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[RP] Cérémonie d'allégeance Franc-Comtoise

Dwiral
Dwiral croisa Bobyzz sur le Point de partir.

Bien le Bonsoir Mon ami! je dois avouer que ta présence ici m'impressionne!
dis moi... je dois faire allégeance pour le Comte debenja mon Suzerain.
humm.. Est ce que je dois attendre d'etre appellé ou je me présente comme je le veux devant la Franc comtesse?!

dit il tout sourire a son vielle ami.
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Greenwarrior
Et c'est Green qui répondit.

Beh vu que j'attend après avoir presté allégeance et que Bobyzz déboule et fait la sienne sous mon nez sans attendre son tour... Je suppose que tu peux la faire quand tu veux égallement.

Il regarda de nouveau la grande muette... Non pas l'armée, l'autre qui promettait dans d'histoires et d'aventures en tout genre.

Bon Beh je ne vais pas attendre cent ans comme ça hein. Je vais m'approcher de la tablée et quand votre esprit voudra bien revenir dans votre corps, vous n'aurez qu'à me faire signe.

Puis il se rendit au buffet, n'ossant plus discuter avec la servante, de peur de l'indisposer.
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Loicisdumb
un courrier:

Citation:
Moi, Loïc le viking, dit Loïcisdumb, Comte de Sochaux, Baron de Mouthe, renouvelle mon allégeance, à la Franche-Comté, à son peuple et son Parlement.
Je leur jure fidélité, aide, service armée et conseil, sur ma vie, ma foi et sur tout le tralala.

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Hortense
Debout… silencieuse…Hortense se tenait là… à regarder les gens autour d’elle. Outre Green qui tournait en rond tel un lion en cage…. personne ne bougeait… personne interagissait. En était-elle étonnée? Non… cela était ainsi déjà à la dernière cérémonie. Sauf qu’à la dernière cérémonie… elle se souvenait très bien… tous disaient que c’était de la faute de l’incompétent Franc comte. Là…. La belle blonde fit une pause dans sa réflexion… car … et oui… celle-là même qui siégeait n’était pas mieux! Voilà… elle l’avait pensé haut et fort – si une pensée peut être pensé haut et fort…. agréable réflexion que celle là… mais bon… ceci est un autre sujet… revenons à nos moutons…. Puisque tout le monde dort- ainsi donc… la Franc comtesse n’était pas mieux. Sûrement que cette dernière rêvait à la Franche comté et aux travaux à Dole. Mais l’ancien Franc comte tenait lui aussi le même discours. À croire qu’il était plus facile de dénigrer... que de faire mieux.

Hortense posa son regard sur son ami Derdekan… et puis sur la Franc comtesse… pour revenir vers Derdekan pour finalement sourire. Une page se tournait… pouvait-il en être autrement? Non… ainsi était la vie… aucun regret… jamais… La jeune femme prit une profonde inspiration… ferma les yeux…. Et se retint de crier à tous que malgré tout… ça manquait de bières… d’ivresse…. ou encore de Riddermark! Un petit sourire ironique se dessina sur son visage. Et oui…. On pouvait dire ce que l’on voulait…. Ça animait une cérémonie d’allégeance qu’une cours de Margny!

Elle quitta des yeux l’ennuyante Franc comtesse et revint à son homme qui discutaillait avec une domestique. Une bouffée de fierté l’envahit. Comment ne pas aimer un homme si bon... si généreux... et si humble. Se sentir égal aux autres… qu’ils soient instruits ou incultes… riches ou pauvres... gueux ou nobles. Green avait réussi à lui faire comprendre qu’elle n’était pas hors du chemin de ne pas vouloir être comme sa famille soit une noble imbue d’elle-même. Hortense n’était qu’une tavernière… une noble tavernière… mais une tavernière tout de même…

Elle s’avança vers la table des victuailles et inclina la tête vers le vassal de son frère aîné en signe de salutation. Elle ne l’avait qu’entrevue… un jour… dans sa taverne à Vesoul… il accompagnait sa grande amie Hanadora. Elle n’avait pas eu la chance de réellement fraterniser avec lui… donc ne le connaissait que trop peu. La jeune femme prit une pomme et croqua à belle dent dedans… et la mâchouilla quelques temps… avant de se pencher vers les hommes et de leur murmurer…

Croyez vous que si je crie l’allégeance de mon frère… cela réveillerait son illustre franc comtesse des bois dormants? Quoi que si tu n’as pas réussi à la réveiller... mon tendre aimé… qui y réussira? D’ailleurs messire Dwiral… si vous me le permettez… les femmes d’abord.

Elle fit un petit clin d’œil moqueur au seigneur de Chenevrey et s’approcha de son homme… pour le prendre par la chemise et l’embrasser tendrement.

Elle lissa les plis de sa jupe de soie au couleur de la Baronnie d’Hérimoncourt et s’avança vers le trône… elle pencha la tête sur le coté pour regarder derrière la femme assise et ainsi faire un sourire à Derdekan.. Ensuite… elle se tint bien droite… pour incliner la tête dans une grande révérence telle qu’elle les avait apprise avec Delvine d’Apperault... la fiancée de son grand oncle le Prince de Condé. D’une voix suave… douce... mais tout de même de bon ton… la jeune femme prononça ce que depuis quelques temps… était devenue routine.

Moi… Hortense von Riddermark… Dame de Blamont… Fiancée de Greenwarrior de Mélicour… Sœur cadette de Debenja von Riddermark… vassale et jumelle d’Estelbad von Riddermark… baron d’Hérimoncourt… vient ici aujourd’hui porter allégeance au nom de ce dernier devant la Franche comté… patrie si cher à notre cœur… ainsi qu’à son peuple…. peuple qui a vu plus d’une fois les hommes qui me sont chers les défendre corps et âmes. Sachez que nous porterons conseil… aide et service armé à ses représentants élus.

La jeune femme releva la tête… sourit... satisfaite d’avoir effectuer la tâche qui lui incombait en tant que vassal de son frère… et revint rejoindre son homme. Elle s’approcha de lui et lui murmura à l’oreille.

Maintenant que c’est fait… tu veux une chope de bière?
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Occorax
Il était bien en retard mais il devait à tout prix prêter allégeance au nom de sa suzeraine avant qu’il ne soit trop tard , ces temps si il avais oublié cette requête plus occupé a des festivités sans raison , mais il arriva enfin a la cérémonie ou une ambiance morose régnait dans la salle, il y avait la fameuse Franc comtesse Macricri assis sur son fauteuil accompagné du Héraut qui apparemment s’occupait de tout, la Comtesse n’était pas vraiment la , mais plutôt perdu dans des pensées quelconque , heureusement qu’il n’avait qu’un bout de parchemin , écrit et scellé par sa suzeraine qu’il devait remettre au Héraut.

Il remit la lettre au Héraut.


Citation:
Par la présente,

Moi, Elfriede de Sparte, Vicomtesse de Valentigney, renouvelle mon allégeance, à la Franche-Comté, à son peuple et son Parlement.
Je leur jure fidélité, aide, service armée et conseil, sur ma vie et ma foi.



- Ma suzeraine étant dans l’impossibilité de se déplacer je vous remets cette lettre écrit et scellé par elle.

Il se leva, après avoir fait son devoir, il salua de la tête quelque connaissance puis partie.
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Dwiral
les allégeances continuaient. Pourtant, Dwiral etait la bien avant.

Fichtre, si j'attends pour rien, autant que je m'avance pour me présenter.
se dit alors le Seigneur de Chenevrey en vidant sa fiole de Binouse.

Il epousta sa cape et s'approcha de l'heraut.


Bien le bonjour,
petite question, je suis le représentant du tres Saint Debenja de Riddermark Comte de Villers Buzon et Vicomte de Margnay. Sa graisse... Heu pardonnez moi, Sa grace m'a autorisé a le représenter pour son allégeance envers la Franc comtesse. Dois je me plier aussi au Baisé Vassalique?!
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--Belette
Assise sur le trône comtal, la Belette s’amusait comme une folle à regarder le parterre de nobles devant elle, enfin regarder c’était vite dit, il s’agissait surtout d’entrouvrir un oeil. La tête légèrement penchée vers le bas, les cheveux de part et d’autres de son visage dissimulant ses traits, on aurait pu croire qu’elle somnolait. Il en était rien bien sur, elle n’allait pas raté un seul instant de cette cérémonie, elle qui se trouvait à la place oh si combien convoitée du Franc comte.
Elle chantonnait mentalement un refrain en boucle, celui entendu un jour dans une taverne aux allégeances du Franc Comte du moment, Leconquerant, ce soir-là, son Pépin avait gagné ses paris.



Précieux dont je ne peux me séparer,
vint là que je te bichonne, mon adoré
Je t'astique, je te chérie, mon aimé
Oh mon mignon tout coloré,
Soit le plus beau, le plus convoité,
Toi mon blason si désiré


Elle les regardait donc, attendant que la Comtesse ne revienne. Une sacrée celle-là, comme sa maîtresse, à avoir des idées farfelues, c’est à ce demander où elles les trouvaient, Enfin là, même sa maîtresse n’était pas au courant, elle avait juste accepté de se passer de ses services une semaine, Et quelle semaine... à jeûner à faire la dame…

T’inquiète pas Belette, on fait tout ça pour rien peut être, on verra comment ça va se passer. Mais sinon, tout le monde n’y verra que du feu, parce que simplement, ils ne me regarderont pas, pas vraiment puis il n’y aura pas beaucoup de monde.

Et ne voilà-t-il pas qu’elle se retrouva au fond de la pièce, cachée près trône comtal à attendre que la Comtesse jugea l’occasion bonne, elle ne prenne sa place, enlevant rapidement tablier et cape et ne s’assoit, figée, droite, regardant en face, partout mais jamais les gens.

Une cruche, prendre l’air d’une cruche comme la Daresha ça ira. Lui avait-elle dit.

Bon diou, c’est qu’elle avait raison.

M’fin là, ça faisant long, avoir le buffet au loin sous les yeux creusait l’appétit, puis ce corset qui la comprimait lui coupait la respiration, Pourvue qu’elle ne tarde pas pensa la Belette,

Dois je me plier aussi au Baisé Vassalique?!

La servante retint un sursaut en percevant la fin de l’échange du Seigneur-qui-sentait-pas-bon.
La peur monta en elle, que la comtesse revienne vite. Elle se concentra sur la chanson pour ne pas prendre ses chausses à son cou et s’enfuir. Un baiser du Dwiral, personne n’y survivrait.



Aux allégeances, à propos du nouveau Franc comte
Quelques douzaines de nobliaux agitaient leur truffion doré
A pied, à cheval, en carrosse, les nobles, mal inspirés,
Vinrent tenter l'aventure de compromettre le comte.

Ne voilà t-il pas de biens grands égos
pour ces personnes, petits nobliaux
Le verbe est haut, les envolées magnifiques,
la face écarlate, la colère véridique.

Insultes, colifichets se le disputent
aux serments farfelus présentés
Qui parmi ces seigneurs, barons ou comtes
Seront le mieux le faire vaciller

Ennemis hier, amis aujourd'hui,
Oubliant leurs propres défaillances,
Ils se drapent dans leur bon droit bien établi
Et l'apostrophent avec véhémence.

Mais à la date limite.
Soudain calmés, le genou plié
Ces furies, bon gré mal gré
Font leur serment hypocrite

Précieux dont je ne peux me séparer,
vint là que je te bichonne, mon adoré
Je t'astique, je te chérie, mon aimé
Oh mon mignon tout coloré,
Soit le plus beau, le plus convoité,
Toi mon blason si désiré


Alors là, Dwiral, même pas en rêve, ou en cauchemar, c’est selon.

Ouf, la Franc Comtesse était revenue.
Macricri
Macricri entra dans la grande salle dédiée aux allégeances. Il y avait peu de monde, cela la fit sourire, beaucoup était rassemblé près du buffet, à croire qu’ils ne venaient que pour cela.
A priori, personne n’avait rien vue, Merci Green, son arrivé bruyante avait au moins eu l’avantage de lui offrir la diversion espérée pour le subterfuge. Ni vue, ni connue, elle était sortie tranquillement. Dehors, libre, elle s’était promenée dans la ville, cape et capuche sur la tête, personne ne l’avait reconnue. Les heures étaient passées, il lui avait bien fallu revenir.
C’est ainsi qu’arrivant en haut de la salle, elle avait perçu les paroles de Dwiral.


Alors là, Dwiral, même pas en rêve, ou en cauchemar, c’est selon.

La Franc Comtesse s’approcha du fauteuil, retira sa cape et la tendit à l’autre Macricri assise sur le fauteuil.
La femme se leva d’un bond, apparemment soulagée de quitter l’inconfortable fauteuil.


Ah enfin Comtesse, z’avais peur que l’autre là ne me fasse ce baiser vassalique qu’il dit.

Si elle avait la même tenue, l’une était plus petite et ronde que l’autre, les cheveux furent retiré, dévoilant un visage rond à la chevelure noire. Macricri éclata de rire.

Allez Belette, va profiter du buffet, tu l’as bien mérité.

La servante ne se le fit pas dire 2 fois, attrapant ses jupes de façon bien peu conventionnelle, elle fonça vers ledit buffet.

Macricri regarda l’assistance ahurie que la surprise clouait sur place et rendait muette. Un silence oh combien provisoire, elle n’en doutait pas.

La Comtesse ne se démonta pas, s’approcha du Poursuivant.


Alors, ils ont tous fait leur petit courrier d’allégeance ? Le vol de pigeons n’a pas provoqué d’incident ? Une fiente est si vite tombée... Et à qui dois-je répondre et donner des branches ?

Macricri regarda la liste du Poursuivant et grimaça.

Et ben, ça ne se bouscule pas au portillon, Il reste combien de temps avant la fin ?

Le Poursuivant lui répondit, la voix à peine perceptible, trop occupé à se demander comment expliquer la situation à la Maréchal d'armes Impérial.

Une heure ? 60 minutes qui vont me paraître bien longues,,, autant que 6 jours.
Merci Poursuivant.


Macricri se tourna vers Vala, lui fit un grand sourire : Je te ferai un petit courrier ainsi qu’à la Maréchal d’Armes, dès que tout ça sera terminé.
Elle regagna le fauteuil, un autre sourire à Derdekan, qu’il lui avait fallu du temps pour le convaincre dans le coche qui les amenait.


A ceux qui se sont présentés,

J‘accorde à chacun pour les deux mois à venir, protection, justice et subsistance. Que prospère vos terres et famille respective.

Pour la branche, vue que c’est symbolique, c’est à votre libre choix. Et pour ce qui concerne le baiser vassalique, comme c’est selon la volonté du noble, et bien je m’en passerai.

Alors, à qui le tour ? Dwiral ?

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Macricri Adams de Mélincour - Comtesse de Nozeroy Franc Comtesse
Lothilde
Correctement vêtue, épée à la ceinture et bottes tellement lustrées qu'on y voyait le reflet des cabochons du dallage de la salle des allégeances, Lothilde venait de remonter la grande nef dans un cliquetis de ferrailles et insensible aux habituels murmures et sarcasmes qui accompagnaient cette cérémonie, allait se présenter devant la franc-comtesse quand soudain son regard fut attiré par une silhouette à la démarche qui...qui...BELETTE !!!

Virant sec en larguant l'écoute au vent , la vicomtesse prit de la vitesse pour fondre toutes voiles dehors sur celle qui dodelinait du chef en tordant le croupion devant la longue table garnie de toutes les richesses offertes généreusement par le pauvre peuple pour célébrer un nouveau cycle de tortures...

Approchant au plus près pour accoster la servante qui était la sienne depuis fort longtemps, Lothilde avança la main rapidement et lui pinça violemment le gras de la fesse, là où ça fait vraiment mal, au point que la brave Belette en lâcha sa rondelle de saucisse de Morteau en gloussant de douleur, et aussitôt, essuyant la moustache d'écume blanche trahissant son penchant naturel pour la bière, bafouilla quelques excuses..."que c'était la franc-comtesse qui lui avait prêté sa cape mauve, que même elle avait presque rien bu et rien mangé pendant 15 jours parce qu'elle était trop grasse et qu'elle entrait pas dans la robe que la comtesse y'avait prêtée, que son Pepin y'avait fait une scène qu'il l'aimait pas quand on lui sentait que les os, et tout et tout..."

Haussant très très haut les sourcils en remarquant que la Belette avait de beaux restes à offrir à son Pépin, Lothilde comprit soudain...Alors les nobles...avaient fait serment d'allégeance....à sa propre servante ! Ils avaient...embrassé la Belette !!

Se retenant de pousser un hurlement de joie, elle mit une tape familière au bras de la Belette en l'encourageant du regard à reprendre vite des forces, et remontant l'allée jusqu'au trône, un sourire épanoui sur les lèvres, reprenant sa dignité, vint s'agenouiller devant la comtesse, tête baissée, pour prononcer son serment d'une voix où grelotait une envie de rire


Sur mon honneur, sur ma foi en Aristote, sur le sol comtois,
Je renouvelle mon serment d'allégeance devant vous, Franc-comtesse Macricri et je jure fidélité, aide, service armée et conseil

et rajoutant très très bas, en évitant de relever la tête


et dès que tu n'auras plus besoin de ma servante, dis lui de revenir, c'est la pagaille sous ma tente...


Se relevant en souriant en coin, Lothilde se percha sur la pointe des pieds pour poser ses lèvres sur celles de la franc-comtesse et sceller son serment..
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Greenwarrior
Citation:
J‘accorde à chacun pour les deux mois à venir, protection, justice et subsistance


AHHHHH Quand même!!!

Bon alors...


Bouscule tout le monde et tend un parchemin, un sourire hargneux sur le visage.

61 miches de pain, sur un mandat que l'on déposera chez moi. Ca veut faire la maligne, l'idée aurait pû être drôle mais elle ne le fut pas. Et ensuite? Vous allez encore disparaitre? Si c'est le cas, j'aimerai assez qu'on me donne ma subsistance des deux mois tout de suite, que je n'ai pas à réclamer auprès de la prévôté à l'issue des deux mois.

De même...

Il réfléchit un instant.

Quelle valeur a une allégeance portée à une servante? Mais!!! Je suis bien plus heureux ainsi. Avoir prester allégeance à quelqu'un du bas, qui en bave tous les jours pour payer impôts, taxes et servitudes pour les ballades de certains. Donc,

Se tourne vers la Belette.

Merci, c'est bien la première fois que je suis fier d'avoir presté allégeance à quelqu'un qui mérite d'être défendue puisque vous trimez bien plus que les promeneuses.
Vous auriez au moins pû parler, cela aurait changé des habitudes de la haute sphère mais bon, surement aviez-vous ordre de faire comme les autres. Fort dommage.

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Gundard
Salut Comtesse

Moi Gundard , Baron de Vernier Fontaine, renouvelle mon allégeance, à la Franche-Comté, à son peuple et son Parlement et bien sur à vous.
Je leur jure fidélité, aide, service armée et conseil, sur ma vie, ma foi.

Par contre moi je veux un baiser sur la bouche, ca nous rappellera de bons et agréables souvenirs et on joindra l'utile à l'agréable.
Dwiral
la comtesse etait revenu... Un mouvement de foule s'en suivit. Pourtant.. Elle n'etait pas Pitt... Oyable... ni Jolie... ( ).
A son tour Dwiral s'approcha de la Comtesse. il tenait a lui répondre.


Ma chere Comtesse, heu... Mon tres cher Suzerain le grand Honorable Debenja de Riddermark, Alcoolique parmis les alcoolique, gras parmis les gras, m'a fait promettre de vous transmettre son baiser vassalique ainsi que son serment d'allegeance. En tant que fidele vassal que je suis, il est de mon devoir de servir au mieux les demandes de Mon suzerain.....
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Greenwarrior
"La chausette? Ohhh que se serait merveilleux si il utilisait cette technique de putréfaction massive" . Green, amusé, pensait tout bas. réclamerait-il la subsistance lui aussi? D'autant plus qu'elle avait de nouveau disparue.
Voilà, enfermée dans un bureau et zouhhhh adieu les promesses de vie et d'allégresse. Rien, des parchemins, des parchemins et des parchemins. pour le reste c'est la faute des autres, évidement.

Soudain, Calvaito Felino pointa le bout de sa truffe et vint se frotter contre le Baron Rouge.

Ce dernier baissa les yeux et sourit.


Ohhh Chaminou minou, ça va ma crevette?

Le félin noir et blanc ronronnait de plus belle. C'est alors qu'une pensée traversa son esprit au moment où il s'agenouilla pour caresser l'animal. L'Homme était-il plus bestial que l'animal? Il observa, réfléchit et releva la tête en direction d'Hortense.

Tu sais quoi? Plus je connais les Hommes et plus j'aime mon chat. Manger, boire, dormir, jouer et aller chasser, rien de plus. Un animal ça ne dupe pas. C'est vrai.

Puis il prit la beste dans ses bras. Calvaito lui lecha les cheveux.
Il se releva et s'approcha de la soubrette.


Puis-je vous embêter en vous demandant une petite tasse de lait diluée dans de l'eau pour cet adorable comtois trouvé en Bourgogne?

Et Lothilde la grande qui avait participé à la supercherie était devenue muette comme son armée. hevreux de même. Etrange, avaient-ils tous eu la langue coupée enfermés dans le grand manoir faussement familial? Combien de repas? Aucun. Combien de véritables réunions de familles? Aucune. Et on appellait ça une famille?

Il regarda sa tendre soeur, fatiguée, épuisée par les derniers évènements secrets dont la secrétude du silence faisait qu'il savait sans que personne ne sache et que c'était mieux ainsi car une fenêtre, c'est comme la bouche. C'est bien beau de l'ouvrir quand on a chaud mais faut aussi savoir la fermer. Encore une pensée que seule sa soeur pourra comprendre.
Bref, Lluna, la soeurette merveilleuse, issue de la branche maudite de la famille connaissait la volonté de son frère et c'est de celà qu'à trois cousins et trois cousines, la décision sera prise ou non. Belle avancée n'est-ce pas?

Le chat eu donc son lait, miaulant comme un félin qui n'avait pas mué.


Ah bah voilà au moins un Cat euh Chat qui s'exprime. Ca change.

Entre les bureaux et les préparations secrètes pour l'expansion d'on ne sait quels ordres sur tous les royaumes... Encore une fois et pendant ces deux mois, que feraient-ils pour les autres? Voilà une bonne question.
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Lothilde
Pivotant en souriant en coin au double de sa brave servante avec le sentiment du devoir accompli, Lothilde hésita un instant entre s'empiffrer de saucisses de morteau et supporter les ratiocinations et les mauvaises odeurs de la foule agglutinée le long de la grande table appuyée au mur du fond de la salle des allégeances...ou se tailler en extirpant cette pauvre Belette des griffes d'un matou arrivé par erreur.. Manquait plus que le moineau-artilleur, les pigeons porteurs d'allégeances, l'âne du meunier,, la chèvre de monsieur seguin, le coq au vin et les bêtises de Cambrai...

Tapotant sur l'épaule de Green au passage, elle sourit à pleines dents à sa remarque dans laquelle, non, non, non, pour rien au monde elle n'aurait soupçonné la moindre allusion...et lui chuchota


Enlève l'étoupe que tu as dans les oreilles...Tu entendras mieux !

Une petite pichenette sur le museau du chat, et elle fit demi-tour, direction la sortie...Juste le temps de préparer son baluchon pour aller tenter d'écraser une queue de lion qui traverserait malencontreusement le chemin de la mine d'or..tiens, en voilà une bonne occasion de se faire du méchant...marrant qu'il n'ait pas sauté dessus...elle lui rapporterait une oreille, comme fétiche...l'oreille de Sanctus, tiens ! ...
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Cartil
Cela faisait bien longtemps que le Comte n'avait pas ete vu en public, mais malgre cela, le temps n'etait pas encore au retour... Il tint cependant a renouveler son allegeance a temps, toujours fidele au Parlement et a son peuple :

Citation:
Moi, Cartil de Margny-Riddermark, Comte de Champagnole et Baron d'Arbois renouvelle mon allégeance, à la Franche-Comté, à son peuple et son Parlement.
Je leur jure fidélité, aide, service armée et conseil, sur ma vie, ma foi et mon honneur.

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