Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>

[RP]Derrière la taverne, une lanterne rouge

Lingus
Au bout d'une longue reptation dans le sang, la bière fermentée, les morceaux de verre, l'urine et Dieu sait quoi encore, Lingus parvint au bout du couloir.
Les bruits de lutte et les râles des agonisants en provenance de la taverne avaient cessé mais on n'est jamais trop prudent hein?
Dans un élan de bravoure sans égal, il se redressa tout de même.
Il se trouvait face à une porte qu'il tenta d'ouvrir malgré le tremblement de ses mains.


*C'est bien ma veine ça! J'étais pas venu depuis perpète et faut qu'je choisisse le jour où ils s'égorgent pour m'décider à rev'nir!*
Pelirroja
Aussitôt la porte refermée, la Rouquine se boucha le nez de sa main égratignée. Le couloir qui menait au bordel empestait une odeur écœurante de gnôle, de sueur et de semences. Un lieu de perdition, en somme.

C'est alors que Peli aperçut un homme devant la porte au fond de ce long couloir. Cette porte était synonyme d'air frais - n'allons pas jusqu'à dire "pur", l'humidité ambiante de la grotte y étant un obstacle certain - ; aussi, la belle s'avança d'un pas décidé, ne cherchant même pas à cacher sa jambe droite dénudée. Ainsi vêtue, elle ressemblait à une vraie sauvageonne, tout droit sortie d'une grotte préhistorique.

En arrivant à sa hauteur, elle reconnut le visage de l'homme.

Oh ! C'est vous ! Pelirroja, enchantée. Pardonnez-moi mais... je suis pressée. J'espère que Poupette est là, il faut..., baissant les yeux sur son jupon, que je lui emprunte un vêtement.

Elle sourit, un peu gênée, mais le regard assuré et parfaitement à son aise. C'était bien connu, la belle rousse n'était guère pudique.
_________________
"Anda la Pelirroja por los caminos de la Providencia..."

Lingus
Lingus se débattait toujours avec la porte lorsqu'il entendit du bruit derrière lui. Il se retourna et vit la danseuse rouquine (et sa copine?) s'avancer vers lui, la démarche assurée et les yeux rivés aux siens.
Lui, tentait de maintenir son regard à une hauteur décente mais la tenue de la belle ibérique ne l'y aidait vraiment pas.

Elle se planta devant lui et -sans paraitre gênée le moins du monde, tant par sa tenue (ou plutôt par sa relative absence de tenue) que par le lieu de cette rencontre- se présenta.


Citation:
Oh ! C'est vous ! Pelirroja, enchantée. Pardonnez-moi mais... je suis pressée. J'espère que Poupette est là, il faut... que je lui emprunte un vêtement.


Lingus lui répondit en réprimant son balbutiement du mieux qu'il pût.

Heu... ben oui c'est moi... Lingus.
Tout l'plaisir est pour moi.

Lorsqu'elle baissa les yeux sur son jupon, il fit mine de découvrir la jambe dévoilée.
Ah oui... en effet... je... je n'avais pas remarqué... mais je crois qu'il n'y a personne, la porte est fermée.
Vous êtes... heu... une collègue de Poupette?


La question avait franchi ses lèvres sans qu'il s'en aperçoive, et déjà il aurait voulu ravaler ses mots.

*Bougre d'imbécile! Belle entrée en matière! Vraiment, bravo!
Tu n'as pas trouvé autre chose à lui demander en guise de préambule que "Êtes-vous une catin?"
Et cesse donc de regarder sa cuisse nigaud! T'en as jamais vu ou quoi?*
Pelirroja
En entendant la question de Lingus, la jolie rousse ne put s'empêcher de rire aux éclats et porta une main sur sa poitrine.

Moi ? Jóder ! Qué no ! Je n'suis pas une gourgandine, mon cher. Tandis qu'elle s'occupe de certaines bourses situées sous la ceinture, dit-elle avec un regard éhonté, moi je m'occupe de celles accrochées à la ceinture, voyez-vous.

Mais ces petites boutades ne réglaient en rien son affaire. Elle ne pouvait pas rester dans cet accoutrement et ne pouvait pas retourner à la taverne, sans risquer de s'casser la margoulette.

Vous êtes certain qu'il n'y a personne ? Avez-vous frappé au moins ?
Tout en souriant à Lingus, dont le regard jonglait entre sa cuisse dénudée et son minois éraflé, Peli s'inquiétait de ne point voir arriver son amie...
_________________
"Anda la Pelirroja por los caminos de la Providencia..."

Poupette
Poupette revient de la salle de combat, toute émotionnée. Arrivée devant la porte, elle tombe sur l'Dame Peli.

*J'io pourtant pas tripoter d'nouveau l'bout d'son gueux*

Raaa nan elle est dénudée et semble vouloir lui piquer son client !

'jour Dame..promis j'ai pas touché à vot'gars..z'avez du lui fouttre les burnes à sec.

Puis sans attendre de réponse, elle se jette au coup du gars, se collant ehontement à lui en frétillant de la croupe.

Mon Ch'tio, 50 écus à payer au Zarathoustra plus 10 écus au Serra et j'te montre les voies pour atteindre le Très Haut par des méthodes du SansNom!
Pelirroja
C'est alors que Peli vit arriver la Poupette, les pommettes toutes rosies. Elle devait sûrement revenir d'une "entrevue" avec un client. La catin semblait inquiète de voir la belle rousse dans les parages.

'jour Dame..promis j'ai pas touché à vot'gars..z'avez du lui fouttre les burnes à sec.

En apercevant le Lingus, elle se jeta aussi sec à son cou, lui vantant les mérites de ses services en remuant l'arrière-train.

La Rouquine haussa un sourcil, amusée par l'attitude audacieuse de la Poupette, même si elle ne comprenait pas bien c'qu'elle venait d'lui dire.


Mon gars ? Quel gars ? J'ai pas d'gars moi ! Pero no importa... Avant qu't'ailles faire claquer ton p'tit cul r'bondi sur les cuisses de c'messire, t'aurais pas un vêtement propre qui traîne ?, lui demanda-t-elle en tenant le pan déchiré et maculé d'sang d'son jupon dans la main.
_________________
"Anda la Pelirroja por los caminos de la Providencia..."

Lingus
La taulière arriva sur ces entrefaites et vint se pendre à son cou, lui fourrant ainsi sa marchandise pile poil sous le nez.
Elle lui susurra d'une voix lascive :


Citation:
Mon Ch'tio, 50 écus à payer au Zarathoustra plus 10 écus au Serra et j'te montre les voies pour atteindre le Très Haut par des méthodes du SansNom!


La proposition était alléchante et les attributs de Poupette l'étaient plus encore mais Lingus la repoussa d'une main ferme. Une main qui en profita pour tâter au passage quelques rondeurs tout aussi fermes!

Arff! Le Zara en question j'lui en doit déjà... mais pour d'autres services, et j'aime pas trainer de dettes.

C'était pourtant pas l'envie de lutiner la gueuse qui lui manquait!
Ils étaient bien loin les temps insouciants où il troussait les filles de ferme à l'ombre du foin. Après cela, il avait connu la solitude des chemins, voire la compagnie de ses frères d'armes qui s'y connaissaient en concours de pets mais vachement moins en trémoussage de popotin.
Puis les longues années de chasteté au séminaire avant de rencontrer sa douce et tendre. Mais la belle était pieuse aristotélicienne et réservait sa virginité à l'homme qui la mènerait devant le curé. Étant lui-même curé, il n'y avait pas eu de mariage et elle était repartie avec sa virginité sous le bras!

Aujourd'hui, Lingus était une vieille branche... il est bien connu que la sève monte moins vite aux vieilles branches. Il leur faut un printemps vigoureux, un soleil radieux pour leur tirer des bourgeons.
Il ne s'émouvait plus à la vue d'une femme qui se donne... alors une femme qui se vend! Aussi sensuelle soit-elle, il lui en préférait une qui se refuse. Seules les beautés au tempérament de feu lui procuraient les émois d'un jeune jouvenceau.

Et du soleil, il y en avait à revendre dans la voix de la flamboyante Peliroja. Rien qu'à le dire! Peliroja... Il sentait la caresse du soleil ibérique sur ses joues... à moins que ce ne soit l'effet d'une soudaine montée de sa pression sanguine...
La deuxième solution étant la plus probable vu qu'il la reluquait avec insistance!

Tant pour se donner une contenance que pour redorer son blason de preux chevalier (et faire ainsi oublier qu'il avait lâchement fui le pugilat), il ôtât sa robe de bure et se retrouva en braies et chemise.
Il la tendit à la jeune femme, le vêtement était ample et la recouvrirait sans doute jusqu'aux pieds.


Tenez... cela me fend le coeur mais passez donc cette robe.

Elle n'était pas vraiment propre car il avait rampé dans la taverne mais si la dame refusait, il aurait au moins eu l'occasion de faire admirer qu'il avait de beaux restes!
Poupette
Poupette hoche la tête de gauche à droite, desespérée. Sa blonde chevelure ondule au rythme de ce ¨blondesque mouvement. Elle vient encore de se faire taper un client par la concurrence gratuite.

- y'a plus d'respect pour les honnêtes dames qui s'échinent (enfin pas trop en ce moment) à la tâche.

Mais au fond Poupette est nourrie et logée dans la grotte. Après tout..pourquoi ne pas profiter du temps libre pour faire autre chose. Pour peut être la première fois de sa vie, la brave gourgandine va tenter d'autres activités.

Songeant à son avenir, elle entre et ferme la porte derrière elle.
Pelirroja
Voyant qu'Lingus semblait plus absorbé par le corps menu d'la jeune rouquine, Poupette ne daigna même pas répondre à Peli et rentra dans son bordel, l'air agacé.

La belle rousse soupira, lorsque l'bougre lui tendit sa robe de bure...
Tenez... cela me fend le cœur mais passez donc cette robe.

Pelirroja esquissa un sourire. Une robe de bure. Loin d'avoir des mœurs légères, la jeune femme n'était pas non plus une sainte, mais qui pouvait s'targuer d'l'être dans leur milieu ?
Elle saisit l'habit en le r'gardant de ses grands yeux bleus dans lesquels brillait une lueur de gratitude. Le gardant sous son bras, elle défit sa ceinture de cuir qu'elle coinça entre ses dents. Ah bah oui hein ! La belle, elle a qu'deux mains, on peut pas tout faire en même temps !

Peli enfila avec difficulté la robe de bure trop grande pour elle. On pouvait l'entendre marmonner sous l'étoffe.

Jóder ! Pero dónde... Pfff... Elle est où la sortie ?!

Lingus amorça un mouvement d'la main afin d'lui venir en aide, mais la chevelure de feu apparut au même instant, en pagaille. La frimousse de Peli affichait un air exténué, la ceinture entre les dents, mais, en voyant la main qui avait commencé à s'avancer vers elle, la Rouquine attrapa la ceinture, à présent libre de tout mouvement, et sourit, capuche sur la tête.

Bon... Bah j'dois pas r'ssembler à grand chose, moi ! Ou alors... à un disciple d'une confrérie vouée à l'occulte !, dit-elle d'une voix se voulant mystérieuse, mais ne put s'empêcher de rire. Ou...plus certainement, à un sac à patates... En tout cas, muchas gracias, Lingus.

En prononçant son nom, la belle rousse appuya son regard sur l'homme face à elle, simplement vêtu d'une chemise et de braies. C'est qu'il était plaisant à r'garder sans sa robe, le bougre !
_________________
"Anda la Pelirroja por los caminos de la Providencia..."

Lingus
Poupette n'insista pas plus et disparut dans son alcôve, les laissant seuls dans le sombre couloir.

Pour le plus grand bonheur de Lingus, la rousse accepta la soutane qu'il lui tendait. Elle retira sa ceinture (augmentation sensible de la tension artérielle) et se débarrassa des lambeaux de jupon qui avaient survécus au carnage (Lingus était proche de l'ébullition) puis disparu sous l'étoffe.
Elle se débattait à la recherche de la sortie, râlant dans sa langue chantante. Dans sa bouche, même les jurons sonnaient comme le chant des oiseaux, plongeant Lingus dans un profond trouble... Il serait en train de virer poète que ça m'étonnerait pas!

Il tendit la main pour l'aider à passer sa tête par le collet, mais au même moment la crinière émergea face à lui, tout sourire dehors.
Son élan fut stoppé net mais la main resta en suspens, à quelques centimètres de sa joue.


De nada guapa, je n'avais jamais vu d'aussi gracieux sac à patates!
Vous permettez...?


Il approcha encore sa main et chassa une mèche rebelle qui tombait sur le front.

Ce serait un crime de nous priver du spectacle d'un seul de vos yeux.

C'est bien ce que je disais! Dans un instant, il sortirait sa mandoline et lui chanterait la sérénade!
Pelirroja
Pelirroja ne pouvait ignorer le regard à la fois plein de fougue et de tendresse de cet homme, qui vantait sa grâce. La grâce propre à l'artiste... La belle rousse maniait la plume et le pinceau comme elle maniait la rapière et le poignard, et sa voix était capable des sons les plus mélodieux comme des menaces les plus sauvages.

Lingus, non sans hésitation, décida d'aller au bout de son geste, écartant avec délicatesse une mèche rousse qui masquait l'œil perçant de Peli. Le bout de son doigt effleura le front de la jeune femme qui, bien que sentant ses pommettes s'empourprer, gardait la tête haute, le regard droit et l'air assuré.


Ce serait un crime de nous priver du spectacle d'un seul de vos yeux.

Il émanait de sa voix une douceur qui surprit la Peli. L'homme lui avait paru si austère et distant de prime abord. Elle sourit avec candeur et détourna le regard.

Hhhmm... gracias... Et hum... , cherchant à masquer le malaise qui commençait à s'emparer d'elle, si vous n'êtes pas venu pour la Poupette, que faites-vous dans ce couloir sordide ?

La belle rousse fixa de nouveau Lingus et observa son visage. Des yeux d'un bleu aussi froid que la pierre, aussi diaphanes que l'onde... Des yeux semblables aux siens et qui savaient donc tout autant fasciner qu'intimider...
_________________
"Anda la Pelirroja por los caminos de la Providencia..."

Lingus
Ah oui, bonne question ça! Comment allait-il expliquer qu'il avait fui la taverne?
Pendant qu'elle ramassait les blessés après avoir visiblement résisté au passage d'une tempête comme on n'en trouve que dans le Livre des Vertus!

En écartant la mèche de cheveux, Lingus avait frôlé le visage de la jeune femme. Le contact fut poisseux, celui du sang.
Dans l'obscurité, il n'avait pas vu qu'elle était blessée, sans doute trop sidéré par son apparition.
Plongé dans la contemplation de sa démarche, sa silhouette se découpant à contre-jour sur la lumière rouge.
Ensuite, lorsqu'elle fut à sa hauteur, il avait eu bien du mal à la regarder dans les yeux... et l'irruption de Poupette ne l'avait pas aidé à se concentrer!

Ce n'était qu'à présent, alors qu'elle détournait son visage de lui, qu'il distinguait les reflets de la lanterne sur le filet de sang coulant au-dessus de son oeil.


Et bien je... j'ai... cherchais la sortie... voulu chercher de l'aide... enfin...

Elle se tourna de nouveau vers lui, il s'avança et tendit le cou pour voir la blessure de plus près
.

Dites, c'est pas trop grave vot' truc là?


Pour ça il était champion! Répondre à une question par une autre question, noyer le poisson...
Pelirroja
L'homme, de toute évidence gênée par sa question, essayait tant bien que mal de lui fournir une réponse qui tiendrait la route, mais la Rouquine vit bien que son esprit était ailleurs.

Aussi, après avoir balbutié quelques mots n'ayant ni queue ni tête, à moins que la belle n'ait guère toute la sienne, Lingus frotta ses doigts semant une poudre écarlate, le sang qui avait séché sur le front de Peli. Puis d'un air inquiet, il approcha son visage du sien pour examiner la blessure de plus près.

La poitrine de la belle rousse se souleva en un soupir d'anxiété, et les battements de son cœur se mirent à s'accélérer. D'une voix mal assurée et hésitante, sans le quitter des yeux, Pelirroja répondit à Lingus, portant une main timide à son front.


Oh euh... ça ? Euh... ça va, c'est hum... superficiel... Ça piquotte juste. Pero... en realidad... C'est ma... ma cuisse qui m'lance énormément.

Elle fit alors un pas en arrière pour reprendre son assurance, et manqua de s'affaler contre le mur. En réalité, la douleur commençait peu à peu à se réveiller au fur et à mesure qu'elle reprenait ses esprits, mais elle ne voulait rien laisser paraître. C'était bien la première fois que la Peli se trouvait intimidée par un homme. Enfin... première fois... Non... Le Scorpion l'intimidait aussi à leur rencontre, mais foutre dieu ! Tempérament de feu pour chevelure de feu, elle n'allait pas se liquéfier sous ses yeux !

Éclaircissant sa voix, elle poursuivit avec flegme.

No sé... comment je m'suis blessée... Tout est flou. Je m'rappelle les consœurs qui dansaient et chantaient et... buvaient... et Zara et vous... Puis plus rien !

Peli fit un sourire forcé à l'homme, tout en respirant profondément face à la douleur qui enserrait sa jambe, le regard meurtri.
_________________
"Anda la Pelirroja por los caminos de la Providencia..."

Lingus
En se penchant sur elle, Lingus avait pu sentir le souffle de la belle ibérique dans son cou.
Sa respiration était rapide, saccadée. Sans doute le contrecoup de l'adrénaline, ou bien souffrait-elle d'une blessure plus grave qu'elle ne voulait l'admettre?

En reculant, elle chancela et se heurta au mur dans son dos.
Lingus la saisi par le bras. Bien qu'elle tente de conserver son flegme apparent, elle n'en menait pas large.


Il faudrait peut-être s'inquiéter de votre cuisse avant de s'inquiéter de votre garde-robe, non? -Il ajouta dans un sourire- Je pourrais y jeter un oeil, j'ai quelques connaissances de médecine...

Il se garda bien de préciser que ses seules notions de médecine étaient qu'il connaissait le nom latin de certaines plantes... et encore, pas beaucoup!

Sans attendre de réponse, il s'agenouilla et passa une main sous le bas de la robe. La main rencontra un mollet parcouru de tremblements, la souffrance, même si elle n'en montrait rien, devait être grande.
Lingus s'immobilisa. Il s'était peu-être montré un peu cavalier en plongeant ainsi sa main sous la robe... et puis il valait mieux allonger la rousse avant qu'elle ne tombe vraiment.
Il leva sur elle un regard doux mais qui ne souffrait aucune contestation.


Vous devriez vous allonger, ce sera plus sage.

Il se redressa et, d'autorité, passa son bras autour de la taille de Pelirroja puis frappa à la porte de l'alcôve poupettienne.

Vite! Ouvre!
Nous avons besoin de ton lit!
Poupette
Poupette avait préparé son baluchon pour quelques jours de voyage. A peine eut elle terminé qu'elle entendit un cri de demande au secours derrière la porte.

Poupette ne supporte pas la souffrance des autres, c'est pour ça qu'elle fait ce métier, un pur dévouement à l'Humanité.


Elle se précipite donc pour ouvrir:


- Entrez entrez ! moi je pars en vacances quelques jours! Faites comme chez vous.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)