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[RP] Du coté des tours de Vautorte, il était une fois...

Lillaka
Lillaka était prête également. Regard entendu avec sa cousine. Elle attend pour agir...
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Damisella
Dami se retourne pour jeter un regard en arrière.
A une une cinquantaine de coudées, attendaient les charrettes , les deux dames des Ambuleurs postées de part et d'autre.

Elle bénit le ciel de leur présence. S'il y avaient des blessés, les connaissances de dame Lillaka se révèleraient précieuses.

Elle sentait la tension monter, reporte son attention vers sa dextre ou se trouvait Titan.

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Esclandres


Pas loin du Pont Levis du Chateau de Vautorte.


Un petit regard a gauche, un grand a droite pour verifier si le danger etait là ... Toujours regarder plus à droite que de l'autre côté, c'est toujours de ce champ là que viennent les mornifles.

Pas un chat ...

CLAP ! ....

Le couvercle du tonneau se referma. De loin une personne à jeun aurait pu remarquer un tonneau de Calva, grand cru et grande capacité, avancer. Pas forcément droit au but, mais il avançait. Un homme ivre aurait trouvé cela totalement normal, quoique ... Il se serait tout de même posé une question cruciale : "Mais que fait la barrique ... Elle ne vient pas vers moi ... Elle s'eloigne".

Gniiiii

Grincement de fut de chene, le couvercle s'ouvre à nouveau. Regard à droite ...

Où qu'il est mon copain ? N'de dieu ! Me suis pas faufilé ici pour rien ... Encore quelques metres et c'est le portail ... Vaut mieux rentrer avant que les autres sortent ... J'vais en prendre plein l'arriere si je me retrouve entre les Bourguignonnes et l'armée du patron du coin ...

Leger decalage de barrique sur l'arriere, "la tourniquette" on appelle ça ...

Mais Qu'eck tu fous la ? J'avais dit tu bouges pas, on la faite discrete !

Esclandres sort de sa planque ambulante et balance une calotte à son cheval

Tu crois que ça arrive tous les jours un cheval qui suit un tonneau de calva ? La jument d'Cendres ... J'dis pas ... Mais toi ? T'fous tout en l'air là, Galopin ... Sérieux, tu m'demasque sur l'pont levis ...

Esclandres se pencha et regarda derriere son cannasson et fit la moue

J'sais pas ... Mais ... C'te foret ... Elle sent l'sapin. Va pas faloir trainer dans l'coin.

Se retourne vers les remparts et la porte du Chateau qui n'etait qu'a 5 pas. Les mains autour de sa bouche pour faire porte voix, il chuchota.

Raoul ? Raoul ? T'es là ?

OOOOH ! RAOUL N'DE DIEU ? T'ES OU ?

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Felina
Sur le lac de Saumur.

Dans une barque, une Félina peu rassurée, filet de pêche de mauvaise qualité en main attend qu'un poisson plus stupide que les autres veuillent bien se prendre dans ses mailles. Soudain, venant de nulle part une voix qui résonne dans son esprit.

Pas un chat ...


Comment ça ... pas un chat ... Où ? Quoi ? Qui parle de moi ?


Félina se passe la main derrière l'oreille (tiens ... va t-il pleuvoir ?) avant de se concentrer de nouveau sur sa prise éventuelle. Les félins aiment le poisson et détestent l'eau et celle drôle de tigresse n'échappe pas à la règle, et voilà maintenant qu'elle entend des voix ... Elle finira brûlée à coup sûr, mais elle s'en fiche, elle a neuf vies.
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Juliuz a dit : "Felina, que j'ai convertie aux joies du brigandage, une vraie perle de franchise et d'humour"
Aubane
Aubane a la mine inquiète et résignée. Elle semble guetter quelque chose qui ne vient pas. Echange de regard avec Lillaka. Aubane sourit à sa cousine et lui dit à mi voix:

Doucement, ne sois pas si prompte à vouloir te jeter dans la mêlée, je te rappelle que c'est après que tu es plus à même de déployer tout ton art.
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Didierdesars
didier attendais ses compagnons , il avait du mal a retenir ses chiens ,surtout depuis que Zeus avais vu le tonneau bouger !!!!! le bougre etais capable d'aller y marquer sont territoire , par un regard interogateur vers damisella il essayais d avoir des ordres de mouvement ? en plus il avait appercu une barque de peche sur le lac ,mais bon surement un villageois au travail


sage les clowns ,vous allez bientot pouvoir utiliser vos nouvelles canines
pour lui meme ,il avais descidé de ranger son epée ,un peut longue sous les arbres ,et preferée de loin utiliser sa vielle masse d'arme

sagement ,il attendais de voir ce qui allait sortir de la place

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Tiamarys
Tia stoppa Satan,le maintenant fermement. Elle scrutait les alentours quand elle aperçu à son tour la barque. Elle grimaça...Tout était si calme.
Elle trouvait bien étrange qu'il n'y ai pas plus de mouvement.
De deux choses l'une...
Où bien la princesse n'était pas là, ce qui pouvait expliquer cet endroit trop calme...
Où alors...

Elle plissa les yeux en voyant le tonneau, un regard à Didier lui confirma qu'elle n'avait pas rêvé.
Elle se repositionna sur sa selle et sortit sans bruit son épée...

Elle n'était pas du genre confiante, loin de là et préférait toujours prévenir que guérir!

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Raoulleglabre
[à dada sur mon bidet, dans le bois presque sous les tours de Vautorte]

Quand il trotte, il fait des pets. Ouiii, je sais, elle est facilissime et fortement niaise. Glaber s'en revenait donc. Chevauchant avec sa nouvelle copine. - Lucie de Clairvaux, pour ceux qui suivent pas. Quoi que mon Raoul n'y ait pas encore demander son petit nom. Mais bon, pour contourner le souci du "qu'est-ce qu'il dit là ?" - je précise. Ils avaient eu le temps de faire connaissance quand même. Le rituel du saucisson, ça crée des liens. N'y voyez là aucune allusion graveleuse, cette fois, y'en n'a pas. La petite, fort téméraire et fort dégourdie, s'en revenait donc avec Glaber, mâchouillant gaiement leur salaison séquane. A Vautorte. Parce que c'est très couru en ce moment ; et p'is surtout parce que là, les édredons sont en plumes.


-Un coin pour roupiller, j'en ai un... Et pas chez mèr'grand.


Et puis, au détour d'un chemin... La truffe glaberéenne affadie un instant par la chevauchée au grand air, se lève. Mon Raoul interrompt le petit trot de Grand Ch'val.


-L'bourricot, t'as boulotté du mauvais avoine, moi j'dis. Ça sent l'crottin. tu trouves pas ?

Mon capitaine était déjà parti faire le veneur à l'Ursus arctos arctos ? Un... Deux, Trois... Beaucoup... Trop. Mon Raoul, il sait un peu écrire, mais pour compter, il a encore du mal. Dès que ça passe le petit doigt de la main droite, celui qui vous récure le nasal, là, il sait plus trop. Du cavalier étaient passé par là. Et pas plus tard que... maintenant ? Et p'is, c'est curieux quand même que mon ursus vulgairus et pas farouchus, il porte oriflammes aux armes de France. Sorcellerie que cette apparition. Des lances, entre les colonnes d'aulnes, d'ormes et de chênes de la réserve de chasse à l'ours du Saigneur de Vautorte. Le Penthièvre et la Jéèmmeffe qui s'en r'tourneraient chez eux, ça donnerait bien des empreintes de fers à palefroi, mais dans l'autre sens...

-Chuuu
uuuttttt...


Du Lys et du crottin. Grand sourire, encore. Ça se poivrait, ce potage angevin. La fine fleur de la chevalerie françoise, en promenade militaire sous les tours de Vautorte. Et p'is vl'a t'y pas qu'ils usent d'armes secrètes et mystérieuses. Des tonneaux qui avancent tout seul et qui causent...


-Petite, va falloir qu'on suspende nos projets de sieste crapuleuse. J'ai la couleuvrine à astiquer.



Ahhh, oui, j'oubliais... Pour ceux qui l'ignore, la salaison séquane, c'est délicieux. Si y'a un truc que les franc comtois savent apprêter, c'est la cochonnaille. En Morteau, en Montbéliarde, en jambon de Luxeuil ou en bardes de lards. Dans l'cochon tout est bon, comme disait pas plus tard que c'te nuit, la belle de Vautorte ci-dessus sus-citée, en mirant mon Raoul sortir de dessous l'édredon.

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Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.
Eclipse72
Elle a suivi le groupe, derrière Titan et Kalo, sous la bannière blanche. Une halte, un château bien gardé !

La tension monte.
Sa vue est décuplée, l'ouie affinée, elle est prête au combat, prête à donner sa vie pour la cause choisie des 45.

Pas besoin de grand discours, quelques regards suffisent pour que chacun prenne la place qui est la sienne, épées en garde.

C'est le calme avant...

Du bruit, deux chevaux qui s'approchent...

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Deilayra
Deilayra avanca au coté des 45, a leur hauteur attendant gentilement qu'ils decident quoi faire, prète a tout, de toute manière fallait bien s'occuper...
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Titan34
Titan secoua la tête, il se frotta les yeux, rêvait-il, il lui avait semblé voir un tonneau bouger sous les murs du château.
Son attention fut alors attiré par une barque qui glissait silencieusement sur l'eau boueuse d'une sorte de lac, sûrement un pêcheur Saumurois qui venait faire sa journée.
Cette présence ne semblait pas alarmer les sentinelles, sûrement un habitué.
Il semblait que du mouvement se passait dans la cour du château, il sorti lentement son épée évitant tout reflet sur l'acier brillant de la lame.
Il remonta à cheval avec précaution pour ne pas provoquer d'envol brutal de la faune de la foret.
Il regarda vers les autres groupes, tout le monde était en place et un silence pesant régnait sur la scène.
Il fallait être patient, ne pas précipiter les choses, ne pas se découvrir ni trop tôt ni trop tard.
Tout les sens aux aguets ils attendaient l'instant propice.

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Ad majorem Dei gloriam.Spiritus promptus est, Caro autem infirma
197856
Chassé croisé, une carte de perdue, dix de retrouvées.



Entendrons nous plus tard un cri : mince mais on est pas au Maine la ? Ou autre Finam qu'est ce t'as foutue de la carte.
Kilia
[Cours de Vautorte=> départ vers Château-En-Anjou]

La porte à peine fermée, les hurlements d’Eikorc se font entendre, sourire de la duchesse qui marche vers la cours. Aucun étonnement, elle savait qu’il bouillait et qu’il allait exploser le colosse. Elle marche d’un pas ferme jusqu’à son cheval. Elle prend le temps de flatter Savage, depuis hier soir personne n’a dû prendre soin de lui, et c’est son plus fidèle compagnon. Il se vieillit, mais ce pur sang noir et elle ne fond qu’un. Elle a même parfois l’impression qu’il lit dans ses pensées.
Regard vers Balestan :

Je leur donne 5 minutes, s’ils ne sont pas là on part. Je t’avoue que je me demande ce qu’on fait là, ils ont bien l’air de vouloir se prendre encore une autre tannée, c’est qu’ils aiment ça…

D’un bond elle se retrouve sur sa monture prête au départ lorsque derrière elle, le grincement de la grande porte se fait entendre. Savage pivote sur lui-même. Elle ne remettra pas le pied à terre, ils suivent où pas maintenant ils étaient maître de leur propre destin. Les quelques mots venant d’Armoria la fait à peine broncher, un menton qui s’abaisse sensiblement et qui reprend place. Son regard se porta sur celui du pair, pour qui, au départ elle était venue. Le grand amour de sa nièce, l’homme qui avait fait tourner la tête de sa petite Reyne, l’homme sans qui Fitzounette ne pourrait pas vivre. Mais, celui pour qui la Duchesse Chandos de Penthièvre avait renoncé à sa vrai vengeance et ravalé sa colère, sa rage même. Kilia avait du se taire, et laisser faire sa nièce, même si cela avait été plus que difficile, la Duchesse-mère l’avait fait par amour de sa blondinette. Son regard, attendait un mot. Le mot ne vint pas. Tant pis, cette fois ci, le Pair se débrouillerai. Talons qui effleurent la toison noire, cheval qui ouvre le pas.

Lasse de tout ceci, elle ne veut qu’une chose être certaine maintenant que Fitzounette se porte bien, lui dire que son pair est libre, et lui annoncer qu’il n’avait pas suivi. Voir son regard. La prendre dans ses bras, et attendre que ça passe…ou pas.

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[J'aime pas le nouveau forum!]
[15-02-2009 23:20 : vous avez reçu un rocalin qui console de la part d'Armoria]
Luciedeclairvaux
[Avant Couesmes, ou peut-être après ... on n'est plus à ça près ... non c'était avant à cause de la lettre, breeeeef]

Hey, c'est pas parce que j'suis une crapule que ...

La petite était montée en croupe. Vous allez me dire, elle suit souvent des inconnus comme ça ? Ben oui, mais on n'a pas eu le temps de vous présenter la scène. En fait, ils s'étaient déjà rencontrés, ces deux-là. "Quoi, comment j'm'appelle ? ben Lucie, tu t'rappelles pu face de cyclope ?"
Ailleurs, dans d'autres lieux bien plus sombres.

Ou peut-être après ...

*Regarde son auditoire atterré.*
"On s'en fout ! La suite !"
Ben quoi, on peut faire durer le suspens.

Mais revenons à nos couleuvrines ... Donc, la petiote, à dada sur le bidet. Le crottin, les empreintes, les lys, tout ça tout ça.


... les lys ? Comme les enfarinés qu'j'ai croisés en taverne, le tarin au vent ?
Dis, elle sent si fort que ça, la vanillée, Glaber ?


Elle n'allait pas tarder à le savoir puisqu'en suivant la vallée tortueuse, ils avaient fini par déboucher sur les murailles de Vautorte. Ca grouillait dans les taillis. Mêmes les piafs et les lapins en restaient cois.

Le borgne comptait les bouses.


Planque le saucisson, j'sais pas combien ils sont, mais c'qu'est sûr, c'est qu'y en aura pas assez pour tout l'monde !

Dans la cour de Vautorte, ils tombèrent nez à nez avec la brune aux dents longues. Oh vla la m... mère Kilia. Tiens, celle-là aussi, elle la connaissait. Décidément ... Ben où elle va comme ça, elle n'oublierait pas quelqu'un par hasard ? Aaah de l'art de faire le vide autour pour mieux isoler sa proie. Méchante sorcière. Lucie prit son petit sourire d'ange qui sait rien, qu'a rien vu. C'était pas ses oignons. Enfin si un peu ... mais par ricochets. Et les ricochets, quand ça prend de la vitesse, ça peut faire mal aux ratiches. Elle se laissa glisser de Grand Ch'val et dégaina sa rapière.

Bon, c'est qui qu'on occis ?!
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Armoria
Le cheval se, donc dirigea vers la sortie, tranquillement tranquille, juste le temps de dire à la damoiselle qui venait d'arriver :

Personne à occire, sauf, si le coeur vous en dit, un ou deux gorets pour fêter notre départ.

Encore quelques mètres, et elle tomba comme par magie, sur un tonneau qui bougeait tout seul et des 45 qui trépignaient. Ils perdirent bien deux semaines, le temps de retrouver leur chemin, parce qu'ils étaient hyper méga trop forts, mais un peu mous du bulbe, tous autant qu'ils étaient. Enfin, le principal, c'était qu'ils rentraient à la maison. Et puis qu'ils n'avaient franchement plus envie de revenir en Anjou. P'tite chanson pour la fin, sur fond de soleil couchant - ou pas.

I'm a poor not lonesome "boulet"
And I'm far away from home.

**************** THE END **************
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