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[RP] Quand les Limousins s'envoient des gentillesses

Laurre
Après l'allégeance de Dame Finitou, la timide Laurre s'approcha du trône comtal un peu tremblante, c'était la première fois qu'elle devait faire des allégeances ; non pour elle, mais pour ses parents partis en voyage. La Comtesse Ewaele savait que Laurre devait représenter le Comte et la Comtesse de Lasteyrie. Ainsi la Porte-Parole s'avança et s'inclina dans une sobre révérence. Puis d'un ton solennel la demoiselle dit.

Moi, Laurre de Lasteyrie, Dame de Saint-Règle, représentante ici de mes parents Ursin et Marie*Antoinette de Lasteyrie, fait en leur Noms serment d'allégeance à vous Ewaële de La Boësnière, Comtesse du Limousin et de La Marche pour les Terres du comté de Comborn, et des baronnies de Saint-Léonard de Noblat et d'Aubazine.

La demoiselle reprit sa respiration et continua.

Au Nom de mes parents, je vous promets désormais respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium).

Encore un peu rougissante, Laurre attendit que la Comtesse scelle le serment par les paroles consacrées.

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Ewaele
Ewaële vit approcher Laurre de Lasteyrie a son tour, pas plus rassurée d’être là que Finitou apparemment, Ewa l’invita à se placer devant elle l’écouta et lui répondit…

Moi Ewaele de la Boesniëre, Comtesse du Limousin, à vous Laurre de Lasteyrie, Dame de Saint-Règle, représentante icelieu de vos parents Ursin et Marie-Antoinette de Lasteyrie pour leurs terres en Limousin, leur accorde aujourd’hui protection, justice et subsistance.
Qu’Aristote les garde, et les aide à continuer à œuvrer pour le Limousin et ses habitants.


Elle s’approcha comme elle l’avait précédemment fait, pour prendre Laurre dans ses bras et lui faire l’accolade qui scellerait son allégeance.
Mic31
Mic31 avait eu un long moment d'absence peut être l'émotion, durant ce laps de temps plusieurs nobles avaient déjà prêtés allégeance Bess , Corenthine , Laurre
Il reprit ses esprits d'un coup et se dis a mon tour, s'avança pris la parole


Moi, Mic31, Seigneur de Laprugne, te reconnais, toi, Ewaële de la Boësnière comme Comtesse du Limousin et de la Marche.
Je te promets désormais respect (obsequium),.....aide (auxilium)..... et conseil (consilium).
Si un conflit venait à t'opposer toi, Ewaële de la Boësnière, Comtesse du Limousin et de la Marche, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, mon souverain, je jure que je prendrais cause pour lui.
Et si un conflit venait à t'opposer toi, Ewaële de la Boësnière, Comtesse du Limousin et de la Marche, à un tiers, je jure que je prendrais cause pour toi.


Se remit en arrière marmonnant

Va falloir que je m'habitue, me sens pas encore a ma place ici
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Ewaele
Décidément les nobles se suivaient de près et c’est Mic qui se présenta à elle… Elle ne pouvait qu’afficher un sourire en le voyant s’avancer… Comme toujours elle écouta et prit ensuite la parole…

Moi Ewaële de la Boësnière, Comtesse du Limousin et de la marche en ce jour accepte Mic31, Seigneur de Laprugne tes allégeances… En contre partie je m’engage moi Ewaële de la Boësnière, à t’accorder protection, justice et assistance pour ton fief nouvellement acquis. Qu’Aristote veille sur toi et te permet d’œuvrer pour le Comté comme tu le fait maintenant depuis quelque temps.

Ewa fit le pas qui les séparait et afin de sceller leur propos le prit dans ses bras pour une accolade. Puis petit mouvement de recul et signe de tête pour lui dire qu’il avait réussit à passer honorablement le premier pas en tant que Noble.
Agatha21
Johane s'était avancée devant le comte et avait refusé l'anoblissement.
Connaissant son amie, Agatha s'avait qu'elle ne refusait pas l'honneur qui lui était fait, sur un simple coup de tête, et qu'elle avait mûrement réfléchi.
Elle en avait parfois discuté ensemble. Devenir noble ne faisait pas partie de ses convictions. Johane était une femme simple, sincère et voulant travailler pour le bien des autres. Elle désirait rester le plus proche du peuple possible.
Agatha espérait juste que son amie ne le regrette pas un jour. Mais pour l'instant tel était son choix, nulle envie de poser des questions ou de porter un jugement…

Partie dans ses pensées Agatha sursauta quelque peu lorsque Kremoseu lui chuchota quelques mots à l'oreille…

Je crois savoir pourquoi Johane tiens a refuser ce titre Dame Agatha, en fait , en plus de vouloir me piquer mes cailloux, notre amie a une autre obsession ... sa ligne ...ha les femmes et leur coquetterie ... pour tout vous dire la cantine du conseil réserve bien des surprises ... on y trouve deux grandes tables, une réservé aux nobles et l'autre à la roture, sans nappe ni chichi, juste de quoi manger et encore quand ces goinfres ne s'approprient pas les meilleurs morceaux .... mais le pire tiens aux desserts ... seuls les nobles ont droit a un rab de desserts ... combien de fois ai je vu Johane fondre a la vue de ses merveilleux gâteaux ... pour fuir aussitôt avec nous et laisser nos nobles a leur festin ... pour eux tout est noble même les rondeurs ... mais pas question de ça avec notre belle ... ha non... la ligne madame ... la ligne ... j'espère de tout cœur qu'elle acceptera ce titre .. ne serait ce que pour me lancer une cuisse de poulet de temps en temps ... c'est quand même meilleur que le croupion ...

Agatha tourna la tête vers Kremoseu, fronça les sourcils tout d'abord et d'un air espiègle lui chuchota à son tour :
Auriez vous envie de prendre des rondeurs Messire Kremozeu ou votre estomac crierait-il famine ? Il est vrai que les cailloux ne nourrissent que très mal et provoquent souvent des lourdeurs…
Je ne connaissais point cette obsession à Johane et je trouve pour ma part, si tel était le cas, elle en a fort raison, et trouve que ça ligne lui convient à merveille… vous ne me contredirais pas en ce point je suis sûre…

Agatha sourit avant de poursuivre
Vous ne connaissez sans doute pas le Sot-l'y-laisse ? C'est le morceau le plus délicat de nos chères volailles… Vos cuisses à côté, en sont bien pâlichonnes…

Agatha eu de la peine à retenir un petit rire mais ce n'était nullement le lieu et l'heure.
La cérémonie se poursuivait et elle ne voulait pas manquer de respect aux personnes de qualité qui venaient d'être appelées.
Elle reprit donc son sérieux, pour écouter les serments d'allégeance à la comtesse.
Pendant que Johane en retrait semblait perdue dans ses pensées…
Agatha s'inquiétait un peu pour elle…

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Nicotortue
Tranquillement installé derrière la Comtesse qui remplissait son rôle à merveille - mais il est vrai qu'elle en était déjà à sa deuxième cérémonie -, le Comte commençait à s'impatienter. Seuls quelques nobles avaient prêté allégeance et il en manquait encore un grand nombre. Si cela continuait ainsi, en plus de la paperasse habituelle, il aurait à constituer un nombre impressionnant de dossiers de déchéance. Etouffant un soupir, il se força à la patience.
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Ewaele
Ewa n’entendait plus rien… Les bruits autour d’elle n’existaient plus, il est vrai ses yeux lourd étaient clos, mais la sensation était là dans son corps, dans son esprit. Une sorte de bien être cotonneux, vaporeux, et des images, une abondance d’images… Pas le temps de distinguer les détails, juste l’empreinte de couleurs, de formes lointaines… Ewa aimerait bien pouvoir disposer de plus de temps pour admirer. Le temps il fallait toujours courir après lui, ou tenter de le devancer… Pourquoi elle se sentait d’un coup si détendue, elle qui du matin au soir s’agitait pour faire face…

Il est des regards qui en disent long, aussi long que des soupirs ou que des mouvements imperceptibles a certains et si visible à d’autres… Elle se retourna ouvrant les yeux… Et elle repensa à sa main dans sa main, elle n'y pouvait rien, abandonnée à sa lassitude de ne plus savoir caresser tendrement, perdue dans sa paume attentive… Et les silences n'y pourraient rien, ni les biffures, ni la rage, ni l'ailleurs, ni l’après, ni l’autrement.
Il y aurait l'aube encore, un peu plus terne, un peu plus lourde, un peu comme une nuit qui ne voudrait plus mourir. Et puis le battement fou d'un coeur qui accroche de ses forces restantes l'échancrure du ciel, envoyant dans l'immobilité soudaine du temps son déploiement presque inaudible, comme un dernier cri lancé à l'aveuglette… Sans attente… Chaos du monde.

Et ses yeux rencontrent les siens, mais quelque chose perce… Elle est troublée ne comprenant pas cet éclair furtif… Elle n’ose dire ou faire quoi que ce soit elle se contente d’un regard… Aussi doux qu’elle peut, et le temps, le temps se prolonge ainsi, lentement… La journée allait être longue très longue… Se soutenir mutuellement, par ce regard ou tout passe, ou les mots sont inutile… Juste se regarder…
Bradbury
Brad avait mis du temps à venir, courir après les informations n’étaient pas de tout repos, et elle commençait à être de plus en plus lasse.

Elle vit qu’il n’y avait plus personne devant la Comtesse, s’avança et fit une révérence avant de s’exprimer.


Moi, Solveig Bradbury, Dame de Davignac, te reconnais, toi, Ewaële de la Boësnière comme Comtesse du Limousin et de la Marche.
Je te promets désormais respect, aide et conseil.

Cependant si un conflit venait à t'opposer toi, Ewaële de la Boësnière, Comtesse du Limousin et de la Marche, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, mon souverain, je jure de prendre fait et cause pour lui.

Mais si un conflit venait à t'opposer toi, Ewaële de la Boësnière, Comtesse du Limousin et de la Marche, à un tiers, je jure de prendre cause pour toi.

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Bannière allégée!!
Ewaele
Ewa était toujours tournée vers le Comte quand des bruits de pas se firent entendre… Doucement ses yeux quittèrent les siens et ils firent face à nouveau à la salle pour voir une Bradbury s’avancer vers elle. Ewa se déplaça pour aller au devant de son Chambellan avec le sourire… Après l’avoir écouter prêter allégeance, elle reprit à son tour…

Moi Ewaële de la Boësnière, Comtesse du Limousin et de la Marche je te reçois, Toi, Solveig Bradbury, Dame de Davignac, avec plaisir ce jour et accepte tes allégeances… Pour ton fief en Limousin reçu pour ton travail au sein du Comté, je m’engage, Moi Ewaële de la Boësnière à t’accorder protection, justice et assistance durant mon règne. Qu’Aristote te protèges pour ta grandeur d’âme et l’amour que tu portes pour nos terres, et qu’il te permet d’œuvrer à ta guise dans tes engagements comme tu l’as toujours fait.

Ewa se dirigea vers Brad et afin de sceller ses allégeances l’a prit dans ses bras… Elle n’avait jamais eu l’occasion de la remercier vraiment pour le travail qu’elle effectuait sur sa demande. Plus d’une fois ses parchemins lui annonçant moult nouvelles l’avait touché, il y avait toujours un petit mot personnel qui réchauffait le cœur, apportait un sourire aux lèvres.

Elle recula d’un pas afin de laisser la jeune femme se retirer a sa guise, les mots n’étaient pas toujours nécessaire et ça Ewa le savait mieux que quiconque… Elle se dirigea vers son fauteuil… Puis se laissa choir… l’attente reprenant a nouveau !
Bradbury
Brad fut touchée d’entendre Ewa lui dire ses quelques mots auxquels ne s’attendaient pas, mais en même temps, elle n’aurait pas dû être surprise, c’était plutôt dans sa nature.

Se relevant à l’approche de la Comtesse et pendant l’accolade scellant l’allégeance, elle lui glissa à l’oreille.


Que ton mandat sois prospère et pacifique, mais surtout que ta vie personnelle soit heureuse et telle que tu le souhaite.

Puis elle se retira pour laisser la cérémonie se poursuivre.
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Bannière allégée!!
Cameligna
La bourguiniaude (ça fait un peu neuneu, non?) était plongée devant l'admiration de son beau collier tout neuf et tout brillant. Rasta ferait bien d'en prendre de la graine parceque ça avait quand même plus de classe qu'un bouquet de pissenlit...tout à son pensement elle entendit d'un coup nommé son amie Finitou, son regard levé vers la scène elle sautillait pour voir sa belle mère par alliance et adoption, malheureusement les gens devant étaient décidemment trop grands...attention elle était pas petite mais bon...
Tout en bougonnant dans son menton elle n'entendit pas ce qui se passa ensuite...
Bien ma veine ça! elle connaissait qu'une personne ou deux ou trois et elle y voyait goute à cause d'abrutit qui lui bouchaient la vue....

Tout à coup, une éclaicie, le colosse devant avait été mandé par la comtesse probablement et baragouinait un truc qui la laissa perplexe...aparemment tous le monde passait à cette drôle de coutume qui consistait à faire l'acolade après avoir marmonné une sorte de récitation comme à la messe.
Sous son crâne, l'esprit embué de prune, deux personnes qui étaient elle, délibéraient avec fracas!
Faut y allez triple andouille, sinon tu vas avoir l'air d'une cruche!
N'y allons pas, te connaissant tu va faire une bourde...
Oui mais non!
Oui mais si!
Mais je te dit que non!
Moi je te dis que si!
non!
si
non!
si!

Bref ce débat fort non constructif lui fit prendre une décision qu'elle regreterait surement.
Elle s'avança arbhorant fièrement son abeille et singeant les autres fit une révérence inclinée et se mit à déblatérer aussi.


Moi Caméligna tout court je vous reconnais, je vous ai déjà vue je crois une ou deux fois en taverne. Je vous prête l'alléchante tarte à la prune si vous voulez à votre prochain passage à bourganeuf et si d'aventure un confit de canard ou d'oie s'opposait à vous, je vous jure de vous prêter main forte pour lui faire cause...mais seulement si il y a du vin pour aller avec parceque sinon ce serait un peu dommage.

Voilà elle avait tout dit, enfin elle pensait, ah non elle avait oublié l'essentiel à ses yeux:
Et puis je vous aime bien!

Dans un grand sourire elle fait une autre révérence et s'en retourne fière d'elle dans la foule médusée.
Ewaele
Ewa regardait Bradbury se retirer, et se remémora ses paroles… Sa vie personnelle heureuse… Mais voilà pas qu’une jeune Bourganiaude fendait la foule d’invités… Caméligna en personne, Ewa ouvrit de grands yeux, entre elle et son époux Rasta, des fois on pouvait s’attendre au pire… La poitrine de la Comtesse se souleva comme si elle allait prendre la parole, mais la jeune fille fut plus rapide et au fur et à mesure de son intervention les yeux d’Ewa se mirent à pétiller et son sourire s’élargit… Décidément chaque allégeance réservait son lot de surprises, mais cette intervention fut un véritable moment de plaisir pour la Comtesse qui rattrapa la jeune fille…

Que nenni ne partez pas ! Pour que votre allégeance soit complète il faut que je vous réponde…

Moi Ewaële de la Boësnière, Comtesse du Limousin et de la Marche a Vous Caméligna tout court, j’accepte votre tarte, mais je préférerais de la myrtille, et je ne manquerais pas de revenir un jour prochain à Bourganeuf, ma ville de cœur, afin de lever un verre dans la taverne de votre choix, et de boire aux Bourganiauds et aux Limousins… Je vous laisse oeuvrer sur les terres Limousines auprès des canards et des oies pour les confire ou les tourner à la broche…

Puis elle s’approcha de la jeune femme avec un air espiègle et là prit dans ces bras en lui chuchotant… Moi aussi je vous aime bien et là je viens de sceller ce qu’on peut appeler vos allégeances… Elle lui sourit simplement en la laissant retourner au milieu des invités sans doute éberlués par ce qu’il venait de se passer…
Sofja
Sofja avait reçu moults missives de la part de son seigneur mais également de sa mère.
Elle devait présenter les allégeances des deux familles devant la Comtesse actuelle.
Entre deux dossiers, Sofja se rendit à Limoges ou la cérémonie avait lieu.
Arrivant sur les lieux, Sofja vérifia qu'elle avait bien les missives en poche et se présenta devant la Comtesse, derrière Caméligna qu'elle salua au passage.


Bonjour Comtesse, je vous prie de prendre connaissance de ces deux missives, l'une du Vicomte de Saint germain.


Citation:
Moi, Dragonet de Castelcerf Vicomte de Saint germain, jure, comme le veut la coutume locale, obsequium, auxilium et consilium au Limousin.

VSi un conflit venait à vous opposer vous, Ewalae, Comtesse du Limousin et de la Marche, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, notre souverain et Suzerain, nous jurons que nous prendrions cause pour lui.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Ewalae, Comtesse du Limousin et de la Marche, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour les intérêts du Limousin, conformément à la coutume locale.

Date en l'enceinte du château de la grillére,
Le 15 décembre 1456 par Dragonet de Castelcerf.


Et l'autre, de ma mère, la Vicomtesse de Bellegarde en Marche,


Citation:
Moi, TibouLola Jagellon, Vicomtesse de Bellegarde en Marche, jure, comme le veut la coutume locale, fidélité, aide et service armé et conseil au Limousin.

Si un conflit venait à vous opposer vous, Ewalae, Comtesse du Limousin et de la Marche, à Sa Majesté, Lévan, Roy de France, notre souverain et Suzerain, nous jurons que nous prendrions cause pour lui.

Que si un conflit venait vous opposer vous, Ewalae, Comtesse du Limousin et de la Marche, à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Fait à Poitier,
Le 16 décembre 1456
TibouLola Jagellon


Sofja attendit un signe de la Comtesse pour prendre congé et laisser place au suivant.
_________________
Rassaln
*Un coursier aux couleurs de Meymac, apportant le pli de son maistre*

Citation:
A vous, Comtesse Ewaële de la Boësnière du Limousin et de la Marche,

Salutations,

Connute chose soit à vous qu'en raison de l'imminent accouchement de mon épouse, je ne puis me permettre de me déplacer en Limoges. D'autant que j'estime de peu d'utilité de renouveler un hommage alors qu'il n'y a point eu changement de régnant. Toutes les lois et règles ne sont certes pas bien faites, mais cela n'est pas de votre ressort, aussi ne vous ferais-je pas perdre plus de temps avec cela.

Par la présente, je jure que mon bras et ma peine seront au service du Bien et des valeurs et croyances qui me sont chères. Je jure que je ne pourrais reconnaitre d'autres maistres qu'icelles. Je jure que tant que votre règne n'ira contre elles, vous trouverez en moi fidèle vassal du Limousin et de la Marche, par l'entremise de service et de conseil, comme la coutume veut que cela soit juré. Item que dans ce cas, je m'en remets, toujours selon la coutume, sous votre protection, justice et subsistance. Je jure qu'en cas de conflit avec un tiers, le Roy de France compris, mon aide sera donnée à la cause me paraissant la plus juste, avec l'espérance que toujours ce soit celle du Limousin et de la Marche. C'est par ces termes, ce jour d'hui, que moi, Rehaël d'Arduilet, jouissant des terres limousines de Meymac et d'Albussac, vous prête à vous, en tant que régnante du Limousin et de la Marche, allégeance.

Qu'il en soit ainsi,

Rédigé et donné en Meymac, le 16e de décembre MCDLVI
Rehaël d'Arduilet, Comte de Meymac


*Le coursier, ignorant si réponse devait être fournie au Comte ou non, resta tout de même dans les parages, le temps de voir...*
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Nicotortue
Je suis absent pour 3 semaines (a priori...). Je posterai les lettres d'allégeance reçues et ferai ma propre allégeance à mon retour, ainsi que le bilan de cette cérémonie. Merci de mettre ce sujet en post-it, histoire qu'il ne se perde pas. Merci d'avance.

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