédiger une réponse qu'il fait porter de suite.





De moi, Thibauld de Chandos-Penthièvre, futur duc d'Anjou et pourfendeur de tous les connards qui aiment pas l'Anjou et les angevins (souvent associés aux Vaisneau, je sais)
A toi, Enguerrand de Vaisneau, petit couillon pas trop Angevin pour le moment.

Salutation jeune puceau !

Tu remarqueras que j'utilise quelques appellations qui désigent ce que tu es, te sachant Orléannais, fin et fragile, je pense que rendre compte de la réalité dans mes écrits est plus simple et plus réaliste

Je prends ici la plume pour te faire part de mon arrivée éminente dans ton Auberge, très chic je suppose. Certes je ne viens qu'une nuit mais tout de même c'est déjà ça. Je m'arrêterai donc dans l'auberge Frontalière où je te retrouverai.
Bien entendu, je ne viens pas de bon coeur, je souhaite boire à outrance mais ne portant pas ton nom de famille j'ai peur que tu en meurs sur la table, je ne puis risqué d'être seul on m'accuserai.
Tu crèves, je balance à toute la France par article dans la KAP que tu t'es saoulé comme un porc et qu'en plus tu es un sale grec que j'ai déjà surpris avec un homme. Il ne faut pas que j'apparaisse sinon ça le fait pas.
Ne cherches pas, mort tu joues tout de suite beaucoup moins bien.

Ayant hâte de te voir crever en ma compagnie, reçois toutes mes amitiés

Ton plus petit ami, Thibauld de Chandos-Penthièvre, l'inévitable

PS : C'est trop aimable de ta part mon poulet.


[Viens boire un p'tit coup à l'auberge frontalière, y'a du blanc, y'a du rouge, du saucisson...]

Après un échange de lettre des plus banals pour convenir de la date... oui parce que vous avez sans doute remarqué que ce boulet d'Enguerrand invite les gens mais il dit pas quand. Enfin on l'excuse c'est un Vaisneau donc forcément c'est un être imparfait. Ainsi donc après avoir convenu d'une date pour leur beuverie penthievro-vainesque. Hop Thibauld saute sur son cheval, débraille, passe la seconde, la troisième. Vas y champion sur le champignon. Il prend le perif' pour éviter les bouchons de charrette à la sortie de la ville, puis chope l'autoroute pour tirer d'une traite au nord-ouest. Pour éviter les contrôles de la maréchaussée vaut mieux aussi se caler sur mésange trouvère info-trafic qui vous informe en temps réel de la position des faucheuses et des brigands. Après deux heures de cavalcade éfreinée, bien obligé de faire une petite pause d'un quart d'heure sur dans une prairie d'auto-chemin avant de reprendre sa route pour l'auberge frontalière. Peu de temps après il arrive dans ladite zone où ce trouve l'auberge. L'Auberge Baladin. C'est original comme nom. C'est pas du grand luxure euh.... luxe mais c'est déjà pas mal. Gare sa monture sur le parking, l'attache à un anneau puis rentre dans le bâtiment pour se faire annoncer. C'est sobre, c'est moche c'est Enguerrand qui a choisit donc ce s'explique sans mal. Une jeunette derrière un comptoirs en pur bois massif certifié bûcheron producteur local lui fait un grand sourire qui aurait pu être beau si il y avait eu toutes les dents à la bonne place. Le jeune homme s'avance et lui dit

Allez dire à un grand c.. blond qui répond au nom d'Enguerrand de Vaisneau. Il a réservé deux chambres ici. Dites lui que son ami est arrivé.

Ecoute distraitement ce que lui répond la blonde de l'autre coté. Petite réaction quand même lorsqu'elle fait allusion à une chambre.

Non j'ai dis deux chambres. Il m'a dit deux chambres [...] Quoi qu'est-ce que vous me parlez d'écurie vous. J'ai pas dit écurie j'ai dit chambre. Vous savez chambre avec une porte, un lit et vu le niveau de l'établissement on va pas demander beaucoup plus.
....
Non vraiment ? Dommage. Il aura au moins les cheveux assortis à sa couche le petit Enguerrand. Je vous en prie merci.

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Enguerranddevaisneau
QUI??!!?? QUI est l'idiot qui a osé me servir une piquette pareille! Foutredieu j'avais dit VOTRE MEILLEUR VIN!! Appelez moi l'proprio que je lui montre ma façon de penser! BORDEL!!

Ca swinguait sévère à la table numéro 69.
La serveuse alpaguée plus tôt par l'Ittre prenait cher. Il faut dire que lui servir un vin de mauvaise qualité avait pour dons de légèrement l'agacer. Légèrement, car sachant son penchant pour les idées sanguinaires depuis la Bretagne, pour sûr qu'une vrais colère aurait eu des conséquence plus que désastreuses pour l'intégrité physique et morale de son hôtesse.

La table est donc débarrassée, et l'on fouille la cave pour lui trouver un nectar un peu plus noble qui contenterait son palais délicat.
Jouant comme il le pouvait avec son verre qu'il avait vidé pour faire bonne mesure, il attendait donc la boisson et celui qui lui servait accessoirement d'ami, soit le mini Penthos, plus si mini que ca.
Grabuge au comptoir, un jeune homme brun, plutôt bien bâti semble alpaguer la tôlière avec verve. Normal en sus, certainement un jeune pourceau en mal d'amour qui croyait pouvoir profiter des miches généreuses de la jeune femme.
Pauvre jeunesse.

Sa boisson arrive enfin, à lui d'en tâter la texture en bouche, appréciant au demeurant le fruitée. Regard mauvaise pour la serveuse qui pâlit à vu d'oeil:


Ce vin fera l'affaire, trouvez moi en encore quelques bouteilles et peut être pourrez vous vous targuer de mériter votre place ici.

Ca c'était fait.
La moche de l'entrée en approche suivit du gueulard, le baron les fixe, avalant ca et là quelques gorgées, apaisant outre mesure la soif qui le taraudée depuis quelques temps.


-M'sieur l'baron..Vot' invité.
-....


Et à la tenancière de s'esquiver, profitant du silence du noble. Noble blond qui en sus, détaillait maintenant avec plus d'insistance le jeune homme, de son age qui se trouvait de l'autre côté de la table.
Thibaud.
Il avait changé. Plus, grand, plus brun, plus baraqué, il était en somme physiquement -comme mentalement- l'opposé d'Enguerrand.
Enguerrand qui se lève pour le saluer et qui constate avec satisfaction qu'il était toujours plus grand -et plus mince- que l'angevin.
S'armant de son plus beau sourire, le voila qui l'accueille comme il se doit:


Bigre, heureusement que je ne t'ai pas attendu pour commencer, je serais surement mort vidé de tout liquide en moi.

Il en rajoutait? Si peu...
L'invitant à s'assoir d'un geste élégant de la main, il le regarde encore quelques instants avant d'ajouter:


Je vois que l'amitié prône toujours, je suis sincèrement heureux de te voir sans que je n'ai à te forcer la main. D'ailleurs, ta lettre et toutes celles qui ont suivies m'ont fait fort plaisir. Tu es un prince, sans nuls doutes.

Là il en rajoutait. Et beaucoup. Mais l'amitié en soit, du moins pour Enguerrand, c'était de mettre en valeur l'ami, du moins tenter de le faire, car il y a des cas que l'on ne peut mettre en avant.
Le Penthièvre en faisait parti.
Banalité ensuite qui s'installe alors dans la conversation:


Alors, combien de Penthos mort depuis ma dernière visite en Anjou? Et toi, que deviens tu? Toujours pas Duc?

Oui, le Penthièvre et le Vaisneau s'étaient jadis, dans leurs prime jeunesse qui remontait au moins à deux ans, promis d'être duc en même temps pour pouvoir jouer à la guerre.
Le blond n'oubliait pas, et espérait que le brun non plus.
Un verre est donc servit pour Thibaud, et au Eng d'enchainer:


Et niveau femmes? Toujours à courir après la fille de ma marraine? Toujours puceau, ou tu t'es trouvé un nouveau blond à embrasser.
Mon poulet....


Et de bien appuyer les derniers mots, il fixe le Penthos, un sourire carnassier au coin des lèvres.
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Thibauld
Il était grand temps qu'on vienne le chercher pour l'introduire dans la salle. C'est pas que ça le faisait chier d'attendre mais si un peu quand même. La coconne blonde revient le chercher pour le conduire à son Enguerrand. Bien évidemment c'est celui qui se fait remarquer en hurlant à droit à gauche pour pas grand chose. Il faut toujours qu'il s'arrange pour se retrouver avec des grandes gueules en mal de reconnaissance. Bon... d'accord avouons qu'il en fait peut être bien partie mais tout de même.

Blondman à changé. L'est plus grand même s'il l'était déjà mais toujours aussi mince. Blond ça ça change pas. Qui dit blond dit ducon et c'est pour la vie malheureusement... Bon physiquement ça va il s'est juste un peu affiné du visage normal quand on passe à l'age adulte.
Ça fait pas deux minutes qu'il a posé son derche sur la chaise que l'autre lui fait déjà une reproche et en profite pour se la péter. Avant de répondre, Thibauld prend le pichet de vinasse, se sert une timbale et la vide d'un trait pour se rafraîchir le gosier de sa course à cheval.


Penses tu grand con ! Heureusement que je suis parti en avance et que j'ai pas trop trainé tu veux dire. Tu serais mort bien plein avant même que j'arrive à mi-chemin sinon !!!

Bon c'est pas qu'il fait grand soif dans ce pays mais quand même ! Allez la main sur le pichet, les deux pieds sur la table et le coude sur la table, vas y que je te sers deux timbales de plus en écoutant son ami... - Nan si c'est vrai c'est son ami quand même. Le pauvre y peut rien si il est grec ça reste un pote même si il a oublié de l'assassiner la dernière fois - ...faire magistralement son faux-culs. L'écoute en se foutant de sa gueule intérieurement un petit sourire aux lèvres la main bien agrippée sur le pieds de son verre, buvant de temps en temps une gorgée

Ha ! Vieux fous, espèce de ptite tafiole ça fait plaisir. Je suis un prince ? Mmm oui sans doute en tout cas tu risques de me le faire croire. C'est vrai que c'est pas mal prince. Tu permets je note quelque part "penser à devenir prince".
Bon et toi ça va bien BÂron ?



*temps de réponse durant laquelle il picole*

Ah, on rentre dans le vif du sujet. L'enfant délicat en opposition totale avec l'enfant sauvage semble s'être calmé et parle normalement sans obliger les autres gens qui peuplent la taverne des balladins de se retourner pour fixes leur table et écouter tout ce qu'ils se racontent. Déjà qu'il y a des poulets et des canards à tout va, faudrait pas qu'un inquisiteur ai pris la carte de Fidélité Balladins lui permettant d'avoir 15 écus de réduction immédiate sur sa première chambre, et 10 % de réduction sur sa chambre avec petit dej' (hors promo) et le cumul des points fidélités à échanger contre des cadeaux et soit de passage dans le coin. Peu de risques, les inquisiteurs c'est plutôt dans les auberges Plaza, Crillon ou Carlton qu'ils tapent. On se fait pas chier quand c'est l'Eglise qui paye.

Il l'a fait venir dans ce trou moisi pour lui demander si des gens de sa famille sont morts ? Putain mais il fait chier ce mec ! Surtout que Thibauld n'a pas la carte fidélité Balladins et ne peut pas bénéficier de l'offre ski vu qu'il revient pas du ski et va donc devoir payer plein pot.
Thibauld est certain qu'il le fait exprès pour l’embêter. Juste avant de lui répondre tout naturellement il vide son verre, plaque la coupe sur la table et la remplit aussi sec. Adresse un regard haineux à son blond


Combien de Penthos mort ? Oh ben pas plus de trois dont je sois sûr. Tonton Vadikura ouais... il est mort et l'oncle XIX a disparu et on est dans le doute. Ma soeur Victoire aussi et une petite cousine. C'est bien triste... Qu'est-ce que tu me pose cette question toi ! Nan mais tu veux t'amuser ou me faire pleurer. A moins que ca t'amuse de me faire pleurer mais dans ce cas là je préfère te prévenir tout de suite que tu chialeras déjà des torents avant même de m'avoir extrirpé une larme des yeux mon poulet !

A juste le temps de finir le pichet et de le balancer par terre pour signifier au tavernier qu'ils ont encore soif. Mini white hair veut de la cuite, il va l'avoir. Le pot tombe avec fracas sur le sol rebondissant plusieurs fois sur le planché en résonnant. Entre temps ils ont déjà finit leur verre.

Sinon ce que je deviens ? Ben non toujours pas duc mais tu comprends je pouvais pas gagner du premier coup, c'était un entrainement pour la vraie fois. Je me contente donc d'être bailli. J'fais mon boulot, je fais un peu de rab' à l'hérauderie où j'apprends à blasonner. J'trouve que ca me change les idées de fouiller dans ce bordel immonde et dessiner des blason. En tout cas bientot j'espère pour la couronne ducale. Dans une vingtaine de jours j'espère vraiment sinon je serai obligé de reporter ça en septembre et je serai même pas sûr d'avoir de nouveau la motivation d'ici là. C'est long.. long d'attendre et faut surtout pas s'arreter j'crois. J'essayerai de rester au conseil pendant l'été si possible pour me garder au courant. J'pas l'intention de perdre de toute manière.

Je vous laisse deviner ce qu'il fait avant d’enchainer avec la suite de son discours. Libre court à votre imagination débordante qui est tellement conditionnée que vous pensez tous à la même chose alors que vous pourriez justement avoir une vision insolite pour le moins originale.

Mais dis moi toi j'pourrai te retourner la question ! A courir la bretonne t'en oublies ta destinée mon poulet. N'oublies pas qu'on doit être duc en même temps pour "jouer" à la guerre. Je t'attends moi !

*Pareil que tout à l'heure, c'est le moment ou Enguerrand parle donc où Thibauld boit. Enfin non, Thibauld boit même quand il parle mais encore plus quand il écoute*

Thibauld sent quand même que le nouveau vin que vient de lui apporter le taverneur est un brin plus corsé que le précédent et il commence à se sentir jovial après avoir descendu un demi pichet à lui tout seul. Pas assez pour qu'il soit ivre mais suffisamment pour que sourire béas ne quitte plus ses lèvres finement retroussées. C'est l'heure de l'euphorie générale. Ça tombe bien c'est le moment idéal pour parler d'amour, de son Amour, de son Alinéa. Celle qu'il aime et qu'il chérit plus que tout au monde.

Doux rêveur, n'oubliant cependant pas de s'enfiler quelques bonne rasades de vin bien rougeoyant dans le tuyau du pochtron, il reste au moins cinq bonnes minutes dans le vague à rêvé d'elle, habillée, à moitié nue, nue, de nouveau habillée mais avec une autre robe... oh une robe rouge et noire. Temps de réaction un peu lent mais il se rappelle que c'est la robe de mariée comme dans ses rêves. Ah ben... il rêve justement. Thib se ressaisit et revient à la réalité plus lucide que jamais.
C'est l'accalmie avant la tempête.


Niveau Femme ? Nan j'ai arreté de m'accrocher au jupon de la fille de Clemence. En tuant Gilles ça aurait pu être un moyen simplifié pour moi pour devenir prince mais j'en avais assez de sa présence... ou de son absence vu que je suis pas sur que t'ais les capacités mentales pour comprendre l'ironnie je précise. Je suis allé la voir en Touraine une fois. Une fois c'est le mot c'est le nombre de fois que je l'ai vu pendant tout mon séjours la bas. En plus ché pas trop longtemps éloignés c'était distant. On avait grandit et fallait tourner la page. Que j'admette que je l'aimais plus... Je lui ai pas encore admis, on s'est pas reparlés depuis et je doute qu'on se revoit un jour. Le silence à bien fait les choses.
Chui amoureux pour de vrai maintenant. Une fille comme t'en as jamais vu. Magnifique ! j'avais croisé cette fille juste avant d'aller voir Leceline à Tours sans vraiment trop m'attarder. J'ai fait connaissance avec ses seins avant de parler et elle ma répondu avec sa main dans ma gueule. Depuis je l'aime, elle m'aime, on s'aime et on envisage de se marier assez sérieusement. Elle est pas noble, enfin elle a une famille mais pas de titre comme moi mais je l'aime pour ce qu'elle est au moins. Jl'adore tout simplement.
Par contre désolé de te décevoir mais depuis que j'apprends la vertu avec l'évêque Navigius je suis fier de dire que je suis encore puceau et elle aussi parce qu'on fait pas avant le mariage. Bon ça veut pas dire que j'ai le droit à rien hein. On dort ensemble en petite tenue quand on en a une. On a accès à tout le corps de l'autre et on en profite bien mais pas d'acte finale avant que le curé ait prononcé le "vous pouvez baiser euh... embrasser la marier".


Bouh mais c'est qu'ils se sont bien vinhydraté. Bientôt le second pot va être vide et il va falloir aller le faire remplir à nouveau. En attendant qu'est-ce qu'ils vont bien pouvoir boire ? C'est la question existentielle que Thibauld se pose à ce moment là où la tête commence à être toute lourde sur ses épaules. "Mais non je suis pas bourré, mais non regarde je suis pas bourré jte dis. Bon d'accord je suis un peu ivre mais c'est tout"

Et toi ma caille des îles ensoleillées de la mer viking tu fais quoi la tout seul à venir te griser chez les angevins ? T'as besoin d'un p'tit coup de rouge ? Un exil politique parce que t'es nul ? Tu t'es fait virer par ta copine ? T'es puceau et t'as besoin de te confier ? Tantouze ! Ma p'tite fiote.

*Le tavernier est parti chercher le troisième cruchon de nectar de raisin*
_________________
Enguerranddevaisneau
Bon, les enfants, reprenons point par point:

Thibaud:Bon et toi ça va bien BÂron ?
Enguerrand:Moi nikel! La famille aussi, tu vois? Ma daronne est morte, mon père est mort, ma soeur est pas morte mais elle est pas là, tout roule quoi! Et pour pomponniser le tout, il y a ma meuf qui m'lâche comme une pauv' chaussette.
Thibaud:Mais dis moi toi j'pourrai te retourner la question ! A courir la bretonne t'en oublies ta destinée mon poulet. N'oublies pas qu'on doit être duc en même temps pour "jouer" à la guerre. Je t'attends moi !
Enguerrand:Ouai, mais t'as vu, j'suis genre oveur bouquet en c'moment, j'te dis, les soucis toussa toussa. Mais promis, dés qu'j'ai 5 minutes j'deviens duc.

Suite à ce délire narratif tout à fait hors de propos, revenons donc à nos moutons, soit deux adolescent dans la pleine fleur de l'age, un brun baraqué - Mais Angevin, donc forcément parti pour tout échouer dans sa vie- et un blond malade - Pas Angevin, mais vu la situation actuelle nous pouvons tout de même admettre qu'il est sérieusement dans la mouise- qui discutent chiffon tout en picolant un vin trop cher de mauvaise qualité avec ca, chose qu'ils se fichent comme de leurs première guigne étant tout deux issue de la jeunesse dorée et tout à fait blingbling qui recouvrait une bonne partie du territoire actuellement.

Le blond d'ailleurs, avalait verre sur verre, dans l'espoir de faire passer l'état dans lequel il se trouvait, tentant par la même de comprendre pourquoi il s'était adressé au jeune Angevin comme un charretier d'un autre temps.
Oui, ils buvaient tout deux comme des trous et l'assumaient également parfaitement.
Les choses duraient et les sujets furent nombreux:


-Oui l'inflation du cour du calva est une véritable honte quand on sait le mal que se donnent les producteurs pour le faire de bonne qualité.
- Non, je te dis pas que ma princesse avait un cul de guenon, je te dis qu'elle gueulait mon nom! Nuance!
- Thib' repose cette chope, hips, le monsieur va te ram'ner une nouvelle cruche..Nous ne parlons pas de sa fille évidemment.
- Buvons un cooouuuppp TADAM!! Buvons en DeuXXX!!! A la SANTE DES AMOUREUX! A LA SANTE DU ROY DE FRANCEUUUUH!Oui, merci, je sais que c'est une reyne maintenant, mais ca fait plus classe comme ca. MOMO!! Hein qu'elle a un cul SUB-LIME notre REYNE!!!!???


Une soirée riche en émotions qui se termina à l'aube.
Un aubergiste épuisé, deux jeunes gens tout bonnement à la limite du coma, et la taverne dans un état déplorable.
Une soirée parfaite en somme, jusqu'à la séparation.

Il est bon de rappeler, en effet, que le VAISNEAU dormait dans une chambre et que le PENTHOS -beurk- dormait avec les chevaux.

Bas des escalier, un blond tente de prendre la parole.


J'te souhaiteuuu...Uneeeu bonne nuit...Avec l'cheval! mWARF AHahah.

Et de ponctuer la phrase par une montée plus qu'accidentée des dites marches.
Arrivé dans la chambre avec perte et fracas, au blondinet de s'écrouler sur son lit tout en fixant le plafond qui tournait à vitesse grand V.
Il venait de prendre la cuite du siècle.


Bordel. J'ai envie d'pisser...
_________________
Thibauld
Âmes sensibles ; s'abstenir. Ici commencent les choses sérieuses
A la censure : J'ai relu attentivement les règles d'or du aRPenteurs et c'est spécifier nul par qu'on a pas le droit alors jme lance


La soirée a passé bien vite et les pichets de vin aussi sont passés bien vite. Expédies les uns après les autres. Et plus le vin allait plus les sujets de discussion était variés et intéressant. Chaque verre de vin donnait naissance à une théorie néo-philoso-psycho-socio-écono(surtout conno)-politico-jardino-néerlando-triplesalto-sofinco-morito-Clemenceau-arithmétique plus poussée que la précédente. Par exemple "burp y'a plus d'vinnasse dans l'pot TAVERNIER !". Si on avait à commenter ce chef d'oeuvre de philosophie on dirait que c'est surtout le courant morito qui prime dans cette locution du grand Thibaulstophène de Micelle. Avez vous remarqué que pour être un philosophe grec ancien il faut un nom qui ressemble à rien et souvent une particule débile derrière ?

A la fin de la soirée, enfin au petit matin parce que c'est plus vraiment le soir, ils décident à peine torchés d'aller se coucher. Rappelons qu'Engerrand n'avait pris qu'une chambre et qu'il prévoyait de faire dormir Thibauld dans les écuries. A ce moment là ils ont un peu oublié ça et quand ils se lèvent ça leur vient pas à l'esprit. C'est seulement arrivé en bas de l'escalier que le blond s'en souvient.


'Vec..euh l'cheval ? Sale ispice d'y counnasse t'me refile le cheval burp jeuh t'em-mer-deuuuh ! Pas bonne nuit ma Grèce !

Il l'insulte bien mais ça l’empêche pas de le laisser monter sans rien faire. Pas possible de livrer bataille dans ces moments là pis je crois surtout qu'il est pas dans un état mental suffisamment lucide pour remettre en cause la conception des choses.
Vu qu'il a quand même moyennement envie de pioncer dans un tas de foin dans l'écurie, Thibauld retourne, assez péniblement d’ailleurs dans la pièce d'accueil voir la blondasse qui a l'air toujours aussi niaise que la dernière fois les deux fesses posées exactement au même endroit sur son tabouret bleu et jeune importé directement d'Union de Kalmar et qui coûte pas cher parce qu'il est vendu en kit et que c'est à toi après de te démerder pour le monter et tu en chies à mort surtout quand t'as le parchemin notice qui est écrit en suomi et que dans cette langue t'arrives même plus à comprendre les dessins. Il a bien envie de lui taper la conversation à la blonde au sourire moche. Il l'aborde poliment.


PETASSE !!! Chuips* rond comme un ballon, péter comme un... un *hips* un escalier ! Et jeuuu t'em-mer-deu ! *burp* J'ai la biasseuh bien pleinneu !!! Et l'bourbif tout *hips* bouffi ! Et tu sais quoi ma belleuh ?? *burp Rmmpr* J'ai envie de !!! PISSER ! Ahahahah*hips* ahahah

Sans se faire prier il se casse par le même chemin qu'il est venu. Sobre il serait allé dehors pour uriner dans un coin tranquille mais là exprès parce qu'il est remplit comme une outre et juste pour faire chier son monde, il va aller aux latrines qui sont situées à l'étage. C'est une solution de facilité indéniable quand on est à peine capable de monter les escaliers. Monter ça va mais c'est la descente qui est la plus difficile. Mais enfin quand on est têtu et qu'on est ivre on cherche pas à comprendre. Il va donc vider sa vessie aux latrines. Il y en a deux au bout du palier dans un petit cabanon en bois à moitié bouffé par les vers. Deux portent qui menacent de tomber dont il est difficile de savoir si ce sont les planches ou les gonds qui céderont en premier. Les trous sont directement découpé dans le planché qui surplombe la fausse à purin. Imaginez l’hygiène du lieu la prochaine fois que vous irez dans les toilettes publique de la gare de Roissy et vous vous direz "ah c'est propre." C'est peu dire si ça craint ! Salubrité est un mot inconnu dans le monde de la latrines surtout quand on a deux pauvres gamins torchés comme comme des coings qui savent pas viser. Deux pauvres queues de pelles qui s'agitent et qui asperge de partout pour refaire la peinture à la mode d'Andres Serrano.

Au moment de sortir de sa latrines, après s'être bien égoutté l'hirondelle il ouvre la porte et tombe nez à nez avec Enguerrand qui sort de celle juste à coté de lui. Surpris de le recroiser alors qu'il a sérieusement envie de lui péter le nez à cause de l'écurie il se retrouve pas je ne sais quel hasard en prise avec sa main de beau blond. Inutile de préciser qu'il ne se sont pas lavé les menottes avant de sortir.


Oh putain *hips* qu'tu *hips* fouts là toi ! Dégage sale race !

C'est qu'il a la main douce le petit blond. Il faut dire que ce n'est pas un grand habitué de la fourche et de la pioche et que ce ne sont pas ses deux heures passées une épée à la poignée en cuir qui vont lui faire de la corne au main. Allez savoir qu'est-ce qui peut bien se passer dans le cerveau de ces deux jeunes gens à ce moment là. Malgré la somation de Thibauld, en contradiction avec lui même il ne lui a pas lâché la main pour qu'il puisse partir. Il se regarde niaisement l'un l'autre sans rien dire. Puis soudainement sans raison apparente, il lui saute dessus et l'embrasse à pleine bouche. Le genre de galoches qui vous pompent toute votre salive et qui vous engourdit la langue.
Comble du pire, le blond ne semble même pas esquiver, il n'essaye pas de se débattre au contraire il se laisse aller à la débauche. Fougueux comme un jeune étalon qu'on tente de dresser, Thibauld plaque son petit camarade sur le mur, coince son genoux entre ses deux jambes et parcoure son corps de caresses pas vraiment très douces. Ce sont plutôt des attouchements très rustres, virils sans pour autant s’arrêter de l'embrasser.

Ses mains se faufilent sous sa chemise de soie et viennent directement toucher la peau de ses abdominaux et de ses pectoraux finement dessinés. Pendant ce temps, les mains du blond sont occupées à faire autre chose sur le pauvre petit Thibauld sexuellement en proie d' Vaisneau qui ne va pas tarder à se retrouver à poil.


Ce n'est pas l'amour qui lui dicte ses mouvements. C'est la folie. Une folie passagère venue de l'alcool et d'un facteur indéterminé. A ce moment là il ne pense à rien, il n'a même pas l'impression d'être grec, d'être libéré, d'être fiancé à une femme formidable. Il veut juste baiser l'autre espèce de petite tarlouze en face de lui. C'est tout ce qui l'importe.
Plutôt que de lui enlever sa chemise, pour gagner du temps, Thibauld s'acharne a réduire en lambeaux la chemise du baron. Lorsqu'il n'en reste plus rien il quitte le contact de sa bouche et se penche pour embrasser le torse blanc, clairsemé d'un petit duvet blond du jeune Enguerrand. Sa main claque sur son dos pendant qu'il suçote un de ses tétons. Faisant pression avec sa tête et se bras il le prend en tenaille. Il s'en fout, Thib' lui dévore le vente, il va même jusqu'à le mordre au flanc assez fermement pour extirper un petit cri de douleur à l'autre Vaisneau pourtant bourré.
Lui s'en fout, l'instinct primaire qui l'a envie l'oblige à continuer.

D'un coup sec, les braies d'Enguerrand se retrouvent au sol dévoilant une belle perche au beau brun agenouillé devant lui. C'est qu'il est plutôt bien monté le bougre. Je ne saurai dire lequel à la plus grosse mais en a une belle. Petit Chandos-Penthièvre le dévore des yeux ce long membre dur bandé devant ses yeux. Un long et vigoureux vis laiteux comme le reste de son corps surmonté d'un gland rougeoyant qui lui donne envie de le manger. L'ivresse, l'alcool tout ça, ça fait que ça tangue un petit peu et que parfois il voit trois queue au lieu d'une seule. Pensez ! Trois queue c'est trois fois plus excitant ! Il s'empare de son pique à deux mains, le tient bien fermement et le porte à sa bouche. Il n'a jamais fait ça. D'habitude c'est lui qui est à la place de baron blondy. Sa langue passe sur le bout de la verge, puis fait le tour de son gland. C'est pas mauvais un manche de Vaisneau. C'est comestible. Rassuré, il ne perd pas de temps. Juste le temps de lâcher un... [/i][/color]

Sale grec !

...Et il engouffre l'objet du désir féminin dans sa bouche. Il jouent un petit peu avec sa langue pendant que ses mains se rabattent sur ses testicules. Il commence alors de longs vas et viens sur la verge du baron poussé par son désir de le sauter comme un gros porc.

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Enguerranddevaisneau
Récapitulons de nouveau.

Les deux Jeunots s'étaient donc mis sévère, tellement minable qu'ils n'étaient plus que deux loques vides de sens, de contenus et d'équilibre.
Le Vaisneau avait une effroyable, que dis-je une enormissime envie de vider tout le liquide ingurgité dans la soirée, ce qu'il fit dés lors en se dirigeant vers les latrines, dodelinant et branlant.

A lui d'y entrer, de déboutonner ses braies et de commencer l'exercice le plus périlleux qui fut inventé pour l'homme: Pisser dans le trous.
Avouez que déjà en temps normal, il n'est pas rare de voir notre chère et tendre se ramener en beuglant qu'on est un gros dégueulasse et qu'on aurait pus éviter de rendre les chiottes aussi immergés que les côtes des Pays Bas, alors soyez assurés que dans l'état dans lequel se trouvait le Vaisneau, il était tout simplement impossible de ne pas entacher le plancher d'une bonne mare jaunâtre.
De surcroit, lorsque l'on avait le malheur d'avaler beaucoup trop de de liquide, l'instant P -entendez par là l'instant pipi- avait une fâcheuse tendance à durer une éternité. C'est donc les latrines laissées encore plus dégueulasses qu'à son arrivée que le baronnet finit de faire pleurer le petit Jésus.

Mais là, commence la danse.
Entendez par là le cour du destin qui s'avère des plus scabreux, soit un Thibaud animal qui se jette sur le blondin, lui arrachant avec hargne tout ses vêtements, cris de douleurs et de jouissance lorsque sa virilité est appâtée avec gourmandise.
Le plaisir est long, animal, et la douleur se mêle insidieusement à l'impudicité. Le souffle de l'éphèbe au cheveux d'or est rauque, et sa main se glisse avec force dans la crinière du Penthièvre, fermement son dextre se referme et la pilosité de son compère est mise à mal. Il l'aide, menant la danse de ses menottes, influant chaque mouvement avec hargne et violence.

Mais tout à une fin, et le plaisir, même animal, se doit d'être partagé. Le Vaisneau le sait et attire avec lui le Chandos.

Imaginez que votre tête soit vide de tout sentiments, qu'elle soit simplement emplis du désirs, féroce, celui que l'on ne contrôle pas.
Imaginez que la folie emplisse votre être. Qu'elle prenne entière possession de vos membres, qu'elle fasse de vous un automate seulement dirigé par ses pulsion, fait uniquement pour ressentir le plaisir. Et le prodiguer.
C'est ce qui se passait pour Enguerrand.

La chambre, nouveau champ de bataille où enfin l'Ittre mène la danse. Thibaud est débarrassé de son superflue de vêtements, mis à nu par la teigne qui s'agenouille.
Chaque supplices est rendus. Chaque délice également. Et les maux jouissifs sont égaux.
De ses mains, de ses ongles, de sa bouche et de ses dents, il prend possessions de son ami. Il le manipule, à sa guise, il le dirige et enserre avec délectation sa masculinité. Ses gestes sont brutaux, ses baisers sont morsures, et le sang égaille les sens.

Les gestes sont mécaniques, l'aube pointe ses premiers rayons et enfin les liquoreux entachent de leurs blancheurs les abdomens des deux jeunes hommes à bout de souffle.
Aucune tendresse. Aucun mot.
L'apaisement et le sommeil qui les trouve vite.
Fin.

[Le reveil.]

Douloureux.
L'impression que sa tête va exploser, un martelement incessant qui provoque un gémissement.
Le Vaisneau à mal, et il est sale.
L'odeur de sexe emplie la chambre, écoeurante, nauséeuse.
Il ouvre les yeux, doucement.

On ronfle.

Il est nu, un bon point.
Il n'est pas seul, deux bons points.
Il est avec un mec, la ca pue.
Il a couché avec ce mec, my Gooood.
C'est Thibaud! Le choc. Le bévue de l'année, du siècle!

Et de se lever brusquement, emportant les draps et réveillant par la même le Penthiève.
Il hurle, il cri, il crache son dégout.


FOUTRECUL!!! Qu'est-ce tu fous dans ma chambre THIBAUD!

Et de le détailler, sa lippe se rehaussant en une moue dégoutée.

Fous le camps! Sale Grec! Tu m'as violer! T'es un monstre!

Et de le virer à grands gestes, grands cris! De le faire quitter la chambre, chamboulé et perdu.
De s'installer alors, quand le Penthièvre est dehors, nu.


Tu paieras! Ma parole que tu regretteras.

C'était dit.
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