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[RP] Les étuves de Nancy ou bordiau du St Abandon

--Mahault
Mahault, se faisant, massait doucement et suavement les muscles quelque peu tendus de l'oiseau au bec qui commençait à flétrir...

Votre masque, en quoi est-il fait, je crains qu'il ne baisse du nez à cause de l'humidité, contrairement à votre perchoir...
Seriez-vous niais, mon bel ami, ou le faites-vous exprès ?
Votre perchoir a-t-il décidé de s'étendre tel un étendard, et d'appeler toutes les mains telles des oiseaux à se poser sur lui ????
--Le.corbeau
Doucement l'oiseau laissait la dames s'occuper de son épaule tandis qu'un sourire apparut sur ses lèvres et finalement se dit qu'il avait bien compris ce que la jeune femme lui disait.

Son masque cependant commencer à faire des siennes... Ce n'est pas grave le corbeau est plus rusée que cela et retire son masque rapidement laissant apparaitre... Un autre masque plus petit cependant.




Mon perchoir dites vous... hooo je dois dire qu'il est surement tendu... enfin... je pense... mais je crains que la meilleur solution soit que vous veniez vérifier par vous même...

La il sourit le bel oiseau et les jeunes femmes pouvait le voir désormais son masque étant presque superflus... bien que celui ci... il ne l’enlèverait pas.
--Ludivine.


L'homme était jeune et plutôt bien de sa personne, le seul homme nu qu'elle avait vu était un porc obèse qui n'avait d'homme que le nom ! Lou fit une grimace au douloureux souvenir et le chassa d'un geste de la main. Elle attarda son regard sur Mahaut qui semblait si à l'aise de la présence du masqué, elle voyait ses mains aller et venir sur le torse de l'homme et s'imaginait en faire de même.

La position où elle se trouvait la décevait, ne voyant le baigneur que jusqu'à mi-poitrine, elle décida donc de se déplacer, lentement, sans bruit, tel un chat qui voudrait surprendre une souris. Elle glissa dans le dos de Mahaut, s'approcha tout près d'elle et lui murmura :


Je voudrais ......essayer ....

Essayer quoi, elle ne savait pas trop, mais le plaisir que semblait prendre le "client" par ce simple massage lui paraissait facile à donner, et commencer par ce banal attouchement serait un bon début pour elle. Mahaut n'avait-elle pas dit qu'elle était libre de ses envies .....
--Mahault
Mahault sentit le souffle de Lou dans son cou...elle lâcha le corbeau, et laissa la place à sa nouvelle recrue...qui ne semblait pas être nonne...

Elle recula, et observa, savourant les frémissements de la belle aux drappés vaporeux, elle baissait la tête, appréciait, fermait les yeux, tout en écoutant, entendant les soupirs s'alourdir , enleva son corset de velours, pour entrer dans l'eau, juste habillée d'un lourd collier de verres vénitiens.
--Ludivine.


S’était-elle "engagée" trop subitement auprès de Mahaut ? Et si elle ne ressentait que du dégout à toucher un corps d'homme ? Et si les traces qu'elle gardait en elle ne s’effaçaient jamais ?

Et si elle arrêtait de se poser des questions !

Elle sourit au masque noir et posa ses mains sur ses épaules, les laissa glisser le long du torse viril pour les plonger dans l'eau afin de les humidifier. Puis elle les remonta, faisant couler quelques ruisseaux sur la peau de l'homme. Elle s'empara d'un savon d'huile de lin, le fit mousser dans ses mains et se pencha sur lui, lui offrant une vue imprenable sur la jeunesse de sa poitrine. D'un geste lent, elle commença à le laver ....ou plutôt à le caresser, bien malgré elle, la retenue de ses gestes faisait qu'ils étaient doux et sensuels. Elle descendit et remonta le long des bras, puis longea le cou jusqu'à la nuque où ses doigts fins déposaient la mousse par petites touches, puis elle revint à son torse, où ses mains couraient pour découvrir sa peau.

Elle était comme hypnotisée par ce qu'elle faisait, elle se surpris même à en avoir d’agréables pensées, et quand elle se rendit compte que Mahaut était nue et immergée avec l'homme, son esprit chavira et ses joues devinrent rouges de confusion.
Son regard se perdit sur le reflet de l'eau et l'aspect irréel des deux corps, si proches, la troubla encore plus. Ses mains s’étaient arrêtées et tout son être tremblait, mais ce n’était ni de peur, ni de froid, mais de quelque chose qu'elle ne savait définir et qui venait de très loin au fond d'elle-même.
--Le.corbeau
Haaaa la sa devient intéressant... La première des femmes venant pénétré l'eau avec un corps Eve tandis que l'autre venait masser les épaule du bel oiseau.
Il admira le corps de la sirène dans un premiers temps, les joues légèrement rosie puis penchât la tête en arrière sous les caresses de la seconde femme, admirant sa poitrine juvénile.
Il les caressait des yeux, se sourire s'étalant sur ses lèvres tandis qu'au moment ou elle arrêtait de le masse, il se décala un petit peu et lui tandis sa main.

Venait nous rejoindre ma douce amie, n'ayez crainte et il vaut mieux que vous soyez avec votre amie que tout seul pour commencer.

Son sourire se faisait réconfortant, il voyait bien que cette jeune femme n'avait pas l'habitude et avait surement quelque peur.
--Ludivine.


Une main tendue, des mots comme s'il parlait à une dame, une invitation à passer la barrière suivante. Mais en était-elle déjà capable ? Elle eu un petit mouvement de recul puis haussa les épaules. Mahaut ne le laisserait pas lui faire du mal, elle en était certaine !

Elle jeta un regard à cette dernière qui ne semblait pas voir d'objection à ce que la jeune fille se joigne à eux dans le bain. Elle recula donc de quelques pas, puis lentement entreprit de défaire sa robe, et, après une longue minute d’hésitation la laissa glisser à ses pieds, dévoilant son corps tout juste moulé dans celui d'une femme : elle était très fine, les "bons" traitements de ses maitres ne l'ayant pas aidé à prendre des formes. Pourtant sa poitrine était haute et ferme, légèrement tendue, son ventre plat laissait découvrir une petite plage blonde bordée de hanches étroites, puis dévalaient à leur suite de longues jambes fuselées.

Lou s’avança lentement, inquiète de ne pas savoir ce qu'il se passerait, ou plus, d'imaginer le pire qu'il pouvait arriver. Elle donna la main à l'homme pour enjamber le baquet, le regard rivé sur Mahaut qui semblait s'amuser de la situation, et alla se plonger dans l'eau en s’éloignant légèrement de l'homme.

Elle replia ses jambes sous elle et attendit que les protagonistes se décident à lui montrer la suite.
--Mahault
Mahault savoura la vision du corps de Lou, une naïade, une nymphe alliant beauté, fragilité et courage...Elles étaient toutes deux devant Le Corbeau qui ne se tenait plus de joie, ouvrant un large bec, dardant un perchoir vibrant, appelant à lui les ailes des mains chaudes ...il fondit sous les courses des vingt petits doigts courant sur tout son corps ma foi très viril, le massage profond de mains délicates ou fortes, la chaleur des paumes s'enfonçant dans ses muscles frémissants...rien de plus que des mains, des doigts agiles parcourant le moindre territoire de son corps, Le Corbeau se pâmait...mais Mahault ne s'approchait pas plus, n'allant pas plus loin, comme si elle voulait tester les envies de Lou, savoir ce qu'elle proposait ensuite...Mahault avait bien des idées, mais...la curiosité était le moindre de ses qualités...
--Le.corbeau
Il était au ciel le bel oiseau, les mains des deux femmes parcourant son corps virile, le massant délicatement... Délicieusement...
Il ferma les yeux, penchant la tête en arrière tandis qu'il s'offrait à elle, à leurs envies, à leurs désires...

Hummm... je crois bien que je suis au paradis...

Massage après massage, caresses après caresses, l’étendard du bel oiseau était désormais bien droit et rigide. L'eau chaude accentué les sensations, son corps brûlait d'envie pour elles.

Mesdames... je ne crains de n'être plus moi même... faite de moi ce que voulez...

Le corbeau était presque hypnotisé par ses deux sirènes qui se baignées à ses cotés.
--Ludivine.


Suivant du regard les gestes de Mahaut, la jeune fille l'imitait en opérant un massage à la fois doux et pressant. Elle ne s'aventurait pourtant pas sous le niveau de l'eau, ne laissant même pas son regard se diriger sur l'objet qui prenait de l'ampleur dans les remous du baquet.

Mahaut affichait un sourire en coin, libertin et coquin, retenant ses intentions pour voir ce que pouvait faire Lou. Mais celle-ci préférait rester près de son modèle et décida de bouger pour se rapprocher d'elle. Malheureusement, l’élément aquatique étant peu stable, elle glissa sur le fond du baquet et se retrouva allongée à plat ventre sur le Corbeau, sa poitrine plaquée sur son torse, quelque chose de dur venant appuyer sur son bas-ventre. Elle le dévisagea, incrédule, quelques instants puis, réalisant ce que la "chose" en question était, tenta de se relever et le heurta malencontreusement. Le mouvement retenu par l'eau, la jambe de Lou vint seulement presser fortement le "perchoir" et, au râle et au regard étonné de l'oiseau, la jeune fille recula vivement, faisant des vagues dans l'eau, le visage rouge de confusion.

Ce n’était surement pas ce qu'il espérait en disant de faire de lui ce qu'elles voulaient !
--Le.corbeau
La plus jeune des femmes vint caresser la peau du bel oiseau tandis qu'il frémissait doucement... Bha oui qui frémirais pas sous les mains de ces déesse...

Puis la voila qu'elle bascule et tombe dans les plumes du corbeau. Ses petits seins juvénile caressant son torse alors qu'elle peut ressentir tout la véracité de son membre sur son bassin.


Et bien, vous voila bien presser.

Il rit de sa bêtise sachant que ce n'était pas sa faute mais la jeune femme avait l'air très gêner et voulant se reculer lui assène un léger coup sur son perchoir.

Humphh...

Le jeune homme glissa sa main sur son membre, tentant de calmer la douleur. Certain aurait déjà frapper la jeune femme, mais il ne faisait pas partie de ces hommes la et se contenta toujours sur un ton rieur.

Et bien... je crois que vous n'avez plus d'autre choix que de venir calmer la douleur par vous même pour que je vous pardonne.


Il lui souriait, voyant bien qu'elle n'était pas des plus expérimenté dans le métier.
--Mahault
Mahault fut bien étonnée de voir Lou perdre pied, glissant contre le torse du corbeau qui n'a pas bougé, complètement tétanisé, mais restant courtois malgré la surprise...
Citation:
Et bien... je crois que vous n'avez plus d'autre choix que de venir calmer la douleur par vous même pour que je vous pardonne.

Mahault se mit à glousser:
Ahaaha!! Quelle douleur est-ce là, l'oiseau ?
Racontez-nous quelle douleur vous pourriez ressentir à l'heure présente !
Si vous êtes convaincant, nous, ou l'une des deux, selon notre désir, donnerons suite à notre jeu !
--Le.corbeau
Il regarda la chef de maison a travers son masque, il est vrai qu'elle n'avait pas du voir le coup qu'il avait reçut. Certes il y avait eu plus de peur que de mal mais ses bourses en avait prit un léger coup quand elle a presser sa jambes dessus et c'était loin d'être agréable pour cuicui.

Et bien votre charmante élève a malencontreusement heurté mon doux perchoir d'une de ses pattes. Je ne sais si elle a voulu s'y poser ou non mais le résultat et que celui ci souffre énormément !

Il n'y avait pas à dire, c'était bien le corbeau sous se masque, toujours à exagérer les choses puis il reprit.

Et puis, ne prenait surtout pas cela pour du chantage car cela n'en n'est pas, mais je n'aimerais pas écrire dans mon journal de tel conclusion... D'ailleurs je ne l'écrirais pas même si sa s'arrêter la, je ne voudrais pas faire perdre des clients à votre maison.
Alors qu'au contraire... si vous me montrez ce dont les clients peuvent bénéficier, je suis sur que je saurais rédiger un délicieux article pour vous.


Ha y avait pas à dire... On l'appelle pas maitre corbeau pour rien...
--Mahault
Aaaaaaaaaaaaah! Vous me faites chanter ??? C'est ainsi que vous agissez? En nous menaçant ?
Mahault avait une moue de comédienne, et s'amusait des dires du Corbeau; tout en parlant, elle s'approchait à quelques centimètres de l'oiseau...
Veuillez, très cher sire déplumé (pas encore assez) et masqué , retirez cette manière d'offusquer nos oreilles, et veuillez reprendre votre discours, au lieu de fatrouiller, soyez convaincant quand à votre douleur, que nous ayons envie de vous plaindre et vous consoler, mais sans toutefois nous jouer un air de chantage, dont votre plume semble coutumière !!! Nous, les ribaudes n'agissont pas par peur, mais par plaisir! Faites-nous plaisir, ou je vous appelle coquebert...
--Le.corbeau
Un doux sourire se dessina sur ses lèvres elle savait parler la jeune femme il fallait le dire. Il s'avança lentement vers elle, la toisant du regard avant de glisser ses mains sur ses reins.
Il rapprocha son corps près du siens, collant son perchoirs contre son bas ventre tandis que son buste ne caressait pas encore sa poitrine.


Doucement, il approcha ses lèvres de son cou et y déposa un délicieux baiser avant de venir murmurer à son oreille.


Ho délicieuse Ribaude, vous m'avez fait grâce de m'inviter en ce lieu alors soyez sur que quoi qu'il arrive je décernerais un article entier sur votre maison close...

Il vint l'embrasser tendrement sur la joue avant de murmurer a nouveau

Vous faire plaisir... Je serais aussi doux qu'un oiseau avec vous soyez en sure dites moi ce que vous voulez... et vous l'aurez...

Il garda sa tête près de son épaule, comme cela elle pourra facilement lui murmurer a son tour. Ses mains lui caresse tendrement les reins, du bout des doigts...
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