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[RP - 18/04] Cathédrale - Sacre de Sa Majesté Vonafred

Hersent
La tension devient extrême à mesure que le petit homme avance vers la nerf où le serment est en train d'être prêté. Elle surprend le coup d'oeil de l'homme vers un autre...puis son sang se glace...les rumeurs de fronde, d'appel à celle-ci...des placards mis en Champagne...et si... et si.... Noooonnn pas ça, pas maintenant pas ici.

Elle regarde vers la Garde Royale les Licornes et la Garde épiscopale: elle leur fait signe discrètement que le petit homme bazané a un geste inquiétant: il cherche à sortir quelque chose de son paquet.

Instinctivement, elle s'approche doucement vers l'homme puis jette un regard vers son GES, dans les hauteurs, elle voit qu'il a son arc prêt à décocher une flèche sur l'homme en question.

Le temps suspend son vol...Jato est prêt à jaillir de son fourreau, elle a se battre pour la vie de son Souverain.
Elle ordonne du regard à Wendoline de dégainer son épée et de se tenir prête à intervenir.

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Loupameth
Calé dans un coin qui lui permettait de tout voir sans être vu , il regardait la cérémonie se dérouler sans aucun souci apparent , hors justement un mouvement dans la foule l'intrigue , il aperçoit un homme en capuche se dirigeait vers coeur de la Cathédrale.

Pas très loin, l'huissier , lui aussi, a remarqué le mouvement et qui semble désemparé .

Prestement et sans se faire remarquer il va rejoindre l'huissier , lui fait un signe discret comme quoi il avait remarqué l'individu puis se plante devant le personnage en barrant fermement le chemin , avec un regard perçant lui indiquant qu'il ne fallait pas aller plus loin sinon il lui en cuirait .

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Dandolo
David ne le savait pas encore mais le Commandeur Nergal avait repéré le semi-Maure depuis un moment déjà. Et le Gascon écouterait plus tard Loupameth contait son intervention avec son célèbre "Il nous avait pris pour des bédouins, celui-ci!".

Mais pour l'heure, le Grand Maitre n'a été qu'alerté par le Capitaine de la Garde Royale à ses côtés. Tournant ses bruns vers l'endroit indiqué et jaugeant l'ensemble de loin, il aperçut les deux Frères à la suite. Pas de panique...

Quelques mots pour rassurer Stéphandra puis il continua de suivre la scène sans manifester plus de tension que nécessaire. Le lancé de nain n'était pas encore inventé et celui-ci aurait du mal à s'envoler jusqu'à son Roy!


Montjoie...

Nouveau retentissement de la voix de Vonafred. Comme pour masquer son attention, le Chevalier reporta un bref instant celle-ci vers la cérémonie. Ah ben, notre bon Roy est armé maintenant. Mon ange, nous comptons une épée de plus pour la sécurité...
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Victoire_
Le Roy venait d'élever à bout de bras la sainte épée et prononça, face à l'assemblée le cri des hommes d'honneur " Montjoie "

Victoire, tout en suivant le déroulement de la cérémonie, surveillait toujours, elle avait bien compris que sa Capitaine avait lu dans son regard et se sentait un peu rassurée.

Rassurée aussi de voir que les membres de différents ordres interféraient sur l'avancée de l'homme.

Mais que voulait-il vraiment, que cherchait-il à faire, pure inconscience de sa part que de vouloir prétendre approcher le Roy, ou même un des Cardinaux, pour quelque raison que ce soit au vu du nombre de gardes présents.

--Rachid


Le semi Nain, car il ne l’était pas vraiment, était toujours aux arrêts, aux côtés du de Vaisneau, qui lui, fixait l’offrande faite à l’usurpateur d’un regard franchement amusé.
La tension maintenant était facilement palpable aux alentours, d’autant plus quand un huissier vint à aborder Rachid.
Vaisneau jette un œil vers le duo, esquisse un nouveau sourire, et laisse le soin à son serviteur de faire ce qui doit être fait.

Revenons donc sur l’Ottoman, qui fixait pour sa part, l’importun d’un regard meurtrier, décuplé à l’apparition d’un autre gus qui se voulait menaçant.
Si seulement il avait pu avoir son marteau à sa ceinture, pour sûr qu’il se serait fait un plaisir que d’écraser le crane de l’hurluberlue qui lui faisait face.
Mais non, il n’aurait pas pu sortir vivant de cette fourmilière, les différents soldats étaient en position alentours, tout du moins, c’est ce qu’il put remarquer du coin de l’œil.

Mains toujours dans le tissu, il répond donc à l’huissier.

"-Chui là…"

Montre d’un signe de tête la place vide à côté du chevalier Banneret de Fauquez, ce dernier complètement indifférent à la scène.

"-Si vous permettez…."

Et de dénouer le nœud qui maintient de dit tissu d’un geste théâtral, sourire sardonique en coin.
Ce qu’il tenait dans les mains n’était autre que la cape d’Enguerrand de Vaisneau, qui avait été nouée pour éviter qu’elle trainasse sur le sol précédemment. Au Rachid zélé d’en recouvrir les épaules du noble et de s’excuser.

"-Savez…Fait pas chaud ici…"

Tout en prenant place à côté de son maître qu’il gratifie d’un :

"-Shaitan, ils sont drôlement tendus dans l'coin…"

Et l’oreille attentive aurait même put entendre le « hin hin hin » qui fut donnée comme réponse par Enguerrand.
Jonhatan27
L'homme avait entendu et d'une petite voix lui répondit.

Citation:
"-Chui là…"


Il s'installa, l'huissier le salua d'un signe de tête et regarda le garde royal, releva discrètement les épaules et leva les mains vers le ciel. Il aurait bien voulu vérifier si l'homme était sur la liste des invités, mais trop tard il s'était déjà glissé et assit.

Il resta donc en place dans cette tramée en regardant la suite de l'événement.

Le roy venait de nommer
MONJOIE!!.
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Elisa.
Grand Dieu ! Le sacre ! Suzanne ! Suzanne nous avons oublié le Sacre !

La Malemort vient de se réveiller en sursaut, la nuit fut courte, bien trop courte, mais sa présence dans ce lieu la bouleverse encore. Tourner la tête pour regarder l’autre côté de la couche, son époux n’est déjà plus là. Elle secoue la tête de droite à gauche pour tenter de rassembler ses esprits et sortir son visage si fin de son sommeil. Oh oui, la nuit fut courte, mais la jeunesse et la beauté de la Malemort l’aide à n’en rien laisser paraître.
Elle se lève, jetant le drap à l’opposé du lit, laissant dévoiler une robe de nuit écru en soie. Elisa s’avance, d’un pas rapide et léger vers la coiffeuse pour ôter la natte qui retient ses cheveux.


Suzanne ! Dépêchez vous ! Apportez moi ma robe et mes bottines, faites préparer la voiture, nous sommes en retard !

Les cheveux sont ensuite brossés délicatement, pendant que la demoiselle de compagnie fait enfin son entrée dans la chambre. Courant directement vers l’armoire pour en sortir la robe désirée par sa maîtresse, By Baylina de Raveline. Une robe de couleur violette, en hommage à sa Mère, parsemée inexorablement de perles sur les épaules, de dentelles et d’hermines.
La robe est rapidement revêtue avec l’aide de la compagnie, collier de trois rangées de perles, bague à son doigt, diadème dans les cheveux et pour finir une ceinture de perle vient contourner sa taille. Un dernier coup de peigne dans les cheveux, quelques goûtes d’une eau de toilette à la cannelle, et le départ est sonné.


Si mon époux se manifeste, faites lui savoir où je suis, je vous prie.

Dernières consignes laissés aux valets, et la belle Malemort prend la route direction la Cathédrale de Reims accompagnée par Suzanne. Elles passent devant le Palais de Tau, ce palais qui les avaient accueillit durant les nuits précédent et suivant le sacre de sa Mère. Ce palais majestueux, ce palais qui abritait désormais la nouvelle famille Royale. La main de la Malemort vint froisser le tissu de sa robe, il n’était point l’heure de faiblir, elle devait porter haut l’honneur de sa Mère, celle là même qui lui avait mainte fois répété qu’il ne fallait jamais faire paraître ses émotions en public car nos ennemis sauront toujours s’en servir contre nous.

C’est cette pensée en tête, que la jeune femme entra dans la Cathédrale seule, se signant après avoir baissé la tête. Suzanne étant restée dans la voiture. Dans cette Cathédrale noire de monde, la belle Princesse déchue s’avança, le bruit de ses talons claquant sur le sol étant couvert par l’ambiance de la foule.
Trouvant sa place avec l’aide d’un valet, Elisa s’installa sur le banc de la Cathédrale, son visage était radieux, illuminé par un sourire de circonstance.
Sans un bruit de plus, la Malemort observait le déroulement du sacre, observant de ses prunelles noires les gestes, l’attitude, les détails du nouveau Régnant de France, Sa Majesté.

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Leyah
    Trois pas derrière le Roy ..

C'est là que se tenait la rouquine, toujours la main du mini de Varenne dans la main, avec un regard bienveillant se posant sur sa descendance juste à ses côtés et un autre regard, admiratif, cette fois porté sur son époux
Le serment avait été prononcé d'une voix claire et avait arraché sourire tout autre a la donzelle
Quiconque connaissait l'homme sous la couronne savait ce que valait un serment à ses yeux, peu importait dès lors les ânes bien pensants, la parole était importante, la pensée futile

La suite réglée comme du papier a musique ... une crampe dans l'orteil gauche du pied droit, la fit pencher le nez en avant tandis que sa moitié venait de s'exclamer encore d'une voix forte.
Un sursaut .. une envie folle et soudaine de lui coller une tape sur l'épaule et de le maudire réfrénée par le " pas bouger, sois sage "
Mais tout vient a point a qui sait attendre ..

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Enora...
La princesse observe la cérémonie, qui a l'air de se passer sans incident.

On offre une épée à Louis, il en avait déjà une pense-t-elle, mais c'est peut être une spéciale Roy....

Elle regarde attentivement la scène se déroula dans cette grande cathédrale.

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Azalniole
Tout comme le reste des gardes, l'Aspirant-Major Azaniole surveillait les fidèles rassemblés dans la Cathédrale de Reims. Bien calée sur ses deux jambes et droite dans son bel uniforme, elle regardait attentivement le petit homme à l'allure bizarre qui s'approchait dangereusement du Roy qui venait de recevoir une épée de la part d'un gentilhomme.

les Gardes Royaux réagirent très vite face à la menace. Ce n'était finalement qu'une fausse alerte. Le paquet suspect qu'il tenait entre ses main, n'était *, en fait, qu'un cape qu'il donna à un noble qui semblait être son maître.
Azaniole soupira de soulagement. le clergé dont la Garde avait en charge n'était pas en danger.
Bouchenbiais
Ignorant tout des allées et venues suspectes à l'intérieur de la cathédrale, la cathare boiteux n'a d'yeux et d'oreilles que pour le Roy. Perché sur le contrefort d'une colonne, il ne manque pas cet instant tant attendu où Sa Majesté brandit l'épée.

Citation:
-Montjoie est le cry des hommes d'honneur.

-Montjoie...


Il n'est ni noble, ni soldat mais il ne manque pourtant pas d'honneur. Il donnerait sa vie pour ce Roy là et pousserait bien volontiers leur cri de ralliement, sous la bannière de la Couronne de France, avec tous ces preux seigneurs, mais simple roturier, il ne s'en ressent pas le droit.

Ce n'est pourtant pas en ce grand jour que sa joie n'explose pas et qu'il ne s'époumone pas avec la foule à l'extérieur de l'édifice.

LONGUE VIE AU ROY!! VIVE LE ROY!!
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"Œil pour œil et le monde entier finira aveugle!" GANDHI
Armoria
"Comment fait-on pour survivre aux interminables cérémonies ?" aurait pu être une autre question à poser à Armoria. Et de fait, ce n'était pas une mince affaire... Le mieux était de ne pas y aller - comme les dernières allégeances, celle pour Nebisa, encore qu'en l'occurrence, cela n'avait pas été volontaire. En même temps, quand elles avaient eu lieu, la blonde altesse était... Comment dire... Morte. Pas morte de fatigue ou d'ennui, hein. Morte-morte. La petite mort, celle dont on revient - ou pas. Mais morte, quoi. Et mine de rien, la mort, pour éviter une cérémonie, c'était encore mieux qu'avoir un mot de sa maman. Surtout que la sienne, de maman, était morte - pour de bon - depuis belle lurette.

Enfin, donc, hormis se défiler habilement, la vanillée aurait pu répondre : "il suffit de prendre un air grave et de fixer quelque chose face à vous, plus ou moins dans la direction où l'on est supposé regarder. Cela vous permet de totalement laisser votre esprit vagabonder à des choses sérieuses ou non, selon votre nature, tout en ayant l'air on ne peut plus attentif et respectueux".

Et c'était précisément ce qu'elle faisait. Le pire danger était évité, à savoir la confortable épaule de Tixlu, où il était si facile de s'endormir... Là, pas d'épaule tixluienne sous la main, donc tout était sous contrôle.

Et accessoirement, le fait d'être aussi profondément plongée dans ses pensées lui permit de n'avoir qu'un - très - léger sursaut quand le roi cria "Montjoie".

Total contrôle.

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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Adalsende
Assise aux cotés d'Henry, Adalsende suivait la cérémonie avec attention.
C'était un événement auquel elle n'aurait jamais cru assister : la remise du destin d'une nation entre les mains de celui qu'elle avait choisi. Il s'agissait bien de cela et non pas d'un simple défilé de mode où les plus riches s'affrontaient dans un combat de plume et autres fanfreluches.

Perdue dans ses pensées, elle sentit quelque chose se rapprocher de son oreille puis un souffle.
Henry lui murmura quelques mots dont elle s'étonna.
Gardant un oeil sur ce qui se passait devant elle, elle lui répondit... Mais s'interrompit à l'arrivée du Roy.

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Bezuto
Le rouquin était rester à sa place sage toujours , regardant défiler la cérémonie à ses yeux , passer cette noblesse , ses officiers chacun présent chacun emplit d'une histoire de ressentiments de et de pensées différente, il laissait ainsi vagabonder son esprit au fil des discours et parole échangé.

Par moment attentif pas d'autre méfiant , une méfiance dont l'origine était plus qu'incertaine , mais déjà le Grand Connétable s’avancer remettre l'épée argumenté de belle parole .
Et le roy de brandir la joyeuse et de créer l'émoi dans la salle sainte , il savais que c’était à lui juste après , une nervosité apparente , un faux calme qu'on pouvais l'appeler le Surintendant .. oui tout à fais ça .

Au connétable de regagner ça place à ses collègues de centrer son regard sur lui là , il ferme les yeux prend une inspiration moment particulier , intense au devant de cette scène mis en place de se sacre remplit et grouillant d'âme .

Il se retourne puise son courage la ou il sait le trouver et s'avance dès lors vers l'autel , pas lourd et subtile , gracile et souple , déplacement d'une masse à la tête flamboyante au habit au intonation de vert et au reflet de velours le Grand Officier se présente devant son Roy ..
Regalia trônant sur un cousins de soie bleu entre ses mains objet simple et au valeur pourtant si complexe sans oublier un prix exorbitant à tout les coups.

Il regarde le monarque un moment , puis à son tour dépose un genoux à terre , un sourire même léger discret se dessine sur ses lèvres et il porte devant lui le coussin surplomber des souliers brodée du Lys d'or .


Mon Roy , puisse ses souliers accompagner vôtre empreinte et faire foy de vôtre union avec la France .

Et de rester planté là devant cette auditoire à attendre la réaction du futur couronné et habillé
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Hersent
Grand soupir de soulagement lorsque Hersent vit que le fameux petit homme étrange ne cachait aucune arme régicide dans le paquet qu'il tenait sous le bras...une fausse alerte qui avait mis en émoi tout le dispositif de sécurité. Le Chevalier du Guet Royal desserra l'étreinte du pommeau de son sabre, elle fit signe à son agent Wendoline de rengainer son épée: le paquet n'était que la cape bien pliée pour une Emince frileuse, faut dire qu'il ne faisait guère chaud dans la cathédrale malgré l'afflux d'invités et la quantité astronomique de chandeliers allumés.
Hersent leva la tête vers son GES de l'Ost pour lui indiquer, d'un signe convenu, qu'il pouvait remiser son arc.
Grâce au petit homme basané, elle put constater la réactivité impeccable de ses Loups ainsi que celle du Guet Royal qui passait presque inaperçut parmi les Ordres Royaux et Religieux.
Elle reprit sa position de veilleur: droite dans son uniforme de cérémonie, le regard balayant l'espace de surveillance dévolu au Guet.

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