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[RP]« Les portes de l'avenir sont ouvertes...

Catherine_elisabeth
-"C'est bien la pire folie que de vouloir être sage dans ce monde de fous !"-
de Didier Erasme, extrait du "Eloge de la Folie"


Pendant que les présentations, salutations, compliments et tout le toutim avaient lieu, la comtesse sautillait sur place.
Son regard était emprunt d'une certaine folie, légère mais bien présente. Surtout ce jour.
Dans le bleu clair, l'on percevait même ces quelques nuances violettes qui n'apparaissaient qu'en ces instants de perdition.

Neyco semblait bien chargée, et bien que la blondinette l'avait remarqué dès son arrivée, son état second avait empêché son esprit de réagir.
Ce n'est que lorsque l'Italienne demanda où elle pouvait tout déposer, qu'elle réagit... En sursautant.


Oh ! Mille excuses ma cousine ! Où ais-je la tête !!! HENRIIIIIIIIIIII !!!! Le garde, celui là même qui servait sa mère auparavant, entra dans la pièce en trombe, croyant à l'assassina...
-J'suis là Comtesseeeeuh ! Qui dois-je tuer !!!!

Plissement de nez de la blonde Mais non triple buse ! Prends les affaires de ma cousine, de Valéryane et porte tout dans leurs appartements respectifs ! "
Léger rire. Pendant ce temps, Marie Louise avait entendu les autres demandes et revenait avec un plateau chargés de jus de fruits frais, de liqueur de prune, de confiseries.

Catherine se saisit d'une petite coupe de liqueur


Servez vous mes chères ! Je m'autorise une prune ! Faut que je calme mes nerfs et rapidement...
Elle adressa un clin d'oeil à Asalais et but cul sec

Et enfin, la délivrance ! Sa mère de coeur qui passe la porte. La blonde la serre aussi fort qu'elle peut dans ses bras

Enfin te voilà ! Tu es... magnifiquement sublimissime ! Je vous présente à tous ma mère de coeur, celle qui a su veiller sur moi après le décès de maman, celle qui a toujours su me guider, m'aider, m'épauler, et m'empêcher de me retrouver le nez dans la boue !

Puis, dans un éclair de génie, la volcanique rousse lui demanda s'il ne manquait pas quelque chose.... Sa robe !

Oh mon Dieu ! Je ne suis pas prête !!!!

Un garde frappa à la porte et annonça l'arrivée de sa nouvelle dame de compagnie, Amarante, soeur de son vassal et ami Argawaen.

Faites la venir ici ! et portez ses bagages dans ses appartements !

Puis Valéryane montra la malle qui contenait The Tenue !
Catherine, pas pudique pour deux sous, ayant l'habitude surtout qu'on l'habille depuis toute jeune, fit tomber son peignoir, attrapa la petite tunique blanche qui allait en dessous du corset et l'enfila.
Puis elle les regarda toutes, regard paniqué, fou, et une petite lueur de peur


Je vais avoir besoin d'aide je crois...
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Valeryane
    « trop de prune tourne la tête à la brune »

    C’est que la volcan de son surnom ne refusait jamais un verre surtout de la prune ça faisait bien longtemps qu’elle n’en avait pas bu, alors là prise par les sentiments de liquide alcoolisé elle ne refusa pas l’offre, Catherine donnait ses ordres et avait prononcé le mot appartement ? Oh elle avait droit à un appartement pour elle ? Ravie elle pourrait se préparer tout à son aise avec la pauvre Margoulette qui stressé plus qu’elle. Oh Amarante son ex-belle-sœur ici ça lui faisait plaisir depuis le temps qu’elle ne s’était vue val et sans aucune rancune car elle gardait le meilleur dans les souvenirs jamais les mauvais, elle allait la voir bientôt.


    On était là à satisfaire le moindre désir de notre mariée qui avait après avoir essayé la tunique en dentelle des yeux de peur, mais non voyons il ne fallait pas angoisser comme ça tout irait bien rien qu’en regardant la chemise Val voyait qu’elle avait vu juste dans les mesures.

    Aller ma Catherine pas d’angoisse cette tunique te va bien c’est déjà ça il faut mettre le corsage tu permets que je te prépare ? C’est que je sais comment bien faire pour que ta tenue soit parfaite.

    Pas le temps d’attendre de réponse que la volcan déjà avait le corsage en main et pria la belle blonde de lever les bras hop ! La volcan tire sur les lacets qui serre dans un bruit de cuire le beau corsage de cuire. Elle n’ira pas jusqu’à ‘à lui mettre le pied au fesse pour tirer dessus et serrer au maximum sinon la belle blonde finirait par s’évanouir en plein cérémonie et moi pauvre couturière ma fuite dans le royaume avec au trousse un époux fou furieux.

    Ferme la bouche et retient ta respiration pas trop sinon tu vas être rouge comme les pivoines de ton jardin.

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Amy.



Debout, elle attendit que le garde l'annonce, ce qui ne dura pas trop longtemps et elle entendit la voix de la comtesse. Le garde s'effaça pour la laisser entrer et elle le remercia d'un signe de tête.

Elle fit alors quelques pas pour arriver dans la pièce où Catherine et toute sa compagnie étaient regroupées. Bien, pas être impressionné ... Non elle, ne l'était pas le moins du monde, enfin juste un peu. Un tout petit peu de rien du tout.

Son regard fit le tour de la pièce et de toutes les personnes présentes, en plus de Catherine qui était en train de se faire habiller par Val. Val ... Au moins une personne qu'elle connaissait et elle fut soulagée qu'elle soit là. Alors qu'elle était en train de serrer le corsage, elle lui fit un sourire amusé. Elle n'avait pas changé d'un pouce depuis tout ce temps qu'elle ne l'avait pas vu. Combien de temps d'ailleurs ? Six mois ? Un an ? Elle ne savait même plus ...

Etrange sensation qu'était la sienne. Elle avait l'impression de se trouver au milieu d'un ouragan, tant l'excitation, le stress, voir carrément une panique générale était palpable. Elle salua toutes les femmes présentes, d'un hochement de tête et d'un petit signe de la main.


Dem ... Heu ... Bonjour à toutes, Comtesse, Val ... Je suis Amarante ... Ravie de vous rencontrer ...
Catherine_elisabeth
Pas d'angoisse, pas de stress... On respire, doucement...Tout va bien se passer... Facile à dire !
La jeune comtesse se laissa préparer par Val, aidée des autres femmes présentes.
Amarante arriva pendant ces préparatifs.
Pendant qu'on lui glissait les bras dans les manches, et non l'inverse, elle réussi sous tous ces tissus à la saluer en souriant, essayant de braver par cette mimique la trouille qui rongeait son ventre


Amarante, enfin vous voilà, j'espère que votre voyage s'est bien passé ! Mes Dames, je vous présente Amarante, soeur de mon ami Argawaen. Elle est ma nouvelle dame de compagnie.
Je suis vraiment heureuse que vous ayez pu vous libérer pour ce grand jour !
Soyez la bienvenue !


Quelqu'un s'était attaqué à ses cheveux. Elle ne voyait pas qui, mais elle sentait des mains douces et habiles rouler doucement ses boucles entre les doigts.

Tandis que le monde s'affairait à la rendre la plus belle de ce jour, elle profita pour annoncer


Mes Dames, je voulais vous dire.... Vous serez toutes mes demoiselles d'honneur ! Victoire également, mais je ne sais pas si elle a pu se libérer... J'aurai la surprise à l'église..


Une nouvelle mimique, mutine.
Elle était vraiment ravie d'être en leur compagnie, et rassurée de les savoir près d'elle.
Malgré son mariage, il ne fallait pas oublier qu'elle était encore très jeune, seize ans à peine.
Une goutte d'huile de violette fut glissée au creux de son cou, puis elle sentit qu'on lui accrochait le collier de sa mère.
Enfin fut posé le petit chapeau sur sa tête, tandis qu'une autre personne laçait ses bottes.
Bientôt, elles devraient toutes quitter l'hôtel, et Catherine devrait s'avancer vers...l'autel.

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Asalais
Sur l'indication de sa tante, Blondie alla ouvrir le coffre qui lui était destiné et en sortie une magnifique robe. Son regard se remit à pétiller et elle la déposa sur le coffre le temps de venir se jeter dans les bras de Valeryane et de lui chuchoter des remerciements.

Mercè Tatie ! Elle est sublime, je l'adore ! Et tu me sauves la vie.

Elle se recule légèrement en lui souriant, saluant poliment et discrètement les nouvelles arrivées. C'est avec tout autant de discrétion qu'elle se servit un verre de prune qu'elle porta à ses lèvres. C'était fort, elle cligna des yeux et reprit une gorgée. Elle en profita pour grignoter une petite gourmandise et reporta son attention sur sa jolie robe puis sur Catherine et ses amies. Elles étaient déjà à l'oeuvre pour la rendre digne de son grand jour. Il faudrait qu'elle en fasse autant alors elle entreprit de quitter sa robe trop petite, celle qui lui coupait la respiration. D'ailleurs, elle resta un moment coincée dedans. Cependant, elles étaient toutes occupées à admirer la mariée alors tant mieux, personne ne put apercevoir la petite danse à laquelle elle mit fin en déchirant le tissus.

Pfiouuuuuuu !

De l'air, de l'air, c'est juste une question de survie, un peu d'air ! Enfin libre, elle prit une grande inspiration, observant les autres s'activer. Elle sourit et enfila sa nouvelle robe qui lui allait comme un gant. Intérieurement, elle vanta les louanges de sa tante et s'inspecta dans le miroir. C'était juste parfait. Et ses cheveux semblaient presque secs. Elle y mit bonne ordre et décida de les laisser tomber en cascade sur ses épaules. Eux aussi, un peu d'air leur fera le plus grand bien puisque pendant la guerre, ils avaient peu le loisir de trouver la liberté. Elle se sourit à elle-même dans le miroir. Bien, elle serait bien pour le mariage de son parrain, elle pouvait se reconcentrer sur ce qui se passait autour d'elle, reportant son attention sur le petit groupe et sur son verre de prune qu'elle porta à ses lèvres. C'était le moment où la futur épouse de celui qu'elle considérait comme son second père leur annonça qu'elles seraient toutes demoiselles d'honneur. Elle manqua d'ailleurs d'avaler son alcool de travers, surprise de cette déclaration.

Oh Comtessa, cela sera un grand honneur.

Elle lui sourit avec sincérité, touchée du rôle qu'on venait de lui confier. Elle appréciait de plus en plus Kati et était en grande adoration devant Iohannes alors elle le vivait réellement comme un grand honneur et en était ravie.
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Valeryane
    Amy était arrivée et Val lui fait un grand sourire pendant qu’elle tirait sur le corsage, chacune s’était faite belle, on était toute sur le départ la mariée dans sa jolie tenues et toute stressé quand elle nous annonça que nous allions toute rentrer les premières et que nous étions toute ses demoiselle d’honneur, pinaise les points de mire on allait tout détailler du regard oh ! Mais avec la chance de la volcan à tous les coups elle se prendrait les pieds dans un truc à la belle affaire tien. Catherine avait des idées parfois bref ! Sa mère aussi avait de drôle d’idée enfin bon on essayera de pas être troublé.

    Asalais tu resteras près de moi car tu connais ma légendaire maladresse je te ferais encore une robe si tu acceptes diiiiiiiiiiiis ouiiiiiiiii s’teplait.

    Oh ! Mais quoi on fait comme on peut avec ce qu’on a pour avoir un oui. Clin d’œil de la tante vers une nièce qui allait à coup sûr faire semblant de réfléchir et le temps de partir arrivait.

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