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[RP]Attaque de l'Abbaye de Noirlac

Kamazone
[dans la cellule du séminariste - fenêtre donnant sur l'arrière du bâtiment]

La cellule est telle que prévue, le mobilier se limite au stricte nécessaire. D'un oeil rapide et expert Kamazone analyse les atouts et défauts de la cage à cureton.

ô bonheur la fenêtre donne sur l'arrière du bâtiment..Elle pourra ainsi favoriser l'entrée du groupe..Elle s'y tient devant, de façon à etre aperçue de l'extérieur.


Le Séminariste est là, semblant plutôt gêné de sa présence. Elle lui intime de fermer la porte, d'un oeil coquin.

- Bien, la connaissance parfaite de la vertue nécessite une idée du vice.....*sourire en coin*

Sur ces paroles, Kamazone enlève un à un ses vêtements, laissant la tension du séminariste monter sous sa bure.

Une fois sa peau frémissante sous son regard hébété, elle lui ordonne, fermement


- va chercher un fouet, que je t'initie * provocante*

Elle espère ainsi qu'entre son excitation et le fait de ne pas connaître les lieux, le séminariste la laissera suffisamment seule dans la pièce pour permettre une action.

Sinon tant pi, elle devra le terrasser au sol et lui faire oublier ce qui se passe autour de lui


[HRP] mon perso n'interviendra plus ce soir...je ne suis pas dispo avant demain soir [/HRP]

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Anciennement toujours quelques douceurs à portée de main - Sicaire Morte

Enosch
[Cellule d'Enosch-fenêtre donnant sur l'arrière du bâtiment]

Enosch a écrit:
.

Enosch, troublé,certainement par le vin, excité, , ne sachant plus quoi faire sort de la piece.
*certainement le frere roger doit cacher un fouet quelque part mais où ça donc?* se dit-il...
Enosch
[Couloir des Cellules et du Dortoir]



frère roger a écrit:
.


Le vieux roger est en inspection dans le domaine abbatial & l'abbaye depuis les préoccupantes rumeurs entendues. Il se promène avec 2 jeunes clercs musclés dont le visage est caché par une capuche, portant fièrement les couleurs de la Nonciature Pontificale Romaine & lourd gourdin improvisé. Tous les occupants de l'abbaye qu'il croise sont mis au courant de la situation et les plus proches remises à outils utilisables pour se défendre renseignées puis inspectées.
Enosch
[Couloir des Cellules et du Dortoir]


Enosch a écrit:
.

Enosch arrive en courant devant le frère Roger mais un de ses gardes s'interpose prestement.
Enosch s’arrete à bonne distance et crie au Frère Roger de loin :


-FRERE SAVEZ-VOUS OU JE PEUX TROUVER UN FOUET ?

Voyant le regard de frere roger mi-choqué, mi-curieux enosch essaye de se rattraper aux branches:
-Heu c’est pour me defendre, c’est permis non ?
Kamazone

Dans la cellule du séminariste, Enosh


bridgess1961 a écrit:
Toc Toc
-Eno je peux entrer ?
Toc Toc

Bridgess ouvrit rapidement la porte, elle avait hâte d'annoncer à son ami qu'elle avait enfin remis sa leçon au Frere Nainainus.

-Eno! Hey tu réponds pas ? J'ouvre la !
Bridgess entra dans la chambre, AH ! Surprise ....MAIS QU'Est donc ??? UNE dame dévêtue !!!
Bridg se surpris à ressentir un pincement au cœur, et les questions se bousculèrent dans sa tête ; *que fait-elle dans cette chambre ? Eno est-il au courant ? Si oui pourquoi l'a-t-il amené ici ?*
Bridgess d'abord stupéfaite se reprit rapidement. Elle vit un manche à portée de main et intima à la dame de se revêtir. Mais elle sembla narguer Bridg, en souriant bêtement, pensant avoir à faire à une religieuse de toute évidence. Bridg se mit dans une telle colère qu'elle ne se reconnut pas elle-même, mais l'honneur de son ami était en jeu !

-Tu Te Rhabille où je t'aide ? , la menaçant du bâton.
Bridg prit son habit et lui lança sur la tête :

-Vous êtes dans une chambre d'un novice et nue qui plus est ! Alors, vous sortez sinon je devrai avertir le supérieur de votre présence en cette chambre !
Comme la dame semblait la défier du regard, Bridg la frappa sur les jambes pour qu'elle sorte de la chambre vite fait. Habituée aux lourds travaux, ce n'était pas une femme qui lui faisait peur et son regard habituellement si doux était plutôt ... sévère à cet instant précis. Elle empoigna le bras de cette dame qui se débattait assez fortement et referma la porte derrière elles. La dame en profita pour détaler.

*Partir chercher Eno*... Bridg était en crise.
Elle devait lui dire pour la dame dans la chambre et qu’elle l’avait surprise nue de surcroit !

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Anciennement toujours quelques douceurs à portée de main - Sicaire Morte

takab the psycogoth
[En pique-nique d'vant la porte.]

Il s'attendait a des rires... Mais rien.
On aurait dit qu'il n'y avait personne.
Un moment, il commença a douter... P'tet bien qu'c'était un coup foireux tout ça... Ou p'tet bien qu'les aut' était partis d'un aut' coté ?! Erf...

Il se releva, ramassa son arme et entreprit de faire le tour de l'Abbaye... Qui sait ? Une fenetre ouverte, un mur assez facile a éscalader... Un mur éventré et une flopée d'copins entrain d's'barrer avec des bouteilles de vins !


-Ah non ! 'veut pô mendier ma part môà !
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Tik, de... Euh.. Bah, Tik tout simplement !

Ex Proc' du Languedoc..
Enosch
[Aux abords de l’abbaye]



Farfadet a écrit:
.

Farfa l'est là depuis longtemps. Tellement longtemps qu'il s'est posté à la cîme d'un arbre à l'aide d'une grande echelle flambant neuve tombée d'la charette. Y fait ren qu'à boire et pisser, notant d'temps en temps l'arrivée de p'tits groupes ou alors d'très gros animaux. Ses motivations pour s'trouver si proche d'un lieu d'culte sont simples. Tout d'abord Pemiers pas en l'Berry. Ca s'fête ! Veut piller un p'tit quèquechose, histoire d'pas perdre la main et d'ram'ner un souv'nir pour une de ses moults mémés. Pis Là, une riche abbaye... Haha ! Ces moinillons... Sont juste bon à s'défendre à coups d'crucifix ou d'gousses d'ail.. Quoique nan, l'Farfa se remémore soudain'ment d'un inquisiteur fou avec qui il avait fort ben sympathisé. Lui avait appris des supplices complét'ment nouveaux pour lui, résolu'ment modernes, avec parfois un outillage lourd et complexe... Les moines les fabriquent eux mêmes didonc. D'vrais artisans. L'Farfa Espère ben en ram'ner une pour tester l'Mémé.

Paraît qu'on est chez les grégoriens içi, sont pétés d'écus. Y z'en cachent d'en chaque recoin, sont gras comme porcs. Leur cave à vin fait baver... Vont en bouffer du grégorien !

Y sont 'parpillés, l'une des leurs tente une entrée et réussie son coup. Comme quoi qu'ça sert d'avoir des miches rebondies, même chez l'cur'ton. L'homme n'reste qu'un animal ayant des b'soins et Farfa n'ose même pas s'imaginer s'que ça doit être avec des couilles grosses comme des soules.

L'Tik, sûr'ment paniqué comme pucelle fonce tout seul comme un dératé. S'casse la gueule.. Bah, l'a la tête dure. Farfa le psiiiiiit, lui jettant des marrons.
Va zy Bouglion ! Crochette moi ça !

Mouarf.. Crochette moi ça.. Déjà qu'il a du mal à s'habiller tout seul.. En plus l'a pas l'air se se rendre compte que quelqu'un essaie d'l'attaquer. L'a même pas entendu. L'a l'air vraiment amoché, y boite dur. Enfin surtout d'la feuille. L'Farfa descend d'son arbre, siffle un bon coup, s'rapproche à pas d'loup d'un horrible vitrail. Des brigands fuient. Pouah.. Doivent pas être avec nous ça. Ptet ben des moines profitant d'l'attaque pour s'sauver et aller courir la gueuse incognito ? Certains sont d'jà à l'intérieur, c'est sûr.. Y l'explose d'un bon coup d'hache s'foutu vitrail, racle les débris et escalade tant ben qu'mal.

Une fois grimpé y s'met à gueuler, comme d'hab quoi.


CHAAAAAARGEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEZ !!
Enosch
[Le réfectoire]


Enosch a écrit:
.

Enosch l'air hagard revint dans le réfectoire afin de mettre ses idées au clair.
*mon dieu une femme nue dans ma cellule, mais comment en suis je arrivé la ? Et si le frère roger ou quelqu’un d’autre m'avait surpris ? J’aurais eu droit a être radié ou au mieux droit aux deux coups de fouet par les officiers de l'ordre*

Enosch ressortit la bouteille de vin de sa robe, et se resservit lorsqu'il entendit un bruit de verre brisé faire écho dans l'abbaye.
Il se releva et partit dans les couloirs afin d'aller voir d'ou cela pouvait provenir.
Enosch
Grander a écrit:
.

[Hier milieu d'après midi, à quelques encablures, ]

Le vieux Débris cherchait désespérément son chemin à travers plaines et forêt, tout en évitant le contact humain . Toute les 2 heures, L'homme faisait une petite pause boisson de quelques minute, afin de se donner du courage, pour accélérer sa marche.

Son objectif était d'atteindre une sorte de maison remplis de cureton mal coiffé, en jupe. En effet, un nain trop beurré, accompagné d'une donzelle, dont les formes attiraient seulement les nains, lui avait affirmé que les vins les plus raffinés se situaient à l'abbaye Saint-Arnvald de Noirlac. Par la sainte bière, il ne fallut pas dire plus, afin que le derche du loup s'avance vers ce paradis.


- Mais la route était longue, et les réserves de divines liqueurs point éternel.

Après avoir usé une bouteille, de plus, l'humeur de l'épave s'amenuisait, car une précieuse de moins signifiait un pas en avant vers la triste netteté d'esprit. Le pas toujours un peu plus lourd, tapant dans les cailloux afin d'exprimer son impuissance, Grander eut une révélation quasi divine.

Par le saint derche d'Aristote, il est de mon devoir d'accéder aux saintes caves, le plus rapidement possible!

C'est pourquoi, après non réflexion, L'imbécile respecta une fois de plus son vœu d'alcoolisme. Un très court moment, plus tard ses puissantes reliques étaient en action, à travers son gosier...

[Hier fin d'après midi, extrémité d'un champs...]

Après une marche digne d'un cul de jat, le débris entrepris un besoin naturel, sur ce qui semblait être un arbre, en forme de motte de paille. Une lutte acharnée s'engagea entre ses braies et ses mains, qui après maintes esquives réussirent partiellement à s'entendre.

A moitié défroqué, sur le point de conclure son périple, un monumentale rot, signe de présence de sa liqueur dans son être intérieur, le fit tituber vers le fin d'un champs. Une magnifique descente s'ouvrit à lui.

Grander gêné par ses braies ne put garder son équilibre très longtemps, et s'étala dans la descente. La chute, accompagné de roulades, ainsi que de ronces se termina à travers une tas de fumier humide, devant servir de fosse sceptique pour bétail.

On pouvait observer durant un court instant, un long filet jaune retraçant la chute de la botte de foin, au fumier, se terminant entre les braies, et voir plus...de Grander.


[Hier la nuit, dans un tas de déjections]

Un cadavre ronflait à faire taire les criquets, enlacé en chandelle, le fesse bien au chaud...
Enosch
[Aux abords de l’abbaye.]


L'Gros Bob a écrit:
.

Le gros bob attendait patiemment, adossé à un arbre, un large sourire illuminant son visage. Pour sur, il n’était pas mécontent de lui et de la manière dont il avait berné le nabot !

Ce crétin lui avait promis deux tonneaux, un de bière et un de vin pour s’assurer de sa présence ici. L’gros Bob lui, serait venu pour rien ...
Au contraire même, il voyait là une occasion rêvée d’enfin venger son passé. Ses parents, cruellement lynchés par l’inquisition, et surtout ce vieux pervers, l’abbé zodrome, qui, à défaut de leur apprendre à lire comme il aurait du le faire, avait pour sale habitude de se montrer un peu trop entreprenant avec les enfants à l’époque où le gros Bob n’était encore que le p’ti Bob …

Bref … L’avait jamais su lire mais l’était fier de lui le bougre, l’avait bien berné le nabot …

Déchirant la nuit, un sifflement strident suivit d un bruit de verre brisé puis d’un hurlement béliqueux.

Citation:
CHAAAAAARGEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEZ !!


Ni une, ni deux, l’gros Bob, de sa main gauche, dégaine son poignard, de la droite, empoigne sa masse d’arme puis s’élance … enfin se dirige plus où moins rapidement relativement à sa corpulence, dans la direction du grabuge. Apercevant le nabot s’introduire dans la bâtisse, il lui emboite le pas pour se retrouver dans un long et obscur corridor.
Enosch
[Conciergerie du Frère Portier]


nainainus a écrit:
.

Nainainus ouvrit la porte en entendant le bruits.

Oh oh calmez vous !!

Bonjour, mes fils , je suis ravi de vous voir parmi nous, mais vous devez être bien fatigué par la route et je suppose que la faim et la soif vous tenaille. Je suis désolé, je m'etais endormi sur mon livre. Tout les textes ne sont pas forcement très dynamiques. Enfin passons.

Suivez moi dans nostre réfectoire où nous servirons une bonne bière en attendant le repas confectionné pour nos hotes. Dès que vous aurez fini votre repas, je vous conduirai à votre cellule ou vous pourrez vous changer et faire un brin de toilette avant l'office des heures.
Kamazone
[dans le couloir]

Alors qu'elle avait enfin réussi à se retrouver seule dans la chambre du cureton aux attributs plein à craquer, Kamazone fut interrompue par la version féminine de la frustration charnelle. A sa réaction, pour sur elle s'était entichée du novice ..elle l'avait jetée prestamment dans le couloir, à grands coups de bâtons...pffff cette greluche toute à sa jalousie n'avait pas du songer une seconde à donner l'alerte...au moins çà de gagné.

- en plus, je suis à poil..maugréa Kamazone..

Un bruit résonna alors dans le couloir , proche du cochon pendu se faisant saigner

Citation:
CHAAAAAARGEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEZ !!


- raaaaa merdum les autres arrivent...pfff je ne peux pas rester ainsi..pensa t'elle, dans son grand moment de solitude

Kamazone se précipita alors dans une cellule proche, y dégota une robe de bure et...un fouet.

- j'me doutais bien qu'ils se flagellaient les culs bénis..allez zou, ils sont où maintenant les bourrins?

Puis elle partit en courant, en direction de l'entrée, pensant qu'il fallait absolument qu'elle revienne dans la cellule du novice pour récupérer sa besace pleines de douceurs en tout genre.

Elle croise alors, ravie, L'gros Bob et Farfadet en train de débouler les yeux avides de vinasse dans le couloir.



- et le vieux tout confit, ils l'ont déjà mis à sécher devant la cheminée ? se demanda t'elle intérieurement...3 pour attaquer l'abbaye, on va s'amuser...

pas démontée pour un écu, elle demande à ses accolytes


- bon, que faisons nous?
se doutant que la réponse serait sans aucun doute 'on chaaaaaarggeuu"
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Anciennement toujours quelques douceurs à portée de main - Sicaire Morte

takab the psycogoth


Auguste a écrit:
Le blondinet avait été mis au courant de l'attaque d'un édifice religieux par des brigands de la Grotte et surement d'autres.
Auguste avait tout de suite accepter d'y participer pour se venger de la dernière fois où il a attaqué un curé et que ce dernier lui a donné un violent coup de Livre des Vertus dans le point sensible de tout homme.

C'est avec le souvenir de cette castration en tête qu'il prit le chemin du Berry pour rejoindre les hors-la-loi déjà sur place.
Le jeune brigand galopait toutes les nuits pour éviter de se faire repérer par les armés qui lui en voulaient encore pour le pillage de Sarlat.


Le monastère était enfin en vu. Cela faisait quelques jours que le cheval ne cessait pas de s'époumoner dans la fraicheur de la nuit étoilée mais il allait bientôt pouvoir se reposer.
Le bandit posa un pied à terre puis l'autre avant d'attacher solidement sa monture à un vieil arbre.
Une fois le cheval occupé à brouter l'herbe et non à huer comme un damné, le blondinet se mit en route. Il y avait bien cinq-cents mètres avant d'arriver devant le bâtiment mais il avait tout son temps, il ne voyait pas encore d'hommes assoiffés d'action dans les haies.


Je me suis trompé de jour ou c'est eux qui sont bien cachés ?

Auguste avait bon fouillé un peu partout, il n'y avait personne. Haussant les épaules, il décida de faire le tour du repère des moines pour voir si ce n'est tout simplement pas la bonne façade où le rendez-vous était fixé.

Et il avait bien fait, le nain au tempérament agressif avait laissé une échelle non pas pour gens de sa taille mais pour gens normaux.

Sacré Farfadet... Il aime les entrés spectaculaires. Quand c'est pas le poney à la taverne qui risque d'écraser mon fils, c'est la fenêtre du monastère.

Tout en faisant son monologue, un autre homme suivit le nain. Celui ci était tout le contraire du premier grimpeur : il était corpulent.


Nom de Dieu -expression très appropriée pour l'endroit-... L'échelle va tenir pour moi ?

Joignant la parole aux gestes, il empoigna l'échelle et commença à grimper, doucement. Les barreaux grinçaient, l'échelle n'était pas de très bonne qualité mais le blondinet était finalement arrivé, laissant échappé un long soupire de soulagement avant de regarder les ombres s'évanouirent dans le long couloir.

Mais attendez moi !

Pour finir, il commença à courir à toute vitesse après ses compères, regardant sur les côtés les décorations qui valaient surement leur pesant d'or.
Enosch
[Conciergerie du Frère Portier]

Enosch a écrit:
.

Enosch alerté par des bruits arriva dans le hall d'entrée. Surpris il vit que Nainainus faisait la causette avec quatre gaillard à la mine patibulaire. Puis son regard s'attarda sur l'un d'entre eux. Le personnage gros et grand, avait un air d'abrutis complet.

*hmmm celui la serait un cobaye idéal pour mes expériences sur l'enseignement*

-Messires voyons essayez de faire moins de bruit, il y a des freres qui travaillent ici à la meditation. Suivez les conseils de frere nainainus et allez donc au refectoire vous desalterer. Je vais aller à la cave chercher quelques bonnes bouteilles de vin. Par contre j'aurais bien besoin d'aide.
Heu vous le gros..heu grand suivez moi je vous prie...
takab the psycogoth
-CHAAAAAARGEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEZ !!

Ha... Ca, c'est la zoulie voix du nain... Et.. D'ou qui sort c'monde tout d'un coup ? Erf...

- WAAAAAAAAAAAAAHHHH

J'r'vien sur mes pas et m'précipite en vitesse a la suite d'la blondasse... Mais alors qu'j'agrippe l'échelle a mon tour, L'moine ouvre la porte... ERF !!
Bah, c'est moin classe, mais bon... Au moin pas d'risque qu'l'échelle s'éclate et qu'j'me péte les os...

L'drôle d'moineaux semble pas trop s'rendre compte d'quoi qu'y s'passe dans l'coin...


- Oh oh calez vous !!

Bonjour, mes gueux , je suis ravi de vous cur'tons, mais vous devez être bien fatigué par la route et je suppose que vot' vinasse d'pauv' gueux vous suffit plus. Je suis désolé, je m'etais endormi sur mon tonneau. Tout les bières ne sont pas forcement très dysléxique. Enfin buvons.

Suivez moi dans nostre cave a vin où nous servirons une bonne bière en attendant le bourbon confectionné pour nos soulôts d'larbins. Dès que vous aurez fini votre cur'ton bien gras grillé au bois d'église avec un filet de vin par dessus, je vous conduirai à votre cellule ou vous pourrez pourrir toute vot' vie et bouffer un brin d'herbe avant l'office des toilettes.


Gné ?! Mais d'quoi qu'y cause lui... J'saisi rien... Mouerf j'doit et' en manque... J'vait finir par ressembler a un certain vieux débris...

- S'cusez mon pôpa, mais j'préfere m'servire moi même...

'mmediat'ment, j'envois mon poing s'écraser cont' son nez...
Pis j'entre dans l'abbaye...

Tien, un aut' cur'ton s'ramene... Pas l'temps d'faire attention a c'qui m'cause, j'm'avance vers lui 'vec mon épée brandie et un gros sourire carnassier...

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Tik, de... Euh.. Bah, Tik tout simplement !

Ex Proc' du Languedoc..
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