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[RP]Cathédrale de Périgueux - Vonafred & Leyah - mariage

Ptitmec13
En haut des marches, attendant de savoir si oui ou non ils allaient enfin rentrer et prendre place, Ptit regardait les allées et venues, les têtes qu'elle connaissait parfois pour avoir combattu à leurs coté ou pour les avoir croisés lors de ses différents séjours en Périgord.
Ces yeux se posèrent sur une jeune demoiselle vêtue d'une robe bleu qui s'avançait au bras d'un jeune homme. Son regard semblait comme attiré vers elle. Pourtant cette jeune femme, Célénya ne l'avait jamais croisée, elle en était presque sure.
La blondine suivit du regard le jeune couple sans même s'en rendre compte. Son esprit fouillait dans ses souvenirs mais n'y trouvait rien. Recherche vaine voulait dire: non jamais rencontrée.. et donc on se reconcentre sur le Cap, au cas où il jouerait un de ces tours dont il avait le secret.
Mais en entrant dans la Cathédrale elle ne pouvait empêcher son regard de se tourner vers la jeune fille, intriguée.

_________________

Lieutenant Chef de Prévosté du Béarn - Triviale Poursuivante de Minerve
Leyah
Nouveau sourire au Père Astorius, il semblait tendu, ce qui amplifia le sourire de la rouquine à son encontre.
C'est à voix basse que la rouquine prononça les mots ...il était bien inutile de les beugler ...

Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères que j'ai péché en pensée, en parole, par action et par omission; oui, j'ai vraiment péché. C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos, les archanges et tous les Saints, et vous aussi mes frères, de prier pour moi le Créateur Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde, qu'il nous pardonne nos péchés et nous conduise à la vie éternelle dans le paradis solaire. Amen.

A nouveau elle regarda le curé de Périgueux, sourire ne la quittant plus, lancé, avant de tourner visage vers celui qui était a ses cotés.
Plissement de nez, discret, l'air de dire " ayé on est coincés, ou .. heu .. on file ? On disparait ? Ile déserte tout ca tout ca ? "
Rire léger avant de se reprendre et de réciter la suite ... toujours a voix basse ... en même temps , porter la voix lui semblait impossible, tellement sa gorge était nouée

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,Créateur du Ciel et de la Terre,Des Enfers et du Paradis,Juge de notre âme à l'heure de la mort. Et en Aristote, son prophète,Le fils de Nicomaque et de Phaetis, Envoyé pour enseigner la sagesse Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés. Je crois aussi en Christos, Né de Maria et de Giosep. Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis. C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce, Il est mort dans le martyr pour nous sauver. Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut. Je crois en l'Action Divine; En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible; En la communion des Saints; En la rémission des péchés; En la Vie Éternelle. Amen.

Le silence avait fait place quelque peu dans la Cathédrale , ce qui était d'une quiétude évidente en rapport avec le boucan de l'installation de chacun et du premier esclandre de la journée.
Silence qui fut perturbé par quelques voix qui se firent entendre, ainsi qu'un bruit métallique
Par réflexe, la rouquine détourna la tête légèrement, tentant de tendre l'oreille au mieux, et parvint a saisir quelques mots, très peu mais assez pour saisir qu'il s'agissait d'un messager , sans plus .. ni moins.
Ne s'en inquiétant pas le moins du monde au départ, quiconque connaissait les deux protagonistes de ce mariage, n'oserait jamais y semer trouble quand un son plus haut qu'un autre lui fit faire un volte face de la nuque a tel point que ses vertèbres craquèrent violemment, a croire qu'elle allait finir par rester avec un torticolis


Halte bordel !
Sursaut, soupir .. il ne manquait plus que ça ... un nouvel esclandre .. pas qu'elle pomponisait là .. mais ca commençait a être tout comme ..
Elle se retint par contre de sortir un " Et le respect marde ! " et pour ce faire se mordit les lèvres presque jusqu'au sang, et encore .. aurait elle été au courant qu'il s'agissait d'un messager d'un homme de Dieu, qu'elle lui aurait collé la tête dans l'eau bénite pour qu'il se souvienne d'où il se trouvait.
Ravalant sa colère montante, elle jeta un oeil à sa Dame de Confiance .. La Fleur en personne .. regard entendu , et petit signe de tête .
Inutile de plus pour que celle ci comprenne la pensée de la rouquine à ce moment précis .. nul message, nulle urgence, ne souffrirait d'attendre la fin de la cérémonie.. ce n'était plus à une petite heure près .. Quand bien même serait-ce la fin du monde qu'il en serait de même ..

Retour du regard sur Astorius, regard des plus désolés .. avant cette fois de sourire, mais d'un sourire forcé ...



( edit faute honteuse )
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Amarante.
[Intérieur, assit sur les bancs réservés à la famille]


Assise à côté de Gwenc'hlañ, le regarde brillant de sa bêtise sur le « grand-père », eut vite une représailles. Pas en parole, mais en geste. Elle se reçut un petit coup de coude de la part du patriarche, qui ne lui fit pas mal du tout, mais elle en rajouta grandement en faisant un « Outch » bien prononcé ... Elle le regarda en fronçant son petit nez et en se frottant les côtes, histoire de ...

Han !!! Mais tu fais mal !!! T'es sûr que tu es bien blessé ??? A mon avis tu joues la comédie ...

Prenant une expression outragée, elle se retint cependant de pouffer de rire. Retour du sérieux, après ce moment d'amusement, qui mine de rien lui fit du bien. Des jours qu'elle se terrait dans sa chaumière à broyer du noir ou à aller au lac ... Un petit silence de circonstance entre eux s'en suivi dans le bruit ambiant de la cathédrale, puis il finit par enfin répondre à sa dernière question ...

Oui c'est un peu ton rôle, mais bon aussi pour que tu viennes à ce mariage dont tu es invité personnellement. Leyah aurait été triste que tu ne viennes pas. Et moi j'avais besoin de quelqu'un pour me soutenir j'aurais jamais pu monter ses marches tout seul, on se demande à quoi les architectes ont bien pu penser en...

En quoi Gwen ? En quoi ? Il ne termina pas sa phrase et le vit se figer. Un petit signe de la main a quelqu'un de sa part et elle tourna enfin son visage quand il lui fit signe de regarder qui arrivait. Elle reconnut tout de suite Lena qu'elle avait déjà rencontré lors de la chasse à la grenouille avec Enora et Elorn. Le petit bonhomme était Gaël, elle l'avait vu une ou deux fois au camp de la Dona. Elle avait entendu parler de ce qui lui était arrivé ainsi qu'aux autres enfants et c'était d'ailleurs pour cette raison que finalement, elle était revenue en Périgord ... Elle s'en était voulu, de ne pas avoir été là pour les protéger comme elle aurait dû ...

Enfin, ses yeux se posèrent sur une femme. Alors voilà la femme de Gwen. La grande amie de Leyah ... Belle femme à n'en pas douter. Elle hocha la tête en guise de salue et se tourna légèrement pour regarder Gwen qui restait muet comme une carpe, un sourire étrange coincé sur les lèvres. Pourquoi ne disait-il rien ? Un « bonjour mon amour » ferait l'affaire ... Elle secoua la tête dans un soupir ... Il ne fallait rien attendre de la part du Bleizhmorgan, elle commençait à le connaitre ...

Elle se tourna alors encore une fois, un sourire aimable sur son visage pâle et s'adressa tout d'abord à Lena puisqu'elle connaissait la petite ...


Demat Lena ! Comment allez-vous jeune fille ? Est-ce que la princesse Nora est avec vous ? Ca fait très longtemps que je ne l'ai pas vu ...

Puis elle regarda Gaël ...

Demat petit bonhomme, je vois que vous allez bien mieux votre futur « majesté »

Elle lui fit un clin d'oeil et regarda enfin Einigriv ...

Demat Dame ! Vous devez être la mère de ses adorables enfants ... Je suis Amarante, la nourrice de la princesse Enora ... Enfin j'étais, la princesse n'a plus trop besoin de moi désormais. Je suis garde-blessé maintenant ... N'est-ce pas Gwen ?

Elle le regarda en haussant les sourcils. Elle avait fait le premier pas pour engager la conversation, il pouvait au moins, lui demander comment elle allait ... Surtout qu'elle avait l'air de ne pas être très en forme, son visage était encore rouge d'un effort qu'elle venait de faire ...

Les futurs mariés venaient d'entrer, Leyah était superbe et la cérémonie commençait. Un grand bruit se fit ensuite entendre à l'extérieur et elle se tendit, aux aguets ...

_________________

Créations de bannières ici
--Stanislas


Quatre pas dans la nef... Il avait fallu faire quatre misérables pas pour qu'enfin on cessât de croire que le Très Haut lui même allait intervenir ! Quand le molosse se trouva face à un autre mur, cette fois ci plus consistant que les pleureuses italiennes habillées en soldats, sur le parvis, il s'arrêta. Immobile, un instant, le temps de se remémorer celui qui venait de donner le ton de la réplique, le vieux soudard rectifia un peu la position, eu égard à son interlocuteur. Mais son sourire de dogue était bien visible. Sa voix rocailleuse reprit du service, moins agressive, mais tout aussi franche.

Tenez d'abord votre langue, Messer Lieutenant.. Dieu vous écoute !

L'index épais du vétéran montra l'autel, visiblement sincère, malgré son sourire. Puis il reprit.

Je suis celui que l'on surnommait, jadis, le dogue de Bordeaux. et nous avons escorté notre grand général de guerre, naguère.

Cette fois, ce fut le nez inquiétant qui pointa le Coms. Mais il reprit à nouveau, toujours des galets dans la gueule.

Aujourd’hui au service de son Excellence de la Croix, je viens ici exiger ce qui fut promis à Monseigneur ! Mais il me semble que vous n'en êtes en rien responsable, Messer Lieutenant. en revanche, votre Coms, lui, sait. Monseigneur lui avait annoncé en ... préambule !

Mais comme on n'est jamais mieux servi que par soi- même...

Cette fois, son sourire se fit plus grand alors, que des yeux uniquement, sans un geste, il désigna la femme qui se tenait aux côté du grand chef de guerre.

Il saura faire son devoir, une fois encore pour "lui" !

Le discours d'introduction se termina sur un menton carré qui remonta, montrant ainsi que personne ne pourrait se mettre en travers du chemin de Monseigneur. Il songeait déjà aux jolies flammèches qui mettraient un peu de couleur dans les cheveux de certains, et un peu plus, chez d'autres !
Lubna
[Devant la Cathédrale]

Vlad et Lub étaient enfin arrivés devant la Cathédrale...que de monde...
chuchotant à son époux


Allons y si non nous n'auront plus de place!?
puis voyant l'épée de Vlad

Vont pas nous laisser rentrer! Le Capitaine à bien dit au Château que les armes étaient interdites...
L'était ou le capitaine? certainement pas loin à tout vérifier...

Quoi que ...donnes la moi je vais la cacher sous mon manteau

Ni vue mais connue ...
On tente le coups!

Se faufilant au milieu de la foule ils pénétrèrent dans la Cathédrale...

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Gael
Le réveil de Gael avait eu lieu il y'a peu. L'enfant avait été alité tel un handicapé pendant des jours, car durant son coma ses forces l'avaient complétement quittées. Aujourd'hui même sa vitalité était éteinte.
Le choc de l'épée avait tranché quelque chose en lui, son inconscience était morte en même temps que son énergie, aujourd'hui il ne restait plus que la peur.
Alors même quand sa mère lui parla de royauté et de tout ce qu'il aimait d'habitude cela ne lui faisait ni chaud ni froid.
La seule chose qui le fit réagir et quand il revit enfin son père, sous le coup de l'émotion il récupéra quelques forces et courut maladroitement pour aller l'étreindre.
Une femme était à ses côtés, trop proche à son goût, en plus elle avait osée l'appeler ''petit'', et dit majesté de façon bizarre, pour toute réponse il la gratifia d'un regard noir.

Ne reviens te voir n'après mon popa n'a mwa. N'avoir nun truc plus nain portant que le nain portant, mais n'aime pas ta coupine, elle t'y regarde comme le nain fidèle il regarde une sucrerie. Ne veut que tu reviennes n'avec moman et mwa;

Dans ses beaux habits violet que lui avait fait Fleur il se sentait tout beau, content d'être ainsi sur son trente et chercha du regard quelqu'un qui comptait pour lui.
Malheureusement du monde le gênait, il dut alors si rendre à quatre pattes, se faufilant à travers les pieds il arriva jusqu'a la robe convoitée, sauf qu'il avait mal calculé son coup et ce retrouvait donc derrière... Mais à chaque obsctacle il y'a toujours un moyen de le contourner, il souleva donc la robe et passa sa tête de l'autre côté. Se tortillant comme un ver il réussit à voir la tête de Lily et la gratifia d'un sourire qui ce vendait cher ces derniers temps.

Coucou ma namoureuse, n'est eu le droit de sortir pour ne voir toi ! N'est fait un gros dodo ? N'être ou mon fils n'au fait ? D'y, n'après que le monsieur qui pue comme Père Fide il aura marié Tota et Tonton, n'ont pourra n'utiliser lui pour nous marier !


[Cheffe modo Aldraien
Retrait du HRP, il n'a pas sa place dans le RP.
Bon jeu.]
Edlweisss
Une seconde dame, je reviens.

éh mais heu..

Ben voila il était déjà parti et avait remonté la Cathédrale par l'allée transversale dans un silence exemplaire . Qu'est ce qui se passait encore?

Halte bordel !

La prière venant de finir , le silence dans l'édifice fit raisonner les mots entre les murs.

Je me penche pour regarder en arrière mais n'aperçois que les épaules de mon cavalier, gardien parmi les gardiens du bon déroulé de la cérémonie.

Regard vers l'autel, je croise celui de ma marraine. Froncement de sourcil et air entendu, avant de lui sourire de façon machiavélique voulant dire : fait gaffe je suis toujours prête à bondir pour le placage en règle promis plus tôt. Voir le croche pied prévu… qui pouvait s'adapter à tout intervenant indésirable.
La cérémonie avait commencé, qui donc pouvait montrer aussi peu de respect ?
Hagos saurait certainement calmer les choses et faire patienter toutes interventions non divines.

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Les Fées Tisserandes
Tinig
[Dans le ventre de sa maman]

Des heures et des heures à se faire secouer. Des jours de voyage en carrosse, à s'écraser la bouille contre le ventre de sa maman et à rebondir contre sa vessie.
Et tout ça pourquoi ? Beh... il savait pô, ça. Mais ça l'gonflait sévère.

Non mais c'est vrai quoi, c'était pas une vie.
Déjà passer neuf mois, dans une chambre devenue minuscule avec le temps mais toujours autant humide. Voilà maintenant qu'il fallait qu'on le secoue façon bouteille d'orangina, pour pas que la pulpe elle reste en bas.
« Je vous en foutrais moi », pensa t'il à cet instant.

Alors certes. Il était logé et nourri gratis, mais fallait quand ùême pas non plus abuser, hein. On était pas chez mémé.
En plus avec toutes ces secousses, v'là qu'il se retrouvait la tête en bas, maintenant. Allez donc savoir pourquoi.
Non mais c'est pas une position ça. J'vous jure, y a pas idée. Allez y. Essayez si vous êtes cap' !!

Il était colère le Tinig. Pas encore né, mais déjà remonté comme une pendule helvétique. Et il le ferai savoir.
Ah sur qu'il allait brailler le morveux en sortant de là !! Non mais oh !!
C'était quand même le futur maitre du monde, qu'on secouait de la sorte.
Faudrait voir à pas se moquer du monde. Enfin de lui quoi, mais c'est pareil.

Alors comme toutes petites pestes, qui entamaient un caprice, il commença à tambouriner de toutes ses faibles forces.
Tapant de ses poing et de ses pieds, pour qu'on lui ouvre la porte.
Fallait qu'il sorte de là, il en avait ras le pompon. Namého !!

Puis... Première contraction.
Comme une sorte de tape au cul. Gnééé ?
Namého ! Qué qu'c'est ?

Pis une autre, comme si on lui foutait un coup de savate pour le faire sortir.
Heyyy !!
Un nouveau coup de latte aux miches
Mais euh !! J'peux sortir sans qu'on m'pousse !!
Pis encore un autre.
J'le dirais à ma mère !!

Et voilà que ça continuait, des pressions le poussant vers une sorte de petit tunnel.
Ah ça vous allez l'entendre brailler quand il serait dehors !! Namého

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Aelyia
Difficile de se recueillir alors que ses regards sont attirés un peu partout.
Et autour d’elle, ça chuchote , ça se tortille, ça glousse…ça s’observe….

Sa famille est là
Son père…qui a réussi à venir, faisant fi de ses blessures.
Ce qui, en fin de compte, ne la surprend pas vu la force du lien qui l’unit à sa soeur jumelle.
Sa belle mère.
Son frère et sa sœur qu’elle voit si peu souvent …

La jeune femme s’attendrit en souriant sur ces enfants qui grandissent, la petite Nora qui devient de plus en plus jolie.
Est ce parce qu’elle voit se dessiner dans ces traits qui changent le visage d’un autre ?

Un coup de poignard lui broie le ventre, lui coupe le souffle, son ventre se durcit et la douleur irradie jusqu’au reins.

Une main qui se pose là…. Comme pour se rassurer… les rassurer !

Non , non … pas maintenant…. C’est encore tôt … et c’est surtout pas le moment… elle veut le voir ce mariage tant attendu…. Elle est sa nièce… c’est sa place… être là… après toutes ces années à vivre cote à cote… des vies parallèles… les mêmes amis… les mêmes ennemis… bien souvent….. Les mêmes combats.


Elle retrouve les ruses de son enfance pour tenter de calmer la souffrance et ce corps qui ruse pour échapper à son contrôle. Son esprit part loin dans des chemins de traverse comme quand, petite, elle avait traîné de force à des investitures Ducales et Grand Ducale et qu’elle luttait à sa façon pour que le temps passe plus vite et la ramène à ses jeux d’enfants.

Le bouton ridicule sur le nez du Baron de Guerlesquin ou sur celui de Monseigneur Clodeweck

La robe trop criarde de sa grande sœur Salomé

Cyprien admirant les tapisseries religieuses de la cathédrale de Rennes.

Il doit bien y avoir des jeux similaires ici

Elle respire doucement… tentant d’apprivoiser à l’avance le deuxième coup qui, elle le sait va arriver.


Le chœur d’enfants des petits chanteurs du Périgord Angoumois à entamer un chant de joie

Elle se laisse porter par la voie pure du jeune ténor

Elle ferme les yeux.


Et la deuxième contraction arrive, encore plus forte … elle se plie en deux et croise les yeux d’un pirate qui vient de comprendre ce qui se passe.

Les yeux de Rahan sur elle
Par quelle magie ce regard là parvient il à tout exprimer ?

Ces yeux s’affolent mais pourtant la rassurent.
Ces yeux sont tendres mais déjà autoritaires quand il quitte les siens pour chercher de l’aide


Babette ?

Un murmure comme un cri de détresse

Oui, il me faut Babette… on doit sortir… s’il te plait

L’espoir d’un faux travail s’éloigne. La vague douloureuse qui la transperce revient très vite poursuivre le travail de la délivrance.
Le petit Störtebecker – Bleizhmorgan semble avoir décidé d’être l’invité surprise de ce mariage. Très famille ce petit !


Babette….

Juste le temps de dire cela … et un liquide chaud coule le long de ses jambes et Lyly sent ses joues rosirent d’embarras.

Babette….

Elle a peur… elle tremble…. Mais pourtant son cœur éclate de bonheur…

Ce jour là ne lui était pas destiné.
Et pourtant ce jour là allait être l’instant le plus merveilleux de sa vie.
Et elle le sait déjà !

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--Babette.




Babette ne cessait pas de ruminer que c'était une mauvaise idée d'être venu. Elle ne s'occupait même pas de la cérémonie et ne regardait pas qui était qui. Assise juste derrière Aelyia et son pirate, elle attendait sagement que ça termine, même si elle aurait aimé que ce fût déjà le cas ...

Ca faisait déjà des heures qu'elle était là et elle avait l'impression que ça n'avançait pas. Soupir désespéré quand elle vit Aelyia se raidir soudain. Elle se releva sur son séant et observa la future maman d'un oeil attentif ...


Babette....

Elle glissa alors sur le banc et se rapprocha de la jeune femme don le visage venait de virer au rouge ... Elle baissa alors son regard sur le sol en pierre de la cathédrale et y vit une flaque, passer entre ses pieds ...

Par Aristote ! J'avais raison ! Bigre j'avais raison !

Elle quitta son banc pour venir au plus près de sa maîtresse. Elle s'excusa auprès du pirate et lui demanda de se pousser un peu, puis elle posa les mains sur le ventre de Lyly ... Elle ferma les yeux et compta dans une totale concentration l'écart entre chaque contraction. Elle rouvrit enfin les yeux et regarda la jeune femme ...

Dame Aelyia regardez-moi ! Respirez doucement, les contractions sont encore assez éloigné, mais je peux vous dire que ce sera pour aujourd'hui ...

Elle chercha un coin dans cathédrale où ils pourraient être tranquille, mais dans cette foule, pas évident, surtout qu'il ne fallait pas arrêter la cérémonie ...

Essayez de vous détendre le plus possible pour que les contractions cessent un peu et il va me falloir de l'aide, je ne suis pas sage femme ma dame ...

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Gwenchlan
Gwenc'hlañ reprenait ses esprits, il le fallait bien tant pis si rien n'avait eu lieu. Alors il chercha à se remémorer les paroles d'Amarante pour repartir dans un contexte mon sérieux.

Han !!! Mais tu fais mal !!! T'es sûr que tu es bien blessé ??? A mon avis tu joues la comédie ...

Mais tu es une chochotte aurais-tu du sang montfort dans les veines pour avoir mal pour un aussi faible coup. Et je te promet que je fais pas la comédie je t'enverrais les bandages par coursier quand je les aurais changé pour que tu puisses voir qu'ils sont maculés de sang.

Gwen sentait bien l'humidité de son coté signifiant une perte de sang même si elle était minime à force elle rendrait les bandages écarlates. Enfin la suite lui fit se demander si son père n'avait pas une fille cachée, car voilà qu'elle entamait la conversation avec les enfants et même avec sa femme. Décidément, elle avait des idées fixes et celle de ne pas laisser le couple bleizhmorgan-Blageans en froid en faisait parti. Il ne dit pas mot la laissant parler au enfant mais il fut bien forcer de s'exprimer quand elle l'interpella après avoir laissé un blanc pour entendre la cérémonie se dérouler et écouter les bons aristotéliciens répétés tous en cœur ce que venait de dire l'officiant mais aussi d'entendre le baroufle à l'entrée.

Bonjour princesse

Mais qu'est-ce qui venait de lui passer par la tête, il avait cherché un mot tendre mais rien d'autres que ça n'était sorti espérons qu'elle pense pas qu'il parlait à sa fille mais bien à elle... Il fallait se rattraper au branche et Amarante allait l'aider.

Vi c'est cela, j'ai pas vraiment eu le temps ni les possibilités de rencontrer des gardes malades ou de propositions familiales alors bon j'ai demandé à Amarante si ça la dérangeait pas trop de venir m'aider pour que j'assiste au mariage de ma sœur.

Gwen ne put retenir de voir son fils arriver droit sur lui, le voir debout ne pouvait que le réjouir même s'il semblait éteint, mais toujours aussi cinglant dans ses paroles. Malgré que l'étreinte ne fut pas forte Gwen souffrit quelques peu mais trop heureux de ce calin pour laisser transparaitre la moindre douleur.

Ne reviens te voir n'après mon popa n'a mwa. N'avoir nun truc plus nain portant que le nain portant, mais n'aime pas ta coupine, elle t'y regarde comme le nain fidèle il regarde une sucrerie. Ne veut que tu reviennes n'avec moman et mwa;

File mon fils, amuses toi, je ne risque pas de m'enfuir et soit rassuré ma "coupine" comme tu dis est juste là pour m'éviter de me faire trop mal, elle ne remplace pas ta mère, personne ne le peut...

Il aurait bien répondu à la dernière réflexion mais son fils était déjà parti, il lui aurait dit qu'il n'avait que ça en tête retourner auprès de sa femme. Puis encore de l'agitation dans son dos mais la douleur se faisant ressentir il ne pouvait pas se retourner sans être obliger de faire un bruit d'enfer voir de tomber. Alors il reprit la parole pour demander aux deux femmes ce qui se passait.

Qu'est-ce qui se passe ? Ce sont les mêmes qu'à l'entrée qui continue de faire du bruit ?
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--Reiner
Son regard fût enfin happé. Ses yeux avaient trouvés la silhouette qu'ils guettaient instinctivement. Un flot d'émotions le parcourut. Lorsqu'il fût à peine redescendu de son nuage, sa vision s'élargit imperceptiblement... Les émotions devinrent alors contradictoires. Pour aboutir sur une qu'il maîtrisait mal puisqu'elle était toute récente. Visualisation de la situation, brièvement : accessible. Estimation du temps que lui prendrait de céder à la pulsion qui agitait son esprit torturé : 4,17 secondes. Estimation des conséquences pour lui : infimes. Estimation des conséquences pour Leyah : une bonne migraine.

La connaissant c'était vraiment pas le moment de lui faire ça à la rousse...
Pourtant l'envie était là. Il serra la mâchoire. Se força à détourner ses yeux aimantés vers la même personne et jaugea sa situation. Il était...

Dans la foule... Brrr. Il n'avait jamais aimé ça les foules. Particulièrement maintenant ! Il ne craignait pas pour sa bourse, loin de là; mais il n'appréciait pas d'être serré dans la cathédrale si près de tant de gens qu'il connaissait et qui pour beaucoup lui rappelait un passé qu'il désirait oublier. Mais il ne pouvait s'en prendre qu'à lui même ! C'était lui qui avait décidé de venir... Et zut alors. Pourquoi il était venu d'ailleurs ? AH mais ouais ! Le mariage.

Il récita le crédo, terminant sur un amen inaudible... Et releva les yeux vers le couple comtal.
Einigriv
[passons le back up reprenons aux choses importantes]

la cérémonie débutait et le prêtre commençait son office, aussi sérieusement que possible. Le problème avec les mariages c'est qu'il sont plein de rebondissement alors essayez de marier deux figures importantes, que rien ne se passe comme il se doit.

L'histoire de Gael et son père.

La brune n'avait pas pas pu retenir le jeune garçon, son jeune fils, il était bien plus apte à récupérer qu'elle, et rien n'était plus ormal, après tout c'était elle la vieille maintenant. Ainsi était l'ordre des choses, un jour vous êtes jeune plein de vitalité et le lendemain vous vous réveillez mariée, deux enfants, une jambe folle et le ventre en vrac.
Elle entendit ce que le jeune Bleizh dit à son patriarche de mari, et ne put s'empêcher de sourire, là où en d'autres temps elle urait explosé d'un rire joyeux de gorge. Elle n'ajouta mot elle n'eut que le temps de dire.


Gae...

Que le petit était déjà partit en d'autres lieux. Un instant juste elle croisa le regard de son époux et son sourire s'effaça.

L'histoire de Lena et sa mère.

La petite gigotait sur la jambe malade de sa mère. Evidemment, la Baronne aurait du s'en douter la petite avait envie de descendre, elle en aurait fait pareil... si seulement.... si seulement elle avait pu...
Le jeune femme accompagnant son époux parlait déjà avec la petite, apparemment la connaissait elle.
On ne saura jamais si Eini avait mal ou si elle fut jalouse un instant, mais les rougeurs envahirent ses joues, et elle ne put que prendre la parole :


Enora est avec son beau père. Là où est sa place. Chacun à sa place, une place pour chacun quand tout le monde comprendra cela les choses iront mieux.
Lena reste tranquille veux tu ?


Un regard à la jeune femme avant de le détourner sur le bruit provenant du fond....

L'histoire d'Amarante et de la Brune.

Demat Dame ! Vous devez être la mère de ses adorables enfants ... Je suis Amarante, la nourrice de la princesse Enora ... Enfin j'étais, la princesse n'a plus trop besoin de moi désormais. Je suis garde-blessé maintenant ... N'est-ce pas Gwen ? 

Une nourrice dites vous ? Et bien pourquoi cela ne m'étonne pas.

Oui une pointe de jalousie naissait dans le regard noir de la baronne. Il était un fait de la colère éprouvée et de venir au mariage de leyah accompagnée d'une autre. Oui une autre... et bien ne ce serait elle pas permise...

Garde blessé ? Tout cela est fort intéressant, je suppose que vous avez des compétences de médicastre....Hum en ce cas prenez bien soin de mon mari....

Elle se retrouvait seule la brune, plus d'enfant auxquels s'accrocher, car il fallait bien l'avouer, les jumeaux étaient devenus toute sa vie, plus rien d'autre n'existait ici bas que ces chers petits.
Elle sourit cela dit, de ces sourire dont elle seule pouvait être capable même en de temps bien plus troublés que ceux qui se présentait à elle. On ne baffouait pas une Blageans, et pis encore on ne trompait pas une Bleizhmorgan...


l'histoire de Gwen et Eini.

Citation:
Bonjour Princesse...

Elle eut un moment d'hésitation, parlait il à sa fille ou bien à elle ? Mais elle sut au regard qui lui était adressé c'était bien à elle qu'il parlait. Alors, comme si cela n'avait jamais cessé elle lui sourit comme au premier jour puis...

Citation:
Vi c'est cela, j'ai pas vraiment eu le temps ni les possibilités de rencontrer des gardes malades ou de propositions familiales alors bon j'ai demandé à Amarante si ça la dérangeait pas trop de venir m'aider pour que j'assiste au mariage de ma sœur. 


C'est bizarre ça doit être de famille puisque en 36 jours de sommeil forcés je n'ai eu non plus ni reçu selon les dires de Gwenaelle, ni aucune visite ni chevet... Hum alors cela doit être dans la famille.

Et déjà son sourire était effacé. Cette remarque, oui cette remarque alors qu'elle était plus que réduite à rien, était de trop. De bien trop pour ses frêles épaules sous cette carapace de dureté, mais lui le savait, du moins le pensait elle.
Regard noir, regard de défi lancé à son époux puis :


Citation:
Qu'est-ce qui se passe ? Ce sont les mêmes qu'à l'entrée qui continue de faire du bruit ?


La brune se retourna lentement, elle n'avait pas suivi, son esprit comme son corps était ailleurs, elle porta la main à son flanc gauche mais fut déçue de ne pas y trouver d'épée...
Un regard entendu porté à son mari voulant dire : sais tu ce qui se trame ? Je te suis d'un coup d'oeil...

Et bien peut être le mariage de ces deux là n'était il pas perdu...

_________________
Dame_margot
[CHEZ ALEX]

Margot ne pouvant attendre plus longtemps, prit Alex par le bras, alors qu'il venait juste de se changer, puis elle partit avec lui, elle avait soulevée légérement sa robe pour pouvoir marcher plus vite.

[CATHEDRALE DE PERIGUEUX]

Arrivés sur le péron ils montérent ensemble, se faisant tout discret, arrivés à l'intérieur, Margot regarda si il restait quelque place assise, elle se pencha vers Alex:

tu à vu le monde qu'il y a, je n'ai jamais vu autant de monde ici à Périgueux

ils avancérent dans l'allée centrale sans faire trop de bruit, Alex avait trouvé 2 place une à côté de l'autre, ils se faufilérent entre les personnes déjà assise et alla s'installer.[/b]
Gwenchlan
Gwen était vraiment descendu plus bas que terre en à peine quelques minutes après être monté si haut en revoyant son fils. Toutes les phrases de sa femme s'enchainait les unes aux autres telle une série de poignard qu'on lui lançait en plein cœur. Le pire dans l'histoire c'était d'avoir mêlé Amarante à cela. Il regrettait de lui avoir demandé de venir, il aurait du rester chez lui, ne pas venir au mariage et tout aurait été pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais non il n'y avait que suspicion envers une amie. Et pire la réflexion sur le fait qu'elles n'ont plus n'avait pas reçu de visite, il faut croire que la mémoire avait été durement touché pour qu'elle ne se rappelle pas que son mari était avec elle quand elle a été attaqué et qu'il était dans le même état.

A ce moment là, il n'avait qu'une envie, s'excuser auprès d'Amarante, ne pas lui dire de rentrer elle avait autant le droit que les autres d'assister au mariage, mais lui s'il avait pu il serait bien parti, peut importe ce qu'en aurait pensé Leyah il se serait expliqué plus tard avec elle, mais là ça commençait à faire beaucoup. Il avait suivi sa sœur, sa femme, il essayait de servir les envies de sa famille et personne ne cherchait à aider dans les siennes, on partait sans le prévenir, il avait le droit de s'inquiéter à en mourir mais surtout pas le droit de dire ou d'en penser quoique ce soit...

Pourtant niveau jalousie, il aurait pu rentrer dans le jeu il n'avait jamais eu la moindre véritable idée de son voyage de plusieurs semaines, il avait juste après qu'elle n'avait pas voyagé seul et que la compagnie n'était pas uniquement féminine. Mais jamais il n'avait douté de sa fidélité, jamais, il avait fait la gueule, il ne pouvait accepter de ne recevoir aucune nouvelle, qu'on le laisse s'en faire craignant le pire pour apprendre que rien de ce qu'il avait imaginé n'était vrai...

Décidément, c'était une bien sale journée qu'aujourd'hui et en prime personne ne cherchait à lui indiquer ce qui se passait derrière lui alors tant pis. Il fit bien gaffe de ne prendre appui que sur sa chaise et ne pas avoir le moindre geste envers qui que ce soit pour éviter les interprétations douteuses et il arriva à se lever pour se retourner et voir que s'était sa fille qui était en difficulté. Alors il avançât vers elle pour savoir ce qu'il en était, s'il avait un ressenti après les récentes nouvelles qu'il avait eu de sa fille, il ne pouvait que la remercier chaleureusement de le tirer de ce qui semblait être un guêpier qu'il avait créé sans le vouloir...

Gwen était à la hauteur de sa fille, lui prenant la main sans vraiment pouvoir se mettre à sa hauteur s'il ne voulait pas finir par terre avec son équilibre précaire. Il regardait les protagonistes que ce soit sa fille, le pirate ou Babette pour qu'on lui explique ce qui se passait. Et durant le laps de temps, il se dit que sa soeur allait franchement finir par exploser avec tout ce qui était entrain de se passer, elle avait toujours eu le chic pour attirer les pires choses au pire moment...

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