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[RP] Une fin de mandat pas comme les autres

Victorinne
Décidément, l'on ne pouvait somnoler paisiblement, en ces lieux, entre deux éreintantes entrevues avec quelques membres de la noblesse impériale pour divers sujets héraldique...
N'avait elle pas droit de se reposer après un voyage au combien fatiguant en Franche Comté, peut importe la raison il ne fallait guère la contrarier depuis que son interminable état l'empêchait de faire ce qui lui plaisait. S'en était ennuyant...Yanahor recevrait les foudres de sa "douce" femme pour lui infliger une telle punition tant souhaité soit elle.

Les consignes qu'elle avait données ne semblaient avoir guère été comprises par les domestiques d'Adaincourt. Nul ne devait la déranger sous prétextes aucun sous peine de se voir châtier de la plus vil des façons. La "Cantarella" furibonde s'étira de tout son long avant de poser un pied sur le lot.


ENTREZ SOMBRE IDIOT QUE VOUS ETES! hurla cette dernière. Le domestique entra tout en baissant la tête pour ne pas rencontrer le regard de sa maîtresse. Ce dernier n'osa ouvrir la bouche ce qui contraria fortement la Duchesse. Se leva avec une grâce qu'on ne lui connaissait guère, elle s'approcha de son bureau pour ramasser sur son passage la cravache qui y trônait joyeusement avant de faire face au sombre sot.

Faut il que je vous châtie pour que vous m'adressiez la parole? Ne vous a t on apprit les bonnes manières. Sachez que vos cris lorsque le fouet s'abattra sur votre dos sera pour moi le plus doux des murmures. A moins que vous n'attendiez que cela

Que ne fallait-il guère se résoudre à faire pour se faire obéir. Le domestique tremblait comme une feuille tout en bégayant on ne sait quoi. Levant les yeux au ciel la Rubempré alla s'installer dans son fauteuil au coussin rouge.

Vous me faites perdre du temps sombre crétin. Ecrivez donc sur un morceau de parchemin si vous n'arrivez guère à aligner trois mots.....

Le misérable vers de terre lui coupa soudainement la parole pour déverser son flot d'information. Le "ducaillon" lorrain comme certains se plaisait à l'appeler en ce moment mandait sa présence pour officier en cette fin de mandat. Soupirant elle congédia le serviteur avant de faire venir ses suivantes pour s'habiller. Ne pouvait-il demander à son frère d'être le maître de cérémonie. Tellement de choses à préparer de quitter la Lorraine pour de bon. Nulle envie d'être pimpante ne lui venait à l'esprit, elle éprouvait le besoin de se sentir à l'aise dans ses mouvements. Esquissant un sourire, elle se rappela la tenue qui plaisait tant à Alaellyra. Dés que cette dernière la voyait avec cet accoutrement elle ne pouvait s'empêcher de lui râler dessus. La Duchesse se laissa habiller par les mains expertes des servantes avant d'enfiler ses cuissardes et son manteau de gueules.

Faites préparer ma voiture chère Hilda, ne faisons pas attendre le Duc de Lorraine. Plus tôt nous partons plus tôt nous rentrons en notre domaine.

Le carrosse posté devant l'entrée du Castel de Remilly conduisit la jeune femme jusqu'au Château de Nancy. Les quelques pas qu'elle fit la portèrent à la Salle de Réception. Epuisée par le voyage, la Rose alla s'installer sur l'estrade ou un siège l'attendait. Avant de poser son délicat fessier le Maréchal d'Armes inspecta les coffres qui avaient posé à proximité. Oedipe avait sans doute voulu ménager sa sœur. Ne manquait plus que le Duc pour que la cérémonie commence. Cérémonie qui promettait d'être des plus intéressante pour certains.
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Gwendarion
Après une journée a recevoir des demandes dans la salle du trône, Gwendarion se leva et déambula tranquillement de la démarche assurée dans les couloir du château. l'heure approchais de rejoindre la cérémonie en l'honneur de la fin de son mandat de Duc.

Sur son passage, Gwendarion salua les personnes qu'il rencontra tout en prenant le temps de leur dire quelques mots. Il avançais tout en pensant a c'est deux mois qui s'était écoulé et qui avait été riche en sarcasmes, reproches et toute c'est autres chose qui sont caractéristiques au poste qu'il occupait.

En arrivant à la salle il trouva Victorinne qu'il alla saluer


~~bonjour votre Grace, somme nous près?
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Oedipe
Dans son castel de Vigneulles, Oedipe n'arrêtait pas de tourner en rond dans l'antichambre d'accueil, sa fille n'était toujours pas là! Que pouvait-elle donc faire? Elle aurait du être revenu aujourd'hui de son couvent de Provence, il s'était fait tout une joie de revoir sa fille après deux ans d'absences. Il espérait profondément qu'elle ait changé, il n'avait eut aucune nouvelle d'elle et des bonnes sœurs qui devaient la garder et l'éduquer. Lorsqu'elle était parti c'était une jeune fille insolente ne respectant rien, fuguant toujours de plus en plus, se rendant dans des endroits mal fréquentés tel l'ancienne maison close, du dénommé Force Jaune. Pire, elle se comportait tel une catin, à aguicher tout bel homme de bonne famille qui passait sous non nez.
Il espérait revoir une jeune femme, belle, avenante, aimable, bref une fille qui ne lui ferait pas honte et qu'il pourrait marier à un riche seigneur, permettant ainsi d'apporter gloire et bonne réputation à la famille Sevillano. Il voulait voir une jeune femme comme celle qui habitait son cœur.

Soudain un domestique vint lui parler et s'enquérir de son retard à la cérémonie d'anoblissement du Duc de Lorraine, Gwendarion de Beauregard. Oedipe lui lança un regard furieux, qui en disait long sur son état plus qu'énervé, il ne voulait pas partir sans avoir vu au moins sa fille qui aurait du être là tôt dans la matinée, il n'en démordrait pas! Elle aurait du venir avec lui ...


Fiche le camp, sale gueux, je ne t'ai pas permis de me déranger!!!!

Le palefrenier sursauta, cela faisait déjà des heures qu'il avait préparé le carrosse pour se rendre aux festivités de Nancy, il en avait marre d'attendre et sa patience avait des limites..., mais il avait bien plus peur de son maître, surtout quand celui ci était énervé.

Une fois que l'intru quitta la pièce, le Baron de Vigneulles s'approcha de l'horloge trônant sur un buffet, afin d'y lire l'heure, s'il ne partait pas sur le champ, il arriverait en retard pour cette foutu cérémonie, il poussa un cri de rage, un cri rauque, presque bestial...
Il fut donc contraint par sa charge d'Hérault de Lorraine, de quitter Vigneulles pour se rendre à Nancy, il ne vaudrait mieux pas qu'il rencontre sa fille sur le chemin, elle regretterait déjà amèrement son retour chez elle. En sortant du castel, Oedipe su tout de suite sur qui passer ses nerfs, son palefrenier se tenait à coté des chevaux, l'air rêveur et complètement stupide, il n'entendit même pas son maître arriver par derrière. Celui ci lui envoya un violant un coup de pied sur les miches qui l'envoya valser aux pieds des chevaux.


Bouge-toi empoté!!! Je ne t’offre pas le logis et le couvert pour rien!!!

On est déjà assez en retard, alors amène moi rapidement à Nancy avant que je te face empalé!!


Le Baron grimpa vivement dans le carrosse et s'installa confortablement sur les cousins en velours bleus, tandis que le pauvre domestique se remettait debout et se dépêcha de prendre les rennes des chevaux assez maladroitement, il tremblait de tous ses membres ... L'équipage quitta la cour du castel de Vigneulles dans un grand fracas de bruit de sabot et de claquement de fouet, il passa devant un groupe de jeune Lavandière récemment embauché, qui regardèrent le Baron avec un air horrifié.

L'attelage arriva au grand galop, dans la cour du castel de Nancy, faisant fuir les personnes sur son passage. Oedipe débarqua en faisant claqué la portière derrière lui et se dirigea d'un pas fort lourd vers l'intérieur du castel afin de se rendre dans la salle de réception ou il avait déjà fait amené les couronnes et les blasons des futur anoblis. Bousculant les malheureux domestiques qui étaient là pour préparer la cérémonie, il se rendit sur l'estrade, lieu de tous les évènements ou il retrouva sa sœur, la Maréchal d'Armes Impérial, ainsi que le Duc de Lorraine, Gwendarion. Conformément à la courtoisie admise en pareil endroit, il salua d'abord Victorinne.


Bien le bon Jour ma très chère sœur.

Puis il s'adressa à sa Grace de Lorraine, en se courbant avec respect pour le saluer.

Messire, je vous souhaite à vous aussi une bonne journée et une heureuse fin de règne.

Pour ma part, nous pouvons commencer les anoblissements quand vous le souhaiterez. Pourvu que cet évènement ne soit pas gâché par un empoté comme j'en ai à dans ma mesnie.
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Sybille_
La journée avait été intéressante, et même très instructive. Elle ne comprendrait jamais pourquoi son père trouvait les endroits qu'elle fréquentait indignes. Certes sa main était égratignée après avoir violemment rencontré le visage d'un homme, mais sa main s'en sortait mieux que le visage dudit homme, et elle n'aurait qu'a cacher cet état de fait à son père et tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Certes on avait voulu la couper en morceau, la brûler et même boire son sang, mais somme toute la journée avait été des plus normales pour son monde à elle. Certes elle était ivre... Mais si peu ! Elle avait bu des litres d'infusion d'herbes aphrodisiaques, mais pour soigner son mal de tête bien sur. Le tout donnant un étonnant mélange qui faisait que par dessus tout elle était de bonne humeur. Hum ? en quoi est ce étonnant ? Héhé vous ne connaissez pas Sybille si vous trouvez ça normal d'être joyeux.

C'est donc une Sybille joyeuse mais très en retard qui hésitait entre diverses tenues pour se rendre chez son père... Enfin pouvait on appeler retard une journée entière ? Nooon, elle n'était donc pas en retard, c'était forcément une incompréhension sur la date de retour. Elle avisa une robe qui était sans conteste sa préférée... Mais si son père la voyait la dedans il la traiterait de trainée. La deuxième était confortable au possible, mais avouons le... Elle ressemblerait dedans à une pouilleuse. La troisième était réellement inconfortable, extrêmement banale à son regard... En clair c'était celle que son père souhaiterait la voir porter sans doute aucun... Le choix était dur, car elle n'avait pas le choix, et que s'il y avait bien une chose qu'elle détestait c'est bien de ne pas avoir le choix.

Avec un soupir de martyre, elle se décida à enfiler la troisième. Prit le temps de se coiffer comme se devait de se coiffer une femme du monde, puisqu'après tout ayant fait attendre son père plus d'une dizaine d'heures déjà, une de plus ou de moins... Avec une grimace de dégout, elle inspecta son reflet dans le miroir... Elle qui aimait faire ressortir ses formes... Effectivement, peut être qu'elle exagérait, car la robe était loin de les cacher non plus, elle était capable de suivre les règles imposées par la bienséance, mais pas au point de se fondre dans la masse et de devenir invisible. Mais pour elle c'était tellement...

*Banale, on fait de toi une femme banale mon ange et tu te laisses faire ! Tu finiras mariée à un gras vieillard, à t'ennuyer et à écouter de sales gosses t'ayant démoli ta silhouette afin de venir au monde, te faire un boucan d'enfer.*

Sur cette touche joyeuse, son regard s'anima d'une étincelle d'excitation à l'idée de pouvoir tester bientôt sur son père ses talents de manipulatrice acquise avec le temps en s'entrainant sur les moines. Elle afficha un instant un sourire aguicheur que lui renvoya la glace, mais c'est son père qu'elle devait séduire, ça ne serait donc pas de la même manière que les autres hommes, et avec un peu de volonté son visage se transforma en celui d'une jeune femme innocente.


Hummm, exactement celle que tu voudras voir. Encore faudrait il que tu veuilles me voir...

Elle arrêta là sa discussion avec elle même, et se décida à sortir de la chambre de l'auberge ou elle séjournait depuis la veille pour rejoindre les écuries et son serviteur. Celui ci qui se tenait au courant d'un peu trop de chose à son goût, lui souffla le fait que son père vu l'heure devait être rendu à la cérémonie de fin de mandat puisqu'il était héraut de Lorraine. N'ayant rien contre une balade à Nançy, qu'elle finirait dans une adresse qu'elle connaissait si malheureusement son père ne s'y trouvait pas, elle décida de suivre le conseil pour une fois avisé du laquais. Le trajet à cheval fut... Ennuyant comme elle s'y attendait, et l'arrivée au castel facilité par l'ouverture du château à tous pour l'occasion.

C'était là, la première fois qu'elle mettait les pieds icelieu, si bien qu'au lieu d'éviter de ce faire remarquer pour le moment, elle entra sans penser à longer les murs, le regard détaillant tout ce qui tombait à porté de vue, c'est à dire, le plafond, les murs, et avant d'avoir pu détailler la tenue d'autres personnes, celle de sa tante. Elle grommela un instant intérieurement, il faudrait qu'elle apprenne à sa tante à se mettre en valeur, elle avait un tel potentiel, pourquoi le gâcher ?

Elle adressa un clin d'oeil à sa tante, avant de remarquer l'homme qui se tenait juste à coté d'elle...

*Houlà, il semble pas commode ce soir... A moins qu'il ne m'en veuille personnellement...*

Elle lui adressa un sourire poli, et inclina légèrement la tête en guise de salut à l'intention de son père, mais surtout resta le plus loin possible de lui le temps que les trucs officiels soient fait, et qu'il ai eu le temps de se préparer mentalement à leurs premiers échanges polis.

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Ecaterina
[ Palais Épiscopal]

La journée était déjà entamée lorsque Igor, le secrétaire du Cardinale frappa à la porte et entra.
Il s'arrêta quelques minutes pour laisser le temps à sa maitresse de finir son parchemin.
Lorsque la cire chaude coula sur le papier à lettres, Igor s'approcha d'Ecaterina et prit la parole:


Vous devez savoir que les anoblissements pour le mandat du Duc Gwendarion vont commencer. Se serait bien si vous y alliez.


Ecaterina reposa le sceau, leva la tête et tout en regardant son secrétaire d'un air dur répondit:


Y aller. Et pour y faire quoi. Voir un incompétent donner des fiefs à des incompétents et prendre son fief de retraite. Retraire, c'est un joli mot, le problème c'est que ce ducaillon ne peut prendre sa retraite car pour cela il aurait fallu qu'il travaille.

Pour agir et travailler nous ne l'avons pas beaucoup vu, mais pour recevoir sa couronne, surement trop petite pour sa tête de petit merdeux gonflé de suffisance, là il lève ses fesses et vient parader.


Sentant la colère du Cardinal - colère justifiée-, Igor essaya de tempérer les choses:

Je sais bien Eminence -il n'utilisait son titre que pour la calmer- mais votre place est d'être la-bas afin de prier pour que toutes ces couronnes ne soient pas trop lourdes à porter.

Ecaterina sourit à son secrétaire puis tout en se levant ajouta;

Faites préparez le coche. Vous voulez que j'y aille, alors j'irai, enfin la cardinal.

[ Aux anoblissements]


Le coche aux armes du cardinal arriva devant les portes de la salle de réceptions où se tenait les anoblissements.
Elle descendit dans sa robe rouge de cardinal, sa crosse dans la main droite et la grande croix pendante sur son poitrail.

Elle se dirigea vers les héraults.


Bonjours ma Sœur, bonjour mon Frère. Heureuse de vous voir en ce jour si important pour la Lorraine. Important oui, car c'est la fin de ce mandat original.

Elle sourit d'un sourire féroce en prononçant le dernier mot.
Tout en souriant de cette manière carnassière, elle salua le Ducaillon d'un hochement de tête hautain, après tout il n'était que Duc...

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Mcchipie
Mcchipie arriva accompagnée de ses enfants à la cérémonie de fin de mandat.

Elle salua sa soeur Victorinne, salua les présents et alla saluer sa grasce le duc de Lorraine.


Bonjour Votre Grasce, j'espère que vous vous portez bien.

Elle invita ses enfants à saluer le Duc, ce qu'elles firent avec élégance.
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Minifoie
Son plus beau chapeau mis, minifoie se présenta au chateau près à saluer son vieil ami, un des rares nobles qu'il respectait. Il arriva devant le chateau. le garde lui demanda qui il était. Grouik répondit pour minifoie, jetant au sol l'importun. Minifoie se pencha sur le malheureux garde.

ne vous en fites pas mon sanglier est d'humeur taquine en jour de fête, passez une bonne journée.

Jouant des coudes, minifoie se rapprocha du duc tant qu'il put, la foule devenat trop dense il fut contraint de s'arreter. levant son chapeau du plus haut que sa hauteur le lui permettait, ainsi que la croupe de son sanglier, il tenta d'attirer l'attention du duc qu'il saluait de ses grands gestes.
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Gwerlibr
[L'entrée du château]

Deux cavaliers arrivèrent près du château, ils avaient voyager pendant un jour et une nuit pour y parvenir.

Dame Gabrie, sœur du duc de Lorraine, accompagné de Gwerlibr. Un fou que personne n'aurais voulu avoir à ses côté, quoi que tout dépend.

Enfin bref, ils arrivèrent tout deux à cheval, Gwer toujours avec sa hache dans une main et son épée dans son fourreau, ses deux compagnes les plus fidèles. Oui faut l'entendre parler de ses armes comme des personnes, un bien étrange phénomène, tout comme un certain nain avec son repas pour monture.

Il s'arrêtèrent tout deux non loin de l'entrée du château, Gwer sauta de sa monture, toujours sa hache dans une main. Il attrapa les brides des deux chevaux et dit à Gabrie :


- Vas y ! je me charge des canassons.

Il attendit que celle-ci descende de son destrier, pour enfin aller les mener dans leur garage de l'époque. Oui il n'allait tout de même pas les "garer" si elle était encore dessus. Quoi que se ne serais point surprenant venant de lui, il se devait tout de même montrer un minimum de savoir vivre.
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Gwendarion
Gwendarion vit arriver Oedipe, Héraut de Lorraine et alla le saluer. Mcchipie arriva ensuite entouré de ses enfants, et Gwendarion se rapprocha d'eux pour les saluer. s'ensuivit ensuite une foule de salutation a toutes les personnes présente.

Gwendarion aperçu un chapeau rouge s'agitant au milieu de la foule. Il reconnu son ami Minifoie et se dit que le bourguignon s'était perdu en Lorraine. Il sourit et se dit qu'il ira le saluer plus tard.

Il se retourna vers les Hérauts.

~~ Votre Grâce Baron, nous allons pouvoir commencer.

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Victorinne
Pensive au plus haut point, elle n'avait guère remarqué que le Duc. Prenant appuie sur un des accoudoirs, la jeune femme se redressa tant bien que mal.

Bien le Bonjour Vostre Grasce. Tous est prêt en effet, nous pouvons commencer la cérémonie dés maintenant.

N'ayant guère le temps de converser un peu plus avec le Duc, "Lorraine "entra d'un pas lourd et rapide suivit par un Cardinal qu'elle connaissait fort bien. Quel étrange tournant prenait cette cerémonie, les Sevillano s'étaient réunis. Chose bien inabituelle jusqu'à présent. Il ne manquait plus que Piotr_alexander, Fiha et le Père Joce pour que la famille soit au complet. Sa pestouille de nièce lui fit un clin d'oeil, elle comprenait amplement pourquoi, sa tenue n'était guère celle d'une femme de haut rang mais elle en moquait bien. S'était la dernière fois qu'on la croiserait icelieux, la "Cantarella" tenait à rester elle même jusqu'au bout.

Vostre Eminence, pourriez vous aller prendre place auprès de notre jeunette sybilienne que nous puissions commencer la cérémonie car je ne doute guère que vous attendez avec impétience le nom des nouveaux noble lorrain.

Soudain elle se mit à rire en regardant sa soeur Ecaterina, une de ses paroles lui revenait en mémoire "3 minutes de bonheur avec moi ça [......]" (comprenne qui voudra ). Elle ne manquerait pas de lui en reparler sitôt la cérémonie de fin de mandat terminée. S'en suivit McChipie et ses filles ainsi que son intendant Minifoie. Elle les salua tout en souriant aux petites qu'elle trouvait si mignonne.

Par quelle personne commençons nous pour les annoblissements vostre Grasce ? dit elle en se tournant à nouveau vers le Duc de Lorraine
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Ecaterina
Son Illustrissime Eminence ( je suis en mode Guise ^^) Ecaterina regarda le Ducaillon, sentit son déjeuner remonter le long de son estomac. Serra les dents fort puis tout en mettant la main devant la bouche alla se placer prés de sa nièce

Elle était impatiente de connaitre les nouveaux anoblis. Connaissant le Duc il avait dû anoblir ses amis les plus proches. C'était surement le seul moyen pour lui de les garder et de leur faire avaler le fait qu'il fut un bon Duc......

Enfin bon ce cauchemar ambulant allait rentrer chez lui, surement pour se terrer dans le bouge qu'il appelait "maison" afin de se concentrer à l'écriture de ses mémoires " comment un tourte peut être Duc......grâce à un marionnettiste".

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Melrikk
melrikk avait reçu une invitation pour se rendre à la cérémonie de fin de mandat du Duc Gwendarion. Il s'était préparé pour ce moment important depuis l'aube. Il avait enfiler les plus beaux habilles qu'il possédait et était parti de bonne heure vers le castel de Nancy pour y rejoindre les autres invités dans la salle de réception.

Il arrivant dans cette salle après avoir parcouru les couloirs du château. Nombre de personnes importantes étaient déjà la. Il y avait entre autre le Duc Gendarion, la duchesse Victorine, l'eveque Ecatarina, le Baron Oedipe.

Melrikk s'avança et salua tout ses hauts personnages comme il se doit. Il se présenta devant le Duc de Lorraine et s'inclina devant lui


Vostre grace Gwendarion de Beauregard


Il se tourna ensuite vers Victorine et s'inclina de nouveau

Vostre grace Victorine de Rumbenpre.

Puis vient le tour de l'évêque Ecatarina

Vostre éminence

melrikk salua enfin le baron Oedipe

Monsieur le Baron Oedipe de Sevillano

Puis melrikk rejoignit les autres invités, qu'il salua d'un mouvement de tete, et attendit la suite de la cérémonie.
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Piotr_alexander
Le jeune Piotr avait prévu de se rendre à l' "anoblissement" des personnes de "mérite" du "duché" dirigé par le "duc" qu'il ne connaissait heureusement que peu, lorsqu'il fut interrompu par une allocution bien matinale en place publique d'un homme d'Etat qu'il avait croisé en taverne quelques jours auparavant, et qui y avait semblé fort décontracté. Il s'assit alors, face à cet homme qui maniait si bien les mots et donnait envie d'être entendu et comprit de tous...pour un instant en tout cas. Ayant vu la tête de liste Bambou La Douce, qu'il considérait beaucoup en politique, s'endormir sur l'épaule de sa mère, c'est avec lutte et courage qu'il écouta toute la longueur presque familiale du discours de l'orateur.
C'est bien candide qu'il écouta tout ce beau discours, se demandant entre deux justifications du vieux malade, qui, du Tyran ou de l'Homme d'Etat autoritaire, se retrouvait dans le caractère dudit "illustre bon Guise" ? Ne trouvant réponse à la fin du discours à ses questions bien enfantines, c'est toujours aussi bête, mais riche, mais bête, qu'il repartit avec son nouveau valet Nicolas, vers la cérémonie qui s'annonçait bien Sevillanique !
Se plaçant auprès de sa mère et sa jolie famille bien rassemblée telle une petite entreprise artisanale, il fut très surpris de voir le ducaillon jusqu'ici bien caché dans "son" castel de Nancy dont Guise est le maistre, alors qu'il était demandé dans un sujet assez important, où des explications lui étaient réclamées. "Après tout, se dit-il, l'illustre duc de lorraine peut bien faire ce qu'il veut entre recevoir une jolie couronne et s'exprimer en public sur son mandat...mais, qui sait, peut-être nous fera-t-il l'honneur d'un joli discours bien écrit à la manière d'un aristocrate en claquette." Il sourit à sa pensée puis salua sa famille poliment en s'excusant de son léger retard...

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Fihafihafiha
Un grondement de colère surgit dans les murs de Sancy, de la panique, la peur et l’effroi dans les rangs du personnel du château, la rage immense d’un baron qui coulait en torrents dans la salle d’entraînement, des pauvres mannequins détruits, déchirés, en morceaux … Soudainement, un calme survient dans tout le château. Le baron Fiha était essoufflé, tout ces coups qu’il a du émettre lui ont consumé de l’énergie.
En sueur, il s’arrêta, relâche ses deux épées puis prit un moment de pause avant de quitter la salle pour rejoindre son bain qui prit longtemps, en ce matin froid de printemps, un printemps qui s’est annoncé mal depuis son ouverture …

Tout seul, entouré de la vapeur que dégageait la chaleur du bain, il cherchait dans cette mer de rage un brin de calme, de paix d’esprit, les yeux fermés, il ne pouvait penser qu’à cet évènement qui bouillait son sang, créait en lui une rage extrême qu’il ne dégageait qu’en solitude … Pauvre lorraine, dirigée par des incompétents, aucun d’entre ceux qui prétendent être les meilleurs, ou se font les sages en ignorant des questions qu’ils jugent débiles, alors qu’en effet ce sont des questions critiques sur le système de ces dirigeants eux-mêmes, ces petits nouveaux dans leurs chaises aisées qui se disaient conseillers ducaux, ces gens qui étaient absents lorsqu’on avait besoin d’eux, à part deux ou trois conseillers qu’on connaissait parfaitement, qu’on respectait, qu’on admirait …

Fin de bain, rester ainsi fera couler des idées des plus mécréants …
Le baron se leva de son bain, se sécha la peau tatouée –Tout comme les tatouages camouflaient ses blessures de guerres-, enfila quelques légers vêtements pour sortir de son bain sans avoir à choquer le personnel, monta les escaliers vers sa chambre où il resta longtemps à calmer sa rage, ne laissant aucune personne, peu importe son genre, se faufiler près de lui …
Un long soupire, un grognement pour se calmer, puis un silence qui régnait dans son entourage … Il se décida d’enfiler le noir en deuil de la lorraine, cette lorraine qui a tant fleurie en de différents mandats ducaux … La voilà qui tombe sous l’effet d’une grande connerie d’un duc incompétent, qui s’est absenté longtemps et n’est venu qu’en temps d’anoblissements … Si seulement les lorrains se décidaient aussi … En tous cas, la loi martiale avait son effet, non pas pour la défense, mais le pouvoir : Le duc pouvait tout faire …

Lentement, il enfila ses bottes, ses gants, décora sa crâne de sa couronne baronniale puis raccrocha son fourreau à sa ceinture avant d’y enfiler son épée, se regarda une dernière fois dans le miroir, non pas besoin de décorations … C’est le deuil de lorraine, en espérant qu’un nouvel ère viendra … Puis quitta l’appartement.
En se glissant entre les couloirs du castel Sancéen, des idées de toutes couleurs s’acharnaient sur son esprit, lui faisant oublier qu’un temps existe, qu’une « cérémonie » -Si on peut l’appeler ainsi- attend …

Arrivé devant l’entrée du domaine, sa jument était déjà prête. En effet, il avait demandé qu’elle soit prête avant qu’il ne vide sa colère sur les pauvres mannequins d’entraînements. Il la monte sans attendre, puis entama la route au galop vers le château de Nancy, qui n’était pas trop loin … A quelques heures seulement …

Le soleil s’apprêtait à coucher, le baron est arrivé devant le château … Il quitta sa monte pour rejoindre la herse à pieds, et comme les gardes le reconnaissaient de loin, il la dépassa sans difficultés, un léger hochement de tête pour saluer les gardes, puis continuer son chemin vers la salle où se déroulait la cérémonie, confiant sa fidèle jument aux gardes.

En pénétrant la salle, qui d’ailleurs était assez large pour une course de chevaux, il jeta des regards de partout … Malgré le noir sur son corps, l’élégance était son point fort pour son surnom, un charmeur … Et oui, le charmeur en noir, méfiez-vous.
Il s’approcha de quelques présents dans cette salle tout en les scrutant du regard de loin, esquissant un léger sourire tout en s’approchant, il n’allait pas foirer la cérémonie tout de même … Non pas pour les beaux yeux de Gwen –Ironie bien sûr-, mais par respect de l’édifice et ces présents … En éliminant bien sûr quelques « non bienvenus » pour lui … Tient, c’est une fête Sevillano ? Il ne manquait plus que son petit frère pour compléter la scène …

Il se dirigea vers sa cousine –Une demie cousine ça existe ?-, lui fit un baise main respectueux tout en gardant le sourire, puis prononça avec légèreté entre ses lèvres un petit « Bonsoir chère cousine … ».
Il la quitta un moment, se dirigea vers Gwen … Un duc de lorraine vous dites ? On verra ceci … Il le salua pour respect du moment, et quelques présents, comme d’habitude, tout en gardant en ses yeux un brin de reproche … Il lui aurait bien collé un ou deux mots de reproches, mais ce n’était pas le temps, on en parlerait après …
Arrivé devant son cousin, il lui offrit une accolade tout en lui souriant …


Alors cousin la forme ?

Lui prononça-t-il d’un ton amusé avant de passer à sa petite cousine, ou sa nièce, au choix, à qui il baisa la main avec respect, tout en lui souriant … Puis prononça entre ses lèvres d’un ton à peine audible : « De rien » En réponse à sa missive (Tu comprendras LJD Syb ), puis la quitta pour saluer Ecaterina, ses enfants, Mc … Malgré que ce dernier salut lui fût à contre cœur … Minifoie qu’il avait rencontré en taverne, et qu’il avait sympathisé comme personne …
Un léger sourire d’humour se traça sur ses lèvres en arrivant à Gwer, il sourit, lui serra la main puis faufila son regard autour de lui, cherchant la fameuse hache … Malheureusement, il ne la voyait pas, ça aurait été marrant tout de même, non ?

Il salua Melrikk, bel et bien le seul conseiller présent ici qu’il respectera de tout âme, enfin, il le respecte jusqu’à maintenant … Non pas pour le boulot, mais pour sa personnalité, avant de passer à son neveu –Ou petit cousin- qu’il salua avant de lui glisser à l’oreille d’un ton humouristique :

On commence les cours quand ta mère ne sera pas là ?

Il s’empêcha de rire, puis prit place près de ce dernier … Il commençait à l’aimer, vraiment, et il pensait faire de lui son « héritier de charme », sans l’accord de sa mère même, qui d’ailleurs est « mariée à Aristote » (Qui la trahissait avec les nonnes )
Il ne restait plus qu’à attendre la suite des évènements … Critiques …

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Marjolainne
la duchesse Marjolainne ,arriva dans la salle des anoblissements et alla s installer à coté de sa fille adoptive Le cardinal Ecaterina

elle attendait avec impatience ces anoblissements. elle allait enfin pouvoir s exprimer ...
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Heraut ès Généalogie/rectrice de Nancy/lieutenant de Nancy
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