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[RP] A la chaleur de Labrit...

Cymoril
Réouverture des Bains...

Je repose donc aussi les posts des uns et des autres histoire de rappeler ce que c'est ! (et aussi de pas manquer l'occasion de foutre la honte à la Fourmi ! )







La balise a fondu à la chaleur ??
Heureusement que je suis là ! Et le fouet chauffe là
{Tartesfouettees}
Eilith, incarné par Cymoril
De l'extérieur, un établissement délabré. Deux maisons, imbriquées l'une sur l'autre, qui partagent le même objectif : permettre au client fourbu de se délasser après une longue journée.
D'un côté, des jeunes filles et des femmes à la toilette sans équivoque entrent et sortent, souvent accompagnées.
De l'autre, des voiles de vapeurs s'échappent paresseusement des portes, emportant avec elles des éclats de voix, ainsi qu'une agréable odeur de savon.

Éloigné de l'agitation de la ville, laissant aux tavernes les bagarres et les cris, tout ici évoque une certaine nonchalance. Lieux où les sens reprennent leurs droits, et desquels on en sort revigoré.

C'est vers la seconde porte qu'Eilith se dirige, ignorant les appels des dames des rues.

Elle se laisse engloutir par la volute blanche qui l'enveloppe dans une moiteur douillette, et donne une poignée de deniers au tenancier. Ou à la tenancière, avec toute cette vapeur, elle y voit pas grand-chose.
Les bains en eux-mêmes ne valent pas cher, mais la jeune fille ne se promène pas avec le savon et tout l'attirail. Pourquoi faire, d'ailleurs, puisqu'on lui en fournit si gentiment ?

Elle passe un peu de temps dans l'étuve, puis se plonge finalement dans le bain chaud.
Enfin, elle a pas besoin de courir partout. Pas qu'elle aime pas se promener, non, mais de temps en temps, elle apprécie de s'arrêter, un peu. Ça lui donnerait presque envie de dormir, tiens... dormir...

Dans les secondes qui suivent, c'est une Eilith à deux doigts de baver qui roupille dans le bain...
Maya_Cérénia, incarné par Cymoril
C’est une histoire de l’an grâce ,mil quatre cent cinquante sept….

La ville se ferme, sur la nuit laissant tous les vices arriver…
Adossée sous une porte cochère ,appuyée de son pied et laissant sa jupe drapée tombée de son genoux. Elle est là patiente ,son corset serré , l’empêchant de respirer ,laissant négligemment déborder sa lourde poitrine , étalage de ses rondeurs charnelles…
Généreuse elle attend…
Cheveux remonté et laissant quelques mèches folles retombées ,maquillage à outrance dévoilant ses lèvres charnues et pulpeuse…
Elle languit…
Quelques va et vient sur le même carré de trottoir lancinante, elle a endossée son costume de nuit…
Elle regarde les autres… filles ,badauds ,ivrognes, gueux..
Qui voudra d’elle ??
Puis une calèche…un bel homme descend aidant cette douce jeune fille ,embarrassée de sa belle robe ,l’admirant avec désir et amour…
Elle jalouse…
Le client est là !Sans demander permission ,lui saisit la taille pour la ramener vers lui…
Son odeur d’alcool la répugne ,la sueur qui coule le rend visqueux ,dans un ton d’arrogance ,il lui demande si un voyage au septième ciel lui ferais plaisir….
Elle se force à sourire avec dégoût faisant rien paraître
Regard vide et main tremblante elle lui fait d’un signe qu’il faut payer ,elle le repousse attendant qu’il sorte sa bourse…
Il la regarde sourire aux lèvres lui mettant les écus dans le bombée de ses seins..
Elle s’approche ,imaginant qu’il lui a glissé avec tendresse un mot doux, prête à être soumise , se faire tripoter sans âme…..
Elle se vend..

…………..Petite histoire de l’an grâce mil quatre cent cinquante sept……
Cymoril
Côté maison close...

Ce n’est pas endroit qu’elle a pour habitude de fréquenter, et pourtant ce soir, ses pas l’amènent au bout de cette rue humide, alors qu’elle se triture les neurones en tous sens.

Ces derniers temps, les questions abondent dans la tête de la fourmi.
Elle s’est levée la veille, plus âgée d’un an, et pourtant sans se sentir différente de celle qu’elle était les jours avant. Rien dans le miroir ne semblait démentir son impression.

Elle est la même. Gauche, pas féminine pour deux sous, encore moins sensuelle.
Petite, taillée comme une brindille, elle a bien quelques formes et rondeurs attestant de son appartenance au sexe dit faible, mais jamais elle ne se sent une "vraie femme", comme celle qu'avaient voulu créer Céré et Lucky il y a quelques temps.

Les « poupée sexy » « belle demoiselle » et autres « jolie fourmi » qu’elle entend n’y changent rien. Propos vides, dénués de sens à son oreille.
Pourtant, elle craint de le lasser, Lui, à n'être qu'une fourmi.

Aussi, a-t-elle décidé d’aller étudier ces femmes irrésistiblement attrayantes qui peuplent cet endroit, femmes que les hommes viennent à payer pour quelques caresses.
Elle a tant à apprendre d’elles.

Elle se cache sur un perron en face de l’établissement, côté maison close.

De là, elle observe la fille. Etudie sa gestuelle aguichante, sa tenue provocante… Elle sait déjà que jamais elle ne pourra, ne saura faire cela.
Malgré tout elle reste là, comme fascinée par cette beauté si étrange, outrancière et pourtant la fille semble si loin, comme en retrait de son propre corps.
Cymoril se demande quel évènement sordide a bien pu conduire cette pauvre fille à choisir cette voie, si c’est un choix…

Un client déjà lui enlève son sujet d’étude, avide de s’approprier la demoiselle, de la faire sienne pour un instant.
Qu’est-ce qui peut le conduire ici lui aussi ?

La porte de la maison close se referme sur eux. Elle reste seule, tapie dans la ruelle, avec ses questions, ses doutes, sa honte aussi… Bien décidée à attendre que l’experte « es hommes » redescende et d’oser peut-être l’aborder. Lui parler.

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Juliuz a écrit: Cymoril, toujours franche et ironique mais qui a drôlement perdu de son charme en changeant d'avatar.
Eilith, incarné par Cymoril
Aaaah !

Elle se réveille dans un sursaut. Et fripée comme un pruneau, avec ça. Elle regarde ses mains avec consternation. Heureusement qu'il n'y a personne dans les bains avec elle, on l'aurait bien chambrée.
Ah, et puis, cette sensation vers le menton.
La jeune fille se lève, essuie la bave restante d'un revers de main, et sort, enfin.
Faudrait qu'elle pense à laver ses habits un jour, aussi... Mais là, elle n'a pas trop le temps, et puis, mine de rien, la journée avance. Vite, elle enfile ses habits, remercie la personne qui tient le commerce, et sort.

Le vent lui plaque ses cheveux trempés sur le visage, lui donnant un visage de chaton trempé... enfin, de rongeur, mais étant donné qu'un chat trempé a une tête de rat, c'est du pareil au même.
Eilith remarque que la rue est presque désertée par les fleurs de trottoirs.
Exceptée une silhouette, qui patiente, seule. Elle commence à partir, tout en fronçant les sourcils. Peut-être parce qu'elle est pas encore très bien réveillée, mais la personne lui dit quelque chose, là...
Elle choisit d'arrêter de jeter de furtifs coups d'oeil pour la regarder franchement.
Et la reconnaît. Mais... mais non, quand même, c'est pas elle, la Fourmi, elle a un homme, hein, et puis, elle est pas pauvre, ou quoi que ce soit.
N'empêche, elle lui ressemble vraiment beaucoup.

Et en plus, elle semble hésitante.
Bon... la pucelle tourne les talons vers la jeune femme, et l'aborde.
Euh... Cy...Cymoril ? Qu'est-ce que tu fais là ? ? Enfin, tu fais ce que tu veux, hein, je vais rien dire, mais bon... Enfin, tu fais ce que tu veux, quoi...
Elle s'arrête de parler. Vraiment, elle aurait peut-être mieux de faire semblant de pas l'avoir remarquée. Comme d'habitude, y a un joli plat devant elle, et la jeune fille y saute à pieds joints dedans.
Bah, tant pis.
Cymoril
Côté maison close...

Perdue dans ses pensées, emmitouflée dans la cape, col remonté jusqu'aux oreilles pour empêcher le vent glacial de la transir plus qu'elle n'est déjà, elle attend, patiente, quoique légèrement trépignante dans ses braies pour ne pas laisser ses jambes s'engourdir.
Les yeux fixes sur la porte et le vide, elle ne voit pas la jouvencelle arriver.

Aussi, lorsqu'elle entend la voix d'Eilith, c'est un étonnement naturel qui s'affiche sur son visage. Qui ne tarde pas à se transformer en une grimace horrifiée assortie d'un empourprement spontanné de ses joues. Les yeux écarquillés, elle réalise soudain le quiproquo dans lequel elle se trouve. La châtaigne la croit en train de... racoler !

Balbutiements, bégaiements, elle cherche ses mots, veut se sortir de cette situation incongrue, sans pour autant avouer le réel motif de sa présence.
Pas facile, et puis la Fourmi, ben elle n'aime pas mentir, alors voilà, encore une idée fabuleuse de la brunette qui vire au cauchemar d'un seul coup d'un seul.


Eilith... C'est pas du tout ce que tu imagines m'enfin !

La rougeur gagne le front, Cymoril sent une chaleur intense au niveau de son visage... S'imagine... n'en est que plus terrifiée.

C'est que, 'fin voilà, j'voudrai parler à une donzelle, une qui travaille là... une qui sait ce qu'aiment les hommes tout ça!

Elle s'enfonce, ne sait plus où se foutre, baisse la tête, honteuse, se tortille les mains en tout sens.
Comment Eilith peut-elle imaginer...
Surtout vu la façon dont elle est affublée, toute en noiraude qu'elle est, avec ses couches successives de vêtements couvrant chaque parcelle de son corps, sa chevelure mal domptée...


Eilith, tu me crois hein !

C'est presque une supplique qui sort de sa bouche maintenant.
Au bord de la crise d'apoplexie la pauvre fourmi cherche une bouffée d'air glacial pour s'extraire de ce qui pourrait n'être qu'un mauvais rêve dont elle pourrait rire, si elle ne savait que cette angoisse est bien réelle.

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Juliuz a écrit: Cymoril, toujours franche et ironique mais qui a drôlement perdu de son charme en changeant d'avatar.
Eilith, incarné par Cymoril
La Fourmi affiche un regard étonné lorsqu'elle lui adresse la parole. Bah, c'est sûr qu'elle devait pas s'attendre à voir quelqu'un, en allant ici.
Eilith... C'est pas du tout ce que tu imagines m'enfin !
Là, de suite, elle n'imagine rien. Ou plutôt, ne préfère rien imaginer, c'est que c'est un petit glauque, quand même. Et puis, la jouvencelle voit qu'elle sait très bien de quoi elle parle, puisqu'elle rougit. Comme quand elle parle de Cesaire.


C'est que, 'fin voilà, j'voudrai parler à une donzelle, une qui travaille là... une qui sait ce qu'aiment les hommes tout ça!
Eilith, tu me crois hein !


La jeune fille sourit devant la confusion de Cymoril. Moui, pas le genre à se faire payer pour ces choses-là, surtout que si ça revenait aux oreilles du Spadassin, y en a une qui irait se noyer sur le champ.
Mais tout de même, elle reste perplexe. Ça se voit que la petite fourmi a vécu tranquillement. Ou, du moins, pas dans la misère, pour ignorer à quoi ça sert, une prostituée.


Bah, Cymoril...tu veux demander conseil... à un bout de viande ?

Car c'est ce qu'elles sont.
Des filles perdues, qui pour un peu d'argent, saccagent leur vertu et leur dignité, jouant un rôle nécessaire, mais dégradant.
On peut s'asseoir sur plein de principes et de grands idéaux, quand la nécessité et la survie s'en mêlent.
Suffit juste de choisir par quel moyen on se condamne.


Tu sais, les hommes, quand ils viennent les voir, c'est pas parce qu'ils les aiment, hein. C'est parce qu'ils veulent se... défouler... et tout. Je dis un bout de viande, parce que ce qu'ils veulent, c'est pas juste discuter avec elles. Enfin, ça, c'est pour la plupart des hommes.
Si elle te donne des conseils, c'est pas en tant que femme, hein. Plutôt en tant que... ben, que... un truc pour que les messires ne se mettent pas à violer tout ce qui bouge.


Ce n'est pas qu'elle a une vision négative de ces filles.
Au contraire, elle leur trouve du courage pour sacrifier comme ça leur corps, et leurs rêves.
Parce que bon, espérer qu'elles arriveront à vivre décemment après, fallait au moins être aussi optimiste qu'un Général qui créerait seul une armée face à 50 hommes.
Des êtres flétris sitôt leur éclosion, qui exhalent une odeur de fleurs brisées.


Pourquoi t'es pas allée demander à Cerenia, hein ? Enfin, on peut l'attendre et l'écouter, la dame des rues que tu attends, mais je suis pas sûre que ça te serve beaucoup pour la suite.
Cymoril
Légèrement rassurée par les propos d'Eilith. Au moins pas de malentendu, mais la fourmi reste fébrile et mal à l'aise.

Elle sait bien que les hommes ne viennent pas déclamer leur flamme,mais simplement assouvir un désir primaire, limite animal en ces lieux.
Certes les soudards et autres ivrognes de passage ne devaient pas attendre grand chose des dames des lieux, mais tout de même, ils ne constituaient certainement pas l'exclusivité de la clientèle.
Prenons l'homme qui avait passé la porte de la maison close quelques instants auparavant, il fallait bien que les prostituées aient certains talents pour retenir son attention.


Eilith ! Je sais bien pourquoi les hommes viennent ici, et ce qu'ils viennent chercher, quand même! Chuis pas tombée de la dernière pluie non plus !

Ben oui! L'est presque grande la Fourmi... juste presque.
Maintenant, expliquer à Eilith qu'elle s'imaginait être plus à l'aise finalement avec une inconnue, qui ne la jugerait pas, pour demander conseil sur ces choses là. Encore un exercice malaisé. Auquel elle renonce finalement.


T'as raison Eilith, c'était une idée idiote.
Viens on va s'en jeter une en taverne, ça vaut mieux que d'rester là !


De toute façon, elle pourra toujours revenir en douce, en prenant bien garde à ses arrières. Pas question d'aborder ce sujet avec Cérénia !
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Juliuz a écrit: Cymoril, toujours franche et ironique mais qui a drôlement perdu de son charme en changeant d'avatar.
Zouz, incarné par Cymoril
Zouz ce promenait tranquillement après s'être fait refaire le visage à la fois par un escalier mesquin et une belle revancharde. Son nez avait quelques reste croustillant de plaques saignante. Et son oeil avait un teint bleuâtre plutôt charmeur pour les femelles caméléons.

Il avait décider d'aller en direction des thermes là où Eilith lui avait dit d'aller le jour ou il l'idée lui viendrait de prendre un bain. Sur la route les quelques passantes rencontré le regarder avec une frayeur non dissimuler. Zouz était rouge de honte ça faisait passer un peu mieux le liquide qui coulais de son nez avec le reste de sa tête. Le brun n'arrivait plus à faire agir son charme qu'il n'avait jamais eut.

Tristement il s'arrêta dans un petit commerce et y acheta une bouteille de liqueur.
Aussitôt dehors aussitôt décapuchonner que légèreté de l'alcool coulais à nouveau dans son estomac. Le sourire revins sur son visage tout comme la bouteille atterrit sur le visage du passant qui le suivait. En effet une fois fini Zouz avait pris pour belle habitude que de jeter ses fiole par dessus l'épaule.

Il entendit bien l'autre type l'insulté de tout les noms mais celui ci ne chercha guère les ennuies en voyant la face de Zouz à moitié amoché, ainsi que la main du brun sur son épée près à rendre le visage du râleur aussi beau que le sien voir mieux.

Il était proche des bains lorsqu'il vit une fille au cheveux châtaigne ainsi qu'une brune toute deux lui était fourmilière euh... familière. Il s'approcha d'elles en souriant. Il s'avait très bien que cette ruelle faisait partie du recoins ou les hommes en manque de tendresse venaient ce faire revigoré et astiquer l'épée...


Euh salut mesdemoiselles c'est combien pour... enfin vous savez... Je veux dire pour... C'est possible d'avoir un prix si on prend au gros? je veux dire par la vous deux?

Zouz sourit innocent et explosa de rire intérieurement.
Phoenixxx, incarné par Cymoril
La journée de Phoenixxx était passé rapidement derrière lui. Les choses a faire à Labrit était si nombreuses depuis son retour qu'il n'eu que très peu de temps à lui. Il avait donc décidé de profiter de la journée en se rendant a l'orée de la forêt. Sur le chemin, il appercu trois silouhettes dont l'une lui rapellait plus de chose que les autres.
Il décida alors de se rapprocher.


Ah, ben c'est cymo, et Zouz, et la jolie demoiselle dont le nom m'échappe. Mais qu'est-ce qu'ils peuvent bien faire là?

Son regard c'était en effet posé en effet sur une batisse, lui rappellant de bon souvenirs. Se rapprochant, il se dit:
Mais à quoi jouent-ils?

Il était assez proche maintenant pour entendre:


Euh salut mesdemoiselles c'est combien pour... enfin vous savez... Je veux dire pour... C'est possible d'avoir un prix si on prend au gros? je veux dire par la vous deux?


Il réalisa alors que Zouz ne faisait que les taquiner. Il décida, oubliant la foret, de se preter au jeu.

Oyé tout le monde, messire et moi-même vous avons choisis. Parmis tout ces morceaux de viandes. Alors, pour le prix, a vous de choisir.

Il adressa un bref clin d'oeil a Zouz, visiblement amuser de tout ce cirque. Il observa alors les deux demoiselles.

HRP: un brin de toilette et zouz en profite pour etre le premier homme sur ce topic, grrr
Eilith, incarné par Cymoril
Finalement, Cymoril semble changer d'avis, et l'invite à aller en taverne. Sauf qu'au moment de partir, il faut qu'elles tombent nez à nez avec... Zouz... Un Zouz au visage ravagé par l'amour, semblerait...

Euh salut mesdemoiselles c'est combien pour... enfin vous savez... Je veux dire pour... C'est possible d'avoir un prix si on prend au gros? je veux dire par la vous deux?

Eilith soupire. Et voilà, maintenant, on les prenait pour des dames des rues, elles aussi.
Zouz, pour les gros, faudra demander à l'intérieur, hein. Et puis...
Elle n'a pas le temps de terminer sa phrase qu'un autre messire s'approche. Ah, elle croit l'avoir vu vite en fait en taverne, celui-là.


Oyé tout le monde, messire et moi-même vous avons choisis. Parmi tout ces morceaux de viandes. Alors, pour le prix, a vous de choisir.

Elle fronce les sourcils. Autant un Zouz, elle sait y remédier, autant un messire inconnu, ça, elle sait pas comment agir. Surtout qu'il y a une Fourmi à côté qui va risquer de tomber en syncope.
Elle réfléchit rapidement.
Juste se récrier, ça va servir à rien.
Et partir en courant, non plus.
La jeune fille a un petit sourire, en pensant qu'elle en était ressortie avec la peau d'une vieille, et qu'elle allait devoir y retourner.

Elle désigne la porte à côté, des bains.


C'est pas parce qu'on discute ici qu'on y travaille, hein... On allait prendre un bain, en fait. Parce que bon, on est des gens propres, NOUS.

Elle insiste sur le dernier mot en regardant Zouz, dont elle connait l'hygiène plus que douteuse.

Faut juste espérer que la jeune femme ait pigé le truc, et adopte un air aussi naturel qu'elle.
La jouvencelle se tourne vers elle, et lui dit en essayant de lui faire passer le message par un jeu de regard (haussement de sourcils et tout, la totale !)


Bon, Cymoril, on se dépêche d'y aller ? C'est qu'il fait froid, hein, et que là-bas, y a des bains chauds, et tout.
Cymoril
Tout est en place maintenant pour le scénario catastrophe.

Elle avait déjà eu son compte d'émotion avec Eilith mais là, ça frisait l'absurde. A croire que soudain tout Labrit s'était donné rendez-vous dans cette sordide ruelle que tout le monde ignorait encore la veille.

Zouz s'est radiné dans la ruelle, bien décidé à les taquiner.
Alors comme ça il fréquente ce genre d'endroit...
Elle l'aurait pas cru, mais bon.
C'est vrai qu'il n'avait pas de chance avec les filles ce pauvre Général.
Un passif lourd... pour un p'tit gars somme toute agréable.
Sauf que là, on dirait qu'il s'est fait maraver la tronche à coups d'enclume. Pas demander ce qui lui est arrivé, surtout pas. Se concentrer, essayer de se sortir de ce pétrin.

Le temps de rentrer les nouvelles données, et Eilith l'a déjà rembarré gentiment, mais voilà les renforts masculins... Phoenix, bien décidé à renforcer la farce et la gêne des filles, renchérit.

La rougeur qui avait commencé à s'estomper du visage de la Fourmi reprend de plus belle. Rouge de honte, rouge de colère... Rouge tout court. Et avant qu'elle n'ait eu l'occasion de répondre à son tour aux taquineries des deux labritois, Eilith vient, sans le vouloir, de refermer le piège sur elles.


On allait prendre un bain, en fait. Parce que bon, on est des gens propres, NOUS.
Bon, Cymoril, on se dépêche d'y aller ? C'est qu'il fait froid, hein, et que là-bas, y a des bains chauds, et tout
.


Les deux phrases résonnent dans le cervelet de Cymoril. Elle reste comme assommée. L'idée même d'entrer dans les bains Mixtes la terrifie.
Elle veut pas y aller, se mettre à poil devant qui que ce soit.
Dire qu'elle avait cru connaître les pires instants de sa vie, les plus humiliants, le mois précédent dans la roulotte de Céré ! Elle voyait s'avancer bien pire et au grand galop.


Le regard d'Eilith est sans appel et ne laisse place à aucune échappatoire. La Fourmi a le regard suppliant elle. Et d'une voix sans timbre répond :

T'es certaine de vouloir y aller ?
Parce que maintenant, on n'est plus toutes seules, entre filles...

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Juliuz a écrit: Cymoril, toujours franche et ironique mais qui a drôlement perdu de son charme en changeant d'avatar.
Ardath, incarné par Cymoril
On ne l'a pas beaucoup vue depuis sa sortie des geôles de Guyenne, Eilith s'était déjà éclipsée quand elle s'était réveillée et la Moufette n'avait aucune idée de là où pouvait crécher la Simone.

Elle avait pas franchement envie de causer non plus : elle savait pas quoi faire des hommes qui lui tombaient sur les bras et la babillage des femelles lui plombait la cervelle.
Labrit c'était la maison, on n'a pas le droit d'y être insupportable. La sauterelle est hargneuse, elle n'est pas capable de respecter cette part du contrat si elle met ne serait-ce qu'un pied en taverne. Elle préfère rester seule.

Ou presque seule, ça souffle encore assez fort sur Labrit. Le zeph' c'est un plaisir d'enfant: si on se pose au milieu d'une grande rue et qu'on écarte les bras on pourrait presque voler. En tendant un doigt on peut le suivre.

Suivre le vent.

C'est comme ça qu'elle arrive devant le bordel où la moitié de Cartel, la part féminine étant prépondérante, semble avoir planté son camp.
Il y a la moralisatrice Eilith qui doit être née avec une cuillère d'argent dans la bouche. Y'a que ce genre de donzelle qui serait encore pucelle à son âge et qui verrait les fleurs de bitume avec si peu d'empathie.
Elle fronce les sourcils la bourguignonne, si sa morale est aujourd'hui aussi raide que son épée sur ce point elle a pas toujours été fiancée. fut un temps où elle a soulevé son jupon en échange de quoi passer la nuit.


Bonjour chez vous.

Elle passe son chemin, enfin, elle en a l'intention. Il s'pourrait qu'on l'arrête, dans ce cas là, c'est pas impossible qu'elle morde.

La fleur d'échafaud est pas d'humeur.
Zouz, incarné par Cymoril
Zouz regarda les deux filles qui étaient un peu trop habiller pour l'endroit qu'elles fréquentaient à ce moment là. Eilith lui répondit d'un ton que Zouz prenait comme d'habitude pour un reproche. Puis elle fût couper par Phoenixxx qui envoya directement la sauce.

Zouz le regarda avec étonnement lui voulais surtout pas aller avec des femmes de joie et encore moins.... enfin voilà quoi il était pas encore assez en manque pour désiré une châtaigne et encore moins une fourmi squelettique... Arf il était pris...

Que faire que pensée?? L'homme voulait-il vraiment aller faire des choses plutôt suspecte avec les deux "femmes" (j'ai bien mis des guillemet oui ^^)??

Une pensé une petite douleur pré-lombaire... Non Non Non!!! sa y est il crois avoir compris! Arghhh mais c'est affreux, c'est une honte, c'est un pic, c'est un cap que dis je c'est un cap c'est une péninsule.... Erf je m'emporte les coups sur la tête sûrement... Donc pour en revenir à la pensé que peut-être vous avez maintenant comprise... Oui Zouz avait peur que l'homme ne veuille pas des femmes mais de... Enfin ils étaient quatre... et le quatrième c'était... lui....

Eilith permis à Zouz de sortir de ses pensée plutôt farfelu en expriment son envie d'aller aux bains. Cela tombais bien car lui aussi au départ était venue pour ça il répondit donc à la châtaigne.


Euh je peux venir avec vous? En fait je suis venue pour essayé de faire partir quelques traces qui sont... comment dire incrusté sur mon visage...

Puis en allant vers Eilith il remarqua quelque chose de bizarre la demoiselle avait les cheveux soit trempé soit gras comme de l'huile d'olive... Il ne pu s'empêcher d'attraper une mèche et de l'effriter tel une bouse fraîche récolté sur les chemin afin de savoir à combien de jours la proie pouvais ce trouver... Oui en 4 jours de brigandage Zouz avait déjà appris à faire cela.

Les cheveux étaient trempé... Il sourit ayant compris mais ne voulant pas la mettre mal à l'aise il se retins de dire tout haut ce qu'il venait de découvrir. (Edit:je précise pour les blondes comme Eilith que la il pense qu'elle sort du bain... donc si elle sort du bain elle y retourne pas... donc elle travail... Oui c'est logique pour moi...)


Et puis quoi encore?? Vous croyez franchement que Zouz manquerai une occasion comme celle là? C'est mal le connaître... Il regarda Eilith et fît un gros sourire.

Euh Eilith? Je crois que tes cheveux sont comment dire... Trempé et la dernière fois qu'il a plu c'était il y a trois jours... Donc tu travail vraiment ici c'est ça? mais tu ne veux pas de client comme nous?
Euh pour toi Cymo j'avoue que je n'aurai jamais pensez te trouver ici... Ça te va pas bien de faire ce travail la je te préfère sur les routes...

Mais c'est le plus vieux travail au monde alors je comprend que vous le fassiez pour subvenir à vos besoin...

Je vous laisse à vos.... Euh votre clientèle.


Zouz sourit et commença à se diriger vers les thermes.
Eilith, incarné par Cymoril
Humpf... entre une Fourmi qui semble la supplier de pas rentrer dans les thermes, un Zouz qui a pigé qu'elle était déjà propre, et une Ardath qui les salue sans s'arrêter, visiblement mal embouchée... elles sont mal... Heureusement, même si le quiproquo est maintenu, le Commandant Poivrot les lâche, à présent.
Mais il reste le messire inconnu.
Eilith soupire, et sort sa paire de tenailles. Elle regarde le messire dans les yeux, espérant qu'il comprenne.


Non, on travaille pas ici, en fait.

Elle se doute que ça la rend pas très imposante, mais l'essentiel, c'est de pouvoir cogner au bon moment. Surtout pour ça qu'elle la sort, d'ailleurs. Pas tant pour effrayer que pour être se rassurer et pouvoir s'en servir.
Ce faisant, elle regarde Cymoril, et l'invite d'un signe de tête à s'en aller.


On va pas suivre Zouz, hein ?
Et puis, tu dois aller en Armagnac, tu vas être en retard, à force de rester ici, toi.
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