[RP Ouvert] Le 7 rue du Commerce... Bienvenue chez Madelyn!

[Bien des jours plus tard]

Voici quelques temps maintenant, que Madelyn passait bien plus de temps en extérieur que chez elle, n'en n'oubliant pas pour autant prendre soin de son intérieur. Et ce jour elle s'était rendue à l'entrée de la forêt, pour y chercher quelques décorations que la nature pouvait offrir.
Madelyn avait eut beau parcourir des tas de chemins et routes, elle n'aimait plus trop s'aventurer seule en des endroits trop isolés. La peur n'en n'étant pas la cause, vu qu'elle était de nature peu craintive, mais la raison l'emportait malgré tout, du fait de sa force étant moindre.
Malgré que celle-ci travaillait au champ tout comme à la mine, elle ne se trouvait pas bien musclée que pour lutter en cas d'attaque. Mais pour le moment tout cela n'occupait guère son esprit, vu qu'elle revenait du lavoir et avait bien des rangements à faire, avant même de pouvoir disposer ses ornements au salon.
Chantonnant la jeune femme alla vers sa chambre et y vida le panier de tout le linge l'encombrant, le plaçant en divers armoires et commodes et garnissant son lit de draps propre ensuite. Pour finir par revenir dans la pièce de vie et se mettre avec grande joie à s'y activer.
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Apres avoir travailler pour sa belle a cultive son champ sans avoir eu le bonheur de l'apercevoir.
Ou l'avoir apercu trop courtement lors de vente sur le marche,
commence a s'inquiete.
Chere Dame Madelyn, votre merveilleuse presence m'ayant redonner gout a la vie il y a peu,
Aujourd'hui, je n'ose imaginer ne vous voir que part intermitence.
je m'inquiete reellement d'avoir le bonheur de vous comtempleret d'apprecier votre si belle personne.
Vous me manquez tant que aujourd'hui je dois avoue que j'ai en tete vos belles missives.
Petit bonheur quotidien ou tout simplement un rayon de soleil remplissant mon esprit de bonheur et d'amour,
je viens a vous aujourd'hui pour vous envoyer de douce melodie,et de grande esperance a votre egard.
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Elle sourit quand Princessea exprima sa question avec bien plus de précision.

Oui en effet, je suis éprise de lui... Amoureuse.
Et cela n'est nullement un secret, mais je saurais à présent que tu es femme de confiance.

Souriant plus largement Madelyn vida son verre d'eau et commença vraiment à sentir la fatigue s'emparer d'elle.

Bien! Que dirais-tu d'aller dormir à présent? Et demain sera une autre journée. Peut-être faite de rencontre pour toi.

Frottant un rien sa nuque elle réfléchit en même temps, ne sachant trop comment s'organiser pour la nuit. C'est qu'il ne faisait pas bien grand chez elle et elle avait juste une chambre, mais qu'à cela ne tienne, il y avait toujours moyen de s'arranger.

Je vais te montrer la chambre Princessea! Je dormirais pour ma part dans le salon.


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Entendant protester Princessea, la blonde voulut enchainer en refusant sa proposition, mais pas la force d'entrer en lutte à cette heure et surtout au vu de son état résultant de sa sortie en taverne.

Hum... Fort bien alors... Et j'avoue être épuisée là... Je reviens attend.

Allant dans la chambre, Madelyn revint ensuite avec draps et oreillers, les lui posant sur le canapé.

Voici donc pour cette nuit Princessea. Je vais te laisser maintenant et aller me reposer. La bonne nuit et à demain.

Quittant la pièce lorsque la table fut vidée, tout en ordre et arrangé, la blonde alla se couche, s'endormant plus que rapidement.
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Avoir bu de l'eau et le temps passant à converser, là faisait doucement dégriser. Elle écoutait Princessea et reprit à sa suite.

Je te comprend tout à fait Princessea. Mais je ne saurais rien te dire de plus. D'autant que je reste persuadée que c'est en cherchant que l'on ne trouve pas. Prends vraiment le temps de vivre, je t'assures.

Buvant une gorgée de son eau, elle tente trouver les mots pour exprimer au mieux ses dires.

Princessea, je t'ai proposer t'héberger vu que tu n'a nul autre endroit où te rendre. Et cela nous permettra de mieux nous connaitre... Mais là aussi, tu veux aller trop vite. J'espère que tu me comprends? Je n'ai rien contre toi, tout comme non, tu ne me déranges nullement, mais je ne peux accepter ta demande pour être l'équivalent d'une soeur... Pas si vite.

Elle espérait vraiment ne pas l'avoir froissée et que Princessea comprenais la façon dont-elle elle voyait les amitiés, les attaches plus forte. Mais elle n'avait pas bien comprit sa question concernant Raphice et le lui demanda enfin.

Je ne comprends pas vraiment ce que tu entends, par tu as un truc pour ton Raphice?
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Ecoutant la réponse de Princessea, la blonde ne put s'empêcher avoir un bien large sourire lorsque cette dernière lui parla de Raphice, amusée de l'entendre dire le trouver mignon. Et pour sûre que Madelyn le trouvait mignon son prince.

Hèhè!! *hips*...Oh que oui, il est agréable au regard le Sieur Raphice!

Riant amusée, Madelyn ayant un peu, mais juste un peu trop bu reprit le concernant.

Et il n'y a *hips* pas qu'au regard qu'il*hips* qu'il est agréable. J'avoue que ces *hips* lè... Secouant la tête elle se reprit confuse ... Rho!! Pardon, désolée.

Allant poser sa main à sa bouche, tant pour ses *hips*, que d'être gênée de se laisser aller à de telles confidences. Et de suite enchaina sur le fait de boire à présent.

Bon un verre!!! Voici goûte moi *hips* moi ça! De la cervoise achetée ce jour.

Venant de lui servir une chope, elle la lui tendit et pour sa part prit simplement un verre d'eau. L'invitant à s'asseoir dans la cuisine, Madelyn prit place et bu une gorgée sans trop tarder.

Tu sais... Je ne m'attendais pas... a rencontrer un homme si *hips* vite. Tout comme je ne cherchais nullement... à trouver l'amour. Et la vie à fait que, puisque oui, Raphice et moi sommes *hips* plus qu'amis.

Lui souriant avec douceur, la blonde commençait à marquer quelques fois des pauses dans ses phrases, cela lui évitant de hipser. Et elle savait que la jeune femme se sentait seule. D'où elle ajouta simplement.

Prends juste le temps de vivre... de rencontrer du monde. Et tu verras... Toi aussi tu trouvera l'amour.
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Toujours heureux de promener aux alentours du 7 rue du commerce,
se rappella alors tout les merveilleux moments que la belle blonde lui avait apportés.
Souriant comme jamais a l'idée de savoir que la divine Madelyn aux traits du visage si doux et a la joie de vivre qui a eux seul on su reveiller un endormi!
Elle etait de retour, sans savoir pourquoi ni comment, la raison en fait importée peu seul l'instant présent compte a présent.
Voulant absoluement a la revoir vite en taverne histoire justement de continuer a ecrire une belle histoire aux allures de compte de fée.
Déposa une petite missive dans la boite au lettre du 7 rue du commerce pour ne pas deranger la petite reunion qui se profilait doucement a l'horizon.
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[La veille traversant Vendôme.]


Voici quelques jours maintenant qu'elle était partie de chez elle. Combien elle ne s'en souvenait même pas exactement, mais une dizaine pensait-elle,

Elle en avait eut marre de tout ce qu'elle voyait se dérouler sous ses yeux, marre de tous ces conflits aussi stupide qu'inutiles aux quels elle assistait, marre que cela soit dut à du mauvais dialogue. Mais à présent elle était mal, mal de s'être perdue dans une folie passagère, mal d'avoir prit cette décision aussi idiote qu'insensée, que d'être partie sur les chemins et routes. Projet pourtant qu'elle eut dès le départ, que de ne pas s'installer lorsqu'elle était arrivée à Montmirail, du fait de besoins d'ordres pratique, tout comme la fatigue ayant eut raison d'elle.

Du fait des fermetures de frontières, elle s'était retrouvée à devoir se résoudre de ne plus partir sur les routes, malgré que tout le lui permettait enfin. Du fait de ne pas pouvoir bouger, ce qu'elle avait redouté était bel et bien arrivé, elle s'était attachée à Montmirail, attachée aux habitants, même à un plus particulièrement. D'où Madelyn ne comprenait toujours pas ce qui lui était passé par la tête, en étant partie comme elle l'avait fait, manquant de respects à cet homme pour qui elle avait des sentiments, manquant de respects également à tant de personnes. Alors retour aux sources! Retour à cette source de vie débutante, vers laquelle elle se dirigeait.

Car elle n'était pas cette personne qui partait comme elle l'avait fait. Elle n'était pas cette personne, partant avec d'autres comme elle le fit. Avec des êtres si différents d'elle. Non! Madelyn avait fait une chose qu'elle regrettait au plus haut point. Avait abandonné un homme qu'elle commençait à peine à connaitre et qui lui manquait terriblement maintenant.

La voici donc marchant sur le bord du Loire, espérant vite arriver à destination. Et plus ses pas la menait en direction de Montmirail, plus elle avait l'impression d'en être encore si loin...


[Arrivée à Montmirail.]


Elle avait attendu la tombée de la nuit pour traverser Montmirail. Madelyn, était de retour et oui allait rentrer tout simplement, tout discrètement, dans sa maison. La blonde était malgré tout passée par la rue des taverne, mais ne l'y avait pas aperçut.

Ouvrant la porte, elle alluma de suite une bougie, puis deux, puis d'autres encore. Sa charrette, elle l'avait placée à l'arrière de la maison, dans la petite annexe, qu'elle referma. Remettant à demain le fait de la vider de nouveau.

S'installant dans un des fauteuils, elle était songeuse, voulant lui écrire, mais également simplement le revoir sans le prévenir qu'enfin elle était revenue à Montmirail. Lui faire comme une surprise.

Son regard s'évadant dans la flamme de la bougie la plus proche d'elle, Madelyn restait là, juste envahie de pensées, de culpabilités. Partagée entre la honte et le fait de redouter le moment où elle le reverrait, tout comme le fait d'avoir hâte d'enfin le retrouver.

[Plusieurs jours plus tard...]

Un hasard, une rencontre, une décision devant être prise... Madelyn, savait que ce qu'elle allait faire serait douloureux, mais oui, le fit.

A peine venait-elle de terminer l'aménagement de sa maison, qu'elle passa toute la fin de soirée, toute une part de la nuit, à refaire toutes ses mâles. Elle avait une culpabilité, mais se fut plus fort qu'elle. Elle savait qu'un jour il lui faudrait repasser par ici. Mais quand? Elle l'ignorait. Son champ était là, ses récoltes finissaient être faite. Mais elle ne pouvait tout prendre maintenant.

Dès que tout fut emballé, empaqueter, elle regarda une dernière fois l'intérieur, les meubles restant évidement là, juste ce qu'elle avait amener la suivrait.
Une pensée pour lui, une culpabilité, une dernière missive rédigée.

Madelyn sortit, ferma la porte à clés et la garda dans sa bourse... Un dernier regard sur sa maison, un dernier regard sur la rue où elle se trouvait... Le temps du départ était là, la voici s'éloignant...

Etant à ranger encore et toujours, sortant ses quelques babioles amenée avec elle jusqu'ici, Madelyn se trouvait dans la pièce donnant plus sur l'arrière, lorsqu'elle perçut des chants, des voix assez forte, elle ne savait trop.

S'arrêtant de vider ses malles, elle alla vers la pièce plus en avant, sans toutefois aller ouvrir la porte... Elle n'était pas trop de nature curieuse, sauf que la voix chantonnant, lui avait fait pensé à celle de Raphice.

Hésitante, elle finit par ouvrir la porte, et s'avancer pour regarder si elle ne voyait personne dans la rue... Et là!! Et bien oui! S'était probablement lui qui venait de chanter ainsi, vu le gaillard en face criant en sa direction.

Amusée elle aurait bien crié après le Sieur Raphice, lui dire qu'il pouvait venir la saluer quand il le désirait, mais il était déjà bien loin et l'autre homme aurait bien trop couvert la voix fluette de la blonde.

Rentrant chez elle, elle s'installa à son bureau et rédigea un message pour Raphice.

Elle rit en enroulant le vélin et le nouant d'un ruban bleu, se doutant qu'il comprenait ses touches de taquinerie dans chacune de ses phrases. Sortant de suite appelé le gamin, justement du bonhomme criant plus tôt, qui chaque fois lui servait de coursier, quand elle même avait peu de temps, ou simplement l'envie de ne pas être vue apportant son courrier, par discrétion, voir même effet de surprise, elle lui demanda aller porter cette missive au Sieur Raphice entré en taverne plus loin.

Le gamin rejoignant la taverne, y entra et alla de suite près de Raphice, qu'il avait déjà dut trouver quelques fois pour la blonde et ses missives.

Sieur!! Sieur!!! La blonde elle donne ça pour toi!!!

Un large sourire le gamin partit en courant, pensant pour lui même et amusé... "Si la blonde elle savait que j'ai dis d'suite que s'était d'elle"

[La veille]

Continuant un moment à converser avec son amie, Madelyn avait hâte de cette balade au marché en sa compagnie, hâte de commencer ses courriers divers en recherche d'aide pour équiper son intérieur, tout comme hâte de voir sa maison prendre toujours plus vie, en se garnissant de mobiliers, même si la vie y respirait déjà avec ses couleurs et parfums divers que les bouquets offraient, tout comme elle était animée également, de par cette présente fruitée de la si gentille et joyeuse Pomme.

Les deux amies se quittant, la blonde avait continué cette journée, à défaire quelques bagages amenés, dont celui contenant ses parchemins, plume et encrier. Rédigeant quelques missives, mais la première le fut à l'intention du Sieur Raphice, appréciant tellement ces échanges de courriers, se délectant chaque fois en lecture dès qu'une lettre était reçue.

Elle sortit ensuite de chez elle, allant chercher à transmettre ses missives et passant un moment agréable en taverne, rencontrant des personnes déjà croisées, d'autres pour une première fois. Et rentrant ensuite dormir sur ses peaux achetées plus tôt et sous de doux draps lui appartenant déjà.

[Le lendemain matin]

Se levant elle sourit lorsqu'elle arriva dans la pièce donnant fenêtre sur rue, pièce qui serait sa pièce de vie, son salon probablement. Voir ces fleurs dans la carafe, les autres dans le seau, était pur merveille... Mais voilà!! Le seau! Cela ne convenait pas, mais pas du tout! Simple dépannage de la veille, et ce jour elle allait s'apprêter et se rendre au marché sans plus tarder.

Dès qu'elle fut prête, la blonde n'avait plus qu'à attraper son panier de marché, sa bourse et ouvrir la porte. Et là!!! Surprise de nouveau avant même de l'ouvrir, apperçant un message glissé dessous. Le prenant elle prit de suite connaissance de ce qu'il était et un large sourire illumina son visage. Le glissant sous son bustier, bien caler par son corsage, Madelyn partit le coeur joyeux sur le marché, à la recherche première, d'un vase! Et pas des moindres!! Un large vase!

Ce fut donc un bon moment après qu'elle revint chez elle, et de suite sortit de son panier le magnifique vase trouvé. Pour chance un potier se trouvait là-bas, avec un étalage des plus beau au regard.

Sortant le bouquet de son médiocre récipient d'accueil, elle prit fleur par fleur, coupant délicatement chaque extrémité de tige d'un petit morceau, pour bien faire boire chacune d'entre elle et leur permettre de la sorte se gorger d'eau plus que correctement.

Ah la blonde et son amour des fleurs!!! Elle avait déjà des tas d'idée pour l'aménagement de son extérieur, ses jardins divers. Pas moins de trois espace seraient établit. L'un pour oui les fleurs divers, le second en plante médicinale et pour finir un maigre potager, juste de quoi se faire plaisir par moment, en dehors des légumes acheté à d'autres paysans, les cultivant en champ.

Dès que le bouquet fut recomposé correctement dans le vase tout neuf, elle sortit la missive de son corsage, et s'empressa d'y répondre. Une invitation ne devait rester sans réponse, d'autant que celle là était des plus plaisante.

Passant une nouvelle fois devant la maison du 7 rue du commerce, en faisant son metier si plaisant, se dit que cela devenait un vrai paisir de passer ici.
Remarqua les fleurs posees dans le seau.
Se senti heureux de voir que mon cadeau etait toujours la.

"Mais qu'elle drole de facon de conserver les fleurs!!! Un seau moi, qui fait ramasser des oeufs avec ca.
Mais quelle belle idée."Se dit il amusé.

Ecrivant une belle invitation à "la Blonde" Madelyn pour le la lui glisser sous la porte,

"Demain, je me rattraperai de ne pas avoir amener de présent aujourd'hui pour lui facilité la vie." : Marmonna t'il seul sur le pas de porte de la nouvelle venu.
"Un seau!!!" Dit il en souriant
"Un seau!!! Je vais vraiment devoir me lancer dans la collecte de fleurs pour alimenter avec mon seau le marché de belle fleur" ,
Heureux de savoir que les fleurs avaient ete garder quand même tres soigneusement reparti ravi à sa ronde matinale.
Plus heureux que jamais, décida d'aller feter ca en taverne.

Promenant le long des rues de notre belle ville de Montmirail lors de ces rondes habituelles , fut emerveillé par l'apparition d'une merveilleuse blonde à l'adresse du 7 rue du Commerce.
"Impossible mais vrai, la douce et belle nouvelle arrivante avait deja prit une place de choix au sein de notre cité".Se dit il ravit de l'apercevoir enfin de nouveau.
Courant vite, toujours plus vite, pour lui ramener un immense bouquet de fleurs afin de lui souhaiter la bienvenu ici.
Pose le cadeau devant la porte et laisse une carte écrite avec grande application
"Voici dame Madelyn une petite attention, pour que votre maison se remplisse de couleur et d'un doux parfum de bonheur.
Tres amicalement Raphice."

Madelyn! Madelyn!!!

La blonde avait prit vraiment plaisir à se mêler à la population de Montmirail. A passer des moments des plus plaisant avec tel ou tel en taverne, en rue également. Parler avec l'un et l'autre au détour de la halle. Mais pfff... Elle ne parvenait hélas pas à revenir plus dans tous ces lieux. Ne parvenait pas à prendre du bon temps tout simplement.

Raphice occupait pourtant toujours ses pensées, tout comme elle eut apprit par l'un de ses courriers qu'il s'était rendu chez elle alors qu'elle en était absente.

Il fallait absolument que ce jour elle prenne la plume, étant enfin un moment dans son petit chez sois et non en dehors des portes de la ville pour rendre service aux plus démunit.
Actuellement elle venait en aide à une dame d'un âge certain et qui n'ayant plus de famille avait bien besoin de soutient.
Oui elle était ainsi Madelyn, s'oubliant pour d'autres, mais hélas peut-être pas où l'on aurait espérer la voir.

S'installant à son bureau placé non loin de la fenêtre donnant sur la rue, elle plaça vélin, plume et encrier et commença ses réponses. La Maire Sandrine lui ayant répondu rapidement lors d'une demande, voici que c'était elle qui fut absente suite à un imprévu et de ce fait n'eut juste le temps que de voir ce pli fermé. A présent ce fut hâtivement qu'elle le lu et y répondit.
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