[RP] *** GRAND BAL MASQUE de Tréguier ***

[Louenna, Aladin et Bauta]



Aladin lui répondit :

- La courtoisie veut de laisser les dames choisir, vous souhaitiez inviter Bauta, je me vois obligé de patienter au buffet mais avant j’aimerais une demi réponse pour le conseil municipal dame Louenna.


Ensuite il se tourna vers Bauta :

-Qui de ma patience ou de ma curiosité pourrais je dominer ? Je vais vous attendre le temps d’une danse si Louenna vous emméne.

Louenna reprit donc dans l'ordre des choses :

- Une demie réponse ? et bien, je dirais qu'en ce qui concerne le conseil municipal , je ... voilà , à une lettre prés cela doit correspondre à la moitié de ma réponse. Je vous en prie, je me suis déja imposer à vous pour cette danse, je ne vais pas encore m'imposer à Bauta mais c'est fort aimable de m'avoir laisser la priorité.

Elle s'inclina rapidement devant Aladin, puis devant la Bauta :

- Si toutefois vous me cherchez bauta, vous savez où me trouver !

Elle lui sourit et ne s'attarda pas plus longtemps dans le coin, fuyant Aladin. Elle ne l'avait pas reconnu , il n'était pas question qu'il la reconnaisse. Elle se dirigea vers le buffet se faire servir un verre de prune et le dégusta, tout en cherchant sa prochaine proie.

Sourire, voulu disgracieux. Seul son pas chancelant commencait a etre reel. Décision fut prise,y boirait plus !

Pour l'moment du moins.

Il s'approche de la danceuse tappote sur son épaule et leve son cruchon.

J'crois bein t'nir l'meileur prune du Duché, vot'e verre s'vide. J'vous r'sert douce beau'é ?

[Louenna et Aladin]

Aladin la vit hésiter et marquer un temps d’arrêt à sa question, il sourit sous son masque sachant qu’à Tréguier le sujet taverne permettait de faire tomber quelques masques. Il se contenta de sa réponse, certes affirmative en premier lieu puis évasive et essaya de ne rien montrer à la troisième question de Louenna

Etes-vous brun, blond, chatain ou roux derrière votre masque ? (avatar)

Poursuivant de nouveau la danse tout en se dirigeant vers le buffet

On distingue mal la couleur de mes cheveux en certains lieux (avatar), mais pour vous donnez un indice sur la couleur de mes cheveux en ville, ils ne sont ni soleil ni nuit. Vos trois souhaits sont exhaussés, dame.

Arrivé près du buffet, il s’inclina pour saluer Louenna tout en posant sa dernière question. Il savait ses questions très sélectives mais éliminatoire pour deviner tout ce beau petit monde.

Faites vous partie du conseil municipal ?

Coviello croisait ses bras derrière la tête, écoutant la réponse de la dame en noir. De Tréguier, native d'ailleurs. Et lui?

Non pas de Tréguier, de la Bretagne entière je dirais. Quant aux tavernes, il m'arrive souvent d'y aller. Mais sous le masque de l'ivresse en cas. Pas forcément celles de tréguier par contre, n'étant que de passage.

Il en dit trop, reconnu bientôt très certainement... ou pas...

Ca vous fait quel âge madame je suis née de Tréguier?

Comment ca on ne demande pas l'âge à une femme????

Le v'a qui r'tourne s'grailler 'pouilu, y s'fiche d'l'animation,mais 'guette la belle du coin d'loeil, sais j'mais...

Boudiou, la taillede s'sauciflard!


Et la vl'a qui ronge la bestiolle, a grand renfort de chouchen

Ca rit, ca se faufille, ca se balade, et ca finit au buffet... pas mal de nourriture éparpillée, de la boisson alléchante, la soirée commence plutôt bien.

Je ne suis pas du genre à danser. Disons que j'ai un équilibre douteux. Que dites vous d'un encas ? La gourmandise est l'un de mes pêchés.

Coviello sourit. Il se serre un verre alors qu'elle croque un morceau de pain, il ne peut malgré tout s'empêcher de répondre à cette phrase qui stimule sa verve.

Vous me raconterez très certainement quels sont vos autres péchés... ou objets de gourmandise...

Paroles volontairement équivoques, bien évidemment. Elle veut discuter, alors discutons. Il sirote un verre et pose les premières questions pour engager la conversation...

Et au-delà de vos petits péchés, vous êtes de Tréguier? Très joli par ailleurs ce rouge sur vos lèvres.

Noire sourit, surprise et amusée du chaleureux accueil dont elle disposait.
Elle répondit d'abord au capuchonné et sa partenaire.

Nous avons du nous passer le mot pour les capuches ! Enfin, l'habit est simple, mais c'est pour mieux camoufler la personnalité qu'il couvre. Passez une très bonne soirée, vous deux.

Puis elle se tourna vers l'homme en blanc. Noire le trouvait sympathique, il avait l'air de porter en lui la même joie de vivre qu'elle.

Je suis agréablement surprise du fait qu'il reste des gens seuls ici. Pour tout vous dire, je commençais à avoir peur.
Nous nous sommes bien arrangés, nous aussi ! Un parfait contraste !


Elle l'invita à la suivre, d'un geste accompagné d'un magnifique sourire.

Giefroi fait un grand sourire, content que Coco Cinelle se trompe de piste.

Ah non impossible que vous la connaissiez. Elle n'est pas de Treguier, n'y a jamais séjourné et je n'ai plus de nouvelle d'elle depuis bien des années maintenant.

Et toc !

Giefroi se frotte les mains en rigolant

Héhé, vous vous êtes plantée ! On retourne à l'intérieur ? Je propose qu'on fasse alliance.

De blanc vêtu, comme à son accoutumée, c'est de son masque paré prêt à n'importe quelle facétie que l'homme rejoint la fête. Du retard, pour sûr qu'il en avait. Mais la ponctualité n'a jamais été le fort de l'être sans son masque. Et l'anonymat ne changera pas sa nature. Tout du moins sa nature de retardaire, car pour le reste, c'est un tout autre homme qui ne ressemble en rien à l'homme dans son étant qui se joint à la danse des masques.

Poète, musicien, comédien et satyrique, voilà le masque tel qu'il le devient quand il en est revêtu. Pas aérien, mouvements fluides et gracieux, il zigzague dans l'assemblée en fredonnant des chants joyeux et travaillés. Une transfiguration de la personne, une transcendance de l'être, ses yeux détaillent le bal masqué, recherchent une personne à qui prêter attention.

Une femme en noir, voilà qui jure avec le blanc de son costume. D'une voix mélodieuse il répond tout simplement...

Pas plus de retard que moi, il semblerait. Peu importe l'heure de l'arrivée, tant qu'il reste au moins deux personnes, ne croyez-vous pas?

Giefroi rend son sourire à Coco Cinelle et lui tend le bras. Il en profitera pour la cuisiner un peu. Beh quoi ?

Ils vont sortir dans la cour du château lorsqu'une jeune femme encapuchonnée fait son apparition et les interpelle.

Tiens une autre amie encapuchonnée. Bienvenue ! On a commencé depuis plusieurs heures mais il y a pas de mal, ne vous inquietez pas !

Giefroi fait un grand sourire à Noire

Il y a un buffet là bas, servez vous !

Giefroi rigole de lui-même, faisant comme si c'était chez lui.
Il entraîne Coco Cinelle dehors dans la cour et prend enfin un grand bol d'air frais.

Toujours pas tentée par le fait de me faire partager votre soupçon à mon sujet ? Attention, je pourrais être un homme dangereux et activement recherché.

Main dans la main, nous entrons gaiment dans la danse. Il le donne un petit indice: il habite Tréguier depuis fort longtemps.
Et puis.. ohhhhh! Une barbe qui se dégage de dessous sa capuche! Comme j'avais plusieurs suspects en tête, je peux dire que cet incident réduit drôlement mon champs de réflexion. Soudain, il se penche sur moi et me chuchote:

Et moi ? Je suis reconnu ?


Même si j'ai une idée, je ne vais pas tout de même la lui dire, namého! J'espère toutefois qu'il dit la vérité. Il ne serait pas juste qu'il triche, qu'il ne suive pas les règles du jeu.

Son sourire, cette barbe, je pense savoir qui c'est.. Je suis certaine qu'il est très proche de moi. Motus et bouche cousue, telle est ma devise!

Si j'vous reconnais Sieur Giefroi? J'ai ma petite idée oui, mais je ne vous la dirai passssssss!!!! Hihihihi!

La danse commence à me fatiguer, j'ai très chaud. Je lâche les mains qui me retiennent à la ronde et recule d'un pas pour ne pas me faire heurter par les danseurs. Avec ma main droite, je m'évente le visage rouge écarlate à cause de la chaleur.

Ouhh! Il fait très chaud, Messire. Je vais sortir prendre l'air dehors, vous m'accompagnez?

Je lui fais un grand sourire, juste pour voir sa réaction.

Devenise entendit des pas s'approcher. Son stratagème avait-il fonctionné ? Ils sont seuls, nul ne les voit, et nul ne pourrait les reconnaître s'ils les voyait.

Si vous tenez tellement à me fuir, laissez-moi vous montrer meilleure cachette ...

Cette voix, elle ne se retourna que pour le plaisir de redécouvrir la Louve, perchée tout près d'elle, dont elle devine le sourire qu'arbore ses lèvres. Devenise se tourne vers elle et prend sa main dans la sienne, les yeux pétillants.

Vous fuir ? Ne comprenez-vous pas que vous êtes précisément où je vous voulais ? A l'abris des regards et des oreilles. Nous pouvons parler librement ici.

Devenise, voyant qu'Ondine cherchait son regard, approche son visage du sien, et plonge son regard dans le sien, sans aucune retenue, laissant opéreer la magie de cette soirée où nul n'est personne, sans crainte ni obligation. Nul doute que la louve la reconnâîtrait ainsi, mais pour cette femme seulement, elle voulait rester elle même en toutes circonstances.

[ONDINE, DEVENISE ET POUILLU]

Danser, les trois grâces s'en donnaient à coeur joie.
La musique riait des accords stridents, et l'alcool aidant, les corps et les langues se déliaient.
C'était beau à voir : oui, une vraie réussite ce bal.

Puis soudain, celle qui l'avait emporté dans sa ronde s'arrêta pour lui glisser tout bas à l'oreille : Je ne vois pas votre fils? N'est-il pas l'invité d'honneur de ce bal ?

Ondine resta de glace. Non que d'avoir été reconnu la bouleversa. Non. Mais cette voix, la voix de Devenise lui procura tout à coup un frisson inexpliqué. Devenise s'écartait déjà d'elle, éclatant de rire d'avoir su démasquer celle qui était la moins masquée, sans doute, que la louve n'avait pas encore reprit ses esprits.

Ondine avait-elle deviné l'identité de cette jeune femme ? Son corps l'avait fait pour elle sans pour autant qu'elle puisse mettre un nom sur cette voix, sur cette silhouette. Mais quelque chose en elle savait.

Et il lui fallait entendre encore cette voix, sentir encore son souffle contre son oreille. Alors, Ondine fit signe à Devenise de s'approcher. Oui, encore plus près. Et d'une voix faussement sincère répondit : "Avec tout ce bruit, je n'ai pas compris un seul mot. Vous disiez ?

A cet instant, un pauvre hère l'interpella. Déguisement plus vraie que nature ?
Noz'vat. Il serait pas à vous ce château ?Ondine lui sourit et lui répond sur le ton de la confidence :
Si on vous le demande, dites que vous n'en savez rien ...

Giefroi est entraîné malgré lui dans la ronde et tente tant bien que mal de suivre le mouvement avec sa longue cape. Lors d'un tour sur lui-même, il laisse apparaitre un peu de sa barbe. Il remet sa capuche rapidement.

J'habite Treguier depuis fort longtemps.

Il continue de danser puis soudain il serre la main de Coco Cinelle pour l'air de rien, savoir si elle porte une alliance ou une bague de fiançailles. Il la regarde et lui fait un grand sourire

Si je vous le disais, ça perdrait de sa magie.

Il la fixe et lui murmure en se penchant vers elle:

Et moi ? Je suis reconnu ?

[Louenna et Aladin ]

- M'adressais-je à une dame ou un messire ? Un tréglorois ou un voyageur ? Un habitué des tavernes et de notre halle peut-être ?

Il lui sourit.

- Trois questions pour trois souhaits, ma lampe n’en dira pas plus. Vous pouvez dire messire, pour la suite le temps d’une danse.

Puis il se tourna vers la dame à la large robe , terminer sa conversation. Les aurait-elle interrompu ? Elle n'a pas le temps de s'en excuser qu'il l'entraina sur la piste. Et bien repartons pour une danse ! Ce qui ne faut pas faire pour avoir de petites indiscrétions. Néanmoins, le messire semble vouloir faire durer le plaisir ou du moins, si son impression est bonne, ce sera donnant, donnant.

- A mon tour de poser une question. Etes-vous souvent en taverne le soir ?

Elle se laisse aller aux pas de la danse et lui répond calmement et en souriant.

- oui et non. Il y a des périodes où je le suis, d'autres moins. Elle soulève un sourcil en souriant un peu plus . J'enchaine sur mon deuxième souhait ? Elle marqua une légèrement pause, le temps pour elle de changer de coté, toujours pour suivre la danse. Tréglorois ou simplement de passage ..ou bien, et cela fait partir du même voeux .. pensez-vous vous y établir ?

L'arlequin et le troubadour (boeme) semblaient se dévorer du regard durant leur danse.

Quelques couples sur la piste dansaient, d’autres toujours au buffet dans l’attente ou dans la recherche des différents personnages de ce bal. J’aime à découvrir les costumes, bien qu’originaux, un me rappelle une fête latine, un carnaval, la bauta est aussi bien portée par un homme ou une femme, serions nous trois avec l’arlequin à mêler les indices.

Je regardais l’homme au casque (Portos) et la personne à la cape noire (bauta).

Belle soirée, je me nomme Aladin, autant je peux dire messire devant un casque mais pour vous qui me sembler vêtu d’un costume que l’on nomme bauta, que dois je dire ?

A ce moment Louenna se présenta près de moi et d’une révérence dit :

-M'adressais-je à une dame ou un messire ? Un tréglorois ou un voyageur ? Un habitué des tavernes et de notre halle peut-être ?

Je souris et répondis

Trois questions pour trois souhaits, ma lampe n’en dira pas plus. Vous pouvez dire messire, pour la suite le temps d’une danse.

Je me tournais un instant vers la personne à la bauta en souriant.

Je reviendrais pour ma réponse, si vous voulez bien

Je virevoltais sur la piste avec Louenna, je n’avais pas trop d’indice et il me fallait poser la bonne question.

A mon tour de poser une question. Etes-vous souvent en taverne le soir ?

Elle et l'Arlequin se séparent. Elle est déçue , elle sait qu'elle n'a pas réussi à le bluffer. Elle avait repéré l'Arlequin depuis un moment déjà, elle était quasiment persuadée qu'il s'agissait d'une autre personne. Puis à le côtoyer de prés : ses yeux rieurs, bleus, le timbre de sa voix, son rire.. ce rire cristallin qui anéantit tout ses espoirs à l'instant où il a retenti. Elle n'avait pas voulu démordre, soutenant qu'elle savait bien qui elle avait en face d'elle mais si ce rire ne l'avait pas remis sur les rails , elle partait dans une mauvaise direction.

Résumons :

elle a découvert qui était le gladiateur. Il faut dire qu'il l'avait bien aidé. Tout le monde laissait trainer ses oreilles dans ce genre de soirée. On s'épie les uns , les autres. Il lui avait donné un indice tout en voulant lui même découvrir l'identité de la danseuse. D'une pierre , deux coups. Toujours est-il qu'elle ne sait encore pas ce que cache la danseuse dans son bas du dos. Elle a l'air de tenir à réajuster son déguisement comme si elle avait peur qu'il dévoile quelque chose. Pure curiosité , elle tenait à savoir.. A surveiller.

L'arlequin, maintenant. Elle avait une petite idée mais rien ne pouvait lui permettre d'en être sûre.. A moins que le troubadour à la flute, ne lui ait fourni un indice. En tous cas, elle avait noté qu'il s'était empressé de détourner l'arlequin du personnage en bleu et blanc (aladin). Le troubadour et l'Arlequin seraient ils de très bons amis ou pourquoi pas , un couple ? S'il s'agissait bien des personnes auxquelles elle pensait, les déguisements correspondaient assez aux personnalités.

Elle se dirige vers la buffet grignoter et boire.

A la réflexion , il lui restait encore pas mal de personnes à démasquer. Elle ne cherchait personne en particulier et tout le monde. Elle regarde autour d'elle.

Trois personnes dansent entre elles au milieu de rires féminins. Elles ont l'air de bien s'amuser, ce n'est certainement pas le moment de les embêter . Puis l'une d'elle vient d'embarquer le gladiateur sur la piste.

Il y a bien le gueux (Pouillu). Aucun idée de qui il est, ni même si c'est un homme ou une femme. Il l'intrigue et l'inquiète au même temps. Peut être est-ce un vrai gueux , après tout pourquoi pas ? Tout le monde est convié et la dame qui réceptionne à l'entrée aurait bien pu croire qu'il était déguisé. Il y avait cependant une odeur assez suspect qui rodait autour. Aurait-il poussé le détail aussi loin ? Si c'est le cas, il s'agit d'une personne assez consciencieuse, qui va au bout des choses. Elle plisse son nez. Ca ne l'engageait guère à l'approcher. Elle pense qu'elle va le garder pour la fin, celui-là.

Le papillon est occupé avec l'homme masqué à la capuche noire. La coccinelle avec celui à la capuche grise. Ils sont bien proches ces deux là ! Ou un drague l'autre ou encore un couple ? Bref, les capuches avec les insectes. Il y a un rapport ou c'est une pure coincidence ? Peu importe, ils ne sont pas disponibles pour le moment.

Non loin d'elle, coté buffet, la dame à la robe bouffante (bauta) .. Elle lui sourit doucement. Serait-elle enceinte ? Ou alors plusieurs la dessous ? Il y a aussi l'homme au casque (portos) . Elle attend qu'il ait faim ou soif. Il faudra bien qu'il enlève son masque ou qu'il l'ouvre un moment donné.

Elle boit son verre de chouchen cul sec et soupire. Ca en fait du monde à visiter ! Est ce qu'elle n'attaquerait pas par l'homme ou la femme d'ailleurs, en blanc et bleu (Aladin) ? Elle prend les pans de sa robe, bien décidée et s'avance vers lui ou elle.

Une personne déguisée en médicaste (vaneck) fait son apparition. Elle se retient de rire. Il faudrait qu'il aille se mettre à coté de l'homme au casque. Plus pratique pour elle. Elle pourrait ainsi guetter le moment où ils s'alimenteront.

[Louenna et aladin]

Elle fait une révérence devant le masque bleu et blanc (aladin) et engage la conversation.

- M'adressais-je à une dame ou un messire ? Un tréglorois ou un voyageur ? Un habitué des tavernes et de notre halle peut-être ?

Giefroi sourit en faisant tournoyer Coco puis il voit son regard se diriger ailleurs. Il l'amène un peu plus contre lui pour lui murmurer :

Lequel vous intrigue le plus ?

Il continue de danser avec elle afin de ne pas éveiller les soupçons des personnes autour d'eux et en profite pour lui parler discrètement :

Je pense avoir découvert certaines personnes.

Il lui jette un regard rieur et un grand sourire se dessine autour de sa barbe

En ce qui vous concerne, j'hésite entre deux jeunes femmes.

teins, vl'a un doc m'aint'nant.

Grattement de crane.

Y pense bein a son furoncle la qui l'gene. S'tate. un doc est un doc. Q'd'charlo.

Fin bon, c'est qu'ca fait mal, et l'es pas dans l'genre douillet l'pouillu !

Il se leve et prenant une choppe va la caller dans la main du doc.

Z'en avez d'un biau pif ! Dits comme t'es apparement l'doc du coin, t'aurai pas d'quoi guérir un biau furoncle comme vous dites ? c'est qu'sa gratte dur

Et paf vl'a qu'on l'snob.

L'en à marre l'pouillu j'r'ourne boire , t'façon l'mond' s'fiche d'lui avec son costume.

Il retoune boire un verre donc, d'un pas claudiquant

teins, d'la prune !!

Puis il se met a regarder les autres, le regard inquisiteur comme le ciel d'hiver

Voilà que le premier encapuchonné fausse compagnie à la Coccinelle pour rejoindre le Papillon! Il a l'air de chercher quelqu'un et je ne semble pas correspondre à la dame de ses pensées..
Giefroi, me regarde bizarrement. J'ai l'impression qu'il me reconnait. Je dois tout faire pour ne pas me trahir. Si près du but, ce serait bête! La bécasse.. Je me répète qu'il faut que je continue à jouer l'écervelée.

Vous croyez que j'peux vous poser une question ? Une seule question ?


Attention à ce que tu vas dire Coco ! Je pose ma main droite à plat sur ma poitrine et me mets à rire d'une rire cristallin.


Une seule question? Oh, comme z'êtes chou, vous! Vous prenez soin d'une pôv fille comme moi! J'ai ma cervelle qui bout très vite quand on me pose trop de questions en même temps! Hihihih!
Je veux bien y répondre, oui. Dites toujours, je serai peut-être capable d'y répondre!

Tout en lui parlant je vois plein de gens qui arrivent, des costumes plus beaux que les autres. Ils semblent bien s'amuser, c'était le but et il est atteint, finalement. La soirée est un vraie succès..
Il y en a un qui m'intrigue, cependant. Un homme mal habillé, qui semblait malheureux.
Je me demande si c'est un vrai costume ou bien un vagabond, tellement il est réaliste.

Mon verre à la main j’écoutais de-ci de-là pour pêcher un indice, la première danse se terminait et les couples changeaient de partenaires. Des dames trouvant les hommes un peu timides décident de danser ensemble quand ‘Arlequin se présente devant d’une révérence qui me fit sourire.

Dois-je dire messire ou dames pour vous offrir ce verre. Bon choix trompeur qu’un Arlequin, d’où ma question.

Je me baissais légèrement pour saluer lorsque surgit le troubadour qui emmena l’arlequin

A peine avait-elle eu le temps de regagner la table que deux dames l’entraînèrent dans une danse. Son verre à la main, elle partit à danser avec Ondine, qu'elle pensait avoir démasqué et l'autre jeune femme lui restant inconnue.

Qui a dit qu'on avait besoin d'un homme pour passer une soirée inoubliable ? Hein, les filles ...

-Tout à fait, cette soirée appartient aux femmes, profitons-en!

Elle rit doucement. Tournoyant en leur compagnie, jouant de ses atouts, elles virent à s'approcher du gladiateur.

Leïla lui mit dans les mains son verre de Prune dont elle n'avait eu le temps de boire que la moitié, en lui glissant au passage:

-Je sais que vous aimez cette boisson autant que moi cher Tréglorieux, finissez donc mon verre, pour mon bon plaisir.

On dirait vraiment que la prune et votre nouvelle vie vous rend radieuse. Que diriez vous d’une ballade à cheval après ce bal ?

J’avais oublié, vous appréciez les chevaux … grillés.

-Messire souhaite m'emmener en balade? Comme c'est charmant. Cela aurait été avec plaisir si je n'avais pas des dizaines de danses n'attendant que moi. Mais bon, une prochaine fois peut-être.

Elle lui glissa un clin d'oeil malicieux. Puis, éclatant d'un rire cristallin, elle se remit à virevolter en compagnie des ses deux charmantes cavalières. Elle se sentait bien, à l'aise. Sa tenue reflétant bien une part de sa personnalité, elle se laissa aller à se déhancher au milieu des convives.

Et voila la danse se finissait , la dame avait accepter l'accord, elle semblait bien sur de l'avoir reconnu. Cette pensée était des plus amusante, elle déclencha un rire clair, joyeux qui s’arrêta aussi vite qu'il avait commencé. Une révérence, un sourire, un remerciement pour l'instant passé et déjà l'arlequin s'éloignait dans une roue l’amenant devant les sieurs qui s'accumulaient devant le buffet. Le sourire espiègle qui étira ses lèvres laissait deviner ses pensées. Certains s’empiffraient tandis que d'autre savourait le chouchen.

Espiègle, circulant entre les différent convive, ses yeux observaient chacun d'eux. Sans hésitation sa main se posait sur leur taille, un petit sourire moqueur étirait ses lèvres. Son visage s'approchait des leur passant de l'un a l'autre, aussi vite partit qu'arrivé. Leur réaction les dévoileraient surement, mais une chose de sur ça l'amusait énormément.

Son jeu s’arrêta devant Aladin, il y avait bien assez longtemps que le sieur observait. Tel une dame de la haute , la main se tendit en attente d'un baise main, allait il entrer dans le jeu? La petite révérence se fit, le pied droit venant se placer a l'arrière du pied gauche tandis que les genoux sont légèrement fléchis et que son bras reste le long du tronc. Ses yeux rieurs ne le quittait pas ....

Dès qu’il la vit siroter son verre de prune, il n’eut plus aucun doute. Il lui sourit d'un air complice et continua son observation.

De plus en plus d’invités, de plus en plus de conversations et de plus en plus difficile de deviner qui est qui : Leila, Lady butterfly, Arlequin, Coco Cinelle, Giefroi, Aladin, Bauta, Louenna, Devenise, Louis, Ondine, Portos, Pouillu, Boeme, …. Impossible de s’y retrouver. Il avait bien un doute concernant Leila, il était même presque certain de savoir qui elle était.
Mais pour les autres… Aussi il resta à coté du buffet et se mit à boire du chouchen en observant tout ce beau petit monde.

L'arlequin se penche à son tour lui murmurer.

- Non je ne suis pas lui en effet et je vous remercie de votre aide,je pense avoir trouver la personne que je recherche. Ainsi donc c'est le gladiateur qui vous intéresse? Je peux vous aider a le retrouver si vous souhaiter

Elle le fixe se demandant s'il l'avait reconnu. Elle sourit et se retient de rire. Doit-elle lui dire qu'il n'a plus de secret pour elle ? Un changement de mains pour suivre la danse, un tour sur elle-même et re rapprochement... et re murmure :

- Je sais qui est le Gladiateur, ce n'est pas celui que je cherche mais .. peut être que je peux encore vous aider . Elle le regarde d'un air taquin, s'éloigne faire deux pas sur le coté puis revient à lui. Avant que vous n'alliez inviter la dame de vos rêves.... je ne dirai rien si vous ne dites rien , me comprenez-vous ?

Elle lui lâche la main et tourne autour de lui en musique. Un regard au gueux qui se gouinffre. Elle se demande s'il est déguisé ou pas celui là. Elle revient prendre la main de l'Arlequin.

- alors qu'en dites-vous ?

Giefroi fait un grand sourire puis se demande si ce dernier se voyait. Il regarde la jeune femme, s'appelant soit disant Coco discrètement de bas en haut. Le but était de reconnaître alors il fallait bien commencer à jouer.

Il regarde ses manières et ne se souvient pas de les avoir vu à la taverne. Soit une jeune discrète du village soit une stratégie pour les avoir. Il salua par la pensée, la bonne idée.

C'est vrai qu'il est extra.

Giefroi remet son masque comme il faut, c'était fort désagréable ce bout de tissu.

Vous croyez que j'peux vous poser une question ? Une seule question ?

Elle se laisse emporter par la danse, tournoyant dans un éclat de rires. Leurs regards se croisent. Il a les yeux bleus. Elle attend que la danse lui offre l'occasion et lui murmure à l'oreille.

- Vous n'êtes pas lui ! Elle redresse sa tête, plonge son regard dans le sien et lui fait un clin d'oeil.. et forcément je ne suis pas elle.. si toutefois vous cherchez à reconnaitre une dame bien évidemment . Elle serre un peu plus la main de l'arlequin. Ne me lâchez pas la main pour autant, nous avons encore à nous dire !

Ils virevoltent et frôlent le gladiateur. Elle en profite :

- Vous êtes démasqué beau gladiateur !

Son rire cristalin retentit . Elle se laisse guider avec plaisir par l'arlequin. Un fin danseur. . Son rire laisse place à un large sourire. La danse les rapproche encore. Elle reprend son sérieux.

- Avez-vous déjà repéré quelques connaissances ? on pourrait s'entraider, qu'en pensez-vous ?

-

Bouffant un bout d'pain recouvert d'il ne s'vait trop quoi l'pouillu guette.
Un homme tapisserie f'sait danser une gonz' bien peu couverte. En d'aut' lieu c'eut été mal vu. Comme lui d'ailleurs.

Il jette un r'gard aux aut' mais rein n'y fait. l'pouillu à l'tournis.

Boudiou...

il gromelle. et s'en calle une de choppes. faut bein surviv'

Et hop, il cherche une gonz',bein la l'espoir d'en faire danser une au moins ! Mé son r'gard tombe sur une. T'ins...

Il s'approche, pas une Gonz', il le sent,pi ca s'voit bein, y'a son tissu qui b'rille

Un loup, pas poilu hein, y z'appel' ca des loup leur bou'd'papier pour s'cacher les yeux et l'pif;

lui sait qu'l'odeur, y'a qu'ca qu'il le cach'ra vraiment.

y s'glisse à coté d'la dame bein vetu ( Ondine ) et lui touche l'épaule.

Bein il reste bein elevé et s'incline avec un grannnnd sourire, comme f'aut faire t'ins.

Nozvezh vat D'me. Il s'ré pas à vous s'beau chatiau?

Il passe le nez par la porte. subrepticement il se glisse dans la salle.

z'avait dit dans toutes les rues qu'le bal té ouvert à tou... bein lui était v'neu

L'grand chateau y passé d'vant tou l'jour, l'avé bein révé d'le voir de pu prè.

Ma d'la a y rentreu sans q'leu gard' ne l'vire dehors a coup d'sabot, il s'croyé rendu o pardi lunaire l'pouillu

Le pouilleux, velu,hirsurte et puant saute dans un petit saut, totalement ridicule. Cognant sans le vouloir, sans doute. Un autre invité. Une cape, des bottes, classique, sans doute un villageois humble. Un casque. Tiens un soldat ? ( Portos je te voiiis )

Boudiou !

Le voila qui file. Ne voulant pas d'ennuy.

D'la bouffe, d'la vinasse !

Il se rue et se jette sur la nourriture, avec avidité

Devenise réalisa rapidement que les hommes étaient en nette infériorité, et qu'à vouloir trop dissimuler son apparence, elle s'était mise en net désavantage face à des concurrentes qui n'avait pas hésité à laisser apparaître les arguments que la nature leur avait donné.

Gentes Dames et Damoiseaux, prenez cavalières et cavaliers et entrez dans la danse.

A ces mots, elle se retourna et son regard fut capté par une nouvelle entrante à l'allure éblouissante. A défaut d'aller charmer les hommes qui avaient décidé de se faire timides, elle voulu profiter de titiller ses amies à l'abri de son apparât.
Elle s'empressa d'aller récupérer un verre puis s'avança vers la Dame qui manifestement, avait opté pour la discrétion ce soir. Bien que certains atours laissaient planer des soupçons sur le visage dissimulé derrière son loup.
Etrangement, elle semblait résignée à rester en retrait, ce que notre petite friponne ne vit pas d'un bon oeil, et à quoi elle décida de remédier.

Elle s'en approcha à pas feutré, la suivant discrètement parmis les convives, sans perdre une miète du spectacle que lui offraient certains apollons. Quand sa proie fit une halte pour prendre un verre à l'un des serviteurs et observer la soirée d'un oeil bien veillant, elle se glissa à ses côtés juste à temps pour entendre un "chuuut" qui leva les derniers soupçons de notre coquine masquée. Elle posa une main délicate sur son épaule et entâma la discution de sa voit fluette.

Ah ! Quelle belle soirée n'est-ce pas ? Dommage que les hommes soient si peu représentés ! Ce qu'il sont timides, s'en est presque craquant. Que diriez vous de danser entre femmes en attendant leur arrivée ? C'est pas tout de regarder les autres danser, si on faisait tous comme vous la soirée serait bien tristounette !

Sans même lui laisser le temps de répondre, elle pris le verre de la Dame au loup et l'entraîna dans la danse, guettant d'éventuels cavaliers pour elle même et sa proie.

Un bal ? Masqué ? Pourquoi pas... Cela faisait longtemps que l'homme n'avait pas participé à ce genre de festivité. Et le village de Tréguier en avait bien besoin...
C'est avec plaisir qu'il laissa tomber les travaux de son champ, pour aller se préparer.
Il prit le chemin de sa maison, couvert de poussière et de boue de la tête au pied, il grommela intérieurement l'obligation de prendre un bain se faisant ressentir depuis quelque temps, il ouvrit la porte de sa maison et la referma aussitôt qu'il fût entré.
La pièce était sombre comme à l'habitude, il gravit les marches de l'escalier et gagna sa chambre.
Il entreprit de se débarbouiller puis avec un soupir constatant que cela ne suffirait pas il alla prendre un bain, puis passa son costume.
Le choix du casque avait été fait car il n'avait tout simplement pas de masque. Cela pimenterai un peu l'affaire...

Par la suite, il se rendit enfin au château ayant pas mal tardé, la soirée étant déjà pas mal avancée.
De dehors on pouvait entendre une musique entrainante, un léger sourire apparut sur le visage de l'homme.
Il finit par entrer dans le somptueux château, et il fût ébloui par la beauté du lieux, le bal avait commencé et les invités dansaient déjà. Il salua quelques personnes et alla se poster dans un endroit tranquille écoutant la douce musique...

La petite friponne avait passé des heures à parfaire son déguisement, bien décidée à charmer tout beau mâle passant à portée de sourire, bien qu'elle ne pourrait pas le lui montrer. Tout ce dont elle pourrait user ce soir, c'était son regard de biche fragile et prude ton elle savait si bien jouer.

Elle arriva dans la salle des fêtes, et outre le décore sompteueux qui s'offrait à ses yeux, c'était le spectacle des hommes non accompagnés qui capta son attention. Elle s'avança alors, s'assurant d'attirer les regards en paradant et en agitant les mains comme si chaque chose qui passait devant ses yeux l'émerveillait autant qu'un coffre de pierres précieuses.

Pour l'ambiance : que m'importe les rires, les regards sur mes travers, je veux graver toutes mes luxures sur tes dorures. Te tatouer sans mesure. Laisse-toi tomber dans mes bras, glisse-moi sous tes draps, dérivons jusqu'à l'outrance. Tatoue-moi sur mes seins, fais-le du bout de tes lèvres, je baiserai tes mains, je ferai que ça te plaise !


Elle a été invitée au bal masqué. Elle a hésité et puis pourquoi pas ? masquée .. elle peut se montrer telle qu'elle est ! contradiction. Révélation. Elle sourit doucement à cette idée.

La voici devant le château illuminé. Son sourire se fait plus large devant la beauté de ce quI s'offre à sa vue.

Elle prend congés du cocher, prend en mains les jupons de sa robe. Le déguisement ne lui a pas tiré soucis. Elle a toujours été excentrique bien qu'elle le cache sous son masque de tous les jours. Bal masqué pour la plupart, bal démasqué pour elle. Enfin , elle peut montrer son vrai visage. A t-on besoin d'un bal masqué pour cela ? oui, elle se doit de se conformer à l'image qu'elle croit que l'on attend d'elle.

Aujourd'hui elle est libre. Elle ne porte un déguisement que pour qui ne la connait pas. Pour ses proches, ce n'est qu'elle. Une robe en dentelles pour son coté romantique. Corsetée, mais si peu.. laissons la respirer, que diable ! Ses cheveux ne seront pas lissés, non pas ce soir. Ses yeux charbonnés, pourquoi ? une question de goût. Quelques colliers et bracelets pour flatter. Tout le monde n'a pas le même goût, elle en est consciente et alors ? personne ne vient lui demander chaque matin comment s'habiller ! Ce soir, elle ne soucie pas du "qu'en dira t-on ", elle est elle.

Comme tout le monde elle a suivi le chemin tracé par les flambeaux. Les quelques marches sont montées. Elle suit le guide et se présente enfin à l'entrée de la salle. Quelques personnes sont déjà là. Elle observe et ne reconnait personne. Surtout pas lui. Elle ne se fait aucune illusion, lui , ne viendra pas où alors à la dernière minute, pour lui faire plaisir. Tant pis. Elle s'en fiche , ce soir elle s'amusera, autorisée ou pas, seule ou pas. La nuit est à elle.

Elle traverse la salle., pans de sa robe en mains, menton relevé. Elle n'est pas timide. Pas ce soir. Ce soir, elle est sure d'elle. Elle connait l'effet qu'elle a sur la gente masculine. Personne n'est là pour la retenir. Grand bien lui fasse. Chacun jugera de sa démarche. Pour les uns sensuelle, pour les autres provocante, pour d'autres encore , elle en rajoute des couches .. Ce n'est pas son problème, elle , se contente de marcher naturellement. Son séant ballotant d'un coté à l'autre, sa poitrine accompagnant le mouvement. La caravane passe et christos crie. Une serveuse lui propose sur plateau, un verre de chouchen.. Excellent initiative ! Un verre ne sera pas de trop ! Elle sourit à la serveure et boit cul sec et en reprend un autre qu'elle garde entre ses mains gantées. Un frisson la traverse. Elle prend une inspiration méritée and yes we can ! Rien de pire qu'une belle femme qui se sent délaissée.

- Noz, je suis louenna... pour ce soir du moins ! Elle salue comme il se doit chacun d'eux,messires et dames. Elle leur sourit doucement tandis qu'elle boit une gorgée de chouchen. Un couple est déjà sur la piste de danse. Elle les regarde un soupçon d'envie . Elle efface vite ce voile qui habille son regard et s''adresse un large sourire aux lèvres , à qui veut bien l'entendre.

- Quelqu'un est-il tenté par cette danse ? Elle lève délicatement sa main en l'air , attendant que quelqu'un ose la prendre.


-

Noz Vat Dame ! Joli déguisement que voici. Mon nom est Giefroi pour ce soir et le vôtre?


Je suis entrain de discuter avec le bel inconnu quand il y a un autre encapuchonné qui vient à mes côtés. Il se présente comme étant Giefroi. Comme je suis polie, et bien, je lui répond en riant...

Noz vat, m'Sieur! Merci, merci! Hihihi! Il est beau, n'est-ce pas? Et moi, ce soir, je suis Coco, la plus belle des Cinelle!

Pour paraître la plus cruche possible, je me dandine du bas des reins pendant que je parle en ricanant.

Vous z'avez pas soif? Le chouchen est extra, ce soir!

Dansant au rythme de la musique, leurs paroles masquées aux autres par le bruit de l'orchestre, il lui demanda:

- Oui, je suis de Tréguier bien que mes yeux puissent peut être trahir mer origines.

- Votre façon de parler me rappelle quelqu’un … Ne vivez vous pas depuis peu dans un domaine ?

Elle sourit sous son voile, les yeux pleins de malice.

-Hum.. Je ne sais.. Peut-être.. Peut-être pas.. Et vous? Y avez-vous vécu?

Sur un
air celtique, elle se laissa aller à tournoyer et même à chantonner en compagnie de cet "inconnu".

La jeune femme sourit et lui tendit délicatement sa main.

-Avec plaisir! Peut-être cela vous décidera à me dire si vous êtes ou non de Tréguier.

Il l’emmena au milieu de la piste de danse. Il osait à peine la toucher tant elle était belle et semblait douce. Et maintenant que des yeux se braquaient sur eux, il devait plus que jamais éviter de commettre un impair. Il lui prit une main et déposa l’autre sur son épaule puis, affichant un sourire qu’elle reconnaîtrait peut être, il lui dit.

- Oui, je suis de Tréguier bien que mes yeux puissent peut être trahir mer origines.

Il l’accompagna doucement et la fit tourner au son de l’orchestre.

- Votre façon de parler me rappelle quelqu’un … Ne vivez vous pas depuis peu dans un domaine ?

Lady Butterfly arriva devant le château, le coeur enjoué par ce bal masqué. Elle entendait de loin de la musique s'échapper de la salle... Le bal avait donc déjà commencé.
Elle s'avança donc sur le chemin tracé par des torches, en direction de la salle de bal. Elle monta les marches en sautillant telle une petite fille, toute excitée.

Elle entra dans la salle de bal parfaitement bien décorée pour l'occasion et s'aperçu qu'il y avait déjà quelques personnes. Tous étaient formidablement bien déguisés... Il ne sera pas aisé de découvrir qui se cache sous tous ces masques...

Elle fût vite tirée de ses pensées lorsque l'odeur alléchante de petits-fours lui vint au nez. Souriante, elle s'avança donc jusqu'au buffet en saluant tous les invités.

Noz vat tout le monde !

- Leila, Puis-je vous inviter? Tout le monde parle mais nous pourrions aussi parler au son de la musique, non ?

La jeune femme sourit et lui tendit délicatement sa main.

-Avec plaisir! Peut-être cela vous décidera à me dire si vous êtes ou non de Tréguier.

Elle observa le gladiateur. Bel homme, mais était-il le sien?

C'est avec un amusement certain qu'il vit toutes ces personnes masquées se dévisager et essayer de se reconnaitre, il en avait déjà reconnu quelques unes déjà manquait plus qu'à trouver les suivantes et sans nul doute que d'autres suivraient rendrant cette tache que plus difficile...
Se servant à ras bord un verre de chouchen, il le sirotta essayant de se mélanger aux gens , observant en riant l'intérêt que les dames avait déjà réussi à capter l'intention de certains messires. La soirée ne faisait que commencer...

Interrompu dans ses pensées, un homme surgit devant eux.. il se dit être "aladin".. Il se salue comme il se doit. Peu importe qui est qui pour lui, elle seule compte. Il accueille le nouvel arrivé. Quelque chose en lui , lui semble familier, il ne saurait dire quoi. Il les a tous étudiés dans l'ombre. Il se contente de lui sourire et lui fait passer une chope en étain rempli de chouchen.

- Bienvenue Messire Aladin!! lui tend la chope de chouchen , demandée auprès du serveur derrière le buffet. Lui aussi semble porter un intérêt certain sur leila. Seraient-ils plusieurs à voir leur belle en la personne de Leila?

La soirée ne fait que commencer.. Tout est permis !

ah ! enfin une autre invitée féminine. Tout se complique. Elle se nomme "coco". Il la détaille de haut en bas .... et zut ! Elle aussi à un corps de déesse, un grain de peau de velours , se déplace langoureusement et sensuellement .. Se seraient-elles donné le mot-

- Noz Coco ! puis-je me permettre ? Il lui tend une verre de chouchen

Son regard gris s'illumine à la vue d'une danseuse. Un corps de déesse ! Il espère qu'il ne se trompe pas. Le même grain de peau, les mêmes courbes langoureuses et sensuelles, la démarche légère et grâcieuse. La poitrine haute, ferme, épanouie.. Serait-ce elle ? il ne sait. Leila ? voyez vous cela ! Il sourit . Il faudrait qu'il l'approche. Une femme peut en cacher une autre , surtout derrière un masque. On lui sert une boisson de bienvenue. Elle est la première à oser une question. Il sera le premier à lui répondre :

- Je suis effectivement de Tréguier. Né à tréguier, et pour être tout à fait honnête et laisser courir un indice, ma première sortie me fut .. fatale ? première sortie et premier émoi devant celle qui m'accueilli si gentillement . et vous, êtes-vous de Tréguier ?

Il regarde du coin de l'oeil de gladiateur qui semble, lui aussi , intrigué par la déesse. Se questionnerait -il lui aussi ?

Une allée de flambeau guidait ses pas jusqu’à la grande porte du château. Son habit ne laissait rien paraître, la lampe posée sur son coussin, il fut porté comme par magie à la salle de bal ou une dame accueillait les invités

Je me nomme –Aladin et me voici par la magie des vœux

Un sourire sous son masque et il pénétra dans la salle. Il admira les lieux. Quelques invités se servaient à boire dont une ravissante danseuse. Il s’approcha du buffet.

Les invités commençaient à arriver et l’homme encapuchonné avait proposé de boire.
Il ne se fit pas prier.

Oui, buvons, cette soirée sera magnifique, je crois.

Il but cul sec et se servit immédiatement un autre verre observant tour à tour les participants.
Son regard fut de suite attiré par la superbe danseuse au corps de rêve.

La jeune femme se présenta à la porte du château d'un pas timide. Elle avait peur d'être reconnue trop vite malgré le voile dissimulant son visage, ne laissant apparaître que ces yeux. Elle avança dans l'allée de flambeaux, et gravit les marches. Elles étaient fraîches sous ses pieds nues, aussi accéléra-t'elle un peu. Elle entra dans le château, et se laissa docilement guider jusqu'à la salle de bal. Lorsqu'elle pénétra dedans, elle sourit sous son voile, ses yeux pétillants trahissant son plaisir. Le décor était sublime. Elle s'avança vers les personnes déjà présentes.

-Nozvat à tous, pour ma part, je me laisserais bien tenter par un verre de chouchen pour bien commencer la soirée en effet. Pour le temps d'une soirée, appelez moi Leïla, cela sera un peu plus simple que de m'appeler "la danseuse".

Elle sourit sous son voile, qu'elle replaça comme il se doit sur son visage.

Il marcha sur le chemin illuminé de flambeaux.

Il entra dans la grande salle. Celle-ci était superbement décorée. Rarement il avait vu tant d’éclat et de lumière. Partout où ses yeux se posaient, il n’y avait que boiseries sculptées, dorures, miroirs étoffes et tissus de grand prix.
Un seul invité était présent. Impossible de deviner qui c’était.
Il se dirigea la où il pourrait boire. Il était un peu nerveux.

Il admira encore la salle, attendant que d’autres invités arrivent.

**** BAL MASQUE DE TREGUIER ****



Pour célébrer le printemps, nostre Duc héritier du Trégor, Gwenael d'Artignac donne un bal masqué. Les Tréglorieuses et les Tréglorois sont conviés ainsi que les voyageurs séjournant dans notre ville. Nostre bon Duc prendra la parole à la fin du bal.. mais peut-être est-il déjà parmi nous !

Salomé d'Artignac , nostre Duchesse Douairière du Tregor nous fera l'honneur d'ouvrir le bal.

Le château vous ouvre ses portes. La salle de réception décorée pour l'occasion vous tend les bras. Il ne reste plus qu'à vous souhaiter la bienvenue au pays des masques !

Laissez vous emporter par le mystère qui règne ce soir ! découvrez-vous ou bien révélez-vous derrière vos masques ! qui sait un masque peut en cacher un autre ...



Enfants de Bretagne , que la fête commence !

L'équipe du Conseil Municipal de Tréguier
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Voit arriver la danseuse et Aladin... Celui ci lui tend un verre, je le sirote doucement tout en les écoutant se passer les faveurs à savoir qui pourra profiter de sa présence...

Je tourne la tête de droite à gauche, ne disant rien... Se dit que quand ils auront décider qui va avec qui, je prêterai un plus d'attention à leur propos...

Et elle laissa la priorité à Aladin... Voilà que j'étais décu pensant l'inviter pour une danse...

Je continuais donc à m'empiffrer de mets et de chouchen, ne sachant si j'allais tenir le coup à ce rythme là... Je décidais donc de m'excuser et d'aller inviter Louenna avant qu'elle ne se fasse embarquer par quelqu'un...

Excusez moi messire, mais une urgence de questions me turlupine et je vais donc inviter votre cavalière qui s'est enfuit très vite... Je reviens dès que possible...

Filant vers la beauté, un incident survint, la coccinelle se mit à crier et se jette sur quelqu'un d'allongé...
N'ayant aucune compétence médicale, je restais à l'écart et attendit que d'autres fassent office...