Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2   >>

[RP ouvert] Quand on arrive en ville... Cum Spiritu Sanguis

Laell


[Mende !]

L'excitation de la gamine était à son comble, première mairie ! Des jours de voyage pour arriver là. Et enfin c'était parti.

La soirée avait été... intéressante... on va dire ça comme ça. Le petit groupe avait rencontré la bourgmestre du village, femme assez aimable, qui les avait accueilli avec le sourire, la pauvre si elle avait su... Puis une fois que les quelques habitants croisés avaient fini par aller roupiller, l'ambiance était redevenu celle habituelle. Une tentative de vente de chair humaine sur pied, puis une rixe entre Elwenn et Turbine. Un couteau avait été sorti et le sang de la cousine avait coulé. Il avait bien failli finir embroché ce coup là. La rage de la gamine s'était calmé à l'entrée des autres, tout comme le courage du barbu. Lâche qu'il avait dit l'boiteux... Il le paierait c'était sûr mais pas ce soir, ils avaient encore besoin de lui.

Puis était venu le moment où tout le monde était parti, seule les deux cousines étaient encore là, discutant de ce qui allait se passer. L'une pessimiste et l'autre au contraire, croyant dur comme fer que ça irai bien et qu'ils n'auraient aucun soucis. Puis la discussion vira sur les activités de Laell pendant les haltes. Qu'on ne la voie pas en taverne le soir avait mit la puce à l'oreille de sa cousine. La gamine fini par avouer qu'elle s'entrainait au maniement de son arme, seule... Et la réaction de la rouquine ne tarda pas. Comme si s'entrainer avec des arbres était un mauvaise idée... Bon d'accord ils ripostaient rarement, mais ça empêchait pas d'améliorer son endurance et sa dextérité.

Bref tout ça pour dire que la gamine était en grande forme ce soir là. Prête à attaquer sa première mairie. Elle était assez fière de faire partie de cette aventure. Elle commençait à prendre ses marques avec ses compagnons. Elle savait à qui elle pouvait faire confiance et à qui non.
Au "Allez!" de Sad, elle s'élança à sa suite, espérant trouver un peu de résistance mais pas trop quand même, il fallait commencer doucement.

_________________
Victorine
Je ne suis pas à vendre !

A cours d'arguments contre le barbu agaçant, Vic était allée se plaindre au Baron qui, selon toute vraisemblance, soignait le dos de Tantine dans une taverne voisine. A son âge aussi, parcourir les Royaumes à cheval, il n'y avait pas idée ... pauvre Tantine.

Pour finir, elle s'était réfugiée dans les jupons de Laell, histoire de ne pas être vendue en douce. Histoire d'être réveillée aussi, quand tous donneraient l'attaque contre la mairie. Ils n'avaient pas besoin d'une gringalette dans leurs pattes, mais elle voulait savoir, voir, participer.
Apprendre.

Bercée par les conversations, elle avait fini par s'assoupir à moitié.
On attendait que Mende s'endorme.
Mais quand ce fut l'heure, la petite mercenaire en herbe était sur le pied de guerre. Elle n'avait jamais appris à se servir d'une épée, et n'apprendrait sûrement jamais tant sa main droite restait malhabile depuis sa blessure, mais elle était petite, souple, vive, et savait se faufiler avec discrétion, grimper aux façades pour espionner les conversations, courir sur les murets et sur les toits sans se casser la pipe. Un vrai moineau.

Allez !

Ils arrivèrent en vue du bâtiment. Il n'y avait qu'un garde à l'entrée. Il se ferait certainement occire. A moins qu'on y arrive par la ruse ? Mais avec les trognes de tueurs qui l'entouraient, les chances de Vic de passer pour un petit ange perdu qui veut voir la mairesse, s'amenuisaient sérieusement. Ah tiens, d'ailleurs, il était déjà au sol avant d'avoir pu dire ouf.

Elle aurait préféré contourner la bâtisse, trouver une fenêtre, soulever des tuiles peut-être, et s'infiltrer discrètement pour ouvrir de l'intérieur. Mais la discrétion n'était pas le maître-mot de ce groupe-là. Il fallait cogner, gueuler, se montrer. Faire peur. D'ailleurs, ils faisaient peur, indéniablement. Même à Vic qui se laissait porter par ce mouvement furieux, happée, poussée par la sauvage impulsion de la horde. Veillant plus à se protéger des coups de hache alliés, qu'à la manière dont la porte allait véritablement céder.

_________________

[Victorine en Limousin, Victor dans le reste du monde, jouez le jeu !]
Elwenn
[Une faim de fin]

Mende ...

Enfin la troupe était arrivée à bon port sans qu'aucune perte ne soit à déplorer parmi les rangs, ce qui résultait d'un miracle vu les tensions qui régnaient au sein de la bande de malfrats assoiffés d'action.
Combien de fois l'avait on menacé de finir égorgée depuis le regroupement?
Elle ne les avait pas vraiment compté tellement on le lui avait répété et finalement rien ne lui était arrivé ... si ce n'est quelques bosses et bleus ... jusqu'à ce soir là.

Le soleil s'était couché, le moment était donc opportun pour faire un saut en taverne, se rassembler encore et toujours avec ceux même avec qui elle taillait la route, parce que se supporter durant le voyage ne leur suffisait pas, poussant les limites du raisonnables, jouant avec les nerfs des moins patients mais surtout afin de retrouver ceux qui sillonnaient les routes dans un groupe différent du leur.
Retrouver sa cousine, sa tante dont elle était séparée.
Une bonne partie de la bande était déjà présente quand elle ramena son derrière dans ce qui se voulait être une taverne, les places libres se faisaient rares pour peaufiner les derniers détails avant l'heure de l'assaut et bien sur l'estropié était dans le lot.
Il s'était installé un jeu dangereux entre eux deux, celui du chat et de la souris.
Elwenn s'amusait de titiller la patience du brun qui souvent ne savait répondre autrement que par les poings où en lui jetant le premier objet à sa portée ... les bosses, les bleus en était le résultat.
Ce qui ne dérogea pas à la règle une fois de plus, la rouquine avait certainement dût pousser le bouchon un peu trop loin, où était ce l'effet de groupe qui donnait des ailes au chat?
Toujours est il qu'elle se fit entailler la joue par la lame du barbu ... et Vic' de la soigner avec les moyens du bords.
Une cicatrice, un souvenir ... gravé à jamais dans la chair.
La soirée ne fût pas plus calme que d'habitude même si on aurait pu croire que les brigands profiteraient de ces dernières heures pour se concentrer.
Loin de là ...

Le temps s'écoula doucement, amenant lentement les quelques villageois de sortie à regagner leurs chaumières.
Le moment fatidique était arrivé.

Sad ouvrit la marche en lançant un simple mais suffisant
Allez!
La rouquine suivit le mouvement, noisettes écarquillées dans la pénombre pour éviter de se faire surprendre autant que possible.
On lui avait prédit sa mort, peut être frapperait elle cette nuit ...
Et la mairie se dévoila à quelques enjambés de là, défendue par un seul et unique garde qui tournait en rond.
La vie du milicien prit fin rapidement.
Qui s'était chargé de lui, elle n'aurait su le dire tellement s'était aller vite.
Le chemin était libre, il ne restait plus qu'à défoncer la porte.
Comment et qui s'en chargerait s'était là la question.
La roussette scruta le groupe en se questionnant alors qu'eux connaissaient déjà la réponse.
La différence entre novices et expérimentés était là.
Chacun avait son rôle, encore fallait il le savoir.
Dans la brève attente ses pupilles se reposèrent sur la planche de bois qui était le dernier obstacle qui les séparait de ce qu'ils étaient venus chercher.
La richesse.

_________________
Turbine
[En taverne]

90écus, et il est à toi! Dit-il à l'inconnu en face de lui... Malgré les protestations de Victor, bah oui, Victor... Le brigand ne sait pas que Victor est en fait Victorine... Bref... Turbine et le colosse; celui avec qui il faisait aliance pour voler le gueux, continuaient à arnaquer le paysan...

90 écus? Comment ça?! On avaient dit 100! Répliquait son dit, "collègue".

Ensuite, une violente baston entre les cousines Corleone, et l'teigneux se déclencha. Des choppes, des tabourets, et du sang, volèrent dans tous le sens... Ce dernier, à plusieurs reprises, avait entaillé profondément la joue droite d'Elwenn avec comme seul arme; sa pitoyable, et courte lame pratiquement rouillée. Tandis que Laell, elle, finit par poser la pointe de son épée; sous la gorge du pillard, Vu qu'elle ne le tua pas, il lui cracha au visage, avant de la traiter de lâche. Pffffffh... Évidemment, l'arnaqué en profita pour s'enfuir! Quel raclure... Ca fait cent écus de perdu, de la faute de deux minables garces!... Et la soirée continua dans la même ambiance, du moins jusqu'au grand moment, le moment de l'attaque... Là, c'étais encore pire!

[Au moment de l'attaque]

Turbine, bâton dans une main, dague dans l'autre: Bâton pour avoir quelque chose, un objet, sur lequel s'appuyer. Et dague pour se battre, le moment venu... Turbine était impatient, mais nerveux: il ne voulait surtout pas rejoindre sa soeur: morte depuis hier, en Flandres: Seul Elwenn, la rouquine de la bande, était au courrant du décès de sa soeur. Il lui lanca d'ailleurs un regard noir, avant de s'élancer en direction de la mairie en gueulant pour éffrayer l'unique garde qui protégait, si on peut dire ainsi, l'entrée de la mairie. Lorsque la tante des deux "catins" lacha ce fameux: Allez!

Turbine laissa tomber son bâton sur les pavés poussièreux du village, et sauta sur l'homme, avant de planter avec rage son arme dans l'épaule de ce qui était maintenant sa proie, ce qui lui arracha un long cris de douleur. Il se releva le plus vite dont il était capable, et l'acheva à coup d'pieds dans la trogne. Alors que, ses compagnons, étaient déjà en train de défoncer la porte de la mairie, Turbine cracha sur le corp dorénavant sans vie du garde, et gueula de nouveau.

Celui qui rentre avant moi dans la salle des coffres, j'le crève!
Kunfry


[Des gros bras, des armes et… de l’argent ?]

D’Anjou en bourgogne, et de villes pommées en villes pommées le groupe avait fait sa route. Chaque arrêt signifiait qu’une taverne allais faire un énorme bénéfice, les bière allaient s’entrechoquer, les tabourets allaient voler, des insultent seront couramment prononcer et parfois une bagarre mais c’était très rare, une fois sur deux quoi.

Cette Partie de la France Kunfry ne la connaissais que très peu, assez calme il faut dire. Les journées passèrent rapidement jusqu'à Mende.
Ah Mende... Le but du voyage, des habitants sympas pour le peu qu’il en a rencontré et une mairesse gentille mais naïve hélas.

Sadnezz lança l’assaut et le groupe de mercenaire s’élançât a sa suite tous armés de lames en toute genre et surtout d’un mental de fer.
Un seul type gardait les biens de la mairie et tres vite il tomba par terre, aucunes hésitations. L’homme tomba sous la rage des coups porté et en quelque seconde il avait rejoins son créateur. Ce genre de combat enlevait presque le gout de la victoire. Quoiqu’il en soit les mercenaires étaient devant la porte de la mairie.
Les portes sont souvent plus un signe de victoire qu’une réelle épreuve. Aucune porte n’est un obstacle que sa sois a la hache ou au bélier les petite porte qui protège les trésors des villes sont souvent bien moins résistante que prévu.

L’épée en mains le polonais se retourna, à coté du garde une flaque de sang, l’odeur des écus qui les attendais de l’autre coté de la porte. La victoire était leur, un sourire de coté, c’est dans les moments comme celui-ci qu’on apprécie d'avoir choisit ce métier et pas un autre, même si pour Kunfry, ce soir, le sang n’avais pas assez coulé.Y’a des jours comme ça...
Sadnezz
[Vandales d'un jour...]

Filant un coup de coude au Turbin, elle persiffla en lui passant devant.

C'est ça, tu f'ras un bon bélier.


La lueur du flambeau tenu en main frémit lorsque d'un coup de pied rageur la Corleone entreprit de forcer la porte. Le tout ne cédant pas, il lui fallut tout de même insister quelques longues minutes, aidée par les autres. La porte céda, avec grand fracas..


On s'magne.


Le boucan tarderait pas à rameuter tous les clampins de la mairie, aussi ils se faufilèrent dans l'antre de Mende comme un soldat dans une ribaude. Haem. Eclairant les pièces unes à une, a première vue rien de bien luxueux..

Fouillez- tout, prenez tout, tout ce qui peut être revendu..


Son objectif premier...Les coffres. D'autres portes cédèrent, de cette hargne et de cette faim malsaine. Progression rapide, sésame n'est pas loin. Pourtant, si peu de gardes pour les tresors d'une ville n'était pas tres bon signe... Au détour d'une enième serrure, bien rangés en rang d'oignons : les coffres dorment.


Par là!


Besoin de renfort... Vandales toujours..

_________________

Vilain pas beau en quête d'action?Par ici...
Elwenn
[Enfin]

Les rêveries dans ces moments là ne sont pas les bienvenues, c'est être sur le qui vive qu'il faut et Elwenn, elle, rêvassait sur la porte qui subissait l'assaut de plusieurs paires de bottes, elle se voyait déjà les poches remplies d'or et sa charrette remplie de nourriture en abondance qu'elle aurait entassé avec précaution.
La belle vie quoi.
Finalement en se secouant vivement le bourrichon elle revint rapidement les pieds sur terre, consciente qu'elle ne serait pas de trop pour venir à bout de cette épaisse planche de bois.
Ouverture à la bonne vieille méthode.

Dès l'instant où le silence nocturne fut brisé par le beuglement de Turbine, le compte à rebours était enclenché.
Il leur fallait faire vite, arriver à leur fin avant qu'un quelconque renfort Mendois ne vienne perturber le pillage.
La rouquine se pressa d'aller aider ses comparses et rapidement la porte explosa sous les coups.
La troupe se faufila promptement à l'intérieur en piétinant tout les débris qui jonchaient le sol tandis que le flambeau de Sad illuminait les tristes lieux.
La rousse lança un bref regard circulaire à la recherche du moindres objet de valeur.
Elle haussa inconsciemment les épaules quand sa tante décréta de tout fouiller, espoir de trouver quelques chose de revendable mais à première vue, il n'y avait pas grand chose.
Les pâles menottes se chargèrent d'explorer le bureau de la bourgmestre, envoyant valdinguer toute la pile de notes qu'elle avait laissé en évidence pour ne s'emparer finalement que d'un vulgaire presse papier en pierre sculpté.
L'unique tiroir ne fut pas plus fructueux, des vélins encore vierges et des plumes y étaient soigneusement rangés, elle fourra le tout dans sa besace, pas tant pour le prix mais plus pour l'utilité qu'elle en aurait un jour.

Pendant ce temps là, le reste de l'équipe n'avait pas chômé, les autres portes, bien moins épaisses que la première, de la bâtisse étaient craquées les unes derrière les autres ouvrant ainsi le passage vers les coffres.
La rouquine accourut au : Par là! de sa tantine.
Ses noisettes s'ouvrirent en grand quand elle arriva devant les précieux.
L'impatience la rongea bien vite et sa main se porta à sa ceinture pour s'agripper au manche de sa hache tandis que son pied frappait inlassablement le sol.


Bon on les ouvre oui ou m.erde?

Elle attendit le signal pour se lancer avec joie dans la destruction des coffres.
_________________
Miramaz
[Mende.. la fin du début...]

De villes en villes ils avaient avancés, des lieues et des lieues ils avaient avalées. Au détour d'un chemin leur but apparaissait enfin, Mende ville de toutes les richesses, au moins dans leurs rêves les plus fous. Étape marquée d'une croix carmine sur la carte de leur périple, la mairie était un haut lieu touristique à ne pas manquer.

L'humeur de Mira s'était améliorée au fil du temps, à mesure qu'elle évitait le gros de la troupe pour se concentrer sur elle-même. L'avenir l'effrayait moins, ainsi planquée dans les jupons de Sad, il lui paraissait presque souriant. L'approche d'un peu d'action, ne pouvait qu'aider quelques fugaces sourires dans leur volonté d'éclairer la trogne sombre de la chauve.


Allez !

L'heure avait sonné, l'assaut était lancé, comme pendant tout le reste du voyage la Rasée gardait un œil sur son/sa filleul(e), pauvre jeune(tte) qui se retrouvait embarqué(e) avec eux sans trop savoir pourquoi. L'autre œil surveillait le reste de la troupe, elle était plutôt méfiante de nature la Mirette, et se retrouver au milieu d'inconnu ne lui plaisait qu'à moitié, mais pour la Corleone elle suivait sans renâcler, se contentant de protéger ses arrières.

La visite se révélait décevante, un seul guide bien vite sans voix et des salles vidées de tout mobilier intéressant. Après quelques détours et plusieurs portes fracturées, la salle des coffres se présentait enfin à eux. Moment de vérité tant attendu, même si l'atmosphère laissait envisager le pire.


Par là!

Rasée qui suit le geste de l'italienne et se précipite sur un coffre, petit, a moitié caché sous un autre, d'aspect assez récent. Le gros lot est pour elle, pas question qu'elle partage.

C'lui-là est à moi..z'y touchez pas ou j'mords!

Grognement et regard noir jeté aux autres malfrats, cette bande d'idiots braillards qui se déchainait autour d'elle, et la voilà qui s'écarte légèrement, forçant le coffret avec la pointe d'une dague, le martelant contre un mur jusqu'à ce qu'il cède et révèle son précieux contenu.

5 écus..c'quoi c't'histoire.. Saaaaad..l'est où la montagne d'or?

Et un coffret de balancé n'importe où dans la pièce, et une Mira qui grommelle en observant les prises des autres, prête à déguerpir au moindre signe de danger.
_________________
Sadnezz
[Le début du reste]

Y'a rien.

Même ça, cette triste constatation résonnait autant sur les murs de la mairie vide que dans son crâne déserté de tout bon sens. Rien. Si.. Des haches. Un signe ça.. Des haches pour briser le premier clampin qui se pointerait pour les déloger de la mairie. Quand les rats quittent le navire, ils le quittent seuls, à leur bon vouloir. D'un mouvement brusque, le bout du pied vient retourner les carcasses vides des coffres de Mende. Fouillant le désespoir comme les soldats rescapés sondent les dépouilles d'une croisade, pour voir s'il reste une infime part de vie sur le champs de la mort. Des cadavres, de fer et de bois, cloutés d'une arrogance qui lui fait se mordre la langue.

Se saisissant d'une hache, et d'un coffre, elle termine le saccage, plus virulent de frustration. Les vélins volent, les tables sont retournées. Le Turbine se prend un taquet au passage, parceque là sur le moment, ce sera lui le fautif. Il en faut toujours un....

T'aurais du fermer ta grande gueule!

Dans un dernier élan rageur, le flambeau est jeté sur les papelards de la bourgmestre, rencontrée dans la journée au détour d'une taverne.


Prenez les coffres...


On brulera le Turbin au buchet avec...

Un des mec pissa contre un mur, et même cette vision ne parvint pas à lui arracher une ébauche de sourire. La meilleure façon de satisfaire un besoin pressant, c'est de vite le soulager. La carte fut de nouveau marquée d'une croix sanguine, promesse d'une nouvelle attaque... Les chevaux les attendaient, presque plus nerveux que leurs cavaliers. Les nièces devaient apprendre mieux, apprendre plus fort. Un coup d'éperon, la nuit leur revint.
_________________

Vilain pas beau en quête d'action?Par ici...
See the RP information <<   <   1, 2   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)