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[RP]Dieu reconnaîtra les chiens! L'impôt léonin

--Hello_de_lu
Novembre 1459, Compagnie de la Petite Vérole ; lance des macules

Il avait vu arrivé un groupe assé nombreux Déos lui donnerai la force

Quand il entendit le cri de guerre


Alerte à la Vérole !!! A la bannière des macules !


il surgit de derrière l'arbre en hurlant

AH SA IRA SA IRA SA IRA LES ARISTOCRATES A LA LANTERNE
AH SA IRA SA IRA SA IRA LES ARISTOCRATES ONT LES PENDRA


Passablement essoufflé par sa poésie hurlée il eu juste le temps de voir le gros nobliau et la grosse nobliaute tellement parfumés que sa empestait a des lieues a la ronde dire a leur laquais de pousser le quatrième larron
eux même se carapatant en cheval

Un drole de bruit retentit derrière lui comme un gars pris dans un piège...

regardant le type affalé dans la boue


Mon pauv gars z'avez vu la noblesse!

en plus je parie qu'ils vous accablent de taxes les plus diverses en vous faisant croire que c'est pour votre bien?


bon croyant il aida le gars a se relever quand il vit ses bagouses ces dentelles et tout et tout comme tout nobliau qui se respecte

Oh mais bougre de toi tu en est hein!

Tu vas voir ce que sa fait de taxer le peuple!

et d'une mandale l'envoya bouler
Edwen
Elle était partie à la chasse de son côté, Clyde de l'autre mais peu importe, c'est les félons et autres pustules en ce genre que la prévôte chassait. Qui aurait pu dire qu'elle était de ces gens qui surveillaient? La dernière fois qu'elle était partie chasser, elle s'était trouvé nez à nez avec Gwennie et elles avaient fini le trajet ensemble mais là...La fois d'après ce fut Kika...Sur qui allait-elle tomber? Santi? Fernand? Angel. auquel cas elle se jetterait à son cou?

Elle avança, tout semblait paisible, pas un rat ou un oiseau en vue, trop tranquille pour que tout semble serein...
Quand soudain elle entendit des cris, banales certes, surement des enfants qui s'amusaient, rien de bien méchant selon elle. Elle se souvenait de Leamance et Hanort, un jour à Saumur, sur les routes, on disait que la dame se trouvait dans les parages, probable qu'elle ne la reconnaisse pas, e n'était pas plus mal

C'est ainsi qu'elle passa son chemin, adviendrait ce qu'il adviendrait, la jeune femme avait apris à se défendre

_________________
Tout courrier envoyé à ma Edwen lui appartient, elle n'hésitera pas à le diffuser là où elle le souhaite en cas de nécessité....
Leamance..
[Novembre 1459, Lance de la Petite Vérole - Compagnie des papules]



Entraînement des taliban sur le terrain. Telle était la première partie de la mission. Bon...pour cette fois la tâche était facile, les recrues étaient rompues à la guerre asymétrique. Il leur manquait un peu de foy en Déos, pas persuadés de la protection inconditionnelle de celui ci, mais l'expérience leur montrerait le contraire.

Léa ne sortait de la fôret qu'avec une grand motivation, se réservant habituellement à la prière sur le lac de Genève, avec les poissons. Et là, il fallait récolter des fonds en Bourgogne, afin de financer le voyage pour peler le Jonc du Pape. Riche programme, pour rappeler aux Bourguignons qu'on ne facilite pas une croisade sans risques et punitions. Et puis la Bourgogne...elle y tient particulièrement, ayant organisé la venue de la DTC et de la Zoko deux années avant. Depuis, son cher époux Hanort était mort, et la venue en cette Terre ravivait sa douleur. Mais elle n'allait pas se laisser aller:


- Glover, Vignolles, vous en êtes où avec vos bourses?

ton ironique. Ils sont pénibles avec leurs attributs.

Première nuit en embuscade. Inutile. Pas un pelé en voyage. Cette nuit serait sans doute plus fructueuse.

En attendant, elle aiguise sa Sica entre 2 cailloux. Et le tranchant est digne d'une lame de rasoir.

Les autres Sicaires et Taliban sont répartis sur le territoire. Ca va saigner
.
_________________
Sicaire Fidaïs du Lion de Juda

Ophy_lyam

[Novembre 1459, Compagnie de la Petite Vérole ; lance des macules ]


Nan ! mais qu'est-ce que ça peut papoter , gesticuler et hurler un homme!



Au son plein du cri de ralliement

Alerte à la Vérole !!! A la bannière des macules !

Au doux son hurlant de l'arbre

AH SA IRA SA IRA SA IRA LES ARISTOCRATES A LA LANTERNE
AH SA IRA SA IRA SA IRA LES ARISTOCRATES ONT LES PENDRA


ça tombait à pic celui là en avait l'allure, belle barbiche, belle moustache,merci!

Déos, tu ...tu....tu.... mais c'est trop peu!

Kirk malin tenant sa tête bien propre , Ophy fouillait tentant de repousser un quatrième poux.

Hello mon Lu !
T'as trouvé des petits pains?

_________________
Zarathoustra
[7 novembre, Compagnie du Phallus Turgescent, groupe des Gymnopèdes, au zénith, quelques cumulus, au nadir, un escargot qui bave. Pendant qu'ailleurs on guerroie carapaçonné, ici on guerrasymétrique.]

Le groupe des Gymnopèdes arrivait... c'est ainsi que Zarathoustra avait d'autorité baptisé son groupe, puisque aucun nom convenable n'avait percolé des nombreuses réunions "tempêtes dans un cerveau" qu'ils avaient consacrés à ce sujet, entre autre sujets d'une importance plus capitale les uns que les autres.

Le groupe des Gymnopèdes, donc, arrivait... "Gymnopède", ça veut dire "qui va pieds nus". Les combattants étaient pourtant bel et bien chaussés, et même bottés, pour la plupart d'entre eux, ça ne veut donc rien dire. Mais c'est symbolique, c'est pour dire qu'ils ne paient pas de mine. Zarathoustra, plus ardent à bavarder qu'à combattre, souvent, entre une jouvencelle et un vieillard. Izaac était-il si vieux que les quolibets le laissaient entendre? Quant à Amsterdam, c'était toujours aussi beau à voir, le prélèvement tout en douceur et efficacité.

Le groupe des Gymnopèdes, donc, arrivait en Bourgogne, pour prélever l'impôt léonin, on l'aura compris. Ils appliquèrent la technique des bourses gigognes que Zarathoustra avait étrenné lors du tournoi de Genève. Ils localisèrent un groupe d'embusqués pour détrousser des détrousseurs.


Bonjour. Nous sommes soldats réformés...

Le regard qu'ils leur jetèrent semblait plein d'incompréhension, en plus de l'amertume et de la rancœur inhérents au prélèvement d'impôt.

Sans doute des barbares.

Le conflit prenait d'emblée une dimension internationale, autant dire œcuménique. Sans doute, des ifriquiens allaient se ramener à dos d'éléphant. On allait bien rigoler.

Il fit une tentative en anglois, langue des marchands, peut-être avaient-ils quelque origine hanséatique?


Hello, we are soldiers of the...

Il se tourna vers ses compagnons:

Ça va être compliqué, comment on dit Réformé en barbare? Aucune idée.

We are the Lion of Juda from Genève, and we are going to take all that you have, because of the Pope. Ask for him if you want to complain. Dont move and we won't kill you*.


*"Nous sommes le Lion de Juda de Genève, et nous allons vous prendre tout ce que vous avez, à cause du Pape. Adressez-vous à lui si vous voulez vous plaindre. Ne bougez pas et nous ne vous tuerons pas." En tout cas c'est ce que je voulais dire.

_________________
Eins thut Noth.
Kirkwood
Novembre 1459, Compagnie de la Petite vérole, lance des macules

Dimanche à lundi

- Alors, qu’efes que tu en penfes ?

- Ah ben, techniquement fupérieurs, hein...

- Ah oui-da, ils eftions forts, y’a point, très forts…

- En même temps, ils font finq, fes fagouins, et nous…

- Fa, f’est bien vrai… Attends, là, ton bandage a glissé, ve te le remets en plafe..

- Ah, oui, f’est vrai, merfi.. F’est vrai qu’y font bons, f’est fûr…

- Ouais, mais faut dire, auffi, y z’abufent de leurs connaiffances du terrain…

- Fa, f’estions bien vrai…

- Fi f'est pas de la trife ?

- Fi f’est pas des maufais zoueurs, fa ?

- Heu, Kirk, f’est pas une dent, fa, sur tes lèvres tuméfiées ?

- Ah fi, fut, tu as raifon, ‘fallions l’enlever, fa fait pas férieux…

- Attends, fe t’aide…

- Aïeuh ! Fa va pas, non ?!

- Ben fi t’es pas content, t’as qu’a aller fez ton fameux médicaftre, là, Diafoiruf…

- Tu rigolions ? Avec fe qu’on a réuffi à prélever d’impôt ? Y’a pas de quoi rentrer dans fa falle d’attente…


Citation:
07-11-2011 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Colombas de Swayna de Forest de Keldorn et de Airiel (coefficient de combat 17), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.
--Hello_de_lu
Novembre 1459, Compagnie de la Petite vérole, lance des macules

Dimanche à lundi


toujours en embuscade des bruits sur le chemin

charge et cri de guerre


AH SA IRA SA IRA SA IRA LES ARISTOCRATES A LA LANTERNE
AH SA IRA SA IRA SA IRA LES ARISTOCRATES ONT LES PENDRA

arff ils sont nombreux les bougres ils vont bien en abandonner un en route pour fuir comme hier?

merdasse c'est pas des nobliaux ils chargent!

Regard de droite et de gauche pas moyen de battre en retraite sont partout
Ils firent face au moins cinq bonnes minutes peu être trois va ou deux ou...
avant d'être submergé sous le nombre
Ophy_lyam

Novembre 1459, Compagnie de la Petite vérole, lance des macules


"Nous sommes le Lion de Juda de Genève, et nous allons vous prendre tout ce que vous avez, à cause du Pape. Adressez-vous à lui si vous voulez vous plaindre."

La voyageuse adorait cette réplique, fort convaincante au demeurant.

Merdasse!

Elle avait eu beau les prévenir, ils étaient à peine plus forts mais bien plus nombreux.

Le flô passé sur eux, avec quelques échanges de macules pour qu'ils s'en souviennent....


Merdasse encore !

T'as une dent qui bouge Kirk, ouvre ton bec, je te l'arrache avec un bout de ficelle?
_________________
Vignolles
[Novembre 1459, Compagnie de la Petite vérole, lance des Papules]



Nos bourses, nos bourses.... t'en as des bonnes toi !

On les balades nos bourses !

On essai de leur faire prendre l'air dans cette jolie forêt mais y a comme qui dirait un peu d'humidité et ça les bourses elles aiment pas trop tu sait.

Pis déja que l'autre nuit on s'les ai jelées pour rien, y'a personne dans le coin alors tu pense quand on a entendu du bruit cette nuit on a sauté sur la donzelle.
Le Glover il l'a pas loupé, je crois même qu'il lui à fait peur...Tu crois qu'il lui a sortie sa bourse ?



*Soupire*


Enfin bref, elle avait rien sur elle la petite malgrés la fouille en régle et crois moi que le Taliban il apprends vite avec le sicaire, il tate, il palpe, chaque recoin...
C'est pas avec ça qu'on va se les remplir, les bourses.

_________________
Heureux sont les simples d'esprit car le royaume des cieux leur appartient.
Meliandulys
[Quelque part sur les chemins bourguignons. Compagnie du Phallus Turgescent.
Quand le prélèvement de l’impôt léonin se transforme parfois en farce pour le facétieux Déos]




Chemin boueux, temps sec mais froid, soleil flemmard, taux d'humidité de 17%. Et des fourmis pleins les membres, la sica ne demandant qu'à quitter son cocon pour mordre quelques chairs impies. La compagnie du Phallus Turgescent, amputé d'une moitié laissée sur la route, avançait d'un pas décidé, les deux combattants du Lion donnant presque l'impression de courir par moment, obligeant le brave compagnon Skiid à allonger la foulée en renâclant comme un buffle prêt pour une saillie. L’entrain était là, et bientôt Skiid lui, ne l'était plus.

Quelques mètres de plus avalés en hâte et le Primus et sa Féline finirent pas s’arrêter, échangeant quelques regards interrogatifs se demandant où pouvait bien être passé le discret frangin. Jusqu'à ce que retentisse un hurlement à faire pâlir une princesse vanillée et fardée. Un cri de douleur venant de derrière un buisson qu'ils avaient dépassé d'un pas vif quelques minutes auparavant. Le couinement d'un curé qu'on égorge ou le pauvre Skiid qui, tombé sur une armée bourguignonne, s’était mis en tête de vouloir la démanteler seul avec ses p'tits bras musclé de réformé.

Et voilà donc nos amants terribles repartis dans l'autre sens, sica brandie et fendant l'air. Et en hélant le brave frangin. Enthousiastes à l'idée d'avoir enfin quelqu'un avec qui en découdre. C'est qu'ils n'étaient pas venu là pour enfiler des perles.


Non d'un bourguignon albinos unijambiste ! Skiid ! T'es où ? Skiiiiid !

Et c'est deux trognes essoufflées et ruisselantes de sueur qui émergèrent enfin d'un buisson face au fameux Skiid.

Qu'est ce qu'il se passe ? Combien sont-ils ? Où sont-ils cachés ?

Regard emplis de souffrance lancé par Skiid lorsque celui ci leur présente son doigt rougi en guise de réponse.

J'crois bien que j'me suis collé une écharde...

Regard noir foudroyant du Primus et quelques mots lancé non sans ironie et amertume.

Oulàààà... Bah oui, mon pauvre. Une graaaave blessure de guerre, assurément. J'crois bien qu'il va falloir amputer l'doigt.

En cet instant, notre brave Primus, visiblement de travers, ne semble pas saisir le burlesque de la situation.

J'crois même qu'il serait plus sage d'amputer l'bras, tiens...

Et Skiid lui, la larme lui taquinant presque le coin de l’œil, ne semble pas saisir l'ironie du Primus.

Mais euh...
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Meliandulys
[Quelque part sur les chemins bourguignons. Compagnie du Phallus Turgescent.
Quand tu secoue le cocotier, les noix finissent toujours par tomber. Faut juste éviter la tête.]




Sur le bord d'un chemin de Bourgogne, à la nuit tombante. La compagnie du Phallus, amputée d'une moitié qui avait décidé d'aller nu pied - selon les dires du frangin Zarathoustra, même si le Primus s'était bien gardé d'avouer qu'il n'avait pas tellement compris l'idée - s'était mis en embuscade, tout les sens en éveil, à l'affut, prête à fondre sur la première proie que Déos leur enverrait.

Enfin en embuscade... à prendre dans un sens bien particulier. Embuscade à la réformée genevoise. Disons que nos trois loustics étaient en train de tailler le bout de gras autour d'un feu qui crépitait joyeusement, en se racontant des histoire de princesse vanillée, de nobliaux bourguignons ou de curés sanguinaires amateurs de jeunes vierges au p'tit dej... le genre d'histoire qu'on racontait aux p'tits genevois pour qu'ils finissent leur fondue. "Si tu finis pas ta gamelle, un curé bourguignon viendra te priver de tes libertés et te glisser quelques bondieuseries perfides et mensongères au creux de l'oreille, jusqu'à ce que mort s'en suive" Pauvre petit genevois diraient certaines âmes sensibles, et bien non, c'était comme cela qu'on éduquait celui qui serait bientôt, au même titre que n'importe quel autre reitre suisse, reconnu comme le plus fier et brave combattant que l'Aristotélité ait connu.

Toujours est-il que nous avions donc laissé notre trio phallique en embuscade, attendant que Déos guide leurs bras et pourvoie aux besoins que pouvait nécessiter la lutte qui les réunissait tous au sein du Lion de Juda. Leur combat contre la catin de l'Aristotélité, Rome.


Et après quelques heures, leur attente méticuleuse se trouva récompensée, une brochette de quatre voyageurs s'approchant enfin. Il ne leur manquait que le pic en bois. Intérieurement, notre Capitaine se promis de leur fournir le pal si jamais ils le méritaient. Il est vraiment trop bon notre brave homme.

Il s’avança pour les stopper.

Salvé... êtes-vous quelques moutons dans un troupeau, des adorateurs du veau d'or ou des sympathisants de la cause du Lion de Juda venus faire un don à nos bonnes œuvres et nous permettre de continuer à fesser les sbires papaux ?

Les quatre bougres ne semblaient pas particulièrement dans de bonnes dispositions. Ou alors, ils avaient peut être prévu de faire don de leurs lames, vu que c'est la première chose qu'ils semblèrent enclin à présenter. Notre Capitaine était perplexe, mais il avait de la suite dans les idées. Il se racla la gorge avant de prendre un accent provençal mal exécuté et particulièrement déplacé.

Halte mes braves. C'est la douane volante léonine. Tout voyageur se doit de régler un droit de passage en ces terres souillées par Rome.
Oreilles et queue de curé de préférence. Écus ou marchandises sont sinon acceptés.


Mouais. Il avait des idées sur tout notre capitaine, il avait surtout des idées. Et ça ne semblait pas plus porter ses fruits. Il sortit alors de sa manche, son dernier atout, et de loin le plus décisif.

Euh... Mariposa, mon joli papillon léonin... J'crois qu'on est pas face à des lumières, ni a des illuminés.
Jveux bien un coup de main, ou un bon coup de sica dans l'tas...




14-11-2011 04:08 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de ..... de ..... de ..... et de ..... (coefficient de combat 11), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

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Falco.
Pour choper des frelons...

Faut foutre un coup de botte dans l'nid..Ca marche à coup sur!


Que voyez vous poindre à l'horizon dans l'éclat doré d'un soleil agonisant de Novembre? Venant de l'Ouest, des contrées barbares mais pacifiées par leur volonté du berry?
Fuyez vilains, marauds, idiots, ponains ou mémés en travers du chemin!

C'est la Cavalerie de Touraine galopante à toute blinde, sa Régence Militaire achevée chez les Norf, poussant ses montures au trot, brinqueballant couleuvrines et oriflammes ternes.

Des salopards, des enfoirés, des soldats couturés , des brigands reconvertis dans le massacre de masse, du noble, du rien, en un mot comme en cents, du superbe!

Cosnes est jolie ville se trouvant soudainement auréolée des douces senteurs de crottin et du cliquetis peu harmonieux des brigandines.

Il n'est pas un des 3 capitaines.
Il chevauche de l'un à l'autre.
Laid comme votre première amour levée un samedi soir bourré à souhait que vous découvrez en réel à l'aube du dimanche dans votre lit.

Falco de Cartel
Seigneur d'Oserez

Il parait que Bourgogne affronte ces masses amusantes de marauds menés par Thoros.
Il est certains que ces gens la, s'ils ne dispersent pas, seront morts bientôt.

Il a eu vent aussi que des gens de la Réforme chassent en ces terres.
Anecdote génante quand on envisage du nettoyage à coups de sabots.

C'est que dans leur foutue cavalerie, pourtant fidéle à la Couronne, ils sont plus d'un à être Huguenots.
Et pas mal à les tolerer de façon fort humaniste.

Alors quand on veut choper des frelons...On envoit des pages cousus de plaqué or avec de grosses croix romaines sur le dos portur d'un message.

Citation:


Gens du Lion, gens Huguenots,

Loin de moi l'idée de troubler vos traditions en matière de taxe ou même de vous dissuader dans vos pratiques.
Elles sont normales et légitimes pour tout gens de guerre ayant grands frais à leur charge et point le confort des soldes ducales.

Cependant vous ne devez rien ignorer des grands troubles qui agite le Royaume de France.
Il serait néfaste à la cause de notre Foi que vos actes soient mêlés à ceux des rapineurs du Ponant menés par Thoros.

Pourriez vous donc avoir une retenue dans votre campagne fiscale pour le moins?
Voire la folie de faire le même pari que nous autres?
Celui de combattre pour la Couronne de france.

Voyez nos oriflammes, voyez nos gens portant la croix poissonnée.
Voyez vous bûchers ou opprobes? Voyez vous Rome ou quelque prelat grincer des dents?

Par Dieu et ses prophêtes passés ou à venir, nous avons gagnés, gens de la Réforme.
Nous gagnons avec nos épée le droit de vivre et d'exister comme tout à chacun quand la guerre sera close.

Nous sommes aisés à joindre.
Nos galops jamais discrets.

Falco de Cartel

Ps:
Si Izaac a la force de sourire, il aura la force de trinquer , en espérant le croiser autrement que collé sous mes sabots!



_________________
Meliandulys
Citation:
    Salvé Falco de Cartel,

    Nous n'ignorons pas les troubles qui agitent les puissants de ce monde et qui embrasent les terres d'ici et d'ailleurs. Nous ne pouvons passer outre au vu de leurs frétillements frénétiques. Nous avons tous un combat à mener, nous avons tous une histoire à écrire. Celle que tu semble avoir choisi n'est pas la notre. Doit-elle malgré tout nous opposer ?

    Notre présence dans une même province que Thoros risquerait de voir associer nos actes aux siens, dis-tu. Sous prétexte que cette grande fripouille batifole sur des mêmes terres que nous. Rassure-toi, nous avons l'habitude des ces raccourcis ridicules et de ces chemins éculés, empruntés par les esprits des gentils qui plus que rougir de leurs fourberies, préfèrent s'en nourrir et en abreuver les petites gens. Et nous n'en avons cure de ces raccourcis visant à nous déstabiliser. Nous savons ce que nous combattons, nous savons pourquoi nous combattons et nous savons avec qui nous combattons.

    Mais toi, Falco de Cartel, sais-tu pour quoi tu combats et pour qui tu combats ? Es-tu censé ignorer ce pour quoi nous nous devons de nous battre ? Ignore-tu qu'il y a encore si peu de temps à Genève, nombre de frère et sœurs, indigents et bourgeois, défendant leur liberté sont tombés lors du dernier épisode de la croisade que Rome se plait à présent à organiser annuellement. Ignore-tu, qu’œuvrant en connivence avec la catin romaine, la Bourgogne leur a facilité leurs basses besognes sous des prétextes fallacieux. Le sang de nombre de réformés venant de ce fait, toujours un peu plus nourrir notre terre.

    Toi, réformé, arborant la croix huguenote poissonnée, éprouve-tu plus de facilités à défendre ces terres souillées et comprendre et justifier les agissements de leurs puissants, qu'a comprendre et tolérer ce combat dans lequel nombre d'entre nous ont été emporté et la lutte de proscrit que nous sommes contraints de mener.

    Tu as peut être l'impression d'avoir gagné une liberté. Mais elle est ta liberté. Nous avons nous, vu trop de nos frères tomber ou être opprimés et en voyons encore trop chaque jour, pour croire à cette liberté imparfaite dont tu parle et dont tu semble te satisfaire. Je te souhaite de jouir de ta liberté et de ton confort, car beaucoup encore payent de leur propre liberté et de leur propre sang.

    Rassure toi, notre combat nous mènera bientôt sur un autre chemin. Puisse-t-il le tien être éclairé par Déos.
    Au plaisir de se recroiser en d'autres lieux et d'autres circonstances.

    Ps : On t'envoie Izaac en délégation officielle. Ne nous l'abime pas.


    Le Consistoire du Lion de Juda, en purin bourguignon


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Mariposa
Euh... Mariposa, mon joli papillon léonin... J'crois qu'on est pas face à des lumières, ni a des illuminés. Jveux bien un coup de main, ou un bon coup de sica dans l'tas...

Qui ne savait pas d’ores et déjà que le Capitaine savait parler au femme.

Et comme sortie d’une manche de magicien, l’aérienne genevoise vint se poser au côté de son fauve, sica en main et regard perçant. Avec quelques bouchées de fin de festin en bouche. Bah oui, fallait pas en perdre une miette.

Tiens tiens, mais qu’avons-nous là ?!
S’essuyant la bouche du revers d'une manche

Une belle brochette pour accompagner notre festin?! … Viande bien saignante de mécréant!? Moua haha
Sourire mutin et observation des badauds tous recroquevillés devant le Primus en mission. C'est vrai qu'il était imposant avec ses yeux ainsi brillants

Bah... ce sont des lopettes ou quoi ?!

Reniflant bruyamment dans l’air.
Ca sent pas le curé… ni l’nobliaux… bah alors….

La féline, légèrement déçue, fait quelques lestes pas autour du troupeau regroupé derrière l’acier tranchant. Acier qui entre temps avait commencé à claqueter sous une rythmique mélodieuse et métallique. La prise serait peut-être triste au final. Pas de grandes robes,ni de roches précieuses, pas de livre vertueux ni de recettes de dimes, pas même un marchant écervelé défendant froidement sa marchandise… Rien que des joueurs de soule!

Coup d’oeil furtif dans la charrette, le regard presqu'au désespoir. S’accrochant au rebord de bois, elle bondit dans le charriot, sans perdre les badauds du coin de l'oeil, pour scruter la marchandise.

Bah mince alors ! Ce sont des ivrognes ! Y’a rien d’autre qu’un énorme tonneau de ..deuhm
Se saisissant d’un bol au fond de la charrette, elle le plongea sans hésitation dans le liquide alcoolisé.

Sllllllup

Silence inquiétant.

Sllllllup

Euhmmm, y’a pas dire hein…. Ils font du beau boulot côté boisson dans l’coin.

Aaaallez! C’est la part du Lion. Justement, ca manquait cruellement de liquide ces p’tites bécasses aux morilles. Qu’Il est bon Déos. Toujours là au bon moment!

Regard lumineux loué vers la lune et sourire satisfait.


Sous l’oeil attentif du Primus, les badauds ne disaient mots. Mis à part peut-être quelques *hips* bien sentis de temps à autre…

Bon, c’est pas tout ca, ca creuse l’appétit tant d'action! J'ai faim moua!
Et la gourmande féline de retrouver pied au sol au côté de son Capitaine et d'un tonneau de Bourgogne.
_________________
Ophy_lyam
[Novembre 1459, Compagnie de la Petite vérole, lance des macules ]

De jours en jours une autre nuit.

Kiki?
Pourquoi tu parles plus?

- Z'avions une dent en moins pffffff

Kiki?
Pourquoi tu traînes, t'as les poches trop pleines?

- Par Déos fa déborde pas encore!

Kiki ?
T'es prêt regarde si t'as encore des yeux...


Un groupe de gitans s'approchait sur le chemin.
D'un bras barrant toute avancée, juste intimer l'ordre de pas bouger et de les regarder passer.

Kiki?
Vise-moi ça !

- Où fa?

Des nobles, déménageant leur encombrement, on y va doucement elle à l'air engrossée la noble dame.

Les trois en coeur, un Kiki une rousse et son arbre, lancent leur cri convainquant.


"Nous sommes le Lion de Juda de Genève, et nous allons vous prendre tout ce que vous avez, à cause du Pape. Adressez-vous à lui si vous voulez vous plaindre. Ne bougez pas et nous ne vous tuerons pas." En tout cas f'est fe que nous foulions dire."




Kiki?

Z'ont pas trop couiné pour une fois

- Foui.....f''est festif les nobles.
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