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[RP] Puuu.. 17 ans, l'anniversaire de mariage des Staline

Zeliejeanne
Zélie s'approche à nouveau du jeune couple que forment Eulaly et Vints. Elle a beaucoup de respect pour celui qu'elle gratifie déjà de 'mon gendre". Elle lui voue aussi une affection particulière. Il rend sa pupille heureuse et rien que pour ça, elle l'aime énormément. Elle rit doucement d'entendre les jouttes verbales et amicales entre Jo et lui.
Il évoque des héritiers qu'ils envisagent. Le coeur de la tournaisienne s'accélère. Un sentiment mitigé à cette évocation. Un bonheur immense rien que d'y penser et le regret, toujours vivant et cependant bien enterré au fond de son coeur. Celui de n'en avoir pas donné à son époux.

Citation:
Merci à tous les deux de nous avoir invité.
Zeliejeanne, vous êtes particulièrement splendide. Jo doit faire nombre de jaloux dans les Flandres.

La phrase à peine commencée, Zélie remplace ce sourire éteint qui accompagnait sa pensée par un autre, franc et sincère.

Vints, la fête n'aurait aucun sens sans votre présence à tous les deux ! Et puis, rien que pour ce compliment, je ne regrette pas que vous soyez là ....**elle rit franchement et hoche la tête** Hey ! on n'a pas été élue la deuxième plus belle femme de Flandre pour rien. Puis dans un murmure : Rosa était la première, mais je la soupçonne d'avoir menacé le jury de représailles.**rit à nouveau** Je ne crois pas qu'il fasse des jaloux. Il y a tellement de belles jeunettes à Tournai. Et puis, je n'ai d'yeux que pour lui.
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Leonard


Αυτό δεν έχει καμία ομορφιά. Ελένη πλησίασε μόνο στην εποχή του.*

Dit-il en s'approchant suffisamment de Zélie pour prendre sa main et y attarder ses lèvres. Il se releve avec un sourire charmeur, l'oeil pétillant de malice. Elle était déjà si belle chaque jour à l'université, dans cette robe virginale, elle surpassait les nymphes.

Et oui ! Googtrag avait été invité à la fête. Il salue tout de même, politesse oblige, le Staline dont il jalouserait presque les fringues, le brun à plume et la blonde verte, les autres aussi, un peu vaguement, les mains dans les poches.


Splendide fête Zéliejeanne. Votre anniversaire c'est bien çà ? Je vous ai apporté un petit présent.

Et il sort de sa poche un petit paquet emballé avec soin. Dans un écrin de velours écru brille une onéreuse broche à cheveux arborant en son centre une fée nue prenant son envol. Il n'avait évidemment pu choisir que celle-ci.




*Aucune qui n'ait votre beauté Zéliejeanne. Seule Hélène s'en est approchée en son temps.
Cassandre_louna
Elle retrouva sa maman, et la petite cira, quand elle repéra enfin des yeux Zélie !

Je reviens je vais donner le cadeau à la femme de Sly !

Un signa à sa mère et Cira, avant d'avancer dans le petit monde pour s'approcher de la belle blonde quand elle vit l'autre, un jeune blond, un peu trop prés, un peu trop collant visiblement, et légèrement trop dragueur. Avec ses soucis de divorce, et les soucis du futur beau-père, la duchesse blonde avait une haine particulière pour les hommes, et le pauvre, il allait prendre ...
Elle s’avance en trottinant et lui dit en grognant

Reculez ou je vous euh....

Vite une menace .... Un truc qui fais peur, un truc de barbare un ...

Slyyyyyyyyyy je viens de voir cet homme draguer ta femme ! De mes propres yeux vus !

Elle fixa l'homme, ben oui, elle avait encore mieux que des menaces, elle avait encore mieux que les pires tortures du monde, elle avait : un sly ! Et un sly amoureux de sa femme en plus !

Bref : Il va prendre ... Premier réflexe de la blonde ? Regarder son domestique qui avait son cadeau dans les mains et lui dire


Reculez je ne veux pas que le cadeau de l'épouse soit froissé .
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Slystaline
Vints, Vints, Vints... L'homme qui trouve toujours les mots qu'il faut... Pas.

Citation:
Dès que nous aurons des héritiers, et le plus tôt sera le mieux, afin que vous puissiez vous amuser avec les enfants que nous aura donné votre pupille adorée. Je vous imagine très bien en papy-gâteau


Et Sly de s'envoyer un large godet cul sec, pour faire passer l'iritation, l'enervement, le début de colère, le picotement que l'association des mots "héritiers" 'enfants" et surtout "papy gateau" provoque chez lui. Sa réaction instinctive eut été de cogner son gendre avec le gobelet en feraille en hurlant "Et là tu l'imagines bien le papy gateau!?!?" avant de le terminer à coup de lattes dans les côtes quand il eût chu sur le sol, devant le public ébaubit devant ce déluge d'ultra-violence hors de propos. Staline aurait alors vidé une cocote de vin chaud (pas gacher le grog quand même) sur les plaies à vif de l'Arrageois, avant de l'émasculer en sifflotant une paillarde rythmée. L'émasculation du gendre... La meilleure solution pour éviter de devenir grands parents.
Déjà que Zeliejeanne et lui ont l'impression d'avoir pris 17 ans en quelques mois depuis l'arrivée d'Eulaly dans leur vie...
En tout cas avec le temps, le Tournaisien a apprit à maitriser son impulsivité et à faire preuve de plus de civilité. Plutôt que de cogner dans le tas, il s'envoit un large godet cul sec, attend que ça se passe.


Rooh vous savez Vints... Le plus rapidement possible... Dans un sens je vous comprends, vous êtes déjà assez âgé. Mais de l'autre... Les enfants sont des nazes. Ne vous pressez pas trop, conservez les bons moments de la vie à 2.

Un coup d'oeil, sourcil froncé vers Googtrad, en train de léchouiller la main de son épouse. Cassandre qui est plus proche de la scène entend ce que le jeune homme dit à son épouse.

Citation:
Slyyyyyyyyyy je viens de voir cet homme draguer ta femme ! De mes propres yeux vus !


Toujours dans la maîtrise, dans la tempérance de son tempérament, il fait quelques pas, et prend le bras de la duchesse pour lui faire cette appartée.

Ne t'en fais pas Cassandre... Zeliejeanne a toujours préféré les hommes aux petits garçons. Puis avec ses manières de parler en Grec partout et tout le temps... J'pense que c'est le genre qui passe ses vacances sur les Iles de Lesbos ou de Mikonos... Si tu vois ce que je veux dire.

**Mimage de guillemets**Puis plus fort, s'adressant à l'étudiant

Bonjour Gootrude! J'vous sert un verre de lait? C'est bon pour la croissance. Quel dommage que je n'ai pas invité Adelys, l'assistant du président du parlement. J'suis sûr que vous vous seriez bien entendu avec lui.
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Cira
Caaaassaaaaaandreeee !

Elle était là, sa Duchesse chérie était là ! Cela faisait des semaines qu'elle ne l'avait pas vu. L'enfant croyait même que Cassandre l'a boudait et ne voulait plus la voir n'ayant aucunes nouvelles d'elle.

L'enfant lâcha la main de Rosa et vint en vitesse faire un gros câlin à Cassandre. Malheureusement son petit coup de speed la fatigua grandement et l'enfant s'écarta pour reprendre la main de Rosa et laisser sa Duchesse vaquer à ses devoirs. Décidément aujourd'hui elle ne ferait pas long feu.

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Zeliejeanne
Citation:
Αυτό δεν έχει καμία ομορφιά. Ελένη πλησίασε μόνο στην εποχή του.

Leonard ! πάντα κολακευτικό*. Mais nous sommes ici chez moi, pas dans la salle de Grec.

Zélie souriait, un peu agacée. Elle se demandait si elle avait bien fait d'accepter qu'il vienne. Elle ne l'avait pas vraiment invité, mais elle avait commis l'erreur de parler de cet anniversaire. Et quand il lui avait demandé s'il ferait partie des invités, elle n'avait rien su répondre qu'un "oui ... pourquoi pas" plus évasif que spontané.
Citation:
Splendide fête Zéliejeanne. Votre anniversaire c'est bien çà ? Je vous ai apporté un petit présent.

Et voila, encore une fois qu'il l'a met dans l'embarras, encore une fois qu'elle ne sait ni que faire ni que lui répondre. Sa gentillesse naturelle lui fait tendre la main, elle sourit malgré tout et elle ouvre l'écrin. Un bijou ! aussi joli fut il, elle va le refuser. Elle ne peut accepter un tel présent d'un prétendant dont elle n'a rien à faire. Elle prend son courage à deux mains, ouvre la bouche dans une grande inspiration quand ....
Citation:
Reculez ou je vous euh.... Slyyyyyyyyyy je viens de voir cet homme draguer ta femme ! De mes propres yeux vus !

Les choses lui échappent. Zélie, ne sait plus rien faire d'autre que de refermer la bouche et de replier le bras ce qui pouvait laisser à penser qu'elle acceptait le cadeau de Goodtrad.

Sly intervient, ces répliques cinglent. Zélie aurait éclaté de rire si elle n'avait pas peur que les choses s'enveniment. Cette journée devait être parfaite. Son cousin de moine allait arriver, la cérémonie allait commencer, les voeux allaient être renouvelés ..... non non non non ! tout devait et allait bien se passer.

Allons, allons .... euuuuhhhh ! tout va bien. Léonard ne me drague pas voyons **regard vers Leonard** n'est-ce pas que vous ne me .... **mauvais idée, il serait capable de dire que si. Sourire forcé. Regard vers son époux** Et toi, toujours taquin ! du lait **rire exagérement sonore** tu vas lui servir un grog voyons ** comme elle sait qu'il ne le fera pas, saisit le verre d'un invité qui l'avait abandonné quelques secondes sur la table, et l'offre à l'amoureux transi** Tenez Goodtrad ! à votre santé **La broche toujours dans la main devient encombrante, elle la dépose discrétement dans la poche de sa robe. Puis elle tire vers son époux vers Cassandre**.

Cassandre, ravie de vous revoir ici. **surveille le jeunot et l'époux des yeux** C'est vraiment très touchant de votre part de vous être déplacée.

*Léonard ! toujours aussi flâtteur

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Rosa
Cassandre arriva, ravissante comme toujours accompagnée de Catherine Rose. Elle étreignit sa fille, ravie de la revoir.

Ma chérie, je suis contente de te revoir. Tu es magnifique mais ces cheveux lâchés... c'est inconvenant, voyons! Tu n'es plus une petite fille.

En parlant de petite fille elle salua Catherine Rose et la prit dans ses bras. Elle profitait de sa petite-fille et de son air encore un peu poupon, avant de la reposer et serrer la main de Cira, qui décidément n'était guère en forme.

Rosa espéraient qu'elles pourraient bientôt s'asseoir afin de se reposer un peu. En attendant elle alla saluer Amaurie, un peu seul dans cette fête puis assista à l'arrivée d'un ptit jeune gominé, une espèce de blanc-bec qui tournait autour de Zélie.

Elle était dans son milieu flamand et s'y sentait bien. Tout serait parfait si elle ne ressentait pas tant de douleurs, qu'elle noierait à coup de grogs...

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Leonard


C'est qui cette folle en froufous de luxe qui hurle soudain ?

Googtrag reste un instant stupéfié. Il ne s'attendait pas à çà. Elle pourra se vanter d'avoir fermer la gueule de l'insolent étudiant quelques secondes.

Jusqu'à ce que l'gros lui propose du lait insinuant que sa croissance n'est pas finie. Il va lui répondre à ce lourd ! Mais Zélie rattrape le coup avec intelligence et il se ravise quelque peu, lançant tout de même un regard noir à l'encombrant mari. La belle ne méritait pas que sa fête soit gâchée d'un esclandre. Du moins, il refusait d'y participer. Il avait de l'éducation LUI !


Ignorer l'époux, se parer du masque qui convenait aux mondanités, offrir à la foule un sourire un peu taquin pour dédramatiser la situation, épauler sa princesse parce qu'il est hors de question qu'une fête en son honneur soit entâchée. Le jeune blanc-bec retrouve tout son aplomb et lève son verre bien haut :

On drague les gamines. Les femmes se séduisent. Croyez-vous, ma si chère Amie, que je sois capable de vous insulter ?
A la plus belle étudiante de l'Université ! Au plus heureux des hommes !


« Amours nouvelles oublient les vieilles. » ? « L’amour est un jardin fleuri et le mariage un champ d’orties. » ?" Il fait un vent à décorner les cocus. " ? Non, çà ne va pas le faire.
Partant d'un grand éclat de rire, il en choisit une autre :


Et comme l'a un jour dit Philémon :
"Qui veut se marier est sur la voie du repentir."*

Aux amoureux ! Qu'ils soient heureux !


Eclat moqueur dans son oeil lorsque son regard croise celui de Sly. Pas une fois il n'avait cité son nom. N'était-ce pas subtil ?
Le verre est bu cul-sec.
Il avait été parfait. Il en avait jeté un max. Le message était passé. Et elle avait pris la broche...


* Proverbe de Philémon ; Fragments - IIIe s. av. J.-C.
Isab95
Que de monde !
Vints le promis de l'héritière Staline, Rosa, Cassandre, Amaury et d'autres qu'elle salua tous d'un sourire au fur et à mesure qu'ils passaient devant elle.

Zélie, gracieuse, rattrapait les doucereuses paroles de son tendre époux qu'elle essayait d'imaginer en papy grognon envahi par une horde de mini-flamands.

Gaby ouvrait un oeil et une bouche large comme une porte d'église, c'était le signe qu'il réclamait, encore, à boire. Mais que faisait donc Vic ? Elle piaffait d'impatience, des jours déjà qu'il était parti et elle sentait son corps et son coeur s'engourdir.

Il faudrait qu'elle puisse confier Titien à une main ferme pendant qu'elle donnerait discrètement le sein à Gaby. Son regard errait sur les invités cherchant à qui confier cette lourde responsabilité de garder sous haute surveillance un enfant de 6 ans prêt à toutes les sottises.


Bon, tu ne bouges pas de là, compris ? Tu restes là, tu tiens le poteau. Oui celui là ! Si tu t'en éloignes, toute la salle s'écroule, d'accord ? Je te confie une sacrée responsabilité là ! Et puis Vic va arriver, t'inquiète, il te remplacera !

Se reculant dans un coin un peu sombre de la grande pièce, elle sortit de quoi nourrir le vorace enfant de Vic et regarda la petite bouche s'emparer goulûment de la pointe de son sein.

Fermant les yeux, elle sentit brutalement une violente douleur poignarder son flanc tandis qu'elle maîtrisait difficilement une nausée terrible.

Blurp... re-blurp et aïe !
Mais c'est quoi ce truc ????


Elle jeta un coup d'oeil penaud en direction de l'assemblée, priant le Très Haut que son malaise ne soit que passager et demeure invisible aux yeux des convives.

C'est bien le moment tiens !
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Eulaly_de_baylaucq
Elle végète Eulaly... Oulà qu'elle végète ! Elle ne parle pas ou si peu...
On n'a pas l'habitude.
Elle trouve juste la force de tirer un pâle sourire à Vints lorsqu'il lui fait des insinuations pour lesquelles elle aurait gloussé en temps normal.

Maudit soit ce mal pour lui gâcher ainsi la fête !

Tandis que l'estudiantin vient présenter, un peu trop langoureusement c'est vrai -mais n'était-ce pas normal de plaire lorsqu'on est jolie à ce point ?- ses hommages à sa marraine, elle s'éloigne de quelques pas pour trouver Vints et Jo échanger quelques bons mots.

Elle sourit pour elle-même.
Jo n'aurait sûrement pas voulu qu'elle épouse un homme avec moins de caractère.
Et de caractère, les deux hommes en avait à revendre, assurément. Comment imaginer alors que leur relation soit différente ?

Des enfants ils en auraient oui, enfin... sans doute... un jour... après que Vints ait trouvé le temps de se faire baptiser... après qu'ils trouvent aussi celui d'organiser leurs noces entre municipales ou comtales, gestion de mairie, travail à l'Hospice Ste-Boulasse, missions dans les Forces et autres... trucs.

Jo avait le temps de se faire à l'idée de faire sauter des petiots sur ses genoux. Elle aussi d'ailleurs... Mais lui qui avait été le meilleur des pères pour elle, comment pourrait-il trouver les siens si nazes ?

Elle imagine alors soudain une armée de charmants petits Vints et Eulaly lui sauter dessus, tirer sur ses cheveux, le léchouiller de toutes parts tandis que d'autres fouillent dans les placards à la recherche de confiture ou de bonbons, saccagent son jardin en se jetant des cailloux qui casseraient une fenêtre, traumatiseraient la basse-cour à faire se suicider les canards et planqueraient des grains de maïs dans les draps des Staline pour se marrer en les imaginant s'y coucher le soir. Euh... Oui là son sens de l'empathie se réveille carrément.

Bon... Ils s'arrêteraient avant d'en avoir autant... Voilà tout... Ils les menotteraient au besoin... Baillonneraient ? Enchaîneraient ? Tortureraient ? Eduqueraient ?!!!
Eulaly fréquentait peut-être trop Malycia... ou peut-être qu'elle avait encore trop de doutes quand à ses capacités de mère. Cà vaut quoi une mère FSF quand on sait que la sienne déjà sans l'être n'avait pas trouvé la force de l'élever elle-même ? Ou simplement cette fièvre qui la tenaillait et la fatigue accumulée la faisait-elle complètement délirer.

En tous cas, ces pensées rajoutent à son épuisement et tandis que tout ce beau monde tourne autour d'elle sans qu'elle ne comprenne rien à ce qu'ils disent, elle reste dans sur son cotonneux nuage enchaînant les grogs encore et encore avec pour seul résultat de lui faire tourner encore plus la tête.
Son bras passé autour de la taille de Vints, elle pose sa tête contre son torse, devenu ce jour "le pilier le plus sexy du royaume".

A son oncle :


Vints et moi voulons d'abord nous marier. Mais les enfants suivront Jo. Et tu les aimeras. J'en suis sûre.

Quand l'autre andouille baragouineur d'elle-sait-pas-qu'elle-langue porte un toast en l'honneur des mariés (?), elle hausse un sourcil et demande à son oncle :

C'est Marraine qui l'a invité ce con ?
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