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[RP]Tournoi genèvois: aujourd'hui à Nyon c'est soirée baston

Blanca_corvinus
[Au campement des Sanclaudiens, près du lac]

Cette fois ça y est, le grand jour était là. Plus question de faire marche arrière, elle avait aiguisé sa hache - ben oui elle avait pas d'épée toute ex-Franc Comtesse qu'elle était - et tenait fermement le bouclier que son ami Charles lui avait prêté. Elle espérait qu'il lui porterait chance.

Un dernier coup d'oeil sur son arme secrète. Personne ne l'aurait reconnu sous son camouflage.


Reste ici, je ne veux pas dévoiler notre stratégie avant le moment venu. Je vais chercher le Rat et son armure et on se retrouve à la mine.

Son acolyte fit signe qu'il avait compris.

Quelques minutes plus tard...

Blanquette arriva au point de ralliement. Partout des hommes et des femmes en cotte de mailles, en armure ou avec des épées gigantesques. Elle sentit la tension monter et son coeur se mettre à battre plus vite. On se serait vraiment cru à la veille d'une bataille de guerre. Alors qu'elle transitait au milieu de tout ce monde elle entendit une voix familière:


est ce que tu m a bien écouté? j ai dis quoi a propos des suisses?la médiocrité et tout ça.

Elle avait failli ne pas reconnaître son Rat-gnagna avec cette armure.

puis raaaaaa elle est ou ta mère on va etre en retard

Je suis là mon Puant! Juste derrière toi! Ben dis donc, je t'aurais jamais reconnu si y avait pas ton odeur qui te suit à la trace sur trois lieues! Où est-ce que tu as dégotté ça? Pis tu vois quelque chose à travers? Parce que je voudrais pas que tu m'embroches par erreur pendant le tournoi, hein!


Elle vit alors que Raoul n'était pas seul, leur fils, du haut de ses six ans, regardait autour de lui d'un air extasié tous ces soldats et autres combattants. C'est qu'ils étaient près d'une centaine sur la place.


Mon Lupinouuu! Viens faire un gros poutou à Maman avant que j'aille me faire refaire toutes les dents!


Sans lui laisser le temps de fuir, elle fourra sa hache et son bouclier dans les mains de son armure ambulante de compagnon et étouffa son fils de gros bisous attendris et gourmands.


Lààà! Voilà! Suis prête, j'ai fait le plein de bonnes vibrations pour ce tournoi, on peut y aller. Tiens au fait, z'avez vu Ober? Faut pas qu'elle manque le départ hein? Je compte sur elle pour gagner le tournoi si nous on y arrive pas.
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Just turn yourself into anything you think that you could ever be.
--Hilde_gardavou
M.A.S.H. - Hospital de campagne



- Hep’là ! Viens par là toi ! Et plus vite que çaaaa !!!


Battoirs sur les hanches, la tour infernale incendie du regard le jeune stagiaire.

- Ça te dérange pas de bouiner toute la sainte journée ? T’es pas trop débordé ? Je vais te trouver une occupation avant que tu t’en ailles glander avec les autres !

- C’est quoi glander ?

- T’en fais pas, tu vas bientôt comprendre ! Les glands y’en plein les bosquets pas loin et ils vont bientôt s’frapper à coup d’chênes ! Prépare toi à aligner les abattis en moins !

- Et c’est quoi qui faut qu’on fait ?
Notre stagiaire est angevin, encore un sac à vin, un bon à rien dans l’esprit de l’infirmière.

- Va m’chercher des brouettes, de la gnole et découpe moi des bandelettes dans les vieux draps ! Tiens v’là les clés de la réserve ! Et qu’ça saute ! Avant qu’ce soit moi qui t’saute sur le poil !
Eleonore.


[ Genève.. feu de camp ]

On la fait ou on ne la fait pas? Hein? elle posait la question à son compagnon de vie et de route.. car les bobos elle en avait un peu marre mais elle aimait trop filer des coups pour rester à attendre le déluge.
Bon on la fait! fichue joute! Elle était inscrite et en tant que telle fallait maintenant assurer et botter les miches! à moins que... un beau ténébreux derrière un buisson..
La bave aux lèvres!

Tu dis quoi mon chou? ah oui faut prévoir de quoi manger demain!

Elle était assise devant le feu, faisait griller un truc bizarre qui sentait de la même façon mais la faim.. quand elle nous tient!..


J'ai taillé mon bâton.. après tout pourquoi assomer si on peut piquer légèrement hein?

Le regard autour d'elle, la nuit arrivait ...

On y va? je termine juste ce truc infâme...! acheté sur le marché mais plus du tout frais!

Se lève, range son bordel et ... il était temps la mine attendait du bruit, des cris, du sang... miam!

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Nicbur
[Genève, le jour du départ]

Ca c'était Genève comme il l'aimait: grouillante de monde, remplie d'odeur, pleine de vie. ca faisait un bail qu'il n'avait pas vu les tavernes aussi pleines, les transactions aussi nombreuses, et les combattants aussi nombreux.

Et cette fois-ci, pas de croisade en vue. Juste deux jours de combat, pour passer le temps et prouver sa valeur, et, pour les plus doués, pour se remplir les poches. Nicbur était de cette dernière catégorie. Déjà vainqueur par le passé du Tournoi, il participait cette fois ci avec un ancien Duc Savoyard. Un savoyard qui combattait hors de ses terres, voila ce qu'on pouvait appeler un sacré handicap. (- c'est pas qu'il est intolérant le Nicbur, mais il aime pas trop ceux qui sont pas genevois - Bon, d'accord, il est un peu intolérant en fait).

Ainsi, nul ne pourra dire que les dés étaient pippés, et que le tournoi était joué d'avance.

Mais un dernier problème devait être réglé avant de prendre la route vers Nyon: Un Duc Savoyard? A quoi ca se reconnait? La dernière fois qu'il avait vu des savoyards, une moitié était morte, gisant dans son sang, et l'autre moitié voulait sa peau, et se baigner dans son sang, alors, en faire une description précise, l'Issime en était incapable...

Heureusement pour lui, au moment ou cette idée lui traversait l'esprit, un pigeon arriva. C'était son partenaire, qui lui donnait rendez vous. C'est ce qu'on appelle des grands esprits qui se rencontrent.

Rendez vous pris, paquetage prêt, l'Issime était prêt à vaincre

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Qui qui c'est l'plus balèze? c'est bibi!!!
Solid
[Genève, au départ pour Nyon-Les-Mines]

Tôt le matin, Sorenza s'était rendue aux bains publics. Elle avait décidé de s'offrir ce petit moment de détente en prévision du tournoi qui s'annonçait.

Si je dois mourir demain autant que ce soit propre, s'était-elle dit sur la route.

Une fois rafraîchie, elle était retournée au campement rejoindre sa mère et son associé. Elle souhaitait passer le plus de temps avec eux en cette dernière journée à Genève, ne perdant pas de vue que c'était peut-être la dernière fois.
Toute la fin de la matinée et une partie de l'après-midi, elle avait écouté les conseils de Solane et de Surcouf, souriant de leur empressement mais reconnaissante qu'ils ne lui demandent pas de renoncer aux combats.

Quand none sonna au loin, elle se leva, prit sa besace chargée de quelques victuailles et d'une gourde d'eau fraîche, son bouclier et son épée. Dans son paquetage, elle ajouta un onguent pour les plaies. Elle fit ses adieux à ses proches, leur promettant prudence et sagesse.

Tommy lui avait donné rendez-vous devant l'auberge de son amie Cameliane, "Aux Délices de l'Edelweiss". Elle arriva en trottinant, sourire aux lèvres de retrouver son blondinet préféré. En effet, elle était revenue à Genève à sa demande, liée à lui par la promesse qu'elle avait faite en quittant la ville la dernière fois qu'elle était venue. Promesse qu'il n'avait pas eu grand mal à lui arracher d'ailleurs…

Ils avaient décidé de se rendre au lieu dit Nyon-Les-Mines à pied, de nuit, pour arriver tôt et repérer les lieux avant le début de la compétition. Dans la mesure où il y avait peu de chance qu'ils remportent le tournoi par la force, ils espéraient qu'un peu d'organisation de ruse leur donneraient un petit avantage.
Ne voyant pas Tommy dans les parages, elle s'installa sur un muret et sortit une pomme de sa besace qu'elle dégusta en attendant qu'il arrive à son tour.
Orkaange7876
[Une blonde ça trompe énormément]

Une armure rose... Deux trous pour les seins, un heaume pailleté avec un plumet vert et jaune... des cheveux blonds sortant en bataille par la visière... Mais surtout un beuglement continu rappelant une sirène de bateau... Aujourd'hui c'était fête. Les Genevois avaient le cinémascope en direct. Avec la baleine, tous les sens étaient touchés, durement touchés même. Une agression permanente des yeux, des oreilles, et même des narines, vu l'odeur prononcée d'alcool qui la suivait. La tâche se compliquait de par le fait que ladite Orka, gênée par le plumet ne voyait pas grand chose, mais surtout ne pouvait pas tourner la tête. Un danger public en marche. Sur son passage, on ne comptait plus le nombre de borgnes, les gens assommés ou les enfants estropiés. La catastrophe périgourdo-bourguignonne s'arréta devant une affiche, résumant les participants, et pivotant sur elle même pour pouvoir bien tout lire, se mit tout à coup à suffoquer, puis à beugler, à son habitude me direz vous. D'un geste ample qui décapita une petite vieille qui passait à côté (paix à son âme) elle arracha l'affiche, puis effectua un saut ressemblant à un double axel effectué par le bonhomme michelin pour faire demi tour, écrasant à cette occasion un chien qui trainait malencontreusement à ses pieds


-QEWAAAH?? C'EST UN ESCANDALE.. UNE HONTE... Qu'ON LES PENDE HAUT ET COURT.. QUI EST L'AUTEUR DE CETTE AFFICHE?? OU SONT LES ORGANISATEURS???
-Elle va arreter de beugler la p'tite dame, pis elle va aller au bureau à côté comme ça on va avoir un peu la paix hein??
-OUSQUE VOUS VOYEZ UN BUREAU VOUS??
-KLANG
-OUAILLE.. NAN MAIS CA VA PAS NAN?? QUAND ON SAIT PAS MAITRISER UNE ARMURE ON EN MET PAS...
-JE VOUS PERMET PAS C'EST UNE JOHANNES PAULUS GAULT HIER.. Elle a couté un bras à papapair, elle est du dernier chic et quand on est une jeune fille de bonne famille on va jamais à un tournois sans armure d'abeur. Je ne vous salue pas goujat.
-KLONG
-OUAILLE




Relevant comme elle pouvait sa visière d'un coup de gantelet, assommant deux autres pékins au passage, la blonde fonça comme une furie dans la foule qui s'écartait fort prudemment sur son passage, tout en râlant contre tous ces genevois qui encombraient les routes dès le ouique ende, voire les vacances, tout ça pour coller leurs sales mômes aux grands parents et pouvoir boire tranquille. Seins en avant, elle se planta devant le bureau d'un pauvre greffier tremblant, le seul qui n'avait pas pu se cacher à son arrivée, toutes les bonnes planques (coffres forts, comptes numérotés et autres) étant prises par ses collègues plus rapides. Le pauvre homme, les yeux rivés sur les seins menaçant, se mit à trembler comme une feuille


- OU EST L'AUTEUR DE CE TORCHON?? QUI A OSE OUBLIER MON TITRE ALORS QUE MA SOEUR ARBORE LE SIEN? JE SUIS ORKAANGE DE BORS, ET J'AIMERAIS QU'ON S'EN SOUVIENNE
-Pitié madame, j'ai rien fait, me visez pas avec vos seins, j'ai une femme et des enfants et je suis leur seul support...
-DONNEZ MOI UN NOM, JUSTE UN NOM ET JE VOUS LAISSE LA VIE SAUVE.. QUIDOIS-JE COLLER AU TROU POUR CETTE INFAMIE??
-Je ne peux pas..; Ma femme.. Mes enfants.. Mon chien... Mes poules.. QUe vont ils devenir si je perds ce travail? Si vous voulez je fais une vérification avec votre lettre d'engagement.. Voyez vous même.. Une certaine Mahaut de Nabinaud, votre coéquipière nous a donné les noms, on les a pas inventés....
- Des poules? Ahem... Un homme qui aime les poules ne peut pas être foncièrement mauvais.. Allez donnez moi un nom ... juste un petit nom d'organisateur, et je vous laisse la vie sauve.. QEWAAH?? MAHAUT?? LA GARCE..
-Arggh; Promis vous me laissez si je vous donne un nom???
-Juré
-penchez vous alors que je vous le dise à l'oreille
-KLANG
-OUAILLE
-AU LIEU DE BEUGLER VOUS POUVEZ ME DONNER CE NOM J'AI UN TOURNOIS MOI..
-Ichac
-QUOI?
-ICHAAC
-Ne faites pas l'enfant, crachez vos dents et parlez intelligiblement voyons mon brave, on ne comprend rien à ce que vous dites.. Ca doit être l'accent Genevois ça.; D'habitude je suis forte pour les accents mais là c'est le heaume, ça gène ma compréhension..
-IZAAC
-Merci mon brave. Aidez moi donc à me relever, je vais lui écrire de ce pas, et en attendant, je vous prie de bien rectifier mon nom. Quant à celui de ma soeur, il n'est pas complet non plus. Pouvez vous rajouter le reste de ses titres, à savoir "De la cruche truffée"?? Ca lui fera tellement plaisir.. Merci mon bon.. Et à la revoyure hein


Un demi tour et quelques gnons plus tard, Orka se retoruva dehors, sur la place, cherchant du regard l'oriflamme rose à paillettes symbole de leur équipe, tout en marmonnant des imprécations contre sa soeur dans sa barbe. La veille en taverne, elle avait bien essayé de négocier la mort de sa frangine avec des adversaires potentiels, espérant ainsi rester la seule héritière de leur père, mais la négociation avait échoué sur le prix à payer, parceque non, la cave était à elle, et elle n'en filerait surement pas la moindre bouteille. Après avoir traité son futur adversaire d'assoiffeur de la petite noblesse, elle l'avait fini à coup de tonneaux, et était partie se coucher en râlant, comme à son habitude. Bref, elle était dans l'impasse, et en plus elle ne trouvait pas son équipe. Marchant de son pas de robot, elle essayait vainement d'aperçevoir quoi que ce soit à travers la foule et son heaume, suivie par les cris et les imprécations de tous les gens qu'elle avait estropié plus ou moins gravement, quand enfin elle les vit. Se hâtant, pulvérisant deux ou trois campements au passage, elle arriva juste à temps pour entendre les dernières répliques de sa soeur et son écrivain particulier

- Préparez notre carrosse, Anatole.
- Je... Je crois que vous devez y aller à pieds.
- C'est une plaisanterie ?
-QEWAAAH??? IL N'EN EST PAS QUESTION ANATOLE... VOUS NOUS PORTEREZ.. AINSI QUE LES TONNEAUX... Et les poules... Et les panneaux... Vous ferez autant de voyage qu'il le faut, mais je ne mettrais plus un pied devant l'autre.; ha et tiens tout en nous portant, vous réfléchirez à une lettre de protestation adressée à un certain Izaac.. Un droit de rectification sur mon nom. Il ne sera pas dit que seule Mahaut aura un titre ici. Nous sommes une équipe noble, nous avons la Nobeul Attitioude, enfin surtout moi, et nous gagnerons en dignes filles de papapair, j'ai dit... Enfin surtout moi...

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Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
Tom_lissime
[ Quand on se prend pour Saint Georges, Genève ]

Fadette lui avait mis des idées étranges en tête. Une histoire de tortue qui devint pour lui une histoire de dragon. Il en voulait la peau pour se protéger. Il était alors parti ce matin là, à la chasse au dragon équipé d'une lance, direction le lac que'ques fois qu'la bestiole soit aquatique.
Plongeon dans l'eau... sortie de l'eau. Rien. Juste une sangsue accrochée au bras qu'il retira en grimaçant.
Il observa un rayon de soleil frapper un rocher, peut être bien qu'un petit lézard y était à se faire dorer. Rien.
Mais les dragons, ça se cache dans les grottes non? Il avait alors délaissé le lac pour grimper un peu sur les hauteurs et dénicher la grotte. C'est là qu'il était tombé sur la bestiole ou plutôt les. Deux espèces en fait. Un couple de hérissons infestés de puces et leurs petits. Il sortit un sac en toile de jute et se jeta sur les animaux sac en avant. Et hop le tour était joué.

Il avait tué les pauvres bêtes, les parents. C'est qu'elles étaient pas bien grosses mais elles avaient pas mal de pics. Il en avait mis partout, des pics, sur son casque et surtout sur son gourdin. Il avait même confectionné quatre gants piqués, pour lui et sa partenaire.
Il était fin prêt pour aller rejoindre Sorenza, sacoche avec ses pains, petits sac avec ses hérissons, les bébés. Il s'avança vers le point de rendez vous et saut sur le muret où elle mangeait sa pomme. Il lui sourit et l'embrassa joyeusement.


Bonjour ma Sorenza, j'ai un truc pour toi. J'ai été chasser l'dragon ce matin.

Il bomba le torse fièrement pensant innocemment lui faire croire qu'il avait vraiment eu un dragon avant de se gratter le bras.
Il sortit de sa sacoche la paire de gant pour elle après s'être violemment gratter le torse et la lui tendit


Bon j'ai pas trouver de dragon, mais j'ai trouvé des hérissons.

Il pris son gourdin et se frictionna le dos avec. Un regard un peu gêné vers la blonde

J'crois que j'ai attrapé des puces aussi. Mais t'en fais pas, j'ai pris du vinaigre.
Donc, les hérissons, j'ai gardé les petits pour les mettre dans les pattes de nos adversaires et les parents j'en ai fait du pâté.


Il se leva et attrapa la main de la blonde.

On y va la belle?
Ophy_lyam
[ Comment faire diversion]

Fadette avait prévu d'enmener les conseils de chacun et surtout de semer le trouble sur tout le monde, trois petits pains piqués par ci à la Gertrude, une tortue bien cuite au surnom de Léo, quelques coquilles de noix vides, envoyer Tom chasser des dragons à puces et surtout un bouclier décoré de ses armoireries, deux carottes croisées dont les fanes retombaient mollement de chaque côté.

Prêt mon Hêtre? Alora andiamo presto ! y'a du vent ce soir....
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Vous avez fait la peau à......qui essayait de vous résister.Vous le laissez pour mort derrière vous, pas vraiment inquiète des conséquences...
Imladris
Imladris était présent. Il avait promis à Izaac de venir à son tournoi. Il connaissait beaucoup de participants... Cela promettait d'être une vraie foire d'empoigne. Il avait pris son épée qu'il n'avait plus utilisé depuis les combats dans le Maine et son bouclier.

Il était habillé comme à son habitude simplement et se tenait prêt pour ce tournoi. Attention, le vicomte de Voiteur allait montrer de quoi il était capable!

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Luc_la_misere
Sourit a sa louve

Dit tu as vu quelqu'un en chemin toi on est arrivé les premiers?

Me dit pas que je serait atteint de cécité a cause de l'alcool frelaté que je m'envoie!

Regarde j'ai emmené des pains en forme de tortue comme il voulait léo on va pouvoir les tester en grandeur nature


sort de son sac les pains surprise un peu plus cramés que d'habitude

http://realinfos.files.wordpress.com/2011/04/tortue1.jpg?w=281&h=380
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Nan c'est pas moi j'ai rien fait j'vous l'jure votre honneur sinon vous avez une famille on m'as dit sont jolies les deux petites sa serait dommage.......
Lupin_darc
[Nyon-la-bonne mine, samedi, avant l'assaut]

L'gamin avait accompagné ses parents jusqu'au lieu du tournoi. Les groupes commençaient à se former et le début de la joute n'allait pas tarder à être annoncé.

Mais Lupin devait encore aller débiter 20 stères, punition infligée par son paternel pour avoir... pour quoi déjà? Bref, si il ne voulait pas rater le début des affrontements, il avait intérêt à se dépêcher.

Il prit donc sa petite hache et se dirigea vers la forêt. Tout en marchant il se demanda où avait bien pu disparaître son meilleur ami, Moumoute. Cela faisait quelques jours qu'il ne le voyait plus près du campement. Pourtant, le caniche était du genre plutôt collé aux basques de ses maîtres en général. Tout à ses pensées, il s'éloigna du campement et des tournoyeurs pour s'enfoncer dans le bosquet.

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Ophy_lyam
Sourit à son loup affamé.

Ben nan ! t'es pas bourré j'ai vu personne non plus sauf un pêt de vent au loin.

On est les premiers tu crois?


Sort deux tortues prêtes à être éjectées, une main gauche , une main droite.


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Vous avez fait la peau à......qui essayait de vous résister.Vous le laissez pour mort derrière vous, pas vraiment inquiète des conséquences...
Kirkwood
Bigmamma a écrit:
Enfin ... pas trop tôt ... Faut charger là, sinon, on aura plus d'place sur l'noeud !
M'enfin, tu bouges ou tu dors debout .... J'vas chanter les 52 en breton moi, pour te réveiller ....


Y'a des trucs qui font peur...
Et on soupçonnerait ni qui ni à quel point.
Et Deos, qui est quelqu'un d'expérience et de finesse, sait que si Bigmamma réveille le Kirk sur les 52 articles chantés en breton, ben il risque de trouver ça intéressant, se déplacer en Bretagne avec ce qu'il en a compris et bien sûr vexer profondément les pauvres Bretons qui n'ont pas demandé ça, et donc se retrouver sur les bras avec une guerre Bretagne-Genève...
C'est pas trop le moment...
Donc, Deos manipule l’éther-temps et voilà que ceux qui ont travaillé dans les jardins de Kirkwood viennent réclamer leur paye à l'aube.


Bom ! Bom ! Bom !
- Ça se réveille, là-dedans ?
- Et notre argent !
- Sinon, on part avec la récolte, hein !?!
- C'est bien beau de promettre de l'argent, mais si on ne l'a pas, on n'a pas non plus notre inscription au tournoi, alors, au nom de cette fichue réputation genevoise, faudrait se magner !
- Gnia ? Oui, je, j'avions, une minute, une petit maser de bière pour tout le monde, j'me réveillions, voilà, voilà, oh ma tête...

Citation:
20-10-2011 21:23 : Vous avez embauché Galovert parce qu'il a la main verte même s'il s'en défend.
20-10-2011 21:03 : Vous avez embauché Grosbill parce qu'il n'y avait personne d'autre mais qu'un « tiens » vaut mieux que deux « tu l'auras », ce que l'intéressé a parfaitement compris...


Bref, passons.
Résultat, au moment où Big justement indignée d'être seule récrimine à qui mieux mieux, elle entend derrière elle :


- Ben quoi, j'estions là, arrêtions d'râler injustement, j'avions même ramené quelques outils d'ma forge... Ce qui serions point inutile...
Pasque j'voulions point critiquer, mais tu m'avions fait du boulot d'romain, là et là. Pfiou ! Va falloir tout recommencer...

Kirk capte alors une lueur dans le regard de Big. « Meurtrière » est le résumé le plus adapté. Heu, on va changer son escopette d'épaule, vite fait...

Non, j'blaguions, j'savions bien que t'avions fait express à cause de tes oraisons et pour qu'on partagions l'boulot.
C'est que c'estions quand même joli, c'te tournure de feraille que tu nous a fait là, savions-tu ?
Y'avions juste, rhân ! Bam ! Juste, je disions, Bam ! Bam ! Bam ! Bam ! Bam ! Juste c'te p'tit truc à colmater... Et ce serions parfait...

Ah ! C'estions quand même des fortiches, ces aristotéliciens hussites, en Bohème, l'avions une bonne tronche, not'truc...
Eleonore.


[ Nyon .. à l'aube ]

Pas même commencé que déjà elle était fatiguée! le froid.. la brise glaciale et la terre pleine de trous et de bosses, de cailloux qui bouffent les pieds et... la foule!

La nuit fut noire... normale quoi! pas pris de monture pour si peu de chemin mais Gil aurait pu la porter sur son dos, ça l'aurait reposer la rouquine.. après tout il est est fort, costaud, bien monté.. euh bâti.. enfin tout ce qu'il faut là où il faut..!


Eh ma limace on arrive; t'as vu c'te foule?!

Elle regardait partout, scrutait les visages, la plupart lui étaient inconnu..

Tu crois que les nièces seront là? parce que.. ça promet d'être chaud dans les buissons à défaut qu'elles filent des coups.

La rouquine riait, se rappelant les soirées en tavernes à Genève.. y avait passé de bons moments et avait même découvert certains aspects de la vie très.... enfin...

J'ai le ventre tout.. mélangé! surement le truc bouffé hier!

Bon va pas falloir roupiller avec ce beau monde ..

Croque sa viande séchée.. besoin de prendre quelques forces.. m'enfin le rêve est permis c'est déjà énorme.. et pour ça guère besoin de cinquante écus..

La rouquine trouve un coin, y pose les affaires, prend ses aises puis commence à se vêtir plus chaudement, remonte sa lourde chevelure et l'attache comme elle peut..

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Aelig
-J'crois que c'est là Maria ! La foire à Gnyons comme il avait dit le monsieur.

Où l'on arrivait fourbu et encombré après une marche de quelques lieues depuis Genève. Aelig était armé de pieds en cape, un heaume lourd en tête panaché d'une plume de paon pour le spectacle, la hallebarde à la main, l'épée à dextre, l'écu à gauche et une stère de bois. La stère, c'est parceque notre bonhomme est distrait.

-T'as vu tout ce monde, 89 que j'ai compté vite. On s'croirait un dimanche à la fête foraine. Comment f'ra t'on pour r'trouver les aut'ambuleurs et faire aussi comme un clan si tout l'monde est mélangé ?

Mais c'était loin d'être la première préoccupation de la castillane. Elle n'était pas rassurée, qu'elle lui avait confiée cette nuit, au creux de son bras, sous la couette après que...Mais cela ne vous regarde pas.


Et son héro de lui déclamer tandis qu'ils installaient le bivouac :

-Maria, inutile de t'inquiéter, tu s'ras mes yeux, je s'rais tes bras, nous s'rons comme un seul.

Les mots étaient assurés, le torse bombé, l'esprit reître, de ceux qui pouvaient se montrer de mauvais poil lorsque leur pique-nique venait à être dérangé par une charge de cavalerie lourde angoumoise du côté des vallées valaisannes. Et de conclure :

-Nous privilégierons la stratégie plutôt que la force brute, Maria. j'ai réfléchis à un plan sournois basé sur les points faibles de tout ces teigneux. On repère d'abord les petits, les manchots, les cul de jattes et les vieux, non pas les vieux, on va éviter d'abîmer Cendres, et on les marave ! C'est pas une bonne idée ça !?

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