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[RP] Eglise Saint Tugdual de Tréguier II

Mehatibel
Mehatibel s’était levée d’humeur joyeuse. Après avoir soigné ses petites vaches, comme elle le faisait amoureusement chaque matin, elle s’était laissée porter par ses gambettes qui, à son plus grand étonnement, l’avaient conduite à l’église. Par saint Boustifaille ! Que de monde ! En retrait, elle avait observé les tréglorrois se bousculer, s’esclaffer, s’installer. Le curé restait, malgré tout, maître de ses ouailles. Enfin presque… Elle n’avait pas cherché à cacher le sourire que le retard d’Ixelle avait esquissé sur ses lèvres. Adossée contre la porte, elle s’amusait maintenant à observer ce qui semblait être de la réticence de la part de la jeune fille. Allait-on assister à l’inimaginable ? La future baptisée allait-elle prendre ses jambes à son cou et galoper, comme une dératée, hors de l’église et loin de l’autel ? Statere s’arracherait-il les cheveux de désespoir ? Plongerait-il sa tête toute entière dans le baptistère ?

Il était clair, maintenant, qu’il serait intéressant de venir plus souvent.
Anne_claire
Pouilloux invite Statère à s'allonger dans l'eau. Il presse sur sa tête et dit.

Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité.

Il laisse statere sortir du baptistère et fait allonger Ixelle dans l'onde.

Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité.

Pouilloux sort du baptistère, l'eau ruisèle de son aube.

Je vous demande pour valider votre entrée dans la famille aristotélicienne de dire ce texte.

Statere
Statere grelottait mais avait quand même un air de satisfaction.
Il se dit que c'était une bonne chose de faite.

Puis écouta attentivement les paroles sacrées du Père Pouilloux. Impressionné mais attentif, il avait pleinement conscience de la solennité du moment.

A son tour, il lit le texte car il était bien incapable de le retenir...


puis il attendit Ixelle....
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Anne_claire
Je ne peux plus attendre pour cloturer ce baptême, j'ai averti la joueuse d'Ixelle par courrier, et aucune réponse, je dois donc fermer ce baptême en ne validant que celui du personnage de Statère. Certificat déjà envoyer par mp au joueur de Statere avec la date du début de l'office.

Ne voulant point jouer la disparition, une fuite du perso. Faire jouer des actions sans l'accord de la joueuse. Je cloture le rp pour récupérer le Topic de l'église. Demain une messe sera officiée avec la date du jour.
Anne_claire
Dimanche 15 juillet

Le mois de juillet avait connu la pluie, et c'est avec un grand plaisir que le Père Pouilloux quitte le presbytère pour se rendre à l'église sous le soleil. Ses bètes sont soignées, comme tous les jours il a fait le tour de ses animaux.
Dans l'église il allume des bougies et des cièrges, il prépare le livre des vertus pour la lecture du jour. Tout est prêt pour la messe dominicale, la panière pour la communion contient une miche encore chaude.




Pouilloux sait que cette messe va est particulière, la messe d'après révolte, mais il faut savoir tourner la page... Il espère que les habitants seront présent pour fêter le Très Haut et non pour de vaine lutte d'égo. C'est la maison de Dieu qu'il ouvre en ce dimanche, seulement la maison de Dieu.

Sur le parvis Pouilloux attend les fidèles...
Caled
Cheveux en bataille,épaules un peu lasse,il a chevauché de Rennes, sans interruption.
Ses pas sonnent sur la place d'Artignac,il n'a pas eut encore le temps de se changer, portant toujours ses bottes de monté.

Les gens affluent peu à peu. Sourire à certaines têtes connues.

Il s'approche du parvis, aux sons des cloches qui résonnent plusieurs kilomètres alentours, l'appel des fidèles.

Il salut le Père Pouilloux,souriant. La discorde avait eut lieu au conseil,mais il se devait d’être unis en toutes autres circonstances, il s'approche.

Belle journée n'est-ce pas mon père ? Je suis heureux que le soleil m'ait permis de retrouver Landreger sous ses rayons,et non sous la pluie des derniers jours
Statere
Statere arriva il suivait Caled, il monta les marches, salua le Père Pouilloux,
Bonjour mon Père,

puis se mis en retrait derrière lui,
Demat caled,

ensuite il murmura au père suffisamment fort pour que les personnes assez près de lui l'attendent.
Mon père, la religion représente une force que le pouvoir politique cherche souvent à contrôler, la religion jette un pont entre l'humain et le divin, entre notre humble conditions de mortel et cette part d'éternité à laquelle nous sommes conviés. Elle est créatrice d'humanité, elle en est le ciment. Et quand ces communautés de croyants se ferment sur elles-mêmes, se cadenassent dans leur certitudes et dans le rejet des autres. C'est la porte ouverte au fanatisme, aux persécutions, aux guerres. Dans notre religion, il se trouve que le précepte le plus important, c'est l'amour : amour du Très Haut, mais aussi avec autant d'importance, l'amour des autres, ainsi la foi n'est pas seulement une adhésion intellectuelle à un dogme, elle doit s'enraciner dans notre quotidien, certain ici présent dans notre ville de Tréguier l'ont oublié, je vous demande de bien vouloir intégrer cette réalité dans votre sermon...
Il sourit et attendit que le reste des fidèles entrèrent
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Blaster
Blaster entendit de chez lui les cloches de Notre Belle Eglise Tugdal de Tréguier sonner... Il se dit que c'était sûrement le Père Pouilloux qui organisait une messe pour calmer tous les esprits après la révolte du 11 Juillet, date qui restera dans les mémoires des villageois de Tréguier.

Il se rendit donc à l'Eglise et salua son ami le Père Pouilloux attendant sur le parvis...


Bonjour Mon Père !!
Comment allez-vous en ce 15 juillet, 4 jours après la révolte ??
J'espère que beaucoup de monde viendront célébrer le Très Haut et le remercier de nous aider à rendre Tréguier de plus en plus belle de jours en jours.


Puis il continua son chemin en entrant doucement dans l'Eglise... Il aperçu Messire Statere...

Oh !! Bonjour Statere !!
Comment allez-vous ? Alors vous venez vous aussi vous recueillir après cette révolte pour rendre grâce au Seigneur ?


Il avança de nouveau et reconnu une tête qu'il n'avait pas vu depuis un bon moment maintenant...

Tiens, mais on dirait bien ce cher messire Caled...

Il s'approcha du Sieur et le reconnu.

Oui c'est bien toi Caled... Quel plaisir de te revoir, cela fait un moment que nous ne nous étions pas vu... Alors qu'est-ce que tu deviens ? Tu es revenu pour servir Tréguier une nouvelle fois en tant que maire ? Pour nous aider à faire de Tréguier une ville de plus en plus belle avec un dirigeant entièrement dévoué à cette ville...

Il sourit puis s'assis à côté de Caled en attendant les autres fidèles arrivés.
Cette messe était vraiment une bonne chose pour pouvoir discuter avec les autres habitants en attendant que messire Pouilloux commence le serment.

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Blaster de Tréguier
Caled
il sourit, saluant Statere puis allant prendre place quelques rangs aux devant de l'Eglise.


Oui c'est bien toi Caled... Quel plaisir de te revoir, cela fait un moment que nous ne nous étions pas vu... Alors qu'est-ce que tu deviens ? Tu es revenu pour servir Tréguier une nouvelle fois en tant que maire ? Pour nous aider à faire de Tréguier une ville de plus en plus belle avec un dirigeant entièrement dévoué à cette ville...


Il se retourne et se lève, serrant la main de l'homme

Demat Blaster,plaisir de te revoir. Oui oui en effet, j'ai fait quelques passage dernièrement a treguier, mais toujours a faire la liaison avec Rennes... j'ai ete assez peu visible. Mais la je suis ici pour un bon moment...et pour la mairie, oui, si je suis bien élu

Léger sourire, il en était content, mais la blonde qui partageait sa vie lui manquait horriblement déjà. Mais ils devaient s'y faire et savaient tout deux que cela arriverait un jour ou l'autre.

Mais dis moi, tu ne m'en veux pas pour la commande que je n'avais pas pu honorer ? Non parce que dans une dizaine, peut-être une quinzaine, je devrais avoir de quoi. Je sais que cela a tarder. Mais si je peux honorer cette commande, si toutefois tu n'a pas trouver un autre acquéreur, alors je le ferai.
Anne_claire
Le père Pouilloux répond chaleureusement à tous qui arrivent. Il est content de voir Caled de retour en ville, Statere qui est son dernier baptisé, Blaster qui aime rencontrer en Taverne. Les habitants entrent doucement et dans un bon esprit. C'est un bon signe. L'apaisement, pour la ville de Tréguier. Il y a un temps pour se dire des vérité, mais il faut surtout trouver le temps d'avancer ensemble et cela est le plus important.

Pouilloux remonte l'allée et se place devant l'autel, il pose un genoux au sol, fait une petite prière et en se relevant se retourne face à l'auditoire.


Bienvenue dans la maison de Très Haut.
Je ne peux passer sous silence ce qui vient de se passer en ville, mais je ne souhaite pas m'y attarder non plus.
Votre présence me rassure que l'amour du Très Haut, et l'Amour qu'il nous donne doit nous guider. Et c'est pour cela que je vous invite à prononcer le confiteor avec conviction aujourd'hui.


Pouilloux ferme les yeux et récite la prière du pardon. Il parle d'une voie forte, mais posée.

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-puissant,
à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
et vous, mes Amis,
de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés


Il reste un instant silencieux pour que tout le monde comprenne que le pardon est tout à fait possible si la faute est compris. Une faute, un pêcher peut être pardonné par dieu si la sincérité dans son expression est telle qu'elle prouve le regret. Et Pouilloux regrette que certain n'ai pas compris que son action des dernier jours n'avait qu'un seul but : La ville de Tréguier. Il admet qu'il a surement mal fait les choses, pas forcément dans le bonne ordre...

Il ouvre de nouveau les yeux et se dirige vers le Saint livre déjà ouvert sur le pupitre. Normalement il aimait prendre un texte court, mais aujourd'hui il y en avait un plus long, mais qui corespondait bien à l'actualité.



Citation:
Livre de la Pré-Histoire
Chapitre III - « L'acédie »


La société des hommes et des femmes était belle et raffinée.

Ainsi, ils apprirent à produire du vin à partir du raisin, après de longues années passées à tenter de saisir les subtilités de l’affinement d’une telle boisson. Ils découvrirent également comment brasser la bière à partir de l’orge et du houblon. Pour cela, ils inventèrent des fours à la taille impressionnante. Ils durent apprendre à travailler de concert afin d’arriver à de tels résultats. Mais aucun ne doutait que le jeu en valait la chandelle.

De plus, les arts et les sciences furent alors conçues pour les élever encore plus vers Dieu. Ils apprirent à composer de la musique, les chants devenant de plus en plus beaux et les instruments qui les accompagnaient de mieux en mieux conçus. Ils découvrirent les plantes qui soignaient les plaies et les maladies, afin que leur santé serve à glorifier le Très Haut plus longtemps. Ils inventèrent l’écriture, qui leur permit de conserver tout leur savoir pour les générations à venir.

Dieu était satisfait. Ses enfants se sublimaient dans la place qu’Il leur avait donnée. Mais Il savait que ce beau printemps allait voir les fleurs de la vertu se faner. Car la Créature Sans Nom ruminait encore et toujours sa rage et sa colère. Tapie dans l’ombre, elle attendait le moment propice pour prouver au Très Haut que la réponse qu’avait donnée Oane n’était pas la bonne. Elle persistait dans l’erreur, niant la force de l’amour et s’entêtant à concevoir la domination du faible par le fort comme le sens de la vie.

Mais toutes les inventions que les humains avaient créées rendaient leur labeur moins dur. Ils avaient de moins en moins de travail à faire et de plus en plus de fruits à récolter. Là où auparavant, il leur fallait un mois pour récolter du blé, il ne leur en fallait plus désormais que le tiers. Alors qu’ils ne pêchaient auparavant qu’un poisson tous les deux jours, ils en avaient dorénavant un par jour, parfois deux. Là où ils leur fallait jadis travailler chaque jour pour cultiver des légumes, il ne leur restait plus désormais qu’à récolter.

Et la principale des sciences n’existait pas encore. La théologie était inconnue de ces humains. N’ayant pas de clercs, il n’y avait encore personne pour se consacrer entièrement à Dieu. N’ayant pas de texte sacré, il n’y avait rien à étudier. La foi humaine était brute, en cela qu’elle n’avait pas encore d’intermédiaire. Mais cette apparente pureté de leur amour pour Dieu était justement ce qui allait les conduire à leur perte.

Les humains se laissèrent griser par la douceur de leur vie. Elle leur semblait si douce et si agréable qu’ils ne comprenaient plus l’intérêt de consacrer leur vie au travail. Chaque plaisir leur donnait l’occasion de négliger leur labeur. Ils aimaient le monde, mais ils l’aimaient pour lui-même, pas parce que Dieu leur avait donné, par amour pour eux. Ils se détournaient peu à peu de l’amour de Dieu.

Le premier péché fut ainsi involontairement découvert par les humains. Elle porta plus tard le nom d’acédie. Celle-ci consistait à se détourner de l’amour divin, de s’abandonner à la vie matérielle en négligeant la vie spirituelle, de se préoccuper de l’instant sans garder à l’esprit ce pour quoi Dieu nous avait conçus. Elle allait amener aux autres péchés, conduisant ainsi les humains à leur perte. Elle atteignit son comble lorsque le dimanche ne fut plus occupé à la prière, mais à la paresse.


Pouilloux sa lecture finie regarde l'assemblée.

Mes amis, ne sombrons pas dans l'Acédie. Ne nous laissons plus grisé par une Routine, ce dire que quelqu'un d'autre va le faire à notre place... Pas besoin d'en dire plus pour en finir avec les évènements que vient de connaitre notre ville.

Luttons ensemble, tous ensemble contre l'Acédie, et notre ville sera de nouveau un cité agréable. Pardonnons aussi à ceux qui nous aime pas. Ne jetons plus d'huile pour atiser un feu presque éteint.

Je pense que le partage du pain que nous allons faire ensemble est la preuve que rien n'est perdu et que le partage, doit être un symbole pour la vie de tous les jours
.

Pouilloux apporte la corbeille avec la miche de pain encore chaude et invite les fidèles à venir communier.

Imagine
Comme tous les dimanches , pratiquement, elle se rend à l'église. Comme tous les dimanches pratiquement, son époux se fait tirer l'oreille pour l'accompagner pretextant que le trés haut sait combien il est fatigué du labeur de la semaine. Il est vrai qu'il se donnait à fond pour sa famille et le jour du seigneur et bien il préférait l'appliquer à la lettre. Dieu s'étant reposé le 7ème jour, kiarna comptait bien en faire autant. Puis toute la famille célébrait le seigneur lors du déjeuner et souper.

Elle salua le père Pouilloux fidèle à son poste sur le parvis de l'église. Ca chuchotait dans les bancs. La meme conversation revenait.. la fameuse révolte. Elle avait suivi cela de loin, trop occupée ces derniers temps, elle et kiarna s'étaient tenus à l'écart du village. Les allées et venues dans les champs étaient leurs uniques sorties en semaine.

Une question revenait sans cesse également. La duchesse Salomé était elle souffrante ? pour les uns non, pour les autres oui. Elle ? le duc du Trégor assurait que sa mère allait bien, et tout naturellement elle le croyait. Certains pensaient que la présence du Duc d'Artignac était bien le signe que la Duchesse n'allait pas si bien que ça.. elle, pensait que c'était le signe que la révolte et discorde qui s'en suivait avaient inquiété le Duc. Il se devait de faire régner l'ordre. Les autres ex duc de bretagne allaient rentrer aussi. Ca ne l'inquiétait pas plus , bien au contraire, elle était rassurée de voir qu'au moindre problème ils accourraient s'assurer sur place de ce qu'il en était. Le marché manquait de quelques matières et autres, les ducs venaient chargés. Oui, les Tréglorrois étaient solidaires entre eux. Les nobles envers les gueux, quoiqu'en pensent certains. Les gueux envers les Nobles. Quoiqu'en pensent certains. Les anciens tendaient la main aux plus jeunes. Il fallait assurer la relève et les jeunes apprenaient à respecter les anciens et seigneurs, parce que sans eux, Tréguier ne serait pas tréguier. Les uns était l'avenir mais sans passé , pas d'avenir. Ca bullait parfois, c'est bien normal mais quand il le fallait, tous répondaient présents. Tréguier coulait dans les veines de chaque habitant.

La paix semblait revenir petit à petit. Les uns commençaient à comprendre les autres. Elle espérait que tout irait dans ce sens.

Souriante et apaisée, elle se signa et prit place sur un banc après avoir saluer d'un signe de tête les personnes présentes.
Blaster
Blaster serra également la main de Caled et ils commencèrent à discuter tranquillement...

Non, non, point du tout mon ami !! Je ne t'en veux absolument pas et d'ailleurs je ne me souviens même plus ce que tu m'avais commandé donc si tu me repasses commandes, peut-être pourrais-je avoir cela en stock...

Puis la messe commença et Blaster écouta attentivement le Père Pouilloux jusqu'au moment de la communion.

Il se leva et aperçu Gin, il lui fit un signe de tête puis commença à se diriger vers l'allée lorsque soudain il se rappela d'une chose : "Seules les personnes baptisés peuvent aller communier"

Il ne l'était pas, il rebroussa donc chemin puis repris sa place sur le banc tout en regardant les autres aller communier...

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Blaster de Tréguier
Pourlascience
A la fin de la messe, il salue les villageois présents.

Demat tout le monde! belle cérémonie, quelle ambiance, chacun m'a semblé particulièrement et personnellement investi dans cette messe. C'est beau à voir tant d'implication pour notre ville!
Lys_ope
Lysope était venue tôt ce matin, sa fille Clothilde dans les bras ...

Non seulement, elle voulait assister à l'office, mais aussi elles seraient baptisées ce jour.

Espérant voir leurs parrains respectifs arriver, elle s'assied au premier rang.

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Camille.
Camille s'était levée tôt ce matin là, car elle officiait dans une église où elle n'avait pas ses habitudes et elle prit donc le temps de fureter tranquillement au petit matin tandis que tous dormaient au presbytère et que le pain cuisait au four. Une fois qu'elle eut tout préparé et installé sur l'autel les petits colliers de coquillages que Damian avait préparé la veille pour les futurs baptisés, la jeune vicaire revint au presbytère préparer son fils pour l'office, sortir le pain tout chaud et une fois son aube enfilée, elle prit le chemin de l'église une nouvelle fois pour aller sonner les cloches.



Pendue au cloche avec le petit garçon qui riait toujours de ce moment joyeux du dimanche matin, elle fit teinter l'appel à la messe puis se dirigea vers le parvis pour accueillir chacun. Damian près d'elle tenait avec fierté les petits colliers. Il avait eu une longue discussion avec sa maman sur les bienfaits du partage et s'était décidé à utiliser les plus beaux des coquillages ramassés la veille pour offrir à ceux qui en ce jour entraient dans la famille du Seigneur.




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