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[RP] Aux cerisiers de Tsugawa.

Myiukihanakoba


    Myiuki marchait vivement sur le chemin de terre boueuse menant au centre ville de Nakatsugawa. Sa maisonnette était assez éloignée et même si elle ne vivait pas non plus en dehors de la cité, où les brigands troussaient et détroussaient à peu près tout ce qui leur tombait entre les mains, elle n'était pas non plus très rassurée d'être seule dans les rues à la nuit tombante. Tournant au coin d'une large rue, elle croisa en baissant vivement les yeux un homme d'un certain âge, à l'air vénérable.

    Mais il fallait se méfier d'à peu près tout le monde de nos jours. C'est ce que ses parents lui avaient sans cesse répété du temps où elle habitait encore chez eux, à Niimo. Mais à force d'avoir trop bien suivit cette règle, elle n'avait jamais rencontré un homme capable de la chavirer au point qu'elle voudrait l'épouser ou même l'aimer et l'attendre. Elle devait l'avouer... Elle avait quand même un peu peur d'eux. Sans savoir réellement pourquoi. Et elle s'en mordait les doigts tous les jours sans toutefois parvenir à surmonter sa frayeur.

    Se dirigeant dans les rues qui s'assombrissaient peu à peu grâce aux rires qu'elle entendait et qui venaient de la gargote où elle souhaitait se rendre, elle s'autorisa un petit sourire avant d'entrer. Essuyant ses pieds qu'elle avait nus par manque dans sa garde-robe d'une paire de zoris ou de chikatabis. Elle avait donc gardé ses tabis à la main pour ne pas les salir et les enfila une fois ses pieds propres et ce, juste avant d'entrer dans l'univers joyeux et chaleureux de la gargote.

    Dès qu'elle entra, tout le monde s'inclina en lui souhaitant la bienvenue et une rougeur bien visible s'étala sur ses joues. Elle pensait ne jamais s'habituer à cet honneur que lui faisaient les habitants de Nakatsugawa. Après tout elle n'était qu'une pauvresse, fille de deux mineurs qui n'avaient pu, en vendant la quasi-totalité de leurs biens, lui acheter qu'un shamisen tout éraflé. Serrant d'ailleurs contre elle son trésor le plus précieux, elle s'inclina à son tour et fila s'agenouiller dans un coin.

    Toujours hésitante dans les premiers moments de sa présence en gargote, la jeune fille resta figée, attendant que quelqu'un lui parle ou simplement, se contente de la regarder un bref instant.

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Ashikaga_no_chiharu
    La taciturne et implacable Chi. C'est ainsi qu'on aurait certainement pu la nommer il y a longtemps. Un caractère irascible dans un corps de femme vêtu comme un homme. Elle avait pris l'habitude d'être continuellement grognonne, de ne pas respecter grand monde et surtout de planter son wakizachi dans tous les membres agressifs qui se lèveraient contre elle... que ce soit des bras armés comme des objets plus fragiles.

    Mais depuis quelques temps, elle n'était franchement plus si fidèle à elle-même. Etait-ce son poste de shômin qui l'avait obligée à s'ouvrir aux autres ? Ou peut-être, plus simplement, la présence masculine de son amant, qui partageait sa couche en secret. Toujours est-il que la jeune femme se faisait plus amicale qu'elle ne l'avait jamais été envers les Nakatsugawa-jins.

    Du temps d'Ai-chan, elle se serait sûrement gaussée de voir pleurer les pauvres, ces mange-boue, aux insultes de sa jeune cousine et kohai. Mais aujourd'hui, elle avait du plaisir à converser avec certains d'entre eux. C'était notamment le cas de la jeune Myiuki, une pauvrette charmante qui avait fait son apparition à Nakatsugawa alors que Chiharu passait encore ses jours entiers sur le siège du shômin.

    Lorsque la bushi entra dans la gargote, c'est donc vers cette jeune fille qu'elle vint s'asseoir. En bonne guerrière, elle portait sa cuirasse frappée du kamon Ashikaga, ainsi qu'une lourde cape qui la protégeait du vent lorsqu'elle montait à cheval et qu'elle ne prit pas la peine d'enlever. Les troubles politiques arrangeaient bien ses goûts vestimentaires, lui permettant allègrement de cacher les rondeurs féminines qu'elle ne voulait jamais dévoiler.


      - Konbanwa, Myiuki-san. La journée a été bonne ?

    Tout en marmonnant les habituelles formules de politesse, Chi inclina la tête pour saluer sa voisine. La nuit tombante poussait toutes sortes de gens à se retrouver en gargote pour s'enivrer après un jour passé à de lourds travaux. Sans rien en faire paraître, l'oeil aiguisé par l'expérience parcourait donc les personnes en présence afin de s'assurer que rien ne semblait agressif ou dangereux. Déformation personnelle et accessoirement professionnelle.

      - Je vous avais promis de passer plus souvent par ici, ne ?

    Elle tourna la tête vers Myiuki en esquissant un fin sourire d'amusement. Puis ses yeux se posèrent sur l'instrument serré dans les bras délicats de la jeune fille et elle haussa un sourcil étonné. La chose n'était pas commune. Les objets musicaux ne se trouvaient d'ailleurs bien souvent que dans les familles riches ou bourgeoises. Car au delà du prix de l'instrument, les paysans n'avaient pas vraiment le temps de s'instruire ou d'apprendre à leurs enfants le maniement de tels engins.

      - Vous me surprenez, Myiuki-san. Vous savez jouer ?

    La curiosité est un vilain défaut ? Chi n'en est plus à un près.

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Myiukihanakoba


    Myiuki n'osait pas encore sortir son instrument usé et éraflé de son paquetage soigneux. Gardant les yeux baissés, elle demanda timidement une tasse de thé au jasmin coupée au saké et s'inclina profondément pour remercier le tenancier. Sa bourse était bien maigre mais l'alcool étant le seul moyen d'éloigner, du moins pour un temps, les soucis du quotidien, elle acceptait de boire ce breuvage doux-amer de temps en temps. Déposant son paquet tout près d'elle, elle souffla sur sa tasse avant d'en boire une petite gorgée pour s'habituer à nouveau à ce goût si particulier.

    Alors qu'elle allait prendre sa deuxième gorgée, les yeux fixés sur le fond de son bol, les conversations s'amoindrirent un bref instant avant de reprendre. Quelqu'un était entré et ce quelqu'un n'était pas n'importe qui. Ashigaka no Chiharu venait de faire son apparition, noble et forte comme à son habitude. Myiuki était toujours pleine d'admiration en voyant cette femme s'imposer si facilement par sa présence dans un milieu fréquenté en grande partie par des hommes. Ce qui l'étonnait toujours était aussi l'attention que lui portait la bushi, à elle petite fille de mineur issue de la plus basse classe que la société que leur Empire pouvait compter.

    Alors quand celle-ci vint s'asseoir près d'elle, la jeune joueuse de shamisen s'empressa de poser sa tasse de thé et de s'incliner bien bas en retour au signe de tête que lui adressait la noble. Reprenant vite son instrument emballé dans ses bras comme un talisman pour lui donner du courage, Myiuki répondit de sa voix douce et un peu timide :


    « Konbanwa Chiharu-san. Merci de vous inquiéter de ma journée. Elle a été pareille à toutes les autres, faite de dur labeur. »

    Et pour adoucir la gravité de ses mots, la demoiselle répondit au sourire esquissé par l'élégante dame par un de ses sourires doux et aimables qui la rendaient si jolie. Elle hocha la tête en gardant son sourire pour signifier que voir Chiharu en gargote lui faisait très plaisir, comme d'habitude. C'était d'ailleurs bien pour cette raison qu'elle s'était autorisé un caprice et lui avait demandé de venir plus souvent. Bizarrement elle se sentait en sécurité quand la bushi était là, elle avait l'impression que les hommes n'osaient plus lui lancer des regards aussi appuyés que quand elle était seule et cela la réconfortait grandement.

    Quand Chiharu lui parla de son instrument, Myiuki resserra instinctivement ses bras sur son précieux paquetage. Non pas qu'elle pensa un seul instant qu'on puisse le lui voler mais elle était toujours angoissée des réactions que pouvaient avoir les gens en apprenant qu'une pauvresse dans son genre s'avisait de vouloir apprendre à jouer comme une vraie dame. Mais son amie, pouvait-on vraiment dire cela, ne manifesta qu'une surprise contenue et sincère. Nulle colère ni indignation au plus grand soulagement de la jeune fille.


    « Oui... Je sais jouer... Un peu. J'apprends doucement quand j'ai le temps. Je connais déjà quatre airs pour accompagner mes chants. Vous... Savez en jouer vous aussi... ? »

    Myiuki pensait qu'à terme peut-être, elle arriverait à se faire payer pour ses chansons. Mais pour le moment elle ne jouait qu’occasionnellement, quand les gens le lui demandaient. Et puis elle ne connaissaient pas de chants assez illustres et nobles pour avoir droit à une quelconque rémunération. Et le fait qu'elle n'était pas payée relevait peut-être aussi du fait qu'elle n'avait jamais demandé à l'être... Et elle n'oserait jamais quémander, elle était fille de pauvres mais conservait tout de même un certain honneur.

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Ishi
Alors que le nuit s annonçait, voulant se detendre un peu de la journée, il ouvrit la porte de la gargotte, posant son regard froid sur l assemblée

Avançant dans la gargotte apres avoir retirer ses zoris pour prendre place au fond de celle ci il reconnu Ashikaga no Chiharu, s inclinant avec respect ainsi qu a l amie a ses coté.Remarquant que l amie de Ashikaga no Chigiru cachais humblement un instrument de musique lui offrit un sourirre respectueux sans froideur ayant du respect pour ceux qui connaisse l art

Konbawa Ashikaga sama et Myiuki san


Son visage etait froid comme la glace mais sa vois est tout le contraire, il se remit en marche vers le fond de la gargotte en s asseyant

commandant un verre de sake a la tenanciere, qu il reçut, deposant ses 6 katanas sur sa droite et decrochant sa flute traversiere argentée qu il mis a sa gauche

Buvant doucement son verre de sake doucement les yeux fermé, il fit silence
Ashashyun


Nouvellement installée dans le village, Ashashyun se dit qu'un bon moyen de rencontrer du monde serait de jeter un coup d'oeil du côté des gargotes.

Elle parcourt donc le village en sifflotant jusqu'à tomber sur l'un d'entre elles. Soudain l'odeur du saké se fait sentir. Un regard à gauche, puis à droite...et rien. Pourtant il y a bien dans l'air un parfum de saké, comme celui des soirs de printemps.

Continuant d'avancer, elle fini par trouver la gargote d'où émanait cette odeur. L'endroit à l'air calme, mais on peut y entendre quelques voix féminines. Cela rassure de suite Ashashyun, de nature renfermée, elle n'aime pas trop approché les tavernes souvent peuplées par la gente masculine.

Ôtant ses waraji, elle pousse la porte de la gargote et y pénètre silencieusement. Elle s'incline respectueusement devant les deux femmes à l'entrée.

Konban wa redïsu...


Elle parcours la salle du regard et aperçoit un visage qu'elle a déjà eu l'occasion de rencontrer.
Saluant Ishi-san de la main.

Konban wa Ishi-san. Ogenkidesuka ?

Puis elle s'installe au centre de la pièce et commande un verre de sakura fumi no sake au tenancier.
En attendant son verre elle lance un sourire en coin à Ishi-san et noie ses pensées à travers la fenêtre dans le manteau de la nuit qui enveloppe peu à peu le village.
Ishi
ouvre doucement son oeil valide en direction de Ashashyun

Hai et vous Asha san ?

restant dans son coin de reculé de la gargotte voyant son souire en coin lui en repondit de meme
Ashashyun


Répondant à Ishi-san avant de se perdre dans ses pensées.

Watashi wa genki desu. Domo arigato gozaimashita.

Le tenancier arrive avec son saké. Ashashyun lui sourit et le remercie vivement. Puis elle savoure ce petit plaisir de fin de journée.

Jetant encore une fois un oeil dans la salle, elle se dit que les villageois ne sont pas très nocturnes par ici. Ou peut être a t elle choisie la mauvaise gargote, qui sait. Bref pour ce soir, un bon saké fera l'affaire, seule ou pas.
Ishi
se leve prenant ses 6 katanas et va s assoir en face de Asha

j espere que ça t ennuie pas que je m assois pres de toi Asha san ?

deposes ses armes a coté de lui
Myiukihanakoba


    A peine Myiuki avait-elle répondu à Chiharu-san qu'une autre personnage entra dans la gargote. C'était un homme borgne, d'assez grande taille, à l'air austère et distant. Les six katanas que l'on pouvait voir accrochés à sa ceinture n'adoucissait pas son allure qu'il avait un peu dangereuse. Baissant les yeux quand celui-ci s'approcha de la bushi pour la saluer, elle se contenta de s'incliner pour lui souhaiter la bienvenue. C'est en se redressant qu'elle capta le sourire aimable qui avait adoucit les traits du jeune homme à la vue de son shamisen.

    Se pourrait-il que cet homme soit lui aussi, en quelque sorte, musicien... ? Lâchant un discret et léger soupir de soulagement, elle osa un petit sourire en retour à celui de l'homme. Quand celui-ci parla, la demoiselle haussa un sourcil, surprise qu'il connaisse son prénom. Mais peut-être qu'après tout ils s'étaient déjà vus et qu'elle ne s'en souvenait plus. C'était possible, elle ne retenait pas toujours tout ce qu'elle devrait.

    Sans leur laisser le temps de répondre quoi que ce soit, il s'en alla dans un coin pour commander un sake. Apercevant la flûte en argent qu'il sortit de sa ceinture, Myiuki sut que son intuition quand à sa nature de musicien était fondée. N'osant cependant pas jouer devant autant de monde, elle se garda bien de déballer son précieux instrument. C'est alors qu'entra une nouvelle personne. C'était une dame cette fois-ci, d'une allure assez gracieuse. Belle mais discrète, la nouvelle venue se dirigea sans attendre vers le musicien avec un sourire.

    Commença alors entre eux une conversation que la jeune fille ne put suivre, trop loin d'eux. De toute façon elle n'était pas du genre à écouter aux portes et n'était pas avide de potins. Elle se tourna donc vers Chiharu qui n'avait pipé mot depuis qu'elle lui avait demandé si elle jouait et lui demanda, d'une voix douce mais plus hésitante :


    « Chiharu-san... Vous voulez boire quelque chose... ? Si vous voulez, je partagerais bien volontiers mon thé coupé au saké. De toute façon ils ne servent pas moins alcoolisé ici... »

    Mais une autre question lui trottait dans la tête, véritablement, malgré tous ses efforts, elle ne se souvenait pas du prénom de cet homme qui leur avait parlé. Confuse de trouver sa mémoire en si mauvais état, elle fronça légèrement les sourcils pour demander encore, d'une voix un peu soucieuse :

    « Et dites-moi... Vous sauriez le nom de cet homme qui vient de nous parler ? J'ai beau chercher, je ne me souviens pas de son nom... Cela m'embête un peu je ne vous le cache pas. »

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Ashashyun


    Voyant Ishi-san se lever et venir se joindre à elle, Ashashyun lui adresse un sourire en coin. C'est bien la première fois qu'elle osait lui sourire comme ça, mais bon....elle connaissait maintenant assez bien.

    "Non non Ishi-san, bien au contraire je suis contente de t'avoir à mes côtés pour apprécier un bon saké."

    Elle regarde le tenancier et attend qu'il se retourne vers elle, en vain. Elle décide donc de se lever.

    "Ne bouge pas, je reviens de suite. Je te paie une tournée."

    Elle se dirige vers le tenancier et s'adresse à lui ainsi :

    "Gomenasai, puis-je vous demander de nous apporter deux autres saké pour mon ami et moi même s'il vous plaît ?"

    Acquiesçant de la tête, le tenancier s'en va préparer sa commande. Ashashyun retourne s'asseoir et sur le chemin du retour, remarque que la jeune femme à l'entrée regarde Ishi-san avec curiosité. Arrivant à sa place :

    "Je crois bien que tu as éveiller l'intérêt de cette jeune femme Ishi-san. Tu devrais peut être lui offrir un verre."

    Voyant le tenancier arriver avec sa commande, Ashashyun esquisse un sourire à Ishi-san et lui tend son saké.

    "Kanpai !"

    Voyant qu'Ishi-san avait apporter sa flute traversière argentée, Ashashyun lui demande de jouer un petit air pour accompagner le saké. Mais par politesse, elle se lève et s'adresse avant tout aux autres convives.

    "Gomenasai, cela vous dérangerai t il d'avoir un peu de musique douce de mon humble ami. Il joue de la flute traversière et il est très doué."

    Souriant timidement, elle attend une réponse de l'une des deux personnes, les mains croisées sur le devant de son kosode avant de s'asseoir.
Ishi
souriant un peu et prenant son verre de sake

Kampai, boire seul n est pas tres enjoué des fois, boire avec un ami est plus agreable

il entendit les dire de son amie et leva un sourcil en ricannant


detrompe toi, je ne fai que respecter ceux qui savent usé de l art

la regardant de nouveau surprit qu elle parle a la foule pour qu il joue, il rougis un peu gèné preferant resté discret
Azumamaro
Bandage autour de l'épaule, un autre sur la tête, boitillant... C'est de cette façon qu'Azumamaro reparut, encore une fois, dans les rues de Nakatsugawa. Il avait été magnifiquement rétabli à Kiyosu par la très célèbre Shaee, puis transporter sans histoire, dans une carriole, jusqu'à sa ville natale.

Cela faisait déjà un bon mois qu'il avait été pris dans un guet-apens près de Kiyosu, et laisser pour mort dans un fossé près de la capitale. A peine rétabli, cette attaque le rendait à nouveau handicapé, à croire qu'il ne pourra plus jamais savoir ce qu'est d'être dans un état normal.

Enfin bref, il profita de pouvoir marcher pour aller en gargote, et voir un peu ce qu'il se passait dans sa ville. Dans cet accoutrement, il faisait sûrement un peu peur, mais on s'apercevra bien vite qu'il ne représentait aucun risque, au contraire !

Entrant dans la gargote, il salua les gens présent, discrètement, puis alla s'asseoir à une table, commandant un saké ou de quoi grignoter. Tranquillement, il écoutait ce qu'il se disait autour.

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Ashashyun


Intriguée par cet homme qui venait d'entrer, Ashashyun resta silencieuse un bon moment, regardant du coin de l'oeil cet individu. Elle se demandait bien ce qui lui était arrivé. Puis prenant son courage à deux mains :

Gomenasai, puis je vous demander votre nom ?

Elle s'incline par respect et attend une réponse.

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Azumamaro
Même pas le temps d'écouter une petite conversation, voilà déjà que toutes ses blessures attirent du monde. Son saké n'était même pas encore servi, c'est vous dire la rapidité de la jeune femme !

Elle s'incline et lui demande son nom. Azu s'incline à son tour, lui fait signe de s'asseoir si elle le souhaitait, et répondit, de sa voix grave habituelle :


Vous pouvez...

Léger silence, juste pour mettre un petit doute sur la jeune personne, et il continue dans un sourire :

Je m'appelle Tokugawa Azumamaro, Konnishi wa.
Désolé d'être dans cet accoutrement, le médecin ne m'en a pas laissé le choix. Vous êtes une nouvelle arrivante à Nakatsugawa ?

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Ashashyun


A la proposition de s'assoir...

Oh ? Me...moi..m'asseoir ? Euh oui bien sur.

Elle est un peu désemparée par cet homme si, si...

Hajimemashite Tokugawa-san ! Watashi no namae wa Ashashyun desu.

Je ne voudrais pas vous déranger san. Et puis je suis déjà avec un ami. Demo...


Se retournant brusquement :

Ishi-kun ! Je reviens dans pas longtemps !

Sourit à pleine dent en direction d'Ishi-kun

Finalement...

Elle s'assied et regarde le Tokugawa.

Que vous est il arrivé ?

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