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[RP] De l'Amour et de la folie...

Natale
Alors qu’il tentait vainement de la convaincre en expliquant toutes les personnes qui peuvent tenir à cette union, elle le prend de court et l’embrasse. Il libère sans le vouloir la main captive.
- Comment osez-vous m’embrasser ?**
Il lutte envers et contre tout, et surtout contre ses propres pulsions à lui.
- Je n’aime pas les femmes faciles.**
Vraiment ?
Cette fois-ci c’est lui qui l’embrasse.

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number 7
Marievictoire
Son Blond a écrit:
- Je n’aime pas les femmes faciles.**

Parvient-il à lui susurrer tout en lui rend son baiser.
Moi, j’ai horreur des hommes arrogants.**
Elle lui mordille alors l’oreille.
J’aime les hommes gentils.***
Elle ne se débat plus.
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Natale
Sa promise a écrit:
J’aime les hommes gentils.***


Quelle torture ! Il respire son parfum léger à pleine bouffée et pendant qu’elle lui mordille l’oreille il va chercher la douceur de sa nuque.
Alors tout en relevant la tête :

- Je suis un gentil vaurien.***
Il la hisse sur la table de la sacristie et l’embrasse de plus belle.






Alors vous avez trouvé ?
Notre premier eut flotté sur l’eau, notre deuxième est armé d’un fouet, et le dernier se déroule dans une galaxie lointaine… tout de même !

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number 7
Sancte
Marguerite a écrit:
« La tâche est rude mais ô combien gratifiante, nous devons faire preuve d’abnégation et toujours servir l’honneur et la droiture ».


Belles paroles d'évangile. Car en effet, aux vertus que l'on exige d'un domestique, connaissez-vous beaucoup de maîtres qui fussent dignes d'être valets ?* Mais là n'était pas vraiment le problème. Iohannes se rendait exceptionnellement aux mariages. Seulement pour ses proches. Au surplus à ceux de son entourage direct. Aussi, sa présence en ce dernier n'était que le fruit d'une courtoisie aux intérêts très politiques. Seulement, il tournait court, et cela l'agaçait quelque peu d'être venu de si loin pour assister à ce qui déboucherait fatalement sur une humiliation. Soit pour l'époux, si son mariage avortait aussi lamentablement. Soit pour la mariée, si elle se ravisait en séchant ses larmes pour faire oublier ses caprices. Qui ne connaissait pas les femmes pouvait dès lors se rendre compte de la profonde vacuité de leurs soupirs et soufflements, qui faisaient passer le sérieux de leurs revendications au-dessous de tout. Contrairement à ses habitudes, il ne se mua pas en loup-garou sanguinaire. Ayant suffisamment roulé sa bosse en ce genre de querelles amoureuses, il se garda sérieusement de montrer les crocs comme l'aurait fait un déserteur affamé dans les troupeaux de bétail du père Eugène, même si son impatience perçait maladroitement sous ses airs charitables.

« Franchement ma chère, c'est le cadet de mes soucis. ** Maintenant je vous conseille seulement d'ouvrir cette porte ou de nous ramener les mariés, si vous ne désirez pas que cette foule venue les acclamer, ne soit hélas toute aussi nombreuse pour assister à leur supplice. »



*Beaumarchais, pour le plaisir.
** Tant qu'on est aux répliques de film !
PS: Navré, sur la base des seuls dialogues, je n'ai reconnu qu'Indiana Jones et la dernière croisade :]

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Ref1
Le médecin commençait à se lasser de toutes ces histoires.
Attendre gentiment pour ne pas en rajouter, certes, mais l'horloge tournait.

Les mariages, c'est vraiment plus comme avant qu'il se disait.

Fait rare, il se décida donc à agir.

C'est d'un pas décidé qu'il prit alors la direction de la Marguerite.
Il ne la visait pas d'ailleurs la Marguerite. C'est à peine s'il l'avait remarquée.
En fait, il prenait la direction de la porte, mais la Marguerite était devant, donc il prenait aussi la direction de la Marguerite.
Qui était devant. Avec d'autres personnes. Qu'il évita tout autant.

Ce qui est embêtant quand on veut atteindre quelque chose, c'est quand il y a quelqu'un devant pour empêcher de l'atteindre.

C'est donc par un savant mélange d'acquis et d'inné, qu'il prit sur lui d'user de la somme de ses connaissances pour annuler le problème qui lui faisait maintenant face en déclarant à la fleur
:

Mais poussez vous vous !

Tout en tentant de saisir la porte.
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Marguerite, incarné par Marievictoire






Quand ça se bouscule au portillon...

Sancte a écrit:
« Franchement ma chère, c'est le cadet de mes soucis. ** Maintenant je vous conseille seulement d'ouvrir cette porte ou de nous ramener les mariés, si vous ne désirez pas que cette foule venue les acclamer, ne soit hélas toute aussi nombreuse pour assister à leur supplice. »


« Ah vous hein ! »
Elle se permet de pointer du doigt l’homme dont elle ne connaît ni la confession ni la droiture, ni la fratrie.
Et même si elle la première a envi de savoir ce qui se trame, tout ces hommes commencent à l’agacer prodigieusement.
Et voilà que la prédiction s’avère exacte que le témoin tente de forcer le barrage.

« Hééééééé. Mais ! OOOooooh »
Elle tient la main sur la poignée que le médecin parvient à actionner et dévoile l’intérieur de la sacristie à ceux qui se tiennent à l’embrasure.
« HUMF »
Elle en a le souffle coupé.




C'est le bon ! Il en manque encore deux, avis aux amateurs
Ref1
LA porte s'ouvrit.

Elle, allongée sur le dos sur la table.
Lui, plus ou moins au dessus d'elle, les mains sur sa poitrine.

Il pouvait être distrait le médecin, mais il ne lui en fallu pas plus pour savoir ce qu'il se passait ici !

Il se retourna rapidement vers les personnes présentes et lança :


Ne bougez pas, je suis médecin !

Il se précipita dans la salle pour rejoindre les futurs mariés et se mettre prêt de Natal.

Tu as besoin d'aide ? Lui lança t-il rapidement.

Il était médecin, il savait reconnaitre une friction cardiaque lorsqu'il en voyait une tout de même.
La pauvre avait du s'effondrer à cause de toute la pression du mariage. C'est un fait connu.

Il était donc prêt à agir tout en attendant la réponse de son ami.

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Asophie
Vlà-t-y pas que la porte s'était refermée sur un tête-à-tête dont on espérait qu'il n'allait pas déboucher direct sur la nuit de noces, et pendant que la dangereuse brute qui servait de sénéchal, maitre d'hôtel, garde-du-corps, homme à tout faire et surtout le pire, chef de meute et portier à l'occasion à son presque époux se faisait tenir le crachoir par une Marguerite presque fanée, un échevelé se faufilait, ni une ni deux au milieu de l'assemblée... Genre, ni vu, ni connu, j't'embrouille, le voilà devant la porte. Heureusement qu'il a choisi de s'approcher de la porte et pas du couple infernal, sinon il se serait sans aucun doute retrouvé avec quelques centimètres d'acier entre les côtes...

La scène s'accélère, la porte s'ouvre et mine de rien, elle s'est elle rapprochée de son homme, la main posée sur ses reins pour se hausser sur la pointe des pieds et jeter vers cette fichue porte un œil vague mais qui ne voit rien. A vrai dire, elle s'en fiche un peu et en oublie un instant le cadre, le monde, l'assemblée, le drame ou la comédie, elle ne savait plus qui se jouait là. Elle n'était plus que sa main, le bout de ses doigts qui le touchaient, enfin...
Alors les yeux mi-clos elle aurait pu murmurer :

"Tu es mon soleil, tu es ma lune ! Mon ciel étoilé ! Loin de toi, je suis prisonnière des ténèbres ! Je t'aime !..."*

Mais se contente d'un simple "Hmmm..." beaucoup plus universel...

* moi aussi je joue ! qui qui veut ma réplique de film...?
pssst... Star Wars, c'est de George Lucas, pas Spielberg alors si vous mettez de faux indices, on est mal barrés.

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"Connais-toi toi -même et tu connaitras l'Univers et le Divin."
Marievictoire
Quelques instants auparavant elle avait juste eu le temps de défaire un peu le lacet qui ferme le col du pourpoint de son époux, d'y glisser quelques chauds baisers au contact de sa peau alors qu'il la presse de plus belle tout contre lui. Elle articule d'une voix à peine audible :
Je suis encore vierge...
Comme si, vainement, elle pouvait encore lui résister par cet argument avant de basculer doucement sur la table.
Oh ! Qu'allait-il faire ? C'était déjà divin que de pouvoir vivre ces instants cachés, au nez et à la barbe de tout un parterre d'invités.
Elle se mordit la lèvre inférieur rien que d'y penser.


Elle est encore toute vêtue quand la porte cède.
*Misère !*
Elle reste interdite un bref instant, ne sachant s'il faut jouer les amants surpris, ou bien redevenir digne et souveraine de l'empire de ses sens.
C'est le témoin, un médecin ? Il leur propose son aide, mais pourquoi faire ??? Elle même ne saisit pas tout, limite un peu effrayée par la proposition lancée à la volée et décide de feinter, tant qu'il y a un médecin dans l'avion autant en profiter.

Ah! Je défaille.
Et de faire l'évanouie la main sur le front.





----------------
A mettre sur le compte de l'empressement Mais bien trouvé !
Hé hé, je vais tenter de deviner

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Natale
- Ce n'est pas important tu es à moi.
Et le blond allonge sa douce sur la table tout en passant aux préliminaires.

C'est alors que la porte s'ouvre.
Ne bougez-pas... ne bougez pas... Police mains sur la tête ! Après tout il sont bien prit en flag.
Sur le coup ce n'est plus du désir qu'il a - oui ça l'a coupé net - mais plutôt une sombre colère.
*- Vous pouvez pas frapper avant d'entrer !*


Canard à l'Orange a écrit:
Tu as besoin d'aide ?

Faut dire que là il est un peu prit au dépourvu, il veut dire quoi au juste?
Il serait plutôt du genre à lui balancer une réponse du style :"non, mais je te remercie de t'en inquiéter, je peu très bien le faire seul, maintenant tu m'excuse mais on est occupé".
Non mais c'est quoi ces insinuations.

-grmmmm
Il marmonne dans sa barbe qu'il n'a pas quand tout d'un coup sa proie lui échappe et tombe dans les pommes.
C'est pas tout mais il a besoin de l'avoir encore un peu vaillante pour le reste de la cérémonie et la séance de travaux pratiques qui suivra pour assurer la descendance.

-Savié mais fais quelque chose crénom !
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number 7
Ref1
Là encore, il avait vu juste !

Décidément, sa capacité à comprendre en instant, son potentiel d'analyse, il était vraiment au dessus de la moyenne.
Mais il se gardait bien de le dire.

Et voilà la future qui défaille, il le savait.
Et le marié de paniquer.

Là encore, ses nombreuses années d'études, et son expérience bien longue, lui permirent de prendre les choses en main.

Il commença par prendre la place de son ami, entre les gambettes de la future.
Il se mit ensuite au dessus d'elle pour approcher lentement son visage.

Lorsque leurs bouches ne furent qu'à quelques dizaines de centimètres, le médecin se figea.
Il approcha la main de la joue de Marie-Victoire.
Puis il lui une mit une bonne gifle dans les dents.


OH ! ON SE RÉVEILLE !!

Technique, reconnue et ô combien appréciée par l'ordre des médecins, qu'il maitrisait parfaitement.
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Marguerite, incarné par Marievictoire






Gnié, gnié, gnié.
Celle-là elle l'avait pas volé.
Heureusement que ce n'était pas sa fille.
Visiblement, cet homme, le médecin, en avait.
Si son sien à lui avait autant d'autorité et de prestance... Ah si seulement.
Elle réajuste sa coiffe, prend une bonne inspiration et attend la suite.
Marievictoire
Les gestes de cet homme l'effrayèrent à vrai dire.
D'abord prend la place de son promis, puis, s'approcher d'aussi prêt, mais elle tint bon, jamais le Très Haut ne pourrait permettre un tel sacrilège en un tel lieu... enfin question sacrilège ils avaient donné aussi.
Elle serra les dents, prête, au cas où il voudrait forcer cette voie.
Non elle ne voulait pas, non ! Son blond allait-il la délivrer, no...

...Et vlan !
Celle-là elle ne s'y était vraiment pas attendu.
Ce que ça fait mal.
La main droite jusque-là inactive s'en alla chercher la joue de son tortionnaire et ne la loupa pas.
Visiblement le remède du médecin avait fait son petit effet.

- Han ! Non mais !
Et d'aller de suite se réfugier dans les bras de son Blond.
-J'ai eu si peur.
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Natale
Le Blond nota dans sa tête en guise de pense-bête : "choisir un autre témoin au prochain mariage".
- Merci Savié. Merci.
Cependant le traitement semblait tout à fait efficace puisque sa promise vint chercher refuge auprès de son beau et grand mari et il redevint pour quelques secondes ce père protecteur qu'il avait été depuis le début de leur relation.
- Allons, allons, ce n'est rien, je suis là.
Et à destination de l'Orangé :
- Merci ! Je ferai appel à toi en cas de rechute.
Cependant il était difficile pour lui d'oublier le désir qu'il avait ressenti jusqu'à présent et ils ne pouvaient pas s'attarder ad vitam eternam dans cette sacristie bien étroite.
*Mmmmmm*

- Bon, je crois qu'on nous attends !
Oui aujourd'hui il avait des affaires à faire, un contrat à signer quoi. Il l'a prend par la taille et la ramène dans le chœur puis devant l'autel, croisant le regard de Marguerite, mais aussi les personnes de Sancte, sa compagne et un inconnu.
- Ce n'est rien, ce n'est rien ! Juste une petit crise ! Nous allons pouvoir reprendre.
Il place son épouse face à lui, comme si rien ne s'était passé ou presque.
- Mon Père, soyons justes, concis et venons-en directement aux faits, nous avons grand hâte de prendre femme.
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number 7
Saino
Le père Saino était tout bouleversé par les évènements. Rien ne se passait comme prévu. Son église subissait des transformations et il ne savait que faire.

Quel ne fut pas son soulagement lorsqu’il vit revenir les futurs époux et d’entendre la supplique de Natale :


- Mon Père, soyons justes, concis et venons-en directement aux faits, nous avons grand hâte de prendre femme.

Vous m’en voyez ravi… nous avons eu quelques craintes durant toute cette agitation.


La cérémonie allait pouvoir reprendre et suivre son cours normal.

Le padre s’approcha des fiancés et leur ouvrit le livre des cérémonies à la page des échanges des consentements.


Mes enfants, vous savez que le mariage est un engagement l’un envers l’autre de manière libre et sans contrainte, qu’il demande aux époux de se promettre un amour mutuel et de se respecter toute vie, que les époux doivent accueillir les enfants que Dieu leur donne et les éduquer selon les écrits d’Aristote et la pensée de Christos. Est ce bien pour tout cela que vous êtes aujourd’hui présent parmi nous.

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Capadre des Vents chauriens
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