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[RP] forge leo..., 22 place du marché

Leo...
CLANG CLANG CLANG

Quelqu'un venait d'entrer dans sa forge, et ce quelqu'un était armé d'une hache.
De deux choses l'une, soit c'était un brigand, soit un client.
Genève n'étant pas une ville forestière leo... garda son marteau dans une main et sa barre de fer dans l'autre.


Bonjour, je peux quelque chose pour vous ma bonne dame?
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Solid
Bonjour, je peux quelque chose pour vous ma bonne dame?

Ma bonne dame, ma bonne dame, il en avait de bonnes le forgeron. Elle sourit... rester calme, ne pas se faire remarquer. Elle posa sa hache à côté de l'enclume et observa les outils autour d'elle plus précisément le gros marteau.

Je viens pour faire aiguiser ma hache, ma belle hache. Votre prix sera le mien, c'est pour un cadeau.

Elle fit quelques pas dans l'atelier en attendant que le forgeron lui fasse une offre.

De toute manière, il parait que vous êtes le meilleur et je ne veux que le meilleur pour ma hache.

S'arrêtant à nouveau à son niveau, elle le regarda avec intérêt.
Leo...
Ah un client, parfait! Des haches! Ca faisait un moment qu'il n'en avait plus aiguisées.
Une autre phrase retint son attention: votre prix sera le mien! Chose qu'il faut éviter de dire à un commerçant, elle avait de la chance qu'ilne soit pas dans ses habitudes d'escroquer ses clients.
A fribourg le tarif était de 20 écus par jour, ça fournissait même un emploi réguilier. En souvenir du bon vieux temps il n'allait pas demander plus. Il jaugea la hache en connaisseur.


Belle hache en effet. 20 écus ça vous irait? Je n'ai pas de besogne urgente, je peux m'y mettre dès maintenant. Elle sera prète avant le tournoi.
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Solid
20 ? c'est plus que raisonable. Mon associé viendra la chercher car je compte partir tôt pour Nyon-Les-Mines afin de repérer un peu le terrain.
Je vous remercie grandement. A bientôt.


Elle salua l'homme et sortit en souriant jusqu'aux oreilles, contente de voir son projet se concrétiser.
Leo...
La maison Leo... a tout ce qu'il faut pour votre service: du bois pour votre échoppe, des seaux et des couteaux pour vos élevages, des épées pour nos fiers guerriers, du lait et du maïs pour leur nouriture, du blé pour nous faire le bon pain genevois....

Ben quoi, il faut bien se diversifier
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Leo...
Et voila, deux kilos de fer brut. C'est les charpentiers qui vont être contents.
Je vais pouvoir me remettre à étudier l'astronomie.

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Eireen
Je me réveillai en sursaut, un mal de tête cruel me possédait intégralement. Quelle idée avais-je eu de me laisser enivrer par une telle quantité d’alcool en une seule soirée; Fêtez mon arrivée : Ah !

Je jetai un regard nerveux autour de moi, n’ayant aucun souvenir de m’être ainsi endormi en cet endroit inconnu. Fort heureusement, j'arrivai à me rappeller la dite soirée, du moins, jusqu'à ce que je franchisse le seuil de sortie de la taverne. Craignant de me trouver en un lieu inopportun, je m’empressai à me relever, secouant les quelques brindilles qui ornaient mes habits de fortune du moment.

Ma main passa inlassablement contre l’une de mes tempes, il me fallait prendre davantage l’air qu’icelieu pour tenter de chasser ces battements infernaux. Regardant de toute part, je glissai rapidement ma frimousse hors de cette grange, soucieuse d’observer le moindre mouvement qui aurait pu rediriger mes pas puis je me faufilai en direction de la place du marché.

Arpentant quelques petites ruelles, je senti non loin l’odeur saline et poissonneuse immanent du Port. Quelques mouettes paresseuses jacassaient faiblement, Genève était endormi dans cette petite brise matinale. Mes respirations contrôlées rehaussaient finement le désagrément de mon ivresse de la veille. Je resserrai frénétiquement autour de ma taille fine cette épaisse couverture que l’on avait eu la gentillesse de me prêter le jour précédent; le froid était à en glacé le sang.

Je profitai de cet instant solitaire pour observer quelques petits commerces établies ici et là. Une enseigne attira mon attention, semblant à s’agir être une forge. Je m’approchai en silence, posant mon regard sur la pancarte affichée.


Citation:
Forge Leo...

couteaux: à partir de 17 écus
seaux: à partir de 45 écus
fer brut: à partir de 55 écus
casques: à partir de 170 écus
haches: à partir de 175 écus (sur commande)
épées: à partir de 220 écus


Un sourire s’imprégna à mon visage, reconnaissant le nom de l’homme rencontré un jour plus tôt. Je relevai les yeux pour regarder une fois de plus l’enseigne me promettant de venir le voir lorsque viendrait le jour où je pourrai me procurer une bonne épée. Après tout, cet homme m’était apparu fort bien sympathique et il avait pris de son temps pour me renseigner au mieux sur une part d’histoire récente de Genève.

- Il me faudra bien venir vérifier si la qualité de ses produits excelle tout autant que son bon accueil ..

Sur ce murmure, heureuse que mon mal de tête se soit enfin estompé, je poursuivi ma découverte de Genève.
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Cameliane
- Pom pom pom pom... tonk tonk tank... pam pam pam...

En chemin jusqu'à la maison de son compagnon d'arme, elle chantonnait de manière inconsciente le refrain rythmé que rendait le marteau sur le fer rougit de chaleur.

Une fois arrivée, elle sortit de sa bourse la clef puis entra et aéra les pièces en grand,
de belles flambées virent le jour dans les âtres afin de chasser l'humidité qui s'installait,
les draps recouvrant le mobilier furent secoués dehors,
les fromages du cellier lissés de la main et retournés sur leur étagère,
puis elle s'installa sur l'unique fauteuil de la grand'pièce pour lire le Livre des Vertus qui reposait sur un guéridon.
Le temps fila comme un sablier dont l'étroit passage se trouvait agrandit pour l'occasion...

Dire qu'ils avaient enlevé le Pape et le promettaient au bûcher...
La dernière lettre de Léo lui revint en mémoire. Qu'est-ce qu'ils fabriquaient tous...
Secouant la tête doucement de dextre à senestre, elle se releva, remit les draps sur les meubles, prit la panière de linge pour le laver chez elle et referma soigneusement la demeure.

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Capitaine de l'Edelweiss ou de l'Eternel, ça dépend des circonstances, et surtout de l'ennemi.
Leo...
Leo était de retour après un long voyage. Avant de partir il avait pris soin de disposer des coupelles de lait près de sa maison en paiement pour les elfes et les lutins. Contrairement à certains de leurs collègues ils ne s'occupaient pas de son échoppe pendant son absence ou quand il dormait, mais ils entretenaient sa maison pendant ses voyages.

Les coupelles étaient vides, c'est que le ménage était fait.

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Leo...
Leo regarda sa provision de bois d'un air amoureux.

Le bois, c'est la vie!
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Leo...
Encore un cours ou deux et je pourrai monter des murs, je vais pouvoir reprendre les cours de navigation.
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Antoine.
Antoine marché tranquillement revenant de l'avoyerie de Genève, admirant le ciel est ses quelques nuages, l'air frais revigorant, les paysannes sales et mal vêtus, preuve d'une vie difficile, mais beaucoup passe par là... Ses parents en étaient, dans leurs ferme, en périphérie de la ville, bien heureux était-il de ne pas avoir la même vie... Un malheureux adossé au mur d'une échoppe, sa maigreur, son visage pale recouvert par la crasse, Antoine frissonna à la vue de cet individu. Il continua la route, puis fit demi-tour, il s'approcha du vieux, ouvrit sa bourse et sorti deux pièces d'or, il tendit la première au vieux qu'il lui arrachait des mains, il lui tendit ensuite la deuxième, en lui accordant un petit sourire discret. Sans dire un mot il fit demi-tour, referma sa bourse et observa du coin de l'oeil, le pauvre homme se lever et se rendant, boitant, au boulanger le plus proche...

Quelque minute de marche, on ne sera pas dire combien exactement, évitant au plus possible la fange des gens, il arriva à l'échoppe de Léo... Il s'y avança et interpella le forgeron !


Bien le bonjour messire Léo !

Sortant de sa besace le gantelet de fer en morceau et l'autre, entier, puis retirant sa cotte de maille le laissant habiller d'une veste gamboisé et d'une chainse (chemise médiéval) par-dessous.

Seriez-vous messire, réparer le trou dans la cotte de mailles, je crois qu'il manque cinq anneaux suite au coup de dague reçut du feu sieur Arnaut. Seriez-vous aussi me dire pour le gantelet, si une épée, même une très bonne épée, peut découper aussi proprement ce gantelet, enfin ce qu'il en reste, pourriez-vous m'en forger un à la place de ce qu'il reste de celui-ci, ou me le réparer ? Si cela est possible vu le nombre de morceau...
Votre prix sera le mien.


Antoine lui adressa un sourire en attendant la réponse
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Leo...
Leo... avait laissé dans un coin l'épée qu'il était en train d'aiguiser le temps d'écouter son visiteur.

Et bien pour les mailles ça ne devrait pas poser de problème, par contre pour le gantelet il faudra que je puisse y jeter un oeil.
Tout dépend s'il est en mailles, en plaques, avec une partie en cuir, et du genre de coup que l'on a porté. Je peux y jeter un oeil?

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Antoine.
Antoine lui sourit, il déposa les petits morceaux du gantelet, d'ailleurs, reconnaissions nous encore la forme du gantelet...A côté, il déposa l'autre, celui qui étais entier...

Comme vous pouvez le voir, gantelet de plaque, riveté et attacher à un gant de cuir... Pour la cotte de maille...

Dépose la lourde cotte de maille.

Maille simple, riveté, puis passé à l'huile de lin pour la rouille !
J'ai oublié de demander, il me faudrait une épée bâtarde, une main, avec un pommeau large, des quillons de deux pouces et une lame droite a gouttière simple !

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Leo...
Il y'a un maniaque qui a découpé votre gant avec une lime et une paire de pinces coupantes pendant que vous dormiez?
Parce que pour trancher du métal comme ça ce n'est pas avec une épée que l'on peut faire ça, à moins d'avoir excalibur ou durandal, et encore ce sont des légendes, en vrai ce genre d'épée n'existe pas.
Là il n'est pas réparable, regardez moi ça, ce serait de la cuisine je dirais qu'il a été émincé comme un oignon. Il faut vous en faire un autre, mais vu la quantité de métal et le temps qu'il faut pour riveter les plaques je vous demanderai 125 écus.

Pour l'épée je peux vous la faire à 220 écus.

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