istanga

Famille Lendelin

Père :  Erik de Lendelin, dit Rioulrik, né à Copenhague en 1399, mort en 1449 à Coutances

Mère : Apélaïde de Trévière, née à Bayeux en 1391, morte en 1449 à Coutances


La famille est apparentée aux  Trévière par notre mère, et aux Von Wittelsbach par le mariage de notre oncle, Alexandre de Trévière, avec Martha Von Wittelsbach.

Les enfants Lendelin


1- Istanga de Lendelin, dite Istanga, née le 19 mars 1429 à Avranches

Envoyée à 8 ans au couvent des Feuillantines à Nîmes.
S'enfuit 8 ans plus tard. Se mêle à une caravane de marchands pour la route de la soie.
A 19 ans, est la huitième épouse du Roi Mirza de Transoxiane. Vit à Samarcande la plupart du temps.
6 ans plus tard, son époux est assassiné par son fils aîné.
Istanga s'enfuit avec Darius, le plus jeune fils de Mirza, après avoir assassiné le parricide.
Arrivée à Nîmes en mars 1457, retrouve sa famille grâce à son cousin, Samuel de Trévière.
Emménage à Marseille en juillet 1457.
Participe en février 1458 à la prise du château d'Aix en Provence.
S'enfuit de Provence à la fin de la guerre, laissant son intendant gérer ses biens.
S'installe à Montauban en juillet 1458, puis visite les provinces voisines.
Pour se rapprocher de sa soeur, s'installe en octobre 1458 à Lo Moun, en Gascogne.

2 - Flore de Lendelin, dite Flore, née le 17 juillet 1435 à Avranches.

Envoyée au couvent avec sa cousine Irmine_de_Trevière jusque 18 ans.
Reste ensuite en Confédération Hélvétique pour suivre des cours à l'université.
Déménage pour la Provence en août 1457 avec Irmine qui a retrouvé son frère Samuel Alexandre de Trévière.
S'installe à Marseille, est élue au conseil comtal la première fois comme commissaire aux mines et la seconde comme procureur.
Participe à la prise du château d'Aix au nom des loyaistes, fidèles à l'Empereur Longjohnsilver.
Combat au sein des troupes mandatée par les légitimes nobles de Provence, çàd allégeants à Ljs.
Après le constat amer de l'inefficacité de l'Empire, elle quitte définitivement la Provence pour rejoindre ses cousins, les Von Wittelsbach, en Gascogne.
S'implique dans la diplomatie et en politique.
Rêve d'avoir un navire familial et une armée privée. Se destine pour celà à la voie de l'armée.
Loyale, déterminée, parfois naïve, elle a horreur de l'inertie et de la médiocrité.
Elle se passionne pour la fauconnerie et maîtrise le tir à l'arbalète.

3 - Miroslav de Lendelin, dict Miroilouette, né le 21 novembre 1440 à Avranches.

Ecarté dès son plus jeune âge, il fut envoyé dans un prieuré italien.Sa mère Appelaïde voulait en effet qu'il soit loin de son époux Erik de Lendelin. Ayant fuit à 16 ans et ayant parcouru une grande distance avant de rencontrer âme qui vive, il ne saurait le localiser avec précision. Son errance le ramena en terre françoise, où il finit par être repéré par l'intendant d'Istanga, l'aînée des Lendelin. Il passe alors les moments les plus chaleureux de sa vie en la maison des Lendelin à Lo Moun auprès de Flore et d'Istanga. Il y rencontre aussi quelques politiciens Gascons, mais les discussions sont trop éloignés de ses idées, et trop accaparées par la débacle de la duchesse Noupi54. Miro décide de prendre de l'épaisseur et s'incarne....hélas, son corps in gratibus le propulse au loin, res parendo il part avec la ferme intention d'apprendre le métier de chirurgien barbier. C'est à Angoulême que se rejoignent ces fils. Il s'inscrit donc à la caserne et apprend les armes où il montre un certain goût pour l'épée, pour avoir accès à sa formation de chirurgien barbier. Paralèllement, il continue d'écrire et de faire des expériences pour améliorer sa compréhension et sa perception du monde. Il écrit notamment un texte qui l'effraie au point de partir subitement vers Lyon. Il y emménage et devient archiviste politique du LD aux archives royales. Ce poste lui permet de parfaire sa connaissance de l'histoire de ce duché, et de biens d'autres sujets, tels les chroniques judiciaires.

Miroslav est croyant, il aime les histoires de cité idéale et la façon dont christos envoie ses répliques, calme, charmeur...Il aimerait aller à l'université mais pour ça faut beaucoup d'écus. Aussi croit-il au pouvoir du gouvernement de la monnaie. Déjà, il a proposé à l'armée du PA de faire un fond de charité propre aux hommes d'arme, un système de prêt gracieux pour les méritants et les nécessiteux. Il aime les règles simples et justes, et continue ardemment à écrire.