Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 21, 22, 23, 24   >   >>

[RP]Chez les Staline

Eulaly_de_baylaucq
Lundi soir

Eulaly caresse le front de son cheval qu'elle avait fini par appeler K-Libre.
Un saut pour le loto bouse, pour voir amis et famille. Elle repartait le soir même.
C'est ce qui était prévu du moins...

Le truc c'est que la jeune femme est vraiment mais vraiment sur les genoux. A tel point que malgré son plaisir de les revoir, elle avait dû laisser Aude et Palatina après un tout petit quart d'heure tout au plus, confiant le bois pour son parrain à Aude, tout à fait incapable de l'attendre plus longtemps.

Elle caresse donc le front de son cheval et lui parle, ses yeux déjà mi-clos.


On y va dans dix petites minutes... Je fais juste une mini-sieste... Toute petite juste pour...

Baillement à gober un corbeau.

Petite... Toute petite...


Et se laisse lentement tomber dans le foin de l'écurie avant de prendre une position foetale et de se laisser submerger par le sommeil.

Mardi matin

Quand elle rouvre les yeux, c'est dans son lit. Elle ne se souvient plus comment elle est arrivée là. Jo ?
Cà ne pouvait être que lui. Elle dépassait maintenant sa marraine d'une tête et cette dernière n'était plus assez forte pour la porter depuis quelques années déjà. Par contre elle avait fait son lit. Cà sentait bon la lavande.

Deux fois que çà lui arrivait de louper le départ en une semaine à peine... à elle à qui çà n'était jamais arrivé avant. Et Vints qui devait s'attendre à ce qu'elle le rejoigne au petit matin... Elle lui écrirait plus tard.
Ses yeux se referment une nouvelle fois, elle serre son oreiller qui sent si bon contre sa joue et sombre à nouveau. Que çà faisait du bien de dormir, dormir, dormir...

_________________
Zeliejeanne
Zélie faisait tout doucement ce matin. La prunelle de ses yeux dormait à l'étage. Jo l'avait réveillée en pleine nuit. Pris d'insomnie qu'il disait ! mouai c'était surtout qu'il adorait uriner debout dans le jardin, juste éclairé par la Lune. C'était romantique selon lui, mais Zj savait bien que l'éclairage de la planète nocturne faisait des ombres et qu'elle donnait à certaines choses des dimensions hors du commun. Ca flattait le gamin qui vivait encore dans l'esprit de son homme.
Bref, je m'égare, toujours est il qu'il avait trouvé Eulaly endormie dans la paille. Legère comme une plume, il l'avait ramenée à la maison pendant que Zj lui faisait le lit.
C'est donc avec le plus de précautions possible que la flamande commençait à préparer les conserves et les salaisons dont son époux pourrait se régaler durant son absence. Ce retour forcé chez les nonnes ne lui plaisait pas, mais elle savait qu'elle devait en passer par là. Quelques jours, peut être quelques semaines, mais elle devait le faire.
De temps à autre, elle allait se poster au pied des escaliers et elle écoutait. Zj s'inquiètait de la savoir ici alors qu'elle devrait se trouver auprès de Vints et elle se demandait si tout allait vraiment bien. Des craintes infondées ? oui sans doute, mais son coeur de mère prenait toujours le dessus sur sa raison quand il s'agissait de sa filleule.

_________________
Eulaly_de_baylaucq
Comme quand elle était petite...
Elle s'éveille dans le lit qui l'avait accueillie pendant dans d'années, toujours ce même filet de lumière qui lui chatouillait le nez le matin, la douce odeur de lavande des draps propres se mélangeant à celle d'un autre fumet qui montait de la cuisine et lui ouvrait l'appétit.
Elle se pelotonne encore un peu sous les couvertures. C'était si bon de retrouver ces sensations.

Et puis elle descend l'escalier pieds nus, sourit en voyant sa marraine s'affairer, cesse quand elle voit les conserves, signe visible de son prochain départ, et s'approche de la femme de sa vie avec une moue trop boudeuse.


Ah oui c'est vrai... C'est bientôt que tu pars...

Et, pour se faire pardonner de ne pas avoir plutôt dit bonjour d'abord, elle la serre ensuite fort contre elle et dépose un doux baiser sur sa joue.


Tu veux bien que je t'aide ?

Et elle lui offre un joli sourire en remontant déjà ses manches.
Exit la moue boudeuse. Elle savait que chaque membre de la famille prenait sur lui et elle avait passé l'âge des caprices de ce genre.

Trouvant une bassine de lentilles mises à tremper :


On pourrait lui faire quelques bocaux de lentilles au canard. Cà lui fera sûrement vachement plaisir, non ?
_________________
Zeliejeanne
Citation:
Ah oui c'est vrai... C'est bientôt que tu pars...

Cette petit voix encore pleine de sommeil suffit à elle même pour faire rayonner le visage de Zj. Elle se retourne et la voila déjà prisionnère dans les bras de sa pupille. Elle rit de voir leur rôles inversés. Eulaly la dépassait d'une bonne tête, tout comme Moon. Un baiser doux sur sa joue, pas le premier de la journée, Sly était déjà passé par là, mais voila que sa journée sera bonne.
Citation:
Tu veux bien que je t'aide ?

Si tu veux, avec un immense plaisir, quelle joie de recuisiner avec toi !

Zj cherche ce qu'elle peut lui donner à faire mais Eulaly a déjà trouvé, alors elle sourit et ne dit plus rien, enfin presque.
Citation:
On pourrait lui faire quelques bocaux de lentilles au canard. Cà lui fera sûrement vachement plaisir, non ?

La petite Flamande part dans un éclat de rire.

Ecoute, je lui ai déjà préparé, des confits de cuisses de canard, des confits de magrets, des fritons, des cous farcis, et des foies gras. Je crois qu'avec les lentilles on va lui mettre un peu de jarret de porc. J'aurai trop peur qu'il lui pousse des plumes et des pattes palmées au Jo.

Et Zj d'imiter son Jo faisant le canard : COIN COIN ! COIN COIN !
_________________
Eulaly_de_baylaucq
Eulaly part d'un grand éclat de rire en voyant l'imitation.
Elle aimait voir sa marraine heureuse et elle aussi passerait maintenant une excellente journée.

Le bout de ses doigts trouvent l'eau froide dans laquelle baignent les lentilles et d'une pichnette, elle éclabousse sa marraine en riant.


Les canards çà aiment la flotte !

Une bataille d'eau au petit matin d'un frisquet automne, voilà quelque chose de pas banal !
_________________
Zeliejeanne
Citation:
Les canards çà aiment la flotte !

Et voila Zj arrosée, le visage, la gorge et le chemisier. La surprise de l'eau froide passée, elle se met à rire, tremps la main dans l'eau pour à son tour éclabousser sa pupille.

Et les jeunes filles la rosée du matin !

Elle s'arrosèrent copieusement pendant de longues minutes, riant, s'évitant, râtant la cible, l'atteignant, criant de surprise sous le froid de l'eau. Bref elles mirent une sacrée pagaille dans la cuisine. De l'eau coulait de partout. Elles n'avaient plus qu'à nettoyer et à se changer. Mais Dieu que c'était de bon de rire !

Vite, vite, changeons nous et nettoyons. Si Jo arrive il se demanderait si nous sommes devenues folles et il serait bien capable de vouloir participer.
_________________
Zeliejeanne
Levée tôt ce matin, en même temps que Sly. Non pas qu'elle avait beaucoup de travail, Totote s'occuperait du ménage. Non, juste l'envie de passer du temps avec son époux.
Le petit déjeuner fut pris ensemble, des tartines de miel, son miel, celui qu'il récoltait lui même.
Quelques dernières recommandations, puis un moment tendre qui leur appartient, et Sly était parti travailler.
Zélie, termina de boucler son bagage, le descendit du mieux qu'elle pouvait, jetta un dernier coup d'oeil à leur maison, histoire de voir qu'elle n'avait rien oublié.
La carriole était là, le cocher l'attendait. Elle s'approcha sans se départir de son sourire, grimpa sur la charette et salua l'homme.


Bonjour Cocher, je m'appelle Zélie, vous me menez jusqu'au couvent ?

L'homme sourit, acquiessa et fouetta son pauvre cheval. Zélie sourit toujours se disant que le temps allait passer vite, et que le Staline avait intérêt à ne pas trop boire. Cette idée la fit rire toute seule.
_________________
Slystaline
Un petit déjeuner comme les autres. Il était arrivé à ne pas se départir du masque du mari souriant, à essayer de la faire rire, à masquer son inquiétude. Il fallait qu'elle parte. Elle rentrerai rapidement et en forme.

Ils ne voulaient pas d'au revoir plein de trémolos. C'est pourquoi il avait pris le parti d'être au champ au moment du passage du cocher.

Mais, il ne résiste pas au besoin de courir arrêter l'attelage, pour embrasser une dernière fois sa femme, pour la serrer dans ses bras.


Ne t'en fais pas, je serai sage. Reviens nous vite et en forme. Je tiens à toi.
_________________
Slystaline
Un réveil difficile. Les dents de derrière qui baignent. L'impression d'avoir un rat crevé au fond de la gorge. Douleurs dans les muscles. Comme si on était passé sous un rouleau à patisserie. Mal de crâne. Gueule en vrac. Impression que sa langue a doublé de volume. "Juste un verre" qu'il s'était dit en allant chez l'Maurissard. Juste un verre... Ce fut des seaux.

Il regarde les rayons du soleil illuminer la chambre. Couché sur le ventre, en étoile de mer, il ne peut retenir un soupir.

La grande maison si chaleureuse d'habitude est vide. Son épouse partie pour une retraite forcée de plusieurs jours, Eulaly qui petit à petit quitte le nid pour fonder son propre foyer avec Vints. Et Sly subit les affres d'une gueule de bois carabinée, d'un moral vermoulu à coup de questions onthologiques à ne pas se poser dans la pâleur d'un matin, vu qu'elles dépassent le champ de compétences assez restreint point de vue philosophie d'un meunier flamand en 1460.


Il baille, gratte sa figure hirsute et boursoufflée et se lève. Il va à la fenêtre et regarde vers l'horizon.
_________________
Zeliejeanne
La petite flam riait encore dans cette carriole qui la ramenait chez elle. Les nonnes, chez qui elle était allée pour se reposer d'un petit problème de santé, voulaient la retenir encore sous un tonne de prétextes.

* Vous n'avez pas assez prié, vous êtes encore fragile, quelques jours de plus vous feraient un bien immense. Vous allez rentrer chez vous, reprendre vos activités, et consacrer moins de temps à la prière

* Si vous ne me laissez pas partir, je vais vous pourrir la vie du couvent à un point tel que vous allez me maudire jusqu'à la fin des temps !


Devant tant de déterminations, elles avaient pris la décision d'ouvrir les portes cadenassées en lui faisant promettre mille et une choses. Et la voila de retour sur Tournai. Son époux n'était pas encore rentré, elle le savait, et lui réserverait la surprise de son retour. Une fois arrivée devant la porte se sa maison, elle fit descendre son bagage jusque dans sa cuisine puis glissa quelques écus dans la main du cocher.
Elle entra chez elle, monta les escaliers assez péniblement. Une fois dans le confort de leur chambre, elle se déshabilla et se glissa dans le plus simple appareil, dans la douceur de leur couche. Quelques secondes pour penser à son époux, Zj sombra dans un profond sommeil.

_________________
Slystaline
Quelques jours passés à Arras, dans le but unique de sortir du quotidien, de quitter la maison, les habitudes, tout ce qui est tellement agréable et chaleureux quand Elle est à ses côtés, et qui devient tout simplement insuportable quand Elle n'est pas là.
Mais son absence est plus courte que prévue, un pigeon informe le meunier du retour de sa femme.
Le dimanche soir il prend donc la route avec Palatina et Christopher. Les harcellant pour avancer plus vite, encore plus vite.

Il ne parvient à cacher son émotion quand il voit leur moulin se profiler dans la brume. Il court. Entre et prépare la table pour un petit déjeuner, qui sera pris trés tard ce jour là.

Aujourd'hui il n'ira pas à la mine. Il ne produira pas de farine. Il ne s'occupera pas de ses champs. Il ne travaillera pas à son atelier. Jour férié? Nenni. Mais faire autre chose qu'être prêt d'Elle, contre Elle, serait du temps perdu, gâché, cramé.

En silence, il monte les escaliers. Il entre-ouvre la porte, et la voit. Un rayon timide qui rayonne sur son omoplate blanche qui dépasse des couvertures. Des cheveux bouclés et indisciplinés répandus en cascade sur l'oreiller, dans lequel sa tête est enfouie. Elle dort. Il se déshabille, la rejoint.
Passe une main sur son ventre, l'attire contre lui. Son dos à Elle contre son torse et son ventre à lui. Ses hanches et ses fesses dans le creux de ses hanches et de ses cuisses. Emboités, fusionnés. Il écarte ses cheveux et embrasse longuement sa nuque.

Pas un mot. Parce que parfois les mots sont inutiles, superflus.

_________________
Eulaly_de_baylaucq
Une cuite pareille, çà faisait longtemps ! Euh nan... celle de la crémaillère de Rosa était pas mal non plus... Hum ! Un mal de crâne pareil, elle ne se souvient pas en avoir déjà eu un de tel n'empêche. Ce sera difficile de sortir du pieu aujourd'hui, difficile même d'ouvrir les yeux sur la lumière pâle du jour levé depuis déjà belle lurette.
Elle a même du mal à se souvenir de la soirée d'hier. Son parrain était passé non ? Il avait dit quoi finalement pour le mariage ? 'tin c'est pas vrai ! Fallait qu'il se pointe le soir où elle était sous la table aussi !

De ses paumes, elle masse ses tempes douloureuses, se force à se rappeler. "Vints bouse", nan çà c'était Jo. Trop de bois... pouvait plus partir. Elle se souvient du sourire satisfait de son brun aïeul. Mais finalement, il lui avait donné une réponse ou pas ? Palatina avait été témoin de la scène. Eulaly lui demanderait plus tard de combler les trous. Plus tard ouais parce que là, elle n'a pas encore complètement décuvé. Elle coule sous l'édredon. Fallait dormir encore un peu. Pas facile avec des marteaux dans la tête.

_________________
Slystaline
En ce dimanche matin, Zelie Jeanne et son époux sont assis à la table du salon, et discutent des nouvelles concernant les accordailles de leur pupille, Sly lui fait un résumé des conversations de taverne de ces derniers jours.

Alors voilà, c'était vendredi soir, nous étions quelques personnes de qualité, à giberner aristotéliquement autours de quelques bières et de moultes charcuterie fine
-Sacré Sly! Tu ne crois pas que ton épouse va traduire ça par "on se bourrait la gueule avec des copains en bouffant de la cochonaille?" Elle n'est pas folle, la guêpe.
Il y avait une partie de l'élite du Grand Nord, à savoir Audelia, Palatina, Christopher, Eulaly notre bien aimée fillote et moi même. Je peux te dire que la palabre allait bon train! Les sujets de fond s'entre-croisant avec des propos plus légers, plus badins... Dans l'ambiance, les verres se sont enchainés et le fil conversationnel perdit toute trame et commença alors à aller à hue et à dia... Que veux tu! Nous craignions tous les affres de la déshydratation!
-Mais dis le directement que vous commenciez à être saoul comme des cochons et que vous vous mettiez à raconter n'importe quoi!-
Point de souci dira tu vu que nous étions en toute amitié sans enjeux ni objectif à réaliser! Ha! Ma pauvre mie! Encore eut il fallu que Blacky notre bien aimé bourgmestre et néanmoins ami et parrain d'Eul ne nous eut pas rejoint dans la taverne!
Aprés quelques instants mondains
(quelques chopes de plus oui), je pris la décision de quitter les convives, de rentrer te rejoindre.

J'ai donc raté le moment important, mais Palatina me l'a conté hier au soir.

Eulaly a demandé l'accord de son parrain pour ses fiançailles. Elle n'était plus en état d'argumenter, saisie qu'elle était par l'éthilisme. Blacky lui a expliqué que si Vints tenait vraiment à elle, il devait venir s'installer sur Tournai. Que ce n'était pas à elle de faire l'intégralité des efforts. Elle est partie rapidement, en claquant la porte.

Hier soir, Eulaly m'a demandé conseil. Je n'ai pas su quoi lui répondre, à part de parler et de parler encore à Blacky, afin de le convaincre mais aussi à Vints, et d'écouter son coeur. Ca doit être sa décision à elle avant tout.
Il est important que l'oiseau qui sait voler finisse par quitter le nid... Mais je sent notre fillote tiraillée entre Arras et Tournai, entre nous, ses amis et Vints. Ne crois tu pas que tu devrais lui parler? La raison et les conseils judicieux c'est ton truc plus que le mien.


Il la regarde en lui préparant une nouvelle tartine au miel tout fleur. Staline. Tu avoues une cuite outrancière, pour noyer le poisson tu détournes sur un sujet sérieux, puis une demande de conseil, des flatteries et une attention délicate. Toi tu as tout compris aux femmes!
_________________
Zeliejeanne
Zélie l'écoute, l'observe, sourit, feint de ne pas comprendre qu'ils ont pris une biture sans nom la veille. Elle est encore beaucoup absente de Tournai, des tavernes et de leurs grivoiseries. Elle prend un châle, le pose sur ses épaules. Elle acquiesse quand il parle d'Eulay, fronce les sourcils quand il parle de Blacky. Elle l'admire quand il lui prépare sa tartine de miel. Elle soupire quand il lui conseille de parler avec Eulaly ..

Bien sûr mon amour que je vais lui parler. Elle sait déjà ce que je vais lui dire, mais je le répéterai ! Dès qu'elle sera levée, j'aurai une conversation avec elle. Je te remercie de m'avoir fait écho avec précision et honnêteté de la conversation que vous avez eu en taverne.

Zj le regarde, un brin moqueuse !

Oh mon coeur, je n'ai pas réussi à redresser le piedestal que tu as fait tomber cette nuit quand tu es rentré en titubant. Le bruit m'a réveillée, mais rien de mal, ce sont tes ronflements et de te coucher tout habillé qui m'a le plus gênée. Tu ne t'es pas aperçu que je ne dormais pas, tu étais trop ... imbibé de votre discussion.
Juste, pourras tu le remettre droit ?

_________________
Slystaline
Une barre au front, une tartine au miel dans la bouche, Sly hoche la tête acquiessant ainsi à la demande de son épouse.

Hum **chump chump (finit de mâcher)** pas de problème, je fais ça tout de suite aprés avant d'aller produire de la farine.

Détourner la conversation sur un autre sujet que sa biture de la veille, et fissa...

Dis voir... C'est cette semaine ta rentrée universitaire? Blacky t'as donné l'adresse? Il te guidera sur le campus? Je trouve formidable que tu entames de hautes études...

**Se ravise avant de rajouter "à ton âge"**

mais... Tu connais mon avis sur la connaissance. A vous remplir la tête de savoirs bah vous vous déformez l'humeur, vous vous mettez à gamberger sur des questions compliqués, le sens de la vie, "qui suis-je où vais-je dans quel état-j'erre toussa".
Les gens lisent trop voilà le problème. Surtout les jeunes, c'était mieux avant quand on avait pas le temps de réfléchir harrassés par une journée de mine, vivants dans la crainte du Trés Haut et des coups de nerfs de boeufs admonestés par nos parents, par le curé, par le contre-maitre, quand on se réveillait tous les matins à 4h pour creuser du minerai à mains nues pendant 15h d'affilée nous cassant les ongl...

**petit sourire en coin pendant son monologue, le Magnifique de Tournai regarde son épouse, attendant qu'elle y mette fin, d'une engueulade ou d'un baiser, selon son humeur.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 21, 22, 23, 24   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)