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[IG/RP] La Traque

Merlin7700
Merlin écouta tout ce qui ce disait sur la traque et enfin décida d’intervenir.

Commandant Namaycush je viens de vous entendre dire

Citation:
Hum …il me semble que j’avais ordonné un courrier à l’intention de Merlin hier !
Bref, qu’on le remercie, qu’on les fasse entrer au bercail, en précisant bien que mon rapport sera favorable malgré la vitesse de réaction, qu’on peut néanmoins mettre ça sur le compte d’un réglage…


Je crois avoir le droit de répondre,
Vous pensez bien que si j’avais reçu ce courrier, je ne serai pas à Dax aujourd’hui. De plus, je ne vous donne pas le droit de nous salir ainsi. La vitesse de réaction à été impeccable, mes réservistes ont été prévenu mardi après midi de cette mission, moi-même n’ayant reçu aucune missive de votre secrétaire, j’ai du apprendre par hasard que vous parliez de moi.
Revenant à mardi après midi, suite au menace que vous avez porté à mon en contre, j’ai pris la décision de laisser mes Réservistes décider de ce que l’on allait faire. Une chance pour vous, nous nous sommes mobilisés. Le soir même nous étions en Lance et au complet sauf un, mais pas de problème nous passions là ou il était. Etant toujours de l’après midi, tous le monde travaillaient donc le lendemain mercredi précisément nous partîmes en direction de Dax.

Alors je vous le demande, êtes vous capable de faire mieux ??

Maintenant, c’est la deuxième fois que vous mettez en évidence la valeur de vos dires.

Citation:
Mon rapport sera favorable


Je me suis comme vous le dite autoproclamer Commandant en Chef, sachez que d’abord je le mérite pour mes antécédents et que de plus j’ai créé personnellement ma caserne des réservistes de Bayonne.
Maintenant dite moi comment un niveau 2 devient le commandant du renseignement militaire gascon. Car comme vous pourrez le constater, je ne connais pas ce grade, où même la caserne d’où vous êtes affecté.
Il est bien d’avoir fait démolir une caserne parce que le niveau 3 que je suis, n’étais pas noble lorsque l’on donne le Commandement à un niveau 2 inexpérimenté.

Votre mission de traque, je l’ai accepté car mes réservistes étaient tous d’accord. Mais sachez que jamais plus je m’abaisserai à répondre à des ordres ou menaces venant d’un niveau 2.

Voila sieur Namaycush, ah oui, j’oubliais gardez pour vos remarques désobligeante, car je n’ai que deux supérieurs, « Le duc et le Capitaine » je ne crois pas que vous faite partie du conseil Ducal non plus. Et sachez que quoi qu’il arrive à causes de mes propos envers vous, la Caserne des Réservistes n’est faite que de personnes loyales, d’abord envers leur caserne et ensuite en la Gascogne et qu’ils continueront à défendre.
Par contre pour nous avoir déranger pour rien, je vous compte les frais à votre charge.
Une missive vous arrivera dès demain matin. Et si vous n’êtes pas disposé de la payer, la justice sera la pour régler cette affaire. Car moi j’appelé cela de l’escroquerie grâce à vous des civils (réservistes) ont perdu des journées de salaire. Bravo pour votre belle affaire Commandant.


Merlin très déçu ne se rabaissa même plus a attendre la réponse du Commandant Namaycush, il quitta la salle pour rejoindre ses braves et loyaux réservistes, en se disant qu’il ne laissera plus reprendre par ce Commandant de pacotille.
_________________
Merlin le Gascon, Commandant en Chef
des Réservistes de Bayonne
http://lances-de-bayonnes.forumactif.net/
Jakethesaint
[Dans la tente du commandant]

En rentrant dans la tente, il avait vu ces mâles dont parlait sa bien aimée, ces mâles qui sans cesse voulaient dompter la belle harpie, voulant la briser et la façonner à leur image pour qu’ils aient une femme docile, à leur pied. Aucun respect pour une dame !

Voyant Isadora couchée sur cette table sans son consentement, avec l’impression d’être sur le point de se faire violer par deux soldats qui avaient picolé et dont l’haleine n’était pas fort agréable à sentir, Jake était devenu furibond.

Il avait prit la main de son hérauine, la tirant de la table, moment de retrouvailles intenses échangés. Après cette tendre étreinte, il avait envoyé son poing dans la figure de son meilleur ami. Du moins, c’est ce qu’il croyait. Encore une fois trahi dans l’amitié. Comment pouvait-il lui faire encore confiance ?

D’un poing fulgurant dans le nez, il avait allongé Namay. Il était là, à présent, gisant au sol.

Il avait dit aux deux goujats
« La prochaine fois que je vous vois la toucher de cette façon, je vous pète les rotules. Me suis-je bien fait comprendre ? »

- Bravo mi amor ! Jolie droite !... s’était exclamé sa jolie promise. Ces mots qui le distrait aussitôt. Le commandant en profita pour lui faire un croc en jambe, le frappant à la gorge. Jake tomba au sol, le souffle coupé.

Namay lui murmura
- Jake ça suffit, je te fais mettre aux arrêts, pour réfléchir et on s’en tient là…

- Gardes ! Mettez cet homme aux arrêts pour la nuit, veillez à ce qu’il manque de rien ! s’écria-t-il ensuite.

Les soldats le soulevèrent sans ménagement par les bras, laissant traîner les pieds au sol. Un léger sillon se dessina au sol alors que les gardes l’emmenaient dans une tente servant de gnouf. Combien de temps lui faudra-t-il pour pouvoir à nouveau respirer normalement ?

Les officiers rigolaient à leur tour de la situation détruisant le peu d’humilité qui restait à cet homme qui avait voulu défendre sa bien aimée.

Plus jamais, un homme malveillant ne porterait la main sur son aimée. Elle avait tant souffert de ces hommes qui voulaient la dresser comme leur chien. Elle méritait bien plus d’égard. Plus jamais, il ne les laisserait faire, il la protègerait coûte que coûte. Et voilà le résultat …

Elle s’était à peine remise de ses blessures suite au duel, à cause de cet homme qu’il venait d’allonger de son poing. Il ne voulait plus qu’on abuse d’elle. Il l’aimait d’un amour infini et voulait la laisser libre, libre de rester comme elle est, la farouche harpie, l’hérauine de son cœur. Seulement, il n’avait pas réussi, sentiment de honte et de colère qui le rongeait …

_________________
~ Jake de Valombre ~ Porte-Parole de Gascogne ~
Cesaire_h
Il est complement barge... Y a plus à y revenir. Césaire ecoute attentivement, l'essence et surtout le plan le plus foireux qu'il ai jamais entendu. D'une simplicité enfantine, clair.. Tellement c'est délirant. Super c'est la fête, on va jouer à caillasse moi les roustons histoire de plier l'avant garde et ensuite à deux on va les encercler. Et dire qu'il a oublié sa fronde, pas de bol...
Il reprend calmement...



Foncer, Percer..Encercler..Plan simple.
J'vois. Je capich bien même. Pas de problème...


Il comprend surtout que la meilleure solution c'est de se tirer et de rentrer à Labrit. Son esprit pratique lui hurle que la raison veut de sortir le Falco de là et de le confier à un bon spécialiste...Pour son bien. Il a une pensée pour la promise se disant que si les miracles existent c'est le moment, avant qu'on voit le Fossyeur charger à lui tout seul une armée en gueulant " j'vais te peter les clochettes". Forcément avec un Césaire sur les talons, voir devant, puisque c'est son boulot. De le garder en vie...
Le soucis c'est qu'il lui complique la tache.
Alors il hésite. Il se voit bien le secher d'un coup bien placé, qu'il se repose un peu, il en a besoin et de pouvoir le rappatrier d'urgence.
Il compte le nombre en face, evalue les possibles, se disant que rester c'est en avoir à tous les coups le double demain arrivés tout frais nouveaux...
Un court instant il songe à allumer un feu de camps et s'installer en attendant qu'on vienne gentiment les cueillir. Il pourrait même se lier lui même les mains pour être encore plus conciliant. Il songe à la fourmi sans le vouloir, car c'est vraiment pas le moment de se laisser déconcentrer...
En face ça à l'air de se préparer, forcément va falloir se défendre...Dans tous les cas va y avoir choc. Evidement, reste la possibilité d'une erreur en leur faveur. Il mate le groupe d'un côté, les murailles de Labrit de l'autre.
Le Falco pas franchement en forme. L'equation est simple.
Lui a pris sa décision...


Ouaip on les encercle, pas de soucis.

Il se rapproche gentiment, y a pas à sourciller pour un Césaire qui sort son épée. Alors il le seche d'un bon coup derrière la nuque. Brutal, violent, précis, efficace. Il ira pas se fracasser sur les lances" ennemies". Césaire ira seul. C'est son taf. Il va pas attendre c'est pas logique. On abbat pas un homme déjà au sol...

Reste à voir s'il va tomber...


J'vois qu'on rentre...On va foncer à Labrit, percer l'entrée et tout ce qui se posera en obstacle s'il le faut et encercler une bonne chope de la paluche en inaugurant la taverne de Nyss...


option 1 : Falco tombe, il est out. Délisté de l'armée, on fracasse pas un inconscient. Il brigande pas et suit en rentrant à Labrit. Césaire risque de se faire faucher...seul.

Option 2: Falco tombe pas, le choix lui appartient. le reste..

_________________
Isadora.da.vinci
[ à l'écart du camp ]

Bizarre ! Tout ce remue ménage pour une traque qui finalement n’avais jamais vu le jour et en plus ils n’avaient même pas prévus de geôle convenable pour les brigands qu’ils espéraient serrés. Or donc, faute de prison, Jake avait été conduit à l’écart du camp, dont l’effervescence ne semblait pas vouloir s’amenuiser avec le jour, et sommairement ligoté à un arbre. Deux sentinelles somnolentes veillaient le prisonnier. Isadora ne tarissait pas d’éloges sur ses deux compères, son répertoire ordurier n’ayant d’égal que son savoir-faire horizontal elle pouvait jurer et baiser sans s’arrêter pendant au moins 3 jours parfois même les deux en même temps, lorsqu’elle parvint à la hauteur des sentinelles. Les plantons ne prirent même pas la peine de se redresser et la regardèrent arriver de sa démarche chaloupée avec une concupiscence manifeste ce qui acheva d’embraser l’ire de la tempêtueuse latine. Elle n’était certes pas avare de ses charmes mais entendait pour le moins décider elle-même de ceux qui bénéficieraient de ses largesses. A la différence notable des nombreuses catins qui gravitent toujours autour des camps militaires elle ne vendait rien, elle offrait. Et elle offrait à qui bon lui semble et non l’inverse. Ainsi son courrou(coucou) était-il donc à son comble lorsqu’elle arriva. Le temps d’un battement de cil sur son regard ténébreux et la bleusaille s’était subitement redressée, tirant sur les vestes d’uniformes trop grande ou les pantalons trop courts. A leur décharge mentionnons que l’immensité des cieux semblait s’être rangée du côté de la Chimère car d’incandescentes lueurs pourpres et orangées embrasaient maintenant l’horizon où le soleil achevait de consumer ses derniers feux dans une apothéose flamboyante. Le crépuscule était son heure. Se profilant à contre jour sur l’incendie céleste elle fonça droit sur les gardes, qui, médusés par cette médusa dont le regard courroucé les pétrifiait, n’esquissèrent pas le moindre geste pour l’arrêter. Ce en quoi ils furent bien inspirés…

Et tandis que l’obscurité naissante teintait maintenant de mauve et violine la cime des arbres elle se jeta à genoux près de son amant inconscient.

- Jake… Jake ?... appelait-elle doucement tout en soulevant sa tête afin qu’elle reposa sur ses genoux. Jake ?... c’est moi… Chéri je suis désolée… tu n’aurais pas dû ! Oh ! Mon Dieu Jake, nous ne faisions que plaisanter ! Rappelles-toi que cet idiot de Namay vient de prendre une déculottée qui lui reste en travers de la gorge… je l’ai déjà maté une fois, je suis de taille à recommencer. Ce n’était qu’une blague salace de soldat ! Mon chéri… réveilles-toi…

Fatigue, blessure ou vexation, Jake ne répondit pas. Aussi la belle en soupirant se prépara à passer sa première nuit à la belle étoile avec un homme ligoté… mais pas par elle, ce qui enlevait tout le piquant de la situation.
_________________
Isadora~
Maître provisoire de la compagnie des Cadets de Gascogne
Perce bedaine et casse trogne ce sont les Cadets de Gascogne.
--Casse_bonbons


[une missive accrochée à la jambe de casse_bonbons ]


Casse_bonbons avait emmené toutes les consignes à la copiste, relatant les faits de la journée. Ainsi elle apprit que Merlin était présent au campement et lui adressa une missive qu'elle envoya avec le coursier :

Citation:
Bonsoir Merlin,

Dans le tas de courriers que je me devais d'envoyer, votre parchemin pourtant rédigé a manifestement été emporté par le vent.
Le fait est que l'ordre de revenir au bercail au lieu d'être envoyé hier, je ne vous l'ai fait parvenir qu'aujourd'hui avec excuses et remerciements pour votre participation.

Ce qui vous fait une journée de perdue pour vous et vos hommes c'est ça?

J'assume mon erreur, et le pécule que je gardais pour acheter un champs, couvrira largement vos frais.

Cordialement

Aelyce


















Falco.
NdA:Ceci est une expérience Rôlistique et artistique d'avant garde



Cesaire usa de la garde.
Le Fossoyeur eut un étrange regard puis fut soufflé comme chandelle un soir de noce entre puceaux.



Fin de l'expérience:
Ceci est le plus court post RP de ma carriére en RR

_________________
Fossoyeur, marchand, gascon
Cesaire_h
Tagada... tagada
... tagada... tagada.


" bruit de canassons cavalant peinards vers Labrit"


Pareil

_________________
Grinwold


La nuit était bien avancée quand Grinwold quitta la tente du commandant Namay. Le temps était passé si vite, les deux compères avaient refait le monde, avant de terminer dans les vapeurs de vinasse et en compagnie de demoiselles bien peu farouches.

Titubant et se raccrochant à ce qui lui tombait sous la main, le commandant faisait peine à voir. Qu'importe, cette sensation étrange qui l'avait envahie était si agréable. Finalement, rien ne compte, rien n'a d'importance. Une conduite vertueuse ? A quoi bon !

En se dirigeant péniblement vers la tente préparée pour lui, il se remémora l'épisode marquant de cette journée. Il n'était même pas intervenu. A quoi bon, encore une fois ! Spectateur silencieux, il avait profité de la pièce, brillamment jouée il devait bien le reconnaître.

A l'heure actuelle, Jake devait le détester. Tant pis, ce n'est pas le premier, et ce ne sera certainement pas le dernier. Isadora, Isadora, une femme, quelle femme, LA femme. Des années qu'ils se connaissent, des années qu'ils se perdent, qu'ils se retrouvent, et rien ne change.
Pourquoi lui ?
Il ne le lui a jamais demandé, et ne le fera jamais.
A quoi bon ?

A force de penser tout haut, le soldat en arrive à la limite du camps, bien éloignée de sa destination originelle. Des murmures, de l'autre coté de la palissade.
Grinwold franchit la porte, fait le tour en se tenant au mur de bois et découvre les deux tourtereaux assoupis, sous une vague surveillance des geôliers, plus occupés par leur partie de ramponneaux.

D'un ordre discret, il les congédie, leur précisant qu'il se chargeait personnellement du conseiller.
Une fois seul avec le couple, l'officier glissa lentement une petite dague hors de son fourreau et s'approcha de Jake.
Après s'être assuré qu'il ne serait pas surpris par un sommeil trop léger, il dirigea la lame luisante vers les cordes qui le ligotaient. Il n'eut pas trop à insister, le fil avait été fraîchement aiguisé, et les liens n'étaient guère épais.

Son forfait accompli, Grinwold s'en alla, aussi discrètement que son état le lui permit, et prit enfin la direction de sa tente.

_________________
Commandant de l'Ost Gascon

Namaycush


.Grin était parti, beau moment d’amitié et de solidarité entre soldats, et avait emmené avec lui la soldatesque de joie, il avait ri néanmoins avec ces ribaudes étalant leurs charmes à deux écus, valait mieux d’ailleurs, voyant les rapports de situation arriver, il en riait tout seul…se demandant ce qu’il commandait…mais sérieusement….se demandant s’il s’agissait de la fanfare ducale ou quoi….

Il rit moins d’un coup…ne se fâche même plus…établit le constat de misère de la situation…pas fameux…bravo…

Un juge mort….
Un procureur disparu dans un bosquet…remplacé…mais au pied levé…
Un capitaine traquant l’aragonesse, et non l’aragonaise, ça doit être une histoire de fesses…
Une lance qui ne peut pas partir pour des raisons techniques…
Un porte-parole ligoté à un arbre…
Un lieutenant membre du conseil qui se trompe de formation d’attaque…et loupe les bandits…

Se demande l’officier, qu’est-ce qui va lui tomber sur la tête demain encore…

Lorsque qu’un merle tombé du nid piaille…il arrive au bon moment celui-là…tiens.


Messire Merlin, je comprends votre courroux, aussi vous prierais-je d’excuser notre copiste pour le moins surchargée en ce moment.

Néanmoins, j’apprécie mal vos paroles :


Citation:
Revenant à mardi après midi, suite au menace que vous avez porté à mon en contre


Sachez que quand je menace je fais, ici je n’ai proféré aucune menace à votre encontre, alors mesurez-vous !

Citation:
Maintenant dite moi comment un niveau 2 devient le commandant du renseignement militaire gascon


Je ne peux malheureusement constater qu’effectivement vous êtes un civil, avec très peu de connaissances du fonctionnement militaire de nos institutions.

Sachez que le renseignement militaire gascon existe depuis très longtemps. Son existence a toujours été tenue secrète pour des raisons évidentes. Suite au lancement de la traque, le Capitaine, a donné son approbation à ce que mon identité soit révélée.
Pour d’autres questions quant à ce service particulier de l’ost régulier, je ne suis ni habilité ni autorisé à vous répondre, adressez-vous au Capitaine ou au Duc !


Citation:
Mais sachez que jamais plus je m’abaisserai à répondre à des ordres ou menaces venant d’un niveau 2.


Ah le Capitaine va être content….vous lui en parlerez, d’ailleurs d’après la condition de votre tolérance d’existence, vous n’y êtes pas tenus !

Quant au défraiement de vos hommes, suite à l’erreur de ma copiste, qui vous a adressé ses plus sincères excuses d’ailleurs, adressez-moi votre note que je transmettrai à qui de droit en ne manquant pas de mentionner les règles régissant votre statut, hum….quelques informations sont affichées dans le coin.

D’autre part ceci, je n’admets pas :


Citation:
Car moi j’appelé cela de l’escroquerie


Là vous me menacez, sachez que je ne suis pas homme que l’on menace impunément !

Bien la bonne nuitée, Messer, ne manquez pas de remercier vos hommes de ma part !
Je ne vous retiens pas !


Sachant que Casse-Traque n’était jamais bien loin dans la nuit..

Casse-Bonbons, que plus aucun civil ne franchisse le périmètre militaire sans mon autorisation jusqu’à nouvel ordre, double la garde s’il le faut…euh …à propos de garde ..tu t’occuperas toi-même du secteur nord-ouest….

L’était pas intelligent, ni malin le bedonnant, mais dévoué, voyait rien, entendait rien,….et surtout ne comprenait rien, mais efficacement redoutable dans l’exécution des missions…contrairement à d’autres érudits….
Par ……oui amitié tout de même, il partage avec lui un nouveau pichet…voit ses yeux briller, quel honneur pour ce brave de partager un verre avec son chef…jour de gloire pour lui…


Bien mon ami, courrier pour la copiste,

- au Lieutenant Louisnapoleon, commandant le détachement de Labrit, ordre de rentrer dans leur cantonnement au plus tôt.
- A sa Grâce Gabriel Von Wittelsbach, dict le Juste, demande de réforme urgente de l’armée, avec formation accrue, formel militaire et procédure notifiée, rapport de situation suivra, qu’il soit de bonne humeur avant de l’ouvrir.
- A Messer de Cartel, dit Falco., …hum….qu’on lui demande de se rendre gentiment au guet de Labrit, suite à mes recommandations et….j’intercéderai en sa faveur…s’il est par un hasard quelconque jugé un jour…avec mes compliments et mes respects…pour m’avoir fait voir quelque chose que je n’aurais jamais imaginé …

Donne ces instructions à Z’Ael, prends ta garde et un pichet tu le mérites bien…et ne sois pas trop attentif à la garde….compris !


Sort et se balade dans le camp désormais endormi, rougeoiement de braises de foyers, peu de bruit, quelques ronflements…le cantonnement dort….regarde le ciel…..rire franc sincère et entier….couleur bleu nuit !

Pensées profondes, honnête avec soi-même, il sait, sans qu’il le veuille il a décidé…..

Noisette a oublié qu’il était un homme, dur, conquérant, sans partage, entier…mais aussi …sensible…même pas un pigeon…rien…
Noisette l’a laissé errer sur des terres inconnues, découvrir des bosquets étrangers…
Noisette ne sait plus ou ne veut plus le retenir, mais ….
Noisette oublie que certaines, profitant de la situation qu’elles sentent ou devinent, abusent de l’occasion pour donner l’assaut…

Il sourit…il l’aime…mais il n’est qu’un homme…

Dans la condition de l’homme de caractère, il est un fait ingérable et parfois incompréhensible de conquérir, de prendre d’assaut ou d’assiéger une forteresse inaccessible à premier abord, mais tellement plus attrayante par ce fait….et de ne la conserver qu’à condition de devoir l’affronter jour après jour…

Cette nuit, une sentinelle tournera pudiquement le regard, lorsqu'une silhouette sombre franchira le périmètre.

Elle sera repartie au matin, et n'aura jamais existé !

Résolument la couleur est bleue !


Bleue comme la flamme la plus chaude, qui attire le papillon de nuit et …parfois …le tue !

_________________
Commandant du Renseignement Militaire Gascon


Sachez que quand je menace je fais, ici je n’ai proféré aucune menace à votre encontre, alors mesurez-vous !



Je ne peux malheureusement constater qu’effectivement vous êtes un civil, avec très peu de connaissances du fonctionnement militaire de nos institutions.

Sachez que le renseignement militaire gascon existe depuis très longtemps. Son existence a toujours été tenue secrète pour des raisons évidentes. Suite au lancement de la traque, le Capitaine, a donné son approbation à ce que mon identité soit révélée.
Pour d’autres questions quant à ce service particulier de l’ost régulier, je ne suis ni habilité ni autorisé à vous répondre, adressez-vous au Capitaine ou au Duc !




Ah le Capitaine va être content….vous lui en parlerez, d’ailleurs d’après la condition de votre tolérance d’existence, vous n’y êtes pas tenus !

Quant au défraiement de vos hommes, suite à l’erreur de ma copiste, qui vous a adressé ses plus sincères excuses d’ailleurs, adressez-moi votre note que je transmettrai à qui de droit en ne manquant pas de mentionner les règles régissant votre statut, hum….quelques informations sont affichées dans le coin.

D’autre part ceci, je n’admets pas :




Là vous me menacez, sachez que je ne suis pas homme que l’on menace impunément !

Bien la bonne nuitée, Messer, ne manquez pas de remercier vos hommes de ma part !
Je ne vous retiens pas !


Sachant que Casse-Traque n’était jamais bien loin dans la nuit..

Casse-Bonbons, que plus aucun civil ne franchisse le périmètre militaire sans mon autorisation jusqu’à nouvel ordre, double la garde s’il le faut…euh …à propos de garde ..tu t’occuperas toi-même du secteur nord-ouest….

L’était pas intelligent, ni malin le bedonnant, mais dévoué, voyait rien, entendait rien,….et surtout ne comprenait rien, mais efficacement redoutable dans l’exécution des missions…contrairement à d’autres érudits….
Par ……oui amitié tout de même, il partage avec lui un nouveau pichet…voit ses yeux briller, quel honneur pour ce brave de partager un verre avec son chef…jour de gloire pour lui…


Bien mon ami, courrier pour la copiste,

- au Lieutenant Louisnapoleon, commandant le détachement de Labrit, ordre de rentrer dans leur cantonnement au plus tôt.
- A sa Grâce Gabriel Von Wittelsbach, dict le Juste, demande de réforme urgente de l’armée, avec formation accrue, formel militaire et procédure notifiée, rapport de situation suivra, qu’il soit de bonne humeur avant de l’ouvrir.
- A Messer de Cartel, dit Falco., …hum….qu’on lui demande de se rendre gentiment au guet de Labrit, suite à mes recommandations et….j’intercéderai en sa faveur…s’il est par un hasard quelconque jugé un jour…avec mes compliments et mes respects…pour m’avoir fait voir quelque chose que je n’aurais jamais imaginé …

Donne ces instructions à Z’Ael, prends ta garde et un pichet tu le mérites bien…et ne sois pas trop attentif à la garde….compris !


Sort et se balade dans le camp désormais endormi, rougeoiement de braises de foyers, peu de bruit, quelques ronflements…le cantonnement dort….regarde le ciel…..rire franc sincère et entier….couleur bleu nuit !

Pensées profondes, honnête avec soi-même, il sait, sans qu’il le veuille il a décidé…..

Noisette a oublié qu’il était un homme, dur, conquérant, sans partage, entier…mais aussi …sensible…même pas un pigeon…rien…
Noisette l’a laissé errer sur des terres inconnues, découvrir des bosquets étrangers…
Noisette ne sait plus ou ne veut plus le retenir, mais ….
Noisette oublie que certaines, profitant de la situation qu’elles sentent ou devinent, abusent de l’occasion pour donner l’assaut…

Il sourit…il l’aime…mais il n’est qu’un homme…

Dans la condition de l’homme de caractère, il est un fait ingérable et parfois incompréhensible de conquérir, de prendre d’assaut ou d’assiéger une forteresse inaccessible à premier abord, mais tellement plus attrayante par ce fait….et de ne la conserver qu’à condition de devoir l’affronter jour après jour…

Cette nuit, une sentinelle tournera pudiquement le regard, lorsqu'une silhouette sombre franchira le périmètre.

Elle sera repartie au matin, et n'aura jamais existé !

Résolument la couleur est bleue !


Bleue comme la flamme la plus chaude, qui attire le papillon de nuit et …parfois …le tue !
Falco.
Epilogue d'un Fossoyeur

Arriver en travers de son cheval comme une livraison de pommes. Tu crois que ça fait trés Cartel?


Les premiers mots qu'il prononce alors que les murailles de Labrit se profilent entre les arbres. Grincés entre les dents, avec une migraine de termite creusant du tungsténe.
Il ignore comment ils ont franchi le barrage de l'Ost Gascon.
Sa derniére vision est celle de fantassins en ordre dispersés et d'eux pas loin.
Comme il est vivant il en conclu que son spadassin a due apprendre à des piétons une leçon de base.
Des chevaux vont plus vite que des chausses.
Un fantassin l'a toujours dans l'os, sauf s'il tire bien à l'arc.

Entre deux carillons craniens il se promet de trouver un moment, plus tard, pour discuter cavalerie avec l'Etat Major Gascon.
Si deux rigolos passent comme à la parade ça augure mal en cas de déferlante plus massive.

Et lui, son objectif prioritaire c'est une ville de Labrit solide. Un roc bourré de marchands guerriers parés à trainer au bout d'une corde les marauds de la concurrence. Pas une Labrit incendiée, une campagne ravagée par un ennemi brutal ayant juste en face une poignée de trouffions novices.

Il va devoir aller tirer au clair ses ennuis ducaux en allant au Guet.
Autant s'y rendre et éviter un travail fastidieux aux maréchaux.

A leur entrée dans la cité il les salue.

Entre temps, il a repris une position autre que sac de pomme sur sa selle.
Vieille régle qu'il murmure à son spadassin assommeur:

Même perdant, faut toujours entrer dans les cité fanions hauts et armes brillantes. Sinon, un neau jours, la populace se dit que ça doit pas être si dangereux que ça de se priver de gens d'armes en ses murs..

Labrit.
Sans doute quelques démélées judiciaires, sa campagne comme Maire, trouver routes et cavaliers pour le commerce..Retour à la maison.

Et surtout!Aller tirer sa belle de son congélateur!

_________________
Fossoyeur, marchand, gascon
Isadora.da.vinci
[aux abords du camp]

Le vent apporte la rumeur des conversations et une odeur familière qu’elle parvient difficilement à identifier au milieu des relents de vinasse et de crevettes… qu’est-ce qu’il vient encore fiche ici?... Ma parole mais il est rond comme une queue de pelle ! Mais foutredieu qu’est-ce qu’il…

Un rien interloquée elle le regarde sous ses paupières mi-closes trancher d’une main sûre malgré l’ivrognerie les liens de Jake qui ne pipe toujours mots, puis s’en retourne par où il est venu. La bougresse s’interroge… Remords tardifs ?... Naaaan. Affection contenue ?... Naaan. Plan machiavélique… ça lui ressemble déjà plus. Dans la fantomatique clarté lunaire elle regarde en plissant les yeux s’éloigner la silhouette. Ca lui rappelle des choses… fourrés, Fougères, frisson frivoles et fuite… Que manigance-t-il ? Que manigancent-ils ?!... Ce qu’elle prenait pour des blagues de potaches prend soudain dans allures de complot. La nuit n’est sans doute pas étrangère à sa soudaine paranoïa. Elle n’aime la nuit qu’au coin du feu, une bonne bouteille à la main, confortablement pelotonnée au creux d’une solide paire de bras musclés pour la protéger des monstres cachés sous son lit. La nuit les harpies sont gris.

Bizarre autant qu’étrange… il faut qu’elle en ait le cœur net. S’il y a bien une chose qu’elle apprécie encore moins que l’oppressante sensation de vertige que lui procure le néant nocturne, c’est qu’on se paye sa tête. Aussi se faufile-t-elle lestement à la suite du soudard qui s’achemine pesamment vers le camp, espérant découvrir ce que lui et son frère d’arme mijote entre deux cuites. Et si elle ne découvre rien et bien… dans l’état où il est elle ne devrait pas avoir trop de mal à le réduire à sa merci pour lui extorquer des aveux circonstanciés !

Le camp est toujours en ébullition malgré l'heure tardive. Les lumières rougeoyantes des braseros estompent par instants l'avide obscurité bleuté. Ca jure, ça beugle, ça lutine, ça tape le carton et le bout de gras... Dans ce brouhaha générale et vue l'état d'ébriété de Grin, le suivre n'a rien de bien compliqué. D'ailleurs est-il seulement assez lucide pour s'apercevoir qu'elle le suit ? Et puis... tiens ! Qu'est-ce qu'il fait l'autre, à se bidonner tout seul au milieu de son troupeau ?... Il est saoul lui aussi ou bien il a définitivement fondu les plombs ?... Le temps de se poser la question et l'autre en a profiter pour sortir de son champ de vision, disparu corps et biens, noyé dans la marée humaine.
_________________
Isadora~
Maître provisoire de la compagnie des Cadets de Gascogne
Perce bedaine et casse trogne ce sont les Cadets de Gascogne.
Jakethesaint
[ à l'écart du camp ]

Les deux soldats l’avaient ligotés à l’écart du camp. Il avait toujours du mal à respirer. Sa gorge l’irritait et pas de gourdes d’eau pour soulagé sa gorge. Le temps passait sans en prendre conscience. Ses pensées vagabondèrent dans son esprit, il réfléchissait à ce qui était arrivé sous la tente du commandant. Il ne se reconnaissait pas dans ce geste, frapper son meilleur ami.

Les liens avaient été bien serrés au poignet, irritant sa peau. Son passé ressurgit encore. Ces liens le rappelaient à son enlèvement par les assassins de ses parents. Il secoua la tête pour chasser ses mauvais souvenirs. Il pensa très fort à son hérauine, seule à pouvoir l’apaiser, d’un simple regard, de sa voix douce. Il fini par s’assoupir.

Soudain, il senti sa tête se déposer sur des cuisses fermes. Il reconnu son parfum, se sentant rassuré. Il gardait les yeux mi-clos puis les referma aussi vite. Il se sentait si bien et n’avait plus envie de bouger. Isadora se confia à lui, espérant qu’il entendrait ses paroles.

Elle s’inquiétait pour lui, et pourtant voulait lui faire prendre conscience de sa folie. Il ne répondit pas … pas de suite. Ce sentiment de honte le faisait souffrir. Elle soupira à son silence …

Nouvelle surprise, quelqu’un s’approcha d’eux et vient couper ses liens. Jake continua de jouer l'endormi, alors que le ciel montrait à présent une nuit étoilé parsemé de nuage. La lune éclairait le campement. A un nouveau un œil discret pour reconnaître son libérateur, Grinwold. L’homme reparti aussitôt comme il était venu. Et Isadora, le suivit …

Il se retrouva à présent seul, libéré de ses liens mais toujours la gorge en feu. Une quinte de toux vient accentué son malheur. Même plus un garde à appeler pour lui apporter de l’eau, vu qu’ils avaient été libérés de leur poste.

Jake soupire, se demandant pourquoi elle était partie suivre son ex. Il resta là, à attendre, espérant son retour avec sa maudite toux qui pouvait s’entendre aux abords du campement …

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~ Jake de Valombre ~ Porte-Parole de Gascogne ~
Grinwold


Le camp tournait, tournait, affreusement vite. Même ces foutues tentes ne restaient pas en place ! Quelques soldats qui l'avaient croisé en profitèrent pour se moquer de lui, mais leur voix se révélèrent déformées dans la caboche de l'officier. Chanceux...

Il s'arrêta un moment pour reprendre ses esprits et tenter d'interrompre cette pénible valse. S'adossant contre la poutre d'une tour de garde, il crut distinguée une très vague silhouette rougeoyante, et le peu de lucidité qu'il lui restait lui permit de comprendre que cette couleur était plus qu'inhabituelle dans un camps où le bleu et le gris dominaient. Mais sa réflexion s'arrêta là.
Après tout, quel mal pourrait bien lui faire une robe rouge ?

Rouge, rouge... cela devait lui rappeler quelque chose. Oui, un souvenir, lointain, présent, mais irrémédiablement trop flou pour l'amphore qu'il était.

Il voulut continuer, mais son pied gauche se prit dans un cordage, et le fringant officier qu'il était, ou du moins croyait être, se retrouva à terre.

Se relever semblait représenter un effort surhumain, d'autant plus que toutes les loupiotes célestes s'étaient également mise à tournoyer.

Mmmmh, après tout, ce sol ferait bien l'affaire pour la nuit...

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Commandant de l'Ost Gascon

Namaycush


Le jours se lève sur la Gascogne…

Il émerge du peu de sommeil, en forme néanmoins….
Délicieux rêve, ..Non !
La tiédeur et la moiteur de la couche, ou champs de bataille, associées à des effluves déjà evanescentes le lui confirme…

D’après la luminosité filtrant à travers la toile, il devine que le ciel est bleu…Bleu !…Non ! Soleil, Jaune !

Sous la complicité de la nuit, les émeraudes ont fondu dans l’azur brûlant de la flamme, donnant de la dimension à un jaune ambré, fusionnel, intemporel et à la profondeur infinie…lacs profonds dans lesquels il s’est laissé submerger….

Choc de la pensée imagée, sursaut, réveil de l’esprit….

Citation:
XXXX dit :
*le sentir... sa main contre elle.. le regarder, encore, ne plus rien voir, lèvres collées... s'embrasser, ne plus se voir... juste sentir.. la peau contre la sienne, l'étreinte non désirée.. non attendue... lever l'azur, s'noyer dans l'vert offert... ne pas refuser... s'offrir*


Il se lève, décidé et énergique…

Faisant ses ablutions, l’esprit rôde encore….

Il est des jours où le conquérant se sent invincible, sûr, confirmé par le fait qu’il a conquis, possédé, de toute sa puissance et virilité ce corps délicatement charnel et convoité, mêlant toute la fierté de l’homme à la fureur de l’ego…

L’est de bon poil le fox-terrier chef de meute…,

Malheur à qui se mettra sur sa route aujourd’hui !..


Casse-semaille, au rapport, rien à signaler cette nuit n’est-ce-pas !

Tu prends mon escorte personnelle, avec toi , direction Labrit, et vous me ramenez les fugitifs, sinon ils vont me les perdre en route encore ces hommes de guet…
Pour interrogatoire et ensuite, dossier direction la Procure…

Et que la copiste envoie un courrier à ma frangine, qu’elle vienne au campement, j’ai envie de la voir !

Exécution !

La journée s’annonçait bien, …qui avait laissé traîner ce tas de froque sur le chemin…mais…c’est Grin parlant en dormant et ronflant comme un compagnie de blaireau…

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Commandant du Renseignement Militaire Gascon


Il se lève, décidé et énergique…

Faisant ses ablutions, l’esprit rôde encore….

Il est des jours où le conquérant se sent invincible, sûr, confirmé par le fait qu’il a conquis, possédé, de toute sa puissance et virilité ce corps délicatement charnel et convoité, mêlant toute la fierté de l’homme à la fureur de l’ego…

L’est de bon poil le fox-terrier chef de meute…,

Malheur à qui se mettra sur sa route aujourd’hui !..


Casse-semaille, au rapport, rien à signaler cette nuit n’est-ce-pas !

Tu prends mon escorte personnelle, avec toi , direction Labrit, et vous me ramenez les fugitifs, sinon ils vont me les perdre en route encore ces hommes de guet…
Pour interrogatoire et ensuite, dossier direction la Procure…

Et que la copiste envoie un courrier à ma frangine, qu’elle vienne au campement, j’ai envie de la voir !

Exécution !

La journée s’annonçait bien, …qui avait laissé traîner ce tas de froque sur le chemin…mais…c’est Grin parlant en dormant et ronflant comme un compagnie de blaireau…
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