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[RP]Eglise Notre Dame de l'Espérance de Compiègne

Florence.la.douce
Un silence se fit.
Les mains jointes à présent, elle ferma les yeux quelques instants, laissant loisir à tous de méditer sur ce sermon.
Quelques temps plus tard, jeune femme leva les bras et poursuivit



Mes frères, chantons, clamons, notre foi pour ce père qui offre le pardon pour que nous n'oublions pas a notre tour de pardonner.




Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.

Il a rejoint le Soleil où l'attendait
Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine;

En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés En la Vie Éternelle.

AMEN


Lisalyne
Une grande Dame était entrée dans l'Eglise ... Jamais encore elle n'avait vu pareille toilette. Bien que ne connaissant pas son visage, sa grâce et la place qu'elle était allée occupée dans l'Eglise lui firent comprendre rapidement qu'il s'agissait d'une Dame de Haute Noblesse ...
Elle s'était inclinée à la fois respectueusement et discrètement, ne voulant pas ennuyer la Grande Dame...

La Diaconnesse poursuivit la Messe par une lecture sur Gabriel ...
Lisalyne écoutait, très intéressée et attentive à chaque mot prononcé par Florence …


" […]Gabriel assistait à tout cela, il voyait cet homme monstrueux qui était à peine plus agé que lui se délecter de la haine que tous lui portaient. […]

Les injures et cris de Léviathan glissaient sur lui comme la pluie sur une surface lisse. Rien de ce qu'il disait ne pénétrait en lui pour éveiller la colère […] on apprit que Léto avait été tué par son fils[…]

[…] Il te place sur le chemin, et ce sont tes pairs les hommes qui, sciemment ou pas, le rendront sinueux ou droit, t’en éloigneront ou t’en rapprocheront mais c’est à toi et seulement à toi de décider là et vers où tu marches car au final c’est pour toi que tu marches.
Certes, tu dois marcher pour tes frères, tes sœurs et pour Dieu, mais c’est ton salut qui est en jeu. […]"


Les mots prononcés par la Diacre la touchèrent profondément et la plongea un instant dans la réflexion et ses sombres pensées … Cela lui rappelait bien des choses, et bien des personnes...

Laisser glisser … Se fier sur son propre jugement, même si celui-ci est parfois empli de doutes … Se relever de force à chaque fois parce que la peur au ventre l’on se sent partir ... voilà des comportements que la vie lui avait apprit bien malgré elle … même si elle n'y arrivait pas encore toujours ...
Jamais elle n’avait compris le bien être que certains retiraient à faire parfois tant de mal aux autres … Et bien que ses longs mois lui avaient donné beaucoup de leçons, lui avaient apprit bien des choses, elle n’avait pas encore compris pourquoi et comment certaines personnes tombaient si profondément dans les bassesses de la méchanceté gratuite et du mal parfois profond…
Bien que de moins en mois de chose l'étonnait sur la nature des gens, elle s'en étonnerait toujours ...
Le discours ce jour de la Diaconnesse lui fit du bien et lui donna un peu d'espoir ... Un jour peut être ...

La diacre poursuivit ensuite avec le Sermon et la Credo qu'elle ne pouvait encore réciter, n'étant pas baptisée.
Florence.la.douce
A présent mes Frères, partageons ce pain de l'amitié qui nous uni tous et nous place au même rang au regard de Dieu:



La partage était terminé, Florence se plaça pour la dernière fois devant les fideles:


Le Seigneur soit avec vous.

Et avec vous aussi

Que Dieu tout-puissant vous bénisse.

Amen.

Allez, dans la paix.

Nous rendons grâce à Dieu.



La jeune diaconesse se signa et sourit à l'assemblée.
Les mains croisée devant elle, elle attendit que tous les paroissiens sortent de l'église.
Souvent certains d'entre eux venaient la trouver à la fin de la messe.
Sagement donc, elle patienta.
Armoria
La lecture lui fit penser aux bourrins, à une journée de marche d'ici, à la haine qu'ils provoquaient, à la crainte qu'ils insitillaient chez eux, aux hommes bons d'Artois qui n'osaient encore pas se rebeller, tenus par la peur. Elle se revit, lors de son dernier passage sur ces terres, affrontant les insultes de Troqual et des autres sans se départir de son calme, expliquant les tenants et les aboutissants de la situation.

Et c'était vrai : son calme, le sourire qu'elle persistait à offrir aux autres les avaient désarmés.

Elle ne marchait pas pour elle : elle marchait pour Dieu, et son Roy. A cette pensée, elle leva les yeux vers les vitraux, apaisée. Après avoir récité le credo et communié, elle se dirigea vers la sortie, non sans laisser une obole dans la pannière. Elle salua la diaconnesse, qu'elle avait reconnue, ainsi qu'une jeune femme qui l'avait regardée, mais sans s'arrêter. Le choc de la mort du Surintendant l'avait touchée plus qu'elle ne l'avait tout d'abord réalisé.

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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Florence.la.douce
La jeune Diacre salua d'un sourire celle qui lui faisait l'honneur de venir dans sa petite église. Elle avait vu la peine dans ses yeux, elle avait vu lors du sermon son visage se crisper quelque peu.
Les douloureux souvenirs des remparts de Péronne ne laissaient de glace que ceux qui s'employaient à tuer le peuple d'Artois.
C'est avec simplicité, honneur et respect qu'elle s'inclina à son passage sans mot dire.
Florence posa un regard protecteur sur Armoria priant le ciel de lui donner longue vie encore.
Lysaline était là et c'est un sourire confiant qu'elle lui adressa.
Florence.la.douce
Les cloches sonnaient à tue tête, appelant ainsi les fidèles à venir rejoindre la petite église de Compiègne.
La jeune Diaconesse y était arrivée tôt dans la matinée et après s’être recueillie, elle se rendit dans la nef pour déposer le précieux missel sur le lutrin derrière lequel elle lisait les textes saints.
Avec conviction, elle fit face à l’autel et joignit les mains tout en fermant les yeux. La prière qui émanait de son cœur était encore plus fervente en ce dimanche.
Quelques instants plus tard, elle se signait et faisait face aux bancs encore vides.
Elle croisa les mains devant elle et attendit l’arrivée des fidèles qu’elle salua un à un d’un sourire avenant.
Barbe_rousse
levé depuis l'aube ,il avait prit le temps de profiter de l'eau fraiche de la riviere et habillé de frais avait prit le chemin de l'eglise ....;depuis le temps qu'il n'avait pas assisté a l'office ,ce dimanche etait une bonne occasion de renouer avec les habitudes
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Florence.la.douce
Dóminus vobíscum.
Et cum spíritu tuo.
Benedícat vos omnípotens Deus Pater




Amen.



Le regard posé sur les fidèles, la jeune diaconesse accueillit les paroles de ses frères avec le sourire.
Comme elle en avait eu l’habitude, elle ouvrit les bras en signe de salut à tous ceux qui venaient entendre la parole divine.



Frères et Sœurs, soyez les bienvenus dans ce lieu de paix et de partage qu’est la Maison de Notre Père Tout Puissant.
Que Dieu soit loué !
Je vous demanderai d’avoir une pensée particulière pour tous les soldats qui icelieu à Compiègne, gardent nos remparts avec ferveur.
Demandons à Notre Père de veiller sur eux.

Je vous demanderai de prier pour l’âme d’Ananke qui a disparu dans d’étranges circonstances voilà des jours et pour celle de Corvoy qui se meurt d’avoir perdu son épouse bien aimée.
Que Notre Père à tous les accueillent auprès de lui et qu’ils trouvent tous deux la paix éternelle.

Ensemble, confessons nos péchés avant de Prier le Très haut ….





Je confesse à Dieu tout-puissant,
Je reconnais devant mes frères,
Que j'ai péché en pensée, en parole,
Par action et par omission,
Oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
Les archanges et tous les Saints,
Et vous aussi mes frères,
De prier pour moi le Créateur.

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
Qu'il nous pardonne nos péchés,
Et nous conduise à la vie éternelle,
Dans le paradis solaire.

Amen.
Lisalyne
La nuit avait été courte mais douce et emplie de belles images... Elle s'était levée de bonne humeur ce matin et après avoir prit le temps de se préparer, s'était rendue à son aise en ville prendre l'air, s'informer des nouvelles et faire les quelques courses nécessaires.

Quand les cloches de l'église se mirent à sonner, elle s'y rendit rapidement, ne voulant encore entrer après tout le monde cette fois.
Elle pénétra dans l'immense batisse et gratifia la Diaconnesse d'un sourire amicale avant d'aller s'installer, toujours à la même place, prête a suivre une nouvelle fois la messe .

La Diaconesse commenca et Lisalyne eut une pensée pour tous ses soldats qui défendaient nos remparts quotidiennement et pour ses amis disparus il y a peu. Trop tôt, bien trop tôt ...
Florence.la.douce
Florence se dirigea vers le lutrin et avait choisi cette fois un extrait particulièrement révélateur sur le devenir des Hommes.
D’une vous douce et forte à la fois, elle entrepris la lecture après s’être signée.




Extrait du Livre des Vertus :


L’éclipse I: La lune

L’histoire que je vais vous raconter peut sembler surprenante, mais, lorsque vous l’aurez lue, vous saurez qu’il y a en elle beaucoup de vérité.

Un jour qu’il faisait beau, je me promenais avec mon chien le long de petits chemins ondulant entre les champs. Je venais de manger et me cherchais un petit coin agréable où faire ma sieste. En cet après-midi de mai, le ciel était d’un bleu pur, vierge de tout nuage. Les oiseaux chantaient et mon chien courait à travers les blés, poursuivant de petits animaux bien plus rapides que lui. Il aboyait de toutes ses forces dans sa course-poursuite perdue d’avance.

La journée semblait belle, mais la présence de la lune dans le ciel en plein jour m’inquiétait. Alors que le soleil était le lieu destiné à accueillir les justes après leur jugement, la lune était le futur lieu de supplice des pécheurs. Le premier était surnommé Paradis, alors que la seconde était appelée Enfer. Le rapprochement de ces deux astres divins en pleine journée ne pouvait qu’être annonciatrice de grands malheurs.

Je me baissais pour admirer une petite fleur des prés, mais l’obscurité était telle que je ne pouvais plus la distinguer. L’obscurité, me dis-je? Comment pouvait-il y avoir la moindre obscurité pendant une si belle journée, alors que le soleil était à son apogée? Je levai les yeux au ciel et fus saisi d’horreur: la lune masquait maintenant le soleil, empêchant la divine lumière, source de vie, d’éclairer le monde. Seul un sinistre halo couleur de feu, ceignant l’astre de nuit, témoignait encore de la présence de l’astre de jour.

Mon chien s’arrêta d’aboyer. Je me dis, pour me rassurer, qu’il ne s’agissait que d’un de ces événements cosmiques dont les anciens avaient régulièrement gardé trace, et que cela allait finir bientôt. Mais je n’en étais pas convaincu. Le halo de feu donnait à cette éclipse une atmosphère angoissante. Mais il finit par disparaître quand la lune acheva sa conquête du soleil. Il faisait un noir d’encre. Même les étoiles avaient décidé de s‘éclipser. C’est alors que la lune décida de contrevenir aux règles de la physique.

Je la vis se colorer de diverses teintes. Au centre de ce disque d’obscurité, des taches de couleurs se mouvaient, comme des oiseaux virevoltant dans le ciel. Elles semblaient livrer batailles, se mêlant les unes aux autres, puis se séparant brusquement. Le mauve se jetait sur le bleu, qui esquivait le turquoise, alors que le vert fuyait le rouge, lui-même poursuivi par le jaune. Puis, les taches calmèrent leurs ébats. Je ne pouvais pas quitter la lune des yeux, alors que je voyais les couleurs se répartir la surface de l’astre de nuit, en un tout enfin ordonné.

Elles restèrent ainsi toute une éternité, alors que mon chien geignait, caché dans le champ de blé. Puis, les taches de couleurs surgirent de la lune, telles des carreaux tirés par une arbalète. On aurait dit six rayons de lumière qui déchiraient le ciel en de longs traits colorés. Les couleurs se joignirent en un véritable arc-en-ciel qui vint s’abattre à mes pieds. J’avais devant moi un pont zébré de couleurs, formant une arche qui enjambait la distance qui me séparait de la lune.

Je la regardai alors et vis que le pont de couleurs y tombait en une véritable chute de lumière blanche. Je regardai ensuite à mes pieds et vis qu’ils étaient aspergés de la même douce lumière laiteuse. Les six rayons, accolés sur toute la longueur du pont, venaient à ses extrémités fusionner en une même blancheur.

Bien qu’étreint par une angoisse indescriptible, je décidai de poser le pied sur cet arc-en-ciel lunaire...
Carlisle


Depuis combien de temps n'avait-il point mis les pieds en la belle église de sa bonne ville de Compiègne ?
Trop longtemps à dire vrai
Carlisle se remettant petit à petit de sa blessure dû à une lâche attaque de Brigands sur la place de Reims,
Pénétra doucement dans le saint lieu sans faire trop de bruits,
Tout de noir vêtu, toujours aussi élégant mais sobre, avec pour nouvelle compagne cette fois,
Une magnifique canne en bois d'acajou, ornée d'un embout représentant la forme d'un aigle.

Lentement, s'aidant de son appui, Le Seigneur de Sainte Vaubourg avança avec un air digne et impassible.
Aucune expression se distinguant sur son visage au teint blafard.
Comme si rien ne pouvait le faire flancher, ou que la blessure ne représentait pour lui qu'une simple égratignure alors que pour n'importe quel des hommes, celle-ci aurait pu, aurait du mêsme, êstre fatale.
Le Très Haut en décida autrement.

Ainsy, au pied d'une statue représentant Christos,
Carl, baissa doucement la tête en guise de recueillement,
toujours en appui sur sa canne de ses deux mains cette fois, toute deux croisées.
A défaut de ne pouvoir se plier à cause de sa cicatrice encore fraîche sur son flanc droit.

Après quelques longues secondes silencieuses,
Carlisle releva la tête, ses yeux sombres et perçants dévisageant fixement la statue.
Il entrouvrit ses lèvres et dans un murmure, récita son propre requiem..

Recordare, Jesu pie,
Quod sum causa tuae viae:
Ne me perdas illa die.
Quaerens me, sedisti lassus:
Redemisti Crucem passus:
Tantus labor non sit cassus.
Juste judex ultionis,
Donam fac remissionis
Ante diem rationis.
Ingemisco, tamquam reus:
Culpa rubet vultus meus:
Supplicanti parce, Deus.
Qui Mariam absolvisti,
Etlatronemexaudisti,
Mihi quoque spem dedisti.
Preces meae non sunt dignae:
Sed to bonus f ac benigne,
Ne perenni cremer igne.
Inter oves locum praesta,
Et ab haedis me sequestra,
Statuens in parte dextra.


De nouveau un lourd silence religieux.
Sainte Vaubourg s'en retourna lentement vers la sortie.
Lorsqu'il fut aux portes de l'Eglise,
Le jeune Seigneur se tourna de quart, fixa au loin la Sainte Croix,
Puis rajouta d'une voix plus déterminé..

Confutatis maledictis,
Flammis acribus addictis:
Voca me cum benedictis.
Oro supplex et acclinis,
Cor contritum quasi cinis:
Gere curam mei finis....


Et après avoir réprouvé les maudits,
Et leur avoir assigné le feu cruel. Appelez-moi parmi les élus.
Suppliant et prosterné, je vous prie, le cœur brisé et comme réduit en cendres prenez soin de mon heure dernière...

Carlisle en eut terminé.
Sa longue cape virevoltant lorsqu'il reprit chemin,
Et quitta le saint lieu pour retrouver sa demeure où ses gens devaient s'afférer à regrouper les derniers bagages de leur Seigneur qui partirait dès la tombée de la nuit..
Florence.la.douce
Mes frères, par ces paroles, vous comprendrez que nul ne doit douter de ce que le Très Haut nous offre et le destin qu’il nous a choisi, même s’il nous semble parfois nébuleux, est ce qu’il y a de meilleur pour nous.
Notre Père est bon et sait ce dont nous avons besoin.
Ayons une confiance aveugle en lui.
Il nous guide à chaque instant.
Rendons grâce par cette prière.




Seigneur, fait de moi un artisan de paix.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi vivre dans l’amitié Aristotélicienne
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je sois à la hauteur de ma tâche.
Seigneur nous t’en prions…
Fait que je vive dans la dignité.
Seigneur nous t’en prions…
Fait moi grandir dans ton amour.
Seigneur nous t’en prions…
Accueil nos ancêtres, nos familles et nos compagnons partis à ta rencontre.
Seigneur nous t’en prions…
Seigneur, exauce nos prières, prend-nous dans ton amour, fait nous vivre dans ta grandeur mais aussi dans ta miséricorde et pardonne-nous nos offenses…
Seigneur, exauce-nous. Amen.
Armoria
S'en remettre à Dieu, s'y fier les yeux fermés, sans doute et sans crainte : telle était l'histoire de sa vie.

Aussi, au confiteor et à la prière commune, ajouta-t-elle dans un murmure quelques mots.


Seigneur, donne-moi la force de lutter pour Toi ; donne-moi la sagesse de renoncer pour Toi ; donne-moi la profondeur de Ton amour pour rester clémente quand il le faut ; donne-moi la grâce de savoir rester insensible quand c'est nécessaire ; donne-moi de m'oublier en Te servant, et en faisant mon devoir envers mon Roy et mes suzerains ; donne-moi la lucidité pour comprendre ; donne-moi la grandeur du pardon ; donne-moi la rigidité pour savoir ne pas céder à un pardon immérité ; donne-moi de ne pas confondre clémence et faiblesse ; donne-moi de ne pas confondre grâce et lassitude. Amen.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Florence.la.douce
La jeune Diacre leva les yeux et ouvrit les bras.

Je vous invite à un instant de recueillement.
Prenez conscience du devoir que nous avons tous les uns vis-à-vis des autres.



Elle invita les fidèles a réciter le Credo.

Ensemble récitons le Credo avec force et avec foi afin qu’il atteigne même les cœurs les plus endurcis…


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.
Amen

Florence.la.douce
A présent mes Frères, partageons ce pain de l'amitié qui nous uni tous et nous place au même rang sous le regard de Notre Père bien aimé:



La partage était terminé, Florence se mit devant l’autel face aux fidèles :


Le Seigneur soit avec vous.

Et avec vous aussi

Que Dieu tout-puissant vous bénisse.

Amen.

Allez, dans la paix.

Nous rendons grâce à Dieu.
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