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[RP]« Les portes de l'avenir sont ouvertes...

Catherine_elisabeth
...à ceux qui savent les pousser. »
de Coluche


[Dans l'hôtel particulier loué pour le séjour, deuxième étage, au bout du couloir à gauche...Non droite ! Appartements de la future mariée au bord de l'hystérie - 12 mars au matin]


Adélaïde, jeune suivante de la comtesse se cachait derrière la grande malle qui trônait au centre de la pièce, tandis que Catherine balançait tous les objets qui croisaient ses mains.
Elle hurlait, larmes aux yeux, colère, ou folie



"Je me moque de vos minables excuses Adélaïde ! Vous êtes une incapable !
Vous êtes plus niaise qu'une chèvre ma pauvre !
Ce n'est pourtant pas compliqué !!! OU AVEZ VOUS RANGE LE COLLIER DE MA MERE ???"


Un morceau d'étoffe vola et parti rejoindre d'autres qui jonchaient le sol.
Le collier de sa mère. Celui qui représentait la croix Toulousaine, identique à ceux qu'elle offrait parfois quand elle était comtesse de Toulouse, à ceux venant prêter serment.
Elle y tenait plus que tout, et n'imaginait pas se marier sans.


"Vous voulez une deuxième balafre sur votre visage ? Ou un sourire jusqu'aux oreilles ? TROUVEZ MOI MON COLLIER ! Tout de suite ! J'ai dit !"

La suivante fila jusqu'à la salle attenante à la chambre pour encore fouiller dans les cassettes à bijoux de la Comtesse. Elle était persuadée de l'avoir mit pourtant.
Pendant quelle cherchait, la Comtesse appela une autre suivante.


"Marie Louise ! Mon bain ! Il faut que je me détende, je vais mourir avant de me marier sinon... Ald est arrivée ? Et Val ? Et ma cousine ? Et Amarante ? Ne dites rien, j'imagine sans doute que vous l'ignorez, vous êtes toute aussi niaise qu'Adélaïde toute façon."

La vieille suivante esquissa un fin sourire. Elle ne se formalisait pas des paroles de la Comtesse, sachant parfaitement qu'elle n'en pensait pas un mot.
Elle était juste stressée, et sans doute légèrement folle, mais ça...

Elle ajouta une grande cruche d'eau chaude dans la bassine située dans le coin de la pièce, et jeta quelques pétales de violettes en plus de quelques gouttes d'huiles parfumée.

Puis elle dégrafa la robe de Catherine.
Cette dernière retira le reste elle même et délia ses cheveux.
Nue, elle se balada dans ses appartements, allant de la chambre à la petite salle à côté pour jeter un oeil inquiet sur les recherches d'Adélaïde.

Puis elle ferma les yeux, respira un grand coup et finit par aller s'allonger dans la grande bassine.

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Valeryane

    « Quand une blonde appel on s’active »

    Une lettre il y a quelque temps était arrivée avec une demande bien spécifique celle d’une confection particulière pour une personne que la volcan estimait beaucoup du souvenir d'une violette à l’enfant blondinette qu'était devenue son amie Catherine, malgré son éloignement la volcan restait à l'écoute du temps qui passait. Elle ne mit pas longtemps à répondre à cette demande car elle en était presque fière et quelque part son égo reprenait du galon, le retour ne se fit pas attendre pour un oui qui sortait du cœur.

    C'est donc dans l'atelier que la volcano mit la révolution pour que les volontés de son amie soit mise en action, on ne pouvait rien refusé à la blonde pleine de folie qu'était Catherine, tout aussi folie que la volcan un précepte de vie que toute deux aimaient, la volcan était devenue la couturière personnel de Cath.

    Et dans le petit mais si bien fréquenté de l'atelier des Fées Tisserande on pouvait entendre les cris de la Volcan.


    Margieeeeeeeeeeee, Ortieeeeeeeeeeeeeeeeee velours, soie, dentelle, cuir et folie

    Les cheveux volent quand elle se tourne vers son homme de main

    Jehannooooooooooo! Au forgeron prend le croquis et file vite.

    Chose faite toute se dépêchèrent de faire ce que la brune demandait, elle attendait dans son salon devant deux mannequin, ciseaux en main, aiguille prête à filer dans les étoffes. C'était du sérieux et là pas question de faire la folle la précision était de mise, Val savait que Catherine serait exigeante et demanderait quelque chose de bien précis que nul ne pouvait demander, tout sera exclusive aucune autre femme ne porterait cette tenues, ni aucun homme l’autre tenue « supriiiiiise ».

    "Quelque mois plus tard sur les route de Bourgogne "

    C'était impeccable et la volcan avait envoyé un coursier pour montrer les croquis
    des deux tenues fini, acceptation de son amie pour les deux c'est parfaitement ce que la volcan attendait, enfin à présent il fallait penser à mettre en sécurité les deux tenues pour la cérémonie, les ranger délicatement dans leur grand coffre et chargé dans la charrette accompagné de gardes envoyés spécialement pour le voyage, Oufff! Sécurité oblige pas question de perdre le chargement en route.

    La troupe se mit enfin en marche pour la Bourgogne qui n'était pas la porte à côté, prévoyante la volcan avait mis quelque affaire chaude, le nord n'est jamais très agréable question température. Et la volcan détestait avoir froid.


    - Brrrrr! Mais quel idée d'aller se foutre dans ce coin du nord, une fille du sud m'enfin.

    Impatiente d'arriver à destination un des gardes cria Bourgoooooooooooogne!

    - Ah! Enfin nous y sommes

    Elle avait mal partout des secousses de ce maudit coche, la charrette avait bien suivit pas de roues cassés dans ces routes si mal entretenues. Alors que l'hôtel particulier de Catherine faisait son apparition au loin, la brune observa se paysage aimé jadis ou elle se revoyait courir dans les prés avec ses sœurs. Une pointe au cœur à ce souvenir si doux et si douloureux. Quand le coche s'arrêta


    Quand le garde ouvrit la porte pour enfin laisser descendre la volcan attendu et pressé de montrer à son amie les tenues elle ne remarqua pas la petite pierre qui attendait qu'une chose, qu'elle se pète la goulette dessus et bien entendu chose prévu arriva juste devant la porte de l'hôtel particulier

    BADABOUUUUUUUUUUM! BLING! BLING!Grand fracas! AIEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE! OUILLLE! Mais heu!

    Tête première sur le sol, jambe croisé et jupon au bas des fesses montrant ainsi les jolies bas blanc, le regard furieux et la bouche ouvert quand elle remarqua que le garde se retenait de rire, c'est qu'il ne la relèverait pas hein! .

    Abrutis, idiot, imbécile à la place de me regarder bêtement aidez moi voyons.



(hrp : rp envoyé par ljd valéryane en MP et posté avec son accord)
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Asalais
Auberge au centre de Dijon :

Blondie faisait des bulles dans son bain chaud. Alors que la moitié de son visage se trouvait sous l'eau, son regard observait la robe pendue face à son bac à bain. Pour le voyage, elle en avait emporté une seule. Juste au cas où. Cependant, elle ne s'attendait pas à devoir l'endosser pour un mariage. Si elle avait su, elle en aurait sûrement choisi une autre mais celle si ferait l'affaire. De toute manière, elle n'avait pas porté de robe depuis une éternité. Depuis son baptême. Cela lui manquait parfois... Souvent.

Sa tête s'enfonça dans l'eau et elle resta immergée un long moment. Elle adorait prendre des bains. Lorsqu'elle vivait encore avec sa famille, dans les divers châteaux de ses parents, elle y passait des heures à divaguer sur tout et sur rien. Ce temps était révolu. De même que celui où d'autres remplissaient la baignoire pour elle, s'occupait de lui préparer ses tenues et de lui sécher et coiffer les cheveux. Aujourd'hui, elle devrait se débrouiller seule et debout, alors que l'eau ruisselait sur son corps, elle soupira. Sa longue et épaisse tignasse bouclée mettrait une éternité à sécher. Elle l'enroula dans du tissus et alla se poster devant le miroir.


Bien.

Doucement, ses doigts glissèrent sur le tissus de sa robe vert canard. C'était une belle robe. Les manches arrivaient un peu plus bas que les poignets, le décolleté discret était carré et la coupe mettait en valeur sa fine taille. Elle se rappelait que lorsqu'elle la portait, le tissus aérien virevoltait autour d'elle à chacun de ses mouvements et elle aimait cela. Un sourire s'étira sur ses jolies lèvres et elle entreprit d'enfiler sa tenue pour la cérémonie. Sa tête resta un moment coincé dans le tissus et elle se tortilla sur place. Il y avait un problème. Elle tira un instant jusqu'à ce que la robe épouse son corps.

Oh nan, nan nan nan nan nan !

La respiration lui manquait légèrement. Trop serrée. Les yeux écarquillés, elle se regarda dans le miroir. Avait-elle grossit ? Peut-être était elle devenue énorme et ne s'en était même pas rendu compte. Mais ce n'était pas possible, on ne devient pas énorme en troquant la vie de château pour adopter la vie de... de.. Faire la guerre et chasser le rat. Ses yeux se plissèrent, ainsi que son nez. Cela lui donnait toujours un air adorable car quelques traits enfantins s'éternisaient sur son petit minois de quatorze printemps. Iohannes disait qu'elle était un bébé car elle lui donnait des élans de de... Elle ne se rappelait plus ce qu'il avait dit, juste qu'elle avait répliqué que son Altesse avait des montées de lait. C'était peut être exagéré mais pas si faux – qu'elle soit encore un peu un bébé, rassurez vous, le Dauphin est bien un homme sans lait -. Le soucis, car oui, il y avait un soucis, c'est qu'à 14 printemps, le corps change. Alors non, elle n'avait pas grossit. Elle avait juste pris un peu de poitrine. Si si, je vous jure. Ce n'est pas flagrant mais c'est une réalité. De plus, certaines parties de son corps s'étaient affinées alors que d'autres s'étaient affirmées. Elle n'avait pas encore un corps de femme, mais elle n'avait plus un corps d'enfant. Le phénomène était en marche et cela la fit bien chier sur le moment car la robe n'allait plus. Ce n'était pas grand chose mais il fallait quelques retouches, ce dont elle était incapable.

Désespérée, elle s'assit sur un siège et ses lèvres se pincèrent. Les larmes lui montèrent aux yeux. A quatorze printemps, il y a également les hormones qui déconnent, il faut lui pardonner. Elle les chassa rapidement et prit une grande inspiration. Elle n'avait que cette tenue de toute manière, il lui faudrait donc trouver comment arranger sa poisse grâce à quelques petites retouches.

Ainsi, elle s'emmitoufla dans un long manteau bien chaud et sortie. Oui oui, avec ses cheveux mouillés encore enroulés dans le tissus. Le ridicule ne tue pas et Zaza n'accorde pas tant d'importance à ce genre de choses. Ses pas la menèrent juste devant l'hôtel particulier. Son nez parsemé de petites et discrètes taches de rousseurs prit de la hauteur pour observer le bâtiment.

Elle aimait bien celle qu'elle avait surnommé Kati, cependant, elles ne la connaissait que peu et se sentait un peu mal à l'aise de l'importuner comme cela le jour de son mariage. De plus, Zaza avait grandit entourée de ses frères alors elle n'avait que trop rarement eu l'occasion d'assister à une sorte de solidarité féminine concernant les froufrous et ce genre de chose. Elle hésita et sursauta lorsqu'une voix qu'elle connaissait attira son attention. Son regard partit à la recherche de sa tante. Elle s'approcha.


Tatie ?

Elle s'accroupit pour l'aider à se relever.





(post dédicacé à Sancte mwahaha)
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Neyco_mini_biscuit

Dans la voiture de(s) Hautpoul.

A quelques lieux du point de rendez-vous, dans une voiture de gueule et or, se trouvait deux minis et un chevalier patient.
Très patient.
Ce dernier point devait être retenu tout au long de cette aventure car au final entre les:
- J'ai faim; de la part de la mini biscuit
- On arrive quand; de l'héritier
- Qui a mangé le dernier biscuit? De la mini encore et pour terminer
- Ché po moua, couir couir; du mini qui bien entendu disait ce dernier fait la bouche pleine et qui en traduction du "couir" il fallait juste ajouter un R pour comprendre que le gamin en avait marre de cet enfermement.

Au final c'est tous heureux qu'ils arrivèrent. L'une allait pouvoir dévaliser les boulangeries et pâtisseries pour refaire un stock pour le retour, et les deux autres iraient quand à eux se défouler les jambes en les rues de la ville en attendant que les cloches sonnent.

Jamesssssssssssssss, repère l'église normalement ils ont du louer résidence privée, je pense que la ou il y aura du monde devrait être le bon endroit.


Oui mademoiselle, ne vous en faites point les gardes sont partis en avant et l'un des messager est revenu. Une oriflamme argent et gueule est visible en ville.


Ah excellent nom d'un biscuit. J'ai crains que nous n'arrivions à temps.

Mèche de cheveux remise en place, pince aux deux sabres croisé remise en place. Pour sur un minima de présentation, bien que pour le coup après deux semaines quasiment enfermé à courir en voiture, leur énergie était au top niveau, aussi il fallait craindre une surplus d'activité de la part de la famille.

L'escorte familiale revenant, un des capitaines de leur garde rapproché se mettant au niveau de la voiture.


Sire, Milady, nous arrivons l'église est en vue, nous allons nous séparer afin de se positionner au besoin. En attendant nous allons vous mener à la résidence privée de votre cousine. Il semble que tout soit en effervescence en ces lieux.

Mercé Mike, faites donc au mieux.


Cookie on va voir ta cousine, mais toi tu iras avec ton père car maman va y aller en premier.


Jetant un regard à son chevalier.


Cela serai dommage que vous voyez la tenue de la future marié avant le futur marié nom d'un biscuit.


Toctoc.

Mini tapant sur la voiture
.

James suivez Mike et ses hommes, nous allons à la résidence privée.


Très bien Mademoiselle.

Dans la rue de la résidence des futurs époux.

Une petite troupe avançait entourant la voiture de Hautpoul.

Halte!

Nous sommes arrivée, dispersion en les ruelles.

Au besoin il suffit de nous appeler.

Un petit bout de femme ouvrant porte et mettant pied à terre, cheveux ondulé comme toujours attaché afin qu'ils ne se trouvent en devant ses yeux.

Mercé Mike, les garçons vont aller explorer les rues faites comme et bien d'habitude.
Je vais en avant voir ma cousine. Si elle a la moitié du caractère de sa mère, je crains que mon aide ne sera point de trop.


Laissant tout le monde descendre et enfin s'étirer jambes, elle mise cape sur ses épaules.
Puis elle fit une bise sur la joue de son fils et de son chevalier.


Je vous vois tout à l'heure.

Montrant son sceau, les valets la laissèrent passer directement.

Une voix, nom d'un biscuit on aurait dit Lily, hystérique, un brin de folie, elle se retint de rire pour toquer à la porte de l'appartement de la Casaviecchi.


C'est Neyco, quelqu'un est encore en vie?


Pointe d'ironie? Sa marque de fabrique mais bon au moins elle espérait que l'on reconnaitrait la mini biscuit. Du dernier pli reçu à première vu Aldraien serai la témoin, au moins elle la connaissait.


(HRP / JD Cath est autorisé à poster pour Neyco et Vonlichtenchein Censeur Raoul prévenu ^^)
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Catherine_elisabeth
[Dans le bain de la Comtesse...enfin dans ses appartements]

Adélaïde poursuivait ses recherches dans les cassettes de bijoux de Catherine.
Elle savait que si elle ne trouvait pas le collier, elle aurait deux possibilités : fuir ou mourir.
Ou presque.
La balafre qu'elle avait sur le visage, venait de Catherine.
Mais elle était méritée. La Comtesse lui avait infligée ça un an auparavant.
Le petite brune était alors une gamine des rues, une voleuse. Elle était en train d'agresser un gamin plus jeune qu'elle, le frappant au sang pour voler ses quelques piécettes.
Catherine avait choisit cet instant pour passer dans la rue, accompagnée de ses gardes. Elle avait sorti la cravache de sa botte et avait frappé la brune au visage.
Elle l'avait ensuite prit à son service.

Aujourd'hui était le jour le plus important pour la Comtesse, et sans le collier de sa mère, il ne serait pas parfait.


Pendant ce temps, la peste blonde se délassait dans son bain. Pourtant, même si son visage se détendait peu à peu, de temps en temps elle ouvrait sa charmante bouche pour hurler


"Adélaïdeuuuuuh ! J'attends toujours !!!!"

Marie Louise retourna quant à elle près de la Comtesse pour lui murmurer "en bas de l'hotel se trouvent Valéryane et mademoiselle Zaza..."

Catherine se redressa, sourire aux lèvres

Bien bien ! allez leur dire qu'elles peuvent venir dans mes appartements ! Leurs présences me fera le plus grand bien je crois !

La suivante sorti pour s'exécuter, par la petite porte de derrière.
Alors que la blonde allait enjamber la bassine pour sortir, on toqua à la porte


Citation:
C'est Neyco, quelqu'un est encore en vie?


Sa cousine...

Ouiii ! entrez ! heu non... deux minutes...Aaaaah....Aïeeeeuh !

En voulant se hâter de sortir, la jeune fille avait glissé sur le sol.
Se relever dignement.
En même temps personne ne la regarde.

"Même pas mal.... Entrez !!"

Elle attrapa rapidement son peignoir de chambre qu'elle enfila sur sa peau encore humide.

Dans le même temps, Marie Louise passa le message au garde devant la porte qu'il passa lui même aux demoiselles Asalais et Valéryane

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Valeryane

    « Le nez dans les pâquerettes, alouetteuh! alouetteuh! Lariretteuh «

    Alors que son corps cris de douleur et que sa bouche insulte de tous les noms d’oiseau cet idiot de garde qui met un temps fou à la relever, la volcan entant la tendre voie de sa nièce Asalais enfin quelqu’un qui vient à son secours. Sa tête se tourne vers la douce voix et ses bras hisse son corps meurtris par la chute et le voyage n’en parlons pas.

    Oh ! Ma nièce que je suis contente de voir

    Le bras se donne avec grand plaisir à l’invitation de sa nièce sauveuse, quant au garde celui-là aura sa part de colère, une foi debout et remise de ses émotions la brune se tapote la robe et arrange sa chevelure, vexé et honteuse elle fusille qui ose rire de sa chute. Première chose elle envoie un grand coup de pied dans les orphelines du garde qui du coup, fait de grand yeux et gonfle ses joues.

    Ça fait mal ? Tant mieux moi aussi j’ai eu mal de ta maladresse.


    Et enfin le regard tendre de la tante se pose sur le doux visage d’Asalais, c’est que dans la famille on ne cherche pas à comprendre dans la colère, on est du genre impulsif et réactif.

    Ma chérie je suis si contente de te voir, mais dit donc tu es devenue une ravissante jeune femme je ne t’ai plus vue depuis ton baptême.

    Val avait dans ses malles une surprise pour elle et lui donnerait en temps voulu, c’est qu’elle lui avait promis déjà pour son baptême mais la volcan avait eu tellement de travail dans son atelier.


    Tu me guide jusqu’à notre belle et jolie blonde Catherine ?

    Le bras de la tante invite la nièce pour se faire guider, l’autre main indique qu’il faut monter les coffres, elle ne va tout de même pas les monter elle non.

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Neyco_mini_biscuit
Touzours devant la porte

Main qui était suspendu en les airs, la mini biscuit faillit éclater de rire. Les retrouvailles allaient se faire en disons ... comment dire... elle même l'ignorait. Mais étrangement cela lui fit chaud au cœur. Lily aurai été derrière la porte en lui disant ahah c'est une blague je suis la devant toi, qu'elle y aurai presque cru.
M'enfin le temps était passé, et la c'était une blonde et non une brune qui semblait en pleine galère?
Pourvue que la blonde n'ai rien, un hématome le jour de son mariage cela faisait mauvais genre. Franchement elle voyait mal la blodne arriver avec un steak sur le visage en disant c'est rien normal. Enfin dans cette hypothèse la au moins il y aurai de quoi faire au barbecue.
Tiens ça lui faisait pensé que étonnamment son mini n'avait réclamé son bout de viande. Bon sang Von allait criser si Cookie se mettait à vouloir aller chasser le lapinou en pleine ville.

Retour à la réalité face à cette porte, pour entendre l'autorisation de la cousine.
Main sur la poignée, elle la tourna et passa tête en premier.

Z'êtes visible?


Quelle question forcément sinon elle aurai pas dit entrée. J'vous jure la mini des fois. Mais bon vu que la cousine semblait avoir hérité de la maladresse sait on jamais.
Souriante en regardant son visage, cette dernière semblait radieuse malgré l'instant fatidique sous peu, la mini au passage en avait profité pour tirer son petit colis discrètement.

Bon à coté de la mini ça faisait pas discret mais venir les mains vides aurai été insurmontable.

Le bonjorn à vous ma chère petite cousine. Comment se porte la future mariée?

Tout en disant cela, elle enleva son capuchon afin de dévoiler son visage aux traits italien.

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Asalais
Moi aussi je suis ravie de te voir. Je ne savais pas que tu connaissais la...

Les yeux de Blondie s'écarquillèrent face au coup que reçu le garde. Elle se mordit la lèvre pour ne pas éclater de rire.

Comtessa... Hrmm.

Elle secoua légèrement son petit minois en souriant.

Mercè Tatie... Oui je ne suis pas descendue au Sud depuis pas mal de temps maintenant.. La guerre.

Elle plissa le nez, comme à son habitude et prit le bras de sa tante pour entrer. Une fois à l'intérieur, sa main libre vint détacher le bout de tissus qui emmaillotait sa chevelure, laissant tomber une cascade de boucles blondes et humides sur ses épaules. Son regard embrassa les lieux et elle se laissa guider jusqu'à la chambre de la futur mariée. Face à la porte, elle se tortilla légèrement, offrant un spectacle plutôt amusant à Valeryane sur qui elle fixa un regard quelque peu hésitant.

Ma robe est trop petite... Je ne savais pas qui je devais aller voir parce que j'en ai pas d'autre...

Une petite moue apparut sur sa frimousse et sa main alla toquer à la porte.
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Catherine_elisabeth
La future mariée essayait de sécher ses cheveux dégoulinant à l'aide d'un tissu mis à disposition pour.
Dans le même temps, sa cousine entra dans la pièce et se présenta tout en ôtant son capuchon.
La blonde eu alors l'occasion de voir la nette ressemblance qu'avait Neyco avec sa mère.
Avec les femmes Casaviecchi.
Traits Italien, visage légèrement effronté, moue capricieuse et nez aristocratique.

Catherine différait de cela que par sa chevelure blonde, héritée de son père.

Elle s'avança d'un pas franc vers elle et lui offrit la bise sur les deux joues, comme le faisait sa mère


Ma cousine, je suis bien aise de vous voir enfin ! Vous n'avez pas changé de mes souvenirs d'enfance.
Je vais... J'essaye d'aller on va dire... Et j'essaye de ne tuer personne avant la cérémonie... Si celle ci devait avoir lieu depuis les prisons, je crois que mon promis ne me le pardonnerai pas...


A cet instant, on toqua à la porte, et Marie Louise ouvrit après un signe d'accord de la comtesse.
Pénétrèrent Asalais et Valéryane...

Les yeux de la blonde pétillèrent de joie.
Elle alla, contre toute attente, leur offrir le même accueil qu'à sa cousine, embrassade franche.
Jour de mariage, seul moment où la folie visible est acceptable pour toute jeune femme qui se respecte.
Ne sachant pas qui se connaissait, forcément, la blonde l'ignorait vu qu'elle vivait loin, fit aussitôt présentations


Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi, Baronne de Hautpoul, ma cousine !
Donà Valéryane de Llobregat de la Duranxie, mon amie et couturière personnelle,
Demoiselle Asalais de Castel Vilar de La Duranxie, mon amie !

Comme je suis heureuse de toutes vous voir là ! Vous pouvez pas imaginer ! Manque encore Aldraien et je crois que je ne tuerai personne du coup !


Mimique mutine, et Adélaïde trouva bon de réapparaître à cet instant, sourire victorieux, le collier de la comtesse en main.
La blonde s'en saisit aussitôt, soulagée et regarda la jeune suivante


Otez moi ce sourire satisfait ! Je peux encore vous étriper si je veux ! Aujourd'hui je fais ce qui me plait !

Une seconde d'attente, visage de la gamine qui se ferme, et suivit d'un rire de la comtesse

Je plaisante Adélaïde ! Allez vous choisir une robe dans celles que je n'utilise plus. Elle sera pour vous. Et vous viendrez à la cérémonie, telle est ma récompense. Maintenant filez et laissez moi avec ma cousine et mes amies !

La jeune suivante partie toute heureuse, à la recherche de son futur trésor.
Catherine regarda ses invitées, souriante, les laissant se saluer

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Valeryane
    « Surprise! Surprise!»

    Tel l’œil du maître la brune remarqua l’étroite étoffe qui empêcher sa nièce de respirer ce qui ne pouvait rester ainsi, heureusement prévoyante et surprenante son coffre détenait bien des trésors et un était destiné à sa blondinette de nièce.

    Petite princesse Duranxie j’ai dans mon coffre une jolie surprise pour toi j’espère que mon œil de maître ne se sera pas trompé, tu seras très belle pour la cérémonie tu feras honneur à ton amie.

    Clin d’œil des émeraude et sourire plein de tendresse mais pourquoi donc sa nièce n’avait osé venir à son atelier lui faire la demande ? Peut-être la timidité de son âge où impressionnée par une tante trop éloigné.
    Allons y tel que je connais notre blonde comtesse elle doit être dans tous ses états.

    La porte s’ouvre sur une servante en état de stress surement Catherine qui lui a fait des siennes pendant la préparation de son bain ou tout simplement de courir dans tous les sens. Quand Val entre au bras de sa nièce, elle reste surprise de voir son ancienne Suzeraine mais elle reste humble et courtoise. Une embrassade franche et sincère se fait quand Catherine approche les yeux pétillants et Val comprend pourquoi, il y a dans ses prunelles une douce folie qui fait que la volcan a un attachement profond avec la blonde comtesse. Val salue poliment sans pour autant faire de révérence peut être une certaine fierté qui fait que l’égo ne veut pas se plier.

    Enchanté Baronne Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi

    Et d'enfin se retourner vers son amie

    Ma chère amie tu es radieuse et heu ! Un peu stressé non ?

    Quand la pauvre servante arriva avec un sourire satisfait et que Cath lui expliqua que ce jour elle avait tous les droit Val du retenir un rire.

    Les coffres arrivent avec ta tenue et les accessoires, comment tu te sens ça ira ?

    C’est qu’un mariage ce n’est pas rien il faut que la reine du jour soir parfaite que rien ne dépasse pas un fil, ni une dentelle, ni une mèche de cheveux rien de rien Catherine allait être le joyaux qui allait être la fierté de son futur époux. Et voilà maintenant on fait quoi ? On se regarde en chien de faïence l’air de pas trop savoir quoi dire et faire ?

    J’ai soif soif soiffffffffffffff !

    Voilà ça comble le vide et en plus c’était vrai.

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Neyco_mini_biscuit

Mini biscuit bisant sa cousine, sa chevelure blonde si elle n'avait sue qu'elle appartenait à son père, aurai pu tout autant tirer trait de Nsaymar. D'ailleurs la mini se permise de l'ajouter.

Ma chère vous êtes rayonnante, vous savez feu notre Oncle Say avait même chevelure or que vous. Vous me le rappelez et cela me réchauffe le coeur tout autant.


Ou comment nié l'existence même d'une personne que l'on avait jamais pu voir même en peinture.


Le principal est que vous alliez bien, ce jour est votre jour et je ne doute point un instant que votre futur soit d'accord avec moi. Et s'il faut mettre accusation sur un tiers alors nous le ferons.

Bon certes elle ne l'aurai pas fait, mais aurai tout fait pour protéger son sang.
Il ne fallut peu de temps pour que enfin d'ailleurs réponse à son questionnement arrive. En premier lieu la mini habitué à inspecter lieu d'un seul regard n'avait entraperçut le moindre plissement de tissu. Or qui pouvait être la couturière? Elle n'en connaissait que peu, dont une unique parfaite, mais qui pour certaines raison, la mini avait du se séparer. Enfin c'était pour son bien être et sa liberté. La mini ne supportait d'entraver qui que ce soit.
Présentation fut faite aussi à part forcément l'inconnu la couturière arriva. Miracle, main sur le coeur pour sur la robe serai un chef d’œuvre de beauté. Unique parfait oui cela ne faisait aucun doute.


Donà Asalais c'est une joie de vous rencontrer, Valeryane ma chère, j’étais inquiète qu'une main peu habile prenne soin de ma cousine. Mais j'ai grand hâte si tu me permets de rester d'admirer ton chef d’œuvre qui sera comme je te connais si bien magnifique. Tu sais j'ai toujours ta tenue d'huissier. Elle est divine.


Mini se tournant vers sa cousine.

Par contre si cela ne vous gène point, où puis je déposer mon paquet, je vous avoue craindre crampe au bras et surtout je le reconnais ai peur de le faire tomber.
Enfin Lily a du vous dire à quel point ma maladresse était disons catastrophique quelques fois hélas.


Sourire mutin, combien de choses avait elle brisé? Trop, d'ailleurs pour cela que toute chose brisable avait été enlevé de la demeure des futurs époux.
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Asalais
Les noisettes légèrement verdâtres de Blondie se mirent à pétiller et elle vit sa tante comme la plus grande Donà du monde, de son monde, à cet instant. Elle ne finirait pas par suffoquer au milieu de la cérémonie, ni par se voir ridiculiser par un craquage de tissus inopportun.

Soulagée, elle se détendit légèrement et tenta de distendre le tissus qui lui collait à la peau. Lorsque la porte s'ouvrit, elle était en train de tâter sa chevelure humide. La chasseuse de rat ressemblait à un rat mouillé. Quelle ironie.

Surprise par l'élan de la Comtessa, elle resta coite une ou deux seconde mais finit par se reprendre et lui rendre son embrassade avec plaisir. Un sourire s'étira sur ses lèvres. Il s'élargit encore face au débordement d'énergie de la future mariée.


Oh, vous semblez en grande forme Comtessa Kati..herine.

Elle se tourna vers la jeune femme qu'on venait de lui présenter.

C'est une joie partagée Baronne Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi. 

Elle passa ses bras derrière son dos et dodelina très légèrement sur place, les observant toutes les trois. Asalaïs mettait toujours un peu plus de temps que la moyenne des jeunes filles de son âge et de sa naissance à être à l'aise.

Moi aussi j'ai un peu soif.
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Aldraien
    Le jour fatal avait fini par arriver. Elle l'avait craint, redouté, elle avait espéré que ce jour n'arrive pas réellement, que quelque chose ou quelqu'un - qu'importe - empêche cette union. Elle ne pouvait pas le faire elle-même, consciente que ce n'était pas son rôle que de nuire à sa fille de coeur, quand bien même pensait-elle le faire pour son bien. Si elle intervenait, si elle mettait son veto à une union avec le Dauphin, jamais Catherine ne le lui pardonnerait, elle en était intimement persuadée, mais quel dilemme ne redouter le malheur de sa fille en l'absence de son intervention !
    Finalement, le jour était venu, il était trop tard pour changer d'avis, elle encouragerait donc ce mariage, à sa façon, en étant présente pour la jeune pestouille Casaviecchi, afin d'éviter quelques meurtres malheureux lors des préparatifs, car elle connaissait la blonde & la savait capable d'exploser à tout moment lorsqu'elle était sous pression.
    Ce matin, elle était dans la petite chambre, louée lors de son arrivée à Dijon afin de pouvoir au moins dormir dans de bonnes conditions, au retour de ses rondes quotidiennes aux alentours de la ville. Son lit, lorsqu'elle rentrait, était toujours chaud, & cela la ravissait. Elle pouvait enfin profiter en toute liberté de sa présence, & ne s'en lassait jamais. Mais aujourd'hui, elle devait y aller seule, sinon cela susciterait de trop nombreuses questions.


    - Madame la Baronne, la Comtesse votre fille vous attend afin que vous la souteniez. Elle semble extrêmement anxieuse.

    Anxieuse...Un doux euphémisme pour dire la panique qui devait avoir pris possession de la jeune femme tout juste adulte. Acquiescant à la servante qui attendait son aval pour repartir, elle fit sa toilette, avant de s'approcher de sa robe. Une robe venue de Lorraine, réalisée par Baylina dont le talent n'était plus à prouver, qui lui irait parfaitement & dans laquelle elle ne nagerait pas pour cause de grossesse terminée. Il fallait au moins ça pour ne pas faire honte à Catherine lorsqu'elles seraient au devant de l'Autel.
    Aidée pour enfiler sa robe, elle se trouva bien légère, habituée qu'elle était à porter son armure depuis plusieurs jours déjà. Le tissu fin dont sa robe était faite était comme le jour & la nuit par rapport à cette armure qui pesait habituellement sur ses épaules quand le vêtement semblait voler, aérien, sur sa peau. Enfin, ses femmes de chambre, embauchées pour l'occasion, la coiffèrent & firent de ses longs cheveux une tresse épaisse, dans laquelle furent glissés quelques liens dorés faisant ressortir le flamboyant de sa chevelure. Sa couronne rejoindrait ensuite sa tête, ceintrant celle ci & faisant écho aux filaments dorés & aux pierreries ornant son cou : une magnifique parure de saphirs, héritage de feue celle qu'elle considérait comme sa Mère, Sa Majesté Nebisa de Malemort.

    Fin prête, elle se dirigea en compagnie de quelques gardes l'appartement de Catherine, priant intérieurement de ne pas avoir trop trainé, de peur que celle-ci n'ait fait quelques meurtres en attendant son arrivée.
    L'endroit semblait en pleine effervescence, pourtant, elle n'eut aucun problème à repérer la chambre de la future mariée, tant toute l'agitation semblait se concentrer à un endroit bien précis, d'où des voix de femmes s'élevaient, celle de Catherine dépassant les autres, à la menaient droit vers elles. Arrivant dans la pièce, elle essaya de reconnaître chaque personne présente dans la pièce. Val', déjà, son ex-future cousine qui l'était restée malgré tout & qui avait plus d'une fois réalisée des robes pour elle, une femme qu'elle avait eu l'occasion d'appercevoir de temps en temps en salle des Poursuivants de la Hérauderie & enfin une personne totalement inconnue de la Malemort. Au milieu de toutes ses femmes, sa Catherine, sa fille chérie complétement hystéro-paniquo-pipelette (copyright). Elle s'en approcha afin de déposer une bise sur chacune de ses joues, sourire détendu sur les lèvres. Don't worry comme on dit, pas d'soucis, Hakuna matata quoi !


    - Bonjour ma chérie ! Tu es très en beauté dis moi...mais il ne te manquerait pas un petit quelque chose ? Je ne sais pas moi, une robe ? Puis, se tournant vers les autres.
    - Mesdames, bonjour ! Je suis Aldraien de Malemort, pour celles de me connaissant pas. Une bise plus tard pour Val' : Je suis très heureuse de te revoir cousine !

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Amarante, incarné par Catherine_elisabeth



Une visite à son frère, une confidence et le moral au fond des chausses. Sa fille loin d'elle, en voyage sur un navire et la brune broyait du noir, sans compter que plus rien n'allait dans sa vie depuis quelques temps déjà. Elle avait perdu le gout pour la peinture c'était pour dire et elle passait son temps sur la plage de Sant Brieg, à attendre le bateau qui allait lui ramener sa fille, sa vie, sa raison de vivre tout simplement ...

Une autre visite, chez elle cette fois de son frère ainé qui s'inquiétait pour elle. Mais cette visite, elle allait vite le comprendre, n'était pas simplement de courtoisie. Son frère était venu, accompagné d'une jeune dame qu'elle ne connaissait que de nom. Sa Suzeraine ...

De fil en aiguille, le but de la visite tomba et la brune d'en rester coite sur le moment, ne sachant quoi répondre, surtout à la suite d'une confidence, qu'elle devait garder secrète. Il lui fallait du temps pour réfléchir. La proposition de la dite Damoiselle impliquait un changement radical de vie qui n'était pas pour déplaire à son frère qui était plus qu'heureux de la voir enfin quitter cette Bretagne qu'il n'aimait pas ...

Quelques temps plus tard et après mure réflexion, la brunette répondit positivement à celle qui allait devenir sa Comtesse désormais ... Et oui, notre moitié bretonne, moitié française, avait accepté le poste de Dame de compagnie de la Comtesse Catherine-Elisabeth ... Ce poste, elle le connaissait assez bien, pour l'avoir déjà plus ou moins occupé. Nourrice d'une princesse bretonne et amie d'une ancienne Reyne dont elle n'avait plus de nouvelles ...

Il lui fallait donc ce pressé un peu, elle ne pouvait pas laisser la future marié seule. Bien que l'annonce de ce mariage l'ait un peu prise de court, elle avait fait en sorte d'être là, le jour J. Le nom du futur époux, l'avait ramené bien des années en arrière et surtout beaucoup impressionné. Elle avait donc fait le voyage sans trop se poser de question, voyage fatiguant, mais qui lui avait fait un bien fou ...

La Bourgogne et surtout Dijon était maintenant en vue et elle fut soulagée d'arrivée, surtout qu'elle avait failli arrivée trop tard. Elle chercha ensuite l'endroit où se trouvait la Comtesse. Elle descendit de son chariot, s'arrangea un peu et entra dans la bâtisse indiquée. Elle grimpa deux étages, longea un long couloir et trouva enfin la porte devant laquelle, était placé un garde, droit comme un « I ».

Se plantant devant lui, elle le regarda, le coeur battant et cherchant un peu son courage. Pas qu'elle ait peur, non, Catherine avait su la mettre à l'aise lors de sa visite, mais plus parce que, quand elle aurait franchi ce seuil, sa vie allait radicalement changer ... Encore un changement ... Prenant une profonde inspiration, elle s'adressa au garde ...


Pouvez-vous, je vous prie, dire à la Comtesse qu'Amarante Dehuit est arrivée ?!

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(hrp : post envoyé en MP par LJD Amarante)
Valeryane
    « Tout arrive au bon moment il est temps »


    De surprise en surprise la porte s’ouvre et joie bonheur, Ald entre sa cousine de cœur, son amie cela faisait bien longtemps qu’elle ne l’avait vue, en fait depuis son départ précipité colérique du limousin. Un lien très fort était entre celui d’une reine à qui Val était resté dévouée dans son cœur. Le temps de finir de répondre à Neyco et de voir que tout arrivait d’un coup.

    Ah mais il était impossible que je refuse une demande de notre chère Catherine, au contraire tour le plaisir fût pour moi, quand aux tenues d’huissier même dans notre petit désaccord je servirais toujours avec mon plus grand plaisir la couture et mon atelier sera toujours ouvert.

    Elle sait bien qu'elle va être encore critiqué mais peu importe tant que son "Amie Catherine" est satisfaite de sa demande, ce que les autres peuvent dire l'indiffère totalement. Enfin les émeraudes se tournent vers son amie Ald, les bras s’ouvrent pour serrer la cousine en lui collant une grosse baveuse, sachant qu’elle détestait cela.

    Mais tout le plaisir est pour moi mon amie cela fait si longtemps tu rayonne de beauté comme toujours et ta chevelure reste magnifique.

    C’est qu’en secret sachez que Val aimait les cheveux roux, cette couleur du soleil qui dans un rayon vous éclate l’œil de luminosité, elle aurait bien aimé être rousse chuut ! Secret de la volcan. Les gardes arrivèrent enfin avec les coffres et un plus précieux que les autres. D’une main elle leur fit signe de poser au centre.

    Voilà ma belle Catherine voici dans cette malle ta tenue maintenant il faut que tu te prépares sinon nous allons être en retard.


    De se tourner vers toutes.

    Vous en pensez quoi si on commençait à se préparer ? Ma petite Asalais si tu ouvres ce coffre tu vas trouver ce que je t’ai promis et il va falloir te coiffer tu ne peux aller les cheveux ainsi pour la cérémonie, toi Catherine ta tenue est dans celle-ci.

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