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[RP] Une fin de mandat pas comme les autres

Gogosse
Gogosse était dans le fond de la pièce... Il était venu voirson frere et son cousin recevoir les honneur qui leur revenait.

Il observait de loin certaine personalité qui essayai de gagné cette cérémonie.

GOgosse s'en souvienderai...

Gogosse voulais aussi voir melrikk pour le félicité

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Armael
Armael qui avait aussi reçu une missive avait fait de son mieux pour revenir au plus vite.
La cérémonie était déjà bien entamée quand elle arriva et les anoblissements terminés.

Elle se dirigea vers l'estrade fit une révérence au Duc et reçu sa récompense.

Je vous remercie pour cet honneur et espère pouvoir continuer a m'en montrer digne

Puis elle descendit de l'estrade et chercha un coin tranquille pour la suite de la cérémonie.
Elle était heureuse de sa récompense mais n'avais pas trop le coeur a la fête et resta donc un peu a part
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Piotr_alexander
Le jeune de sevillano était non loin de sa famille, assit au rang des nobles sans toutefois savoir ce qu'il fichait en si ridicule cérémonie. Etant du même avis que beaucoup de nobles attachés au protocole, c'est frustré mais pas déçu qu'il sortit discrètement de cette honteuse situation, avec beaucoup de mépris pour sa "grasce". Il salua brièvement sa digne Mère, sa charmante Tante Victorinne, son Oncle Oedipe, et les cousins encore présents, avant de se retirer en le castel de Chambley, accompagné de son fidèle valet Nicolas.
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Marquise_des_anges
Même si elle n'avait pas souvent fréquenté les grandes places publiques, la cérémonie d'annoblissement et de remises des alérions l'avait interpelée. C'était pour elle l'occasion de voir le beau monde qui se pressait autour du Duc. Les noms cités ne lui disaient pas grand chose à vrai dire. Peu de personnes de St Dié ressortaient de ces séances de remerciement. Pourtant St Dié saignait, la ville et ses habitants se battaient pour remonter une pente de plus en plus abrupte. Le duché s'en souciait il ? Non, aucunement.

Peu importait les problèmes subis, les catastrophes évidentes. On fermait les yeux en haut lieu, s'attelant à faire dorer les ruelles des villes prestigieuses de Lorraine, sauf St Dié.

Après tout, cette ville était dans un creux, sans route importante, sans accès frontalier, sans grand risque pour le duché.

Regardant tous ces visages connus et inconnus, Marquise se perdait dans ses pensées les plus folles, rêvant d'un monde meilleur, d'un monde sans deux poids et deux mesures.

Elle rêvait bien d'une Lorraine où tous les lorrains pourraient voir la vie de la même manière sans être saigné à sang pour des impôts, des choix de champs, des quotas à respecter ...

Elle tapota sa robe de satin bleu comme le ciel et comme ses yeux, faisant tomber la poussière de ce long chemin jusqu'à Nancy. Le château était prestigieux, les toilettes des mondains parfaites. Il ne fallait pas faire tâche. Ouvrant son éventail pour s'aérer un peu sous la chaleur grandissante vu le monde, elle resta contre un mur à écouter les beaux discours.

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http://eveildudragon.forumsactifs.net/index.htm
--Monsieur_seguin
Quelques jours de marche pour atteindre la capital lui avaient été nécessaires.
Passer quelques nuits à dormir dans des étables sur la paille, avec sa chèvre.
Quelle tête de mule cette chèvre, elle ne savait pas passer près d'un endroit comme une fausse à purin sans en être irrémédiablement attirée.


Elle n'était pas bien grosse, mais l'idée d'aller la vendre à la foire aux bestiaux a Nancy l'avait titiller.

Sa chèvre et lui devenaient de plus en plus proche. Nul doute que l'hygiène douteuse dont le voyage était responsable et qui lui faisait sentir le bouc en était responsable.

Arrivé a Nancy, il demanda son chemin a une vieille dame qui lui indiqua que la foire aux bestiaux était a l'intérieur du château. Ils se dirigèrent allègrement vers celui ci. Arrivé à l'intérieur de la cour, Monsieur Seguin accompagnée de sa chèvre Quatrine entendirent une ambiance de fête, c'est pourquoi ils entrèrent dans la salle de cérémonie. Jamais de sa vie, Monsieur Seguin n'avait vu tant de faste. Jamais ils n'avaient vu tant de beauté. Ébahi, il contemplait les décoration et les costumes des nobliaux.


Ma foi, que de belles choses.

Il tenta une jolie révérence à une belle jeune femme qu'il croisa, mais elle l'ignora. Il aperçut un buffet avec de quoi boire, il s'y dirigea délaissant Quatrine sans le vouloir vraiment.

Occupé à se rafraichir, avec une bière, monsieur Seguin aperçut qu'il avait laissé sa chèvre seule. Attirée par toutes les odeurs rances et de renfermé,il craignait que celle ci aille dans une salle d'archive ou aux cuisines. Il partit en quête de sa Quatrine. Lorsqu'il la trouva enfin, il en rougit de honte. Quatrine s'était dirigée vers une dame vêtue d'une robe rouge et commençait a lui brouter le bas de la robe. Il se mit à crier


Ohhh Quatlllline, fais pô c'la voyons. tous mes paldons ma belle dame, je complends pô ce qu'il lui plend. elle est pô comme c'la nolmalment.

Monsieur Seguin saisit la corde qui lui servait a voyager avec sa chèvre et se dirigea vers la sortie, mais la chèvre ne voulait plus quitter la belle dame assise à la robe rouge qui possédait une crosse épiscopal. Jamais, sa chèvre n'avait eu un tel comportement. Il ne savait plus quoi faire que tirer d'avantage sur la corde pour l'obliger a avancer. La corde commençait à étrangler la bête qui luttait pour rester avec l'objet de sa convoitise.


Boudiou la delnièle fois qu'elle a été comme ça c'était face au tas de fumier de dédé
Oedipe
Les anoblissements venaient d'être terminer, Gwendarion devenait Duc de Dabo, l’hérault de Lorraine avait joué parfaitement son rôle, il n'y avait donc plus de raison pour qu'il reste sur la scène principale, l'estrade ... Tandis que le porte parole, McChippie Von Frayner remettait les Alérions Lorrains a des personnes qui étaient censés les mériter, il s'éclipsa en tentant de ne point faire remarquer sa "disparition", chose assez difficile, vu que les dizaines de personnes qui regardaient dans sa direction...

Le Baron de Vigneulles longea les murs et rejoignit sa fille, Sybille de Sevillano, qu'il n'avait pas vu depuis deux ans déjà! Elle était maintenant une jeune femme, elle avait bien changé, cette idée de l'envoyé dans un lointain couvent avait été visiblement bonne, mais bien qu'en apparence... Peut être cachait elle son jeu? Il le découvrirait très certainement, il arriverait à déceler la nouvelle Sybille. Pour l'heure, il allait lui souhaiter la bienvenue avec plusieurs heures de retard, et la ramener au castel familial, à Vigneulles. Il s'approcha d'elle, le sourire aux lèvres, oubliant toute la colère qu'il avait eut au début de la cérémonie.


Bonsoir ma fille, je vois que vous vous portez comme un charme, j'espère que votre voyage n'a pas été trop éprouvant.

Il marqua une pose, pour jauger la réaction de Sybille (il n’avait pas pu s’en empêcher), déceler le moindre petit sentiment qu'elle pouvait éprouver en lui rappelant son exil en Provence, il y a de cela plusieurs années. Il pensait y trouver de la rancœur du dégout en lui rappelant qu'il l'avait fait enfermer chez des bonnes sœurs... Hélas, elle resta impassible, ne montrant rien, sauf un petit sourire, preuve peut être qu'elle était contente de le revoir.

J'ai fait aménager pour vous, de nouveaux appartements à Vigneulles. Ils devraient vous plaire.
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Sybille_
Plongée dans l'ennui que lui procurait cette cérémonie, elle se laissa surprendre par l'arrivée de son père qui s'en venait la rejoindre. Il semblait heureux, il était tout du moins souriant. S'étant fait surprendre, elle n'avait pas eu le temps de s'imposer un visage particulier, si bien qu'elle était très impassible, si ce n'est le sourire poli qu'elle affichait depuis son entrée dans la pièce.

Elle se retint d'afficher les différentes émotions dues aux souvenirs de son "séjour" au monastère. Luttait en elle plusieurs sentiments. La colère d'avoir été enfermée dans ce lieu qu'elle haïssait. La tristesse de s'être senti trahie, abandonnée par son père. Et de l'amour pour ce père, qui lui au moins ne l'avait pas reniée, et lui gardait encore aujourd'hui de l'affection au moins en apparence, malgré tous ses caprices, alors que tous les autres se détournaient sans chercher plus loin. Ses pensées se firent de nouveau amères, après tout il s'était aussi détourné en l'envoyant en exil, le sourire n'était qu'un piège, dans lequel il ne fallait pas tomber. Il ne méritait que sa colère, et sa vengeance, même si elle n'avait pas encore clairement défini en quoi elle se vengerait.


Bonsoir père, effectivement ma santé est bonne... Vous semblez vous même d'une prestance à faire pâlir les plus jeunes et vifs gens de Lorraine. C'est pour moi un ravissement de vous revoir. Concernant mes appartements, je ne peux que vous remercier de vostre bonté... Je ferais route afin de les visiter après la cérémonie.


Elle effectua une révérence pour marquer plus encore la distance entre eux, en s'appuyant plus encore sur les règles de politesse qu'il lui voulait voir obéir dans le temps. Voilà donc sa première vengeance. Tout faire dans les extrêmes, en espérant qu'il se lasse d'avoir affaire à une inconnue, et qu'il cherche de lui même à la forcer à redevenir sa fille.
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