Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >   >>

[RP] Cérémonie du Grand Couvain

Gueldnard
Fou ce qu'il peut vous arriver comme contre temps au moment où vous avez le moins de temps. Alors qu'il se préparait à diriger la cérémonie du GC avec Arestel pour faire entrer les nouveaux heureux élus, le blond n'arrivait pas à remettre la main sur sa seconde botte. Une fois retrouvée et le pied dedans, le lacet cassa. L'aiguille du temps s'en amusa et ria au nez de l'homme chanceux avec ses "tic tac" qui lui rappelaient que le temps ne cessaient de filer comme la Vienne qui s'écoulaient aux abords de Limoges.

Pensant en avoir fini, le Comte sorti de ses quartiers et se posa une question existentielle. Ais je bien refermé la porte? Oui ... mais peut être que ... Énième demi tour, escaliers monté quatre à quatre pour arriver devant une porte bel et bien fermée. Un couloir plus tard et un escalier en moins d'autres affaires vinrent se dresser sur sa route. Ainsi, deux bonnes douzaines de minutes furent consacré à pousser hors de la salle d'audience Roger et Dédé entrain de se tataner la tronche à cause de la limite de leur champs. Puis se fût au tour de l'intendant, malade comme un chien, qu'il fallait emmener jusqu'à sa chambre car Micheline la boniche lui avait servi à midi un poisson dont les odeurs avaient été masqué par différents aromates.

Espérant que ça serait enfin terminé, Gueld accéléra le pas et passa les portes du château. Au détour d'une rue, il entendit la mère Michelle qu'il connaissait depuis quelques années l'appeler.


Mon p'tit Gueldnard, j'ai perdu mon chat. Tu n'pourrais pas ...

La baaaaaaaaaaaaarbe ! J'ai d'autre chats à fouetter.

Exaspéré et largement en retard il arriva sur la place et salua tout le monde.

Bonjour et désolé du retard. Si tout le monde est là nous pouvons commencer. Arestel, je t'en prie.
_________________
Arestel
Neti n'eut pas le temps de répondre que le Comte surgit de nul part. Elle ne l'avait même pas vu arrivé. Elle fit une petite grimace et glissa quelques mots à l'oreille de la rousse tulliste.

On en reparlera plus tard. Retourne avec les autres...

Elle monta sur l'estrade, salua avec respect Gueldnard, et fit un signe de la main à Arnaut pour qu'il aille rejoindre les convives.
Est-ce que tout le monde était là? Elle jeta un coup d'oeil rapide aux patentes, récitant dans sa tête les quelques noms.



Il en manque deux, dont je n'ai reçu aucune réponse à ma missive. En attendant, je propose que nous commencions.



Elle tendit la main vers le siège du comte, et l'invita à s'asseoir. Elle tenta de faire monter sa voix tremblante pour que tout le monde l'entente bien.

Messires, Mesdames, je vous souhaite la bienvenue à cette nouvelle cérémonie de remise des distinctions de l'Ordre du Grand Couvain. Notre rôle aujourd'hui est de saluer, et honorer nos concitoyens qui ont œuvré pour leur ville et leur comté dans un ou plusieurs domaines différents. Ceux que j'ai convié aujourd'hui et qu'on été choisis par les membres de l'Ordre du Grand Couvain n'ont pas été nommé par hasard. Votre travail, votre dévouement a été reconnu et est aujourd'hui couronné par votre intégration dans l'Ordre. Vous rejoindrez aujourd'hui le rang des Patriciens et participerez à la vie de l'Ordre. C'est un honneur pour moi de présider cette cérémonie.

Elle se tourna vers Gueldnard.

Monseigneur, voulez vous ajouter quelque chose?
_________________
Gueldnard
Gueldnard pris place sur le siège confortable et acquiesça pour qu'Arestel puisse commence.

Rien de plus à ajouter Arestel. Que la première personne a être récompensé soit appelé.
_________________
Criskool
Voyant sa soeur de coeur blémir et devenir aussi pale qu'un linge, Cris ne comprit pas de suite pourquoi.
Elle regarda sa robe de peur qu'il n' y ai une tache ... non rien de rien ...
Puis regardant de plus près, tout se remis en place dans sa tête.
La robe .... merdoum de merdoum ...
Le comte n'étant pas encore arrivé, Cris courru à son auberge pour se changer rapidement .... et revint toujours en courant sur la place publique.
Le comte fit son arrivée et Cris s'approcha discretement, afin de ne pas se faire remarquer.


Quelle gourde, non mais quelle gourde tu fais, ne pas avoir pensé à ça, t'as vraiment la tête ailleurs ma pauvre ...

Se maudissant interieurement Cris suivi le début de la cérémonie.
Elle chercha des yeux Neti et lui adressa un petit signe, comme pour lui signifier, je suis désolée, j'en rate pas une en ce moment ...

_________________
Arestel
Elle fit un signe affirmatif de la tête et se dirigea vers la tête de l'estrade. Elle tendit la main pour attraper la première patente, qu'elle ouvrit doucement pour en lire le nom.

J'appelle Eloin Bellecour. Veuillez vous approcher s'il vous plait.

Eloin, diaconnesse de Bourganeuf, membre du Chapitre de l'Ordre Royale Cistercien, Maistre Académique de l'Institut de Lexicographie de l'Académie Royale de France. Votre dévotion au Divin et votre volonté faire rayonner l'Eglise Aristotélicienne au sein de notre comté, ainsi que vos actions à l'extérieur de nos frontières en tant que Maistre Académique de l’institut de Lexicographie de l'Académie Royale de France font de vous un modèle d'implication, de droiture et de rigueur. Vos actions ont été reconnus et salué par l'Ordre dont les membres vous ont choisi pour intégrer le rang des Patriciens.


Elle jeta un coup d'oeil derrière elle, pour s'assurer que les abeilles étaient bien en place à côté du Comte. Elle tendit la main vers ce dernier, afin d'inviter Eloin à s'avancer jusqu'à lui.

Vous pouvez vous avancer, je vous prie.
_________________
Eloin
Un petit hochement de teste accueillit la conclusion de la tribun, muette confirmation qu'elle viendrait prochainement récupérer le paquet, qui n'était autre qu'un présent destiné à sa chère filleule.

Elle répondit par un sourire à la question qui luy fut posée, avant de préciser ; tout en regardant le comte faire son apparition et rejoindre le siège qui luy était visiblement destiné pour ce jour. Elle ne connaissait guère l'homme, cette cérémonie serait donc un bon moyen de voir sa façon de se tenir et de s'exprimer, deux indicatifs souvent véridiques du caractère des humains.


Pour sur je le connais, j'ai récemment discuté avec luy, afin de prendre des nouvelles de son diocèse de Périgueux, dans le cadre de ma fonction de Sous-Secrétaire Apostolique...

La prise de parole de la dame qui avait veillé à toute l'organisation l'empêcha d'en dire plus, elle se tut donc, et presta une ouïe attentive au discours d'icelle.
_________________

Héraldique
Gueldnard
Gueldnard écouta attentivement Arestel et se leva. Il saisit un collier avec la fameuse abeille et regarda Eloin. La voyant rester sur place à l'écoute sans pour autant avancer, l'homme se décida à la rappeler. Aimant titiller les curetons ou curetonnes il fût tenter de se mettre à genoux avec le regard un peu pervers. Venez là mon enfant, j'ai pleins de friandises pour vous. Ecoutez tonton Dudul car dés qu'il vous attrape ... Non, définitivement il n'allait pas l'appeler de la sorte, ça serait de trop mauvais goût pour une religieuse. Et n'allez pas voir un quelconque rapport avec la religieuse et le fait que c'est une pâtisserie qui se mange même si c'est agréablement bon ! Riant intérieurement à sa connerie, il reprit son allure normale et annonça d'une voix égale

Eloin? Pourriez vous approcher afin que je puisse vous décerner votre abeille afin de marquer votre entrée dans l'ordre du grand couvain.
_________________
Neti
Erf... décidément c'était pas l'jour... elle se contenta d'hocher la tête en direction d'Arestel, de saluer le comte & de se trouver une place noyée dans la foule des badauds & curieux, remarquant au passage que Cris s'était changée. Elle lui adressa un sourire crispé et écouta Arestel parler d'Eloin.

Ouvrir la cérémonie en voyant Gueld récompenser une religieuse... ça avait quelque chose de savoureux qui ne manqua pas d'arracher un sourire à la sacristine.

_________________

Eloin
La distribution des distinctions débuta sans plus attendre, et la moniale sursauta en oyant son nom. Passer en première n'était point ce à quoi elle s'attendait, et, à dire vray, elle aurait préféré que ce ne soit point le cas, puisqu'elle ignorait ce qu'il luy faudrait dire, ou s'il luy faudrait prester serment au comte.

C'était la coutume en Maine, pour ceux qui intégraient l'ordre du mérite, dont elle avait naguère fait partie, décoration à laquelle elle avait renoncé quelques temps après son installation en Guyenne. Se voir de nouveau récompensée pour son investissement luy était un sentiment étrange, car elle ne s'y attendait point, et ne se serait point imaginé que cela puysse arriver, le jour où elle avait posé son maigre bagage dans le presbytère de Bourganeuf.

Eloin sourit à Merwyn, puys à Neti, avant de rejoindre l'estrade, tout en écoutant le discours de celle dont elle ignorait toujours le nom. Une petite erreur dans l'une de ses fonctions faillit luy tirer une grimace, et elle ne put s'empêcher de murmurer ces quelques mots à dauna Arestel.


Si je puys me permettre une petite précision, dauna, l'ordre cistercien n'est point un ordre royal, mais un ordre religieux...

Elle ponctua sa remarque par un bref sourire, soucieuse de ne point paraître trop hautaine dans sa manière de corriger l'erreur, qu'elle comprenait tout à fait pour ceux qui ne connaissaient point toutes les ramifications de la Saincte Eglise ; avant de s'avancer vers le comte, à l'invitation d'iceluy.
Et le salua d'une parfaite révérence, reste des années passées en tant que dame de compagnie d'une femme qu'elle aima comme la mère qu'elle n'eut jamais. Ne sachant guère que dire, elle resta silencieuse, à quelques pas du régnant, attendant la suite. S'il luy fallait réciter quelque formule, ils sauraient bien le luy dire...



Désolée, je n'avais pas vu le dernier post d'Arestel.^^
_________________

Héraldique
Kartouche
Tard, très tard. Bien après le rendez-vous fixé sur la convocation, sans doute. Y a-t-il encore seulement quelqu'un ?

Il est revenu en Limousin. On ne sait trop quand ; c'est évidemment toujours un peu délicat dans ce genre de situation.

Il dira qu'il savait que cela barderait. Fanfaronnades prétentieuses à venir, tenez-vous le pour dit.

Bref, il est finalement arrivé là, directement. Dans cette histoire, c'est avant les armées du Ponant. Dans l'autre, c'est après. Mais ça ne fait rien, paraît-il ; à la fin, tout revient au même. Tous les chemins mènent à Limoges.

Il arrive, aventurier éclatant, immaculé dans ses bottes blanches et sous son couvre-chef à large bord, blanc. Il aurait pu passer chez lui, mettre une de ses nombreuses tenues d'apparat qu'il a accumulées au cours de quinze mois d'urbanités. Il aurait pu s'arrêter dans une auberge des faubourgs, et enfiler son vêtement d'ambassadeur, qu'il porte forcément quelque part sur sa mule. Et qui lui a valu cette convocation impromptue. Il aurait pu, aussi, laisser sa mule sur la place de la cathédrale, là où il la laisse habituellement pour qu'elle ne mange pas les salades et les carottes de son potager.

Vanité hâtée, ou embarras ? En ermitage, il n'a pu répondre à Arestel que trop tard. L'infatigable tribun, puis maire de Limoges (ou l'inverse) n'avait que trop attendu sa réponse, dans un silence qui n'aura pas, espère-t-il, paru méprisant.

Il a fini par dire qu'il arrivait. C'est maintenant chose faite. Il s'avance, lentement, mais sans se cacher, vers l'avant de la place. Il a trop souvent essuyé les méfiances associées à l'étranger pour ne pas profiter, aujourd'hui, de l'occasion. Son admission, aujourd'hui, n'est-elle pas la confirmation de ce qu'il n'a cessé de prétendre, la consécration de ces nombreux mois passés à Limoges, en Limousin ? Ça l'est au moins dans son esprit.

Dans la maigre foule, il salue quelques visages connus d'un discret "bonjour". Devant, il jette un bref regard au comte, Gueldnard, puis observe Arestel, la patente d'Eloin à la main. Il n'a attendu de la lecture de cette dernière que la fin. Il ne savait pas que la diaconesse oeuvrait aussi à l'Académie royale.
Dorilys
A peine sortie du couvent, Dorilys eu la surprise de découvrir, au milieu de son courrier, à la fois une invitation et un rappel pour se rendre à la cérémonie du grand Couvain.
Elle avait relu deux fois la missive, n'en croyant pas ses yeux. Elle l'avait retournée dans tous les sens pour être certaine qu'il n'y avait pas d'erreur de destinataire. Comment pouvait-elle être invitée à cette cérémonie? Elle ne comprenait pas très bien.

Sa mère avait dû être lieutenant pendant très longtemps, et faire plusieurs mandats en tant que maire avant d'être remarquée et décorée. Mais elle? Qu'avait-elle fait de si extraordinaire pour avoir droit à ce collier?

Bon, allez! Il n'était pas temps de se poser des questions. Elle était plus qu'en retard. Elle devait se dépêcher. Pas le temps de chercher une toilette sophistiquée. Sa robe de bal bleue ferait l'affaire. Les deux sœurs s'arrangèrent mutuellement les cheveux, et en route la troupe! Ah oui! Pas question qu'elle aille là-bas sans sa frangine!

Les deux jeunes femmes arrivèrent alors que la cérémonie était déjà commencée. Elle se glissèrent furtivement au milieu des invités et attendirent de voir ce qui allait se passer.

_________________
Gueldnard
Désolé du retard


Gueldnard regarda approcher Eloin et lui lança un sourire d'encouragement.

Vous Eloin Bellecour, vous avez le plaisir de rejoindre l'ordre du grand couvain qui récompense tous ceux qui se sont investis pour cette terre. Cet insigne en forme d'abeille. Il est un symbole de réussite et dévouement pour le Limousin et la Marche.
C'est avec honneur que je vous remet votre insigne.

Ainsi dit, le Comte se leva et s'approcha de la religieuse. Il lui passa autour du cou le collier avec l'abeille.

Puissiez vous poursuive votre oeuvre car cet événement n'est qu'une étape. Cela ne doit être une finalité et nous espérons tous vous voir continuer à travailler afin de rajouter quelques pierres sur la grande maison qu'est le comté du Limousin et de la Marche.

L'homme lui fit un signe de tête avant de lui indiquer qu'elle pouvait prendre congé.
_________________
Eloin
La moniale presta une ouïe attentive à la déclaration comtale, puys inclina la teste au moment fatidique, facilitant ainsi la remise du collier. Elle l'observa un instant, avant de fixer le comte de ses prunelles sinoples.

C'est pour moy un véritable honneur que de recevoir pareille décoration si peu de temps après mon installation en ces terres, Vostre Grandeur.

Je continuerais à œuvrer pour le diocèse et le comté, je n'attendais guère de récompense pour mon investissement, aussi ce présent sera pour moy une source de motivation supplémentaire.


Car il luy faudrait désormais estre digne de ce collier qui ornait son cou, et dont le pendentif tranchait avec la blancheur immaculée de sa vesture...
Elle se recula alors de deux pas, salua le comte d'une brève révérence, adressa un signe de teste à dauna Arestel, puys quitta l'estrade, pour s'en aller rejoindre Merwyn.

_________________

Héraldique
Arestel
Eloin fit noter discrétement à Arestel l'erreur qu'elle avait commise dans l'énonciation de ses fonctions. La chancelière rougit et toussota tout en lui faisant signe de s'avancer vers le Comte.
Gueld lui remit la distinction et alors qu'Eloin le remerciait Arestel prit en main la patente suivante.

Eloin passa à côté d'elle, et elle lui glissa un : "Bienvenue" discret mais sincère, tout en décochant le seaux de la patente suivante.


La personne suivante sera Kartouche. Approchez vous je vous pris.


L'homme tout de blanc vêtu comme à son habitude était arrivé un peu en retard, mais pile à temps pour pouvoir entendre son nom. Espérant vivement qu'elle l'eut entendu, elle attendit patiemment qu'il s'approche pour lire le contenu de sa patente qu'elle connaissait par coeur.


En m'excusant pour le retard; HRP très chargé.

PS : en tenant en compte de certaines demandes venant d'autres joueurs, l'ordre de passage aura une logique : seront appelé en premiers ceux nommé par le conseil, le Grand Couvain et ensuite les mairies.

_________________
Merwyn
Quand la diaconnesse de Bourganeuf vient la rejoindre, Merwyn lui sourit et la congratule discrètement.

Mes félicitation de tout cœur.
_________________
)
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)