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[RP] annonce La Prime des mineurs

Sibylle.
Sibylle se retourna vers le nouveau arrivant.
Sa mine hilare raviva son courroux.
Se moquer d'elle ainsi, sans avoir la bienséance de se présenter...


E-éviter d'aller à la mi-mine, mais, j'en rêve, Monsieur.
Ma-malheureusement, le nou-nouveau décret m'em-mempêche de trou-trouver du tra-travail ailleurs.
Je suis bien aise que mes déboires vou-vous fa-fassent sourire.
Mai-mais, j'ai une mé-mére à nourrir, m-moi.
Il f-faut bien que je tra-travaille, no-nobstant m-mon âge.
Le mai-maire n'a p-pas p-pris en com-compte que les jeu-jeunes filles pui-puissent être choqués p-par certains com-comportements dans s-son décrêt.
Main-maintenant, qua-qu'a t il a p-proposé comme so-solution?
On-on me force déja à tra-travailler à la mi-mine co-comme une ga-galérienne.
J-je refuse quen-qu'en plus, ma pu-pudeur ait à en souffrir.


Finissant péniblement sa tirade, Sibylle reprit son souffle en regardant fièrement l'homme, drapée dans sa dignité outragée.

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Membre du fan-club officiel de Ze Glandu
Tachin2
Tachin ne pensait pas vraiment s'être moqué de la jeune fille mais il faut croire que son visage avait menti...

- Ne vous en faites point jeune Demoiselle...Nous allons nous occuper de ce problème de mines...Le personnel laisse à désirer dirait certains...

Tachin sourit à nouveau et termina :

- On va tacher de vous mettre à proximité d'un garde dans la mine. Vous savez peut être que l'on en poste pour éviter les vols et les bagarres. Là au moins, vous serez en sécurité.

Repensant aux dires de la jeune fille, Tachin tenta de lui expliquer :

- Il est vrai que je ne suis pas pour ce nouveau décret qui oblige les plus jeunes à aller à la mine...Chacun devrait pouvoir choisir d'aider le comté ou non. Ceci étant, le maire en a décidé autrement. Mais je constate aussi qu'il reste, pour certaines jeunes personnes comme vous, la possibilité de travailler à l'église et au verger.

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Sibylle.
Sibylle écouta attentivement l'homme.
Elle fut rassérénée par la promesse d'un garde près d'elle. (Elle est vraiment innocente, la pauvrette. Il faudrait lui expliquer qu'elle risque beaucoup plus près d'un garde. Enfin, laissons lui ses illusions à défaut de pouvoir la protéger des brutalités de la vie).

Je vou-vous remercie, Me-messire. Je vais pou-pouvoir y retourner le coeur plus léger en sa-sachant ma v-vertu protégée.
Se fendant d'une révérence, elle se présenta à l'homme.
Da-damoiselle Si-Si-Sibylle, pour vous servir, Messer.
Mais qu-quand au tra-travail à l'église ou au verger, je ga-gage que c'est là, ta-taquinerie à mes dépens.
Pou-pour l'église, même avec la b-baisse du p-prix du pain, le salaire ne cou-couvre pas le p-prix d'une miche. Et j'ai beau ne p-pas être im-im-imposante, il me f-faut quand même pp-lus d'un qui-quignon pour me rassasier, sans pa-parler de l'appétit de ma mè-mère.
Et pp-our le verger, voyez vous-même,
ajouta-t-elle en tournant sur elle-même.
Ma cc-roissance n'est p-pas finie et je manque singulièrement de muscles. P-pensez vous que j'arriverais à cueillir mou-moults fruits ainsi b-bâtie? Si j'en tr-trouve un jour sur deux, j-je devrais déjà me-me con-considérer bien lotie. Et ce n'est pa-pas celà qui me pe-permettra de f-faire bouillir la marmite.
V-vous devez trouver qu-que je me p-plains beaucoup?
Mai-mais, c'est qu-que voyez vous, je c-crois que l'incitation marche beau-beaucoup mieux que les obligations.
On m-me l'aurait de-demandé , en faisant appel à mon sens des-des responsabilités, c'est avec p-plaisir que j'aurais été à la mi-mine, p-pourvu qu'une fois de temps à autre, je puisse pro-profiter d'une journée au grand air.
M-mais là, je me retrouve enfermée pi-pire qu'au cou-couvent.

Un frisson parcourut son échine, au souvenir des longues journées monotones des moniales.
Et p-puis, o-obliger les gens à tra-travailler con-contre leur gré qu-quand ce ne sont pas des con-condamnés, voilà qu-qui ressemble beau-beaucoup trop au se-servage dont fu-furent victimes nos aïeux pour qu-quee je considère ce-cette m-mesure d'un bon œil.

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Membre du fan-club officiel de Ze Glandu
Himura
Himura écoutait depuis le début les protagonistes ici présents, il ne pu s'empécher de sourire doucement quand il entendit l'histoire de la jeune fille. Puis il prit la parole quand elle eut fini de parler.

- Bonjour jeune fille, je suis Himura, adjoint au maire. Je voulais te dire que je suis étonné que tu sois tombé sur autant de mauvaises personnes dans la mine....

Se retournant vers Tachin.

- Tachin, ce Joyeux dont elle à parlé, celui qui lui à pencé les fesses, c'est pas un cousin à toi ?

Essayant de reprendre son sérieux :

- Il est vrai que le travail dans une mine est pas fait pour une fillette aussi frêle que toi. Il faudrait peut être penser à manger tous les jours si tu veux garder le peu de force qu'il te reste pour repousser les avances de ces vilains....

Mais si tu ne manges pas tous les jours et si tu évites de boire dans les tavernes, tu peux largement vivre convenablement dans notre ville en travaillant au verger par exemple et même nourrire ta maman.

Au pire avec ce que tu as gagné pendant que tu travaillais à la mine, tu achète de quoi gagner des forces , de quoi stimuler ton cerveau et de quoi te laver puis tu peux facilement postuler pour travailler dans n'importe quel de nos champs et élevage.

Si tu n'as pas assez, tu fais une demande de quelques écus à tes amis que tu rembourseras plus tard. Et si tu ne veux pas avoir de dettes, tu serres les fesses, et tu reournes travailler à la mine pour gagner juste ce qu'il faut pour n'y plus travailler. Et en plus tu peux gagner du pain à 1 écus avec la prime aux mineurs.


Himura espérait n'avoir pas été trop cru avec la jeune fille, il avait souvent tendance à dire ce qu'il avait à dire sans tourner autour du pôt. Il manquait cruellement de diplomatie et on lui en avait souvent reproché.

Au fait, nous avons tous passé par la mine dans notre jeunesse, homme comme femme... donc un peu de courage !

Il se disait que la jeunesse actuelle devenait de plus en plus faigante...
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Himura d'Alais,
Recteur de l'Université du Languedoc,
Proprétaire de l'As de Trèfle.
Sibylle.
Sibylle se tourna vers le nouvel arrivant.
Da-D'abord, M-messer, je vous pr-prierai de-dee ne p-pas me tu-tutoyer!
N-nous n'avons pas gardé les co-cochons ensemble.
Pou-pour le tr-travail au verger, il me semble qu-que j'ai déjà répondu à mon interlocuteur pré-précédent, qui n'était pas con-condescendant, Lui.
M-mais peut-être avez vous aussi l'impolitesse d-de ne p-pas écouter avant d'intervenir.

Toute à sa colère, Sibylle, faisait de grands gestes de la main, retrouvant sa faconde méditerranéenne que les sœurs avaient tenté d'étouffer.
Qu-quand à éviter d-dee boire dans les tavernes, me pr-prenez vous p-pour une ivrogne?
Dé-décidément, v-vous ajoutez l'insulte à l'inco-correction.
M-me laver?
Tr-trouvez vous donc, que je sente mauvais?
Les sœurs m'ont appris à avoir une hygiène correcte. J-je ne vois pas ce que vous trouvez à y redire.

Elle étendit ses bras graciles devant elle, présentant ses mains à l'inspection
Allez y regarder m-mes mains. J-je gage que vous ne trouverez ni t-terre , ni dé-dépôts noirâtres. J-je sais p-prendre soin de moi.
Tremblante d'indignation, elle fixa l'homme, ses grands yeux embués.

Qu-quand au cou-courage, il me semble qu-que je n'en manque pas!
Qu-qui êtes vous donc pou-pour me juger?
J'ai le d-droit de-de di-dire qu-qure je ne suis pas une forçat et qu-que je ne veux p-pas être forcée da-d'aller à la mi-mine t-tous les jours.
Et vo-votre pain à 1 écu, v-vous n'avez qua-qu'à le manger v-vous même.
J-je suis p-peut-être p-pauvre, mai-mais j-je ne suis pas une men-mendiante.
N-non m-mais!

Elle se tut enfin, les poings sur les hanches, encore frissonnante de colère.
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Membre du fan-club officiel de Ze Glandu
Himura
Himura regardait l'enfant s'énervé, il s'était dit à ce moment là, que la petite n'était pas si enfantil que ça en fin de compte. Mais elle restait tout de même une pleurnicheuse à ses yeux.

- Excusez moi jeune femme... pronoça t'il avec un sourire.

- Je ne voulais pas vous offenser...

Il regarda les petites mains tendues vers lui.

- Effectivement vous vous êtes bien lavé les mains, que les mains ? Mais je plaisante !...

On ne sait jamais avec les enfants, ils seraient capable de montrer une autre partie de leur corps pour prouver qu'ils sont propre.
- Comme je vous l'ai dit, mais vous déniez écouter, utiliser ou faites un prêt pour devenir plus robuste afin d'attraper des fruits de meilleurs qualités....

Vous avez le droit de vous exprimer aujourd'hui..., avant les vagabonds et les enfants n'en avaient pas le droit...

Mais venez pas dire que l'ont vous oblige de travailler dans les mines, nous venons de vous montrer toutes les solutions possible. Votre mère si elle ne travaille pas, elle n'a pas besoin de manger à sa faim . Nous sommes dans un monde sans pitier, vous l'avez certainement remarqué.


Les jeunes femmes ne sont plus ce qu'elles étaient, elles sont maintenant bavardes et n'arrêtent pas de se plaindre.... ahh les femmes....
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Himura d'Alais,
Recteur de l'Université du Languedoc,
Proprétaire de l'As de Trèfle.
Imer3
Imer3 se dit qu'il avait bien travaillé durant trois long jours et qu'il méritait donc sa miche de pain à 1 écu.

Kalicoba
kalicoba félicita Imer3 et lui remit donc pas les 3 mais les 4 miches gagnées par son dur laboeur à la mine


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Maire d'Alais
Lieutenant de la maréchaussée
--Joyeux_




Joyeux s’était laissé conduire par ce joli petit derrière jusqu'à ce qu’il approche de trop près du maire.

Elle était venue rendre compte, mais pas pour obtenir la prime, mais plutôt pour se plaindre des agissements de ses frères et de lui-même.

Joyeux n’était point pinceur, mais pour une fois, il n’avait pu résister à la tentation…

Il se renfrogna en entendant qu’un garde allait désormais surveiller la belle à la mine. Il allait avoir de la concurrence… mais ses frères sauront divertir ce garde, qui ne restait pas moins un gars!

Il regarda, restant toujours dans l’ombre à l’abri des regards, le sieur qui était sensé être son cousin, le soit disant Tachin ! Pfffff... Jamais de sa vie il n’avait connu de cousins aussi « grands ».

Joyeux et ses frères n’avaient jamais vu autant de monde ici bas. Les temps devaient être durs pour que des personnes si bien vêtues se rendent à la mine.

Il se retourna vers ses frères, et se mit à expliquer son prochain plan d’attaque…

Toi, Prof, tu endors le garde avec tes récits, si cela ne suffit pas, Dormeur, tu l’hypnotises. Simplet, tu lui enfournes une poignée de vers de terre dans le gosier pendant qu’il est assoupi, Atchoum, tu lui éternues au visage pour le réveiller et toi Grincheux pendant qu’il s’essuie, tu lui en mets une !... et moi… je m’occupe des belles fesses de la petite !
--Blancheneige


La princesse avançait d'un bon pas dans les rues d'Alais. Où diable était passés ses sacrés fainéants de gnomes?
Elle aurait du se méfier quand elle les avaient surpris à mater le derrière d'une autre greluche. Depuis quand ses rondeurs ne suffisaient plus à l'appétit de ses nains?
Prise par les affres de la déchéance(et, oui on est vieille à 20 ans) et par le pitoyable exemple de cendrillon(bah, oui: "Cendrillon, pour ses 20 ans est la plus triste des mamans..."), elle parcourait les rues à la recherche de ses souffre-douleurs.
Arrivée près de la mairie, elle aperçut un bonnet qui dépassait du coin d'une ruelle. Elle s'approcha subrepticement.
Elle retint à grand peine, un cri d'horreur en entendant le plan diabolique que Joyeux exposait à ses frères. son sang ne fit qu'un tour.
Elle se mit à hurler


Bande de dégénérés! Dépenser toute cette énergie pour un cul encore plat?
Vous me faites honte!
C'est comme ça que vous me récompensez de toutes les heures où je me suis occupée de vous et de votre intérieur. Vous allez voir de quel bois,je me chauffe!

Avisant un balai qu'une ménagère avait oubliée devant son pas de porte, elle courut après les nains, leur assénant de larges coups de son arme improvisée.
--Joyeux_




Jamais de mémoire d'homme on avait vu un tel spectacle à Alais. Une princesse courant après des nains dans les rues de la ville, tout en agitant un balais.

Joyeux et ses frères détalaient. Sans pour autant avoir perdu leur bonne humeur.


Voyons, Blancheneige, c'est toujours toi notre préférée. Si on ne peut plus s'amuser un peu ! D'ailleurs on va retourner à la mine pour te trouver le plus gros morceau de pierre, aussi grand qu'un gland d'or. Peut-être qu'il te portera chance...
Clkikoz
Il y avait bien du monde qui trainait du côté de la distribution de la prime aux mineurs.

Eulalie avait laissé le four de sa boulangerie s’éteindre depuis bien longtemps et elle partageait son temps entre l’université et la mine.

Dès les premiers jours elle avait été intriguée par la présence de ce qu’elle avait tout d’abord pris pour des enfants et qui, observation faite n’était que des gens de petite taille, très petite même. Mais c’était tellement pratique dans une mine !!! Et ces créatures avaient une force que les enfants n’avaient pas encore réussi à se construire.

Chaque jour, elle pointait les présences, surveillait les allées et venues de chacun, donnait les premiers soins ici et là…

Elle n’avait jamais travaillé à la mine dans sa jeunesse, trouvant toujours des légumes à ramasser ou des animaux à abattre. Oh ! bien sûr lors du premier abattage de vache, elle avait eu un haut le cœur, mais le besoin de travailler avait eu raison de sa délicatesse d’estomac et elle avait acquis une dextérité telle qu’elle trouvait toujours un employeur.
De nos jours, il en était autrement, la mine était imposée aux plus démunis…

Fort heureusement, il y régnait la bonne humeur et bien des notables devraient s’y rendre pour apprécier les bonheurs simples de l’existence : un pain partagé par des mains noircies mais mangé en toute amitié lors des pauses, des taquineries entre mineurs, et les nains n’étaient pas les derniers à s’y aventurer.

S’approchant de l’attroupement, elle fut bousculée par une horde de ces créatures. Reconnaissant l’un d’entre-eux, elle l’interpella :


-« hé l’ami Joyeux ! gardez vos forces pour charroyer les pierres. Et que je ne vois plus vos frères s’en prendre aux jeunes donzelles… »

Eulalie avait de la sympathie pour cette fine équipe qu’elle connaissait maintenant assez bien, mais elle se souciait aussi pour cette jeune femme, belle comme le jour mais dont la parole avait tant de mal à sortir de la bouche.
C’était bien elle qui parlementait, là-bas… Eulalie salua l’assemblée :


-« Messer Bailli, cher Recteur, sieur Bourgmestre…Sieur… Damoiselle… le bonjour »

Avisant l’air agacé de la jeune fille, Eulalie s’approcha :


-« Damoiselle, j’espère que ces messieurs ne vous taquinent pas comme le font ces terribles petits mineurs que je viens de voir détaler… »

Tout en attendant la réponse, elle tendit son carnet de notes au maire, afin de lui témoigner de son engagement pour sa ville, ce dont elle ne s’était jamais vraiment défait.


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Belsilk
Belsilk avait croisé plein de monde à la mine cette semaine. Même sa Patronne. Mais il n'avait pu lui parler. La présence des gardes lui rappelait les travaux forcés. Mais bon, il fallait bien aider le Comté.

Aussi en ce jour d'Aristote, il était venu récupérer ses arriérés de salaires.




Il y avait du monde et un peu d'agitation. Il salua Eulalie et les personnes qu'il connaissait.

Bien le Bonjour Patronne. Nous n'avons pas eu l'occasion de nous voir ces derniers jours. J'ai l'impression de passer tout mon temps libre à me décrasser.

Regardant les nains détaller et la dame les points sur la taille.

J'espère que ces nains ne sont pas allé trop loin, je connais pas cette dame, mais elle m'a l'aire furieuse.
Sibylle.
Sibylle resta un long moment stupéfaite devant l'homme qui lui parlait comme à un enfançon. Était-il aveugle? Ou était-il si âgé que tous ceux qui n'étaient pas de son âge lui semblaient tels des enfants? Il semblait, qu'en tout cas, il était déjà atteint de surdité.
Se faisant tour à tour bousculée par un mineur et par le maire, sans qu'aucun ne daigne s'excuser, elle s'apprêtait à se laisser aller à un mouvement d'humeur bien contraire à sa nature quand la voix de Dame Eulalie vint l'interrompre à point nommé.
Cette dernière était accompagnée d'un homme qu'elle ne connaissait point encore.

Bon-bonjour, Da-dame, Messire...
A-après réflexion, j'en viens à pe-penser qu-que des nains ta-taquins et que-querelleurs n-ne sont pa-pas le pi-pire péril qui p-puissent se tr-trouver d-dans cette mi-mine.
Et co-comme l'on m'a p-promis qu-que les g-gardes veilleraient à ce qu-que les nains de-demeurent qu-quiets, le d-danger le p-plus menaçant reste l'épidémie dim-d'impolitesse qu-qui semble se pr-propager.
En tant qu-que médecin, pou-pouvez vous y p-porter remède?

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Membre du fan-club officiel de Ze Glandu
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