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Annonces du Souverain.

Beatritz
-"Seront copiées ici les annonces royales, pour en faciliter la diffusion."
Beatritz
Nomination de la Duchesse Melior à la Pairie

Code:
[quote]Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, par la grâce du Très Haut & du peuple français, Reine de France,

Admettons ce jour Sa Grâce Melior de Lioure, Duchesse de Castelmoron d'Albret et Vicomtesse de Beaumont en Périgord, au sein de la Pairie de France, pour recevoir d'elle conseils & aide, en vertu de sa nouvelle charge.

Nous portons à la connaissance du peuple de France les hauts-faits par lesquels elle a prouvé qu'il nous serait bénéfique de l'avoir comme Pair.

Fait à Paris, le IVème jour de l'an neuf, mil quatre-cent cinquante-neuf.

[img]http://serenity.nuxit.net/eli/saunhac/sceauJ.png[/img][/quote]

[quote="Trunks59"][quote]
A la Très Noble Assemblée des Pairs,
Salutations respectueuses,

Nous, Trunks le LIXeme du nom, Duc de Guyenne, par la Grâce d'Aristote, et la voix du Peuple Guyennois, par la présente, vous soumettons la candidature de Melior de Lioure, Duchesse de Castelmoron d'Albret, Vicomtesse de Beaumont en Périgord à Pairie.
Veuillez trouver ci-joint les documents constitutifs du dossier.

Fait à L'Ombrière, le 14 Août 1458

Trunks
Duc de Guyenne.
[img]http://img149.imageshack.us/img149/3350/gueulescl2kj7.gif[/img][/quote]

[quote](Née le 6 novembre 2006 IG)
Née le sixième jour du mois de novembre de l'an de grâce 1426 à Castillon, en Périgord.

[color=darkred][b]HISTOIRE DE MELIOR[/b][/color]

[color=darkblue][b]Enfance[/b][/color]
Née à Castillon en Périgord, Melior passa néanmoins son enfance aux confins de l'orient et de l'occident. Son père étant au service d'un sultan, elle grandit entre les murs d'un palais. Sa nature curieuse la conduisit à recevoir l'enseignement d'un homme sage et plein de savoir. La demoiselle apprit donc  les sept arts quadrivium et trivium, malgré sa condition modeste.
En cette époque de temps troubles, le palais fut pris d'assaut et son père fut tué.
Melior s'enfuit, et rejoignit le royaume de France. Cherchant un point d'attache, elle retourna à la ville de Castillon. Elle décida d'y demeurer, un temps du moins.

[color=darkblue][b]Période périgourdine[/b][/color]
De nature active, elle se lança en politique, et fut maire de Castillon du 16 mars au 4 mai 1455. Une réélection qui montre la confiance que lui témoignaient   les Castillonnais.
Elle enchaîna ensuite au Conseil Comtal, devenant le procureur du Périgord-Angoumois, jusqu'au 25 août 1455.

[b][color=darkblue]Période berrichonne[/color][/b]
Son goût de l'aventure la poussa à voyager ensuite jusqu'en Berry, à Sancerre. Cette période fut marquée par la prise de Châteauroux par la Touraine, Melior participa à la défense du Duché, en combattant dans les rangs berrichons.
La nostalgie du Périgord Angoumois se faisant sentir, elle y retourna.

[color=darkblue][b]Période périgourdine bis[/b][/color]
Lors d'un voyage à Bergerac, la jeune femme se retrouva promue lieutenant de la ville. A cette charge, elle ajouta celle de Secrétaire d'Etat auprès du Périgord Angoumois. Ce qu'elle apprit en exerçant cette fonction, notamment par l'observation, l'ouverture aux autres Provinces du Royaume,  lui servit lors de ses mandats de Régnante.
Avril 1456, Melior perdit son époux, rappelé par le Très Haut.
La jeune veuve s'installa alors, avec ses deux enfants à Bergerac, dont elle devint le maire en mai.
La politique reprit le dessus, elle rejoignit la liste CANA et se lança dans les élections comtales. Elle dut remettre sa démission au Secrétariat d'Etat.
Melior devint ainsi Comtesse du Périgord-Angoumois dans les derniers jours de juin, bénéficiant d'un solide conseil.
La guerre contre la Bretagne sévissait alors. La situation avec la Guyenne se montrait tendue, après une tentative d'invasion par son prédécesseur le Comte Maximilien de Louvelle.
Après le guerrier, elle oeuvra  pour la paix. Ainsi les troupes du Périgord Angoumois envoyées en terre bretonne furent rappelées en leur terre, un traité d'entente fut signé avec la Guyenne, et l'on vit alors des soldats guyennois se ranger sous l'étendard de Perturabo, devenu son capitaine, combattre une armée de brigands.
Durant ce mandat furent également promulgué le nouveau corpus de lois comtales, et signé un Concordat avec la Sainte Eglise Aristotélicienne.
Soucieuse d'étendre la culture à tous, elle fit ouvrir une bibliothèque au château de Périgueux.
Les négociations du Mont St Michel débutèrent, et Melior y participa en tant que représentante de l'ADC, travaillant activement pour l'élaboration de la paix.
Lorsqu'elle arriva à la fin de son  mandat, la désormais Vicomtesse de Beaumont en Périgord repartit à l'aventure. Voyage tumultueux qui la conduisit jusqu'en Anjou, prêter main forte aux armées poitevines. 

[color=darkblue][b]Période angevine[/b][/color]
Blessée, elle demeura à La Flèche.
S'accommodant mal de l'inactivité, elle devint Procureur auprès de la Cour d'Appel.
Elle servit  également le Duché dans un premier temps comme Marchand Ambulant, et rappelée par la politique, mena une liste, dans un second temps, pour les élections ducales. Ayant obtenu un score honorable, avec 3 sièges pour 5 listes en lice, elle devint procureur d'Anjou de mars  à avril 1456. Là, elle s'occupa de la réorganisation de la Justice, cherchant à simplifier les procédures, en oeuvrant pour la mise en place effective d'un barreau d'avocats.  Elle travailla également sur les textes de loi angevins, notamment sur le Code Pénal.
Toujours désireuse d'apprendre, elle profita de ce temps pour suivre la formation des avocats du dragon, et fut diplômée, figurant au Tableau d'Honneur.
Etant appelée par certaines affaires, il lui fallut quitter la douceur angevine pour la Guyenne.

[color=darkblue][b]Période guyennoise[/b][/color]
Elle s'installa alors dans la ville de Montauban. Sa carrière au sein de la Cour d'Appel se poursuivit, et comme reconnaissance de la qualité de son travail, elle fut nommée procureur auprès de la Haute Cour de Justice.
Mais en novembre 1457, elle retourna encore en politique, menant la liste GPS pour les élections ducales.  Cette première participation la conduisit directement sur le trône ducal. En raison de l'incompatibilité de cette fonction avec celle de procureur royal, elle dut se mettre en retrait le temps du mandat vis à vis de la Cour d'Appel.
L'une des premières mesures économiques de la Duchesse  permit une remontée conséquente des finances guyennoises, alors qu'elles étaient catastrophiques. Le déficit net passa  de – 128 330 écus à – 70 017 écus, le déficit valorisé passa de  - 104 543 écus à –  49 211 écus , soit un bénéfice de 58 000 écus sans la valorisation.
Dans le domaine économique, encore, elle élabora les fondements de la Guilde des Marchands Ambulants en Guyenne.
En matière juridique, elle fit supprimer la Commission électorale, permettant ainsi à toute personne de se présenter à une élection municipale ou ducale tant qu'elle réside en Guyenne et possède un champ et/ou une échoppe.
Toujours impliquée en diplomatie, la Duchesse organisa un grand débat en Gargote sur les alliances possibles en Guyenne et les autres provinces, et le 23 janvier 1458, la Guyenne rejoignit l'Alliance du Ponant.
Lors des élections suivantes, GPS toujours mené par Melior arriva en tête des suffrages exprimés, mais par un jeu d'alliance entre les partis, ce fut El Barto qui fut reconnu Duc. Elle occupa brièvement le poste de Connétable avant de remettre sa démission. Durant cette période, elle officia à nouveau à la Cour d'Appel comme procureur, et fut nommée intendante du Ponant.
Fin mars, GPS, avec toujours pour tête de liste Melior obtint 6 sièges au Conseil avec trois listes en lice, événement particulièrement remarquable en Guyenne, reflétant la confiance qui lui était faite de la part des Guyennois. Elle fut alors reconnue pour la deuxième fois Duchesse de Guyenne. L'incompatibilité des deux fonctions, celle de régnante et de procureur royal se présentant de nouveau, elle présenta sa démission à la Cour d'Appel.
Durant ce second mandat, elle mena à terme la vaste entreprise que représentait la refonte du Grand Coutumier de Guyenne, aboutissement des travaux de plusieurs Conseils Ducaux.
Elle promulgua une nouvelle Charte sur la Chancellerie, sur laquelle elle avait travaillé avec l'ancien Chancelier de Guyenne, Messire Mac Givré.
Femmes de Lettres, elle décida de l'ouverture d'une librairie ducale, ouverte à tous, où les ouvrages entreposés y sont librement consultables. Elle lança également un long travail sur l'écriture de l'Histoire guyennoise.
Economiquement, les finances de la Guyenne continuèrent de remonter. Le déficit net passa  de – 46961 écus à – 25 802 écus, le déficit valorisé passa de  - 25 804  écus à +  22 442 écus. Ainsi avec la valorisation la Guyenne retrouvait le positif, chose qui ne s'était produite depuis près de deux ans.
Elle désira alors se retirer de la politique, et se mit au service de la Guyenne en matière commerciale et juridique, notamment avec sa nomination au barreau des avocats.
En Juillet 1458, elle fut également nommé Secrétaire d'Etat auprès de la Guyenne.


La Duchesse de Castelmoron d'Albret a tout au long de sa carrière oeuvré pour la Justice, la Diplomatie.
Son dynamisme, son sérieux et ses compétences l'ont conduite à assumer de nombreuses responsabilités.

[color=darkred][b]CHARGES EXERCEES [/b][/color]

[u][b]Charges comtales et ducales[/b][/u]
[list][*]Maire de Castillon du 16 mars au 4 mai 1455.
[*]Procureur du Périgord-Angoumois, du 4 mai 1455 jusqu'au 25 août 1455.
[*]Maire de Bergerac, mai 1456
[*]Comtesse du Périgord-Angoumois, juillet-août 1456.
[*]Procureur d'Anjou , de mars à avril 1456.
[*]Duchesse de Guyenne, fin novembre 1457-janvier 1458, fin mars 1458-mai 1458.[/list]

[u][b]Charges royales[/b][/u]
[list][*]Secrétaire d'Etat auprès du Périgord Angoumois, novembre 1455- fin juin 1456.
[*]Procureur près la Cour d'Appel, janvier 1456 à fin mars 1458.
[*]Procureur près la Haute Cour de Justice.
[*]Secrétaire d'Etat auprès de la Guyenne, juillet 1458.[/list]

[u][b]Autres :[/b][/u]
[list][*]Avocat du dragon.
[*]Intendante à l'Alliance du Ponant.[/list]

[color=darkred][b]FIEFS ET TENURES [/b][/color]

[u][b]De droit [/b][/u]

[list][*]6 Novembre 1456 : Vicomté de Beaumont en Périgord
[*]10 Février 1458 : Vicomté de Castelmoron d'Albret
[*]28 Mai 1458 : Vicomté de Castelmoron d'Albret élevée au rang de Duché [/list]

[color=darkred][b]DECORATIONS[/b][/color]

Commandeur de L'Ordre du Mérite du Périgord & Angoumois.

[color=darkred][b]RELIGION ARISTOTELICIENNE[/b][/color]

[url=http://img22.imageshack.us/img22/4504/baptmew.jpg]Baptême[/url] le 2 août 1455 en L'Eglise de Bergerac par le diacre Flex.

[url=http://registresea.lightbb.com/bourges-f43/sancerre-mariages-t591.htm] Mariage le 2 Septembre 1455[/url] célébré par monseigneur Ottobismarck en l'église de Sancerre.



[/quote]
[quote="Adrienne"][quote]Par la présente, Nous, Adrienne de Hoegaarden, Vicomtesse de Menin, Dame de Gavre et de Vinderhoute, Vice-Présidente à la Cour d'Appel Royale et Chef de Cabinet Royal, souhaitons apporter notre soutien en faveur de la candidature de notre amie, sa Grâce Melior, Duchesse de Castelmoron d'Albret, Vicomtesse de Beaumont en Périgord, à la Très Haute Assemblée des Pairs de France.

Son parcours au service de sa province et de son Roy est exemplaire. Pour avoir longtemps oeuvré à ses côtés à la Cour d'Appel Royale, son sens du devoir et de la fidélité, ses valeurs et sa disponibilité font que nous n'avons aucun doute sur ses qualités à prétendre rejoindre la plus éminente assemblée du Royaume pour leur apporter son dynamisme et sa fraîcheur.

Fait en ce 5ème jour d'Aout de l'An de Grâce MCDLVIII à Lyon.

[img]http://i44.servimg.com/u/f44/11/14/80/57/signat10.gif[/img]

[img]http://img682.imageshack.us/img682/2299/62130507.png[/img]
[/quote][/quote]



[quote="Lekaiser"][quote][i][color=black][b]A la Très Noble Assemblée des Pairs de France,
De Anthémios de Deliancourt, Connestable de France,[/b]


[b]S[/b]alutations,


[b]P[/b]ar la présente missive, nous apportons notre soutien à la candidature de dame Melior, Duchesse de Castelmoron d'Albret et Vicomtesse de Beaumont en Périgord. Nous justifions notre soutien par la grande estime que nous avons pour cette dame que nous eûmes à connaître lorsqu'elle fut Comtesse du Périgord-Angoumois. Nous nous souvenons d'un de ses propos d'alors, qui marqua nostre esprit. Tandis que nombres de Feudataires émérites auraient poursuivit dans leur lancée en réitérant mandat(s) de Régnant au sein de leur province, il n'en fut point le cas de Sa Grâce Mélior, cette dernière nous affirmant clairement vouloir aider provinces dont l'économie ou la stabilité étaient sensibles.

[b]D[/b]e fait, c'est en terres inconnues et souvent hostiles - en raison du passé les liant au Périgord-Angoumois - qu'elle se dirigea, parvenant à gagner la confiance du peuple d'Anjou et de celui de Guyenne jusqu'à en devenir leur procureur en Anjou puis Duchesse en Guyenne.

[b]L[/b]à où la Duchesse de Castelmoron inspire nostre respect réside bien dans son engagement devant la difficulté et la réussite des actions alors entreprises avec sérieux, application et dans l'unique but de servir les provinces pour lesquelles elle s'engagea, faisant alors fit des querelles passées. Ce sont ces mêmes qualités propres à Sa Grâce Mélior que nous mettons en avant par cette missive et dont nous sommes pleinement convaincus pouvoir être bénéfique pour la Pairie.

Faict le 6ème Jour du moys d'aout de l'an de grâce de Nostre Seigneur 1458.


[img]http://i84.servimg.com/u/f84/09/04/83/09/sans_t10.gif[/img]
[img]http://i84.servimg.com/u/f84/09/04/83/09/gueule11.gif[/img][/color][/i][/quote][/quote]


[quote="Arnautpantagon"]
Nous, Arnaut Pantagon, Comte de Najac, venons par la présente apporter notre soutien le plus appuyé à la candidature comme Pair de France de sa Grâce Melior de Lioure

Durant nos mandats en tant que Comte du Rouergue comme lors de nos nombreuses charges diplomatiques, nous avons l'honneur de côtoyer beaucoup d'éminents personnages du Royaume, que ce soit à la Chambre des Grands Feudataires ou en dehors. Que si notre bien aimé Roy peut se réjouir d'avoir à son service  bien des gens de valeur,  nous souhaitons exprimer ici notre certitude qu'aucun ne saurait mieux servir ses intérêts et ceux de la Couronne que sa Grâce Melior.

Expérience, loyauté, compétence et sagesse, telles sont les qualités qu'à nos yeux tout Pair de France devrait avoir. Or notre conviction profonde est que sa Grâce, plus encore que d'en être dotée, les incarne pleinement. Que nous prenne pour témoin notamment le spectaculaire redressement sous son égide du  Duché de Guyenne si longtemps demeuré dans l'abime avant son accession au trône d'icelui.  Que cela ne saurait seulement résulter de sa remarquable aptitude  à diriger, conseiller et soutenir tous ceux et celles ayant participé à cette œuvre. Car de fait, cela n'aurait été possible sans sa grande connaissance des affaires du Royaume ainsi que ses éminentes compétences juridiques, qui dans la situation présente sont les outils indispensables pour qui prétend à une telle charge.

Convaincu qu'à cette fonction, ses talents n'auront d'égaux que son dévouement, dans l'espérance que vous partagiez mon humble jugement, veuillez recevoir mes plus respectueuses salutations.



Fait à Najac, le neuvième jour d'août de l'an de Grâce MCDLVIII

Arnaut Pantagon
Com's de Najac[/quote][/quote]

[quote="Yodea"][quote]A la nobles assemblée des Pairs de France,

la candidature de Melior, vicontesse vassale du Périgord-Angoumois vous a été remise. En tant que régnant de cette province, je ne peux que soutenir de tout mon coeur cette candidature.

J'ai eu l'honneur de servir le comté sous son mandat et j'ai pu lire nombre de rapports la concernant. Cette dame s'est investie corps et âme dans toutes ses charges et a participé à la grandeur de notre comté et du royaume de France.

Je sollicite la plus grande bienveillance de votre part concernant cette candidature et je souhaite à dame Mélior le plus grand succès dans la charge et l'honneur que vous lui donnerez, je n'en doute pas un instant.

Cordialement,

Fay à Périguers le 19 aout 1458,

Etienne de Talleyrand-Périgord
Comte du Périgord-Angoumois

[img]http://img4.imageshack.us/img4/7194/parouge.gif[/img][/quote][/quote]

[quote="Althiof"]Voici l'enquête pour candidature à la Pairie de la Duchesse Melior de Lioure.

[quote]Nobles Dames et Nobles Sires,

Voici les conclusions de la Grande Prévôté de France, suite au dépôt d'une candidature d'accession à la Pairie pour la Duchesse Melior de Lioure :

[list][*]Dame Melior de Lioure est bien baptisée dans la religion aristotélicienne, baptême célébré le célébré le 2 août 1455 par Flex en l'Eglise de Bergerac, d'après les Registres de l'Eglise Aristotélicienne ;
[*]Ses titres de noblesse sont reconnus par la Herauderie ainsi que mentionné par les Nobiliaires du Périgord-Angoumois et de Guyenne ;
[*]Elle n'a pas été reconnue coupable de Haute Trahison ou de Trahison par la justice du Royaume de France. Son casier étant vierge en Guyenne où elle réside, en Anjou, Berry et Périgord-Angoumois où elle a également vécu, et à la connaissance des prevôts concernés vierge dans tout le Royaume.[/list]

En conclusion, je déclare cette candidature recevable.

Faict à Paris, le 3ème jour de septembre de l'an MCDLVIII,

Althiof de Marigny,
Grand Prévost de France

[img]http://img196.imageshack.us/img196/9371/gprvtor.gif[/img][/quote]

[quote][quote][b]Titres[/b]

Melior de Lioure :

[img]http://img822.imageshack.us/img822/9462/blasonsemelior.png[/img]

• Duchesse de [url=http://img94.imageshack.us/img94/7169/castelmoronalbretcd.png]Castelmoron d'Albret [/url] (Fief de retraite)
• Vicomtesse de [url=http://chateauperigueux.actifforum.com/fiefs-du-perigord-angoumois-f133/vicomte-beaumont-en-perigord-t6268.htm]Beaumont[/url] (Fief de retraite)[/quote]

[quote][b]Baptême[/b]

Baptême célébré le 2 août 1455 par Flex à Bergerac.[/quote]

[quote][b]Casier judiciaire[/b] : vierge

D'Emi4218, Prévôt de Guyenne :

"Suite à votre demande d'enquête, je tenais à vous faire part des résultats concernant Sa Grâce Melior de Lioure.
Son casier judiciaire est vierge et je n'ai pas connaissance qu'il en soit autrement dans les comtés voisins." [/quote][/quote][/quote]
Beatritz
Nomination du Duc Ztneik du Ried à la Pairie

Code:
[quote]Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, par la grâce du Très Haut & du peuple français, Reine de France,

Admettons ce jour Sa Grâce Ztneik du Ried, Duc de Trun, Vicomte d'Almenêches, Baron de Saint-Germain-sur-Avre, au sein de la Pairie de France, pour recevoir de lui conseils & aide, en vertu de sa nouvelle charge.

Nous portons à la connaissance du peuple de France les hauts-faits par lesquels il a prouvé qu'il nous serait bénéfique de l'avoir comme Pair.

Fait à Paris, le IVème jour de l'an neuf, mil quatre-cent cinquante-neuf.

[img]http://serenity.nuxit.net/eli/saunhac/sceauJ.png[/img][/quote]

[quote]A Sa Majesté Levan III de Normandie, Roy de France
A la noble assemblée des Pairs de France,

Salutations et Félicité.

De part un récent et funeste événement rendant l'Alençon orpheline de Pair
Et au su de l'acceptabilité d'une candidature revue par tranche démographique plutôt que par ratio,

Nous, Ludilau du Ried, avons l'insigne honneur en notre qualité de duchesse de l'Alençon de porter ce jour à votre connaissance la candidature de Sa Grasce Ztneik du Ried, Duc de Trun, Vicomte d'Almenêches, Baron de Saint-Germain-sur-Avre, pour nouvel examen.


Scellé à  Alençon,
Le quatrième jour d' Aout 1458.

[img]http://img196.imageshack.us/img196/1849/seauordreadministratifd.gif[/img][/quote]



[quote][list][size=24][u][b]Ztneik Du Ried[/b][/u][/size]

[size=18][i]Duc de Trun, Vicomte d'Almenêches, Baron de Saint-Germain-sur-Avre
 ~ Grand d'Alençon ~ [/i][/size]

[i]" Ad Gloriam Alencionensis "[/i]


[*][u]Les prémices[/u]

[i]Avril 1454, c'est à cette date que Ztneik du Ried démarra son engagement dans la vie active, politique, économique et sociale du Royaume de France.

Dans la petite ville de Mende dans le Comté du Languedoc, où il s'installa avec une cinquantaine d'écus en poche, Ztneik fit ses premiers pas, acquérant rapidement des terres pour participer activement à l'économie du village. Il s'engagea alors au poste de Tribun pour venir en aide et conseiller les nouveaux arrivants, chose qu'il fit avec passion avec beaucoup de considération pour ses prochains.[/i]

[*][u]Vers le Domaine Royal[/u]

[i]En août de cette même année, diverses raisons personnelles le poussèrent à gagner le Domaine Royal en la ville de Verneuil sise en le Duché d'Alençon. De par ses qualités humaines, il gagna rapidement la sympathie des habitants et s'intégra à la vie de la bourgade, fournissant ses produits artisanaux et ceux issus de ses cultures à bon prix pour la mairie. Il décida, peu de temps après sa venue, de soutenir la liste Renouveau Alençonnais, menée par Aldebbarant Ypriex. Vers la fin d'année il quitta l'Alençon plusieurs jours pour la Lorraine où il y vécut très brièvement jusqu'à éprouver une profonde nostalgie pour l'Alençon et le Domaine Royal. Il délaissa ses champs, détruit son échoppe et traversa le Royaume d'Est en Ouest pour rentrer à Verneuil. En se réinstallant en Alençon, il eu la certitude d'être enfin chez lui et ne quitta plus jamais les terres du Roy. C'est à ce moment qu'il décida de s'investir pleinement en politique, de donner sa vie aux terres Alençonnaises.[/i]

[*][u]Les flammes d'un coeur ardent[/u]

[i]Au début de l'année 1455, il obtint la citoyenneté Alençonnaise et s'engagea dans l'armée du Duché. Il participa ainsi à la grande guerre contre l'Anjou et la Bretagne et combattit durant 10 longues semaines les ennemis de la Couronne, pensant le faire bénévolement, sous les ordres d'Aldebbarant Ypriex. Leur lance déjoua une importante attaque bretonne dans le Maine, qui visait à annexer le Comté, gardant ainsi le Maine de toute domination bretonne.
De retour en Alençon, après la guerre, il continua de s'investir à Verneuil et pour le Duché. Devenu érudit du Duché, il s'investit en politique aux côtés de feue Letilaca, Duchesse emblématique, qui voyant ses qualités et son abnégation le lança concrètement dans la politique. Sous le mandat de la Duchesse, il fut porte-parole de l'Alençon pour son premier mandat. Il fut alors immédiatement missionné pour reprendre la mairie de Verneuil, alors délaissée par son maire et y assura donc l'interim. Suite à cela et fort des enseignements de son amie Kiburlen, Ztneik restera conseiller municipal et formateur des maires de Verneuil depuis ce jour et représentant du nouveau Cadastre Vernolien. Les semaines suivantes, il fut décoré de l'unique médaille pour services rendus à la ville de Verneuil. Parallèlement à cela il devint pour la première fois Commissaire au Commerce d'Alençon, avec un bilan postitif au compteur de surcroit. Suite à cela il occupa le poste de simple conseiller ducal, s'affairant à divers tâches durant les deux prochains mandats avec en sus, un nouveau mandat à la tête de la mairie de Verneuil.

En l'an 1456, survinrent d'importants déménagements vers les provinces du Sud du Royaume, mettant en difficulté l'économie municipale de Verneuil. Alors à nouveau élu maire de la ville, il occupa ce poste durant 3 mandats consécutifs en travaillant tout seul et à tous les niveaux. Il offrit également une aide alimentaire d'une centaine de miches de pains à prix réduit à la section armée de la Grand-Maistre de France lors de déplacements militaires et fut remercié par cette dernière par le biais d'une missive remise en mains propres. Par simple plaisir d'offrir un confort de vie à ses concitoyens, il travailla d'arrache pied, occupant les postes de Maire, Tribun, agent de police, douanier, multipliant les visites en tavernes et sur la halle. Sans compter et méticuleux sur de nombreux points il réussit à redresser la situation après des semaines de travaux jusqu'à faire de Verneuil, une paisible bourgade et première puissance économique du Duché d'Alençon où l'activité était revenue au plus haut point alors que les migrations avaient malmené la ville. Mais son rôle ne s'arrêta pas là puisqu'il était redevenu Commissaire au Commerce et s'attacha à entretenir l'économie ducale par la même occasion. Continuant toujours son travail il devint par la suite Juge d'Alençon, rattrapant un retard notable concernant les verdicts à rendre puis il devint Prévôt des Maréchaux.
Lorsqu'une nouvelle invasion bretonne arriva, il était présent tous les matins debout dès l'aube afin de recruter et former les maréchaux pour la défense de la capitale car lui même connaissait le poste puisqu'il était chef maréchal successivement dans 3 villes du Duché. Il prit alors les armes pour défendre l'Alençon et le Domaine Royal. Grièvement blessé lors des combats il se remettra difficilement de ses blessures mais survécut finalement. Pendant qu'il pansait ses blessures il étudia longuement jusqu'à maitriser toutes les connaissances dans le domaine étatique, militaire et maitrisant également plusieurs langues. Pour ceci, il se vit alors remettre la médaille du savoir. La décoration de la médaille du bravoure pour la défense d'Alençon lui fut alors également remise en récompense de ses nombreuses actions passées pour la sauvegarde de la capitale. Ztneik fut annobli par la suite Baron des terres de Saint Germain-sur-Avre sur demande de Letilaca, Duchesse de Flers qui après l'avoir lancé en politique a voulu le remercier; Ce fut une récompense sentimentale aux yeux de Ztneik, pour son zèle et son travail envers son village et son Duché. Ztneik était bien connu pour sa simplicité, sa loyauté et son désinteressement le plus total car il ne demandait jamais rien en retour.

Une fois sur pieds, et la guerre terminée, il continua son investissement pour l'Alençon et les terres du Roy. Au conseil ducal il fut de nouveau Commissaire au Commerce pour la troisième fois, remplaçant ainsi un conseiller très peu préocupé par le sort de l'économie Alençonnaise. Le mandat suivant, il le poursuivit en temps que Commaissaire au Commerce et devint Recteur du Duché d'Alençon. Ztneik avait également prit la tête de la mairie de la capitale suite au départ d'un maire sur place, y assurant ainsi l'intérim. Toutes ses charges, Ztneik savait les gérer avec brio et réussite. Ses ouvrages ne s'arrétèrent pas là et il continua son travail pour l'Alençon. Poussant un peu plus loin son travail et son dévouement pour l'Alençon il mena une liste aux élections ducales du mois de décembre et fut alors élu Duc par le peuple alençonnais et le conseil ducal. Après avoir financé la liste ducale à lui seul, il mena de son bon vouloir, l'armée l'Alençonnaise I durant deux mois, afin de prévenir de toute menace. Suite à son mandat il reçut en fief de retraite la vicomté de Trun et fut nommé archiviste d'Alençon suite à son investissement pour le Duché.

L'an 1457 fut tout autant rempli d'investissements et de travaux pour l'Alençon et la ville de Verneuil pour Ztneik, ayant fait de l'Alençon une majeure partie de sa vie. Toujours présent au conseil ducal il pallia à beaucoup de démissions et d'abandons de postes, assurant le remplacement à diverses charges, comme bailli, juge, commissaire au commerce, prévôt ou encore connétable du Duché. Faisant également plusieurs mandats de conseiller sans poste en plus de cela. Ztneik aura quasiment touché à tous les postes possibles en Alençon. Renouvelant l'expérience du début d'année il mena à nouveau une liste aux élections ducales et fut alors élu pour un second mandat de Duc. Trun fut par la suite élévée en duché. Suite à ce mandat il continua à être conseiller permanent du Duc d'Alençon. Il enchaina sur deux autres mandats de conseiller ducal en tant que conseiller politique, palliant de nouveau à diverses absences au sein du conseil ducal. Un beau jour, le Surrintendant des Finances lui proposa une place à ses côtés en tant qu'intendant en charge du Domaine Royal. Il accepta donc, avec plaisir. Ztneik ne cherchait pas la gloire de part ce premier poste royal, mais il souhaitait honorer ce poste pour louer son savoir et son aide à une persone qu'il appréciait et respectait. Cela pour le bien du Duché et du Domaine Royal. Cependant il délaissa le poste peu de temps après, suite au décès de feu Redschark. Par la suite il épaula également le Héraut d'Armes d'Alençon et devint Poursuivant d'Armes car il se passionnait pour l'art Héraldique.

Ztneik s'engagea également dans la diplomatie, devenant alors ambassadeur auprès du Comté du Languedoc puis ambassadeur auprès du Grand-Duché de Bretagne. Il devint cette année là le premier notable du Duché et fit construire le premier hôtel particulier du Duché à Alençon. Son amour pour l'Alençon le pousse à se surpasser en continue, en effet, avec dix mandats de maire et plus de 32 mois au conseil ducal, il est toujours disposé à aider, à rendre service et à servir le Roy.

En ce début de l'an 1458, le dévouement de Ztneik du Ried pour l'Alençon et la Couronne n'a pas faibli. Maire de Verneuil durant 3 mandats, suite à la reprise de la mairie après démission du maire, et connétable d'Alençon, il reste conseiller ducal permanent et l'un des grands du Duché d'Alençon. Paralèllement à cela, il postula à la charge de Gentilhomme de la Chambre du Roy afin de prouver encore une fois, sa fidelité, sa loyauté, et toujours mieux servir Sa Majesté en toute circonstance. Quelques temps après, le départ soudain en retraite de la personne alors maire à Verneuil avait laissé la mairie livrée à son sort. Pour honorer un dixième mandat à la tête de la mairie, il reprit la mairie après accord de la Duchesse et de son conseil, pour ne pas la laisser sombrer et y assurant ainsi encore une fois un intérim de qualité en rééquilibrant le marché.

Aujourd'hui à l'aube d'un nouveau mandat, il fut nommé Secrétaire d'Etat d'Alençon, réalisant son souhait d'établir de solides relations entre lui, le peuple, le Duché d'Alençon et les institutions Royales. Il entra également dans l'Ordre royal des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, toujours pour mieux servir notre Souverain, tout en étant aide de camps de l'ost royal alençonnais pour assurer une meilleure communication entre l'Etat Major et le Haut Commandement de l'Alençon. Pensant toujours à son prochain, pour l'Alençon, et pour le Roy. Toujours prêt à offrir de sa personne et de part son investissement sans limites et sa réussite continue, Ztneik était devenu Conseiller Ducal Permanent du Duc d'Alençon depuis le début de l'année 1457.[/i][/list][/quote]

[quote][list][size=18][u][b]Titres, charges, fonctions et décorations[/b][/u][/size]


[list][*][u]Titres[/u]

[list][*][i]Duc de Trun[/i] (Fief de retraite)
[*][i]Vicomte d'Almenêches[/i] (Fief de retraite)
[*][i]Baron de Saint-Germain-sur-Avre[/i] (Fief de mérite)[/list]


[*][u]Charges et fonctions dans le domaine civil[/u]

[list][*][i]Notable (niveau 4) et premier propriétaire d'un hôtel particulier à Alençon[/i] (Depuis Mars 1457)
[*][i]Gouverneur de la Batisse Alençonnaise Novatrice de Crédit[/i] (Depuis 1456)
[*][i]Directeur de la Nouvelle Ecole des Fonctionnaires[/i] (Depuis 1457)
[*][i]Ancien Recteur de l'Université d'Alençon[/i]
[*][i]Ancien représentant et créateur du nouveau Cadastre Vernolien[/i]
[*][i]Formateur des maires de Verneuil[/i] (Depuis juin 1455)
[*][i]Archiviste Ducal[/i] (Administrateur du forum  des institutions alençonnaises depuis 1456)[/list]


[*][u]Charges et fonctions dans le domaine militaire[/u]

[list][*][i]Soldat dans l'armée des Ours d'Alençon[/i]
[*][i]Ancien Logisticien dans l'armée Momento Finis dirigée par Grégoire d'Ailhaud[/i]
[*][i]Ancien Chef des Maréchaux à Verneuil, Argentan et Alençon[/i]
[*][i]Ancien réserviste chez les Ours Alençonnais[/i]
[*][i]Ancien Trésorier dans l'armée de Sa Grâsce feue la Duchesse de Flers durant l'invasion Bretonne[/i]
[*][i]Ancien Chef d'armée de L'Alençonnaise I[/i] (1 mandat)
[*][i]Vétéran de Guerre contre la Bretagne et l'Anjou en 1455[/i]
[*][i]Vétéran de Guerre contre la Bretagne en 1456[/i]
[*][i]Ancien Trésorier dans l'armée de sa Duchesse Létilaca durant l'assaut Breton[/i][/list]


[*][u]Charges et fonctions dans le domaine politique[/u]

[list][*][i]Conseiller permanent du Duc d'Alençon[/i] (Depuis Février 1457)
[*][i]Ambassadeur d'Alençon dans le Comté du Languedoc[/i] (Depuis Février 1457)
[*][i]Ambassadeur d'Alençon dans le Grand Duché de Bretagne[/i] (Depuis Septembre 1457)
[*][i]Ancien Vice-Chancelier d'Alençon[/i] (Durant 4 mois)
[*][i]Ancien Maire de Verneuil[/i] (10 mandats)
[*][i]Ancien Maire d'Alençon[/i] (1 mandat)
[*][i]Adjoint au maire et conseiller municipal[/i] (Depuis Juillet 1455)
[*][i]Ancien Conseiller à l'agriculure, aux artisans, aux érudits et au verger[/i]
[*][i]Ancien Tribun de Verneuil[/i]
[*][i]Ancien agent de Police à Verneuil puis Sergent puis Lieutenant[/i]
[*][i]Ancien Conseiller d'Alençon[/i] (6 mandats)
[*][i]Ancien Duc d'Alençon[/i] (2 mandat)
[*][i]Ancien Commissaire au Commerce d'Alençon[/i] (3 mandats)
[*][i]Ancien Porte-parole du conseil d'Alençon[/i] (1 mandat)
[*][i]Ancien Juge d'Alençon[/i] (1 mandat)
[*][i]Ancien Prévôt des Maréchaux d'Alençon[/i] (1 mandat)
[*][i]Ancien Connétable du Duché d'Alençon[/i] (1 mandat)
[*][i]Ancien Remplaçant Bailli, CaC, CaM, Connétable, Juge, Prévôt[/i][/list]


[*][u]Charges et fonctions dans les institutions royales[/u]

[list][*][i]Secrétaire d'Etat de l'Alençon[/i] (Depuis Mars 1458)
[*][i]Gentilhomme de la Chambre du Roy[/i] (Depuis Février 1458)
[*][i]Aide de camp de l'Ost Royal de l'Alençon[/i] (Depuis Avril 1458)
[*][i]Cadet de l'Ordre Royal des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem[/i] (Depuis Avril 1458)
[*][i]Poursuivant d'Armes en Alençon[/i] (Depuis Septembre 1457)
[*][i]Ancien Intendant du Cabinet des Finances en charge de l'Alençon sous Redshark[/i][/list]


[*][u]Décorations et distinctions[/u]

[list][*][i]Croix de Verneuil, pour services rendus à la ville[/i]
[*][i]Croix de Bravoure, pour la défense de la capitale[/i]
[*][i]Médaille du Savoir Universitaire[/i][/list][/list][/list][/quote]

[quote][list][size=18][u][b]Liste de soutiens[/b][/u][/size]


[i]La candidature de Ztneik du Ried à reçu le soutien de:[/i]

[list][*] Son Eminence [b]Seriella de Bernouville[/b], Cardinal-Archevêque métropolitain de Rouen, Dame de Bernouville - [i]Prélat de la Sainte Eglise Aristotélicienne, Universelle et Romaine[/i]

[*] Sa Grandeur [b]Nebisa de Malemort[/b], Comtesse de Ségur, Vicomtesse de Chabrières, Dame douairière de Lussac-les-Eglises, Dame de Sigloy - [i]Grand Chambellan de France[/i]
[*] Sa Grandeur [b]Grégoire d'Ailhaud[/b], Comte de Saint-Omer et de Lille, Baron d'Air-sur-la-Lys et d'Arques, Seigneur de Dammarie-les-Lys - [i]Chancelier de France[/i]

[*] Sa Grâce [b]Alcalnn Blackney[/b], Duc de Mortain, Vicomte du Mont Saint-Michel, Baron de Saint-Pair, Seigneur de La Haranguère - [i]Grand Amiral de France[/i]
[*] Sa Grâce [b]Nennya Blackney Desbois[/b], Duchesse de Mortain, Vicomtesse du Mont Saint-Michel, Baronne de Saint-Pair, Dame de La Haranguère - [i]Première Dame de la Chambre du Roi, Rectrice de l'Hôtel-Dieu de Paris, Rectrice du Collège Saint-Louis de France[/i]
[*] Sa Grandeur [b]Ursin de Lasteyrie[/b], Comte de Comborn, Vicomte du Labourd, Baron de Saint-Léonard de Noblat et d'Aubazines - G[i]rand Maître des Cérémonies de France, Chevalier Grande Croix de l'Ordre Royal des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem[/i]
[*] Dame [b]Arianrod de Cénorel[/b], Baronne d'Ouillie, Dame d'Huest et de Saint-Martin d'Abbat - [i]Capitaine de la Garde Royale[/i]
[*] Dame [b]Adrienne de Hoegaarden[/b], Vicomtesse de Menin, Dame de Gavre et de Vinderhoute - [i]Vice-Présidente de la Cour d'Appel Royale[/i], [i]Chef de Cabinet Royal des Provinces du Nord du Secrétariat d'Etat[/i]

[*] Sa Grâce [b]Petitsuisse de Carrouges[/b], Duc de Carrouges, Seigneur de La Londe-en-Trun - [i]Ancien Duc d'Alençon - Hospitalier de l'Ordre Royal des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem[/i]
[*] Sa Grâce [b]Rose du Ried[/b], Duchesse de Trun, Vicomtesse d'Almenêches, Baronne de Saint-Germain sur Avre - [i]Ancienne Duchesse d'Alençon, Garde Royale[/i]
[*] Sa Grâce [b]Keur d'Aunay[/b], Duc de Thorigni, Baron d'Aunay - [i]Ancien Duc de Normandie[/i]
[*] Monseigneur [b]Aldebbarant Ypriex[/b], Vicomte de Nogent-le-Rotrou, Seigneur de Céré-la-Ronde - [i]Ancien Duc d'Alençon, Ancien Grand-Maître de l'Ordre royal des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem[/i][/list][/list]

[list][i]En voici les exemplaires.[/i][/list]
[quote]

[b]Moi Petitsuisse, Duc de Carrouges et Seigneur De La Londe En Trun apporte mon soutien a la candidature à [/b][b]la noble assemblée des pairs de France de[/b][b] Ztneik du Ried, duc de Trun, vicomte d'Almenêches, baron de Saint-Germain-sur-Avre, actuellement Gentilhomme de la Chambre du Roi, Secrétaire d'Etat d'Alençon et membre de l'Ordre royal des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.[/b]


[b]Cet homme aux nombreuses qualités qu’il a toujours mit au service de notre bon Roy au travers des différentes charges dont il fût investi et dont l’abnégation et sa dévotion n’a pas de limite enrichirait sans conteste cette haute assemblée.[/b]


[b]Fait le troisième jour de Mai 1458,[/b]
[b]A Carrouges.[/b]


[font=Arial][b]Petitsuisse[/b][/font].

[img]http://img707.imageshack.us/img707/4913/sceaupetitsuisserouge.png[/img]
[/quote]

[quote]
Nous Rose du Ried, dicte MissRose, Duchesse de Trun, Vicomtesse d'Almenèches, Baronne de Saint Germain sur Avre, apportons notre soutien à sa Grâce Ztneik du Ried, Duc de Trun, Vicomte d'Almenèches, Baron de Saint Germain sur Avre, pour sa candidature à la Très Haute Assemblée des Pairs de France.

Son humilité et son travail acharné en toute abnégation depuis nombres d'années, pour son duché, pour le Domaine Royal, pour son Roy et pour le Royaume, ne peuvent être qu'un enrichissement pour cette très noble assemblée.

Faict en le Domaine de Trun, le 5e jour du mois de Mai 1458

[img]http://i60.servimg.com/u/f60/12/90/23/22/signat11.png[/img]

[img]http://img514.imageshack.us/img514/3293/sceaurosederiedrouge.png[/img][/quote]

[quote][i]Faict le 5 mai de l'an de grasce 1458 à Alençon.[/i]

Nous, Grégoire d'Ailhaud, Chancelier de France, Duc Consort d'Alençon, Comte de Lille et de Sainct-Omer, Baron d'Aire-sur-la-Lys et d'Arques, Seigneur de Dammarie-les-Lys,

Soutenons sa Grasce Ztneik du Ried, Duc de Trun, Vicomte d'Almenêches, Baron de Saint-Germain-sur-Avre, dans sa candidature à la Cour des Pairs.

[img]http://i43.servimg.com/u/f43/09/03/74/11/thegre11.gif[/img][/quote]

[quote]Par la présente, Nous, Adrienne de Hoegaarden, Vicomtesse de Menin, Dame de Gavre et de Vinderhoute, Vice-Présidente à  la Cour d'Appel Royale et Chef de Cabinet Royal, souhaitons apporter notre soutien en faveur de la candidature de sa Grâce Ztneik du Ried, Duc de Trun, Vicomte d'Almenèches, Baron de Saint Germain sur Avre, à la Très Haute Assemblée des Pairs de France.

Son parcours au service de sa province et de son Roy est exemplaire. Son sens du devoir et de la fidélité, ses valeurs et sa disponibilité font que nous n'avons aucun doute sur ses qualités à prétendre rejoindre la plus éminente assemblée du Royaume.

Fait en ce 6ème jour de mai de l'An de Grâce MCDLVIII à Lyon.

[img]http://i44.servimg.com/u/f44/11/14/80/57/signat10.gif[/img]

[img]http://img682.imageshack.us/img682/2299/62130507.png[/img][/quote]

[quote]Nous Arianrod de Cénorel, Baronne d’Ouillie, Dame d’Huest et de Saint Martin d’Abbat, apportons notre soutien à la candidature à la Noble Assemblée des Pairs de France de sa Grasce Ztneik du Ried, Duc de Trun, Vicomte d'Almenèches, Baron de Saint Germain sur Avre.


Voila maintenant de nombreuses années que cet homme au grand cœur, c’est mis au service de son Duché par sa grande implication dans celui-ci, mais cela ne lui a pas suffit, il se mit au service de notre Roy au travers des différentes charges qu’il a exercé. Fidèle à ses convictions, il n’a jamais trahis celles-ci, avec une dévotion et une abnégation sans limite.


Faict le septième jour du moi de Mai de l’an mil quatre cent cinquante huit

[img]http://i36.servimg.com/u/f36/11/66/85/99/huest_10.gif[/img][/quote]

[quote]Nous, Ursin de Lasteyrie, Grand Maitre des cérémonies de France, Comte de Comborn vicomte du Labourd, Baron de Saint Léonard de Noblat et d'Aubazines, Chevalier Grand Croix de l'ordre hospitalier de Saint Jean de Jérusalem, déclarons soutenir la candidature à la Pairie de France de Sa Grâce Ztneik du Ried, duc de Trun, vicomte d'Almenêches, baron de Saint-Germain-sur-Avre.
Attestons qu'il est homme de droiture, de valeurs de tout à fait digne à nos yeux de rejoindre la noble assemblée des pairs de France
Donné par Nous Ursin de Lasteyrie en nos terres du Limousin le 9 mai 1458[/quote]

[quote]A la Noble Assemblée de la Pairie,

Voilà plusieurs années que moi, Keur d'Aunay, Duc de Thorigni connait le Duc de Trun, Sa Grâce Ztneik du Ried,
que j'ai eu plaisir à travailler avec lui de fait des différentes charges qui nous incombaient...
même au delà, avec des entretiens à titre privé pour partager nos différents points de vue
de ce qu'il se passait en Alençon, Normandie, et dans tous le Royaume de France.

Homme juste et de bon sens, sa vision des choses reflète l'attachement qu'il porte à la Couronne et au Royaume.
Fidèle et diplomate, il a su accomplir ses devoirs avec discernement et entretenir de bonnes relations
avec les provinces voisines.

Toujours dans la volonté d'aider, et ses différentes charges actuelles, montrent son envie de s'investir
et cela au delà de l'Alençon et du Domaine Royal.
C'est donc tout naturellement, que je porte soutien à la candidature du Duc de Trun,
que la Duchesse Deedlitt souhaite présenter à la Pairie

Normandie, le 10 mai 1458
Keur d'Aunay
Duc de Thorigni[/quote]

[quote="Nennya Blackney"][quote]
[i]De Nous, Alcalnn Blackney, Duc de Mortain, Vicomte du Mont Saint Michel, Baron de Saint Paer, Amiral de France, Mestre Chancelier de l'Ordre de Saint Michel,

Nennya Blackney Desbois, Duchesse de Mortain, Vicomtesse du Mont Saint Michel, Baronne de Saint Paer, Dame de la Haranguère, Rectrice de l'Hotel Dieu de Paris et du Collège royal Saint Louis, Première Dame de la Chambre du Roy, Mestre Annaliste de l'Ordre de Saint Michel, salut et paix.

Qu'il soit su qu'en ce jour nous apportons nostre soutient au Duc Znteik de Trun dans sa candidature à la Pairie. En effet lorsque nous eûmes à travailler avec lui, soit durant nostre mandat de Duc de Normandie, ou plus tard via nos offices royales, nous avons toujours trouvé un homme posé et réfléchit à même de servir Sa Majesté avec zèle et sérieux.

Bien à vous,
Alcalnn et Nennya.


[img]http://i69.servimg.com/u/f69/11/69/50/92/alcaln10.png[/img][img]http://i69.servimg.com/u/f69/11/69/50/92/nennya10.png[/img][/i][/quote][/quote]

[quote]Nous, Aldebbarant Ypriex, Vicomte de Nogent le Rotrou, Seigneur de Céré la Ronde, Chevalier de Dévotion de l'Ordre Hospitalier de Saint Jean de Jérusalem, à ceux qui nous liront: salut.!

J'écris ces quelques lignes afin de soutenir la candidature de sa Grâce Ztneik du Ried, Duc de Trun, Vicomte de d'Almenêches et Baron de Saint Germain sur Avre. En effet, j'ai eu le plaisir de travailler à des nombreuses reprises avec lui au sein du conseil d'Alençon et j'ai l'insigne honneur de le compter comme ami de très longue date.

Il est une personne sérieuse et consciencieuse dont le travail et l'abnégation n'est jamais prise en défaut. Volontaire voire altruiste, il n'a pas son pareil pour faire ressortir le meilleur des gens qui l'entourent. Ses compétences économiques ne sont plus à démonter et ces qualités de médiations en font un atout plus que vital pour tout conseil qui se respecte. Je sais qu'il apportera beaucoup à la Pairie de par son calme ou ses compétences et qu'il se révèlera vite un atout au sein de votre assemblée.

Fait sur les remparts de Verneuil
Le 14 mai 1458

[img]http://i69.servimg.com/u/f69/11/69/50/92/aldebb11.png[/img][/quote][/quote]
Beatritz
De l'Anjou et de S.E. Clodeweck de Montfort-Toxandrie

Code:
[quote]Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, par la grâce du Très Haut & du peuple français, Reine de France,

Au peuple de France,
Au peuple d'Anjou
&
À Son Eminence Clodeweck-Toxandrie,

Salut !

Nous avons considéré l'annonce de Son Eminence Clodeweck de Montfort-Toxandrie, qui fit suite à la prise du Château d'Angers, tout comme nous avons considéré l'annonce émanant de la Congrégation des Affaires du Siècle et de la Nonciature Apostolique de Rome. Nous voyons d'un œil attristé les événements qui ébranlent l'Anjou, terre certes longtemps guidée par un hérétique, mais au crépuscule de cette ère.

Nous ne comprenons pas à quelles fins frapper une province tout près de renaître, par la voix des urnes & le retrait annoncé de son félon dirigeant ;

Nous ne comprenons pas comment le Camerlingue de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne a pu s'en remettre à la confiance que tout fidèle aristotélicien était en droit de concevoir à son égard, pour asseoir un coup d'éclat que désormais rien ne justifiait.

Nous nous préoccupons de l'aristotélicisme en nos terres, & souhaitons le voir régner partout sans partages ; nous nous ferions son bras armé, s'il était besoin de déloger un hérétique d'un pouvoir indu ; mais nous concevons mal que l'Eglise Aristotélicienne agisse sans concertation avec la Couronne de France, sur ses propres terres. La Couronne de France et la Très Sainte Eglise Aristotéliciennent se doivent d'agir dans un respect & un dialogue permanents.

Notre impatience est donc grande de connaître le discours de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne au sujet de ces événements.

Dans l'attente de ce jour, nous prions pour l'apaisement des tensions en Anjou & le bon déroulement de la désignation de son nouveau régnant.

Fait à Paris, le IVème jour de l'an neuf, mil quatre-cent cinquante-neuf.

[img]http://serenity.nuxit.net/eli/saunhac/sceauJ.png[/img][/quote]
Beatritz
Ouverture d'une enquête sur la prise d'Anjou

Citation:
Nous Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

Suite à l’agression sans précédent de la part de deux membres de la Curie, Leurs Eminences Clodeweck de Montfort-Toxandrie et Verty de Montfort-Toxandrie, associés à un groupe hétéroclite de personne se déclarant sous leurs ordres, avons demandé explication et prise de position de la part de la Curie dans cette affaire ;

La réponse qui nous fut fait nous rassure sur l'absence de toute implication de la Curie de Rome dans cette agression ; nous déplorons toutefois que la Curie n'ait point condamné avec la plus grande fermeté les actes dont se sont rendus coupables Leurs Eminences de Montfort-Toxandrie, jetant le discrédit et la méfiance sur les plus hauts Serviteurs du Très Haut ;

De plus, ayant pris connaissance de la déclaration des membres de l'alliance dite "du Ponant", considérons que cette attaque est le fruit d’individus isolés et n'est visiblement pas cautionnée par le Grand Duché de Bretagne qui s’est désolidarisé de ces personnes qui y tiennent charges et noblesse, ce dont nous le remercions chaleureusement ;

Rappelons dès lors que nulle attaque ou tentative de déstabilisation du Royaume de France de la part d’une puissance étrangère ou de groupuscules indéterminés ne saurait être tolérée ; que nulle autorité ne saurait passer outre le pouvoir royal de droit divin, incarné par sa Reine, détentrice du pouvoir et garante de l’unité et de l’intégrité du Royaume.

Aussi, afin de faire toute la lumière sur ces actions, convoquons Leurs Eminences Clodeweck de Montfort-Toxandrie et Verty de Montfort-Toxandrie à la Prévôté de Paris, leur rang leur accordant le privilège d’être jugé par la Haute Cour de Justice et non par les juridictions locales comme leurs complices.
Est également convoqué, afin de nous éclairer dans cette affaire, le Grand Aumônier de France Monseigneur Aurelien de Maledent de Feytiat, lien entre le pouvoir royal et l’Église.

Parallèlement à cela, une enquête de la prévôté royale est actuellement diligentée, car chacun est tenu au respect des lois, même les prélats.

Nous invitons fermement Leurs Eminences et leurs gardes à rester où ils sont et à ne pas tenter d’aggraver leur cas, en signe de bonne volonté.

Fait à Paris, le VIIIème jour de l'an neuf, mil quatre-cent cinquante-neuf.



Code:
[quote]Nous Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

Suite à l’agression sans précédent de la part de deux membres de la Curie, Leurs Eminences Clodeweck de Montfort-Toxandrie et Verty de Montfort-Toxandrie, associés à un groupe hétéroclite de personne se déclarant sous leurs ordres, avons demandé explication et prise de position de la part de la Curie dans cette affaire ;

La réponse qui nous fut fait nous rassure sur l'absence de toute implication de la Curie de Rome dans cette agression ; nous déplorons toutefois que la Curie n'ait point condamné avec la plus grande fermeté les actes dont se sont rendus coupables Leurs Eminences de Montfort-Toxandrie, jetant le discrédit et la méfiance sur les plus hauts Serviteurs du Très Haut ;

De plus, ayant pris connaissance de la déclaration des membres de l'alliance dite "du Ponant", considérons que cette attaque est le fruit d’individus isolés et n'est visiblement pas cautionnée par le Grand Duché de Bretagne qui s’est désolidarisé de ces personnes qui y tiennent charges et noblesse, ce dont nous le remercions chaleureusement ;

Rappelons dès lors que nulle attaque ou tentative de déstabilisation du Royaume de France de la part d’une puissance étrangère ou de groupuscules indéterminés ne saurait être tolérée ; que nulle autorité ne saurait passer outre le pouvoir royal de droit divin, incarné par sa Reine, détentrice du pouvoir et garante de l’unité et de l’intégrité du Royaume.

Aussi, afin de faire toute la lumière sur ces actions, convoquons Leurs Eminences Clodeweck de Montfort-Toxandrie et Verty de Montfort-Toxandrie à la Prévôté de Paris, leur rang leur accordant le privilège d’être jugé par la Haute Cour de Justice et non par les juridictions locales comme leurs complices.
Est également convoqué, afin de nous éclairer dans cette affaire, le Grand Aumônier de France Monseigneur Aurelien de Maledent de Feytiat, lien entre le pouvoir royal et l’Église.

Parallèlement à cela, une enquête de la prévôté royale est actuellement diligentée, car chacun est tenu au respect des lois, même les prélats.

Nous invitons fermement Leurs Eminences et leurs gardes à rester où ils sont et à ne pas tenter d’aggraver leur cas, en signe de bonne volonté.

Fait à Paris, le VIIIème jour de l'an neuf, mil quatre-cent cinquante-neuf.

[img]http://serenity.nuxit.net/eli/saunhac/sceauJ.png[/img][/quote]
Beatritz
Du dernier verdict rendu par la HCJ

Citation:
De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,
À Grégoire d'Ailhaud, Grand Chancelier de France
À Argael Devirieux, en sa qualité de Pair de France,

Salut.

Les circonstances attenant au dernier procès clos par notre Haute Cour de Justice nous incitent à rappeler & proclamer :

Que la culpabilité de l'accusé a été établie dans le respect des statuts de la Haute Cour de Justice, par l'ensemble des juges ayant délibéré sur le verdict ;

Que la peine dont s'assortit le verdict de culpabilité était initialement la réduction du condamné à l'état de roture ; que cette peine nécessitait, selon les statuts de la Haute Cour de Justice, le contreseing de Notre personne ;

Que nous avons énoncé des motifs de refus de cette peine, non par complaisance, mais dans le respect de notre idée de la féodalité ;

Qu'il fallait dès lors prononcer une autre peine ;

Qu'attendu le crime de lèse-majesté dont s'est rendu coupable le condamné, il revenait en dernier lieu au Chancelier de France de décider de la peine ; qu'elle a ainsi été décidée au mieux, dans un égal respect des statuts de ladite Haute Cour de Justice, & sans contrevenir au verdict de culpabilité résolu par les juges ;

Que le verdict & la peine prononcés à l'encontre de Dragonet de Castelcerf l'ont donc été dans l'entier respect des statuts de la Haute Cour de Justice, du verdict de culpabilité résolu par les juges & de la peine résolue par le Chancelier de France, après légale intervention de Notre personne ;

Qu'il est à regretter, de la part d'un Pair & Grand Officier de la Couronne, une attitude d'opposition jetant un discrédit inutile & infondé sur la valeur des verdicts rendus par notre Haute Cour de Justice ; qu'il est également à regretter qu'un juge en la Haute Cour de Justice fasse preuve d'une telle ignorance des statuts de ladite Cour ;

Que nous invitons Argael Devirieux à mesurer pour l'avenir la pertinence de ses prises de position publiques, en particulier lorsqu'il s'agit de jeter le discrédit sur l'une de Nos institutions, qu'il a juré servir ;

Que nous joignons à la présente annonce les points des statuts de la Haute Cour de Justice ci-avant évoqués.

Daté à Paris, le dixième jour de janvier de l'an mil quatre cent cinquante neuf.

B.d.C.



Extraits des statuts de la Haute Cour de Justice de France :

Citation:
Art. 221-11-4 – Des sources du droit usitées en la Haute Cour de Justice
Pour mener justice, la Haute Cour de Justice s’appuie sur deux types de codes.
a) Si infraction au droit royal (1), la Haute Cour de Justice juge selon le bon droit (2)
b) Si l'instruction est issue d'un défaut de compétence à juger des auteurs des faits reprochés, la Haute Cour de Justice s’appuie sur les droits locaux ad hoc.(3)

(1) L'infraction au droit royal comprend tout acte portant préjudice au Roy ou ses domaines, à la famille royale, aux Pairs de France, aux Grands officiers, aux Officiers supérieurs de l’armée royale
(2)La peine sera à la discrétion du Chancelier en fonction de la notion de justice équitable.

(3) Dans ce cas, le juge de la cour local se doit de signifier son incompétence à rendre verdict au Chancelier


Citation:
Art. 221-33-4 – Des peines applicables
La Haute Cour de Justice réunie en séance plénière peut appliquer de plein droit l'ensemble des sanctions prévues dans le code pénal, suivant les procédures qui y sont décrites.
La Haute Cour de Justice réunie en séance extraordinaire peut prononcer les peines suivantes, outre les peines prévues dans les codes pénaux locaux :
- contre les comtes, ducs, ou gouverneurs en exercice, la déchéance du bénéfice des urnes, ainsi qu'une période d’inéligibilité.
-Retrait des titres, envoi du dossier au tribunal héraldique pour validation de la sanction héraldique.
- contre les cardinaux, outre les peines prévues dans les codes pénaux locaux, le président de séance laissera la Curie le soin de prendre action disciplinaire en interne.
-contre les Pairs, renvoi du verdict devant la commission disciplinaire interne de la Pairie, seule habilitée à prononcer l’exclusion.
- contre les Grands Officiers royaux, renvoi du verdict au Grand Maître de France pour action disciplinaire
Pour sa parfaite validité toute sanction de déchéance ou d’inéligibilité doit être contresignée de la main du Roy, de son représentant ou à défaut le Grand Maître de France


L'intégralité des statuts de la Haute Cour de Justice :
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=20377
Index du Forum -> Grande Chancellerie de France -> Haute Cour de Justice

Code:
[quote]De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,
À Grégoire d'Ailhaud, Grand Chancelier de France
À Argael Devirieux, en sa qualité de Pair de France,

Salut.

Les circonstances attenant au dernier procès clos par notre Haute Cour de Justice nous incitent à rappeler & proclamer :

Que la culpabilité de l'accusé a été établie dans le respect des statuts de la Haute Cour de Justice, par l'ensemble des juges ayant délibéré sur le verdict ;

Que la peine dont s'assortit le verdict de culpabilité était initialement la réduction du condamné à l'état de roture ; que cette peine nécessitait, selon les statuts de la Haute Cour de Justice, le contreseing de Notre personne ;

Que nous avons énoncé des motifs de refus de cette peine, non par complaisance, mais dans le respect de notre idée de la féodalité ;

Qu'il fallait dès lors prononcer une autre peine ;

Qu'attendu le crime de lèse-majesté dont s'est rendu coupable le condamné, il revenait en dernier lieu au Chancelier de France de décider de la peine ; qu'elle a ainsi été décidée au mieux, dans un égal respect des statuts de ladite Haute Cour de Justice, & sans contrevenir au verdict de culpabilité résolu par les juges ;

Que le verdict & la peine prononcés à l'encontre de Dragonet de Castelcerf l'ont donc été dans l'entier respect des statuts de la Haute Cour de Justice,  du verdict de culpabilité résolu par les juges & de la peine résolue par le Chancelier de France, après légale intervention de Notre personne ;

Qu'il est à regretter, de la part d'un Pair & Grand Officier de la Couronne, une attitude d'opposition jetant un discrédit inutile & infondé sur la valeur des verdicts rendus par notre Haute Cour de Justice ; qu'il est également à regretter qu'un juge en la Haute Cour de Justice fasse preuve d'une telle ignorance des statuts de ladite Cour ;

Que nous invitons Argael Devirieux à mesurer pour l'avenir la pertinence de ses prises de position publiques, en particulier lorsqu'il s'agit de jeter le discrédit sur l'une de Nos institutions, qu'il a juré servir ;

Que nous joignons à la présente annonce les points des statuts de la Haute Cour de Justice ci-avant évoqués.

Daté à Paris, le dixième jour de janvier de l'an mil quatre cent cinquante neuf.

B.d.C.
[img]http://serenity.nuxit.net/eli/saunhac/sceauJ.png[/img][/quote]


[b]Extraits des statuts de la Haute Cour de Justice de France :[/b]

[quote]Art. 221-11-4 – Des sources du droit usitées en la Haute Cour de Justice
Pour mener justice, la Haute Cour de Justice s’appuie sur deux types de codes.
a) [b]Si infraction au droit royal (1), la Haute Cour de Justice juge selon le bon droit (2)[/b]
b) Si l'instruction est issue d'un défaut de compétence à juger des auteurs des faits reprochés, la Haute Cour de Justice s’appuie sur les droits locaux ad hoc.(3)

[b](1) L'infraction au droit royal comprend tout acte portant préjudice au Roy ou ses domaines, à la famille royale, aux Pairs de France, aux Grands officiers, aux Officiers supérieurs de l’armée royale
(2)La peine sera à la discrétion du Chancelier en fonction de la notion de justice équitable.[/b]
(3) Dans ce cas, le juge de la cour local se doit de signifier son incompétence à rendre verdict au Chancelier[/quote]

[quote]Art. 221-33-4 – Des peines applicables
La Haute Cour de Justice réunie en séance plénière peut appliquer de plein droit l'ensemble des sanctions prévues dans le code pénal, suivant les procédures qui y sont décrites.
La Haute Cour de Justice réunie en séance extraordinaire peut prononcer les peines suivantes, outre les peines prévues dans les codes pénaux locaux :
- contre les comtes, ducs, ou gouverneurs en exercice, la déchéance du bénéfice des urnes, ainsi qu'une période d’inéligibilité.
-Retrait des titres, envoi du dossier au tribunal héraldique pour validation de la sanction héraldique.
- contre les cardinaux, outre les peines prévues dans les codes pénaux locaux, le président de séance laissera la Curie le soin de prendre action disciplinaire en interne.
-contre les Pairs, renvoi du verdict devant la commission disciplinaire interne de la Pairie, seule habilitée à prononcer l’exclusion.
- contre les Grands Officiers royaux, renvoi du verdict au Grand Maître de France pour action disciplinaire
[b]Pour sa parfaite validité toute sanction de déchéance ou d’inéligibilité doit être contresignée de la main du Roy, de son représentant ou à défaut le Grand Maître de France [/b][/quote]

L'intégralité des statuts de la Haute Cour de Justice :
http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=20377
Index du Forum -> Grande Chancellerie de France -> Haute Cour de Justice
Beatritz
Soutien à la croisade des Saintes Armées en Helvétie

Citation:
Nous, Béatrice de Castelmaure, par la grâce du Très Haut par nos sujets, Très Aristotélicienne Reine de France, soucieuse de défendre la Sainte Eglise Aristotélicienne, Apostolique & Romaine,

A tous qui la présente annonce entendront ou liront,
A la Curia Romana,

Salut & foi.

Nous annonçons par la présente soutenir sans réserves la croisade menée en Confédération Helvétique contre les hérétiques qui y exercent sans légitimité un pouvoir qu'ils n'ont de cesse de corrompre.
Toutes les mesures doivent être prises pour endiguer le flot impie qui y prend sa source.

Aussi, nous appelons toutes les forces vives disponibles dans les provinces voisines de la Confédération Helvétique à s'y rendre & prendre part aux assauts menées contre l'hérésie. Nous appelons toutes les provinces qui en ont les moyens d'aider au ravitaillement des Saintes Armées.

Toutes nos prières sont tournées vers la réussite de cette guerre pour la vérité & le Très Haut.

Fait à Paris, le 25 janvier de l'an d'Horace mil quatre cent cinquante neuf.

B.d.C.



Code:
[quote]Nous, Béatrice de Castelmaure, par la grâce du Très Haut par nos sujets, Très Aristotélicienne Reine de France, soucieuse de défendre la Sainte Eglise Aristotélicienne, Apostolique & Romaine,

A tous qui la présente annonce entendront ou liront,
A la Curia Romana,

Salut & foi.

Nous annonçons par la présente soutenir sans réserves la croisade menée en Confédération Helvétique contre les hérétiques qui y exercent sans légitimité un pouvoir qu'ils n'ont de cesse de corrompre.
Toutes les mesures doivent être prises pour endiguer le flot impie qui y prend sa source.

Aussi, nous appelons toutes les forces vives disponibles dans les provinces voisines de la Confédération Helvétique à s'y rendre & prendre part aux assauts menées contre l'hérésie. Nous appelons toutes les provinces qui en ont les moyens d'aider au ravitaillement des Saintes Armées.

Toutes nos prières sont tournées vers la réussite de cette guerre pour la vérité & le Très Haut.

Fait à Paris, le 25 janvier de l'an d'Horace mil quatre cent cinquante neuf.

B.d.C.

[img]http://elissa.serenity-ff.com/RR/reineVert.png[/img][/quote]
Beatritz
Des annonces de la Reine de France

Citation:
De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,

Au peuple de France,

Salut !

Il a été porté à notre connaissance qu'on nous attribuait des paroles & que l'on usurpait notre sceau. Il est illusoire de poursuivre les faussaires en justice pour ces usages de faux, mais il nous est loisible de proclamer :

Que toute annonce royale est relayée par les hérauts ou les secrétaires d'Etat, selon son type ;

Qu'aucune annonce officielle de la Couronne & a fortiori de la Reine n'échappe à ce relai ;

Qu'en cas d'absence de secrétaire d'Etat dans la province, il est possible à tout sujet du Royaume de France de s'enquérir des annonces à l'Antichambre du Louvre, où toute annonce officielle de la Couronne est consignée ;

Que nous, Reine de France, avons à cœur d'y faire consigner chacune de nos proclamations ;
Que nous n'utilisons de plus les sceaux de notre charge dans les cires jaunes ou vertes que dans les annonces publiques qui s'y trouvent copiées ;

Qu'ainsi, aucun document, quelle que soit la qualité de sa contrefaçon, ne saurait être considéré comme proclamation publique émanant de notre personne, s'il n'est point consigné dans ladite Antichambre ; que la présence d'un sceau prétendument nôtre ne saurait être une preuve de l'origine de quelque proclamation que ce soit.

Fait à Paris, le 25 janvier de l'an d'Horace mil quatre cent cinquante neuf.

B.d.C.



Code:
[quote]De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,

Au peuple de France,

Salut !

Il a été porté à notre connaissance qu'on nous attribuait des paroles & que l'on usurpait notre sceau. Il est illusoire de poursuivre les faussaires en justice pour ces usages de faux, mais il nous est loisible de proclamer :

Que toute annonce royale est relayée par les hérauts ou les secrétaires d'Etat, selon son type ;

Qu'aucune annonce officielle de la Couronne & a fortiori de la Reine n'échappe à ce relai ;

Qu'en cas d'absence de secrétaire d'Etat dans la province, il est possible à tout sujet du Royaume de France de s'enquérir des annonces à l'Antichambre du Louvre, où toute annonce officielle de la Couronne est consignée ;

Que nous, Reine de France, avons à cœur d'y faire consigner chacune de nos proclamations ;
Que nous n'utilisons de plus les sceaux de notre charge dans les cires jaunes ou vertes que dans les annonces publiques qui s'y trouvent copiées ;

Qu'ainsi, aucun document, quelle que soit la qualité de sa contrefaçon, ne saurait être considéré comme proclamation publique émanant de notre personne, s'il n'est point consigné dans ladite Antichambre ; que la présence d'un sceau prétendument nôtre ne saurait être une preuve de l'origine de quelque proclamation que ce soit.

Fait à Paris, le 25 janvier de l'an d'Horace mil quatre cent cinquante neuf.

B.d.C.

[img]http://elissa.serenity-ff.com/RR/reineJaune.png[/img][/quote]
Beatritz
De l'élection des conseils comtaux et ducaux

Citation:
Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, par la grâce du Très Haut & du peuple français, Reine de France,

Au peuple de France,
À tous qui la présente annonce entendront ou liront,

Salut !

Par la présente,

Tenons à rappeler qu'aucun régime où la désignation du Conseil ne serait pas laissée à l'appréciation directe du peuple ne sera approuvé par la Couronne, conformément aux lois royales, plus précisément aux articles 241-11-3 et 242-11-1.

Fait à Paris, le 3 févrierde l'an mil quatre-cent cinquante-neuf.



Annexe :

Citation:
Chapitre 1 – Des compétences accordées aux provinces du domaine royal

Section 1 – Des conseils ducaux et comtaux du domaine royal
[...]
Art. 241-11-3 – De la constitution des conseils
Sa Majesté accorde aux sujets du domaine royal le vote de leurs conseillers, et le droit de se présenter au
gouvernement de leur province, selon la procédure suivante :
a) Trente jours avant l’énoncé des suffrages, possibilité est donnée aux candidats de déposer leurs
listes. A cet effet, le tête de liste doit verser au Trésor Royal la somme de deux cents (200) écus, en
monnaie sonnante et trébuchante, et doit faire état dans les registres officiels des noms de ses onze
colistiers. Sa Majesté accorde toutefois aux têtes de listes le droit de ne pas faire figurer
immédiatement le nom de leurs colistiers. Les colistiers devront confirmer par signature des
registres leur participation à ladite liste. En sus, la liste devra verser au Trésor du Duché ou du
Comté la somme de mille (1 000) écus pour être ouverte aux suffrages. Nul ne peut valider sa
participation à deux listes différentes.

b) Six jours avant l’énoncé des suffrages, possibilité est donnée aux résidents, fiscaux comme de
passage, de se prononcer pour le choix de leurs gouvernants. Le vote est nominatif et unique.

c) Le jour de la proclamation des résultats, les listes sont classées par ordre décroissant de
suffrages, exprimés en pourcentage des suffrages exprimés. Le mode de scrutin est, par décision
royale, le scrutin de liste proportionnel à un tour.

Sa Majesté accorde aux élus du peuple le droit d’élire leur Duc ou Comté immédiatement après la
proclamation des résultats, conformément à la procédure décrite ci-dessous :
a) Immédiatement après la proclamation des résultats, les douze élus du peuple doivent faire
connaître par suffrage privé, écrit, et unique, le nom du Duc ou du Comte. Nulle considération du
statut de tête de liste ne saurait contraindre le vote. Nulle considération de la reddition des suffrages
ne saurait autrement que moralement contraindre le choix du Duc ou du Comte.

b) Deux jours après la proclamation des suffrages, compte-rendu des suffrages du second tour est
donné aux douze élus du peuple. Sa Majesté accorde aux autorités locales le droit de délibérer sur la
publication desdits suffrages. Si, à l’issue du second tour, aucun élu du peuple ne s’est détaché, un
second tour est organisé.

c) En cas d’abstention, la majorité absolue des suffrages exprimés est requise ; s’il n’y a point
d’abstention, la majorité absolue est fixée à sept (7) voix.[/b]


Citation:
Chapitre 2 – Des compétences accordées aux provinces de France

Section 1 – Des conseils ducaux et comtaux des provinces de France

Art. 242-11-1 – Des clauses identiques
Les articles 241-11-1 à 241-11-3, et 241-11-6 à 241-11-8 s’appliquent de plein droit et sans restriction
dans toute province de France.


Code:
[quote]Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, par la grâce du Très Haut & du peuple français, Reine de France,

Au peuple de France,
À tous qui la présente annonce entendront ou liront,

Salut !

Par la présente,

Tenons à rappeler qu'aucun régime où la désignation du Conseil ne serait pas laissée à l'appréciation directe du peuple ne sera approuvé par la Couronne, conformément aux lois royales, plus précisément aux articles 241-11-3 et 242-11-1.

Fait à Paris, le 3 févrierde l'an  mil quatre-cent cinquante-neuf.

[img]http://elissa.serenity-ff.com/RR/reineJaune.png[/img] [/quote]

Annexe :

[quote][color=#0000cc][size=18][i][b]Chapitre 1 – Des compétences accordées aux provinces du domaine royal[/b][/i][/size][/color]

[b]Section 1 – Des conseils ducaux et comtaux du domaine royal[/b]
[...]
[color=#000099][b]Art. 241-11-3 – De la constitution des conseils[/b][/color]
Sa Majesté accorde aux sujets du domaine royal le vote de leurs conseillers, et le droit de se présenter au
gouvernement de leur province, selon la procédure suivante :
a) Trente jours avant l’énoncé des suffrages, possibilité est donnée aux candidats de déposer leurs
listes. A cet effet, le tête de liste doit verser au Trésor Royal la somme de deux cents (200) écus, en
monnaie sonnante et trébuchante, et doit faire état dans les registres officiels des noms de ses onze
colistiers. Sa Majesté accorde toutefois aux têtes de listes le droit de ne pas faire figurer
immédiatement le nom de leurs colistiers. Les colistiers devront confirmer par signature des
registres leur participation à ladite liste. En sus, la liste devra verser au Trésor du Duché ou du
Comté la somme de mille (1 000) écus pour être ouverte aux suffrages. Nul ne peut valider sa
participation à deux listes différentes.

b) Six jours avant l’énoncé des suffrages, possibilité est donnée aux résidents, fiscaux comme de
passage, de se prononcer pour le choix de leurs gouvernants. Le vote est nominatif et unique.

c) Le jour de la proclamation des résultats, les listes sont classées par ordre décroissant de
suffrages, exprimés en pourcentage des suffrages exprimés. Le mode de scrutin est, par décision
royale, le scrutin de liste proportionnel à un tour.

Sa Majesté accorde aux élus du peuple le droit d’élire leur Duc ou Comté immédiatement après la
proclamation des résultats, conformément à la procédure décrite ci-dessous :
a) Immédiatement après la proclamation des résultats, les douze élus du peuple doivent faire
connaître par suffrage privé, écrit, et unique, le nom du Duc ou du Comte. Nulle considération du
statut de tête de liste ne saurait contraindre le vote. Nulle considération de la reddition des suffrages
ne saurait autrement que moralement contraindre le choix du Duc ou du Comte.

b) Deux jours après la proclamation des suffrages, compte-rendu des suffrages du second tour est
donné aux douze élus du peuple. Sa Majesté accorde aux autorités locales le droit de délibérer sur la
publication desdits suffrages. Si, à l’issue du second tour, aucun élu du peuple ne s’est détaché, un
second tour est organisé.

c) En cas d’abstention, la majorité absolue des suffrages exprimés est requise ; s’il n’y a point
d’abstention, la majorité absolue est fixée à sept (7) voix.[/b][/quote]

[quote][color=#0000cc][size=18][i][b]Chapitre 2 – Des compétences accordées aux provinces de France[/b][/i][/size][/color]

[b]Section 1 – Des conseils ducaux et comtaux des provinces de France[/b]

[color=#000099][b]Art. 242-11-1 – Des clauses identiques[/b][/color]
Les articles 241-11-1 à 241-11-3, et 241-11-6 à 241-11-8 s’appliquent de plein droit et sans restriction
dans toute province de France.[/quote]
Beatritz
Edit de Gien

Citation:
Edit de Gien portant révocation de l’édit royal du 20 septembre 1458.

Béatrice, par la grâce de Dieu et la volonté du peuple, Reine de France : à tous présents et à venir. Salut.

Le Roi Levan le troisième, notre prédécesseur, voulant empêcher que la paix qu’il avait procurée à ses sujets ne fut troublée à l’occasion d’attaques incessantes contre les terres et établissements du Domaine royal, avait par son édit donné à Paris au mois de septembre 1458, réglé la conduite à tenir à l’égard de ceux qui s’en prendraient aux terres et établissements du Domaine royal, la justice qui leur serait rendue et enfin pourvu au sort de la gentillesse des convaincus de tels crimes.

Nous voyons présentement que les dispositions dudit édit ne satisfont pas à notre volonté et nous avons jugé que nous ne pouvions rien faire de mieux pour parvenir au succès du dessein des Rois nosdits prédécesseurs, dans lequel nous sommes entrés dès notre avènement à la Couronne, que de révoquer entièrement ledit édit et tout ce qui a été fait depuis à sa suite.

I
Faisons savoir, que Nous, pour ces causes et autres à ce nous mouvant, et de notre certaine science, pleine puissance, et autorité Royale, avons par ce présent édit perpétuel et irrévocable, supprimé et révoqué, supprimons et révoquons, l’édit du Roi notredit prédécesseur, donné à Paris au mois de septembre 1458, en toute son étendue.

Voulons et nous plaît, que toutes poursuites entamées contre ceux qui ont porté atteinte au terres ou établissements du Domaine royal dans notre royaume, pays, terres et seigneuries de notre obéissance soient jugés selon le présent édit.

II
Défendons à nosdits sujets de s’attaquer sous quelque prétexte que ce puisse être aux terres et établissements du Domaine royal quand bien même ladite atteinte aurait été exercée dans l’accomplissement d’un serment de vassalité.

III
Défendons pareillement à tous seigneurs de quelque condition qu’ils soient de faire l’exercice de leurs liens de suzeraineté de quelque qualité qu’ils soient afin de provoquer une attaque contre les terres ou établissements du Domaine royal à peine contre tous nosdits sujets, qui feraient ledit exercice, d’être traduits avec diligence en nos cours de justice.

IV
Voulons et nous plaît d’établir que les terres et établissements des provinces du Domaine royal forment irrévocablement et à perpétuité un seul et même ensemble dont chaque province forme une circonscription particulière. Que si un de nosdits sujets se trouve par ses actes ou ses paroles suspecté d’une atteinte aux terres ou établissement du Domaine royal, il sera traduit indifféremment devant l’une des cours de justice des provinces du Domaine royal sans préjudice des règles particulières relatives à notre Haute cour de justice.

V
Faisons très expresses et itératives défenses à tout seigneur de prononcer la rupture vassalique contre un serment auquel il n’est pas partie. Qu’ainsi tout gentilhomme qui, n’étant pas notre vassal, et s’en étant pris à aux terres ou établissements du Domaine royal, ne saura pour cela voir ses liens vassaliques brisés par nous.

VI
A l’égard des convaincus de crimes d’atteinte aux terres ou établissements du Domaine royal, voulons qu’ils soient punis puis bannis desdites terres cinq jours après la publication de leur jugement ; et démis et privés des charges et fonctions quelles qu’elles soient exercées au sein des établissements royaux de notre obéissance. Nous enjoignons bien expressément aux juges de se conformer aux vénérables et immémoriales lois qui régissent nos règnes.

VII
Pourrons au surplus lesdits criminels, en attendant qu’il plaise à Dieu de leur pardonner, de demeurer dans les villes et lieux de notre royaume, pays et terre de notre obéissance, y continuer leur commerce et jouir de leurs biens sans pouvoir être troublés ni empêchés sous prétexte de leur état criminel à condition, pour nos sujets de noble vie, de ne pas avoir fait l’objet d’une destitution prononcée par leur suzerain pour indignité, selon les règles du Tribunal Héraldique.

Si donnons en mandement en nos âmes et nos conseillers les gens tenant nos cours de parlement, chambre de nos comptes à Paris, Grands Officiers de la Couronne et autres Officiers qu'il appartiendra et à leurs lieutenants, qu'ils fassent lire, publier et enregistrer notre présent édit, en leur cours et juridictions, même en vacations, et celui-ci entretenir et faire entretenir, garder et observer de points en points et sans y contrevenir, ni permettre qu'il soit contrevenu en aucune manière : car tel est notre plaisir.

Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre sceau à cesdites présentes.

Donné à Paris au troisième jour du mois de février 1458. Et de notre règne le premier. Signé Béatrice de Castelmaure-Frayner et sur le repli, visa Marie-Alice Jagellon Alterac, et à côté, par la Reine, Valorl. Et scellé du grand Sceau de cire verte, sur lacs de soie rouge et verte.






Code:
[quote]Edit de Gien portant révocation de l’édit royal du 20 septembre 1458.

Béatrice, par la grâce de Dieu et la volonté du peuple, Reine de France : à tous présents et à venir. Salut.

Le Roi Levan le troisième, notre prédécesseur, voulant empêcher que la paix qu’il avait procurée à ses sujets ne fut troublée à l’occasion d’attaques incessantes contre les terres et établissements du Domaine royal, avait par son édit donné à Paris au mois de septembre 1458, réglé la conduite à tenir à l’égard de ceux qui s’en prendraient aux terres et établissements du Domaine royal, la justice qui leur serait rendue et enfin pourvu au sort de la gentillesse des convaincus de tels crimes.

Nous voyons présentement que les dispositions dudit édit ne satisfont pas à notre volonté et nous avons jugé que nous ne pouvions rien faire de mieux pour parvenir au succès du dessein des Rois nosdits prédécesseurs, dans lequel nous sommes entrés dès notre avènement à la Couronne, que de révoquer entièrement ledit édit et tout ce qui a été fait depuis à sa suite.

I
Faisons savoir, que Nous, pour ces causes et autres à ce nous mouvant, et de notre certaine science, pleine puissance, et autorité Royale, avons par ce présent édit perpétuel et irrévocable, supprimé et révoqué, supprimons et révoquons, l’édit du Roi notredit prédécesseur, donné à Paris au mois de septembre 1458, en toute son étendue.

Voulons et nous plaît, que toutes poursuites entamées contre ceux qui ont porté atteinte au terres ou établissements du Domaine royal dans notre royaume, pays, terres et seigneuries de notre obéissance soient jugés selon le présent édit.

II
Défendons à nosdits sujets de s’attaquer sous quelque prétexte que ce puisse être aux terres et établissements du Domaine royal quand bien même ladite atteinte aurait été exercée dans l’accomplissement d’un serment de vassalité.

III
Défendons pareillement à tous seigneurs de quelque condition qu’ils soient de faire l’exercice de leurs liens de suzeraineté de quelque qualité qu’ils soient afin de provoquer une attaque contre les terres ou établissements du Domaine royal à peine contre tous nosdits sujets, qui feraient ledit exercice, d’être traduits avec diligence en nos cours de justice.

IV
Voulons et nous plaît d’établir que les terres et établissements des provinces du Domaine royal forment irrévocablement et à perpétuité un seul et même ensemble dont chaque province forme une circonscription particulière. Que si un de nosdits sujets se trouve par ses actes ou ses paroles suspecté d’une atteinte aux terres ou établissement du Domaine royal, il sera traduit indifféremment devant l’une des cours de justice des provinces du Domaine royal sans préjudice des règles particulières relatives à notre Haute cour de justice.

V
Faisons très expresses et itératives défenses à tout seigneur de prononcer la rupture vassalique contre un serment auquel il n’est pas partie. Qu’ainsi tout gentilhomme qui, n’étant pas notre vassal, et s’en étant pris à aux terres ou établissements du Domaine royal, ne saura pour cela voir ses liens vassaliques brisés par nous.

VI
A l’égard des convaincus de crimes d’atteinte aux terres ou établissements du Domaine royal, voulons qu’ils soient punis puis bannis desdites terres cinq jours après la publication de leur jugement ; et démis et privés des charges et fonctions quelles qu’elles soient exercées au sein des établissements royaux de notre obéissance. Nous enjoignons bien expressément aux juges de se conformer aux vénérables et immémoriales lois qui régissent nos règnes.

VII
Pourrons au surplus lesdits criminels, en attendant qu’il plaise à Dieu de leur pardonner, de demeurer dans les villes et lieux de notre royaume, pays et terre de notre obéissance, y continuer leur commerce et jouir de leurs biens sans pouvoir être troublés ni empêchés sous prétexte de leur état criminel à condition, pour nos sujets de noble vie, de ne pas avoir fait l’objet d’une destitution prononcée par leur suzerain pour indignité, selon les règles du Tribunal Héraldique.

Si donnons en mandement en nos âmes et nos conseillers les gens tenant nos cours de parlement, chambre de nos comptes à Paris, Grands Officiers de la Couronne et autres Officiers qu'il appartiendra et à leurs lieutenants, qu'ils fassent lire, publier et enregistrer notre présent édit, en leur cours et juridictions, même en vacations, et celui-ci entretenir et faire entretenir, garder et observer de points en points et sans y contrevenir, ni permettre qu'il soit contrevenu en aucune manière : car tel est notre plaisir.

Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre sceau à cesdites présentes.

Donné à Paris au troisième jour du mois de février 1458. Et de notre règne le premier. Signé Béatrice de Castelmaure-Frayner et sur le repli, visa Marie-Alice Jagellon Alterac, et à côté, par la Reine, Valorl. Et scellé du grand Sceau de cire verte, sur lacs de soie rouge et verte.

[list][list][img]http://elissa.serenity-ff.com/RR/reineVertLacs.png[/img][/list][/list]

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[/quote]
Beatritz
Des grâces et de la Cour d'Appel

Citation:
Nous Béatrice de Castelmaure-Frayner, par la grâce de Dieu et la volonté du peuple, reine de France,

À tous présents et à venir, salut.

En accord avec les coutumes de nos prédécesseurs d’illustre mémoire, proclamons :

    qu'une grâce provinciale, si elle prive de peine, n’efface pas pour autant la culpabilité du gracié aux yeux du très vénérable tribunal héraldique, la grâce ne pouvant changer le passé.

    que notre très noble Cour d’appel statuant sur pourvoi d’un procès rendu en première instance, et dont le demandeur a été entre temps gracié par le provincial souverain, doit poursuivre sa recherche dans l’établissement de la vérité.

    que toute culpabilité prononcée en nos cours de justice et en les cours de justice des provinces de nous vassales ne puisse être effacée que par jugement de notre Cour d’appel ou par nous en lit de justice.

    qu'en notre Royaume, tout appel est suspensif pour tous les tribunaux et devant toutes les juridictions que néanmoins, pour de graves et sérieuses raisons, il appartient au Premier Président de la Cour d’appel après consultation du Procureur général, de déroger à toute ou partie de l’effet suspensif de l’appel.


donnons en mandement en nos âmes et nos conseillers les gens tenant nos cours de parlement, chambre de nos comptes à Paris, Grands Officiers de la Couronne et autres Officiers qu'il appartiendra et à leurs lieutenants, qu'ils fassent lire, publier et enregistrer notre présente décision, en leur cours et juridictions, et celui-ci entretenir et faire entretenir, garder et observer de points en points et sans y contrevenir, ni permettre qu'il soit contrevenu en aucune manière : car tel est notre plaisir.

Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre sceau à cesdites présentes.

Donné à Paris le troisième jour du mois de février 1459. Signé Béatrice, et à côté, par la Reine, comte Charles de Valorl. Et scellé du grand Sceau de cire verte, sur lacs de soie rouge et verte.






Code:
[quote]Nous Béatrice de Castelmaure-Frayner, par la grâce de Dieu et la volonté du peuple, reine de France,

À tous présents et à venir, salut.

En accord avec les coutumes de nos prédécesseurs d’illustre mémoire, proclamons :

[list]qu'une grâce provinciale, si elle prive de peine, n’efface pas pour autant la culpabilité du gracié aux yeux du très vénérable tribunal héraldique, la grâce ne pouvant changer le passé.

que notre très noble Cour d’appel statuant sur pourvoi d’un procès rendu en première instance, et dont le demandeur a été entre temps gracié par le provincial souverain, doit poursuivre sa recherche dans l’établissement de la vérité.

que toute culpabilité prononcée en nos cours de justice et en les cours de justice des provinces de nous vassales ne puisse être effacée que par jugement de notre Cour d’appel ou par nous en lit de justice.

qu'en notre Royaume, tout appel est suspensif pour tous les tribunaux et devant toutes les juridictions que néanmoins, pour de graves et sérieuses raisons, il appartient au Premier Président de la Cour d’appel après consultation du Procureur général, de déroger à toute ou partie de l’effet suspensif de l’appel.[/list]

donnons en mandement en nos âmes et nos conseillers les gens tenant nos cours de parlement, chambre de nos comptes à Paris, Grands Officiers de la Couronne et autres Officiers qu'il appartiendra et à leurs lieutenants, qu'ils fassent lire, publier et enregistrer notre présente décision, en leur cours et juridictions, et celui-ci entretenir et faire entretenir, garder et observer de points en points et sans y contrevenir, ni permettre qu'il soit contrevenu en aucune manière : car tel est notre plaisir.

Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre sceau à cesdites présentes.

Donné à Paris le troisième jour du mois de février 1459. Signé Béatrice, et à côté, par la Reine, comte Charles de Valorl. Et scellé du grand Sceau de cire verte, sur lacs de soie rouge et verte.

[img]http://elissa.serenity-ff.com/RR/reineVertLacs.png[/img]

[img]http://grandfestival.voila.net/Sceauvert.png[/img]
[/quote]
Beatritz
Des Pairs émérites

Citation:
De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,

Salut !

Souhaitant souligner la qualité des femmes & hommes qui ont longtemps servi la Couronne à la charge & dignité de Pair, & n'en trouvent désormais plus le temps,

Souhaitant que ces absences n'entravent pas le bon fonctionnement de la Pairie & la qualité de ses conseils & résolutions, du fait des limites numéraires par province pesant sur les nominations de Pairs,

Créons ce jour la dignité de Pair de France émérite, destinée aux anciens Pairs de France s'étant de longue date détachés des affaires de la Pairie & de la Couronne. Les Pairs émérites ne siègent plus à la Chambre des Pairs ni ne sont comptés comme Pairs de France dans les quotas limitant les candidatures à la Pairie.

Nommons Pair de France émérite :
    -Albert de Nemours, dit Alsbo.le.Grand, Marquis de Nemours
    -Cardinal de Beaujeu, dit le Beau, Duc de Beaujeu, Baron de Nuits-Saint-Georges
    -Alivianne d'Azayes, Duchesse de la Tour d'Auvergne
    -Thierry54270 d'Azayes, Duc consort de la Tour d'Auvergne


Fait au Louvre, le Xème jour de l'an de Pâques 1458, an d'Horace 1459.

B.d.C.



Code:
[quote]De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,

Salut !

Souhaitant souligner la qualité des femmes & hommes qui ont longtemps servi la Couronne à la charge & dignité de Pair, & n'en trouvent désormais plus le temps,

Souhaitant que ces absences n'entravent pas le bon fonctionnement de la Pairie & la qualité de ses conseils & résolutions, du fait des limites numéraires par province pesant sur les nominations de Pairs,

Créons ce jour la dignité de [i]Pair de France émérite[/i], destinée aux anciens Pairs de France s'étant de longue date détachés des affaires de la Pairie & de la Couronne. Les Pairs émérites ne siègent plus à la Chambre des Pairs ni ne sont comptés comme Pairs de France dans les quotas limitant les candidatures à la Pairie.

Nommons [i]Pair de France émérite[/i] :
[list]-Albert de Nemours, dit Alsbo.le.Grand, Marquis de Nemours
-Cardinal de Beaujeu, dit le Beau, Duc de Beaujeu, Baron de Nuits-Saint-Georges
-Alivianne d'Azayes, Duchesse de la Tour d'Auvergne
-Thierry54270 d'Azayes, Duc consort de la Tour d'Auvergne[/list]

Fait au Louvre, le Xème jour de l'an de Pâques 1458, an d'Horace 1459.

B.d.C.

[img]http://elissa.serenity-ff.com/RR/reineVert.png[/img][/quote]
Beatritz
Levée du ban du Domaine Royal

Citation:
De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,
À tous les nobles du Domaine Royal,
Aux Ordres royaux de France,
À tous les fidèles serviteurs de la Couronne,

Salut !

Face aux menaces pesant sur notre Comté du Maine & notre Duché d'Alençon, nous proclamons la levée de notre ban en Domaine Royal.

Qu'ainsi, tout noble vassal de notre personne en Domaine Royal, Ile-de-France comprise, ainsi que tout Ordre ayant juré nous servir, est tenu de contribuer dans les meilleurs délais à la défense du Comté du Maine & du Duché d'Alençon ;

Que seront excusés ceux qui contribuent déjà et pour l'avenir, au sein d'une province royale, à sa défense, pour ce qu'on ne saurait affaiblir les défenses de notre Domaine par cette levée de ban ;

Que les femmes & hommes concernés par la présente levée de ban sont invités à prendre leurs ordres auprès de la Connétablie de France.

Fait à Alençon, le 15 février de l'an d'Horace 1459.

B.d.C.



Code:
[quote]De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,
À tous les nobles du Domaine Royal,
Aux Ordres royaux de France,
À tous les fidèles serviteurs de la Couronne,

Salut !

Face aux menaces pesant sur notre Comté du Maine & notre Duché d'Alençon, nous proclamons la levée de notre ban en Domaine Royal.

Qu'ainsi, tout noble vassal de notre personne en Domaine Royal, Ile-de-France comprise, ainsi que tout Ordre ayant juré nous servir, est tenu de contribuer dans les meilleurs délais à la défense du Comté du Maine & du Duché d'Alençon ;

Que seront excusés ceux qui contribuent déjà et pour l'avenir, au sein d'une province royale, à sa défense, pour ce qu'on ne saurait affaiblir les défenses de notre Domaine par cette levée de ban ;

Que les femmes & hommes concernés par la présente levée de ban sont invités à prendre leurs ordres auprès de la Connétablie de France.

Fait à Alençon, le 15 février de l'an d'Horace 1459.

B.d.C.

[img]http://elissa.serenity-ff.com/RR/reineVert.png[/img][/quote]
Beatritz
Rappel sur les grâces & période de grâce extraordinaire

Citation:
    Logion 2 : Les disciples disaient à Christos : « Maître, ces marginaux ne nous apportent rien, et Aristote nous met en garde contre ceux qui fuient la cité ! »
    Christos leur répondait : « Disciples ! Vivez pour les autres au lieu d’attendre des autres qu’ils vivent pour vous. C’est à la cité d’accueillir les marginaux, et non aux marginaux d’aider la cité. »



Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France, & Aurélien Maledent de Feytiat, Grand Aumônier de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,
Aux brebis égarées qui ont retrouvé le troupeau,

Salut & Pardon.

Soucieux de véhiculer au Royaume de France le pardon, & conscients des contraintes sociales pesant leur vie durant sur des femmes & hommes pour des faits dont ils se sont mille fois repentis dans leur cœur & par leurs actes, rappelons :
    Que Sa Majesté est en mesure de dispenser, aux hommes & femmes reconnus coupables par une cour de justice du Royaume, & ayant eu à cœur de racheter leurs fautes, sa grâce ;

    Que la grâce royale n'a pas vocation à faire entrave au bon déroulement de la justice dans le Royaume de France en laquelle nous avons pleine confiance, mais a vocation à permettre à des hommes & femmes de réintégrer pleinement la vie de la Cité, sans qu'il leur soit à jamais fait reproche de leurs actes passés ;

    Que ces demandes doivent être déposées dans le Bureau de la Pairie, qui les transmet à Sa Majesté & la conseille dans sa bienveillante décision.

Faisons annonce qu'à l'occasion de son sacre, Sa Majesté, dans sa grande mansuétude, consent à étudier toutes demandes extraordinaires de grâce, lesquelles pourront être défendues auprès de Sa Majesté par Mgr le Grand Aumônier.

Fait au Louvre, le 15 février de l'an d'Horace 1459 et scellé du grand sceau vert de la Couronne & lacs de soie rouge et vert, et sur le repli, Mgr Aurélien Maledent de Feytiat, Grand Aumônier de France.

B.d.C.




Fin des dépôts de dossiers extraordinaires, le lendemain de la fin du RP du sacre. Les dossiers doivent être envoyés à aurelien87, par mp sur le forum secondaire officiel.


Code:
[quote][list][i]Logion 2 : Les disciples disaient à Christos : « Maître, ces marginaux ne nous apportent rien, et Aristote nous met en garde contre ceux qui fuient la cité ! »
Christos leur répondait : « Disciples ! Vivez pour les autres au lieu d’attendre des autres qu’ils vivent pour vous. C’est à la cité d’accueillir les marginaux, et non aux marginaux d’aider la cité. »[/i][/list]


Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France, & Aurélien Maledent de Feytiat, Grand Aumônier de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,
Aux brebis égarées qui ont retrouvé le troupeau,

Salut & Pardon.

Soucieux de véhiculer au Royaume de France le pardon, & conscients des contraintes sociales pesant leur vie durant sur des femmes & hommes pour des faits dont ils se sont mille fois repentis dans leur cœur & par leurs actes, rappelons :
[list]Que Sa Majesté est en mesure de dispenser, aux hommes & femmes reconnus coupables par une cour de justice du Royaume, & ayant eu à cœur de racheter leurs fautes, sa grâce ;

Que la grâce royale n'a pas vocation à faire entrave au bon déroulement de la justice dans le Royaume de France en laquelle nous avons pleine confiance, mais a vocation à permettre à des hommes & femmes de réintégrer pleinement la vie de la Cité, sans qu'il leur soit à jamais fait reproche de leurs actes passés ;

Que ces demandes doivent être déposées dans le Bureau de la Pairie, qui les transmet à Sa Majesté & la conseille dans sa bienveillante décision.[/list]
Faisons annonce qu'à l'occasion de son sacre, Sa Majesté, dans sa grande mansuétude, consent à étudier toutes demandes extraordinaires de grâce, lesquelles pourront être défendues auprès de Sa Majesté par Mgr le Grand Aumônier.

Fait au Louvre, le 15 février de l'an d'Horace 1459 et scellé du grand sceau vert de la Couronne & lacs de soie rouge et vert, et sur le repli, Mgr Aurélien Maledent de Feytiat, Grand Aumônier de France.

B.d.C.
[img]http://elissa.serenity-ff.com/RR/reineVertLacs.png[/img]
[img]http://i33.servimg.com/u/f33/11/03/99/42/merver10.png[/img]
[/quote]

[hrp]Fin des dépôts de dossiers extraordinaires, le lendemain de la fin du RP du sacre. Les dossiers doivent être envoyés à aurelien87, par mp sur le forum [u]secondaire[/u] officiel.[/hrp]
Beatritz
Le Dauphin du Royaume de France

Citation:
De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,

Salut !

Marchant à la rencontre d'une menace annoncée contre Notre Domaine, & souhaitant assurer au mieux la gouvernance du Royaume de France, en le prémunissant notamment contre tout risque de vacance du pouvoir, si les aléas de la vie se montraient peu conciliants avec nous,

Nommons en ce jour Chlodwig von Frayner, Duc de l'Aigle & noble en maintes autres terres, Dauphin du Royaume de France, aux prérogatives ci-après énoncées.

Nous créons pour lui le titre de Dauphin de France, en lieu & place de l'ancien Dauphin du Viennois ; le Dauphiné du Viennois, communément appelé Dauphiné, retourne à la seule gouvernance des élus de son peuple. Le Dauphin de France n'y a pas de pouvoir particulier.

Au titre de Dauphin de France, il aura rang de prince de sang & sera appelé Altesse Royale, durant le temps où il occupera cette fonction.
Si le Très Haut voulait nous rappeler à Lui ou nous placer dans l'incapacité de gouverner, le Dauphin de France nous succèderait au titre de Régent & s'assurerait de la bonne tenue des élections royales.

Afin de le préparer au mieux à cette tâche, qu'il ne doit pas découvrir le jour, imprévu, où viendra son heure, & afin de nous assister au bon gouvernement du royaume, il aura d'ors & déjà pour charge de nous seconder dans ce que nous entreprendrons & de nous suppléer, si nous devons nous absenter ou pour toute tâche nécessaire.
Ses actions & attributions ne sont bornées que par notre royale volonté. Il ne rend de comptes à nul autre que nous, Reine de France.

Par conséquent, aux fins de nous représenter de façon efficace, il aura accès aux diverses institutions royales ainsi qu’au conseil des grands feudataires. Il ne siège pas à la Pairie, mais y siégera s'il est appelé à endosser la charge de Régent du Royaume.

Donné à Mortagne, le 15ème jour de février de l'an de Pâques 1458, an d'Horace 1459.



Code:
[quote]De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,

Salut !

Marchant à la rencontre d'une menace annoncée contre Notre Domaine, & souhaitant assurer au mieux la gouvernance du Royaume de France, en le prémunissant notamment contre tout risque de vacance du pouvoir, si les aléas de la vie se montraient peu conciliants avec nous,

Nommons en ce jour Chlodwig von Frayner, Duc de l'Aigle & noble en maintes autres terres, Dauphin du Royaume de France, aux prérogatives ci-après énoncées.

Nous créons pour lui le titre de Dauphin de France, en lieu & place de l'ancien Dauphin du Viennois ; le Dauphiné du Viennois, communément appelé Dauphiné, retourne à la seule gouvernance des élus de son peuple. Le Dauphin de France n'y a pas de pouvoir particulier.

Au titre de Dauphin de France, il aura rang de prince de sang & sera appelé Altesse Royale, durant le temps où il occupera cette fonction.
Si le Très Haut voulait nous rappeler à Lui ou nous placer dans l'incapacité de gouverner, le Dauphin de France nous succèderait au titre de Régent & s'assurerait de la bonne tenue des élections royales.

Afin de le préparer au mieux à cette tâche, qu'il ne doit pas découvrir le jour, imprévu, où viendra son heure, & afin de nous assister au bon gouvernement du royaume, il aura d'ors & déjà pour charge de nous seconder dans ce que nous entreprendrons & de nous suppléer, si nous devons nous absenter ou pour toute tâche nécessaire.
Ses actions & attributions ne sont bornées que par notre royale volonté. Il ne rend de comptes à nul autre que nous, Reine de France.

Par conséquent, aux fins de nous représenter de façon efficace, il aura accès aux diverses institutions royales ainsi qu’au conseil des grands feudataires. Il ne siège pas à la Pairie, mais y siégera s'il est appelé à endosser la charge de Régent du Royaume.

Donné à Mortagne, le 15ème jour de février de l'an de Pâques 1458, an d'Horace 1459.

[img]http://elissa.serenity-ff.com/RR/reineVert.png[/img][/quote]
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