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[RP] Quand l'enfant vint ...

Rogermontagut
BOURRIQUE!!! Pose toi sur le brancard a nouveau! Toujours comme ça toi..rien ni personne peuvent te faire mal. T'as vu? Tu perds des eaux déjà!
Roger regardait par terre assez étonné. il n'était pas prêt a ce qu'allait venir


Eyy vous le marin qui sent a l'eau de vie aidez moi!On y est presque arrivés

Roger chuchota au ventre de sarita Ein mon "angelito" t'attends un peu? tu sais qu'il faut pas naître sur la roue?
Sarita ne voulait pas entendre a parler de brancard mais toutefois roger y était d'accord ils avaient passé des siècles pour arriver dès la plage et ils étaient très près de chez ethan.

Il posa un bras de SArita sur son épaule, signala au marin de faire pareil et entre les deux aideraient SArita a avancer lentement ses derniers mètres.

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--Behrooz


Je fus surpris quand la petite blonde décida d'elle même qu'elle n'avait plus besoin d'être transporter sur un brancard. Je ne devais pas être le seul, vu les regards ahuri autour de moi. Encore mieux ! La voilà qui partit sans demander son reste. Par la barbe du Grand Zarathushtra ! Quelle peste ! Je regardai l'homme. Il devrait mieux tenir son bout de femme, celui-là. Hmm, quelle étrange civilisation qui permet tout à leur femme.

Fallait-il que je resta avec eux ? D'ici, je ne voyais plus la ruelle où j'avais entr'aperçu mes assaillants. Je ne savais pas s'ils m'attendaient toujours. Dans le doute, mieux fallait rester avec ces personnes. Et même si l'espèce de nerfs sur patte semblait avoir retrouvé un peu de vigueur, dans son état, elle ne risquait pas d'aller bien loin.

Le cri perçant confirma mon hypothèse. Sous nos yeux, la femme s'écroula telle une fleur que l'on écrase. Je vis son homme se précipiter aussitôt à ses cotés. Quand je parvins à mon tour à leur hauteur, je remarquai tout de suite la mare autour d'elle. Il ne faisait aucun doute, elle venait de perdre les eaux. Le travail commençait. L'homme m'interpella pour que je l'aide à porter sa femme.

Oui, Âghâ ! tout de suite, Âghâ !

Je me penchai pour soulever la femme quand cette dernière poussa un autre cri. Les douleurs se rapprochaient. Pourrions-nous arriver à temps dans leur demeure ? Pas si sure que cela : la délivrance était proche. Je regardai l'homme. L'inquiètude marquait ses traits. Je pris l'autre bras pour le passer par-dessus ma tête et le faire reposer sur mon épaule. Espérons que nous atteindrons à temps leur demeure. Si non, la petite allait accoucher dans la rue.
Crumble
Lorsqu’elle s’appréta à franchir le seuil de chez Ethan, la nounou sur les talons, elle cru entendre un long cri de douleur au loin….un frisson parcouru son échine et elle accéléra les gestes!

Tourner la poignée, mettre un coup de chausse dans la porte pour que celle si s’ouvre plus rapidement, poser tout ce qu’elle avait sur les bras et rassembler en une fraction de seconde ses idées…

Elle se tourna alors vers la jeune femme, lui adressa un sourire, puis lui parla enfin…pas beaucoup mais enfin…

Merci d’être là , vous allez pouvoir me conseiller si j’oublie quelque chose d’essentiel, mieux vaux être deux cerveaux dans ces moments là….j’ai déjà tendance à être tête en l’air en tant normal, alors la tête à l’envers…enfin je suis sure que vous comprenez.

Elle lui fit signe de la suivre, dans sa tête les pensées se bousculaient, bien ou sont les linges propres déjà, faire un bon feu rapidement, les volets ha oui, penser à fermer les volets…

Crum ouvrit un premier placard, elle eu le temps de penser à Ethan, le remerciant intérieurement d’être un homme qui avait toujours su vivre organiser dans sa petite maison malgré la solitude, elle en sortit une pile de linge propre et la tendit à la nourrice.

Merci de préparer une paillasse bien propre avec ceci, je vais m’occuper de la cheminée.

La petite Crum rassembla du bois sec, de petits morceau d’abord pour allumer et de belles buche de chêne pour entretenir la flamme ensuite….on ne mit pas longtemps à sentir la chaleur envahir la petite pièce.

Elle attrapa alors le petit chaudron suspendu à la crémaillère et alla le remplir d’eau propre.
Elle avait l’air d’une vielle femme soudain, essayant de raccrocher la gamelle pleine sur son crochet, mais l’eau commençait doucement de chauffer, une ou deux buchettes de plus ne seraient pas de trop…

Elle ferma ensuite les volets de la pièce, et alluma les quelques bougies qui se promenaient sur la table, elle jetait de temps à autre des coup d’œil à son accompagnatrice, le lit était propre, et elle semblait s’afférer sur les paquets qu’elle avait apportés, Crum profita de ce que tout semblait presque prêt pour aller se laver les mains puis retourna vers la grande armoire et en sortit une seconde pile de linge propre qu’elle déposa au pieds du lit.
À présent que le principal était installé, son cœur battait fort dans sa poitrine….qu’Est-ce qu’ils faisaient…
Comme elle avait grand mal à attendre sans rien faire, elle eu envie de courir jusque chez elle pour y quérir quelques plantes qui auraient peu avoir leur utilité pour la suite de la journée, mais elle se dit qu’Elfie aurait certainement tout ce qu’il faut…et si elle n’était pas là à leur arrivée elle s’en serait voulu trop longtemps….elle fit les cents pas, puis finit par se rendre dans la rue pour voir s’ils n’arrivaient pas…
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Elfarranne
Elfarranne avait enfin décidé à ce que Roger installe Sara sur le brancard. Il était fort têtu et voulait porter sa femme, mais Elfie avait bien vu, qu’il commençait à fatiguer et Roger était trop fier pour l’admettre. Ils avaient repris leur progression quand ils croisèrent un vieil homme.

C’est alors que Sara n’en faisant qu’à sa tête, décida de se lever. Elfarranne se demanda si la petite allait tenir de ses parents, si c’était le cas, cela promettait. Sara fit à peine quelques mètres qu’elle s’agenouilla et qu’une mare se forma sous ses pieds. Elle perdait les eaux. Elfarranne se précipita pour essayer de soulager Sara et l’obliger à se remettre sur le brancard. Mais les deux hommes la soutenaient pour la faire avancer. Se mettant devant eux, Elfie leur barra la route et leur dit :


Messieurs, arrêter, je crois que le travail à commencer, veuillez, remettre Sara sur le brancard immédiatement.

Elfarranne ne s’en rendit pas compte, mais elle avait haussé le ton et avait donné un ordre aux deux hommes. Quand la belle Sara fut installée, elle lui donna quelques gouttes d’essence de Pavot, qui permettrait à Sara d’un peu moins souffrir. Le travail avait commencé, tant pis il faudrait que Sara accouche dans la rue.

S’adressant de nouveau aux hommes, Elfarranne dit à Roger :

Mets toi derrière Sara, tu vas l’aider à accoucher, agenouille toi, elle pourra se caler contre toi.

Quand à vous vieil homme aller le plus vite possible dans la maison d’Ethan, ramener moi Crumble, du linge propre, des couvertures, si possible un chaudron d’eau chaude, et quelques tasses.


Elle regarda le vieil homme et ajouta : Vous avez bien compris, alors filer, vite et ramener moi ce que je vous ai demandé.
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--Prudence


Un peu bécasse, Prudence qui jusque la, a fait tout ce qu’on lui disait, sans piper mot, se retrouve avec une pile de linge dans les mains.

Bah quoi qu’c’est ‘y qu’vous voulez que j’fasse avec ca ? ah r’faire l’lit ? ben l’est tout prope l’a juste qu’un peu d’poussière !

Elle hausse les épaules, Nane aussi, a cette sale manie de briquer partout et tout le temps à les crever à la tâche elle et Barbe.

Au faite j’ma pas présenté j’chu Prudence et vous qui que vous zêtes ?
La bavarde s’étonne de ne pas avoir parlé plus tôt un cri dans la rue proche lui hérisse le poil.

C’esty c’que j’crois ? faurai ptete qu’on lâche tout pi qu’on aille voir ? Quoique vous zen pensez ma poulette ?
Elfarranne
Elfarranne examina Sara pour voir ou en était le travail. Le col s’ouvrait doucement, elle en profita pour faire l’inventaire de sa besace. S’apercevant qu’il lui manquait quelques herbes, elle dit à Roger :

Je te laisse surveiller Sara je fais un aller-retour chez moi et je reviens vite fait.

Sans laisser Roger lui répondre, Elfie monta sur Neige et partie au galop.
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Saradhinatra
Dans un brouillard, Sara sentit des mains se poser sur elle. Il semblait qu'elle se déplaçait.

AAAAAAAAAAArgh !

Douleur. Intense douleur. Incommensurable douleur.

Sara n'avait plus qu'une envie, celle de chercher refuge au plus profond d'elle-même, de sombrer dans la bienveillante insconscience et de s'abîmer dans les bras aimants de l'oubli.

Qu'est-ce ? De l'eau ? non ... autre chose ... quelque chose qui enlevait la douleur, quelque chose qui lui prenait par la main et la menait vers cet état léthargique.

Non ! Mais qu'est-ce que c'est que ce mollason ? Volpé avait raison de dire que tu t'es ramolli au contact de ces abrutis.

Q-qui parle ?

Qui d'autre, espèce de retardée mentale ?

J-je ne comprend pas ...


J'avais oublié combien tu étais idiote. Bon, si tu ne peux pas supporter une telle douleur, tu ne sers plus à rien. A mon tour de prendre les rênes, bouges-toi de là.

Mais ... et la douleur ?


Tu rigoles, j'espère ? On a connu bien pire. J'ai connu bien pire, devrais-je dire, vu que tu étais planquée telle une biche apeurée. Tu ne t'en souviens peut-être pas mais quelle exaltation de se servir de cette douleur pour avancer, pour survivre coûte que coûte.

Si tu le dis ... j-je te laisse la place.

Oui, tu sais que j'ai raison. Vas ! Retournes te planquer, pauvre petite ! Je vais m'assurer que tout revienne dans l'ordre des choses.
D'abord expulser cette immondice qui s'est développée en nous. Au fait, tu as dit adieu à cet animal qui a osé porter la main sur nous ?

P-pardon ? Que vas-tu faire de Roger ?

Lui enfoncer notre dague dans le bas ventre et remonter doucement jusqu'au sternum ? L'entendre pousser des hurlements ? Le voir se vider de ses viscères ? Le voir s'éteindre lentement avec la question pourquoi au fond du regard ? C'est ce qu'il mérite pour nous avoir souillée.

Non ! Tu ne le feras pas !

Comment je ne le ferais pas ? Tu vas m'en empêcher peut-être ? Espéce de petit poule mouillée, tu n'es bonne qu'à t'agiter, à brasser du vent, rien d'autre.

Je te l'interdis ! Tu ne toucheras jamais à un cheveux de Roger ! C'est toi qui va retourner là où tu viens. Je n'ai plus besoin de toi. Dégage ! Tu m'entends ? VA-T-EN !

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--Behrooz


Messieurs, arrêter, je crois que le travail à commencer, veuillez, remettre Sara sur le brancard immédiatement.

Tiens, elle n'est pas partie avec les 2 autres, celle-là ? Et de quel droit ose-t-elle donner des ordres ? C'est une évidence que le travail commence, seul un aveugle pourrait prétendre le contraire. Encore une autre de ces bonnes femmes qui croient tout connaître !
J'allais lui répondre de retourner derrière ses fourneaux quand je sentis un mouvement de recul. Allons bon, si l'hidalgo baisse ses braies devant elle, où va-t-on ? Mais c'est lui qui voit, c'est sa bonne femme qui accouche après tout. Je fis demi-tour, l'amenai vers le brancard et aidai son homme à la coucher.

A peine avais-je reculer que l'espèce de folle s'agenouilla auprès de la future mère et lui fit absorber quelque chose. Elle donna des ordres à ce Roger avant de se retourner vers moi.


Quand à vous vieil homme aller le plus vite possible dans la maison d’Ethan, ramener moi Crumble, du linge propre, des couvertures, si possible un chaudron d’eau chaude, et quelques tasses.

Mais de quoi elle parle ?
L'incompréhension devait apparaitre sur mon visage pour qu'elle rajouta :
Vous avez bien compris, alors filer, vite et ramener moi ce que je vous ai demandé.
Mais filer où ??? Qui est cet Ethan ? Et cette Crumble ?

Ecoutez, ma petite dame, je ... avais-je commencer quand elle se détourna de moi pour marmonner quelque chose, grimper sur son cheval et s'éloigner au triple galop.

Par la barbe du Grand Zarathushtra ! Âghâ, tu ne vas pas la laisser accoucher ta femme, j'espère ?
Mais j'avais parlé dans le vide. L'homme serrait la main de sa bien-aimée et psammodiait quelque chose comme "-ta, tiens bon !" Lui, il n'était plus bon à rien.
Je savais que j'allais faire une grosse erreur mais quelque chose me poussait à les aider au lieu de tourner les talons et les laisser à propre sort.
Je m'approchais et m'agenouillais auprès de la petite blonde. Je posais la main sur l'épaule du mari :


Ne vous inquietez pas, Âghâ. Les femmes ont toujours accouché. Votre femme va vous faire un beau petit gars, bien robuste !

Après lui avoir fait mon plus sourir édenté, je reportais mon attention sur la crevette allongée. Son air calme attira mon attention. Elle devait afficher des grimaces de douleurs. Pourquoi cette sérénité sur son visage ? Intrigué, je me penchais vers elle et sentis une odeur reconnaissable entre toute : Papaver somniferum !
L'idiote de bonne femme lui avait donné un somnifère ! Bon sang, comment allait faire la crevette pour pousser si elle était au pays des rêves ?


Khânom ? Vous m'entendez ?

Je la saisis par le col et je la secouais, essayant de la réveiller.Hé-ho ? Y'a quelqu'un ? Aucune réaction. Je lui administrais instinctivement deux magistrale giffles ! Rien ! J'allais recommencer quand son mari me saisit mon poignée.

Âghâ, je ne veux pas faire de mal à petite Khânom ! Mais il faut qu'elle se réveille ! Vous comprenez ? C'est dangereux pour elle de dormir pendant l'accouchement ! Le bébé ne va pas sortir tout seul ! Il faut trouver ... j'ai trouvé !

Je me saisis de l'ourlet de la robe et déchirait un bout de tissus.

Âghâ, tu peux te soulager sur ce chiffon ? L'odeur de ton urine réveillera surement ta femme. Ne me regardes pas comme ça. Si je m'éloigne pour le faire, qui va surveiller ta femme ?
Devant son air hésitant, je rajoutais : il faut faire vite, Âghâ !

Mais il hésitait toujours. Exaspéré, je portais mes mains aux lacets de mes braies pour faire la sale besogne quand mon regard tomba sur la besace à côté de la petite.
Je ne l''avais pas remarqué. Si elle était à elle, je pourrais peut-être trouvé des sels ? Les bonnes femmes transportaient toujours ce remède sur elles. Que le Grand Zarathushtra soit béni !


Âghâ, je peux regarder dans le sac de ta Khânom pour voir si je ne trouve pas de sels ?

Devant son acquiescement silencieux, je pris la besace et me mis à fouiller dedans. Par la barbe du Grand Sage ! Qu'est-ce qu'elle pouvait transportait sur elle ! Mais je ne trouvais rien qui ressemblait de prés ou de loin à un flacon contenant des sels. Soudain, je tomba sur un petit coffret qui me rappela quelque chose. Le dessin dessus me fit écarquiller les yeux. Je regardais la petite blonde avec ébahissement. Comment ? Est-elle consciente de ce qu'elle transportait sur elle ?
Je pris sur moi pour ne pas succomber à cette excitation. Elle avait la pierre qui brûle ! Comment avait-elle fait ? Non, calmes-toi, Behrooz ! Ce n'est pas bon pour ton âge. Si tu veux savoir comment et pourquoi elle a fait pour entrer en possession de ce trésor, il ne faut pas qu'elle meurt !
Tout à coup je me suis rappelé une des propriétés de cette pierre. J'approchais le coffret des narines de la petite et souleva délicatement le couvercle. Oui, ma jolie, respires cet arôme pestilentiel ! Le temps me sembla suspendu dans l'attente du réveil de la petite quand je saisis un froncement des sourcils.


Aaaah, Âghâ, regardes ! Elle se réveille ! m'écriais-je, fou de joie ! Je refermai la coffret et le remis avec regret dans la besace. J'aurais pu le dérober sans que l'hidalgo remarque quoi que ce soit tellement il était occupé avec son petit bout de femme. Mais si je faisais cela, jamais la blondinette me dira où elle s'est procurée cette pierre. Savoir était le plus important.

Un gémissement se fit entendre.


Petite Khânom ! Tu me reconnais ? C'est moi, le vieux marin qui t'a narré des récits de ses voyages en mer. Réveilles-toi, petite Khânom ! Il faut que tu te réveilles ! Fais un effort ! Je sais que tu peux !
Je me retournais vers son mari : Âghâ, elle est réveillée là, mais il faut qu'elle le reste ! Parlez-lui ! Il faut la maintenir éveiller.
Crumble
L’attente était insoutenable, Crum faisait les cents pas devant la porte d’Ethan…il avait du se passer quelques chose, et n’y tenant plus , elle fit un aller retour express dans le logis de son ami, pris quelques linges propres et les jambes à son cou…

Arrivée sur le lieu du drame, elle aperçut du monde autour de sa blonde préférée, elle ne vit pas Elfie, et Sara semblait plongée dans un semi coma auquel un huluberlu semblait tenté de la tirer!

Mais enfin qu’Est-ce que vous faites!!! Roger!! Tu ne vas pas laisser sara mettre votre enfants au monde dans cette ruelle!! La maison de son frère est à trois enjambées d’ici, essayez au moins de l’y transporter avec le brancard!! Si vraiment elle n’arrive pas jusqu’au bout vous la redéposerez, mais vous aurez au moins essayé! À quoi servent donc tous ces bras masculins qu’il me semble percevoir!
Allez!! On va pas attendre comme ça les yeux hors de leurs orbites qu’il se passe quelques chose non
!!


Chacun semblait attendre de l’autre un mouvement, Crum supplia Roger du regard, puis leva les yeux au ciel, comme pour y trouver un soupçon de raison pour les hommes qui l’entouraient!

Et que pouvait bien faire Elfie, ça n’était pas vraiment le moment de partir, si c’est elle qu’ils attendaient alors autant attendre utilement, l’état de son amie risquait il d’avantage en étant transporté un patté de maison plus loin ou l’enfant naitrait au chaud et au propre, au calme et aux yeux de ses proches…

Crum ne pouvait pas croire que Roger la laisse ainsi au sol, certes des accouchements elle n’en avait pas fait beaucoup, mais elle avait vu plusieurs fois déjà ces femmes tres rondes, déverser sur les pavé pendant qu’elles faisaient leur marché, ce liquide indiquant l’arrivée proche de l’être tant attendu….dans son souvenir ses femmes n’accouchaient pas dans la rue pour autant.

Crum ne quittait les hommes du regard, se demandant si elle allait devoir prendre aussi le brancard en main pour qu’ils se bougent, ou si de leur petits muscles rebondis ils se débrouilleraient pour porter la jeune maman et la suivre d’un pas assuré jusque chez Ethan.
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--Behrooz


Tiens, voilà les 2 autres qui rappliquent ! Par la barbe blanche du Vieux Sage, quel est ce pays où les femmes crient sur les hommes !

Femme, arrêtes de caqueter inutilement ! dis-je en me relevant.
Ton amie est sur le point d'accoucher. Puisque vous êtes revenues, vous allez pouvoir prendre la suite. Dans l'état où elle est, elle n'aura pas assez de force pour pousser. Il faut l'aider. Vous allez la faire marcher pour aider le bébé à descendre naturellement. Les animaux mettent bien bas en étant debout après tout.

Je reportais mon attention sur la petite et rajoutais, plus pour moi-même :
Elle a le bassin étroit. Cela va être douleureux pour elle.

Tu as bien compris, femme ? Et surtout, n'oublies pas de lui parler. Il faut qu'elle reste réveiller. N'hésites pas à la giffler au besoin.

Âghâ et moi, nous allons faire notre devoir d'hommes ! Nous allons bloqué la ruelle pour que vous puissiez être tranquilles.

Je me retournais vers le futur père : il ne faut pas que des curieux viennent assister au spectacle ? Tu prends ce côté et moi de l'autre.

Je joignis le geste à la parole et je m'éloignais d'eux.
Elfarranne
Efarranne arriva au triple galop. Elle était passée chez Ethan, mais il n’y avait personne, elle les retrouva toujours au même endroit. Sara allait être obligée vraiment d’accoucher dehors. Elle haussa les épaules, après tout bien d’autres femmes l’avaient fait auparavant. Elfarranne espérait que le vieil homme avait pu trouver ce qu’elle lui avait demandé.

Elfie sauta de sa jument et courut vers Sara. Elle entendit les paroles du vieil homme :


Citation:
Vous allez la faire marcher pour aider le bébé à descendre


S’adressant à lui, elle lui dit : Il faut d’abord que je l’examine avant toute chose. Avez-vous rapporté ce que je vous avez demandé ? Je pensais que durant ma courte absence, Sara serait dans un lit confortable, mais comme ce n’est point le cas, il va falloir se débrouiller.

S’agenouillant Elfie ausculta Sara, relevant la tête, elle dit à Crumble : Si tu veux bien ma belle on va se débrouiller sans les hommes, le travail est imminent, tu vas soutenir Sara.

Puis s’adressant à Sara : Ma belle quand tu va avoir envie de pousser tu vas respirer un grand coup et pousser avec toute tes forces.

Elfarranne regarda Sara en souriant : Bon tu es prête, ça va être le moment
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Saradhinatra
Sara ouvrit un oeil. Des silhouettes autour d'elle. Un brouhaha de voix lui parvenait comme le bruit agaçant du vol d'une mouche.
Si on pouvait la laisser tranquille. Elle avait tant envi de dormir.

Une voix indistincte lui parvint :

Ma belle quand tu va avoir envie de pousser tu vas respirer un grand coup et pousser avec toute tes forces.

Elle agita la tête. Non, il était hors de question qu'elle fasse quoi que ce soit !

H-huh ? P-pour-q-quoi je dois pousser ? Laissez-moi tranquille ! Trouvez quelqu'un d'autre pour pousser ! Laissez-moi dormir !

Elle leva les bras et les agita pour chasser ces fantômes qui commençaient à l'agacer sérieusement. Elle voulait dormir !

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Crumble
Tout allait très vite à présent, et il lui semblait que l’idée du confort pour le bébé ne lui semblait possible que pour elle, Crum écouta attentivement Elfie qui était revenue, les yeux tout ronds elle tenta de rassembler ses idées pour lui venir en aide du mieux possible.

Elle était sortie de chez Ethan avec une simple pile de draps, et une bonne dose de courage, mais cela ne suffirait pas à aider Sara à accoucher dans les meilleurs conditions possible.

Se tournant vers la bonne qui l’avait suivit elle se permit de lancer une requête.

Prudence, vous avez bien fait de me suivre, je pense qu’il faudrait aller chercher le chaudron d’eau chaude chez le frère de Sara, vous devriez trouver de quoi le transporter plus aisément derrière la maison, faites au plus vite merci, je pense que cette fois l’heure est vraiment proche.

Crum délia alors un des drap propre qu’elle déposa à la porte de sortie du nouveau né, désignant du doigt le reste de linge pour le montrer à Elfie.
La malicieuse se plaça ensuite dans le do de la belle.
Elle souleva Sara du mieux qu’elle peu, et l’installa semi assise sur le dessus de ses cuisses. Passant la main dans les cheveux de la ronde blonde, elle lui parla à la fois tendrement et fermement.

Ma Sara, ma belle sara, tu es en train de mettre ton bébé au monde à présent, nous allons t’aider du mieux possible, mais tu dois rester reveiller et forcer pour accompagner ton enfant vers la lumière du jour.
Tu m’entends sara, quand tu voudras pousser, il faudra pousser fort
, c’est pour le bébé Sara, je t’aiderai, je pousserai avec toi, regarde je t’entoure de mes bras et je pose mes mains sur le haut de ton ventre, et quand tu pousseras je serai avec toi pour t’accompagner. Hein Sara, nous verrons bientôt votre mignature ma belle, Roger est là avec nous, nous sommes tous là avec vous, d’accord Sara, tu es prète
….


Crum avait les yeux rivés sur le ventre de la miss, attendant le moment ou elle verrait celui si se durcir au maximum indiquant ainsi le moment ou de ses mains elle devrait aider la belle à pousser, Sara ne semblait vraiment pas pleine de ses forces et chaque paroles n’empechait pas sa tête de basculée sur le coté, Crum continuait de secouer Sara de mots et de fixer le ventre arrondi devant elle.

Il n’y avait bien que la sarita pour leur faire vivre de pareilles expériences!!! Elle s’en souviendrait la crum! Mais elle ne pouvait s’empêcher d’être inquiète, et s’il arrivait quelques chose au bébé ou à la maman?...
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Rogermontagut
Roger regardait autour sans rien comprendre, il parlait a haute voix Elle doooortt? pour de vraaii? et moi qui étais tout intranquil. Ben ecouteezz.. Roger s'allongea au coté de son "solete" et lui prenne la main en lui regardant le visage et les cheveux mouillés par la sueur.

[i]Roger caressa sa joue et s'approcha au ventre de sarita. Ensuite il chuchota a sa giselita
Ein giselita tu sais on est au milieu de la rue, le vieux marin a failli devenir fou, les filles commencent a s'énerver avec lui, ça fait un soleil terrible et l'heure de la sieste approche..que veux tu par pitié? Avance un peu pour papy s'il te plaiitt!

Roger souffla de chaleur elle comprends rien ma giselita encore...papy t'achète un chien tout mignon si tu sortes ein giselita? Tu pourras l'appeler comme tu veux.. promis

Les filles le regardaient bizarrement, roger se tourna vers elles heu.. ben quoi je parle a ma niñita...elle me comprends et elle veut que je la prends dans mes bras..ein giselita..hop!
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--Prudence


Complètement ignoré par la jeune femme qui lui a servie de guide pour la maison du frère de Nane et Sara, La servante lui emboite pourtant le train d’un air décidé quand elle quitte la demeure après le cri dans la rue. Elle peste contre cette engeance toujours entrain de courir sans laisser l’pauv monde s’reposer.

La demoiselle « Crum » a-t-elle crut entendre fonce tête baissée en direction de la ruelle voisine sans même se rendre compte de la présence de Prudence dans son sillage. Complètement perdue au milieu de ces inconnus qui caquettent au milieu de la rue Prudence ne sait plus quoi faire d’elles, les unes et les autres distribuent les instructions comme des généraux en campagne oubliant la servante qui pourtant ne souhaite que se rendre utile. Ca va bien un moment mais la moutarde commence à monter au nez de Prudence qui a l’impression d’avoir totalement disparue du paysage.


BAH J’FAIS QUOI MOUE !!!!!!!!!! Z’etes tous la a vous agiter commes des poulles qu’a z’on trouvé un couteau pi à vous chamailler pendant qu’m’dame Sara a l’est dans l’potage. L’a be raison l’vieux la !!

Elle désigne le vieux bonhomme au turban. Y a ben mieux a faire que d’chauffer d’la flotte y s’ra ben temps quand que l’bébé y s’ra la pi l’est pas grasse la p’tiote Sara l’bébé d’après c’que j’en vois l’a l’air pu gros qu’elle comment qu’vous voulez qu’y sorte si qu’a reste à s’prélasser comme ca ma patronne a m’a ben dit quand que m’dame sara a s’ra prette faut qu’a r’mue !

La servante quoi que discrète d’ordinaire, a prix son air de coq de combat. Son bon sens et les leçons de Nane lui donnent de l’assurance.

Pi M’dame Nane a sait c’qu’est bon pour sa p’tite sœur !

Vous la !! L’bonhomme au turban !! !Ousque vous z’avez t'y appris toute c’te science d’l’accouch’ment !

M’dame Crum ! J’vous charch’rais la flotte qu’vous vouslez, j’vous z’en fra bouillir des tonneaux, si qu'vous voulez,mais quand que m’dame Sara pi son p'tit y s’ront à l’abri dans la maison de M’sieur Ethan ! Poul moment on l’fait sortir pi on les rapatrie dans la bicoque !!


La Servante sure d’elle maintenant croise les bras sur son giron d’un air décidé et attend les réactions a sa diatribe.
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