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[RP] Parait qu'les chemins sont peu sūrs...

Somica
(Des journées plus tard, en village Diois)

Alors qu’elle avait retrouvé sa maisonnée, son village natal, sa sécurité et ses forces. Cette haine gangrénait au fond de ses viscères….Fière elle était, faible elle avait été…vengeance murissait….Elle avait interpellé armée et prévôté pour l’aider à les retrouver et les mettre au cachot. Mais…forcer de constater qu’elle n’était pas prioritaire sur cet affaire, elle avait dû se faire une raison….Les laisser en liberté sans aucune punition….surtout lui…lui …qui avait voulu…la….

Serrant encore ses vêtements sur sa peau pâle, elle imaginait ses mains, salir, cette chaire sainte de tout contact corporel. Elle avait attendu auprès de son ex aimé, des années et années, se préservant pour le mariage. Ce n’était pas pour se faire salir d’un mâle, en manque de pouvoir qu’elle allait écarter les cuisses….Hors de question !!

Cette vision d’horreur lui donnait chaque matin l’envie de vomir, cette haine qui surgissait physiologiquement par des vomissements matinaux ,diarrhées ou bien des silences ténébreux en pleine discussion en taverne.

On aurait pu croire qu’elle allait bien, c’est ce qu’elle disait ou montrait par des mots hypocrites ou un sourire en tout cas…. Mais…

Sa rancœur, sa peur, grandissait de jours en jours…la vengeance était un plat qui se mangeait froid se disait ’elle….elle les auraient... Tant qu’ils n’étaient pas hors d’état de nuire, elle aurait toujours cette peur au fond des tripes qui l’empêchait de vivre sereinement. Seule ou avec l’aide des sécurités Dauphinoises, peu importait, ils devaient payer ! La traque se préparait ! Que le meilleur gagne !

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Servane
Dieu qu'il était bon de reprendre la route ! Des jours que les deux comparses se terraient comme des lapins dans la petite masure du bougre et la rousse commençait à très mal supporter cette promiscuité forcée. Un temps elle avait cru que ses relations avec l'encapuchonné étaient en train d'évoluer vers plus d'apaisement mais bien sur elle s'était fichu le doigt dans l’œil et elle l'avait compris dès de leur départ ! Elle en avait pourtant fait des efforts, lui laissant la masure la nuit et n'y prenant son repos que le jour levé, une fois l'homme parti. Elle avait tout fait pour éviter de se retrouver seule avec lui, tout fait pour éviter ses mains baladeuses et ses propositions scabreuses mais dès le jour de leur départ,ses espoirs de voyager avec plus de quiétude avaient été réduits à néant quand elle avait senti une main calleuse fureter sur son postérieur.

Depuis l'aube, l'ambiance était donc maussade. Chacun semblant être perdu dans ses pensées et à l’affût d'une frasque ou d'un éclat de l'autre. A la nuit tombée, grande discussion commença sur le meilleur emplacement : la rousse adepte des entrées en matière discrètes prônant les fourrés alors que la raclure, plus direct dans son approche, voulait se mettre en bordure directe du chemin.


Bon sang Nat, je t'ai laissé faire à ta guise la dernière fois et j'ai fermé ma gueule sur celles d'avant mais là, je te dis que vu le passage, vaut mieux se mettre à l’abri et choisir posément la proie ! Avec tes conneries, on va se coltiner un peigne cul sans un sous en poche ! C'est ça qu'tu veux ? T'as tell'ment b'soin d'cogner pour risquer d'tout foutre en l'air ?! Bordel, j'me tape pas cette satanée route dans le froid et la neige pour rapporter une misère ! Tu commences sérieusement à m'faire c....


Sa phrase se perdit dans le vent quand elle sentit soudain une présence près d'eux. Pas même le temps de dégainer son arme que déjà un bougre sautait à pied joint devant leur trogne éberluée. Yeux braqués sur la hache agressive à quelques centimètres à peine de son visage, elle ne put que déglutir quand elle entendit la voix de son compagnon.

Hé, l'inconnu !

A première vue, j'te connais pas. Qu'est-ce que tu veux à la dame, hmm? J'me doute que t'es pas là pour ma sale trogne...


Réprimant mal une grimace de colère, elle allait répondre quand le nouvel arrivant leur intima l'ordre de se taire en leu montrant les lumières plus si lointaines que ça d'une lanterne. Non de non ! Ils avaient été tellement occupés à se prendre le choux qu'ils s'étaient laissés débordés comme deux débutants et par deux fois en plus ! Comprenant d'un coup d’œil que le bougre leur offrait son bras, la rousse s'empressa de hocher la tête pour adhérer à l'idée et de sortir sa lame. Elle était pas du genre à réfléchir à deux fois dans ce genre de situation : d'abord ils collaboreraient et après au pire ils discuteraient ou s’entre-tueraient au choix... Pour l'instant c'était le travail avant tout ! A trois la tactique était simple à choisir et c'est le regard fixé sur sa victime qu'elle murmura en se décalant vers le bas coté du chemin.

J'prends le flanc gauche, ça m'va mieux... Si j'peux, j'contourne et prends à revers... Ca vous va ?
Mephistopheles
[ Vienne, une taverne, le Donjon...]

La nuit s'installe sur Vienne, l'obscurité fait naitre des ombres inquiètantes sur les murs de la ville.

Dans une auberge de la ville, il s'est installé a une table et songe froidement à l'épreuve qu'il vient de traverser.

Cette route qui le mène il ne sait où, vient de se tranformer en chemin de croix pour lui depuis que son destin a croisé celui de ces quelques brigands.

Détroussé, la perte de ses biens lui importe peu, non... ce qui le chagrine, c'est de devoir interrompre son voyage.

Il boit une gorgée, repose son verre et soupire.

Que fait-il ici....? Quelle force le pousse ainsi à poursuivre un chemin dont il ne connait pas la destination...?

Il n'a aucune réponse à apporter à ses questions, tout ce qu'il sait c'est qu'il se doit de continuer de poursuivre cette étrange quête.

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Natorias
En réponse à la proposition silencieuse de l'inconnu, le Faucheur acquiesça d'un signe de tête. Peut-être qu'il tapait l'incruste, mais il le faisait dans les règles... sans l'ouvrir outre-mesure. Ce simple fait incita la brute à ne pas le considérer comme un ennemi, et à empoigner son gourdin grossier pour lui prêter main-forte. Sous les paroles de la rousse, ils se placèrent avec intelligence autour du sentier. Les trois ombres s'avancèrent à l'encontre du marcheur nocturne, chacune se déployant dans la plus grande discrétion pour intercepter la proie, faisant preuve d'une excellente coordination pour un groupe si récemment complété... C'étaient des pros. Et ça se sentait. Tout se passa comme s'ils effectuaient ça depuis des lustres... jusqu'à ce que Natorias, avec un beuglement barbare, ne vienne rompre leur formation pour piquer un sprint sur leur victime.

La stratégie de Servane s'évanouit en un instant.

A la lueur de la lanterne qu'il tenait, le visage encore juvénile du voyageur devint bien pâle, se décomposant un peu plus à chaque seconde. Le hurlement, rauque et continu, ne cessait pas de vriller ses tympans. Il ne tarda pas à voir, émergeant de l'obscurité, la haute silhouette du rustaud qui levait déjà son arme pour lui briser le crâne. Derrière lui - et avec davantage de finesse - évoluaient les autres, invisibles et imperturbables, prêts à toute résistance imprévue. Malgré une tentative d'esquive, la massue du Faucheur s'écrasa brutalement sur l'épaule du malheureux, lui broyant les os en un craquement sonore, avant de se lever encore pour s'abattre sur sa tête avec moins de force. Le plus gros choc était passé. Ca n'empêcha pourtant pas le jeunot de s'effondrer, comme un pantin sans ses fils, à l'instar de son lampion qui se fendit sur le sol...

"
'Pouvez venir. L'était pas très coriace, le bougre. "

Dans le genre parole inutile, il n'avait pas mieux. Ses coéquipiers étaient déjà là, à fouiller la besace du péquenaud, peu préoccupés par le besoin de le castagner eux-mêmes. Natorias était apparemment le seul à trouver ça glorieux. Son souffle s'était emballé lors de son assaut furieux, et il parvint tant bien que mal à se calmer pour lorgner d'un oeil torve le nouveau qui prenait sa part. D'un léger regard à la femme, il se rendit compte qu'elle n'était pas gênée le moins du monde par sa présence... en apparence, du moins. Toujours calme et impassible. Ce n'était pas le cas du salaud, qui s'exclama sans détour :

"
T'as l'air doué. On te prend. Si tu deviens un boulet, on te lâche. "

S'agirait pas d'interrompre leur belle série de victoires...


29-01-2012 04:05 : Vous avez racketté Alexandrino qui possédait 163,59 écus et des objets.
28-01-2012 04:05 : Vous avez racketté Violette_ qui possédait 89,30 écus et des objets.
27-01-2012 04:05 : Vous avez racketté Ellemom qui possédait 1,54 écus et des objets.
26-01-2012 04:05 : Vous avez racketté Mephistopheles qui possédait 182,04 écus.

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Le Faucheur, fier et détestable brigand.
Lateigne
Lateigne, toujours silencieux.
Pity, sa fidèle hache, toujours en main.
Avança furtivement vers le chemin.

Ils obéissaient tous trois à une étrange règle tacite scellée a peine trente secondes plus tôt.
Le pas léger, furtif, seul le craquement de la neige sous leurs pieds aurait pu trahir leur présence. Mais une forêt, même endormie par la nuit et par les fraicheur hivernal n'était jamais vraiment silencieuse. Le pauvre type n'a aucune chance pensa t-il à ce moment là.

Lat s'occuperait de l'arrière gauche, il était en place, plus qu'a attendre que le pigeon passe pour se retrouver en position derrière lui. Commença alors une courte attente, une minute grand maximum, mais une minute qui passait si lentement, et si rapidement tout à la fois. Toujours cette excitation qui lui transperce le bide. Serait il capable de s'en passer un jour? Et pourquoi essayer de s'en priver?

Il regarda l'homme passer, vit sa comparse traverser la route deux ou trois coudés plus loin pour regagner l'autre coté et prendre la victime en tenailles, lui couper toute possibilité de retraite. Pas mal, j'aurais pu tomber sur des gros nuls... J'ai bien fait de pas essayer de pas leur tomber dessus. Leur technique est inter.... Sa réflexion fut stoppée net par un beuglement mi humain, mi bovin.
Il sauta donc hors du fossé qui le camouflait, et fondit vers sa proie.

Ce n'était pas la victime qui avait crié de peur. Non c'est l'idiot qui avait joué l'intimidation. Boarf, en pleine nuit sur une route déserte pourquoi pas, ca évitera surement toute riposte et toute violence inutile. La suite des faits ne coïnciderait pas avec cette étude poussée. **Paf, crack, repaf, recrack, et scroutch** pour résumer. Lateigne regarda le spectacle. Quelle brute. Va falloir trainer le corps ailleurs si ont veut pas éveiller les soupçons de la maréchaussée, bien qu'ils soient complétement nazes ici, c'est jamais bon pour les affaires.

L'autre gland enfin la face dans la neige, l'épaule en charpie, il commença a lui faire les poches. D'une seule main et d'un seul œil! L'autre bille noisette ne quittant pas le gourdin du bourrin, et ne lâchant sa hache sous aucun prétexte pour pouvoir parer à tout revirement, que ce soit de la victime comme de ses nouveaux camarades.
C'est lui qui trouva la bourse, et bien garnie! Coup de bol pour une première collaboration. 180 écus à vu de nez. Il en prit une soixantaine et jeta le reste à l'homme à la matraque. Celui ci l'observait, surement pour voir que Lat n'allait pas endormir le fric. Une fois rassuré il lui lâcha
Citation:
" T'as l'air doué. On te prend. Si tu deviens un boulet, on te lâche. "

Sans un mot Lat le regarda et regarda la femme. Doué c'est une évidence, quoi qu'en dise sa lèvre fendue, quant a me prendre, lui il a aucune chance, la brigande... on verra. Quant a une collaboration, pourquoi pas, ça mettrait peut être enfin fin à sa période de vache maigre. Là ou il se plante, c'est que c'est pas lui qui décidera quand ça prendra fin.

Ceci étant, il accepta d'un signe de tête.
Ce fut leur premier coup ensemble, rapidement suivi de bien d'autre!


29-01-2012 04:05 : Vous avez racketté Alexandrino qui possédait 163,59 écus et des objets.
28-01-2012 04:05 : Vous avez racketté Violette_ qui possédait 89,30 écus et des objets.
27-01-2012 04:05 : Vous avez racketté Ellemom qui possédait 1,54 écus et des objets.
26-01-2012 04:05 : Vous avez racketté Mephistopheles qui possédait 182,04 écus.

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Servane
La rousse traînait avec les deux hommes depuis plusieurs jours maintenant et elle commençait sérieusement à avoir envie de dormir dans un lit douillet. Faut dire que la compagnie n'était pas des plus aimables. Natorias comme à son habitude éructait plus qu'il ne parlait et le nouveau venu ne décrochait une parole que s'il y était contraint et forcé!

Assise au pied d'un arbre, surveillant le feu où grillait un lièvre pris à un de ses collets la nuit dernière, Servane réfléchissait en frottant ses mains glacées. Les dernières prises étaient correctes, ils pouvaient se permettre de revenir un peu en ville après tout. Souriant aux souvenirs des événements passés, elle retourna légèrement la viande fumante tout en examinant les deux hommes postés à quelques mètres. Oui, les prises avaient été correctes et surtout plutôt faciles. Deux jours qu'ils n'avaient même pas eu à dégainer leurs armes ! Le plus drôle, ça avait été la morveuse qui voyageait bizarrement seule en pleine nuit. La petiote avait été tellement paniquée en voyant Nat s'avancer au devant d'elle, qu'elle était partie en criant et pleurant en laissant son balluchon derrière elle. Par deux fois, pris d'un fou rire irrépressible, ils l'avaient vu à la lueur de la lune tomber lourdement sur le chemin en pleurnichant à tout va. Le rire de la jeune femme s'était accentué en voyant la tête de son compagnon qui regardait bêtement sa massue avec l'air déçu d'un enfant privé de dessert.

Quand elle estima que la viande était cuite, elle fit signe aux deux hommes et commença à dépiauter l'animal . Une chose la chagrinait pourtant, deux jours qu'elle y pensait et cela ne lui plaisait pas mais alors pas du tout ; il était temps qu'ils aient une petite conversation. Attendant que chacun fut servit, elle commença donc sans les regarder.

Dites les bougres, y a comme qui dirait un soucis depuis deux jours et ça m'plait pas des masses... J'dois pas être la seule à avoir remarqué qu'ma bourse est pas aussi pleine qu'elle le devrait! Y'a un rat qui s'amuse à nous faire les poches dans not' sommeil j'suis sure! Depuis qu'on est là, j'sens comme une présence qui m'dit rien qui vaille et ça m'plait pas des masses vous voyez...

Se tournant vers le nouveau, elle lui lança un regard perçant avant d'ajouter le ton un peu plus menaçant.


T'aurais pas invité quelqu'un sans nous en parler toi hein? T'aurais pas quelqu'chose à nous dire par hasard...?
Somica
[Bien des journées plus tard et toujours le même cauchemar]

Des jours et des jours que tout avait été préparé soigneusement. A plusieurs, ils auraient certainement réussit à leur mettre une bonne raclée au détour d’un nœud. Deux petits brigands contre quatre civils, c’était joué d’avance. Ils auraient certainement prié pour qu’on leur rende grâce.

Avant de quitter Dié, So’ avait le sourire aux lèvres, tout était parfait et préparé minutieusement. Les armes, la force, rien ni personne ne pouvait à présent l'arrêter!

Mais…cela aurait été bien trop simple…Le paquetage prêt, il ne restait plus qu’a enfourcher les chevaux et direction l’horizon à la recherche de ces deux scélérats. Le départ ne fût pas si simple…Deux des personnes prévues avaient fait demi-tour, nous n’étions plus que deux…

Confiante, so’ avait dit pas de problème : on trouvera bien deux personnes en renfort dans le village voisin, ou celui d’après…Chose qui ne fût pas le cas. Mais ils devaient avancer toujours et repérer les cibles au moins. Elle franchit ce nœud de malheur avec normalement son équipier…Mais…pour qui pourquoi ? Ce n’est pas à deux qu’ils avaient empruntés les chemins entre valence et Vienne mais seule qu’elle se retrouvait à nouveau sur ce nœud de malheur….

Sa chevauchée fut vite arrêtée par deux brigands qui ne lui ont donné qu’un seul choix. Se taire et encaisser la pluie de coups qui s’abattait sur elle en quelques minutes. Un temps bref ou les fers s’étaient croisés, mais où elle avait vite lâché prise. Inconsciente dans un fossé, elle s’était à nouveau retrouvée, dépouillée de tout ce qu’elle avait…allongée sur le sol, le visage et corps tuméfié, la boue comme seule vision, elle versait toutes les larmes de son corps. De colère, elle frappait le sol avec sa lanterne de toutes les forces qui lui restaient. Elle se mit sur le dos, tout en regardant le ciel qui lui offrait les plus belles constellations de l’hiver. Elle pensait qu’elle allait mourir ici, près de ce champ où tout avait commencé….et où tout allait terminer. Finit les douleurs qu'elle avait pu ressentir depuis des mois, le soulagement lui était peut être offert cette nuit là...

Elle ferma les yeux doucement, laissant la faucheuse venir la chercher, il était temps de laisser la mort faire son travail. De la libérer....

Plusieurs heures plus tard, elle s’était retrouvée à Vienne, une personne qui l’avait accueilli aux portes de la ville, lui avait dit qu’elle avait été déposée par un Marchand Ambulant, avant qu’il continue son chemin. Elle ne saura jamais qui il était mais on lui offrait une nouvelle chance de vivre…Mitigée sur l'avenir qu'on lui offrait a nouveau, elle était bien en vie et devait s’en saisir, mais a quel prix?

Des journées de repos plus tard, elle avait porté plainte, reprit des forces. Marquée a jamais par ces traumatismes, elle devait s’efforcer de continuer...Mais à présent elle se trouvait seule sur Vienne ne sachant que faire…Continuer pour ce à quoi elle avait entamé la route, ou tout arrêter, rentrer a Dié et s'enfermer dans sa maisonnée ? Et pourtant au fond d'elle, elle était toujours nourrit par ce désir de vengeance qui lui donnait un peu plus de force chaque jours.Peut être trouvera t'elle un jour, une idée…un déclic, une aide, …pour avancer dans sa quête…une chose était certaine, elle ne les oubliera jamais...

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