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[RP] Le vieux chêne sacré

Flamel
le vieille arbre trônait toujours le froid le rendait encore plus majestueux
Flamel s y arreta un moment ...l ' energie qui se degageait etait puissante
instant de quiétude qu il appréciât fortement ....
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Cornelia


Revenue depuis la veille sur Niort, de façon cette fois-ci définitive, Cornélia voulut aller voir le vieux chêne, lieu qu'elle prisait pour sa quiétude ambiante et
pour sa relation avec ses origines presque perdues.
L'air était encore froid mais quelques rayons de soleil perçaient parfois la masse blanche et nuageuse qui régnait sur cette saison.
Tâchant de mettre son esprit au calme, elle approcha de l'arbre, touchant son écorce rugueuse et profita de faire quelques prières
pour également remettre un peu d'ordre dans sa nouvelle vie, loin d'une armée et des guerres…

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Valentina_dafirenze
Valentina avait besoin de calme, elle se rendit auprès de cet arbre majestueux et rassurant.

Elle en caressa l’écorce et s’installa entre ses racines qui sortaient du terrain.
Elle commença à écrire. Deux, trois pages, beaucoup de mots, énormément d’amour.
Elle lia le parchemin aux pattes de la petite bestiole et la fit voler en la regardant s’éloigner.

Val, épuisée, s’allongea aux pieds du chêne, se couvrit comme elle le pouvait et elle s’endormit.


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Erinne
Erinne se promenait dans les environs de la ville, refusant de penser a quoique se soit. Ses pas la menèrent au pied d'un chêne qui, vu sa taille , devait être centenaire. Elle en fit le tour lentement, ses doigts courant sur l'écorce rugueuse, pour finalement s’asseoir à son pied. Elle l'enserra de ses bras et se laissa envahir pas la sérénité du lieu. Elle sentit les forces de l'arbre, qui venait de reprendre vie en ce printemps naissant, passé dans son corps, elle se sentit revitalisé. Elle laissa courir ses pensées, apaisée

Elle avait fait tous ce qu'elle avait à faire, il ne lui manquait que les réponses à ces question mais les villageois étaient bien discret en cette triste journée grisâtre. Ceux croisé ne connaissait pas les personnes dont on lui avait donné les noms. C'est vrai que ça faisait une paire d'année qu'elle avait eu ses renseignement. Elle avait toujours remit se voyage et peut être ne serait elle jamais venu si on n'avait eu besoin d'elle. Finalement elle avait retrouvé la paix en son âme et en son coeur. Qu'importait ses questions elle avait fait le principale et pouvait enfin rentrer la ou elle se sentait chez elle.

Après un long moment passé en ce lieu, se sentant rasséréné, elle reprit le chemin de la ville, enfin en paix avec elle même. Il ne lui restait qu'une formalité à effectuer mais elle avait le temps avant son retour en Artois.
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en deuil
Lilyena
départ différé. quelques heures de plus à errer dans la ville ou en périphérie. exactement ce qu'il fallait pour jeter le trouble et que ses pas la mènent en un lieu de sagesse.

Le chêne est magnifique et semble lui tendre les branches comme une mère tend les bras à son enfant. Lily monte dans les hauteurs. Elle ne devrait plus dans son état mais elle adore ça. ses affaires l'attendent couchées au sol, y compris son échelle. Elle répartit au mieux son poids pour soulager les branches et enlace de ses bras le tronc de l'arbre. Cachée par le feuillage, elle laisse rouler ses doutes sur la peau pâle de ses joues.

qui a t elle trahit cette nuit?

la brise soulève tendrement ses cheveux et sèche son chagrin. La sensation est plaisante. comme ce qu'elle vit. devrait elle oublier? devrait elle le cacher? devrait elle le dévoiler? ou simplement apprécier? oui elle veut en profiter sans se poser plus que question. La guerre lui a monter comme la vie est éphémère. la paix comme les gens disparaissent pour bien d'autres raisons que la mort.

Lily pose ses lèvres sur l’écorce. Bisou à un ami rassurant qui ne demande rien et l'aide à calmer ses craintes. Lily redescend sereine de son arbre.

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Dina1821
Au crepuscule, quittant Niort, mais profitant d aller decouvrir le vieux chene sacre, dont on lui avait conte l existence, la Dona, mignonne, trottinait, cahin-caha, sans compagnon, sur le sentier, evitant les ornieres , sa coiffure, un chignon torsade de fils d or, haut sur le crane et pointu, lui donnant des airs de licorne.

Elle jetait de temps a autre, son regard eclaire de femme des bois, et de nature gourmande, sur les bas-cotes, esperant recolter de ces champignons succulents , les girolles !

Puis relevant le cou , a la lisiere de la foret, d une clairiere, elle distingua enorme , le chene pedoncule, encadre de malingres accacias, regrettant presque de ne pas etre en octobre pour l admirer sous ses couleurs ocres.

Un couple d ecureuils , la queue acajou, coquettement recourbee, campes sur une de ses branches etaient occupes a compter leurs glands.

Elle approcha, prete a se prosterner devant lui, lorsqu un couinement cadence, lui fit relever la tete : spectaculaire, un coleoptaire, le corps incline, elytres releves et antennes largement deployes en arc de cercle s appretait a se poser, sacrilege ! sur le chene venrable.

Et Le capricorne , sans crainte, s accrocha a l ecorce du tronc.

Elle deposa sa hache, et calmement, s empara de sa sarbacane, introduisit une minuscule fleche et souffla , elle piqua l insecte, percant sa coque.

Les visiteurs curieux pourraient ainsi, encore contempler le chene sacre
Les lucanes et autres scarabees devraient se contenter du bois deja mort.

Elle s accorda un moment de repos et enfin, dans la le ciel nocturne, piquete d etoiles, lumignons, la lune a sa lucarne, nixe, elle s eloigna sur le chemin caillouteux.

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Sans la liberte de blamer, il n est point d eloge flatteur
Cornelia


Les journées ensoleillées de la saisons faisait de la nature un petit paradis terrestre, le temps de quelques mois.
Tous les êtres vivants, humains, animaux ou même végétaux étaient en recrudescence de vie.
Cornélia qui ne se sentait pas très bien ces derniers temps, avait décidé d'aller voir son arbre sacré, qui avait été aussi celui de ces ancêtres.
La plénitude des lieux, la prestance du géant végétal, imposant et la "magie" qui hantait les lieux lui rendait un semblant de paix intérieure dont elle ressentait parfois le besoin, comme à ce moment-là.
Elle avait ôté ses bottes et foulait le sol grassement herbu de ses pieds se faisant légers.
Le lieux qu'elle tenait à respecter comme certains respectaient les églises, elle se faisait silencieuse et empreinte de retenue.
Elle s'approcha du creux qui était au sein du large tronc de l'arbre centenaire et s'agenouilla devant, fermant les yeux et se plongeant dans une ancienne prière celte qu'elle citait à voix très basse,
presque inaudible, le mouvement de ses lèvres révélant uniquement ses mots étrangers.
L'air sentait bon les différentes essences de plantes et de fleur qui entouraient l'endroit et les oiseaux habituellement chantants, s'était tu avec la chaleur du moment de la journée où le soleil était à son zénith.
Ses prières terminées, elle se retourna, s'asseyant, appuyée contre l'écorce rugueuse et ferma les yeux, ne faisant qu'écouter tranquillement le silence environnant,
son visage tacheté de quelques rais de lumière filtrant à travers le feuillage dense du chêne, elle arborait une expression de quiétude, quelques mèches de ses cheveux couleur corbeau, flottant à la faveur d'une bise légère…

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Cornelia


De rebondissements en calmes plats à ne plus savoir qu'en faire, Cornélia aimait à fouler le sol sacré du vieux chêne centenaire.
D'autant plus quand elle ressentait le besoin d'une présence rassurante et forte avec la prestance naturelle qui en découlait.
Des contrariétés, toujours et encore et bien des déceptions aussi. Elle ne savait plus quoi penser ni que faire.
On la disait autoritaire. Pourtant elle n'avait que le sentiment d'avoir un minimum de sens moral, chose qui se perdait de plus en plus de nos jours.
Apparemment c'en était même devenu ringard de l'être. Eh bien soit, quand on est ringard, on est obsolète et qui dit obsolète dit aussi qui n'a plus sa place.
C'est appuyée debout, dos à l'écorce chaude et rugueuse de l'arbre qu'elle faisait le tri de ses pensées tourmentées.
Mais elle ne partirait jamais sans Ani, ça non.
Trouvant au moins cette certitude, elle décida de quitter le vieil arbre, respectueusement, peut-être pour la dernière fois avant de retourner chez elle, chez eux…

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Azylys
La brune sourit, les yeux clos, adossée à un chêne centenaire. Elle n'aurait pu trouver meilleur endroit, meilleure compagnie, meilleure protection que ce vieil arbre pour un jour si important. Elle a tant à dire, tant à souhaiter, tant à espérer, tant à protéger, tant à vivre encore. Et pour remercier la vie elle n'aurait pu trouver meilleur sanctuaire. Il y un mois encore elle était double, deux coeurs, deux êtres en un seul. Il y a un mois encore elle était la seule flamme à briller, à vaciller parfois.
Mais aujourd'hui, comme depuis un mois déjà, elle se sent complète, elle voit les choses sous un angle différent. Azylys porte son trésor au dessus d'elle, pour remercier la vie pour cette petite lumière de vie qui grandit chaque jour. Son fils lui sourit, pas plus gêné par la hauteur que par la présence de l'arbre centenaire. La brune est fière de ce petit homme de tout juste un mois, il lui semble déjà si grand...


Merci mon coeur, merci d'éclairer chaque instant que la vie nous donne, si tu savais combien je t'aime petit loup...

Kilian la fixe de ses grands yeux d'azur, rayonner c'est ce qu'il sait faire le mieux. Toujours un sourire, toujours des rires, parfois une moue boudeuse, rarement une larme. Il babille comme toujours, cherche à poser ses mains minuscules sur ce tronc gigantesque, suit une fourmi pressée d'un regard curieux. Azylys sourit, le laisse faire, joue avec lui.
De nouveau blotti dans les bras de celle qui lui a donné la vie, il regarde la brune d'une moue attristée. Le petit loup a faim, elle le lit dans ses yeux. La belle sourit et ne se fait pas prier, bientôt le petit est blotti contre son sein, les yeux clos. Azylys le regarde téter, attendrie, elle donnerait sa vie pour chaque instant passé avec lui, pour chacun de ces moments qu'elle grave à jamais dans sa mémoire.

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Cornelia


Cornélia, par cette belle journée d'automne, ressentait le besoin d'aller voir le vieil arbre.
Les couleurs magnifiques de cette saison si particulière dans la culture celte donnait à la nature un apparat d'or et de rouge lumineux.
restant un moment à simplement observer la nature autour d'elle et du grand végétal, elle chantonnait doucement une vieille mélodie de son enfance en irlandais, les yeux levés sur la voute fueillue de milles couleurs…



Ses pas assourdis par les feuilles déjà tombées se promenaient tranquillement autour du vieux chêne en caressant l'écorce de main avant de finalement repartir quand sa chanson fut finit.
ce fut un simple moment de tranquilité avec elle-même avant de repartir vers la ville à ses obligations…

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Cornelia


Après un bol d'air pris en dehors de sa ville natale, la celte revint auprès de l'arbre sacré de ses aïeules.
Sous le manteau blanc et froid de la neige, le chêne restait majestueux malgré sous dépouillement hivernal.
Le silence habituel imposé par la présence de la neige rendait le lieu encore plus mystique et seules quelques traces de petites pattes animales troublaient l'immaculée en plus des nouveaux pas qu'elle venait elle-même de faire.
Le lieu restait vivant malgré tout, seulement endormi en attendant les jours meilleurs.
Une certaine quiétude était revenue à Niort, rendant la ville plus agréable, du moins aux yeux de la brune mais elle gardait tout de même une certaine lassitude qu'elle ne s'expliquait pas vraiment et avec laquelle elle avait appris à vivre.
Après une silencieuse prière adressée à ses anciens disparus et aux dieux de sa culture, elle quitta les lieux, ne laissant que ses pas dans la neige comme preuve de son passage…

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Azylys
Adossée au tronc, presque assise à terre, la brunette est à moitié dans les vapes. Sa tête lui fait un mal de chien, le ventre ce n'est pas beaucoup mieux, et elle se sent fatiguée comme jamais. Elle s'y attendait pourtant à choper cette fichue maladie aussitôt arrivée. Et d'apprendre que son petit loup et sa presque-maman repartent au front bientôt, rien que ça elle en a la nausée. Deux fois qu'une guerre se déclare, et deux fois qu'ils partent au front tous les deux sans qu'elle puisse les aider le moins du monde. Elle sait que dans quelques jours elle sera aussi énervée qu'inquiète, mais pour le moment elle est trop faible pour réagir. Allez, allez, plus que trois ou quatre jours, c'est pas la mort, tu l'as déjà frôlée de bien plus près que ça.
Pas tout à fait remise de ses mésaventures d'hier soir, la brune ne cesse de vérifier que son fils est toujours avec elle. Elle est presque fière de pas avoir fondu en larmes hier soir, d'habitude il lui en faut moins que ça. Elle supporte plus de perdre quelqu'un, ne serait-ce que temporairement, et son fils, c'est sa seule famille de sang, c'est à la fois son quotidien le plus banal et son plus grand trésor, ce qui l'empêche d'aller se battre mais ce qui la rend heureuse. La seule raison peut-être d'être encore debout et en vie aujourd'hui. Alors oui, hier, elle a fait la dure à cuire devant son loup, mais elle a bien eu la peur de sa vie. Comme si elle n'avait pas déjà assez peur d'être seule à la maison à veiller sur le petit, comme si elle n'avait pas déjà assez peur de finir par tous les perdre. La brune esquisse un faible sourire, elle est tombée bien bas la lieut' toulousaine inébranlable d'autrefois.
Fatiguée comme jamais, Azylys se recroqueville encore davantage, serrant son bébé endormi contre elle, et s'autorisant un bref repos, elle ferme doucement les yeux. En deux minutes, elle s'est endormie contre l'arbre, dans un sommeil fiévreux trop peu réparateur.

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