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[RP] C'est moi, je reviens, salut !

Arutha
Prendre quoi? Un coup dans la tronche, pour avoir écrasé ce macaron, un macaron, son macaron ! Non, non, pas question de manger de la poussière de macarons. Qui plus était qui se trouvait sous les chaussures mariealiciennes (copyright de moi !) ; on ne savait guère où ces chaussures avaient été ! En Berry, en Espagne, en Angleterre. Pire ! En Bretagne ! Non, je te propose des macarons ENTIERS qui se trouvent dans mon chariot. Avec une envie d'ajouter : Mais bien sûr, pour toi, c'est payant ! Dommages et intérêts, toussa. Mais non. Et d'abord ! Un assassinat prémédité, c'est un assassinat quand même ! Sans la préméditation ! Mais le crime reste le même. Ces gâteaux, c'est Della qui les a poussés ! Donc, monsieur le Juge, Marie Alice fait preuve d'une mauvaise foi sans nom ! Je pense que ce sont aux adultes, monsieur le Juge, de se montrer responsables ! Monsieur le Juge, je vous le répète, ils sont tombés par maladr... la poussée de Della ! Elle est coupable ! Marie Alice ! Et Della aussi ! Les deux, quoi.

Se tourner vers la belle brune. Faut pas faire attendre les filles ! Alycianne, quoi. Z'avez compris, hein ?
Aly. Cianne. C'est beau comme prénom, Alycianne. Quelle émotion. Émotion enfantine. Non, Paupaul ne s'échauffait pas ! Elle est belle ta canne.
Les macarons dans le chariot. Oui. Tu dis pas non ? Mais tu vas grossir, après. Mais c'est pas grave. On aurait pu traduire ceci par : Je t'aime comme tu es. Attends.

Chacun son tour, mesdames ! Maud-qui-aime-le-boudin.
Vouala ! Madame Ella, elle fait des macarons ! Et elle aimait bien Monsieur Llyr ! Le Cigne ! Et c'est un gourmand, c'est p'tete pour ça qu'il aime bien ton boudin. Mais, le boudin, c'est bon ? Non, parce que j'en ai déjà vu, et j'ai pas trouvé que c'était beau. Et quand c'est pas beau, c'est pas bon. C'est comme les épinards ! Non, le boudin ne remplacera jamais ces macarons, morts vaillamment au combat, après une tuerie monstrueuse, douloureuse, sans fin. En ce jour, des macarons sont morts. Je pense qu'il faudrait leur rendre un dernier hommage. Priez avec moi.

    Ce jour, nous prions tous ensemble pour les macarons,
    Décédés sous le pied et le joug de l'ennemi (Officiellement, pour que ça fasse bien, sinon, c'est sous le pied de Marie Alice)
    Rendons-leur un dernier hommage.
    Blablabla.
    Am...


C'est le Colonel Moutarde avec un chandelier dans le petit salon !
Ca c'est du foutage de gueule. ON FINIT L'HOMMAGE AUX MACARONS, ET APRES J'ENVISAGE DE MANGER DU BOUDIN ! SI VOUS VOUS CALMEZ PAS, MOI JE DIS QUE CA VA FAIRE BOUM DANS LA BOURGOGNE, ET OUST ! UN PEU DE RESPECT ENVERS CES PAUVRES MACARONS, BON DIEU ! Merde quoi, un peu de compassion !

    ... en !


De reprendre son souffle, et de faire, non pas une croix, mais un dessin qui ressemblait plus à un macaron, sur son torse.
Pour le boudin, j'vais voir après. Je dois faire mon deuil.

Un nouveau carrosse, là. Arutha, tel un dieu vivant, protégeant son peuple, courut élégamment vers la charrette qui contenait tous les macarons encore vivants. Mais plus pour très longtemps, apparemment.
Attention, convoi exceptionnel de macarons ! ATTENTION ! Et, après un sourire, à la madame. La victime est là, par terre. Nous avons tout tenté pour la réanimer. En vain. Vous êtes qui, les assurances ? La mutuelle ? Drôles de pensées.
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Keyliah
Ca se bousculait un peu sur la place.
Totalement en retrait, Keyliah ne faisait plus que … rire. Bah oui, mais il fallait la comprendre aussi ! Une intrigue se jouait sous ses yeux, et quelle intrigue ! Des grandes dames bourguignonnes mises sur le banc des accusées pour l’assassinat d’un malheureux macaron. Il n’y avait bien que le petit pair pour prendre la chose au sérieux. Tant au sérieux qu’il en devenait ridicule d’ailleurs.
Sans déconner, la brune ne pouvait pas être la nourrice d’un abruti pareil. Certes à huit ans on croyait un peu à tout et surtout à n’importe quoi, mais là franchement …


C'est comme les épinards !

Baron …

Première tentative pour résonner le gamin, car voilà qu’il se lançait dans un interminable monologue qui n’avait ni queue ni tête.

Priez avec moi.

Baron !

Décidément. Rien ne pouvait l’arrêter. Et certainement pas la voix timide et doucereuse de Keyliah. Elle qui pourtant avait une autorité naturelle. Elle avait perdu de sa superbe, n’avait plus rien de peste.

Bouh ouh ouh …

Pour se consoler elle alla donc prendre dans ses bras le fruit de son amour, sa petite perle baveuse, son Yselda. Et prit également la main d’Arne pour l’aider à descendre de son perchoir qu’était l’habitacle de la carriole.

Elle revint alors auprès d’une donzelle qui s’était présentée peu de temps avant.


Am …

J’y goûterai bien volontiers à votre boudin moi !

Mais alors on vit apparaitre une autre grande personnalité. Ne l'avait-elle pas déjà aperçue d'ailleurs, quelques années auparavant ? Oh que si ... Elle avait échangé quelques mots avec elle, et cela avait annoncé la fin d'un mythe, la disparition du heaume et de ses excellentes terrines de hérons.

La victime est là, par terre.

J'ai soif ...
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Mariealice, incarné par Arutha
Grand sourire à la petite brune rouge suivi d’un clin d’œil puis écoute, séance tenante, des explications de Maud sur son boudin, enfin celui qu’elle faisait elle-même, le possible fait qu’Eusaias fasse de la contrebande de macarons. Ben tiens. Pour sûr qu’il en était capable l’infâme, quelle question.

Moutarde ? Ah je ne le connais pas celui-là. Vous êtes sure Della ? Il y a mieux comme arme pour écraser des gâteaux qu’un chandelier.

Petite moue, tout ceci n’était décidément pas clair hein et à force la brune s’y perdait. Comment ça c’était son pied qui avait été la fin pour ces sucreries ? Ah oui mais non, enfin elle l’avait déjà dit. Dans sa tête oui mais dit quand même. Fallait pas les mettre par terre et puis c’était tout.

Et vlam, voilà qu’une autre blonde, Altesse cette fois, arrivait sur les lieux du crime. L’affaire se corsait. Il fallait donner sa version des faits avant de se retrouver pendue aux remparts de la ville. Non parce qu’elle connaissait la passion d’Armoria pour la décoration de murailles et n’avait aucune envie de finir façon boule de noël.
Sauf que là voici qu’une proposition arrivait à point nommé. Des macarons entiers, dans un chariot. Mais alors, mais alors…. C’était un assassinat prémédité. Tout ceci pour que les seconds héritent des premiers. Comment ça des macarons ça n’avait rien à léguer ? Allons, allons, ne faites pas les enfants, point de détail tout à fait négligeable.
Et maintenant une prière. Ah. Bon donc…


Saint Macaron, dieu des gâteaux à la crème, priez pour nous. Enfin pour eux. Et tous ceux qui finiront dans le ventre de l’un ou l’autre présent ici ou ailleurs.

Ben quoi, il y a bien Sainte Boulasse, pourquoi pas Saint Macaron ? Hum ? Aaaah personne pour venir contrer cette évidente évidence hein….

Soif. Ah oui ce n’est pas une mauvaise idée ça. Un tit morceau de boudin, un verre de vin bourguignon et un macaron. Ou deux. On attend quoi ?
Arutha
Chut dans la salle ! Bon sang !

Vraiment chiants ces bruits de fond ! Il était impossible de faire une prière sereine, calme !

- Baron …
- Chut !

Première tentative pour résonner la Nounou-qui-n'est-plus-une-peste. Les macarons furent valeureux, et c'est pourquoi il était nécessaire de leur rendre hommage. Comment ça, ce "Baron" était intervenu après l'évocation des épinards ? OSEF, les gens ! Les épinards, c'est une feinte, une transition formidable pour conduire aux macarons. Pas fou, le môme ! Ou si peu.

- Baron !
- Chut !

Deuxième tentative ! A la troisième, fessée !

- Bouh ouh ouh …
- CHUT !

Y'avait des torgnoles qui se perdaient ! On en venait même à se demander lequel de la peste normand brune, et de l'ange normand blond, était la nourrice, et lequel était l'enfant.

- J’y goûterai bien volontiers à votre boudin moi !
- Chut !

C'était -et c'est toujours- dégueulasse le boudin. Les macarons, c'était -et c'est toujours- bien plus appétissants, bien plus fondants, bien plus croquants, bien plus saignants... Non, d'accord, pas plus saignant.

- J'ai soif ...
- Ah, moi aussi !

Enfin une remarque pertinente de la Keyliah. Comme quoi, la pédagogie, ça passait aussi par des fessées imaginaires, hein !

Tavernier, à boi...
Se reprenant... Grand Echanson, à boire !

C'était bien le boulot de Della, nan ?


Je souhaite faire une proposition, avant de manger des macarons, et de boire un verre de vin bourguignon. Exit, le boudin. Ah, non, ne pas froisser ses hôtes. Et n'oublions pas le boudin pour ces... dames.

Il me tient à cœur, aujourd'hui, d'enterrer vivante la responsable de ces meurtres...

...

...


La botte de Marie Alice !


Oui, mais non, impossible d'enterrer Della et Marie Alice. Le génocide bourguignon, c'bof bof.

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Della
De soupir en sourire, de sourcil levé en moue amusée, Della tentait de suivre l'évolution du procès...enfin de la scène.
Il y avait eu crime ?
Faut pas pousser, hein, il y a eu un malheureux macarons écrabouillé. Peut-être était-il encore vivant d'ailleurs, plus personne ne s'en souciait. Il finirait dévoré tout cru par les fourmis qui ne se douteraient pas un seul instant de la préciosité de leur goûter.

Une autre dame apparut sur la scène...tiens, elle avait une tête de déjà-vu, elle...Où quand comment...? Rha ! Foutue mémoire de poisson rouge !!!

A boire ! Oui, c'est à boire qu'il nous faut !
Regard à gauche, regard à droite...point n'avait ce qu'il fallait !
Diantre ! Que cela était fâcheux...


Allons à la taverne du coin, on y sert un délicieux vin...juste ce qu'il faut pour nous faire oublier ce funeste moment.
Regard empli de pitié vers le macaron.

Ah non ! On n'enterre personne et encore moins vivant, même pas une botte !
Sourire au gamin gâté...Viens, petit, on va te donner un bon lait...Regard entendu vers la nounou, pauvre femme, supporter ce mioche toute la journée...Et tilt ! Plan ! Zou ! Bingoooooooooo !!!
Mais vous êtes Keyliah, la dame de l'Hospice des Laissés pour Compte, c'est vous qui m'avez soignée en Normandie...
En route pour la taverne !
Les macarons ? Oui bah, ils verront Dieu.

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Baronne de Seignelay
Keyliah
Tous avaient soif. Enfin toutes plus deux nabots. Car oui, il y avait encore et toujours Arne, même s’il était planqué dans les jupons de sa sœur. Crise de la dizaine, sans doute, plus rien ne pouvait le rendre sociable, échec d’éducation de la brune, de quoi se décourager.

Mais s’il y avait bien encore une éducation à superviser, c’était celle du petit prince qui émettait l’hypothèse de déguster le vin bourguignon.


Vous, boire ?
Viens, petit, on va te donner un bon lait
Oui, du lait, c’est bien meilleur pour toi ! De plus c’est délicieux avec les macarons … peut-être moins avec le boudin …

Mais ce détail était surtout une réflexion personnelle. Pas question qu’elle se prive alors de boudin, ni de vin. Des mois qu’elle était au régime sirop tisane et gruau, il fallait bien qu’elle se délecte d’un peu d’alcool pour marquer le coup.
Là précisément, il s’agissait d’un coup de botte, envoyant au tapis un macaron sans défense, mais la vie était parfois injuste, il fallait l’accepter. Et puis plus personne ne pouvait aider ce pauvre macaron. Il était tout mourru, c’était ainsi.


Mais vous êtes Keyliah, la dame de l'Hospice des Laissés pour Compte, c'est vous qui m'avez soignée en Normandie...

Et là, alors qu’elle en salivait presque à l’idée de grignoter et surtout boire, elle obliqua le regard en direction de la blonde. Didiou mais c’était bien un visage connu !
Della Tortura-Mal-en-point qui à l’époque avait loué le projet fou de rejoindre un amoureux en Normandie et qui s’était retrouvée cloué dans un lit de l’hospice, pas de doute, c’était elle et de plus elle avait très bonne mémoire.


Ah oui l’hospice … c’est bien moi en effet ! Je suis ravie de vous trouver en grande forme, j’avais entendu dire que l’attaque en Normandie n’avait pas était votre dernière mésaventure.

Et de s’arrêter là dans le larmoyant parce qu’ils avaient une taverne à rejoindre, illico presto !
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Arutha
Les commérages allaient bon train, les femmes discutaient, se racontant mutuellement leur vie. Car, des deux, de Keyliah et du mioche, qui était le plus à plaindre ? Certainement pas celle à qui l'on pensait !

D'une part, Della racontait ses périples malheureux en Normandie, qui semblaient ponctués d’onomatopées aruthiennes.
Oh. Ainsi donc elle s'était rendue en Normandie et, par de tristes circonstances, vous en conviendrez ell... Vous, là, au fond, ne gloussez pas du malheur de Della ! ... elle, donc, s'était retrouvée à l'hospice. Ah. Et elle avait été soignée par Keyliah. Ma foi, la blonde bourguignonne ne semblait pas en si mauvais état et avait été rafistolée par la brune normande. Naturellement, les pensées d'Arutha allaient bon train. En fait, Della, c'est la créature de Frankenstein, elle a été réparée à coups de sabres-laser, de vis, et autres fils guère esthétiques. Voilà pourquoi elle voulait un voile, à Paris ! Ah. Oh. Fantasmes. Particuliers. D'autre part, Keyliah contait ses plaisirs laitiers et inventait diverses recettes. Du boudin au lait agrémenté de macarons. Vomis en perspective. La brune normande avait travaillé dans un hospice. Intéressant moyen de pression. Le blondinet, si une opposition farouche de la brune se présentait, la menacerait de dévoiler aux mondes ses activités médicales ! Et les pensées, toujours, se faisaient leur petit film. En fait, Keyliah, c'est une infirmière renvoyée pour cause d'incompétence, qui officiait dans un hospice. C'est la compagne de Frankenstein, évadée d'un camp d'espions soviétiques. Ah. Oh.

Fantasmes enfantins, ne reflétant en rien un caractère masochiste. Nous avions la créature de Frankenstein, Della. Sa compagne, Keyliah. Mais lui, où était-il ? Tué, lors d'une dispute passionnelle, encerclé par sa compagne, à gauche, et sa créature, à droite. C'était possible. Mais nulle enquête au Sophie-telle n'avait permis de confirmer tout ceci.

C'était la série Della Sophie-telle Keyliah, nom de code DSK, en direct de New-York.


On va à la taverne.

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Armoria
Le verdict tomba.

Il faut savoir qu'Armoria avait une profonde haine et un dégoût non moins profond envers les macarons et les chouquettes. Elle tenait cette détestation de l'époque ou feue la reine - non, pas Béatrice, celle d'avant, comme quoi elle n'était guère vernie avec les reines - avait tenté de placer sa cousine dans les pattes de Morgennes, en disant pis que pendre de la blonde-pas-encore-altesse.

Alors, le verdict tomba.


Des macarons ? Tout cela pour des saletés de macarons ? J'aurais moi-même marché dessus avec grand plaisir. Quel que soit le responsable, qu'il soit remercié. La bonne journée à tous, et que Dieu vous garde.

Demi-tour réglementaire vers son coche. Regard noir vers son serviteur.

Le verdict était tombé. Et il ne s'était même pas fait mal. Comme quoi, un verdict, c'est plus solide qu'un macaron.

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