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[RP] Cérémonie de l'Ordre du Porc-Epic

Valeria053


val arriva une fois de plus en retard, une petite glissade dans les couloirs du château et la voilà devant la porte, de la salle du trône.
Elle entre, mais est intrigué par un homme encapuchonné, elle le surveillerai de loin, on ne sait jamais.


Votre grasce bonjour, pardonnez mon retard

et val file sassoire tout en surveillant la capuche

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Joshin


Peu à peu, la salle se remplissait. Des personnes connues, qu'elle revoyait avec plaisir, d'autres qu'elle ne connaissait que de vue, comme la belle épouse de sa Grâce le Duc, un personnage qui semblait se cacher dans un grand manteau...
Elle regardait tout, en essayant de ne pas montrer son intérêt et sa curiosité. Bien sûr, elle avait entendu parler de cet Ordre du Porc-Epic, elle avait parfois eu quelques échos des cérémonies qui accompagnaient les remises de décorations, mais jamais, au grand jamais, elle n'aurait imaginé être là en personne.
Elle se demandait vaguement ce qui lui valait cet honneur. Elle n'était pas très méritante, elle le savait. Elle pensait souvent qu'elle devrait faire plus et mieux pour son Duché, mais elle manquait de courage. A dire vrai, ses efforts se concentraient sur l'Ost. Au point qu'une personne qu'elle considérait jusque là comme sa meilleure amie lui avait un jour reproché assez vivement:

- Ma parole, tu ne parles que de l'Ost!
Comment aurait-il pu en être autrement? Elle y avait trouvé, dans des moments de grande affliction et chagrin, une amitié et un réconfort que personne d'autre ne lui avait prodigués. Rien que pour celà, elle se sentait liée à toutes ces femmes et ces hommes qui étaient comme des soeurs et des frères, dans son coeur.
Elle soupira, se redressa légèrement et attendit.

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Belgarion.


Je sentais des regards sur ma personne .J'aurais moi même été soupçonneux au temps ou ma fonction était de protéger les intérêts orleanais, de voir un individu cacher sa face au regard des autres dans la salle du trône ou tout autre endroit du château.

Enfin j’étais plus ou moins à l’écart et l'attention serait plutôt rivée sur les récipiendaires et le duc .
Que de changement dans le duché depuis mon absence 2 mois seulement et tant d'amis disparut ,un nouveau Duc ,je ne pouvais m’empêcher de sourire intérieurement me souvenant avoir formé kéridil à son premier poste de sergent de la prévôté il avait fait du chemin ....

Une nouvelle voix se fit entendre ,je n’étais pas au bout de mes émotions voila que ma suzeraine faisait son apparition,j'allais aussi avoir surement des explications à lui donner ,elle aussi a du beaucoup s’inquiéter ....
Pourvu qu'elle ne se dirige pas vers moi ,la connaissant ....elle avait l’œil


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Yondolar


Yondolar avait reçu un pigeon.
Un certain Cevanne lui avait envoyé une missive concernant une remise de collier d'un certain ordre: l'Ordre du Porc Epic.
Ne sachant pas vraiment de quoi il s'agissait, n'ayant pas plus de précisions sur la chose et ne connaissant aucunement cette personne, le seul nom qui l'avait interpellé était celui du Duc. Pensant à une erreur de destinataire, le jeune homme avait bien faillit jeter la missive à la cheminée, mais se ravisa et se hâta pour aller à cette fameuse salle du trône.

Le soldat était un peu distrait ces temps-ci, l'OST lui prenait beaucoup d'énergie et il tachait au mieux de gérer les petites affaires de la caserne, d'écrire un ouvrage sur les armes et les techniques d'assauts, préparer la campagne de recrutement, qui n'avait, à son grand désarrois, pas fait grand bruit...Le jeune homme s'était donné tant de mal pour monter cette campagne...

Le temps de la traversée du couloir pour accéder à la salle, le soldat réfléchissait. En fait il était perdu. Il ne connaissait pas le lieu, n'y avait jamais mis les pieds et les murs étaient si chargés en tentures que l'homme ne savait ou accrocher son regard...C'était décidément pas son monde, les grands châteaux emplis d'or et de richesses...

Il croisa un valet qui lui indiqua le chemin à prendre pour accéder à la salle du trône. Il prit la dite direction. Arrivé devant la porte, il ajusta le linceul noir qu'il avait noué autour de sa taille en guise de ceinture, vérifia que ses bottes soient d'une propreté irréprochable, défroissa un peu sa chemise puis, prit une grande inspiration et entra.

Il aperçut plusieurs personnes qui patientaient, dont le Duc, assis sur son trône.

Yondolar balaya du regard la grande salle sombre et moche, pour voir si par tout hasard il ne rencontrerait pas un visage familier.

Il aperçut avec surprise Joshin et Kalimalice. Il sourit à l'idée de savoir qu'il ne serait pas seul dans cet endroit inconnu, avec d'autres gens inconnus, pour une cérémonie dont il ne connaissait pas non plus le but et l'objet...

Il s'approcha de Joshin et la salua.
Leanore


L’ordre du Porc Epic elle en avait entendu parler mais ne savait pas trop à quoi cela correspondait. Le duc lui avait expliqué que c’était une distinction que l’on remettait aux personnes méritantes.

Elle voulait donc voir de près à quoi ressemblait la cérémonie de la remise du fameux collier.

Se voulant discrète, elle préféra assister un peu en retrait derrière une des tentures noires qui meublait la pièce. On était encore en deuil royal et les cérémonies se devaient être sobres.

Visiblement, au vu des personnes présentes, ce serait pour la plupart des soldats qui seraient honorés.

L’ost ! Elle respectait les soldats et leur courage mais il fallait l’avouer, elle ne comprenait pas toujours leur choix de vie.
Bien sûr le duché, le royaume devait être protégé. Elle le comprenait fort bien et elle était la première à prendre les armes pour défendre occasionnellement les armes lorsqu'une menace faisait trembler le duché. Mais Léanore pensait souvent, que le jour où il n’y aurait plus de soldats, il n’y aurait plus de guerre faute de combattants bien sûr. Utopie ! Naîveté !

Elle se souvenait encore de ces longues campagnes qui avaient emmené ses amis loin de leur maison, de leur foyer. Comme elle avait prié Aristote pour qu’il veille sur eux, comme elle se languissait de ne plus les voir.
La trève était précaire, la dernière campagne encore présente aux esprits. Mais Léanore avait vécu assez longtemps pour se souvenir des autres, des plus anciennes.

Elle se souvenait avoir organisé une grande fête dans la ville de Patay pour le retour de leurs soldats. Aucun n’était mort, certains étaient blessés mais ils étaient tous revenus. Ils n’avaient même plus la force de faire la fête, et dans les yeux de certains on pouvait lire la lassitude, la tristesse.

Elle jeta un regard circulaire espérant qu’on ne la vit pas trop. Le duc était prêt à les honorer secondé par Ninouchka toujours très élégante même dans son deuil récent.

Elle connaissait quelques personnes mais n’osa pas aller les saluer. Toutes avaient bien mérité cette récompense, ils étaient tous méritants que ce soit dans l’armée, dans des fonctions diplomatiques, économiques ou autre avec des décisions à prendre et des taches difficiles à effectuer où bien souvent on pouvait vite se retrouver seul.
Là encore ses souvenirs ressurgirent pour lui jeter à la tête le visage de cet individu peu scrupuleux qui lui avait donné bien du fil à retordre lors de son premier mandat de maire.
Elle venait juste d’être élue et ce malotru avait trouvé le moyen de perturber la vie paisible de son village en achetant en masse tout ce qu’il trouvait sur le marché, le déstabilisant bien sûr pour ensuite revendre à profit. Elle avait du prendre la dure décision de le faire poursuivre par les tribunaux se faisant quelques ennemis. Il avait finalement quitté la ville sans tambour ni trompette, lui laissant une terrible et profonde blessure qui faisait aussi mal sûrement qu’un coup de sabre.
Elle n’avait pas trouvé l’écoute ni le réconfort auprès d’une personne chère à son cœur et importante dans sa vie. Dans cette période difficile, elle ne s’était ni sentie épaulée, ni conseillée, ni comprise dans ses hésitations, ses scrupules, sa peine, son erreur aussi certainement et elle avait compris qu’il ne fallait donner sa confiance qu’avec prudence et malheureusement bien souvent ne compter que sur soi-même.
Heureusement depuis elle avait rencontré des gens formidables qui se donnaient sans compter et sans rien attendre en retour. Certainement que beaucoup des récipiendaires présents ce soir là étaient fort étonnés de se retrouver en ces lieux.

Les personnes continuaient à arriver et elle commençait à espérer le début de la cérémonie toujours se cachant des regards derrière les tentures.

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Valeria053


val ne quittait pas des yeux l'homme encapuchonné, elle n'aimait pas çà du tout.
soit un mauvais coup se préparait, soit il espionnait, mais quelquechose la turlupinaitet elle devait en avoir le coeur net.

Discrètement, elle se rapprocha de l'homme, passa près de lui en l'ignorant et se plaça derrière, elle aurai ainsi une meilleur visibilité de la salle.

Mais cette stature lui parlait, elle ne pouvait s'empêcher de penser, elle chassa d'un coup de tête cette idée, mais ne quitta pas pour autant sa surveillance.

Elle découvrirai bien ce que cet homme tramait.

Elle attendit donc la suite de la cérémonie, mais toujours prête à agir si il le fallait

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Keridil
Père...

Il aurait été difficile, presque décalé, de traiter Lexhor, le modèle du Duc d'Orléans, comme un sujet, un vassal, une personne hiérarchiquement inférieure. Heureusement, sa position de Pair de France compensait un peu le malaise, et si trôner quand le Duc d'Alluyes restait debout tenait encore de la bizarrerie, la fierté était grande.
A la Baronne de Brou, l'Amahir fit savoir qu'elle n'était pas si tant retardataire que cela.
Aux autres arrivants, il fit un signe du chef.
A celui qui était sous une capuche, il lança un regard suspicieux.

Enfin, il se pencha vers la Dame de Talcy.


Madame, tout le monde n'est pas présent, mais allez pouvoir inviter les présents à approcher.
Les retardataires passeront en dernier.
Les absents devront se justifier auprès de nous ultérieurement.


Il indiqua du doigt une tablette, sur laquelle étaient déposés des coussins pourpres, sur lesquels reposaient les colliers.
Toutefois, avant que la Rosière avec un "s" (celle avec un "z", c'est Liloute) ne commence son travail, le Duc d'Orléans ouvrit la Cérémonies.


Très Chers sujets, nobles, soldats, serfs, citadins, bienvenue à tous en ces lieux chargés de l'Histoire de notre Duché. Aujourd'hui, certains d'entre vous vont être récompensés de leur investissement, de leur travail, de leur dévouement, et ainsi, ils seront de ceux que l'Histoire de l'Orléanais aura la finesse de retenir.
Nous tenons à féliciter chacun de vous, qui donnez temps, énergie, parfois argent, pour le bien de tous et chacun.

Maintenant, je laisse à la Dame de Talcy, Rosière de cette année, l'honneur d'appeler les récipiendaires, qui approcheront et nous ferons serment de fidélité avant de se voir remettre leur collier de l'Ordre du Porc-Epic des mains de notre chère Commissaire aux Mines.

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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.
Atolchamb


pour ne pas changer ses bonnes habitudes,atolchamb entra dans le lieu ...encore en retard.
bien entendu les tapis etait toujours monnaie courante mais le jour viendrai ou le jeune seigneur arrivera a pretendre participer a une ceremonie officiel sans avoir besoin de se faire remarquer.
il salua discretement les nobles et gens connue et alla se placer tout aussi discretement dans le coin des promus.
Ninouchka
Citation:
Madame, tout le monde n'est pas présent, mais allez pouvoir inviter les présents à approcher


Et voilà, c'était parti ! Autant elle pouvait se décomposer à l'idée de parler en public ou de se mettre en évidence, autant une fois qu'elle était au pied du mur, elle était capable d'assumer.

Donc, maintenant que les "hostilités" étaient ouvertes, y avait plus à tergiverser, fallait foncer.

Elle se leva, se plaça à la droite de Sa Grâce Keridil d'Amahir, duc d'Orléans, jeta un coup d'oeil sur les colliers qui n'attendaient que d'être portés avec fierté.
Elle parcourut du regard le petit parchemin qu'elle avait entre les mains et elle dut se contrôler pour ne pas rougir de honte. Le voir lui rappelait que la veille, elle avait été jusqu'à déranger les services du Duc afin de savoir dans quel ordre appeler les récipiendaires, alors même que, quelques jours avant, elle avait reçu toutes les instructions nécessaires ... panique quand tu nous tiens !

Elle releva la tête et appela le premier qui était sur la liste. Atol ... un Blésois, devenu Capitaine Royal. Ils se connaissaient bien. Comme elle, il était vassal du duc de Beaugency.


J'appelle à se présenter devant notre Duc, Atolchamb de Riveroy, seigneur de Monçay
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Dame de Talcy
Atolchamb


atol s'avanca devant le duc d'orleans et posa un genou a terre en signe de servitude.
il attendit les premiers mots avant d'entamer le dialogue comme le protocole l'exigeait.
Pour une fois,il n'etait pas dans l'intention d faire quelques pitrerie comme a son habitude bien que la tentation fut grande.

il se posait une seule question:comment l'amahir allait il le manger?
et pas question de poser la moindre interrogation par peur de se faire lincher en public.

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seigneur de monçay
Belgarion.


Le Duc s'était enfin exprimé ,je ne sais pourquoi mais mes mains étaient moites ,de la sueur coulait dans mon dos ,il fallait vraiment le vouloir pour supporter cet épais manteau dans cette salle du trône dans laquelle les cheminées produisaient une chaleur agréable pour la saison .

Je ne savais pas à quoi Valéria jouait ,mais elle était maintenant derrière moi et cela ne me plaisait guère . on dira ensuite que les femmes ne sont pas curieuse....

La mienne était à deux pas écoutait le Duc ,une main sur l'épaule de son fils adoptif et ne se doutait de rien pour le moment ,c'est surtout cela qui m'importait .

Il fallait que je me détende ,le plus difficile restait à accomplir.....

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Keridil
On the road again ! Keri-le-discoureur est dans la place. Les mini panégyriques, ça le connait, ou l'art de meubler, ça dépend. Il fallait admettre que certains honorés du jour étant, pour le Duc, de parfaits inconnus, il faudrait savoir la jouer fine pour n'en rien laisser paraître.
Pour le coup, les choses commençaient plutôt bien, puisque Totol et Keri Keri, ce fut un rendez-vous manqué, une histoire d'amour capotée, et tout ça mes bons amis, la faute aux femmes !

Monsieur de Monçay, relevez-vous.
Atolchamb de Riveroy, ce jour, nous sommes heureux de vous voir appelé à entrer dans le prestigieux ordre du Porc-Epic. Votre parcours en Orléanais est enviable, votre dévouement est indéniable. Nous nous sommes connus simples Ambassadeurs, puis vous fûtes Délégué Territorial. En parallèle, vous avez su mener une carrière militaire, oeuvrer de concert avec les élus, faisant parfois même partie de la CDE. Aujourd'hui encore, vous êtes Capitaine Royal, charge ô combien honorifique.
Ami, nous souhaitons ardemment entendre votre serment, afin que vous soit remis, enfin, ce collier du Pique.


Un oeil vers le blondinet, un oeil vers Ninou-Ninou : à eux de jouer !
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Et si tu veux la liberté, l'égalité et la fraternité, va jouer à Tribalistan.
Atolchamb


Ca y est ,voilà ti pas que le Keri allait faire verser sa petite larme au trublion totolien .
Allez zou ,pas question de céder a la tentation de se mettre en mode bêtises.
quoique le souvenir de discutions entre simples amis diplomate a l’époque portant il est vrai sur le sexe opposé. Les deux était presque prêt a monter une guilde pour défendre les intérêts des célibataires endurci mais les rencontres féminines eurent raison de leurs projet.

Atol fit un petit clin d’œil discret a son ami minant bien évidemment une petite poussière dans l’œil pour éviter tout équivoque.


Merci votre Grace pour ces louanges ! Vous connaissez ma simplicité et ma joie de mener a bien les missions que le duché me confie.

Bon j’y vais.



Le seigneur de monçay prit une grande respiration et commença:

Votre Grâce ,
Moi Atolchamb de Riveroy, Seigneur de Monçay, jure de servir mon duché d’Orléans si cher a mon cœur et jure fidélité a mon duc .
Soyez sur que mon dévouement envers votre personne est totale et que vous pourrez compter sur moi si besoin pour vous frotter vos bottes.

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seigneur de monçay
Ninouchka
A partir du moment où la Rosière avait prononcé le nom du Seigneur de Monçay, elle ne fut plus qu'inquiétude.

C'est qu'elle le connaissait ! Elle savait de quoi il était capable ... pour faire simple et rapide on va dire capable d'à peu près tout !

Elle balaya du regard l'espace compris entre Atol et le trône ducal. Aucun obstacle n'était en vue, mais ce n'était pas pour autant qu'il n'y aurait pas d'incident !

Quand enfin il fut genou en terre devant le duc, elle se dit que c'était déjà une bonne chose de faite. Encore fallait-il voir la suite.

Elle observait la scène qui se déroulait entre le Duc et le Capitaine Royal. L'éloge de celui-ci fut précis, concis, net et sans bavure. Les premiers mots d'Atol rassurèrent la dame de Talcy. Ils étaient sobres, corrects et elle se laissait bercer par les phrases qui s'enchaînaient.

Tout à coup, le coup de tonnerre dans un ciel sans nuages !


Citation:
... vous pourrez compter sur moi si besoin pour vous frotter vos bottes.


Ninouchka sursauta, regarda Atol, puis le duc, puis à nouveau Atol. Mais qu'est-ce que les bottes du Duc venaient faire là ? Elle ne put s'empêcher de jeter un coup d'oeil, discret bien sûr, sur les bottes de Sa Grâce.

Hmmm ... très belles ma foi, Atol a raison, faut en prendre soin. Mais quand même il pourrait lui dire ça à un autre moment !

Un regard effondré vers le ciel

A mon avis on pourra pas le refaire lui, l'est trop vieux ... faudra qu'on le garde comme il est ...

Une fois son mouvement de surprise contrôlé, elle se tourna vers la tablette supportant les colliers.

Un coup d'oeil du Duc lui avait indiqué qu'il lui revenait de suivre. Elle prit donc un des colliers, s'approcha du Seigneur de Monçay.

Elle lui sourit, lui passa le collier autour du cou, lui donnant une amicale accolade en lui murmurant


Toutes mes félicitations très cher.

Elle laissa à Atolchamb le temps de se replier vers l'arrière selon un mouvement stratégique mûrement pensé puis reprit la parole

J'appelle à se présenter devant notre Duc, Alienor de la Neustrie, Dame de Montbeaufranc
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Dame de Talcy
Sindbad
D'un pas rapide, Sindbad se dirigeait vers la salle du Trône, déambulant dans les couloirs du Palais d'Orléans.

Des affaires l'avaient retenu sur Paris. Depuis qu'il présidait aux destinées de la diplomatie royale, son temps lui était compté.

Arrivant sur les lieux le plus discrètement possible, il vit la Dame de Talcy remettre un collier à Messire Atolchamb. Il avait brièvement croisé l'homme en Ambassade orléanaise. Mais c'était pour son oeuvre en tant que membre de l'Ost qu'il recevait récompense ce jour.

Sindbad se glissa dans la foule le plus discrètement qu'il le pouvait. Beaucoup de visages connus, et notamment un ambassadeur royal adjoint. Au moins, se trouvant sur les lieux, il saurait quand ce dernier serait prêt à partir pour sa province d'affectation.


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Sindbad
Tout de noir vêtu depuis le trépas de Sa Majesté Nébisa
Porte à l'annulaire droit une bague à l'effligie de sa seigneurie d'Epieds en Beauce
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