[RP OUVERT] Repas au bord du lac !

La Petite ne comprit pas tout de suite de quoi il en résultait, car pour elle, sa mère était sa mère depuis longtemps. L 'oreille tendue les paroles lui résonnèrent dans sa tête.

Plusieurs mots se réactivaient dans sa mémoire : Zéline..... nostre fille...portera....nostre nom.

L'enfant faillit avaler de travers, quand elle comprit, que son granp-père et sa mère lui donnaient l 'accord de porter leur nom : DE PLANTANIEVRE. Rouge d 'émotion, sa salive en instance d 'être avalée, ses yeux se portèrent sur sa mère, pour lui signifier l 'importance qu 'elle attachait à cette reconnaissance.

Enfin un nom qui sera le même que celui de sa mère, un nom qui l 'associera à sa famille , pour l 'enfant l'irréalisable n 'était plus qu 'un mauvais souvenir, fière elle se redressa, puis fit un serment à sa mère :

- Mère j'te jure de ne jamais t'décevoir, j'suis p'tite aujourd 'hui, mais demain j'serai une femme, qui te restera fidèle. Votre nom j'vais le porter avec fierté, c 'est une promesse.

Des larmes perlèrent le long de ses joues, ce grand jour était vraiment, le plus beau de sa vie. Entre deux hoquets, elle lança sur un ton joyeux :

Et que la fête commence !!!!!!

Zéline souffle dans le creux de l 'oreille de sa mère :

- J 'ai bien fait dire ça?
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Le puit des désirs n 'a pas de fond

Elle faisait le tour des invités qui assistait a ce grand pic nic pour voir s'ils avaient tout se qu'il fallait, jeta de temps en temps un oeil sur les enfants,
elle tenait dans ça main un parchemin rouler et attaché d'un ruban, le moment tait venue de lui donner. Elle appela sa fille pour quelle se présente devant elle.

- Zeline ma puce vient me voir, j'ai quelques chose pour toi, il est temps que je te le donne.

Zeline regarde sa mère curieuse de savoir se quelle allait a lui donner.

- Voilà ma fille avec l'accord de mon père qui est le chef de notre famille je vais te lire se qu'il y a d'écrit dessus.

Elle le déroule et commence la lecture.



Puis le roule a nouveau et le donne a sa fille...

- Garde le précieusement ma chérie c'est très important .

La serre fort dans ces bras et lui donne un baiser sur le front
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La vindicative avait procédé comme pour Zeline avec chacun des membres de la fratrie, puis, elle s'était penchée sur la petite Eilidh et lui avait mis un objet étrange dans les mains.

Tiens ma chérie, tu es encore un peu jeune pour être chevalier ou avoir un poney, mais j'ai cet objet magique qui fait comme une sorte de musique et il est pour toi.
Tiens, cela s’appelle une crécelle . Tu dois le faire tourner.

La rousse lui montre comment faire et se relève après lui avoir coller un gros bisou. Ensuite, la jeune femme revient vers les triplés et les entraine un peu à l'écart, contourne un bosquet et leur montre le pré.

Je crois que ceci est pour vous...
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Ça, c'est du pique-nique. On crie, on court, on boit, sans oublier de manger, de rire, et de profiter de la vie. Les ennuis ? Quels enuis ? Ici, ils disparaissent.
D'un regard englobant, la jeune femme observe, non sans rire doucement, Zeline se casser la figure du poney, Lucie, Cantor, et Floris se courir après dans une ambiance joyeusement fraternelle. Eilidh ne trouve rien de mieux à faire que de mordre Søren au genou, tout en se réfugiant derrière Patt, Touffu à ses côtés. Les oreilles pointues du chien tournent tantôt à droite, tantôt à gauche, captant le moindre bruit. La langue de travers, il surveille d'un oeil sa petite maîtresse.
Patt, d'ailleurs, semble organiser une véritable cérémonie d'adoubement. Vraiment, songe la rousse en buvant une gorgée de vin offert par Kildara, c'est une belle journée. Comme il s'en passe rarement. Il est amusant de constater que les enfances d'aujourd'hui seront meilleures que celles de leurs parents, adoptifs ou non.
Puis vient le moment où Søren prend la parole. Une chasse à l'ours noir ? Elle éclate de son rire cristalin. Il n'y a vraiment que le Danois pour penser à de telles choses. S'excusant auprès de sa compagne, elle s'avance vers le blond, et dans un geste aussi spontané qu'irréfléchi, le serre tendrement dans ses bras. Søren... Non décidément, il n'y en a pas deux sur Terre comme lui. Elle dépose un baiser sur son épaule, avant de se diriger à pas de loup vers sa fille d'adoption. Cachée derrière Patt, elle ne bronche pas, semble assez apeurée en regardant le Danois, mais se laisse ébouriffer par Syu sans mot dire. Elle se doute, et ne peut que constater, qu'il existe une tension entre elle et le Danois. A voir. Et à dompter. Doucement, bien sûr.
Puis, retour à la case départ, auprès de Kildara, d'où elle contemple la cérémonie d'adoubement des triplés.
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Cantor bout intérieurement, sa sœur se met encore en avant pour attirer l'attention de toute l'assemblée présente. Pas qu'il veuille sa place, mais il ne supporte pas ses perpétuels caprices ou minauderies.
Quand il se retrouve aux côtés de la fratrie, ses jades pareils à ceux de sa mère lancent des éclairs. Mais une caresse vient l’apaiser, Patt avait décelé la tempête qui couvait et avait trouvé le geste pour détourner son attention.
Une légère rougeur apparait sur le front de Mini-Elle, cette affection en public le faisait plus se sentir le fils de sa mère que le chevalier qu'il était censé devenir dans un instant.
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Dire qu'elle n'appréciait pas d'être le centre de l'attention, -enfin !!!-, aurait été mentir. Lucie, suivie par tous les regards de l'assemblée, se lance la première, voulant être devant comme toujours.

- J'suis là !

Les mauves se plantent dans les jades, moment volé par la mère et la fille au milieu de la foule.
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- Jure de servir toujours mon duché et m'village à partir d'mainteant !

Son épée placée devant son torse jusqu 'àla hauteur de sa bosse, elle regardait Patt avec une mine sérieuse. Immobile elle attendait que sa broche soit posée sur sa chemise, afin de pouvoir enfin devenir le chevalier tant espéré.

Sa bouche s 'articula en essayant de ne pas se faire entendre de l 'assemblée, puis ses deux mains posées de chaque côté de sa bouche firent entendre à Patt :

- J'suis ...contente....Patt ...J'grandis

Fière qu 'elle était quand la broche fut accrochée à ses atours, elle bomba le torse, puis s'écria :


- C'est quand que j'monte Bello ?
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Le puit des désirs n 'a pas de fond

Elle avait eut la peur de ça vie en voyant Zeline allongée sur le l'herbe, mais Patt l'avait rassuré, ce n'était qu'une vilaine bosse sur le front et elle aurait quelques contusion par si par là rien de grave quoi, plus de peur que de mal.
Zeline se releva avec l'aide de Patt, elle semblait aller bien, la Rouquine la prend dans ces bras la serre fort tout en lui donnant un baiser sur le front... enfin plutôt sa bosse.

- J'ai eut très peur ma chérie, ne me refait plus jamais peur comme ça d'accord !

Mari la serre a nouveau dans ces bras puis la lâche et lui fais comprendre de continuer a s'amuser. qu'il fallait quelle en profite le plus possible de cette anniversaire.
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- Tout va bien, j'suis normale, que les invités s 'amusent eux !

Elle se releva en chantonnant :

Une chevaliere, qui surgit hors du chemin
Court vers l'aventure en trottinant
Son nom, l' signe à la pointe d' son doigt
D'un Z qui veut dire Zéline

Zéline, Zéline

Renarde rusée qui boit sa chope
Zéline, Zéline
Grimpe sur l' dos de son poney,
Zéline, Zéline
Combat sans peur l'ours

Zéline, Zéline

Défend toujours son duché
Quand l' aparaît
L' brigands effrayés
Fuient tremblants l' nom de Zéline
Mais l' racketés n'ont jamais redouté
Son signe, l' signe de Zéline

Zéline, Zéline

Renarde rusée qui boit sa chope
Zéline, Zéline
Grimpe sur l' dos de son poney
Zéline, Zéline
Combat pour la mine de Lec

Zéline, Zéline

Défend toujours l'amitié
Ceux qui ont soif
Au pays d' François
S'elle vient un jour
Ils suivront l' chemin des tavernes
Au signe, le signe de Zéline

Zéline, Zéline

Renarde rusée qui boit sa chope
Zéline, Zéline
Grimpe sur l' dos de son poney
Zéline, Zéline
Accourt sur son poney noir
Zéline, Zéline
Partout va porter l' bonne humeur

zzzzz et zzzzz et zzzzz {"bruit du Z"}


- Que tout l'monde boit un coup à ma santé, j'suis contente d'vous voir tous !
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Le puit des désirs n 'a pas de fond

Tout se passé bien, c'était une belle journée les amis étaient là, les enfants avait était gaté, la Rouquine avait fait un petit discourt ainsi que la Vindicative. Zeline était en admiration devant Bello son poney offert par Syu, il fallait quelle apprenne a le monter mais pour le moment ça mère était occupé a remercier les tous les amis venue pour cette journée et surtout remercier Meygena d'avoir organisé se grand pic nic... bin oui sens se pic nic pas de fète d'anniversaire !

Patt offre ces cadeau en commençant par Zeline, celà avait un rapport avec des chevalier, puis Seurn annonce sont cadeau aussi, Mari craignait le pire avec le danois, bin oui avec lui on ne sait jamais comment ça fini. Bon le cadeau du danois, Mari faisait de grands yeux quand il annonce que c'était une chasse a l'ours, bin la il avait fait fort notre danois. A ce moment là Zeline avait prit la décision de monter seule sur son poney quand en faisant un faut mouvement Zeline tombe a la renverse sur la tête, Zeline appelle Patt qui était tout près.

- Patt j 'ai un œuf qui m' pousse là !
- Ma besace s'il vous plait !!!

Mari accours pour voir se qu'il en était quand elle vit le regard inquiet de Patt mais Zeline lui parlais c'était bon signe.

- Faut pas dire à mère que j 'suis tombée sinon l' voudra plus m'laisser monter Bello, c 'est pas d'sa faute, c 'est moi qui voulais faire tout vite. J 'vais dire à Zorra qu' c'est pas comme ça qu 'il faut faire. Faut dire aux invités qu'la fête continue.

Elle s'agenouille d'un coup a leur coté, elle pose vite ces main sur la tête de sa fille et touche pour vérifier s'il n'y avait rien d'anormale mais c'était le front qui gonflait.

- Ma puce ou ta mal ?Attention ne bouge pas trop, tu as un oeuf qui pousse sur la tête, comment te sens tue ? tu y voie trouble ? tu as mal a la tête ? Répond moi ma chérie

Mari regarde Patt le visage inquiet.

- Patt quand pense tu, est ce que sa va aller ? dit moi quelques chose !

Mari attendait des réponse de la part de son amie.....
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Au cri de ralliement que lance une rousse parmi la foule de cheveux de feu présente icelieu, la fillette, les doigts toujours bien accrochés aux poils de son compagnon à quatre pattes, s'avance en même temps que les autres enfants. Puis la dénommée Zeline tombe de poney, et c'est la pagaille. Et au coeur de la pagaille, le Géant Blond et sa voix comme le tonnerre. Qui propose une chasse à l'ours. La chasse, Eilidh connait. Sa mère adoptive l'a déjà emmené débusquer le lapin. L'ours, elle visualise un peu. Elle s'allonge souvent devant la cheminée sur une peau de cet animal-là. Autant dire qu'il est gros. Bien plus gros que Touffu !
Et le Géant Blond continue, en disant qu'il est l'ours noir et les enfants ses oursons. Ourson ? Comme Willy l'Ourson ? L'homme qui a dit des choses qui n'ont pas plu à sa mère ? Vil Géant Blond qui dit des choses horribles !
Ni un ni deux, elle se jette sur lui, et plante ses petites dents dans le genou du fiancé de sa mère.

- Chuis pas un ourson ! piaille-t-elle une fois sa vengeance accomplie.

Elle lui lance un regard noir, avant de se rendre compte. Il va l'attraper. Il va la gifler. Et il va ordonner à sa mère de l'abandonner dans la forêt avec les ours noirs. Prise d'une peur panique, elle se met à courir aussi vite que ses petites jambes le lui permettent, direction la dame qui soigne la petite fille. Non sans reposer discrètement le kouing-amann dérobé un moment plus tôt. Cette dame-là à l'air un peu comme sa mère, et en plus, elle n'hésite pas à rabrouer le Géant Blond. Posant sa main sur l'arrière-train de Touffu, elle le force à s'assoir, et se retrouve ainsi à peine plus grande que son compagnon. Parfait. Entre un chien gigantesque et une femme ne craignant visiblement pas le Géant, elle ne risque rien.

Alors que l'ibère cherchait sa bestiole qui avait rongé la corde, elle entendit que l'on parlait d'elle.

Ah mon tour !
Votre attention gentils ripailleurs !

Alors d'abord merci d'être venus, mais rendons à Mey ici présente, 'fin quand elle coure pas après un scolo géant et ronfleur, ce qui revient à Mey. C'est elle, et bien elle, qui a lancé cette idée de pique nique. Elle voulait faire connaissance avec les villageois, les faire sortir de leur léthargie, se rencontrer.

L'idée est excellente évidemment ! Mais, comme je suis moins timide qu'elle, ça n'étonnera personne je sais..., j'ai pris sur moi de profiter des anniversaires des enfants pour écrire un peu partout, et voilà le résultat.

Donc d'abord merci pour Mey, et ensuite merci pour nos adorables terreurs qui vont être encore plus infernales maintenant qu'elles ont été tant gâtées. Et comme cela se dit dans le milieu militaire pour signifier qu'il est temps de boire et d'ouvrir les bouteilles,

La main dessus !!!

Emue elle s'arrêta de galoper un moment pour adresser un bon sourire à Pattricia.

Merci à vous de vous être déplacée, fit-elle ravie.

Puis elle se mit à compter tous les enfants présents...

Mmh le compte y est... Attends y en manque un !

Elle chercha partout des yeux le gamin qui en fait était suspendu à un arbre.

Bon ça va... il n'a bouffé personne....

Mais connaissant le morfale il devait probablement squatter les denrées que chacun avait amené... Et là la réputation de Meygena organisatrice d'animation qui virent au cauchemar serait faite.... Et être pointée du doigt parce qu'on élève un boulet ce n'est pas une gloire non plus... Enfin il n'était pas dans le périmètre "miam" ni auprès des invités. Après avoir cherché un bon instant elle abandonna. Elle se rendit auprès d'Enigma qui semblait elle aussi très heureuse de cette fête.

Bon! C'est à mon tour de faire un petit cadeau disons…hum…improvisé! Mais c'est quoi encore cette manie d'offrir des cadeaux à des mioches pré-pubères? C'est comme cette histoire d'abstinence d'alcool pour une femme enceinte! Mais où elles vont chercher tout ça les sarladaises ? J'ai l'air d'un barbare moi à ramener mes fesses les bras vides! Enfin, j'ai peut-être les bras vides…mais la tête pleine!

Je prends une cuillère de bois qui traine par là et tape sur deux gros chaudrons en fonte.

- Gentilles damoiselles, gentils sieurs! A mon tour de vous offrir le présent que j'ai prévu à l'occasion de ces cérémonies. Tadaaaaam! Si tous les enfants veulent bien se présenter devant moi…

Je scrute l'assistance à la recherche de quelques complices. J'en connais déjà deux qui seront volontaires d'office. Hum…Qui pourrait être assez fol pour?

- Les enfants, pour votre anniversaire, je vous convie à tous à….

Mais où elles sont passées les mères? Hé! Moi aussi j'ai le droit à mon cadeau! Je veux voir leur réaction quand je vais annoncer que…

- … une immense chasse à l'ours noir!

Patt, Mari, mais où êtes-vous donc que je découvre la mine effarée de votre visage? Je m'accroupis être être à la hauteur de la génération future de Sarlat

- Bon, évidemment mis à part les galants de la Vindicative et de dame Cyleblue, des ours, il n'y en n'a plus beaucoup par ici. C'est pourquoi nous allons faire une chasse une peu spéciale… Je serais le papa Ours et vous ma flopée d'oursons et oursonnes. Alors ça vous dit? Quand aux chasseurs…

Je me relève, et souris en voyant mes deux victimes. Je parle bien fort pour que tous le monde m'entende...

- Je sais déjà Syuzanna et Zoltem sont partantes, mais y a t-il d'autres volontaires?
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[De l'autre côté du lac. Territoire d'Alba]

Tout est prêt ?
Oui, je reviendrais à la nuit
C'est une riche idée que tu as eu...
Tu crois qu'ils ne vont pas avoir peur ?
Ils ont déjà vu ce que cela donnait sur un champ de bataille... Il est temps qu'ils voient que vous autres, vous savez vous en servir pour la paix...
Tu es bien sentencieuse...
Non, juste désemparée... je n'aime pas les bains de foule... tu le sais.
Moi, oui... On attend ton mari ?
Je l'attends encore un instant... Pars devant avec les enfants.

Contraste étonnant d'une géante et d'une miniature, debout sur le ponton. Deux petits garçons dans une barque. La tresse se laissa glisser jusqu'à eux et entreprit la traversée.

Si vous bouger, moi raclée... ça être clair ?

Et oui : Avec Sachiko, c''était toujours beaucoup beaucoup de pédagogie.
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Extrait du dico francobrynesque selon Arth : Selon le corpus forgus du forgeron, il faut quatre convocations devant temoin pour estre accusé d'être une lame...

Beaucoup de monde était présent pour se pic-nic et surtout pour fêter l'anniversaire des enfants, ils étaient émerveillé par tout ces cadeaux qu'ont leur apporter. Mais quelle fut pas la joie de Zéline quand ont lui donna un poney, un magnifique poney elle avait le regard qui pétillait de bonheur, elle avait reçue plein de présent ainsi que les triplés. Leurs joies faisait le bonheur de leur mères, Mari prononça quelques mots au nom de ça fille.

- S'il vous plait, veuillez m'accorder votre attention un instant, je vous rassure sa ne sera pas long Je tenais juste a vous remerciez d'être venue aussi nombreux pour fêter ces anniversaire. Au nom de ma fille, merci pour tout ces présent que vous lui avait apportés . Cela nous touche beaucoup, encore merci !


Mari profite de ces amis le temps d'une journée ensoleillé a rire, chanter, s'amuser.... cette journée aller rester gravé dans ça mémoire pendant très longtemps.
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Okwawi ayant donné le présent à Demoiselle Zéline, il salua l'assemblée

Je vais vous laisser, en tout cas merci pour l'invitation et profitez bien de cette journée, surtout vous Demoiselle Zéline, vous êtes la princesse d'une journée pour nous mais pour votre mère tout le temps

Il prit la direction de son habitant en se remémorant les bons moment avec Demoiselle Mariceleste et Demoiselle Zeline dans le passé même si ces dernières ne se souvenaient plus de lui


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Je suis l'Alpha et l'Oméga
Le commencement et la fin
A qui a soif,
Je donnerais, moi, de l'eau de la fontaine de la vie
Gratuitement

Toute à sa joie de constater que le cadeau à Zeline plait à cette dernière, la rousse, plantée au milieu du décor regarde tout ce petit monde évoluer joyeusement autour d'elle. Un pique-nique. Cela ne lui rappelle strictement rien du tout. Quoi que peut-être vaguement, comme dans un brouillard, un souvenir pas si lointain, quelque chose avec une poêle en fonte. Soudain douleureux, elle effleure du bout des doigts son front, grimaçant lorsqu'elle les pose sur son bleu au-dessus de son sourcil gauche ainsi que la fine plaie en forme de demi-lune au centre de l'ecchymose. Résultats d'une bagarre contre une enseigne de bois dont elle n'était pas sortie vainqueure.
Rêveusement, sans trop savoir d'où lui vient cet air mystérieux, et tout en contemplant les alentours, elle se met à chantonner.

- Souhaitons à tout le monde, avec nos voeux sincères, un joyeux non-anniversaire... *

Puis le Danois surgit à ses côtés, et l'envolée musicale disparait aussi vite qu'elle est venue.
Vient le temps des présentations. Très officielles, d'ailleurs. Et une fois que Søren part papoter à droite à gauche, elle se permet de reprendre :

- Appelle-moi simplement Syu, c'est largement suffisant.

Adressant un large sourire à Kildara, elle note cependant l'histoire du poney, et une fois le verre en main, et le sourire de remerciement, elle s'enquiert, l'air soudain très intéressée :

- Tu... travailles avec les chevaux, donc ?

Ah ça, une fois partie sur le sujet... Les chevaux, pour Syu, c'est comme une seconde famille.


* Joyeux non-anniversaire - Alice au Pays des Merveilles
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- B'jour Will, merci pour l'robe, j't 'avais dit que j'la voulais, c 'est gentil d'y avoir pensé.

D 'un geste affectueux, elle lui fit deux baisers posés délicatement sur ses joues. Will lui faisait peur parfois aux amazones, il adorait s 'amuser à la rendre craintive.

Le papier cadeau vola en morceaux, l 'impatience la gagnait de découvrir ce que cachait son emballage. Quand elle vit le magnifique pendentif que lui offrait okawi, sa repiration se fit haletante, la clarté du bijou se mit à briller à la lumière du jour.

- C 'est vraiment trop beau, j'sais pas comment v 'dire merci....c 'est magnifique....l'bijoux scintille de mil feux....

Elle prit le temps de l 'attacher à son cou, puis le plaça en son centre, intimidée elle regarda l 'homme, le fond de ses prunelles exprimait sa reconnaissance, pour le joyau offert. Lui aussi eut droit à des baisers mouillés sur ses joues.

Puis Seurn dans sa magnificence allure, qu 'il voulait unique, la fit sourire amusée. Du coin de son oeil, son regard fut porté en sa direction, car avec lui elle ne savait jamais quelle attitude adopter. Il n 'aimait pas les enfants apparemment, la fillette resta en retrait, trop occupée à recevoir ses cadeaux offerts avec sympathie. Puis cette dame en pleine discussion, la gamine ne la reconnaissait pas, car point vue en taverne, le nom de Zol fut entendu par ses esgourdes.

Le tourbillon de son anniversaire valsait tel un couple, de danseurs pris dans le tempo de leurs pas. A cloche pied elle s 'éloigna des adultes pour retrouver ses compagnons de jeux. Lucie, Floris, Cantor, tous prêts à fêter leur événement dans un esprit de camaraderie.

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Le puit des désirs n 'a pas de fond

La vie est un long fleuve tranquille... Si j'connaissais l'c... qui a sorti ce dicton ! Le jeune Floris s'était isolé des tornades qu'étaient sa sœur et son frère. Il avait besoin de réfléchir...
Pour le moment, leur mère était toujours la même, mais il craignait la séparation qui ne manquerait pas d'arriver dès qu'elle les mènerait au domaine. Elle était tellement obsédée par le fait d'assurer leur avenir, qu'il avait peur qu'elle les enferme là-bas avec précepteurs et maitres d'armes pour leur donner la meilleure des éducations. Alors que c'était ce qu'elle leur avait enseigné elle qui comptait le plus à ses yeux.

Il n'avait jamais parlé de ses craintes avec Lucie et Cantor car ils les savaient plus fragiles quand leur frère se mettait à craindre quelque chose. Floris était sans nul doute le baromètre de la fratrie, toujours calme, sauf pour les bêtises évidemment, réfléchi et rusé comme un renard. Il avait l'intelligence de son père, -Patt se serait plutôt faite torturer que de l'admettre- et la bonté de sa mère. Il avait juste pas leur caractère emporté.
Quand Michel était rentré dans leur vie, le petit garçon en manque de modèle masculin, avait senti le poids du monde, qu'il portait inconsciemment depuis toujours, s'envoler d'un coup. Mais, le reste n'avait été que cauchemar, et douleur. D'abord la perte de ce père de substitution et ensuite, lui seul avait deviné le drame qu'avait vécu sa mère. Il n'avait jamais rien dit, mais il savait bien pourquoi elle avait maigri d'un coup.

Depuis, Floris était tiraillé en permanence par l'envie de faire des bêtises de son âge, et celle de protéger sa mère, de lui rendre les choses les moins difficiles possible. Quand leurs projets si rigolos étaient tombé à l'eau, le petit garçon avait donc fait croire aux deux autres qu'il fallait faire semblant et qu'ils attendraient leur heure.
Mais le gamin connaissait assez Lucie et Cantor pour savoir qu'ils oublieraient vite leurs frasques, tout à la joie de la fête et des incontournables cadeaux.

C'est donc tout à fait sincère que le gamin allait papoter avec Mari, Mélie, Souffre ou encore qu'il avait chanté avec la petite Zeline chez qui il avait repéré une frangine -comprenez un cerveau-. La journée promettait d'être belle et il avait bien l'intention d'en profiter. J'espère qu'on pourra se baigner... Puis prenant la suite de Cantor qui faisait déjà le malin...

Bonjour !
Moi c'est Floris, le cerveau de la bande !

S'écartant de justesse en voyant un pied "mini chieusesque" lui arriver dessus, le petit garçon file en riant et se dirige vers Souffre et la douce Zol.

Zol t'es venue !!! J'suis trop content !

Mal embouchée ? Mal vissée ? Mal aimable ? Ouai...
Vous me direz, c'est son état d'esprit permanent à la vierge brune, mais là c'était pire. Tout aurait pu si bien se passer...

- Mais enfin pourquoi on fait pas ça entre nous ?
- Tu pourrais penser aux enfants deux minutes au lieu de penser à toi
- Han ! Après tout ce que j'ai subi pour toi et les tiens !
- Zol... ne t'engage pas sur ce chemin ou il va t'en couter !
- ...
- Je n'arrive pas à croire que tu préférerais priver les enfants d'une belle fête plutôt que de prendre sur toi et de faire un effort !
- Tu parles d'une fête pour les enfants ! Une bande de couples illégitimes, des poivrots et tout ça finira encore dans le lac avec vos vêtements trempés qui colleront à votre peau de manière suggestive ! Très crédible en effet !
- J'ai été très claire, il y a des enfants, donc les plus irréductibles fêtards se tiendront bien.
Et ça n'est pas parce que la plupart des gens aiment vivre, qu'ils sont de mauvaise fréquentation ou influence.
Si tu veux finir comme une certaine personne du village ça te regarde, mais que les choses soient bien claires, une seule parole de travers et c'est toi qui finira dans le lac !
- Tu es un vrai tyran !
- Oui on me le dit souvent, et ça me convient tout à fait quand j'ai affaire à de fortes tête dans ton genre.
Maintenant tu te fais souriante, aimable, pas fagotée comme une pauvresse et tu pointes ton pétard osseux au pique nique !
- Pfff !!!!

La vindicative était sortie de la chambre avec des éclairs dans les yeux et Zoltem s'était laissée tomber sur sa couche anéantie. Elle avait lu la déception dans le regard de sa marraine.
Elle supportait la colère, les moqueries quand elle se faisait trop moralisatrice, mais découvrir qu'elle avait déçu Patt la mortifiait.

Inconsciemment, elle poussa plusieurs soupirs "patochiens", fit ses ablutions et se prépara avec soin, agrémentant de rouge sa tenue toujours trop sombre. Ses yeux d'orage, bien trop brillants sous le coup de l'émotion, lui donnaient un air de madone inaccessible et tragique, et la rendaient plus jolie encore. Mais la Cadurcienne ne s'en rendait pas compte, son esprit torturé par ce qui venait de se passer, la rendait totalement imperméable à son reflet dans le miroir et à ce qu'il pouvait dégager.

Elle avait donc quitté "Les Amazones" très discrètement, cherchant le moyen de se faire pardonner par la rousse et surtout de donner le change aux enfants. Elle savait déjà qu'elle partirait après cette fête, sa solitude en Guyenne lui manquait, le silence, l'introspection.

En arrivant, elle se met à sourire, elle avait l'habitude de simuler, son passé d'espionne lui avait appris bien des artifices, seule la fièvre qui couve au fond de ses yeux pourrait informer sur son réel état d'esprit. La brune salue tout le monde, se présentant machinalement "b'jour, j'suis Zoltem, la filleule de Patt, ... oui ravie également ... je dois vous laisser, on se revoit plus tard ...", son seul but dans tout cela étant d'aller se mettre dans l'ombre tranquille de Souffre et de s'y tenir.

B'jour Souffredoul ! Belle journée n'est-ce pas ?
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William un peu en retard bon comme d'habitude quoi, arrive enfin a l'endroit indiqué. On salue tout le monde, pis direction les enfants les mains pleines d'abord Zeline.

Bonjour Zeline,

Bon anniversaire et voila ta robe comme tu la voulais.

Pis euhm... direction Patt y avait un problème la.

Euhm... Patt s'appelent comment tes deux garçons d'nouveau j'ai oublier...

Décidément la mémoire pas son fort au Will.

Emmerveillée par tant d 'attention, un poutou pour tout le monde était de rigueur. Elle salua toute l 'assemblée en tapant dans ses mains de joie.

Syuzanna, Kildara, Souffredoul, Jessienigma, Luae, Meygena, Froissard, Okawi, Patt les triplés et sa mère adorée.... De joie elle sauta au cou de chacun, puis fit sa distribution de baisers, tous aussi doux les uns que les autres.

Une larme perla le long de sa joue, quand elle vit le poney qui lui était destiné. Les bras levés vers ciel, d 'un pas timide elle se dirigea vers le poney, puis lui caressa son museau. Tendrement elle porta sa bouche à son oreille puis lui murmura :

- T 'es beau toi, j'vais t 'aimer autant que Tétoua, J'dois trouver un nom !

Un temps de réflexion assez court, se fit en se nouant une mèche de ses cheveux autour de son doigt.

- T'seras Bello, parce que t 'es beau comme un Italien tout neuf !

Sur la pointe de ses pied, les bras ballants, elle regarda Syu, puis lui fit un sourire de reconnaissance, d 'un geste adroit elle lui envoya un baiser du bout de ses doigts.

- J 'ai huit ans aujourd 'hui et j'suis contente qu'vous soyez tous là !!!

Zéline regarda au loin, pour apercevoir les retardataires, qu'elle voulait accueillir avec plaisir.

-Maintenant j'vais préparer toussa avec les triplés

D 'un quart de tour sur elle même, les volants multicolores de sa robe volèrent au vent.
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Le puit des désirs n 'a pas de fond

Mari vas accueillir Lua et Kildara qui sont venue toutes les deux avec les charrette remplies de victuailles pour se grand pic nic.

- Bonjour les filles, comment allez vous ? je suis contente de vous voir toutes ici.

La Rouquine les aident a poser les victuailles quelles ont apportées a même le sol sur les nappes quelle avait installé pour l'occasion.

- Pour les présents, faut pas s’inquiéter Kild, le plus important c'est que tout nos amis soient présente a se pic nic et profite de cette belle journée ensoleillé pour se détendre et s'amuser.
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Luae avait reçu ce matin par pigeon une invitation aux anniversaires des enfants de ses deux amies, Patt et Mari. Comment pourrait-elle manquer cette festivité.
Cela ne serait pas digne de l’amitié que lui portaient les deux femmes. Elle avait décidé pour l’occasion d’aller faire les boutiques pour trouver des petits présents pour les enfants ainsi qu’une tenue à se mettre pour l’occasion.
Cela lui arrivait rarement de se prendre une journée à faire les boutiques de la ville mais elle en fût ravie pour une fois.

Une fois ces emplettes réalisées, elle retourna chez elle chercher un grand panier de victuailles et se dirigea vers le lac.

A peine arrivée sur le lieu de l’invitation, elle commençait à entendre du brouhaha. Elle espérait qu’il n’y aurait pas trop de monde pour l’occasion. Elle se dirigea directement vers Patt qu’elle avait repérée au loin.

Bonjour, Patt. Quelle belle journée pour des anniversaires. C’est une bonne idée que tu as eu là.
Tiens je t’ai emmenée un peu de viande de ma réserve personnelle.

Luae lui tendit le panier.

Oh faite, tu as vu j’ai été faire les boutiques et j’ai profité de m’acheter une nouvelle robe. ( tenue )
Qu’en penses-tu ??? J’ai aussi des présents pour les enfants pour leur anniversaire , Doit on attendre pour leur donner ??
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*Elle avait été ravie par la missive de Patt et avait passé la moitié de ma matinée à préparer des gâteaux, une des seules choses un peu élaborée qu'elle arrivait à faire en cuisine, ainsi qu'une énorme salade où Zol et elles avaient mélangé de la mâche, de la frisée et de la laitue, le tout avec une petite vinaigrette au vinaigre de vin faite le matin-même. Elle était encore un peu inquiète du mal de dos du jeune homme qui s'était cassé la figure dans la cuisine en voulant l'aider à tout préparer .

Si elle était au courant de l'anniversaire de la petite rouquine miniature, elle n'en avait pas la moindre idée pour les triplés et avait donc dû improviser. Par chance, elle avait encore du cuir à sa disposition et avait donc pu organiser quelque chose rapidement, en espérant que cela pourrait tout de même leur plaire.

C'est donc avec un gros panier à la main contenant le gâteau aux pommes et le clafoutis aux cerises et Zolgan avec un grand plat en bois contenant la salade que les deux jeunes gens arrivèrent au pique-nique. Meygena devait être heureuse, elle qui voulait l'organiser. Ca ne pouvait qu'amener du monde et c'est en effet avec plaisir que la mioche - plus si mioche que ça cependant - vit tous ceux qui étaient déjà présents. Souriante elle déposa son panier sur le drap que sa collègue avait étalé et salua tout le monde de façon retentissante.*

Bonnnnnnnjour à toussssss !

*Le temps était clément, le lac sans doute agréable et les visages souriants. Que demander de plus pour tenter de chasser ses mauvaises pensées ?*

Il avait reçu la missive de Demoiselle Pattricia et en avait sourit, il était heureux de cet évènement, il prit donc un grand panier et y entreposa de la viande de ses nombreuses chasse, il y en avait pour tout les goûts; du sanglier, du chevreuil, du cerf et du lapin mais également divers bouteilles de gouttes de ses nombreux voyages

Le panier rempli, il le prit à bout de bras et se dirigea vers le lieu du pique-nique, le soleil surplombait déjà le lac, les oiseaux chantaient s'étaient une belle journée qui s'annonçait

Arrivé sur le lieu du rendez-vous, il entendit des personnes chanter, voyant déjà plusieurs personnes, il les salua

Bien le bonjour Mesdemoiselles, je ne vous baise pas la main les miennes sont déjà occupées

En tout cas c'est une excellente idée ce pique-nique, surtout en cette belle journée

Sinon j'ai amené de la viande de mes chasses et des bouteilles de gouttes de différentes régions lors de mes voyages, je met ça ou?

Il les regarda tout souriant et prêt à passer une agréable journée


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Je suis l'Alpha et l'Oméga
Le commencement et la fin
A qui a soif,
Je donnerais, moi, de l'eau de la fontaine de la vie
Gratuitement

- Meyg t'es venue !!!!!!

Heureuse de la voir arriver, elle courut pour s 'approcher d 'elle et l'embrassa tout fort, pour lui montrer qu'elle était heureuse de l 'accueillir à la fête des triplés, puis de la sienne.

- Viens.... on va t 'aider à tout installer.
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Le puit des désirs n 'a pas de fond

Heureuse de ce jour qui devait être une immense fête, Zéline suivit sa mère, Patt, puis les triplés pour organiser leurs anniversaires au bord du lac. Les deux femmes avaient préparé tout ce qui serait nécessaire, pour que la fête soit inoubliable.

Zéline avec les triplés copièrent sur les adultes pour décharger les victuailles, puis les poser à même le sol. Contents de se sentir utiles à cette préparation, ils le firent dans la joie et de grands éclats de rires.

Ils chantonnèrent à l'unisson une chanson :

Mon beau sapin, roi des forêts,
Que j'aime ta verdure,
Quand par l'hiver, bois et guérets,
Sont dépouillés de leurs attraits,
Mon beau sapin, roi des forêts,
Tu gardes ta parure,
Toi que Noël planta chez nous,
Au saint anniversaire,
Joli sapin, comme ils sont doux,
Et tes bonbons, et tes joujoux,
Toi que Noël planta chez nous,
Par les mains de ma mère,
Mon beau sapin tes verts sommets,
Et leur fidèle ombrage,
De la foi qui ne ment jamais,
De la constance et de la paix,
Mon beau sapin tes verts sommets,
M'offrent la douce


Tout en chantant les décorations préparées pour fêter l'événement furent éparpillés sur l 'herbe. Zéline trop heureuse de ce rassemblement qui devait être gigantesque, elle s 'exclama avec un éclat de rire à sa mère :

- T 'as vu les dessins, les guirlandes, les lampions, les torches et pis toussa....

Les mains de l 'enfant tremblantes déballaient une à une les décorations, puis les montra à sa mère.
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Le puit des désirs n 'a pas de fond

Bruit de charrette qui couine, bruit de sabots qui se posent avec lourdeur sur le chemin couvert de limon séché, allées et venues d'un loup plutôt excité et rase motte d'une buse pour faire crier les enfants qui s'éparpillent en riant. Aujourd'hui, les triplés avaient 9 ans et aujourd'hui, leur mère était assez disponible pour avoir tout organisé, 'fin avec Mélie, Souffredoul, les rouquines des Glycines, les clients des Amazones, 'fin les potes quoi !

Quand l'animatrice du village avait proposé de réunir le village au bord du lac, Patt avait été friande, mais les habitants ne semblaient pas vouloir s'engager et le truc était tombé plus ou moins dans l'oubli. Alors la vindicative avait rédigé un petit mot pour inviter du monde, se disant que comme ça, ceux à qui elle avait pas écrit, si ils voulaient venir, ils étaient assez grands pour le faire...

Quand ils arrivent en vue de la crique aux saules, chacun commence à aider à décharger...
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Mari s'agenouille devant ça fille posant ces mains sur ces petit bras et la regarde dans les yeux.

- Ma chérie ne pleure pas... essuie ces larme avec le bout de son doigts. Tu mérite se nom car tu es ma chair et mon sang. Je sais que tu ne me décevra jamais et que tu portera se nom avec fierté, mais n'oublie jamais une chose quoi qu'il arrive dans l'avenir tu sera toujours ma fille.

La prend dans ces bras et la serre fort, puis s'écarte....

- Tu as raison que la fête continue. Aller.... venait... amusez vous.... c'est une belle journée !
QUE LA FÊTE CONTINUE
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Occupée à monter Bello , elle vit au loin s 'approcher Margot .

- B'jour Margot, te voilà mais j'crois que tous les invités sont partis, enfin pas tous..Beaucoup. T 'as vu moi j'monte bello maintenant, presque toute seule, c 'est Patt ma tata, qui m 'a dit comment faire.

La mioche empressée de continuer à monter son poney fut heureuse de partir faire une balade sous escorte. Les triplés tenaient les rênes, afin de guider le Poney. Apparemment il avait un foutu caractère le p'tiot, dès que l'on voulait le caresser, il soulevait ses babine en guise de protestation. Attention je te niaque, si tu essayes de trop me caresser, moi j'aime pas ça ! Elle se coucha sur lui afin d 'avoir sa tête sur la sienne, ses mains autour de son encolure, elle enfouit son nez dans sa crinière, puis lui sussura quelques mots pour l'encourager à se montrer plus docile.

- Sacré..... Bello, t'es beau comme un Italien tout neuf..... j't'aime bien moi. Un jour t'iras mordre l'fesses de Lec, l'est méchant avec moi lui ! Comme ça, il aura mal, il pourra même plus s'mettre assis, il sera obligé de rester tout l'temps debout lui !

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Le puit des désirs n 'a pas de fond