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[RP] Un retour attendu sur les terres ancestrales

Fralis
Le marquis n'était pas réellement un marquis. Bon, sur le coup ça semblait étrange au brun, mais il préféra n'émettre aucun commentaire, d'autant plus que Rodrielle croyait son amie, et que lui n'avait pas de raison de douter d'elle. La blonde expliqua rapidement la situation à son fils, qui après l'accord des deux mamans parti jouer avec la petite. C'était plaisant et nouveau pour le chevelu de s'inquiéter pour quelqu'un d'autre que lui même.

Sa compagne lui demandant de trouver quelque chose à boire, le brun attacha les rênes pour que les chevaux suivent gentiment leur route, et fouilla dans son dos pour trouver à portée de main les bouteilles d'alcool précieux. Personne ne pouvait prédire où ils pourraient de nouveau trouver de quoi se rafraichir le gosier et se réchauffer les muscles, ils avaient donc tout naturellement un large stock de vins et alcools bruts.

Retirant une bouteille du coffre, il s'empressa de l'ouvrir pour la faire tourner. Lui-même avait la - rare - galanterie de laisser les femmes boire avant lui. Les verres, c'était pour la haute, le goulot leur suffirait très bien.


Oubliez pas de faire tourner surtout, on a tous soif !

Il sourit, et, attendant son tour, il repris les rênes sans se presser. La route était facile et peu fatigante. Les enfants jouaient, et l'invitation d'Amarante acceptée par Rodrielle, le chevelu lui laissant le soin de tracer les routes et les plans de départs et de repos.

Les deux gamins tombèrent, Elouan ramassant tout, tandis que la petite fille s'en tirait bien étant la "cavalière" du moment. Une nouvelle cicatrice de gagnée pour le petit Corleone, et le trajet repris son cours, l'alcool réchauffant la gorge.

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Amarante.
Oui, je pense que nous allons rester avec vous quelques jours, le temps de prendre un bon bol d'air frais. Tu nous feras visiter ton futur chez-toi

Ravie, elle était ravie. Ils allaient rester un peu et elle allait pouvoir lui montrer là où elle voulait mettre son projet en place. Tout en parlant et marchant, elle regarda les enfants partir et de voir Kory rire comme ça, lui faisait chaud au coeur. Cette enfant avait eu de dur moment déjà si petite, mais elle était fière d'elle, elle les surmontait très bien.

Les yeux brillants, elle retint un cri de peur quand ils tombèrent tous les deux. Rodrielle partit la première et elle suivie sur ses talons en courant presque. Kory était allongé de tout son long sur ce pauvre Elouan qui était forcement dessous. Heureusement l'herbe avait amorti un peu la chute pour ce courageux destrier qu'il était.

Rodrielle releva sa fille et la tourna vers elle. Se baissant, elle la prit dans ses bras pour l'inspecter de la tête aux pieds pour voir si elle n'avait rien.



Ca va mon ange ? Tu ne t'es pas fait trop mal ?

Un petit bisou magique sur le front, un sourire, un ébouriffage de cheveux en règle et elle regarda Elouan que Rodrielle inspecté aussi.

Tu n'as pas trop mal bonhomme ?

Elle se releva et vit un endroit où ils pourraient faire une petite halte ...

Regardez, il y a une clairière, on pourrait s'y arrêter un moment non ? Le temps de gouter à la bouteille que Fralis vient de sortir ! Non ?
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Les fées tisserandes ici
Elouan.
C'est un peu embêter de cette chute qu'Elouan senti le poid qui l’écrabouillait s'envoler et lui même presque aussitôt soulevé dans les airs. Que s'était-il passer ? Une crevaison dans la derniere ligne droite ? Ah non, pas encore inventé ça... Alors... le cheval avait perdu son fer, oui voilà, c'était mieux, c'était ça, il avait perdu un fer sur la route, du coup, boum par terre !

La joue ecorché, les mains salis par la boue, et les genoux un chouilla égratigné, il avait tout l'air d'un preux chevalier après un combat. Sauf qu'il n'y avait pas eu de combat, ou juste avec l'herbe et les cailloux.
Un peu vexé tout de même de s’être fait avoir comme un débutant, le môme fit une petite moue en regardant ses mains que sa mère était déjà en train de nettoyer, et jeta un oeil vers Kory espérant que celle ci n'ait rien avant de marmoner.


-J'suis désolé, on a été attaqué par un vil caillou qui s'est jeter sur nous ! J'ai tout fait pour protéger Kory, car j'suis sûr qu'il l'aurait attaquée elle aussi ! Mais le traitre m'a eut par derrière et m'a flanqué par terre, heureusement, j'me suis pas laissé faire mais j'ai préféré tombé moi d'abord plutôt que ce soit Kory qui se fasse attaquer.
Il faut faire attention sur c'te route, on peux s'faire attaquer sans prev'nir ! Même par les cailloux !!!


Pensez vous qu'ils y croiront à son récit ? Qu'importe le môme était fier, bien trop fier pour avoir s’être emmêler les jambes, et puis, pour expliquer cette cicatrice se serait nettement mieux de dire qu'il s'était fait attaquer plutôt que d'avouer être tombé.

Pour éviter les questions et moquerie des adultes, le môme termina de s’essuyer les mains sur ses braies et courut rejoindre Fralis dans la roulotte.


-Tu m'fais passer la bouteille a moi aussi ! C'ma donner soif c't'aventure !
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Korydwen.
Kory s'amusait bien, jusqu'à ce que son cheval de fortune se retrouve le nez par terre, l'entrainant dans sa chute.
Ca lui avait fait un peu peur de tomber, mais en même temps, ça lui avait chatouillé le ventre, c'était pas si désagréable. Du coup, quand Rodrielle la releva pour la présenter à sa maman, elle continua à sourire comme si rien n'était arrivé. Un bisou magique plus tard, elle répondit à sa maman qui s'inquiétait.


Encore !

Elle hocha ensuite la tête gravement en écoutant le récit chevaleresque de son copain-cheval.

N'a été attaqués par grand caillou, co' ça...

Et d'écarter les bras pour illustrer l'histoire d'Elouan...

Quand son copain partit en courant vers la roulotte, Kory, elle, ramassa vite son ours Baudin qui avait lui aussi volé dans l'herbe, lui donna quelques claques pour lui enlever les brins d'herbes qui collaient à son velours, et suivit ensuite sa maman sagement.
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Rodrielle
Bon, il y avait eu plus de peur que de mal. Ouf ! Enfin, l'italienne ne s'inquiétait pas tant que ça, surtout devant la moue d'Elouan qui se rattrapait derrière une histoire abracadabrante. Rodrielle l'embrassa alors sur le front puis se redressa. Autant faire plaisir à son fils et rentrer dans son jeu ; c'était bien plus drôle, surtout que Kory semblait tout aussi ravie par l'histoire.

Bon, tout va bien alors.
Je suis fière de toi, tu as su protéger Kory ! La prochaine fois qu'on croise un cailloux pareil, on lui fera la peau... Enfin, tu comprends.


Elouan repartit donc avec Fralis et Kory avec sa mère, comme si rien ne s'était passé. Rodrielle récupéra alors son cheval qu'elle tint par la bride pour se diriger vers la clairière qu'indiquait Amy.

Oui, tu as raison, et puis notre princesse et valeureux chevalier ont bien le droit à un réconfort.

La Tatouée se dirigea vers la clairière, rapidement, tout en riant de cette petite aventure. Fralis avait également sortit la bouteille -dont Elouan réclamait une gorgée- qu'il tendait aux dames. Évidemment, comme une bois-sans-soif qui se respecte, Rodrielle attrapa la bouteille en faisant un clin d’œil à Fralis puis en but une gorgée avant de la lui redonner.

Ils arrivèrent enfin à la clairière, lieu de repos. Rodrielle attacha Baäl à un arbre puis sortit à manger en plus de la bouteille (des bouteilles?).

Aller, dernière pause avant l'arrivée. On y est presque, je pense.

S’asseyant en tailleur dans l'herbe, l'italienne prépara un morceau de pain aux enfants.

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Fralis
Tout le monde avait soif de repos et de boisson, et après le sauvetage héroïque du jeune homme, ils prirent la direction d'une clairière, qui serait leur toute dernière pause avant de repartir. Rodrielle menait son cheval par la bride, tout en buvant une bonne rasade et ils se posèrent enfin dès qu'elle eut attaché le canasson.

La nourriture sortie, les bouteilles prêtes à être vidées, le brun attaqua un morceau de fromage avec sa dague, avant même de s'asseoir. Il avait eu les fesses posées sur la roulotte pendant tout le trajet, et les muscles s'ankylosaient de n'avoir rien à faire.


Combien de temps de route encore ? Je suppose qu'on n'est plus très loin, mais arrivés on sera mieux encore.
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