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[RP] forge leo..., 22 place du marché

Leo...
Sa vision s'évanouit donc et alla rejoindre l'usine des ours esclaves au cimetière des illusions perdues, et leo... se concentra sur le futur immédiat.
A quoi allait il employer dans une forge une enfant d'environ 5 ans qui n'aurait jamais la force de soulever un sac de minerai de fer, une enclume, ou même un simple marteau.

Il passa les différents emplois dans sa tête:

Lui fabriquer un petit marteau et une petite enclume pour fabriquer de petits objets. A part comme jouet c'était exclu, il pourrait d'ailleurs envisager de commercialiser de tels articles pour les périodes des fêtes, mais la petite serait incapable de forger même un coueteau, ou mêle de retirer les fers du feu.

Mettre à profit sa petite taille pour lui faire ramoner les cheminées.
Avantage: avec ses petits doigts et de petites brosses, elle ferait merveille dans le récurage de la moindre trace de suie. En la recouvrant de brosses de toutes sortes il pourrait aussi la transformer en hérisson humain.
Inconvénient: risque de décès de l'enfant étouffé par la suie et les cendres en suspension dans l'air. Même s'il arrivait à se procurer un autre enfant du même âge, de la même coorpulence et assez ressemblant, il y'avait de fortes chances que caméliane s'apperçoive de la subsitution et prenne mal la chose.
Autant utiliser un véritable hérisson ou faire appel aux services d'un professionnel.

L'utiliser à nettoyer la maison.
Avantage: une maison propre.
Inconvénients: gapsillage de savon, de cire et de lessive dûs au trop grand enthousiasme de l'enfant, des marches et du carrelage trop glissants donc dangereux, voire même une maison envahie de bulles de savon. En outre la petite taille de l'enfant rendrait difficile pour elle de nettoyer les carreaux ou faire les poussières en haut des meubles. Sauf à utiliser une échelle, mais en cas de chute il s'exposait à de nombreux dégats ou à des fenêtres brisées.
A l'utiliser à la cuisine il s'exposait à de la nourriture brulée ou à l'incendie de sa maison ou encore à des bris d'assiettes et de plats si elle se brulait avec le four.

L'utiliser à se procurer des clients en lui faisant par exemple distribuer des prospectus.
Avantage: plus de clients.
Inconvénient: risques d'enlèvement par un passant ou que des concurents s'en prennent à elle, ce qui provoquerait une perte financière due à la destruction de précieux prospectus coutant cher à imprimer.
Il n'était d'ailleurs pas sûr que le supplément de clients vaille la dépense, il croulait déjà sous les commandes.

L'utiliser à se procurer des matères premières.
Le bois: impossible, elle serait incapable de bucheronner, encore moins de rapporter des troncs d'arbre de la forêt la plus proche.
Le fer: il ne la voyait pas aller à la mine. Elle pourrait éventuellement pousser des chariots de mine ou aider à piocher ou étayer les boyaux, mais comme il n'y allait pas lui même cela reviendrait à aider un autre mineur, bref aucun intérêt pour lui.
Les peaux. Là c'était envisageable. Pas avec les peaux de boeuf ou de mouton, elle serait incapable de les égorger, mais elle pourrait attirer des chats qu'elle tuerait à coups de bâtons avant de les écorcher avec un couteau. Il pourrait ensuite utiliser les peaux pour fabriquer des casques.
Avantage:
Les chats ne manquaient pas, surtout là où l'on déchargeait, conditionnait ou vendait les nombreux poissons pêchés dans le lac. Ils ne se méfieraient pas d'une fillette et les peaux s'accumuleraient dans son entrepot.
Inconvénient:
Risques de graves traumatismes psychologiques chez l'enfant dont la mère risquait de ne pas être sensible à l'intérêt de l'augmentation de son stock de peaux.
Importants frais de teinturerie pour nettoyer les projections de sang sur les vêtements, encore que la confection ou l'achat d'un tablier réduirait les dégats. Il y'avait aussi le risque de représailles d'un ami des bêtes ou d'un propriétaire de chat.
Idée intéressante mais à garder pour plus tard.

L'utiliser aux traveaux des champs.
Le maniement de la charrue ou de la faux était exclus. Mais une aide aux semailles ou le glanage d'épis tombés lors des moissons, un ramasasge des caillous lors des labours ou encore la chasse aux oiseaux après les semailles était envisageable. Elle pourrait aussi porter dans un panier les collations des ouvriers agricoles.
Avantages:
Pour l'enfant de l'exercice et une vie au grand air.
Pour moi de meilleures récoltes et moins de destructions par les oieaux. En plus si la fillette arrivait à en tuer suffisament elle pourrait les manger ce qui réduirait les frais de nourriture. Le coût engendré par la fourniture d'un bâton, d'une fronde ou d'un lance pierre (et dans ce cas les projectiles étaient gratuits et ne manquaient pas il n'y avait qu'à se baisser pour les ramasser) seraient largement compensés par les gains.
Inconvénients: surtout pour les oiseaux.
Risque que le champ soit à la longue envahi de cailloux si on n'arrivait pas à la dresser à ramasser les projectiles après chaque tir.


Dis voir petite, tu sais te servir d'une fronde ou d'un lance pierre?
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--Elisa_choupinette
- Vi tonton Léo, mère m'a appris à tirer sur les lapins et les pizons, parce que c'est bon pour les ragoûts elle dit toujours ma maman. Tiens regarde...

L'enfante sorti de sa petite sacoche une fronde faite de lanière de cuir et la montra fièrement...



- Pi j'ai plein de petits cailloux blancs pour mieux les voir dans les prés, comme ça je les pers jamais.

Elle se tourna vers sa mère, qui lui souriait tendrement...

- Dites m'man ? Je peux rester avec tonton Léo pendant que vous allez à la mer avec Yaël ?
Cameliane
Ben... voilà... que cinq ans et déjà elle s'émancipait. Cameliane émit un petit rire, puis secoua la tête, réfléchit et finit par dire..

- Bon... tant que tonton Léo ne vous trouve pas un mari ou ne vous envoie pas au couvent, je veux bien...

Elle embrassa son enfant, la calina très très fort puis s'adressa à Léo

- Bon, si tu es d'accord bien entendu, je veux bien te la confier, mais par pitié Léo, évite de l'envoyer dans les terriers pour en faire sortir les lièvres ou encore de la faire monter aux arbres pour cueillir des cerises... à la limite... la maraude dans les potagers est permise. Je file vous chercher quelques affaires pour elle.


Une fois fait, elle fit ses au revoir à son ami, et calina très très fort encore une fois sa fillette adorée-qu'elle-aime-tant, le coeur un peu serré...


- Tu seras entre de bonnes mains avec tonton Léo, mais ne le fait pas tourner en bourrique... manquerait plus qu'il nous fasse des épées toutes tordues...


Un clin d'oeil, et de se sauver pour tenter d'attraper le coche en partance sous peu.

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Capitaine de l'Edelweiss ou de l'Eternel, ça dépend des circonstances, et surtout de l'ennemi.
--Jeannot_
Jeannot fuyait, il sentait le danger tout autour de lui.
Autrefois lui et sa famille vivaient heureux et en paix. Ils avaient été épargnés par les croisades, les récoltes étaient bonnes, ils étaient prospères, puis la mort était arrivée et avait frappé.

Un tueur fou s'était installé dans la région et un jour Jeannot avait retrouvé les restes de son père. Quelqu'un l'avait tué écorché et dépecé.
Ensuite il avait retrouvé le cadavre décapité de sa mère.
Ses frères et soeurs avaient tous été massacrés et mutilés les uns après les autres et aujourd'hui c'était son tour.

Il pouvait sentir la présence du tueur autour de lui et il courrait pour sauver sa vie. Il était essoufflé et son coeur battait à tout rompre, il guettait chaque arbre et chaque buisson d'où il pouvait surgir et il ne vit pas le piège dans lequel il se prit les pieds.

Immobilisé au sol il ne pouvait plus fuir, c'est complètement impuissant qu'il vit la mort approcher, le libérer du collet et le suspendre par les pieds.
C'était une fillette avec le visage maculé de boue, des plumes de corbeau étaient fichées dans ses cheveux, des peaus de lapin et une fronde pendaient à sa ceinture.
Jeannot poussa un glapissement de peur. La fillette s'adressa à lui d'une voix rauque.


Dans ton terrier c'est toi qui fait la loi, mais ici c'est moi. T'as pas compris que je pouvais tous les tuer et que je pouvais te tuer toi aussi?
Fallait pas m'emmerder et manger les récoltes de tonton leo..., maintenant je dois faire passer le message aux autres.


D'un coup sec du plat d e la main elle lui brisa la nuque, fit sauter un oeil, l'écorcha et le vida.
Elle préleva les pattes pour son gouter et abandonna le reste de la carcasse comme avertissement pour les autres lapins et accrocha la peau à sa ceinture avec les autres.
Puis elle partit en courrant vers le champs de maïs: il lui semblait avoir vu une volée de corbeaux.
Leo...
Elisa avait mis sa plus belle robe et était partie gambader dans la campagne.
Elle sautillait à cloche-pied en chantonnant.


17 17 17 17 17 17 17...

La journée était magnifique et elle saluait ses amis au passage.

Bonjour le soleil 17 17 17 17 17 17 17...

Elle sourit à son ami le soleil et lui fit un signe de la main.
Le soleil lui répondit. *


Bonjour Elisa, regarde comme je brille bien pour toi, je vais te faire une belle journée ensoleillée pour que tu n'aies pas froid.

Elle salua son ami le nuage.

Bonjour le nuage, qu'est ce que tu es beau 17 17 17 17 17 17 17...

Le nuage lui répondit. *

Bonjour Elisa, je vais prendre une forme amusante pour te faire sourire, et si tu as trop chaud je me mettrai devant le soleil.

Elle rit en voyant la forme cocasse choisie par son ami le nuage, et tout en continuant à sauter à cloche-pied et à chantonner elle salua le vent, elle salua les fleurs, elle salua les arbres et tous lui répondirent. *

Bonjour Elisa, tu es vraiment une jolie petite fille!

Et la nature entière chantait avec elle. *

17 17 17 17 17 17 17...

Elle s'arrèta de sauter à cloche pied et salua un lapin.

Bonjour monsieur lapin, tu veux jouer avec moi?

Le lapin lui répondit . *

Mais bien sûr Elisa!

Elissa cueillit des herbes bien tendre et bien vertes et s'approcha du lapin pour les lui donner à manger.

Tiens monsieur lapin, c'est pour toi, je vais t'appeller Panpan.

Tout en mangeant Panpan lui répondit. *

Merci Elisa, c'est un très joli nom, et tes herbes sont très bonnes et ....

Avant que Panpan ait eu le temps d'ajouter quoi que ce soit, Elisa lui attrapa les pattes arrières et lui brisa la nuque d'un coup sec du tranchant de la main, puis elle jeta la carcasse dans les buissons pour les charognards.
Encore un méchant lapin qui ne ferait plus de mal aux cultures de tonton leo....
Elle pouvait continuer son jeu maintenant, elle se remit à sauter à cloche-pied en chantonnant.


18 18 18 18 18 18 18.....





* Evidemment aucun son ne se fit entendre, mais il ne faut pas oublier que nous avons affaire à une petite fille de 5 ans qui n'a pas peur de tenir de longues conversations avec sa poupée. Aussi admettrons nous que, prise dans son jeu d'enfant, elle ait été persuadée d'entendre une réponse.
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--Mimile_le_vieux_corbeau
Mimile était à la recherche d'un endroit pour déjeuner. Comme souvent il marmonait dans sa barbe. Un humain aurait compris CROÂÂ CROÂÂ CROÂÂ, mais voici ce que pouvaient comprendre les autre corbeaux.

Pff, le soleil d'aujourd'hui il ne vaut pas le soleil de dans l'temps. Quand j'étais jeune là on avait un vrai soleil qui réchauffait correctement les plumes. Aujourd'hui le soleil ne vaut plus rien j'ai toujours froid.

Il en était là de ses réflexions quand il vit un champ de maïs qui s'étendait un peu plus bas. D'un coup d'aîle il se rapprocha, se posa, jaugea les épis d'un oeil critique, commença à en picorer un et se remit à croasser.
Le langage des corbeaux étant un langage très subtil, il y'a un nombre très important de nuances dans le mot CROÂÂ. Un humain n'aurait fait aucune différence avec les premiers CROÂA CROÂÂ mais voici ce qu'entendirent les autres corbeaux autour de lui.


Et ces épis, vous appellez cela des épis? Dans le temps oui on avait de vrais épis, dorés, croquants, juteux, savoureux. Aujourd'hui tous les épis ont un goût de carton, on ne sait plus faire de vrais épis comme dans l'temps.

Mais à son grand dam aucun aucun des autres corbeaux ne l'écoutait, tout occupés qu'ils étaient à dévorer le maïs. L'un deux, qui venait de le bouculer pour s'approcher d'un épi particulièrement savoureux situé à côté de lui, s'attira aussitôt les foudres du vieux corbeau. Vu le ton des CROÂÂ CROÂÂ même un humain aurait perçu une certaine irritation. Voici ce qu'entendit l'importun.

Et les jeunes d'aujourd'hui n'ont plus de respect pour rien, aujourd'hui ils vous bousculent pour s'approprier votre maïs.
De mon temps ça ne se passait pas comme ça, on respectait les anciens. En vol on battait des aîles pour les saluer, on se posait les premiers dans les champs pour qu'ils puissent ensuite venir en toute sécurité, et on les laissait manger le maïs en premier pendant que nous surveillions les épouvantails et les renards, mais c'est bien fini tout ça.


Le vieux corbeau en était à parler des malheurs qui allaient s'abattre sur la gent corvidée à cause de son manque de piété quand son crâne fut fracassé par une pierre.
Les autres corbeaux, peu soucieux de partager son sort, tentèrent de s'enfuir mais ils tombèrent les uns après les autres victimes d'une véritable pluie de pierre, qui touché à la tête, qui touché au ventre...
Un seul, très chanceux, fut seulement frôlé et parvint à s'enfuir et à prendre le large en croassant. Ce qu'il dit? Aucun corbeau à part lui n'était plus là pour l'entendre. Mais les variations de ses CROÂÂ CROÂÂ contenaient des jurons intraduisibles en humain et des mots beaucoup trop grossiers pour que nous les reproduisions ici.


Elisa, très contente d'elle même, rangea sa fronde et se mit à ramasser les cailloux blancs et les cadavres de corbeaux.
Elle se rappellait les consignes de tonton leo...:
Ne pas tuer tous les corbeaux, toujours en laisser un s'enfuir pour qu'il puisse raconter aux autres que ce champ de maïs était très malsain.
Bien penser à ramasser tous les cailloux après les tirs.
Les ouvriers agricoles n'aimant pas marcher sur des cadavres d'oiseaux, il fallait tous les ramasser.

Elle préleva quelques plumes qu'elle ficha dans ses cheveux et jeta les corps dans les buissons. C'était les renards qui allaient être contents.
Cameliane
- Léoooooooooo ! Me voici de retouuuuur ! Elisaaaaaa vous êtes lààààà ?? Houhouuuu !

Une fois la tête passée par l'entrebâillement de la porte forgeresque, le corps suivit. Encore heureux d'ailleurs. Une tête sans corps... brrr....

- Je vous ramène quelques petits souvenirs du couvent Provençal !
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Leo...
Leo... était en train de règler des comptes. Il était assis à une table à côté d'une bourse ouverte.
En face de lui était assise une petite sauvageonne aux genoux et aux coudes écorchés portant un habit en peau de lapin. Elle avait des plumes de corbeau fichées dans ses cheveux, son visage était maculé de suie, elle portait une besace en bandoulière. A sa ceinture pendait une fronde.
Entre eux: deux verres, une bouteille remplie d'un liquide translucide, de l'eau peut être, et une cruche remplie d'un liquide blanc.


La petite sortit de sa besace des peaux de lapin et des cadavres de corbeaux. Leo... compta.

Alors Elisa, combien de peaux de lapin?

Il compta avec elle.

Une, deux, trois, quatre, cinq, six. C'est très bien.
Et des corbeaux? Un, deux trois, quatre, cinq... Bravo.
Onze proies en tout, je te dois donc deux écus et deux deniers.


Leo... récupéra les peaux de lapin, les examina et les marqua, elles serviraient pour les casque. Il examina les corbeaux, il faut dire qu'au début la fillette avait essayé de lui refiler des cadavres à moitié décomposés ramassés sur le bord de la route, et il les envoya droit à la cheminée. Il ne tenait pas à se les voir refourguer quand ils feraient affaire à nouveau.
Il paya sans barguigner ce qu'il devait et remplit les verres.


Après les affaires il faut trinquer. A ta santé!

La petite rangea son argent et trinqua avec lui, c'est au moment où leurs verres étaient levés que Caméliane entra.

Léoooooooooo ! Me voici de retouuuuur ! Elisaaaaaa vous êtes lààààà ?? Houhouuuu !
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Cameliane
Ils buvaient. Ils buvaient, mais ils buvaient quoi donc... Han grand dieu... Le sang de Cameliane ne fit qu'un tour... Non pas possible que Léo lui donne une liqueur ou un vin, elle s'approcha, heureuse de retrouver son enfant en parfaite santé, toujours aussi craspouillette...

- Bonjour à tous deux !

Zieuta rapidement ce que contenait le gobelet de sa fille et vit... du lait ! Jamais sa confiance en Léo ne faiblissait, mais à un moment... Léo ne connaissait pas grand chose aux enfants et donc... Enfin elle attrapa son petit bout et la calina à l'en étouffer puis se tourna vers Léo et lui fit la bise habituelle, ravie de constater que tout allait bien.


- Mille merci Léo de vous être occupé d'elle, alors racontez-moi tous les deux comment ça s'est passé !

Elle prit un siège, garda Elisa sur une cuisse et Yaël sur l'autre et écouta...
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Leo...
Au moment de trinquer Caméliane entra en coup de vent et se précipita vers sa fille. C'était normal, ils n'avient pas l'habitude d'être aussi longtemps séparés. Puis après l'avoir salué elle demanda.

Mille merci Léo de vous être occupé d'elle, alors racontez-moi tous les deux comment ça s'est passé !

Mais très bien, elle a passé ses journées à courir dans les champs s'est bien faite à la vie au grand air.
Elle a fait une hécatombe de lapins et de corbeaux et commencé à gagner un peu d'argent.


Puis léo... se leva et alla chercher deux verres, un grand et un petit.

Maintenant trinquons à vos retrouvailles. Yaël est grand maintenant il voudra peut être une petite goutte de gnôle dans son lait?
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Cameliane
Elle écoutait en souriant les propos de Léo, grimaça quand même un peu en apprenant que sa fille tuait des lapins. Mais bon, il faut bien commencer à un moment à gagner son écot. Elle félicita son enfante, fière tout de même de ses exploits.

La question de son ami la laissa sans voix...

- Pour la gnôle à Pépé... on va attendre qu'il soit encore un peu plus grand Léo ? Là quand même... grand par la taille mais petit par l'âge hein... aller trinquons aux piécettes gagnées par Elisa !

Elle leva son verre, le choqua doucement contre les trois autres et avala le lait d'une traite. Puis farfouilla dans sa sacoche de selle qu'elle portait sur son épaule...

- Tiens Léo, je t'ai rapporté ça de Savoie. Laisse le couler encore un peu et bien prendre les vers. Quand ça grouillera, tu pourras te régaler.




Le clocher annonçait la fin de la journée... elle posa le fromage sur la table puis essuya les lèvres de ses enfants, tenta de remettre un peu d'ordre dans la tignasse de sa fille. Rien à faire, alors elle se contenta d'arranger les jolies plumes dans un savant désordre.

- Encore merci à toi Léo, et si tu as besoin de quoi que ce soit, tu sais où me trouver... Il nous faut rentrer maintenant. Au fait, as-tu des projets pour les jours à venir ?


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Leo...
Des projets? Un peu oui, étudier la navigation, et pècher un peu.
Et bien sûr m'occuper de ma forge, merci au fait pour l'écriteau que tu m'as fait, je l'ai mis devant ma boutique.
Pour le fromage je vais le garder jusqu'à ma prochaine blessure quand j'aurai besoin de récupérer. Ca me fera ma ration de viande.




Après qu'ils aient trinqué ensemble leo... laissa partir ses hôtes.
Après tant de temps éloignés les uns des autres ils avaient surement envie d'un peu d'intimité et plein de choses à se raconter.

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Cameliane
- Hmm, parfait Léo. Vraiment de rien tu sais, si tu as besoin de quoi que ce soit d'autre, tu sais où me trouver... Quant au fromage, ne tarde pas trop quand même à te faire blesser hein...

Clin d'oeil malicieux, le bise tout plein et prend congé avec ses enfants... Elisa lui fait un grand coucou en partant, sourire radieux aux lèvres, met la main dans sa pochette qu'elle tient en bandoulière pour faire tinter les pièces...
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Leo...
De retour d'un long voyage leo... devait remettre en route son commerce.
Après avoir déposé son bardat il rouvrit son échoppe, remis ses articles dans la devanture, et ressortit son enseigne et son panneau de prix.

Une fois cela fait venait le plus important. Il étala une bonne couche de charbon et avec une émotion intense il alluma le brasier.
Sa forge vivait à nouevau, le bruit du marteau sur l'enclume en était le meilleur signe.


La pendule fait tic-tac-tic-tic
Les oiseaux du lac pic-pac-pic-pic
Glou-glou-glou font tous les dindons
Et la jolie forge cling-clang-clong

Mais... clang!
Quand le marteau fait clang
Tout avec lui dit clang
Et c'est la forge qui s'éveille...

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Solid
Alors qu’elle était en taverne, la môme avait demandé qui était le meilleur forgeron de Genève, celui qui travaillait vite et bien. Tout le monde était d’accord pour lui désigner un certain Leo. On lui avait indiqué le chemin de la forge et elle s’y était rendu dans l'instant. C’est que sa requête ne pouvait pas attendre. Dans une semaine, elle aurait quitté Genève et sa hache devait être prête pour la fin du tournoi auquel elle participait.

Oh hé du ba… Oh hé de la forge…

Elle entra dans l’échoppe sans attendre qu’on l’invite, la fameuse hache à la main, observant le fond de la pièce d’où venait des sons de métal sur métal.
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