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[RP]Attaque de l'Abbaye de Noirlac

Enosch
[Conciergerie du Frère Portier]

L'petit Antoine a écrit:
Des paroles pleines de bon sens... Antoine laisse le blondinet plus éxpérimenté parler en silence, puis déclare en se retournant :

- Ouais j'ai des employeurs... Et j'éspère qu'il se révéil'ra pour te dire ou se trouve le cannasson...

Antoine en doutait vraiment. Mais il en avait fait assez. Après tout, Auguste était un grand brigand. Il saurait se débrouiller seul, se disait-il a nouveau, bien qu'il ignorait ce qui était arrivé a Cicatrice quand il avait été laissé seul..

-Bonne Chance Auguste. On s'reverra a la Grotte...

Le p'tit Blond s'éloigne rapidement en direction de son cheval... Mais il ne put s'empecher d'aller faire un détour par le campement...



Auguste a écrit:
Auguste commençait à avoir du sang sur les mains. Le sang de son fils qui avait été touché au flanc par cette Teutonique suicidaire.

Il allait surement falloir l'opérer. Mais le blondinet n'était pas docteur, c'était risqué.

En attendant, il continuait de parler avec Antoine.


Oui, moi aussi j'espère... Mais avant, va falloir soigner Chaos.

Puis ils durent se séparer. En entendait des voix venait du long couloir qu'ils avaient quitté. Il fallait faire vite.

Merci Antoine, à toi aussi. A plus tard en un seul morceau...

Sur ces mots, le brigand prit la direction opposé à l'autre blondinet. Une fois assez éloigner de l'entrée de l'abbaye, il posa lentement le corps inanimé du genèvois qui avait dû s'évanouir. C'était mieux ainsi.

Tu vas souffrir mon grand... Désolé.

Tout en disant cela, il prit sa dague, se leva pour décrocher un flambeau allumé contre le mur et le posa à côté de lui.

Une fois tous les accessoires en place, il allait falloir opérer...

Auguste étudia l'intérieur de la plaie. La rate était touché mais apparament, aucun autre organe ne l'a été.

Il allait falloir lui retirer pour éviter une infection du sang si le boyau se mettait à se décomposer.

La dague commença à entailler la chair. Le blondinet suait comme jamais ça ne lui était arrivé. Il avait du mal à opérer mais essayer de faire comme il pouvait.

L'organe était maintenant hors du corps du jeune homme, entre les mains de son père. Il fallait faire vite, il n'était pas encore sorti d'affaire.

La dague fit placer dans le flambeau pour être chauffée à blanc pendant que le docteur amateur déchirait des morceaux de son pantalon qui avait été éclaboussait par l'éclat des tonnelets pour nettoyer les plaies au ventre et au dos.

Une fois la lame rouge, les plaies nettoyaient, Auguste posa doucement la lame bouillante où se trouvait la rate, pour éviter une hémorragie interne.

Une fois cette opération plus que délicate accomplie, le chirurgien en herbe referma les plaies de l'extérieur en brûlant les tissus.

Une chance que le blessé était évanoui et ne semblait rien sentir, sinon, la douleur qu'il ressentait à son réveil ne serait rien comparé à celle qu'il aurait enduré pendant l'opération.



Chaos a écrit:
Chaos avait été touché lors du combat contre les soldats de Dieu. Cette guerrière était devant lui et ne lui prêta aucune attention car elle avait été touchée par une flèche. Quelle erreur ! Oxar n'avait pas manqué cette occasion de tuer l'adolescent, heureusement qu'il fit un pas de côté.

L'épée était entrée et sorti de part-et-d'autre de son flanc, embrochant sa rate comme un morceau de viande qui se fait piquer par une fourchette de noble.

Heureusement, le père du soldat avait quelques talents d'improvisation et put arrêter la perte de sang qui avait fait sombrer le jeune garçon dans le coma.

Néanmoins, rien n'était encore jouer. La route était longue jusqu'à Genève et aucun cheval ne s'était encore montré.



[Le campements des soldats sans et avec banniere]



kiwie09 a écrit:
kiwi et le chevalier était revenus au camp de défense, n'ayant pas trouver Kro, dans le long couloir.
Soudain une fléche inflamable la toucha dans le dos, et elle prit feu !


Je suis en feu, non de dieu !!!!!!!!

Bon réflexe qu'elle avait elle plonga directement par terre et roula sur elle même pour arrêter le feu.

Après avoir éteint le feu elle se releva et constata qu'avec la rapidité qu'elle avait eu, et l'armure étant épaisse, aucune blessure grave n'avait été caussé.

J'ai eu vraiment de la chance pensa t'elle

Elle fit un visage terrifiant au nain, elle était vraiment furaxe, c'est yeux étaient illimunés de haine, son visage ferme

Espéce de lâche, les arbalétes c'est pour les lâches, viens ici m'affronter en duel, avec ton épée !




Baron_Arwin a écrit:
Voyant que personne ne se pressait Arwin descendit de la bute pour se rendre sur le champs de bataille avant qu'il ne reste plus rien. Il resta néanmoins sur ses gardes sa main crispée sur sa lance. Il planta l'étendard de l'ordre qui le gênait dans le sol et s'approcha encore un peu. Manifestement il n'y avait plus grand chose à défendre.

Le chef ici c'est Kronembourg soldat de l'ost comme moi, quand au allié ce sont quelque soldats teutoniques.
Et les gens à protéger sont des nones, moines et autres innocents se trouve un peu partout dans l'abbaye.Suivez moi je vais vous conduire à lui c'est par ici, Lervia reste là, bloque empêche les entrées et les sorties.


Il acquiesça.

Je suis Baron_Arwin dict Arwin simplement. Je suis membre de l'ordre de Santiago. Normalement je ne suis pas seul, Deux de mes supérieurs m'accompagnent. J'ai du les semer en route. Il ne devrait pas tarder à arriver a moins qu'ils ne se soient perdus.
Nous avons été prévenu un peu tard mais nous avons fait aussi vite que possible. Seul quelques un d'entre nous sont venus car nous vivons un période de deuil.
Je vois qu'il n'y a plus grand nombre de brigands. Je vais tout de même faire un petit tour dans l'abbaye au cas ou l'un d'un se serai caché.


A ce moment, un nain surgit de derrière un buisson et enflamma les vêtement de la guerrière. Il lança ensuite la flèche sur son cheval qui s'excita et se cabra. Surprit, Arwin fut projeté en arrière et s'étala dans la boue. Lorsqu'il se releva, la militaire était en train de demander un duel à l'épée au nain.

Il se dit que le second soldat de l'Ost de Guyenne pourrait intervenir au cas ou cela tournerai mal. Il partit et entra dans l'abbaye. Il posa sa lance à l'entrée et dégaina son épée courte.
Il régnait un atmosphère lugubre




Kronembourg a écrit:
Etourdi par une soudaine agitation autour de lui, Kronembourg vit sa camarade Kiwi en feu se rouler à terre pour l'éteindre elle-même.
Kro la regardait hurler sans l'entendre mais de ce coté là, ça pouvait aller.

Là où la situation devenait inquiétante, c'est que personne ne semblait le voir. Il avait tout de même ramené le corps du balafré qui s'était bien viandé en tombant du haut de l'abbaye, mais tout le campement semblé préoccupé par autre chose.

Kro comprit qu'une nouvelle attaque était en train de se mettre en place du coté de l'ennemi. Sans doute voulaient-ils récupérer le corps du balafré.

Alors Kro le ramassa une nouvelle fois et décida de quitter l'abbaye afin de pouvoir s'en débarrasser lui-même comme il le voudrait.



L'petit Antoine a écrit:
Obsérvant le campement de loin, Antoine se rend bien vite compte qu'ils ne vaincrons jamais les soldat... Au mieux ils fairont couler un peu d'sang, et quelques autres dégats... Mais ils seront massacrés, et la n'était pas le but.

Il n'attaquerait pas. Dommage, s'il avait été présent a la première vague, il aurait pu s'amuser... Par contre cette charrette d'armement abondoné plus loin serait sur'ment pas tres utile laissé la...

S'approchant il remarque que c'est marqué aux armes du Languedoc... Ce s'rait pas celle du Tik par hasard ? Tsss... tout a fait son genre...

Antoine attèle la carriole au cheval, et galope rapidement vers la Grotte... La fête semblait finie... Pour l'instant.




oz66 a écrit:
Oz essoufle arriva au cote de kro
je suis la é présent pres a tenir ses brigands hors de chez nous
puis se tourna vers kiwi
tu va bien pas de brullure ?
puis interrogea brig
tu va bien aussi ?




childebert de béarn a écrit:
Une chouette blanche arriva à Noirlac

/SPAN>
Citation:
Mes amis, La Garde Episcopale de Bordeaux vient à vous, elle est en route.

Elle arrive sous le commandement du Capitaine Séraphine de Jazeneuil de Béarn.

Qu'Aristote soit avec vous

Childebert de Béarn
Archevêque de Bordeaux
Vicomte d'Argentat
Enosch
[Abords de l'Abbaye]


oxar a écrit:
Lorsqu'OXar pénétra dans le refuge des brigands, elle constata qu'ils ne pourraient guère lui opposer de la résistance. Celui qu'elle avait blessé était inconscient, et penché au dessus de lui, le blondinet tentait quelque manoeuvre médicinale douteuse. Elle eut pitié des âmes perdues et leur adressa la parole, d'une voix adoucie, en ces termes:

Je vois que vous êtes en bien piètre état. Il y a un médicaste de mes frères teutoniques en ces murs. Si vous vous rendez je le ferais venir pour soigner votre ami. Dans le cas contraire...

Elle regarda Auguste droit dans les yeux tandis qu'elle bandait son arc.




Auguste a écrit:
Auguste avait essayé de soigner son fils comme il a put mais il avait surement mal opéré. Qui sait ?

Des lambeaux de linge tâchés de sang et qui sentait l'alcool gisaient à côté du corps de Chaos.
Le front du blondinet ruisselet de sueur après cette opération imprévue.
Sa dague était à terre, elle aussi tâchée de sang.

Alors que le brigand fixait le visage endormit du blessé, attendant qu'il se réveille pour lui communiquer la position de sa monture, la guerrière qui était la cause de tout on malheur apparut.

Auguste se leva, fixant cette femme qui semblait avoir retirer la flèche de sa jambe.

Un ultimatum... Voilà ce qu'elle lui posa tout en chargeant l'arc de l'inconscient d'une flèche dirigée vers le blondinet.

Celui ci ne faisait aucun geste brusque. Il réfléchit à cette proposition. Une fois son choix fait, il répondit d'une voix calme :


Me livrer à votre gourou ou essayer de fuir et me faire tuer d'une flèche dans le dos... Vous parlez d'un choix.

Il jeta un dernier regard à son fils qu'il n'a pas eu le temps de connaitre, ce qu'il regrettait. Des larmes montèrent aux yeux marrons du blondinet. Les gouttes d'eau ruisselèrent sur ses joues jusqu'à tomber sur le sol.

Quelques secondes passèrent puis Auguste releva les yeux vers son interlocutrice.


Nous nous reverrons en Enfer. Moi pour avoir vécu comme je le voulais et vous, pour avoir servi des Hommes avides de pouvoir.
Prenez soin de mon fils... Ramenez le à Genève pour qu'il vive sa vie, même si elle sera courte.


Sur ces mots, il se retourna, prenant une grande inspiration, des larmes coulaient encore, avant de courir à toute vitesse, toujours tout droit...




Baron_Arwin a écrit:
Pendant le discours de l'homme Arwin était resté discrètement arrière.
Cependant lorsque l'homme prononça le mot Genève, il réagit automatiquement.
Le bandit était déjà en train de courir et le Reiter de l'ordre Teutonique bandait son arc.

Il s'élança à ses trousses pour le rattraper. Lorsqu'il fût à son niveau il le plaqua au sol et lui passa les doigts autour du cou comme pour l'étrangler.


Tu es Genevois ???? Parles chien !!! Es-tu un Réformé Genevois qui écoute le parole diabolique de Kirkwood et d'Izaac ???
Est-ce que c'est un pillage ou simplement un acte Hérétique ?

Parles te dis-je ! Parles



Auguste a écrit:
Le blondinet courait après avoir décliner l'offre de Oxar. Il croyait qu'il allait entendre un sifflement puis une douleur dans le dos mais ce fut un autre bruit qui se fit entendre.

Des bruits de pas résonnaient, ces pas suivaient ceux du brigand. Auguste pensait que c'était cette guerrière qui lui courait après mais quand tout d'un coup il sentit des bras le serrait au niveau de la taille pour le faire tomber, il comprit que c'était quelqu'un d'autre qui n'avait pas d'arc.

Des doigts se placèrent sous sa gorge pour y faire pression avant qu'une voix masculine commence à l'interroger.


Va te faire fou*** ! Mouton !

L'homme perdait son temps. Le blondinet préférait mourir plutôt que de se faire capturer et prendre des coups de fouet jusqu'à ce qu'il parle.





Baron_Arwin a écrit:
Arwin l'étrangla, la canaille ne parla pas. C'en était terminé. Il se releva et rejoignit les autres.

Il à préféré mourir plutôt que parler, Paix à son âme



Auguste a écrit:
Le blondinet avait envoyé paitre l'homme qui l'avait plaqué à terre pour le faire parler, évitant ainsi au brigand une mort dû à l'empalement d'une flèche dans son cœur.

Une fois qu'Arwin comprit qu'il pouvait en finir, qu'il n'obtiendrait aucune information, ses doigts appuyèrent sur la trachée du blondinet.

Ce dernier se débattit mais son agresseur l'avait immobilisé au sol. Le manque d'oxygène commençait, Auguste devenait rouge, il suffoquait.

Au bout d'un instant, il commença à cesser de se débattre, ses yeux se fermaient lentement, troublés par le manque d'air inspiré par ses poumons.

Le brigand était maintenant mort. Son système respiratoire ne fonctionnait plus. Son cœur avait cessé de battre. Son corps était comme celui de Chaos : inanimé même si celui de l'adolescent était encore en vie.
Enosch
FIN DE LA PREMIERE PARTIE


La suite ICI
Yoh
bonjour a tous je suis en berry et je cherches le moyen de participer a quelques affaires quellesqu'elles soient

Merci d'avance et vive leroy
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