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[RP] Epousailles entre Chevaliers... Ramon et Lucie

Hellvyra
La calèche arriva enfin à l'église. A son bord, une femme aux longs cheveux sombres portant une robe de soie couleur pastel vert menthe, s'assortissant à la teinte de ses yeux émeraude. Dans ses bras, un poupon emmailloté de blanc. Près d'elle une nourrice bien en chair, aux joues toujours roses et au sourire contagieux. Marie avait été engagée pour prendre soin du bébé. La médicastre de l'Ordre devant s'absenter à tout heure du jour ou de la nuit pour ses patients.

D'ailleurs elle se souvint du jour où on lui avait emmené Ramon. Entre la vie et la mort, elle avait réussi avec l'aide du Très Haut à le ramener. Aujourd'hui, il allait se marier.
La vie n'avait pas toujours été de tout repos pour le chevalier Teutonique.
Il avait perdu sa première femme et son enfant dans des circonstances tragiques. Maintenant, une nouvelle épouse encore inconnue d'Hellvyra allait partager sa vie. Elle souhaitait de tout cœur que cette femme saura le rendre heureux.

Aux marches de l'église, la jeune femme leva les yeux et reconnut les épaules carrés de son époux. Sa chevelure d'or brillait sous les rayons du soleil. IL discutait avec des invités. C'est avec un sourire qu'elle vint lui faire la bise.

_Bien le bonjour mon tendre époux. Vous avez fait bonne route?
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A toi pour toujours...
Geronimo2751
Il se dirigea guidé par la douce mélopée que produisait la future mariée.
Poussant la porte sans frapper ou demander si elle était présentable Il entra.
Ce qu'il découvrit ne manqua pas d'intérêt, une lucie ensaucissonné dans sa robe.

Sur son visage passèrent divers expressions, celle du rire, celle de celui qui se retient de rire tant bien que mal, celui qui se dit que quand même il ne s'attendait pas à la trouver en tenue de chasse, celle de celui qui se dit qu'il est sensé être son papa, celui qui se dit qu'elle est pas si mal roulée quand elle est enfin habillée comme une femme, celle de celui qui se dit qu'il pense trop ..


Te voilà enfin !! Es tu prête ?!
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Pour ma patate
Cassandre_
Et hop on se redresse pour frimer un peu… eeeeeh ouaaiiiiiiis elle a sa robe dont tout le monde il est jaloux ! Toutefois, la fillette regarda d’un air presque ahurit Davia lorsqu’elle parla de sa mère. Bien sûr que ça serait la plus belle ! Elle garda un instant le silence avant d’ajouter :

Ma maman c’est toujours la plus belle !

Et puis la question fatidique tomba. Hormis sa mère, personne ne lui avait posé la question jusque-là. La filleule reprenait une place de choix, perdue quelque instant auparavant.

Vi, il dit souvent des bêtises. Il est gentil. Même qu’il dit que maman elle est une merveille. Mais je ne le vois pas beaucoup, il est comme maman, ils font le même travail. Puis, tu sais il m’a défendu quand la méchante armée elle nous a foncé dessus sans raison.

Machinalement, elle se caressa le flanc droit, souvenir indélébile de cette journée sanglante.
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Renlie
Dieu que la route était longue jusqu'à Thorens... Bien que le carrosse comtal du Périgord Angoumois était du dernier cri, toutes options, les vertèbres du couple presque comtal s'en ressentiraient quand même.

Arrivés devant la Commanderie, pas fâchés de mettre pied à terre, Renlie tendit sa main à Lily pour l'aider à descendre de ce piège ambulant. Bah oui, il était galant en temps normal, alors pour sa future femme, enceinte qui plus est, il n'allait pas déroger.

Se présentant devant la herse de la commanderie, le Comte s'annonce comme invité de la mariée, et demande à se faire conduire en l'église afin de ne point rater la célébration, auquel cas il aurait bien du souci à se faire...

Pénétrant dans l'édifice avec Lily à son bras, le regard circulaire, découvrant la majestuosité du lieu saint.


Et bien, je ne pensais pas que c'était si joli la Savoie, faudrait qu'on vienne y passer des week-ends plus souvent Lily...

Serrant sa main tendrement dans la sienne, saluant poliment les invités déjà présents, certains déjà connus d'un temps berrichon lointain, ils s'installèrent, attendant patiemment la mariée, non sans pensées l'un et l'autre pour une future cérémonie qui verrait leur union être consacrée, à leur tour.
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Krystel_martin
[Dans une auberge, non loin de l'église]

Le voyage avait été horrible. Le vent et la pluie, venus en douce des îles britanniques, avaient fini par ruiner la tenue de voyage de Krystel et lui gâter ses chausses neuves. Heureusement, la Blanche avait prévu dans ses fontes de quoi se changer et paraître à peu près propre au mariage du Chevalier au fouet. Robe et cape blanches frappées de l'écu vert, drapé de cérémonie jaune pâle autour de la taille. Bottes de belle facture. Simplicité dans la mise, tel était le souhait de Krystel.

C'était sans compter sur la bienveillance maléfique de Nounou, la vieille muette qui passait (presque) tout son temps à la suivre et à la vêtir pour les grandes occasions et qui avait tenu absolument à être du voyage. Et pour cause ! La vieille ne voulait pas manquer une pareille occasion de jouer à la poupée avec la Flam'Quiche. Hélas pour Krystel, d'ailleurs, qui faillit avaler sa salive de travers en voyant la robe que Nounou désirait lui faire porter.


Gloups ! Nounou ! C'est quoi cette horreur ?

La jeune fille considéra d'un œil mauvais ce qu'elle pensait être une serpillère et qui était en réalité une tenue à la mode à Paris.

Cette horreur n'aura jamais de succès ! Non mais regarde-moi ces manches bouffantes. Et ce tissu moiré ! Et ce col à bouffer de la tarte ! Je me rends à un mariage, Nounou, pas à Carnaval !

Krystel expliqua qu'elle avait elle aussi prévu une tenue, bien plus sobre, d'ailleurs. Hélas, la vieille femme était têtue et avait un argument de poids pour sa défense : la pluie britannique avait réussi à pénétrer dans les fontes et mouiller la tenue blanche de la jeune fille.

De mauvaise grâce donc, la Flam'Quiche se laissa enrouler dans un mille-feuilles de crevés, de dentelles, de perles (fausses, heureusement pour sa maigre bourse), et autres tissus moirés rouge sang qui mettaient en valeur son teint pâle. En grognant de plus belle, elle se laissa coiffer les cheveux en une savante architecture de tresses, de colifichets, et autres pinces étincelantes. Si la tenue de Krystel avait gagné en élégance, elle avait, de loin, perdu de sa simplicité première.


Je n'aurais jamais les moyens de payer le couturier...

Krystel serra les dents et jeta un regard noir à Nounou, avant de se jeter dans la rue (mais pas par terre, pour ne pas froisser le tissu) pour rejoindre la commanderie teutonne.

Le trajet depuis l'auberge jusqu'au parvis de l'église de l'ordre fut naturellement boueux, ce qui abîma irrémédiablement le bas de la robe de la Flamande qui ne pourrait ainsi rendre la robe au tailleur sans payer les dommages. Pour éviter de pester de plus belle, la Blanche concentra son attention sur les personnes déjà présentes.

Davia taillait une bavette avec une petiote. La Dame de Moncel était présente, que Krystel connaissait vaguement pour être une vassale d'un cousin. Saku était là, aussi, un peu à l'écart. La Flamuche s'approcha de
Blanche et lui tapota sur l'épaule.

Coucou Saku. Comment vas-tu ?
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Ramon
[5 mai 1460, l’église Sainte Edwige de Silésie, commanderie de l'ordre teutonique]


Le ritter ayant enfin fini de se préparer, remercia le jeune homme qui l'avait soigneusement aidé. Il fini par mettre sa ceinture et laisser retomber sa cape sur son épaule gauche, ,se s vêtements blancs semblaient fait pour l'occasion, bien qu'il n'eut point les écus nécessaires pour s'offrir, même pour son mariage, une nouvelle tenu.
Mais, lui sembla-t-il, l'uniforme de cérémonie de l'ordre était parfait pour l'occasion, avec la blancheur de la neige au sommet des montagnes et la croix teutonique.
Il se dirigea donc vers la porte après avoir pris sa canne et avança enfin en direction de l'église.
Son cœur accéléra à mesure qu'il faisait un pas, il aurait pu avoir le souffle court, mais il n'en était rien. Il lui revenait en mémoire quelques bribes du passé; sa première femme qui dans un premier temps ne s’était pas présentée à l’église, puis le décé de cette dernière et de sa fille et enfin tout ce qu'il avait perdu.
Il arriva bientôt en vue du parvis et remarqua qu'il y avait déjà quelques personnes présentent, il s'avança donc pour les saluer comme il se devait de le faire.
Il n’était pas des plus à son aise en cette instant et essaya de garder toute sa constance. Il lui sembla que diriger une troupe au combat était bien plus facile.
Alfred
[…] l’église Sainte Edwige de Silésie […]
Un jour ci, un autre ça, comme la routine devient une tradition. On préfère tous la routine quand elle est coutume et vivace pour devenir l’habituel d’une vie rempli de prouesses, un chevalier qui apprend à vivre dans d’autres lieux, il oublia ce que signifiait Montesa et Saint George quand il était vers ces cieux.
Il était en direction de l’église de Silésie, il arrivait comme en douce, comme un malandrin se préserve de la rumeur comme de sa sécurité, nourrir une prune de secours comme on voudrait courir les rues de marmande. Quand il arrivait à Silésie, il se rappela de l’instinct présent en mêlant quelques souvenirs de Franche-Comté, quand il vit la Cathédrale bien connue, quand il vit une autre demeure du bon Dieu, il sut qu’il avait un cœur ailleurs qu’en Savoie et mourir pour une autre Europe était le destin de Chevalier.
Il rêvait d’être Teutonique, mais ça c’était avant…

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Hobb


Hellvyra a écrit:

_Bien le bonjour mon tendre époux. Vous avez fait bonne route?


Hobb avait rejoint le parvis de l'église depuis quelques instants. Il avait salué les uns et les autres avec amitié et joie, en ce jour si chargé.
Le Ritter Ramon, avait traversé tant de tourments, jusqu'aux portes du jugement dernier même, que le bonheur devait bien un jour l'atteindre.
Et quand il entendait cette voix dans son dos, un large sourire illumina son visage et ses yeux pétillèrent de reflets d'or et d'azur, tandis que son coeur se réchauffa d'une douce langueur.
Hobb se retourna et il admira son épousée et son fils :


-" Ma mie, vous voilà? Comment allez vous ? Et notre fils, ce VonKorwald est-il aussi gaillard que l'on m'a dit ?"

Il s'approcha et sourit à l'enfant, passa sa main sur la joue d'Hellvyra.Il posa ensuite sa main sur l'épaule de la nourrice et d'un signe de tête exprima ses remerciements éternels.

-" Ne devrions nous pas entrer dans la chapelle ? Le marié futur est annoncé sous peu et c'est son jour, à lui et sa future devant le Très Haut."

Hobb exprimait par là, qu'il faisait sienne, bien sûr, la règle de l'Ordre :

Citation:
9. Tenir silence

Le silence est de rigueur lors des messes et cérémonies au sein des différentes Commanderies de l'Ordre Teutonique, seule la participation aux chants et litanies est autorisée dans les lieux de culte de l'Ordre Teutonique.
Que ceux dont l'esprit divague aillent méditer dans leurs pénates avant de prendre la parole.


Bien sûr à la sortie de la messe les Ritter, les Bruder et les Schwester feraient une haie d'honneur aux époux, sous le commandement du Hochmeister Makcimus.

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Hellvyra
Hellvyra lui répondit:

Votre fils est le plus calme des bébés. Il me fait penser à vous, toujours maitre de ses émotions. dit-elle avec le sourire.
Oui il va très bien. Il est en santé et fait déjà ses nuits. C'est un bonheur pour moi.

Oui entrons avant que les mariés n'arrivent. Nous parlerons plus tard.

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A toi pour toujours...
Lulue
[Entre cellule et parvis – En souvenir de vous…]

La silhouette de Gérault… et même papounet tout entier, arriva dans la pièce, ne s’embarrassant pas des détails, comme frapper à la porte, ou attendre qu’Ambre l’autorise à entrer. En temps moral elle lui aurait lancé un truc du genre : Hééééééééééé j’te signale que ta fille est une adulte !

Au lieu de cela, elle lui fit un sourire presque maladroit, trahissant l’état dans lequel elle était. Jusqu’à il y a quarante-huit heures, la Brune pensait que se marier pour la seconde fois serait forcément plus facile. Mais il n’en était rien et pire encore, cela semblait un exercice nettement plus compliqué. Lucie inspira profondément et son regard croisa Ambre afin qu’elle sorte de sa cachette le bouquet. Elle le prit délicatement et regarda son suzerain.


Je crois oui…

En fait, elle lui dirait bien d’aller enlever Ramon et la Diaconesse et de les emmener sur ses terres pour les marier. Une sorte de poisson d’avril géant qu’ils feraient aux invités. Mouais. Pas sûr que ça les fassent rire. Surtout après la route que certains avaient fait.

Une dernière vérification durant laquelle le carrosse se positionna juste devant l’entrée de la cellule. Après s’être assuré que personne n’était dans les parages, Lucie entra rapidement dedans pour ne pas être vue. Son papa la rejoignit et durant le cours trajet, sentant l’angoisse la regagné, elle décida de raconter une anecdote qui l'amusait beaucoup.


Tu sais que si j’avais refusé sa demande, il m’aurait assommé pour me trainer devant l’autel. Il est romantique et délicat, n’est-ce pas ?

Un petit rire fila d’entre ses lèvres, lui permettant de se décontracter un peu. Cependant, la pause fut de courte durée, une question existentielle venant la titiller soudainement. Le regard d’ébène accrocha le regard clair du Vicomte.

Tu crois que Necro l’aurait apprécié ?


Sa main droite vint se saisir de son avant-bras gauche, sans qu’elle s’en rende compte, le serrant fortement en attendant la réponse.

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Geronimo2751
Il avait prit la frêle main tremblotante de sa vassale ... Dieu que les mariages transformaient les gens, pour la conduire jusqu'à sa voiture.
Gérault avait prit soin de faire attacher sa monture à l'arrière de cette dernière car il n'avait pas prévu de prendre place à l'intérieur avec la mariée, mais sa main qui agrippée sa personne ne lui avait pas franchement laissé le choix.
Par moment il revoyait des instants de son propre mariage, la joie qu'il lui avait procuré, aussi il souriait et peut être sa fifille du moment le prenait-elle pour elle. Cela était tant mieux.
Une vive douleur le tira de ses douces pensées quand elle lui broya le bras.

Question étrange que voilà, il ne connaissait ni l'un ni l'autre, ce qui lui fit penser que le rustre n'était pas venu lui demander la main de sa fille !!


Si Necro l'aurait apprécié ?
Je ne connais ni l'un ni l'autre, mais je te connais toi et, je suis sur que pour qu'un homme veuille t’assommer pour te marier c'est que c'est le bon.


Un petit sourire en coin pour détendre l'atmosphère.
Bou diou qu'il faisait chaud dans ces voitures, il aurait été mieux dehors sur sa monture. Le Vicomte passa la tête par la fenêtre pour voir le chemin restant à parcourir. Ce qui ne manqua pas de faire voler sa chevelure luxuriante.

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Pour ma patate
Pandorha
Voyant que les invités commençaient à se faire nombreux et que le marié était arrivé, Pandorha rejoignit sa place dans l'église, elle pouvait ainsi voir toute l'assemblée qui prendrait place et avait une vue dégagée de l'allée qu'allait prendre les époux. Tout était prêt, il fallait à présent attendre, attendre tranquillement. Evitant de gigoter avec ses doigts, elle mit ses mains le long du corps sans bouger.

En remontant l'allée elle-même, elle se souvenait de son mariage plusieurs mois plutôt. Dans sa belle robe, qu'elle ne porterait plus, pour rejoindre un homme qui l'aimait et qu'elle aimait. Enfin heureuse elle était à présent, son Bubul était présent à ses côtés et il disait oui à tout ou presque. Baptême, mariage, cérémonie divers, il venait quand elle lui demandait, cela la changeait énormément. Il était doux, il était tendre, elle était amoureuse de lui. La belle avait pensé que Théodomir serait le seul, elle avait vraiment eu des sentiments pour lui et cela avait été une déchirure de supporter ses absences et de constater qu'elle n'était finalement rien pour lui. Mais ses souvenirs douloureux étaient masqués, déjà parce qu'elle avait pu avoir deux magnifiques enfants et que maintenant, elle avait trouvé sa moitié, Bubul même s'il était plus âgé qu'elle, était encore vigoureux, la preuve, ils avaient un fils. Six ans après son premier mariage, autant de parcourt. Trois naissances, elle les avait presque enchaîner sauf pour le dernier, mais ce n'était pas anormal, sa propre mère avait mis quatre enfants au monde, du moins à sa connaissance.

Fin bref, mettant de côté ses pensées, la belle attendait les futurs époux.

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Guillaume_de_jeneffe
Thorens ! Il avait fallu qu’elle se marie en Thorens. Et depuis quand Paris n’était plus assez bien pour les Français, dedieu ? Oui, le chevalier avait pesté, au cours de sa longue chevauchée vers les montagnes du Sud. Du Sud car tout est toujours au Sud quand on vient de Flandres… Certes, il y avait une bonne dose de mauvaise foi dans ses élucubrations muettes. Car il avait su où cela aurait lieu dès lors que le mariage lui avait été connu. Mais ce ne fut, comme souvent, qu’une fois sur la route qu’il se rendit compte que finalement « ce n’était pas si près que ça ».

Enfin, au moins cela lui avait-il permis de continuer l’enseignement qu’il dispensait à sa fille tout en dépassant des bourgades et des régions qu’il connaissait à peine. À force de vivre à cheval, en effet, il avait conclu qu’il serait plus facile pour lui de transmettre son, sortez les gros guillemets, « savoir » à la future vicomtesse de Marchiennes en selle qu’assis devant quelque table ou écritoire. Évitant soigneusement le sujet « mariage », les deux Jeneffe avaient devisé d’escrime et de danse, de guerre et de bal, de lettres et de courtoisie.

Après s’être arrêté dans une petite auberge afin d’abandonner son équipement de cuir clouté et de métal, le chevalier avait couvert, de nouveau à cheval, le trajet qui devait le mener à la commanderie tout habillé d’azur, collier de la Licorne aux épaules et épée de sa charge, la raison de sa présence, au flanc. Avisant le lieu saint, il présenta son bras à sa fille.


- Bérénice, si tu veux bien te donner la peine… Je vais te présenter plusieurs de mes connaissances.
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Gourry
[Dans une taverne bien remplie loin de là]

-Dites Aubergiste?J´ai une blague,j´vous la raconte?
-Ca sera pas encore une de celle que vous avez déjà raconté cette fois-ci,Messire Gourry?
-Ben nan,j´raconte jamais les mêmes histoires drôles voyons!
-Les dix dernières furent le cas,mais bon allez-y pour celle-ci...
-Alors,c´est un tit caca qui part en guerre et là il..
-En fait,vous l´avez pas raconté mais j´ai pas envie de l´entendre,vu qu´elle a l´air degoûtante.
-Didiou,j´l´aurais bien écouté moi,elle m´aurait fait remonté des souvenirs!
-Vous la raconte alors!C´est donc un tit....
-J´ai dit non,les trucs dégueulasses,vous les racontez ailleurs et pas dans mon établissement!
-Ah...ca m´attriste dans mon coeur ce que vous me dites,mais d´accord,je la finit pas,elle sera pour le mariage auquel chuis invité,sûr que ca sera apprécié à sa juste valeur et en plus,y z´aiment mes histoires là ou je vais!Vous me resservez une chope?
Ensuite,faut que j´y vais préparer mes affaires!

-C´est aujourd´hui que vous partez?
-Nan,mais aujourd´hui,j´ai poney!


Quelques chopes plus tard et c´est à la préparation de ses affaires chez lui qu´il s´affairait.

Aloreuh!Chemise?J´ai!Braies?J´ai!Costume?J´ai!Stock de câlins?J´ai!Parchemin d´histoires drôles?Ah nan j´ai...Ah...Ah si,j´ai!!Z´étaient au fond du sac!Bon ben chuis paré!La charette est accroché à Varicelle,donc tout est prêt!

Il posa le sac à l´arrière de la charette et non sur le derrière de Varicelle comme certains ici auraient pu le penser et prit place sur le siège de la charette tiré par sa monture de poney et prit la route vers le lointain très proche.Tout cela en sifflotant l´air du tralala qu´il connaissait par coeur.
Hobb


Hobb enjoignit donc, les personnes proches de lui à s'avancer dans l'église. Etant le Teutonique le plus ancien dans le grade le plus élevé présent alors sur le parvis, il s'avança vers les invités et à chacun il demanda de faire de même.
Pusi il descendit les marches pour s'avancer vers un équipage arrivant et reçut comme il se devait un François "fleur de lyssé " et une damoiselle, se nommant Bérénice à ce qu'il entendit.
Hobb salua discrètement, un léger avancement du buste avec main dextre sur le coeur, mais cela était sa marque de grand respect.


-" Gente Damoiselle, Monseigneur, soyez les bienvenus dans la Commanderie que j'ai en charge. Je suis le Ritter Hobb Siegfried VonKorwald, Chevalier d'Isenduil de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne."

Après les salutations de bel usage, Hobb leur fit signe de suivre son épousée la Schwester Hellvyra dans les premiers rangs des bancs pour les invités. Il savait que l'officiant, Pandhora attendait ce beau monde.

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