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[RP] "Les Glycines..." 2 Avenue du Lac

--_mariette
Celà faisait des mois que La Rouquine et Mini Rouquine étaient partit en voyage, la brunette se retrouvait toute seule a garder la maison et autre habitant des lieux.
Elle s'occupait toujours pour ne pas sombrer dans l'ennuie, le potager, le verger, la maison a entretenir préparer les repas pour elle et Froissard.

Les rouquines lui manquait, c'est vrais que c'était animée quand elles étaient dans la maison, elles en étaient fatigante même, que de bon ou mauvais moment lui revenait a l'esprit quand elle fut surprise par des appelle devant la porte de la cuisine.

Youhouuu !!! Mariette ???????

Mariette descend les marches a vive allure et manque de justesse de s'affaler au sol, voilà se qui arrive si on n'fait pas attention. Mais qui est cette folle qui hurle devant la porte j'ai faillie tomber moi "pfffffff", elle ouvre la porte d'un coup.


- ça vas pas de hurler comme ça, j'suis pas sourde heinnn !!!

Arrêt brutal, puis grand sourire aux lèvres.

- Ohh c'est toi Mélie ! quelle bonne surprise, que t'arrive t-il pour hurler comma ça ?
La p'tite Lu accouché, on a besoin de nous du côté de la porte Sud. .
-Lu vas accoucher ? Vite allons y, je prends des linges propre et tout se qu'il faut avec.

Les deux brune sont rejoint par Souffre qui les amène avec la charrette auprès de Lu.
--Souffredoul
Le vieux avait fait parvenir une missive au domaine afin que soit entretenu les deux maisons de ville que sont Les Mûres et les Glycines.
En l'absence des deux familles propriétaires, le jardin avait été préparé pour passer l'hiver.
Ugo_
Le retour était imprévu, elle entra en courant et criant le nom de Mariette en hurlant.

- MARIETTEEEEEEEEE !!!!!!! Je suis revenue de ce très lon voyage !!! Et pis je veux te voir maintenant ma chérie d 'amour !!!!

Elle sautillait de joie sur place en tapant dans ses mains, même attitude de gardée depuis son enfance quand elle était heureuse d 'un événement ou d 'une situation qui lui procuraient la liesse à la tripaille.

- J 'AI UN CADEAU POUR TOI !!!!VIENS VITE


]Tirant sa malle jusqu 'au milieu du salon, elle eut quelques difficultés à l 'ouvrir, car pour éviter qu 'elle s'ouvre en cours de chemin, ficelles et cordes étaient entourées autour de celle-ci avec quelques noeuds marins à chaque recoins de la malle. Une idée saugrenue bien entendu , mais elle ne pouvait faire sans s 'appliquer à tripler les recommandations.

Une à une ses affaires furent sorties de la malle, la pagaille régnait dans la pièce en moins de dix minutes. Elle brandit le cadeau de Mariette au dessus de sa tête, puis reprit ses effets sonores :

- MARIETTE JE L 'AI !!!!!

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Le puit des désirs n 'a pas de fond
Zeline
Un sentiment d 'amour renaissait en elle depuis qu 'elle avait reçu un courrier de sa mère, bien loin et seule, mais vivante.

Citation:
Date d'envoi : 03/04/1462 -


Bonjour ma fille adoré,

Je m'excuse de ne plus avoir donnée de mes nouvelles. Comment vas tu ma chérie ? Tu dois être une très belle jeune fille maintenant je ne vai splus te reconnaitre. Pour ma part je vais bien, je suis partit au couvent car je ne voyais plus personnes, les navires avance sont presque fini. Comment vont mes amis...........

Passe le bonjour a tout le monde s'il te plait.

Je t'embrasse très très fort ma chérie, tu me manque.

Ta mère.


Après l 'avoir lu doucement, elle se dit que finalement sa mère avait peut être besoin d 'elle , l 'idée saugrenue lui vint à l 'esprit de partir la chercher et de la ramener à Sarlat. Le chemin ne lui faisait pas peur, pour l 'avoir fait au retour seule, la tête baissée un bâton en main pour chasser les vilains brigands susceptibles de l 'attaquer.

D 'une plume appliquée, elle répondit sur le même ton à sa mère adorée.

Citation:

Date d 'envoi : 06/04/2014


Bonjour mère,

Je n 'ai pas de nouvelles non plus de tes amis, quand je suis partie ils étaient avec toi sur le bateau. Et après plus de nouvelles, ils sont partis pour faire le tour du monde certainement... Les vaches !!!! Ils auraient dû nous prévenir...

Je ne me marie plus il en valait pas la peine, je suis toujours vierge, l 'honneur de la famille est sauvé.

J 'ai écrit à grand père pour me faire anoblir, il m 'a jamais répondu... Je vais aller le voir et le remercier de vive voix pour ses réponses, pleine de froidure. Je ne peux que compter sur moi quand tu n 'es pas là, mis à part le soutien de Patt, d 'Arga et celui de plume.

Je t 'embrasse tout fort

Ta fille qui t 'aime

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Le puit des désirs n 'a pas de fond
Pattricia
[Ombre...]



Le convoi avait contourné le village et longé le lac jusqu'à cet endroit perdu au nom pompeux, l'avenue du Lac. Tout au plus aurait-il été plus judicieux d'appeler ce chemin boueux, le sentier des fantômes du passé. La silhouette féminine du couple en tête de file saute résolument à terre à hauteur d'une bâtisse isolée. Plus loin, pour ceux qui connaissent, se trouve une sorte de petit manoir avec sa tourelle et un moulin à eau. Mais personne ne s'y rendra, le lieu est en vente depuis des mois, attendant un repreneur et la femme n'y remettra pas les bottes. Tournant résolument le dos à la silhouette de la bâtisse, elle tire la chaîne qui agite la cloche, qui provoque une cavalcade et l'ouverture de la porte donnant sur la cour et l'apparition d'un visage rougi par la course. Les yeux s'écarquillent et la visiteuse sourit devant la surprise de l'intendante.

Bonjour Mariette...

Les maines plaquées sur sa bouche, Mariette lâche un

Par le Très Haut si je m'attendais !

Les jades sont légèrement rieurs, ce qui ne leur est plus arrivés depuis des semaines.

Ne vous inquiétez pas, nous apportons de quoi nourrir une armée, et nos gens vont vous aider à préparer les chambres et les communs. J'espère que vous pouvez nous recevoir...

L'intendante sursaute et ouvre en grand les portes.

Pour sûr ! Vous êtes ici chez vous Dame Pattricia et les vôtres également, après tout vous êtes comme une sœur pour Dame Mari.

C'est ainsi que la tribu fit son retour à Sarlat, plus par contrainte/devoir que par véritable envie, mais il était clair que s'éloigner du Bordelais et du Languedoc fatals à la fratrie La Canéda était une bonne chose. C'est une vindicative bien silencieuse qui pris congé de tout le monde pour se rendre à la crique aux saules, il y avait des retrouvailles qui se faisaient en solitaire. "Communiquerais-je encore avec lui où suis définitivement une étrangère en ses eaux ?"

Sur ce questionnement intérieur la rousse prend le chemin qui se tortille à travers les roseaux.

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Égérie de la Boutique du Lys
--_mariette
Plusieurs mois toute seule à faire vivre Les Glycines, aucune nouvelle de Mari depuis un an et demi et de Zeline partie seule sur les chemins du royaume depuis plusieurs semaines déjà, mais où étaient-elles ? Quand reviendraient-elles ? Un grand mystère à ses yeux et une grande solitude.

Quand par miracle quelqu'un agite la cloche de l'entrée, sursaut puis panique, qui cela pouvait être ? Elle court pour ouvrir, le visage rougi, à la recherche de son souffle, ouvre la porte et tombe nez a nez avec Dame Pattricia sourire aux lèvres.


- Par le Très Haut si je m'attendais !

Mariette n'en revient pas, enfin quelqu'un qui se montrait aux Glycines.

Ne vous inquiétez pas, nous apportons de quoi nourrir une armée, et nos gens vont vous aider à préparer les chambres et les communs. J'espère que vous pouvez nous recevoir...

Sautant de joie Mariette ouvre les grandes portes donnant sur la cour pour faire entrer tout ce petit monde.

- Pour sûr ! Vous êtes ici chez vous Dame Pattricia et les vôtres également, après tout vous êtes comme une sœur pour Dame Mari.

Quand la tribu et la maisonnée sont enfin installés, Mariette voit Pattricia dans sa tenue de deuil quitter la maison et s'éloigner en direction du lac "sûrement veut-elle se retrouver seule pour se remémorer ses souvenirs du passé".
Pattricia
[On change pas une arrivée qui gagne. Bien des semaines plus tard...]



Arrivée silencieuse d'un groupe gelé jusqu'aux os. La rousse saute à terre et vient frapper à la porte principale.

Mariiiiiiii !!!!!!
J'chuis làààààààà !!!!!

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Égérie de la Boutique du Lys
Mariceleste
Dans la cuisine devant un bol de café a moitié endormis sursaute au cris d'une furie Rousse
et oui cette furie rousse n'est autre que ça meilleur amie Patt, elle se lève en renversant son bol sur la table.


- Merdouille j'ai renversée mon bol.

Grogne et répond a Patt.

- Pattttt ne crie pas, chuiii pas sourde, vient dans la cuisineeee !!
Pattricia
"Pas sourde ma rouquine ? Mouais admettons..."
Laissant la tribu en plan, la maisonnée installer tout le monde, les gardes gérer les chevaux et coches, la vindicative pousse la porte de sa meilleure amie, sœur de cœur et fonce dans la cuisine.


Salut ma Rouquine, tu viens même pas m'accueillir en personne avec tout le respect dû à mon rang ?

Evidemment elle se marre, Mari allait partir au quart de tour et l'envoyer bouler comme d'hab, que c'était bon de retrouver ses marques le temps de finir de guérir...
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Égérie de la Boutique du Lys
Mariceleste
En rogne d'avoir renversé son bol et une rousse qui en rajoute car mal accueillie, fallait pas la chauffer le matin de bonne heure, surtout quand elle avait mal dormis dont mal réveillé.

- T'accueillir en personne, avec tout le respect dû a ton rang, tu t'fou de moi là ? J'vais t'en faire des manières moi tu vas voir non mais hoooo !


S’arrête un moment, puis se reprend en faisant un large sourire a Patt, manière de calmer le jeu.

- Je suis contente de te voir, tu reste quelques temps j'espère ? Alors raconte.... Montpellier c'est comment et les enfants , ils ont du bien grandir et j'ne vais plus les reconnaitre.

Ça mauvaise humeur allait vite passer et ferais place aux rires.
Argawaen
[Un moment privilégié, presque oublié]

Au loin, ou du moins dans les étages de l'auberge l'on pouvait entendre une grosse voix qui raisonnait. Qui cela pouvait-il bien être ? Le Dehuit de Malemort bien évidemment.
Lorsque l'on montait les escaliers l'on pouvait entendre cette voix sourde et rauque à la fois qui était en train de mener la vie dure à toute sorte de personnes. Parfois l'on pouvait entendre des injures, parfois des rires, parfois même un semblant de tendresse. Mais ne vous y méprenait pas. Il s'agissait quand même de l'ours.


- Bon vous m'avez tous bien compris ? Je ne veux que personne ne nous dérange. Vous allez me chercher mon épouse, vous me la conduisez dans ce petit salon juste là. Ne vous en faite pas si je serais déjà. Et ensuite vous disparaissez pour plusieurs heures vu ?

Alors que l'un des serviteurs allait pour ouvrir la bouche le vétéran reprit.

- Les enfants seront entre vos mains, vous vous débrouillez pour qu'ils pensent à autre chose qu'à être collés dans nos bottes. S'il y en a un qui se fait bouffer par un ogre, vous nous en informez que lorsque nous aurons terminés. Ce n'est pas négociable.

L'ours avait été clair, plus que clair, maintenant il fit envoyer un garde quérir son épouse tandis que lui terminait de fignoler un peu l'ambiance romantique. Quelques bougies, une peau de bête devant l'antre, deux fauteuils confortables, du bon vin et quelques victuailles comme du sanglier, du cerf, des légumes de saison et du pain.
Le Dehuit de Malemort en avait assez de passer en second plan, il était temps de se retrouver avec son épouse. L'homme était à bout de nerfs à cause de cet éloignement et des problèmes survenus au sein de leur famille.

Argawaen était plus que décidé à changer cela, et si son épouse ne pouvait le comprendre, tant pis. Il aurait essayé. Mais il avait envie de mener la danse pour changer, comme toujours d'ailleurs. Alors cette fois-ci aucun échappatoire ne serait assez concret pour lui retirer ce moment en sa compagnie.
Parfois l'homme se demandait si le mariage n'était pas un éternel problème. Cependant il aimait cette femme, la soutiendrait, mais lui aussi avait besoin d'un peu d'affection et de temps en sa présence. Il alla s'asseoir dans un fauteuil, servit deux verres et attendit que la rousse arrive.

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Pattricia
[Dans leurs appartements, toujours aux Amazones...]


Alors ?


Les jades roussesques interrogent du regard la jeune camériste.

Vous aviez raison Madame, votre époux prépare une surprise pour le réveillon de la nouvelle année.
Hum...
Je commence à le connaître, c'est rassurant... Bon et bien vous voyez que la prise d'un bain à cette heure n'était pas si incongrue que ça.
Pour sûr Madame a eu le nez fin.


Et justement, les jades qui étudient minutieusement le nez en question ne peuvent qu'être d'accord avec la servante. Sans être d'une grande beauté, la vindicative a les traits, et surtout le nez, fins, la taille menue -un peu trop- et la silhouette prometteuse bien qu'encore un peu amaigrie.
Les lèvres sourient à ce reflet, rien à faire l'ours apprécierait, le tout était de faire les bons choix.


Alors d'abord la tenue et ensuite la coiffure et les bijoux...
Sortez mes robes que je puisse choisir s'il vous plait.


Pendant que la camériste s'exécute, la rousse étudie de près chaque tenue étalée avec précaution sur le lit. Elle arpente le parquet de ses pieds nus et tourne autour de la couche comme une abeille attirée par la confiture.
Le choix fut enfin fait et une fois habillée, Patt s'installe devant la coiffeuse pendant que la servante lui élabore une coiffure sophistiquée.
Un simple collier d'émeraudes pareilles à son regard est rajouté et la voilà qui tourne sur elle-même plutôt satisfaite.


Je n'aime pas trop cette couleur, mais il sera sans nulle doute vêtu dans des tons approchant, autant faire en sorte que l'on se complète.
Il ne me reste plus qu'à attendre la "convocation" qui ne saurait tarder.


Et de fait, pendant que la camériste fait disparaitre les robes dans les coffres prévus à cet effet, un coup frappé à la porte et une tête d'un valet de Mari passe la tête.

Ne vous fatiguez pas à me faire l'article, dites-moi plutôt dans quel salon je dois me rendre.

L'homme bafouille, finit par devenir intelligible et s'efface. La La Canéda Dehuit de Malemort sourit légèrement, adorant prendre de cours les gens en général et, après un clin d'œil de connivence à la servante qui s'affaire encore, elle quitte la pièce pour parcourir les quelques marches qui séparent leur chambre du petit salon où l'attend surement son époux avec impatience.

Une fois devant la porte close, elle remédie à un hypothétique désordre dans sa tenue, se mordille un peu les lèvres pour leur donner un peu de couleur, ouvre la porte et fait son entrée comme si tout ceci était naturel. Gratifiant son époux d'un sourire éclatant, elle tourne sur elle-même.


Je ne savais pas si une tenue de gala était exigée, alors j'ai opté pour un compromis, cela te convient ?



Le regard qui filtre entre ses cils est malicieux pendant qu'elle attend le verdict oursonnesque...
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Égérie de la Boutique du Lys
Argawaen


L'attente ne fut pas si longue que cela, et même si cette dernière aurait du durer, cela en valait la peine. A l'entrée de son épouse, l'observant faire, Argawaen se leva et se glissa devant elle. Un sourire s'étirait sur ses lèvres, le regard pétillait. Lentement ses mains vinrent se poser sur ses hanches et ses lèvres vinrent rencontrer les siennes.

Tu serais venue en souillon je t'aurais accueilli de la même manière mon coeur.

Se plaçant à sa gauche il lui prit le bras et la conduisit jusqu'au fauteuil. Une fois la rousse installée comme il se devait il servir deux verre de vin d'Alsace et le posa devant elle. L'homme prit place à son tour une fois son verre servit et poussa un soupir de satisfaction. Il restait un instant silencieux, à la fois pour admirer son épouse, à la fois pour savourer un moment privilégié avec son épouse.

Les enfants sont entre de bonnes mains, si problème il y a, il sera réglé. Cette journée est à nous. Nous n'avons eu le temps à Montpellier, alors ce sera ici en remplacement.

Souriant brièvement, s'accoudant aux bras du fauteuil le vétéran retira le couvercle qui était sur le plateau laissant apparaitre la victuaille. A leur droite, dans l'antre, sur une planche métallique était en train de cuir du sanglier. Cette douce odeur venait lui chatouiller les narines et lui mettait l'eau à la bouche. Cependant il fallait être patient. Pour l'heure sur le plateau présent devant eux se trouvait de la viande séchée, du jambon en tranches, des pommes four faite au miel. Bref il y avait de quoi nourrir un régiment.

En espérant que cela te conviennes. Je ne souhaite pas débuter cette nouvelle année sur une mauvaise impression. Je suis heureux d'avoir enfin un peu de temps en tête à tête. Cela commençait à peser.

Levant son verre, trinquant avec elle, l'homme bu une gorgée de son vin Alsacien.

En tout cas tu es magnifique ma douce. Et lorsque je vois ta coiffure je me dis que des servantes ont du passer un sale quart d'heure... Scalps ?

Souriant amusé son regard bleuté ne quittait pas le sien.
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Pattricia
Quand les saphirs se posent sur elle, elle ne peut s'empêcher de frissonner. La tenue doit sans aucun doute convenir puisqu'en un éclair il est tout près d'elle, enserre sa taille et leurs lèvres se rencontrent dans un long et tendre baiser plein de promesses. Puis il parle, le sourcil roussesque se hausse, et un éclat de rire cristallin fuse.

Voilà bien les hommes ! Vous vous faite belle pour leur faire honneur et c'est en vous imaginant en souillon que leur regard pétille. Ne ment pas mon amour j'ai bien vu l'éclair égrillard dans tes yeux. Si j'étais venue dans une tenue moins ostentatoire, tu m'aurais déjà renversée jupons par dessus tête.

Le sourire est malicieux quand elle se laisse guider jusqu'au fauteuil et le regard pétille quand il lui sert un verre d'Alsace pour finir par s'installer face à elle.

N'ai crainte, je n'ai nullement l'intention de laisser s'immiscer notre turbulante progéniture dans notre soirée en amoureux.

Elle trinque avec lui et porte le liquide doré à ses lèvres, en appréciant le fruité. Puis elle rosît bien malgré elle au compliment de l'ours sur sa tenue et sa coiffure, pouffant comme une gamine à la fin de sa phrase.

Nullement mon amour ! La servante mise à ma disposition par Mari est des plus efficaces et ton invitation est tombée à pique, nous faisions des essayages de tenues et coiffures justement.

Un pieux mensonge ne nuirait pas à leur couple, bien au contraire, Argawaen aimait faire des surprises à son épouse et, en fine mouche, elle avait fini par comprendre qu'il fallait laisser croire à son mari que ses surprises étaient vraiment des surprises...
Elle avait mis du temps à comprendre cela, gâchant souvent ses effets à l'ours par manque total de pratique des us et coutumes au sein d'un couple. "Il n'est jamais trop tard pour apprendre après tout..."
La vindicative prendrait-elle de la sagesse en même temps que de l'âge ? L'espoir fait vivre...


Et bien ma foi il y a encore à manger pour un régiment ! Je sais que j'ai encore besoin de me remplumer mais là... C'est beaucoup trop...

Elle lui sourit tendrement, amusée par ce besoin qu'il avait de souvent en faire trop.
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Égérie de la Boutique du Lys
Argawaen
Souriant aux diverses remarques de son épouse le Dehuit de Malemort était bien satisfait d'avoir ce moment en sa compagnie.
Laissant les flammes de l'antre réchauffer la pièce il savourait avec appétit une légère tranche de lard. Les légumes, très peu pour lui, mais connaissant son épouse il avait fait en sorte qu'elle ait de quoi faire. Surement en trop grande quantité.


Ma douce, te renverser est toujours un véritable plaisir, et peu importe la tenue.

Pouffant légèrement il poursuivit tout en savourant son lard.

Je suis étonné que tu aies trouvée une servante à ton goût. M'enfin comme quoi tout peut arriver. A défaut d'avoir des enfants turbulents tu as une servante digne de ce nom. Moi qui me faisais déjà une joie de la scalper...

Une petite moue amusée sur le visage de l'homme fit son apparition.

Il est vrai que j'ai prévu large niveau quantité. Mais tu sais, bien que mon coeur soit de pierre dans la plupart des cas te voir ainsi ne me sied guère. Il te faut reprendre des forces, du poil de la bête, et je compte bien t'y aider. Alors mon épouse, mange, et si tu n'as plus faim, mange encore. Nous éliminerons tout ça lors d'un jeu conjugal. Enfin... Tu vois ce que je veux dire.
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