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[RP] A tire de rame

Elriol, incarné par Milady
[Bureau du Chancelier]

Elriol n'avait pas bien compris le manège. Milady continuait à affirmer qu'Hersende avait été enlevée par Iskander?

Absurde, Absurde Absurde! Je vous le répète!

Iskander sert fidèlement ma mère depuis des années! Expliquez moi pourquoi il l'enlèverait subitement? Cela n'a aucun sens.

Elriol observait le visage de Milady se décomposer à la lecture de la missive. Elle n'écoutait pas ce qu'il lui disait???

Cette lettre est plus importante que la question dont nous parlons? Je vous le répète, dites moi où est ma mère!
Prunille, incarné par Milady
Il avait suffi d'un prétexte bidon et de quelques papillonnements de cils aux gardes pour que la Blonde, qui en prévision de cette intrusion avait choisi une robe plutôt seyante, mettant bien en valeur divers emplacements stratégiques de son anatomie. Blanche, bien sûr ; elle, la pure, l'innocente blonde, au sourire candide, ne portait presque que cela, surtout l'été... Cela produisait inévitablement son petit effet, tant sur les hommes que sur les femmes, qui ainsi se bornaient à voir en elle une pucelle inoffensive.

Bref, sans même prendre la peine de frapper à la porte, elle entra dans le bureau de Mila, pour l'entretenir d'une affaire de prime importance : Le cadeau d'anniversaire d'Arystote. Oui, elle aimait s'y prendre à l'avance. Bien évidemment, ce n'était nullement pour essayer de capter quelques paroles intéressantes, ou jeter un oeil sur un parchemin compromettant qui pourrait se trouver là... Elle n'était pas comme ça, elle, non...


Constance, il faut que je te parle, je...

Apercevant Elriol... Dont elle ne connaissait toujours pas l'identité, et présumant que la Comtesse de Cassis préparait quelque festin pour ambassadeur en goguette :

Oh, bonjour... Vendeur de fruits.
Serait-il possible de faire livrer une corbeille de fruits rouges à l'AHAO ?
Milady
Mila ouvrait la bouche pour répondre à Elriol lorsque la blonde fit intrusion dans le bureau...

Elle resta un moment silencieuse ne sachant trop que faire et se reprit de nouveau.


Prunille ! Je te présente François de Brotel, je m'entretiens avec lui à propos d'une affaire grave. François, je vous présente Prunille de Cianfarano, le maître d'Armes du Marquisat.


Présentations faites , comme si c'était le moment, elle enchaîna. Après tout Prunille en temps que membre du Conseil MArquisal devait en être informée également.

Pru... c'est le fils de Sa Majesté... je l'ai convoqué pour lui annoncer la disparition de cette dernière Iskander l'a enlevée.

Elle laissa son amie à sa surprise et se tourna vers Elriol, s'avançant vers lui et posant une main sur son épaule.

Vous croyez connaître Iskander... L'an passé, la Provence a connu un conflit assez important, comme aujourd'hui. Ce n'était pas un conflit pro MAO ou anti MAO mais il y a avait deux clans : celui des pro Ladoce et anti Yueel et inversement.
Iskander las de tout cela avait tenté de réunir tout le monde pour apaiser les tensions. Ce fut un échec et de désespoir, il mit le feu au château. Son repentir sincère fait qu'il n'a pas été condamné... et aujourd'hui... il a votre mère.

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Aubanne.
A bord de l’Ambuleuse - 12 juillet, brumes matinales.

C’est un vent frais, chargé d’humidité qui la réveilla. Instinctivement, elle se recroquevilla, cherchant la douce chaleur de son géant.
Peine perdu ; Son absence acheva de la réveiller. Il était temps que ce voyage touche à sa fin.
Vald n’avait pas et n’aurait jamais le pied marin… Il devait déjà être sur le pont à chercher l’air.
La veille, le Mistral avait quasiment stoppé leur course. Ils leurs avaient fallu attendre le début de la nuit pour recommencer à sentir à nouveau le roulis qui, elle, la berçait.

Silencieuse, elle émergea de la cabine et contempla la rive toute proche. Trop proche à son gout.
Perdre Hersende, elle ne voulait même pas l’envisager.
La Provence s’éloignait un peu plus chaque jour, mais la difficulté de garder leur précieux otage, de croiser son regard, elle, augmentait en proportion.

Le regard perdu sur la contemplation béate de ce soleil qui se reflétait dans l’eau, elle s’avança sur le pont et observa la silhouette de leur Marquise.
Un rien fragile, si l’on se laissait aller à la première image. Mais Aubanne savait la volonté inépuisable qui se cachait sous cette tête blonde.
Elle la suivit des yeux tandis qu’elle se penchait dangereusement contre le bastingage. Et se rapprocha discrètement…
Serait-elle comme Son Capitaine, sujette au mal des bateaux…
Déjà Hersende, s’éloignait du bord. Visage fermé et toujours aussi pâle qu’au premier jour.

Aubanne inspira profondément et marcha dans sa direction…Autant en avoir le cœur net.
Soit elle était malade, soit elle leur cachait quelque chose…
Qu’elle soit ou non bien reçue ne lui importait guère.
Hersende finirait bien par comprendre le bien fondé de leur action.
Et c’est avec un fin sourire qu’elle esquissa une légère révérence.


Bien le bonjour !
Comment allez-vous ce matin ?
Je vous observais tout à l’heure… Avez-vous trouvez ce que vous cherchiez Hersende ?
Ou perdu quelque chose peut-être ?


Son regard fixée sur elle, elle l’observait attentivement. Cherchant une réponse, une faille…


Hersende
Elle avait pensé être seule... mais un regard lui permit de constater qu'heureusement le parchemin s'était rapidement enfoncé dans l'eau sous le poids de la pierre.

Il fallait leur faire croire qu'elle acceptait la situation... pas trop vite, cela aurait paru louche... mais sembler moins rétive. Et puis être aimable avec des gens qui même s'ils commettaient une épouvantable erreur, ne voulaient que votre bien, ce n'était pas difficile.


Bonjour Aubanne, vous êtes rayonnante!
Je regardais les reflets du soleil dans l'eau et les échassiers qui pêchent le long des rives.


Iskander arriva et les embrassa toutes les deux. Il annonça à Hersende qu'il avait capturé un flamant et qu'elle serait autorisée à écrire une lettre à son fils, mais sous surveillance. Puis il lut à Hersende la lettre de Tristan.
Ils n'avaient rien compris, ni les uns ni les autres... ou alors était-ce elle? Etait-elle dans le faux? Elle avait pourtant un devoir à accomplir... Dans un moment de désespoir, elle se prit à espérer que l'on coule l'Ambuleuse, pour en finir... Mais non, Aubanne portait la vie! Qu'on arraisonne le navire alors? Qu'Adriano vienne pour la tuer et non pour la sauver?

Sentant qu'elle ne les convaincrait pas encore de sa docilité ce jour là, elle s'enfuit, les laissant converser...

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Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Tristan_masselet
Depuis quelques jours , Tristan regardait les rives du fleuve lors de ses promenades , mélancolique et inquiet de ses amis . Il pensait aux bâteaux qui voguaient et se disait que peut être une voile blanche apparaîtrait elle un jour , avec sur le pont ses amis ...

Il leur avait écrit... enfin à leur cheffe incontestée , leur reine des abeilles , la cheffe de meute , l'amère supérieure !

Mais son pigeon n'était pas revenu : Miss aile , pigeon farci d'une éducation rigoureuse dispensée par un saint pigeonnant , aurait dû trouver sa marquise , au moins en reconnaissant les balconnets de la devanture du bateau ; mais , visiblement , cela avait été un échec . Miss ailes avait sans doute fini comme repas d'un corps morant , ou d'un aigle pécheur ! Pire peut être !
En tout cas , la pigeonne avait visiblement échoué !


Finalement ce pigeon , oh ... petit !!!! pouah ! mumura le messire en songeant à tous ces volatiles approximatifs .

Tristan aurait pourtant tellement voulu ramener à la raison Hersende , lui faire comprendre que cet enlèvement était un bien , et même si bien enlever est un vol ,il n'en demeure pas moins que c'est du haut vol que le vol de marquise ...

Alors il s'assoit sur une souche et pense dans sa tête .Il est au bord de l'onde azurée et un peu vaseuse du bord de l'eau . Là où ça sent .... pas très bon ! Comment lui écrire ? Comment lui dire ? Il réécrit son message , une idée lumineuse vient de germer , telle un grain dans son cerveau : Vite , il rédige un parchemin !

Puis il sort une ligne de pêche et attrappe un saumon* ... il fait un petit tube avec son parchemin et lui enfonce dans .... la nageoire dorsale , la traversant en deux points .
Puis il remet le poisson dans le fleuve ....

Et de voir le pauvre habitants des eaux , qui s'éloigne , puis remonte frénétiquement le courant du fleuveen direction de la source ....


J'oubliais qu'il migre celui là aussi ....Mince encore raté !

Tristan quitte la rive , le regard torve et la bouche mauvaise ... Mais il réessayera , il y arrivera !

*ça prend un peu de temps ...mais je la fais court et tristan est un grand pecheur ...
Prunille.
Le fils de sa Majesté... Oui, elle l'aurait deviné, merci Mila. Disparition... Iskander... Enlevée...
Hersende enlevée ? Miraaaaacle !
Ah mais... Cela voulait dire que...


Oh bordel !

Cela voulait dire que Mila allait s'imposer comme régente...
Pas d'accord, pas d'accord, mais... Elle allait devoir se fâcher avec son amie. défection. Jamais elle n'accepterait d'entendre que sa régence n'était pas valable. Mais il le faudrait.

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Elriol, incarné par Prunille.
Elriol commençait à y croire... Et il n'aimait pas cela. De plus il n'avait pas de fruits pour la jolie blonde, ce qui était troublant.

Bon, résumons.... Ma mère est partie avec Iskander, qui est un fidèle serviteur. Il veut uniquement le bien de ma mère et c'est un homme de conciliation. Qu'est ce qui devrait m'affoler exactement là dedans?

Puis s'inclinant devant Sa Blondeur il dit:

Enchanté de vous connaitre Dame.
Prunille.
Bien évidemment, Sa Blondeur (j'aime beaucoup !) tendit sa main au rejeton marquisal, juste histoire de voir si sa mère lui avait appris les bonnes manières.
Quant à savoir ce qui devrait l'affoler... Rions un peu.


Et bien, si votre mère saigne encore, vous pourriez vous retrouver avec un petit frère dans quelques mois...
Ou alors, il pourrait l'échanger contre une hypothétique promesse de paix avec le Saint Empereur. Ou la lui faire épouser.

Sans compter que c'est une mourrante, excuse-moi Constance, mais, d'après ce que j'ai entendu, incapable de tenir son conseil comtal, qui va se prétendre régente, puisque votre chère génitrice qui, ô comme par hasard, a tenté de faire passer un acte de régence juste avant son enlèvement. Acte totalement irrégulier et contraire aux lois provençales et marquisales.


Puis, s'approchant de Mila, elle tenta de jeter un oeil sur la missive qu'elle tenait...

Que lis-tu ?
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Vero5
[L'Ambuleuse un peu perdue dans l'espace temps surement le 12 au petit matin]

Lourdeur de plombs, digne confusion.

Qu'il doit être plus facile de ravir des ennemis qu'une amie.

Impossible de l'obliger à savourer le voyage, impossible de l'obliger à ne plus penser, impossible d'être certaine que ces dadais de Provençaux bradent pas leurs terres au premier beau parleur, ayant déjà par une fois laisser les rênes à Strasse et paillette, doux sourire, non il était pas si vain dans le fond, juste en apparences, un peu, mauvaise foi même des années après.. eh vi on ne se refait pas

Essayer de prévoir comment aborder l'arrivée, pour peu qu'ils arrivent entier, et qu'un autre couillon ne les coulent pas.

Sortir ses pinceaux et tramer, réfléchir...
La chape humide chaleur estienne, pénible lourde, chercher des courants, d'air, de pensées, alternatif ou continue, poisse rien de rien, le vide.

Vide sidérale, vide? comblée d’amitiés fortes, comment ose t'elle geindre?
La peur de détruire, d’anéantir.
Brouillons de couleurs sombre, sursaute en regardant les résultats de ses cogitations...

Brouillard de lueurs

Prendre le tout et monter sur le pont, jeter discrètement, le tout pardessus bord, regarder s'effacer les couleurs, voir une poisson gober une couleur et en voir le ventre blanc, oups.. zut...

Se dire que la journée s'annonce pitoyable, chercher un petit coin à ciel ouvert ou elle ne gène pas et s'y loger, se poser, se relève pour aller prendre un chapeau de paille, se prendre les escaliers en une fois.. grogner misérablement et serrer les dents. Prendre Anaïs et la serrer fort....s'endormir, enfin un peu.

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Milady
Mila n'a pas le temps de répondre que déjà Prunille intervient. Sa main part avant même qu'elle ne s'en rende compte pour heurter la joue de la blonde.

Sors d'ici !
Une femme a disparu tes petites rivalités politiques et tes airs de peste tu les gardes pour une autre fois !


Joignant le geste à la parole, elle ouvrit la porte du bureau en poussant assez violemment elle devait l'admettre, Prunille...

Je vous prie de m'excuser François, les nerfs...
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Istanga
Valence, en nocturne

Impossible de dormir, la chaleur est étouffante et, pour me calmer, je vais vers le pigeonnier du Tri Postal pour compter les pigeons.

Bien - ou mal?- m'en prend car au bout de trente, atterrit devant moi Rase-Poutine, l'un de ceux que j'avais confiés à Iskander dans l'espoir qu'il me donne de ses nouvelles, parfois.

Déroulant le papier légèrement humide, je lis.

....

Incompréhension totale : je me frotte les yeux des deux poings, façon mouche, et relis une fois, deux fois.

Citation:


Nous aurions besoin ... à bord de L Ambuleuse... Cendres, Vero, Aubanne, Thorvald et moi....bébé ... enlevé Hersende.... couler l' Ambuleuse ...navires... à quai... Lyonnais Dauphiné....un stratagème ...

... Adeù... Iskander


Serait-il devenu fou?
Il ne manque en tout cas pas d'humour : me demander, à moi qui ai toujours dénié toute légitimité à ce marquisat, de l'aider à sauver les fesses de Hersende?

Pourtant, ce n'a pas l'air d'une farce... mais que puis-je faire? je ne suis rien... une simple ambassadrice qui n'a tâté que quelques jours de Genève, avant que les relations ne soient rompues, avant que l'on me nomme au Languedoc...
Que puis-je faire?

Je tourne la tête de gauche à droite, les yeux au ciel, avant de me décider pour une lettre.
Une lettre à la Duchesse Arwel qui, je l'espère, malgré le courrier empreint de fermeté adressé dernièrement à Genève, saura mettre de côté les griefs du Duché à l'égard du Capitaine de l'Ambuleuse pour s'attacher à l'intégrité de la Marquise du MAO.

Je ne suis pas certaine qu'elle apprécie la demande que je lui fais, mais l'amitié a des droits qui prennent le pas sur la raison.


Citation:



De : Istanga de Lendelin
A : La Duchesse du Lyonnais Dauphiné

Votre Grâce,

Vous me voyez très ennuyée car je viens de recevoir un pigeon de mon ami Iskander, ancien chancelier de Provence, et les termes de ce courrier m'ont anéantie. Je vous en fais donc part.

Iskander, ainsi que le baron Elyouf et son épouse, la dame Véro de Beausoleil, l'ambassadrice Aubanne et son compagnon Thorvald, tous de Provence, sont à bord de l'Ambuleuse, commandée par le Capitaine Cendres... celui qui a coulé le bateau de Monseigneur MrGroar en nos eaux.

Le gros problème, c'est qu'ils ont enlevé la Marquise de Provence, Hersende de Brotel et son valet, Yvain.

Iskander me demande si je pourrais lui obtenir un laisser-passer officieux (très officieux) en évitant d'envoyer des Lyonnais Dauphinois couler le bateau.

J'avoue que je ne sais que penser de cette demande, Iskander m'avait habituée à plus de raison... mais il apparaît toutefois délicat d'envoyer la Marquise du MAO par le fond.

Je laisse donc ces informations à votre appréciation.

Recevez, votre Grâce, mon plus profond respect.

Istanga de Lendelin


Pour plus de sûreté, j'envoie deux pigeons. Et je reste vissée à mon pigeonnier, dans l'attente.
J'en viens même à prier, c'est dire...

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Celsius et moi vous remercions!
Info ! Tous mes PNJ sont identifiables.
Peace and Love ^^
Prunille.
L'avantage de se faire frapper et mettre à la porte par une femme au bord de l'agonie - parait-il - est qu'il ne serait pas bien compliqué de retourner la situation, et de la foutre, elle, dehors. La grandeur d'âme de la Blonde fit que sans aucun doute elle épargna à son amie de se retrouver le cul par terre devant les gardes de la chancellerie. Les claques... Elle en avait essuyé, des claques, au couvent, avec Yueel... Ce n'était pas ça le problème, si elle avait du lui balancer un gant pour si peu... On excuse pas mal de choses à la folie, même naissante.
Mais l'excessivité de sa réaction lui prouva bien qu'elle avait raison de s'opposer à la régence, même si ce n'était dans un souci de respect des lois, au moins pour protéger son amie.
S'appuyant contre le battant à présent clos, elle continua, d'une voix calme :


Constance, elle n'est pas en sucre ta Marquise. Iskander ne lui fera rien, c'est peut-être un couillon, mais pas à ce point. Alors tu sais quoi, je ne te laisserai pas faire mumuse à la Marquise, ça l'a déjà détruite elle, la prochaine sur la liste c'est toi.

...

Et j'emmène Arystote en vacances.


Sur ce, elle tourna les talons, après avoir lancé un sourire enjôleur aux complaisants gardes.
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Elriol, incarné par Milady
Elriol assista à la scène, légèrement médusé quand même. Il ne connaissait évidemment rien du passif entre les deux femmes mais visiblement il devait être lourd.
D'un autre coté il avait plutôt tendance à être d'accord avec Sa Blondeur. Il ne voyait pas bien ce qu'Iskander pouvait faire à sa mère. Tout plus le danger des voyages en bateaux était inquiétant, mais il avait passé l'âge de s'inquieter excessivement quand sa mère n'était pas à coté de lui.

Surtout qu'il l'avait laissée quatre ans lui même, il était mal placé pour se mettre dans tout ses états.


Je ne suis pas bien au courant de vos histoires de régence et autres. Il est vrai que cette éventualité n'est pas citée dans les statuts officiels du Marquisat. Quoiqu'il en soit si ce que vous dites est vrai, alors je ne m'inquiète en effet pas pour ma mère.

Tout au plus puis-je m'inquiéter pour la Provence, qui n'avait pas besoin de cette instabilité supplémentaire. Ma mère est plutôt mieux loin de toute l'hostilité qu'elle doit subir en ce moment.
Milady
Elle se laisse tomber sur sa chaise. Ce n'est pas le Marquisat qui aura sa peau contrairement à ce que dit cette "amie" mais plutôt ceux qui se détournent d'elle, qui l'esseulent jusqu'à prendre son fils arbitrairement pour arriver à des fins politiques.

Elle regarde Elriol.


Vous avez sans doute raison... Dois-je renoncer à chercher votre mère ? Préférez-vous quitter la Provence pour la rejoindre loin de cette défection ?

Elle ne regarde pas Prunille, d'ailleurs veut-elle encore la voir ? En cet instant elle est certaine que non.
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