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[RP] Hymen fleuri de Sébastien de Plantagenêt et sa Griotte

Asphodelle
Le soleil était éclatant!! quelle belle journée pour des noces!! Comment ne pas respirer autrement les odeurs variées de l'île Lutécienne ...

Evidemment, on avait pas que l'odeur des fleurs...mais hey!!! c'était le printemps et bientôt Emmanuel et Marie, les deux bourdons de la Tour Sud, les sept cloches de la flêche, et les huit cloches de la Tour Nord, vont entreprendre une petite danse lançant le début de la fête : l'appel aux anges qu'un nouveau couple s'est formé sur Terre, pour faire pleins de petits bébés aristotéliciens!!!

Asphodelle ouvre les lourds portails : allons allons!! soleil, brise emportant avec elle la fraicheur réchauffée de la saison, invités somptueux, et lumière!!! ne soyez pas timides!! Entrez et envahissez l'espace de vos rayons dorés, de vos souffles doux et de vos sourires enjoués!
Que la nef décorée et ajourée de touches de couleurs blanches du crème au blanc pur, redécouvre, ainsi qu'à chaque épousaille, nouvelles sensations d'euphorie amoureuse...car nef déteste quand il s'agit de funérailles...elle s'amuse bien plus en étant caressée par la douce dentelle, soie ou le taffetas blanc de la mariée. Des fois même, ressent-elle une pointe d'émotion quand une larme de bonheur atteint sa pierre froide.

Là, la Di Césarini met les mains sur les hanches, contente d'elle et de ses petits bras assez forts pour avoir actionné en bien largement ouvert ce qu'on ne doit certainement pas aussi largement ouvrir à l'accoutumée...

Hey!!! Ho!! c'est son futur cousin et c'est sa future cousine qui s'épousent!! on rigole ou quoi? Asphodelle, elle se fait gronder parce qu'elle pousse les limites...quand elle ne pense pas que cela fera du mal et que cela ne trangresse pas de lois morales ou temporelles, pourquoi s'enferrer dans les carcans? Au-delà de ça...elle fait un peu que ce qu'elle veut, surtout si l'enthousiasme s'en mêle.

Son Eminence, l'officiant, était en retard, et Asphodelle était "assimilée", qu'il a dit. Alors elle prends les choses en main parce que c'est dangereux de ne pas marier deux amoureux le jour de leur mariage : on peut s'attirer des cataclysmes...des choses aussi contre-nature que cela peuvent envahir le ciel, et dans l'effroi général le soleil disparaître derrière la lune, des bêtes avec des dents pointues genre Ptérodactyles descendre des nuages, les nuées noircir et la foudre frapper le clocher! Ca crierait de partout l'horreur...Ce serait ouvrir la boite de Pandore, Asphodelle en était persuadée.

Elle est "assimilée" - bien que depuis certains mots l'Emi doit plutôt l'assimiler à une e**erdeuse * - mais elle ne pourra faire plus, alors elle s'était habillée magnifiquement, pour l'occasion : une robe bleu clair, en tissu lourd sur un fond de dentelles qu'on peut voir sur 5 pouces au bas de la jupe. Un ruban bleu turquoise en satin serrait sa taille fine, se finissant en gros noeud dans son dos. Son décoleté de type bateau, était orné de dentelles qui suggéraient en transparence la naissance de la courbe de ses seins, mention spéciale pour son Philippe qu'elle adore.

Bien!! c'était bon pour que les invités entrent...

Et, d'ailleurs...où était son "adoré mortel"?



[*hrp : toutes mes excuses pour ce gros-mot suggéré, je déteste l'usage de mots grossiers ne souhaitant encourager nos jeunes lecteurs, mais je n'ai pas trouvé d'équivalent qui puisse aussi bien illustrer ma pensée]
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Sebastien
Quelques minutes avant l'ouverture des portes de Nostre Dame,
Sébastien, simplement vêtu, s'était levé aux aurores afin d'être sur place et s'assurer que tout soit bien en place,
Et prêt à accueillir les invités, proches, amis, gratin qu'il soit Dauphinois ou d'ailleurs !

La plus belle et prestigieuse des Cathédrale est préparée et décorée avec goût et soin.
Sourire rassuré et comblé du futur marié qui tient à trouver sa future cousine, Asphodelle, pour la remercier vivement des efforts qu'elle a déployé pour tout organiser en ce lieu Saint.

Il la voit justement qui se prépare à ouvrir les portes, et l'interpelle d'un ton discret puis que l'écho est d'un débit important dans l'immense Bâtisse.

Ah ! Ma Chère Nouille ! Heureusement qu'il n'y avait qu'eux dans la Cathédrale à ce moment là ..

Sébastien s'avance et lui prend les deux mains, geste qui signifie combien il lui est redevable et touché par les attentions de son amie et proche-parente.

J'en profite quelques minutes à ce que nous soyons seuls,
Afin de vous remercier de tout cœur pour ce que vous faîtes en l'honneur de mon mariage.
Vous m'en voyez touché et reconnaissant ! Merci ! Mille Merci !


Il lui sourit, les yeux pétillantes, tel un enfant à qui l'on offre un cadeau merveilleux.

Puis une fois le rapide échange terminé, Sébastien se retire pour regagner une pièce à part,
Où il pourrait se changer afin de revêtir son bel habit de marié.
Sans oublier de prier, seul, le temps que les proches et invités s'installent dans Nostre Dame.

D'ici quelques heures, il fera son entrée et s'unir à celle qu'il aime pour l'Éternité..

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Axel2fersen
Une lettre de son frère lui annonçant des épousailles

* Oh le petit saligot pensa Axel il ne m'a pas même prévenu qu'il avait trouvé une fiancée*

Ses yeux avancèrent dans la lecture, et c'est soulagée qu'elle lut qu'il s'agissait en fait d'une invitation au mariage d'un jeune homme qu'elle avait rencontré une bonne année auparavant alors qu'elle voyageait en Toulouse. Salvaire lui s'était installé là-bas durant de longs mois et c'était certainement à ce titre qu'ils étaient tout deux invités à la cérémonie. Elle fit venir Suzanne pour qu'elle préparât ses malles pour le voyage en terres parisiennes.
La dauphinoise entassa soieries, taffetas et autres velours dans le coffre de bois, choisissant ses plus belles parures pour les accompagner. Les chaussons de vair et de cuir complétaient le fouillis dispendieux qu'elle emportait avec elle pour le voyage.
Après avoir épuisé plusieurs attelages la couche d'Axel arriva en vue de Paris, cela faisait des mois qu'elle n'avait pas vu la cité royale d'aussi près. Il faut dire que depuis l'après-midi torride au boudoir , rien que l'évocation de Paris lui donnait des bouffées de chaleur. Là encore, sa peau se mit à frémir , comme si chaque particule de son corps se souvenait de ce moment d'extase vécu quelques semaines auparavant. La baronne secoua la tête chassant les pensées impures et se concentrant sur ses retrouvailles avec son cadet qui devait l'attendre sur le parvis de Notre Dame, afin qu'elle ne rentre pas seule en la cathédrale majestueuse. Le coche s'immobilisa devant l'auberge qui allait accueillir la Irissarri et ses suivantes pour quelques jours. Elle alla donc se délasser dans un baquet puis se fit habiller pour l'occasion.
En digne ambassadrice du style et de la mode, elle choisit une merveilleuse robe griffée DO, puis partir à la rencontre des on frère.



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Béanours forever!
Asphodelle
Ah ! Ma Chère Nouille !

Elle se retourne, un sourire immense sur sa bouche rose : c'était son cousin adoré, l'heureux élu de ce jour!

A entendre ses remerciements émus, Asphodelle sourit avec tendresse, et serrant ses mains dans les siennes, elle le regarde avec affection et réponds :


Il n'y à pas de "merci" mon très cher Sébastien...il n'y à que de l'amour...


Elle offre ainsi l'assurance que le plaisir était pour elle et qu'il était dans l'essence des choses que d'offrir de sa personne pour le bonheur d'un être cher.

Asphodelle portait beaucoup d'attachement à son cousin. D'une part parce qu'il était le cousin, le presque-frère de son Aimé...mais aussi parce que le jeune homme possédait une personnalité en tout point aimable et propre à lui porter dévouement et amitié sincère.

Une fois le fiancé parti, elle fait lancer les orgues : dans le répertoire, en premier choisi, un thème magistral et énergique, pour réveiller et appeler Paris : la famille de Plantagenêt fait fête!!

Ensuite...un thème plus doux, pour accompagner l'entrée des invités.
Ce faisant, elle se poste sur le parvis, pour ne pas les laisser sans accueil, sourire de soleil sur le visage.

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Uriel
Quelques jours auparavant, l'archevêque de Besançon avait reçu un courrier des plus surprenants ... une invitation à un mariage. Le plus souvent, il était habitué à donner ce sacrement, mais pour une fois, il allait y assister et à Notre-Dame, en plus !
Il connaissait ce lieu pour y avoir officié - d'ailleurs, en quel endroit ne l'avait-il pas fait ? Même à San Titus, il avait pu dire une messe.

Une lointain cousin de feue son épouse, Sébastien de Plantagenêt, l'une des grandes familles de France. Uriel prit donc la route quelques jours plus tôt, accompagné de quelques personnes, voyageant presque incognito - il avait une sainte horreur des carosses et autres véhicules du même acabit, qui avaient la fâcheuse tendance à lui retourner l'estomac.
Arrivé à Paris, il constata que la ville n'avait pas beaucoup changé depuis sa dernière visite, toujours autant de monde, comme à Aachen ou dans d'autres immenses cités ; il préférait le calme des villes moins peuplées. Très tôt, il se leva pour contempler le jour qui naîtrait derrière les flèches de la cathédrale ; celles-ci se détacheraient à contrejour, sur un ciel peut-être bleuâtre peut-être grisâtre,
selon le temps du matin.

Puis il se décida à quitter son poste d'observation pour venir à la rencontre de l'officiante. Il avait choisi pour ce jour une tenue simple, abandonnant ses atours d'archevêque, mitre et crosse, et à part la médaille aristotélicienne vert et or, rien ne laissait supposer son rang dans le clergé ; de la même manière, point de couronne nobiliaire n'ornait sa tête. L'humble frère s'était revêtu d'une parure simple mais de qualité et tandis qu'il remontait les marches, il salua celle qui allait donner le sacrement.

Mais ... quelle surprise ! Monseigneur Aspho !?! Un réel plaisir de vous voir ici, à officier. J'espère que vous vous portez bien ?

Il se tourna alors vers le futur marié.


Toutes mes félicitations, Monseigneur, que Dieu bénisse votre mariage et que ce dernier vous apporte le bonheur que vous souhaitez ...

Une grimace légèrement imperceptible déforma son visage, non point qu'il souhaitait du malheur au jeune vicomte, mais il repensa à lui-même quelque temps plus tôt ; son propre mariage lui avait apporté moult bonheur, mais la mort de son épouse avait frappé son coeur d'une blessure incommensurablement douloureuse.
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Rehael
Le prélat était depuis le matin du jour J dans la cathédrale. Il avait supervisé l'entretien des cierges, la décoration des bancs ornés de fleurs, et pris garde que tout était pret pour la cérémonie.

Une fois ces choses faites, il ouvrit les portes de l'édifice et s'installa sur le perron pour accueillir les invités.



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Cerise
[ Quelques jours auparavant..]


Depuis sa rencontre avec son Ti Brun, la Comtesse était comme sur un ti nuage, rempli de tendresse et d'amour. Elle en oubliait même toutes les magouilles politiques, toutes ses jalousies de bas étages, et bien d'autres... Elle ne vivait que pour lui, et lui seul. Il la comprenait sans que bien souvent elle n'eut mot à dire. Et jamais non jamais, Cerise n'avait trouvé telle joie de vivre, tel bonheur dans sa vie... Elle avait fait quelques rencontres avant lui mais aucun d'eux n'avaient pu la combler comme son Prince.

Alors imaginez sa demande en mariage... Le "oui" de sa chipie d'amour, comme il la nomme, avait pu s'entendre à des kilomètres. Et depuis ce jour elle était dans un état second, de stress total. Il fallait que tout soit prêt sur Lanquais, là ou le couple vivrait après leur union. Cerise mit tout en œuvre pour entreprendre quelques rénovations, ainsi que de préparer avec son Promis la suite de la noce. Un gigantesque banquet dans les jardins de Lanquais, Et le bal dont son amour voulait tant, afin d'ouvrir la première danse avec son épouse. Mais oula la !! Cerise ne savait guère danser, elle avait donc pris quelques cours en cachette pour faire la surprise à son futur mari, espérons que ce geste lui fasse plaisir le moment voulu.

Quand aux faire parts !! Malheur !! Cerise avait omis de les envoyer à temps, elle espérait que ses amis puissent la rejoindre à temps pour profiter de ce jour important et inoubliable avec elle.

Il restait le plus gros à faire, sa robe de mariée, et là gros dilemme.. Sa couturière était partie en voyage, et le temps que la Comtesse trouve une autre personne, ça allait devenir une course phénoménale. De plus depuis cette demande par cette peur qui s'emparait d'elle, Griotte n'arrêtait point de s'empiffrer de sucreries, enfin quelques bonnes tartes aux fruits, que ses amies lui faisaient livrer et bien d'autres choses. Alors il n'était point facile de prendre les mesures de la Griotte qui une fois sur deux prenaient de l'ampleur. Mais bon pô grave, c'était pas de sa faute à la Chipie, mais celle du Mariage et de son Promis.. S'il savait il dirait "bin tiens ! encore moi.. J'ai le dos large".... Elle secoua la tête en souriant.
Elle espérait que sa robe soit prête à temps pour le Jour J sinon bin elle n'aurait plus qu'à se rendre à la Cérémonie en tite tenue, loin de déplaire à son amoureux, mais plus à son Éminence Rehael, son futur oncle.

La route fut longue et assez tristounette à faire sans son Amour, mais il se devait de ne poinct se voir avant le jour des noces. Heureusement ce n'était qu'un seul et malheureux jour sans luy.






[ Au ptit matin du Jour J dans une Auberge non loin de la Cathédrale..]


La Comtesse dormait paisiblement, rêvant surement de son amour, mais elle sursauta quand Sara ouvrit d'un coup les rideaux de la chambre.
- Mais ca ne va pas de me réveiller ainsy. Ou vous croyez vous ?
- Mais m'dame, il faut vous préparer, vous ne voudriez point faire attendre votre Promis.



Elle mit un instant à remettre ses idées en place en ouvrant ses yeux éblouis par ce beau soleil déjà présent. Elle se débattit avec ses draps entourés autour d'elle, elle commença à paniquer.
- Hannnnn !! Fichtre Mon Mariage !!!!!
Vite Sara dépêchez vous !! Entendez vous les cloches, si oui nous sommes complètement en retard comme pour ne pas changer de toute façon.

- Ne vous inquiétez pas M'dame, j'ai déjà tout fait livrer en la Cathédrale, il nous manque que vostre présence et vostre robe de mariée, qui ne devrait plus tarder, c'est la couturière qui la fera emmener.
- Que ma robe !!!
Comme si cela n'était point le plus important.. Vous me voyez me présenter en tenue légère pour m'unir à mon Sébastien ? C'est nostre Eminence qui risque de nous faire une belle crise du coeur.

- Respirez Comtesse !!
Couvrez vous, et rendons nous en la Cathédrale dans la loge qui vous est réservée, peut être la robe est déjà là bas. De plus j'ai fait mander dès que vous arriverez qu'on vous fasse un bon bain afin de vous prélasser, vous détendre. Puis il nous faut aussi du temps, pour que je puisse vous coiffer, ainsi que vous vous restauriez un peu afin d'éviter tout malaise devant l'Autel.
- Excellentes idées, Sara. Comme toujours, vous êtes parfaite, vous avez fait mander tout ce dont j'aimais. Allons y !!



Cerise se mit debout dans son lit, et y descendit afin de se couvrir pour se rendre en la Cathédrale. Il fallait qu'elle arrive vite, surtout avant les invités, ou son Éminence, ou son promis...
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Icie
Ils avaient quitté l'hôtel particulier dans la matinée et bien leur avais pris d'être parti trop. Malgré l'escorte qui faisait place nette devant le carosse, ils n'avaient pu échapper au renversement d'un charroi de choux. Il s'en était suivi un embouteillage où les cris des charretiers se mélaient aux vindicts, aux moqueries des badauds.
Des colporteurs en profitaient pour écouler leus pacotilles et les truands pour subtiliser quelques bourses. Il avait fallu patienter, attendre que la cargaison soit charger sur la charette redressée.

Enfin, ils arriverent sur le parvis.
La comtesse Icie de Plantagenêt en descendit la premiere, suivie de sa dame de compagnie et de son neveu Otan de Montfort Balmyr.
Elle était heureuse d'avoir choisi de porter une robe en velour et son manteau réhaussé de fourrure. Il faisait toujours froid dans ces immences édifices.




Icie s'approcha de Son Eminence Rehael

Bien le bonjour cousin. Quelle belle journée pour un mariage.
Notre famille s'agrandit, c 'est fort heureux.

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Paix à nos amis disparus! Trop nombreux hélas........
Dejie
dejie arriva sur le parvis assister au mariage de son ami

vétu de sa robe blanche personne qu'elle ne connaissait encore alors elle alla s'assoir calmement du coté de la mariée



Aleen
C'était un beau jour, le ciel était d'un bleu limpide, le soleil donnait à toute chose un éclat particulier, les cloches de la cathédrale sonnaient à toutes volées.

La jeune femme avait fait arrêter la voiture a quelques pas de l'édifice, elle voulait profiter de ce petit matin parisien humant l'air, riant aux commentaires de quelques commères, elle faisait attention à ne point salir ses jolis souliers de vair.

Enfin elle déboucha sur le parvis, elle ne connaissait pas grand'monde, elle pénétra dans la cathédrale, adressa un sourire aux uns et aux autres, prit place s'abima dans la prière, demandant au Très Haut de veiller sur ce couple qui allait s'unir devant lui.

Elle espérait que Deli allait pouvoir la rejoindre il avait eu quelques soucis durant le voyage et lui avait demandé de poursuivre la route seule qu'il ferait tout son possible pour arriver à temps

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Cyphus
Les comtes de Châtellerault étaient venus.
Toujours en deuil, le coeur chagrin, Cyphus s'efforce de sourire en voyant la Comtesse Icie.
-Bonjour mon amie, une belle éclaircie entre ces sombres saisons n'est-ce pas?
Il n'est pas très convainquant, mais on ne le serait à moins.
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Darknesser
Philippe estoyt quelque peu en retard par rapport l'heure à laquelle il avoyt prévu d'arriver mais non sans raison : il estoyt accompagné d'un certain nombre de personnes magnificquement et horrificquement bien habillées de noyr et de blanc aux jabots sobres mais éclatants et aussy pource qu'il marchoyt lentement à cause de sa jambe droite qu'il aidoyt d'une canne aussy noyre et droite que sa personne sans oublier qu'il tenoyt dans son aultre main plusieurs livres et une quantité élevée de feuillets blancs avecque d'estranges dessins sous-titrés de portées noyres. Il s'inclina à toutes les personnes déjà présentes recognoyssant avecque plaisir la plupart d'entre elles puys se retourna vers le grand groupe et luy dict d'attendre dans le calme et la discrétion tresqu'en ses remarques.

Ensuyte, il s'arrangea prestement mais avecque grant soin, ôta sa longue cape sombre qu'il tendit à son ami savant Frederikus Wizzēlant quy restoyt en retrait avecque le groupe. Philippe avoyt faict l'effort de poser ses tenues noyres per une faisant plus appel à la feste et aux réjouissances de maroiage. Il estoyt beau de bas blancs, de braies noyrs magnificques et de haut en color dolçe et brodée d'ornements sombres nobliaulx et aux manches amples. De surcroist, il avoyt sorti un de ses plus beaulx coupliots : un jabot d'un blanc aussy pur que sa sensibilité qu'il avoyt tentée d'escrire dans ces quelques feuillets qu'il tenoyt fermement dans ses mains comme le peintre son pinceau.






Il s'en alla saluer de plus près sa Chère Asphodelle quy n'avoyt visiblement poinct arresté une minute de s'occuper dextre et cabayre et quy estoyt bien évidemment resplendissante ....


"Le bon jorn, ma Chère Asphodelle ! Quel plaisir que de nos retrouver réunis sous le sainct Évènement de l'union de mon trèsestimé cousin Sebastien. Quel édifice symbolique et empli de soubvenirs ; c'est un moment unique que nos vivons ..."
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Je n'imagine savoir ce que je ne sais point.
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Philippe de Plantagenêt -Darknesser IG-
Fils de Phenix Alexandre de Plantagenêt, Comte de Cognac et de Frah, Comtesse de Cognac.
Pastrosvite
Pastrosvite ayent reçus une invitation de son amie Cerise mais comme elle est un peu surprise elle c'était préparer en vitesse en trouvent un jolie robe toute simble mais qui lui allait très bien. Elle avait demander a un ami de brosse sa jument Princesse pour que sa robe de sa jument reluise . Bien sur Pastrosvite aimait chevaucher et d'aller en balade tout simplement. Mais pour son amie Cerise elle voulait être présente a ses moce. Une fois prêt Pastrosvite avait pris la route vers Paris . Tout en songent a son amie Cerise elle se souvient que trop combien de fois qu'elle avait toujours voulu la mange sa grande amie. Mais là elle ne mangerait pas cette dernière car elle sera a un gentilhomme qui l'aime au dela de tout. Alors Pastrosvite n'avait pas le choix d'aller a ses noces de celle-ci.



Lorsqu'elle arriva a l'église elle eu le souffle couper et fut très surprise de voir que la place .Du coup elle se demandait si elle était arriver en retard car elle aimait bien Cerise malgré que cette dernière lui défendait la manger .

Elle s’avança et monta les escaliers du pavie. une fois arriver tout près de la porte de l'église elle regardait autour d'elle pour vois si il avait d'autre personne qu'elle connait de vue.
Boulga
[Mende : préparatifs de départs]


Pas de décolleté, avait dit Boulga en rougissant

Macarel ! avait répondu le senher Salvaire d'irissarri, vous êtes de ma mesnie, faites-moi honneur dona Gloubinetta, pensez aux fêtes italiennes dont on fait grand bruit ! Pas de collet monté comme chez les Anglois !

Et une fois de plus, Boulga avait cédé aux instances de son seigneur. Oh, elle ne s'en trouvait pas si mal, et lorsqu'elle se regardait au miroir, ma foi, le cou dégagé, la gorge ronde qui se gonflait légèrement à chaque respiration, la peau fraîche et blanche, ça faisait son petit effet bien flatteur.
Elle espérait que le senher Salvaire lui en offrirait un de ses beaux sourires, et peut-être, pourquoi ne pas rêver, un de ces jetés de mèche blonde dont il avait le secret.








Pour une petite bourgeoise valentinoise, se rendre pour la première fois de sa vie à Paris, assister à une cérémonie puis à une fête pleine de seigneurs et de dames, c'était bien intimidant. Se faire belle et montrer bonne figure dans la suite du baron était indispensable mais avait sa contrepartie : attirer les regards. Grand sujet d'angoisse pour la jeune Boulga, bien qu'elle fût toute fiévreuse à l'idée du voyage et de la fête, et que pour rien au monde elle n'eût cédé sa place.
Refuser l'invitation de son seigneur ? pardine ! jamais de la vie ! Dût-elle laisser de côté un bout de sagesse, faire un peu violence à sa pudeur et piétiner au passage quelques-uns de ses principes !

Elle se demandait si dona Boulie, qui venait aussi en tant que gouvernante de sa jeune Altesse Franc de Castelmaure - le pupille du senher Salvaire - était dans le même état d'excitation qu'elle.
Sophie
La comtesse Sophie a reçu l'invitation de la mariée. Voilà un occasion pour les gens heureux de se montrer. Elle voit Icie, sa grande amie, vêtue de beaux vêtements et l'a trouve élégante. Sophie lui sourit au bras de son époux. Le moral est là par chance mais le malheur c'est installé dans la vie de Sophie. Elle a la vague à l'âme.
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