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[rp] Quelques pas de danse et des rencontres.

Jade_de_kerdoret
Bonsoir !

Jade arriva et lut le rouleau "Bienvenue au grand bal de Villefranche"

Oh ! Cela a déjà commencé ? J'ai oublié ma belle robe !

Jade arrangea sa tenue mauve, très à la mode pour son époque, comme le disait sa maman chérie.


On danse quand ?
_________________
La_vicomtesse
Tenez, restez bien là sagement.

Jade avait installé le portrait de La Vicomtesse. Elle savait bien que Son Artichauté ne souhaitait pas manquer ceci. Surtout pour voir la petit Jade danser !

Mais La Vicomtesse ne voyait pas ceci d'un bon oeil, mais quel soulagement ! Oui, soulagée même, car passer son temps dans le manoir de dingues, avec ces couleurs rocambolesques à donner vertige.
Elle devait s'estimer heureuse ici, tant pis si ce spectacle serait ennuyeuse à mourir !


Ramirez


L'autre hispanique au très grand chapeau regarda Ramirez de haut en bas. Si l'homme aurait été d'un naturel bagarreur et susceptible, il lui aurai cassé la gueule. Pour rien, il faut le dire! Car il l'avait dévisagé de la même façon. Et si Ramirez était antisocial, ce n'était pas le cas ce soir! Comme il l'avait supposé, l'homme ne le jugea pas habillé. Même à ses oreilles, son accent faisait presque grincer des dents!
_ Ola amigo ! Si normal ! Lé grand bal est prévou pour cé soir ! D'ailleurs tou ferais bien dé venir té préparer comme moi !
Sur ces belles paroles, l'hurluberlu sortit mais Ramirez n'eut pas le temps d'être seul avec le buffet. Oh! Un regard au fond de la pièce lui fit remarquer les musiciens et les chanteurs. C'est vrai que ça manquait. Il aimait la musique, étant d'ailleurs un excellent joueur de flûte traversière! Mais ça, peu de gens le savaient.

Son regard brun fut attiré par une femme alors qu'il se servait un verre de vin blanc. Habillée simplement, sa robe rouge sombre moulait sa silhouette des plus harmonieuses. Ses pas croisèrent ceux de l'autre homme parti se vêtir. Elle le salua et sa question lui donna lieu à penser qu'elle était l'une des organisatrices. Ramirez l'apprécia du regard.

_ Ma Dame. Je m'appelle Ramirez. Si vous pouvez m'aider? Mmmh... Tout est très bien organisé. Y êtes-vous pour quelque chose? Et puis-je vous servir un verre?
Le ton était poli, la voix chaude car venue du Sud, l'attitude plutôt déférente. Peut-être ne s’ennuierait-il pas, après tout. En plus, du monde commençait à arriver! Un homme aussi apprêté que lui vint les aborder, ou plutôt, aborder la femme. Mairesse, vraiment? L'homme semblait breton, du coup Ramirez en profita pour placer l'un des rares mots qu'il connaissait.
_ Demat, Messire. Je suis Ramirez. Et vous, vous êtes breton!
L'hidalgo était souriant, entre cette jolie femme mairesse et cet homme breton, le flanc contre la table où étaient posées les diverses boissons. Dans sa main gauche, il tenait un gobelet d'étain de vin blanc de Gascogne, s'apprêtant à servir la demoiselle.
Louisa.


[ Bleu, blanc vert ]


Dans la maison faisant carrefour dont un coin donnait face à L'aveyron, il y avait de l'action! La bâtisse avait été donnée en héritage à Louisa Mailing qui l'habitait depuis peu. Les vieux meubles de la non moins vieille parente étaient encore en place et la poussière était partout! Deux jeune-femmes débattaient dans une sorte de boudoir démodé pour veille dame, dont le miroir était tout tacheté. Deux malles étaient dans la pièce, mais seule une était ouverte. Au bras d'une suivante, deux tenues. L'une bleu vif, l'autre d'un vert satiné. Le modèle était Louisa, habillée d'une robe d'un blanc immaculé et se contemplant dans le miroir. Couché au pied du lit il y avait Hop, le chien de la maison. En bas dans la cuisine, Jean, le chaperon et protecteur de Louisa Mailing prenait un tardif casse-croûte en prenant tout son temps, sachant que ces demoiselles deviseraient longtemps quant à la tenue à adopter!

Louisa était une jeune-fille de bientôt dix-sept ans qui n'aurai jamais songé à quitter le nid familial si cet héritage n'était pas "tombé du ciel"! Fille du chef de la police de ce bourg au sud de Villefranche, sa famille était fort prospère. Cependant, elle n'était pas de bien haute naissance sans être vraiment de basse extraction. N'étant pas autorisée à vivre seule, bien évidement, Caris et Edmond Mailing - ses parents - avaient demandé à Jean, cousin germain et ami de la famille de l'accompagner, veillant sur elle comme sa pupille. Cette tâche n'était pas dure pour cet homme d'une quarantaine d'années, qui l'avait vue grandir et s'était pris d'affection pour elle. Louisa l'appelait souvent "mon oncle" et lui la vouvoyait toujours.
La maison de la vieille Guxtrude était bien agencée. Possédant un grand potager et des arbres fruitiers, il y avait également une petite cabane à côté de l'écurie qui ne pouvait contenir guère plus de deux chevaux. Jean logeait dans cette cabane. Il aurait été malséant que cet homme d'âge mûr vive sous le même toit qu'une jeune-fille! N'est-ce pas?

Il en était autrement pour Maude. C'était l'une des deux domestiques de la maison Mailing. A peu près du même âge que Louisa, elles étaient devenues amies et cette dernière lui exigeait même le tutoiement! C'est tout naturellement qu'elle avait aménagé avec elle. Blonde aux cheveux courts, Maude avait un visage poupin, des joues rondes toujours roses, comme celles d'un bébé. Elle avait un penchant particulier pour les commérages en tout genre, sans scrupules à les répéter à qui voulait l'entendre et ne se gênant jamais - bien au contraire - à enjoliver ses dires pour les rendre plus intéressants. Elle était aussi de ces filles gloussant pour un rien, prenant une attitude de petite fille envers les hommes, battant des cils, baissant un peu la tête et cachant sa bouche derrière sa main en une attitude faussement gênée. Pour Louisa, elle était source autant d'agacement que de joie. Maude avait une bonne humeur à toute épreuve!


_ Je ne pense pas mettre la blanche. Elle fait trop... virginal. Déclara Louisa en se mirant, une moue aux lèvres.
Maude pouffa. Chaque personne mise dans la confidence de l'intimité de Louisa savait qu'elle attendait l'amour pour sacrifier sa virginité. Donc, sur elle, le côté pur et virginal n'était en rien hypocrite. La blonde lui tendit une belle robe bleue et déclama, fort sûre d'elle:

_ C'est celle-ci qu'il te faut pour ce soir. Ce bleu est éclatant et ses dentelles roses au décolleté met parfaitement en valeur ta belle poitrine et ta gorge délicate. Sa large ceinture moule à merveille ta taille fine. On ne peut trouver mieux pour un bal!
_ Tu es une parfaite styliste, Maude
, sourit Louisa.
Si elle était encore en jupons, la demoiselle était coiffée et maquillée. Sa longue et soyeuse chevelure de feu partait en fines boucles cascadant sur ses épaules et son dos. Ses cheveux roux n'étant pas attachés, des mèches rebelles et ondulées venaient parfois - au gré de ses mouvements - orner son front ou sa joue pâle. Ses yeux en amande au regard enjôlant de chat étaient approfondis par un léger fard à paupière mais surtout, son regard bleu de gris piqueté de paillettes de cuivre était souligné d'un trait de khôl, un produit typiquement oriental, fabuleux et couteux dont elle usait avec parcimonie. Juste avant de partir, ses lèvres naturellement bien dessinées seraient rehaussées d'un léger rouge à lèvres.



[ En direction du bal ; la demoiselle, la suivante et le chaperon ]

Le petit cortège avançait sur les rues pavées, en direction de la grand place. En ce mois de Mars, le bal ne serai pas tenu à l'extérieur. L'atmosphère entre les trois personnes n'était pas franchement légère, Maude s'était un peu disputée avec Jean. Devait-il attendre devant la porte? Prendre part à la fête de son côté? En tout cas, pas rester proche d'elles! Voilà en quoi avait consisté la légère friction. Louisa y avait mis fin en déclarant que Jean ferai comme lui semble à condition qu'il ne les colle pas trop, afin de complaire également à Maude.
Louisa appréciait le brise fraiche sur sa peau. Les rues étaient éclairées d'une pleine lune ronde et fière, basse. Le ciel dégagé était parsemé d'étoiles et Louisa se prit à sourire rien qu'à cette vue, toujours enchantée comme au premier jour par un beau ciel. Devant elle, la grand place et le grand bâtiment qui abriterait les festivités. Cette soirée serai décisive pour elle. Ce serai la première en sa nouvelle ville. Ce soir, elle ferai sa première impression. Capitale, donc. Louisa ne connaissait personne et comptait bien y remédier, ce soir.
Elle fit un grand pas en avant. Pas qui la mena juste devant les larges marches devant l'entrée à deux battants. Elle monta. Prévenant, Jean vint devant elle et lui ouvrit les portes.



[ Nous voici, nous voilà ; on se connait ou pas ]

Au seuil de l'entrée, Louisa engloba d'un regard pièce et gens. Il y avait des musiciens jouant un air de début de soirée mais point encore de chant. Deux tables à tréteaux sur le côté offraient l'invite de plats cuisinés, charcuterie, fromages et autre biscuits sucrés tandis que non loin reposaient boissons diverses, vins blancs et rouges, bière, calva, liqueurs et eau-de-vie. Louisa repéra également quelques jolies demoiselles aux robes colorées, cheveux lâchés ou remontés, seules ou causant avec quelqu'un. Il y avait également des messieurs. Moins. Louisa en remarqua principalement deux, un barbu et visiblement latin se détachant du groupe par sa grande taille et sa carrure imposante. L'autre homme remarqué était tout aussi charmant, différemment.
_ Un verre de vin, ma Dame? Demanda Maude, qui vouvoyait Louisa en public.
_ Un peu de fantaisie, Maude! Essaie de trouver du whisky.
Louisa adorait cette eau-de-vie ambrée écossaise ou irlandaise! Elle aimait bon nombre d'alcools et y résistait très bien pour une jeune-fille.
Louisa, flanquée de Maude et de Jean, avait bien conscience que souvent elle passait pour une noble dame. En effet, ainsi habillée et de sortie avec sa suivante et son chaperon, on la prenait bien trop souvent pour ce qu'elle n'était pas. Elle s'en amusait, adoptant différentes positions face à cette idée que l'on se faisait d'elle.
Maude se dandina jusqu'au bar. Vue de loin, elle avait un peu une démarche de poule! Néanmoins, Louisa la trouvait charmante. Jean semblait garder la porte d'un air bougon. La jeune-fille aux formes voluptueuses mises en valeur s'avança vers le petit groupe qui, elle l'apprendrai plus tard, était composé de la mairesse Cyrielle, de Droagon le breton et de Ramirez l'espagnol. Elle ne savait pas que cette très jolie jeune-femme à la robe rouge coquelicot était celle avec qui elle avait échangé des messages...

_ Bonsoir, ma Dame. Messieurs. Je m'appelle Louisa Mailing. Et voici Maude, ma suivante. Et, oh! A la porte, Jean. Enchantée de vous rencontrer.
Louisa baissa la tête en pliant légèrement les genoux avec un geste gracieux de la main en une révérence modérée et de circonstance, après tout bien décidée à faire valoir ses droits, ceux de naissance et ceux acquis par sa famille. Si elle n'était pas noble, seul un œil averti aurait pu le déceler. Louisa n'avait pas le sentiment de tricher ou de gruger son monde car dès qu'on l'interrogeai elle disait la vérité. Fille du chef de la police de son bourg natal où vivait sa famille, petite-fille d'un comte, sœur d'un écuyer bientôt fait chevalier et peut-être appelé à devenir le comte du domaine du grand-père déshérité, cousine d'un prêtre nouvellement ordonné et enfin, nièce du prévôt d'une puissante ville du sud. Louisa était instruite et éduquée. Non, vraiment, elle n'usurpait pas ses manières! Cependant, elle n'était pas pas "précieuse" dans ses mots et ses gestes.
Maude lui remit un verre d'étain remplit de moitié de whisky et la regarda - non sans amusement - détailler sans vergogne les deux messieurs biens faits de leur personne. Maude buvait de la bière.

Jade_de_kerdoret
Ayant assisté à ces méli-mélo de ces gens, Jade se sentit un peu exclue, avec le portrait de La Vicomtesse qui la foudroyait de ces yeux furieux, mais pleins de gratitude, sentiment contradictoire.

Elle quitta le buffet lequel elle se servait un peu de sucrerie et une boisson non alcoolisée, non ce n'était pas bon pour son âge ! Elle se tint parmi les "invités".


Pardonnez mon intrusion, je m'appelle Jade, Jade de Kerdoret, fille de Mel Comtesse de Rouergue. Puis-je me joindre à vous ?

Elle espéra que la mention de sa mère ferait bonne impression au peuple, peu sophistiqué à son goût.
_________________
Ambroise_
Cela faisait certain temps que l'Ambroise était là, à boustifailler et à boire en solitaire... Et ses amies qui se tâtait à le rejoindre, il les attendait avec impatience, pas qu'il eu peur des gens présent ici, juste l'envie de partager de bons moments avec elles.
Il ne connaissait personne ici bas, qu'importe, avec son physique ingrat et sa dégaine de vagabond notoire, pas grand monde ne faisait attention a lui.

Comme à son habitude, il était vêtu de toute sa pudeur, son noir habit de scène... Rendue crasse par le voyage, son statut ne lui permettant pas de s'offrir une garde robe bien fournie, il ne se changeait jamais...
Il n’était pas donné a tout le monde de profiter de ses couleurs, il faisait plus volontiers don de ses couleuvres.
L'oreille tendue vers les musiciens, l'Ambroise les regarda d'un œil enfantin, pleins d'étoiles dans les yeux... La musique, c’était son travail... Et une vraie scène, un public prompt au déhanchement, l'occasion était rêvée!

Il adressa un signe de la main à la mairesse, apparemment la seule au courant de sa venue.


"-B'soir m'dame, me voici que me v'la, d'solé pour eul'retard..."

Le trac se fit brièvement sentir, il désigna l'estrade, et d'un sourire...

"J'peut?"
Eleena
la brunette avait reçu une lettre de son blondinet l'invitant au Bal...Bien sur elle n'allait pas refuser mais le soucis était quoi porter...une discussion avec ses amis normand n'avais mené à rien surtout avec un Stromb qui lui proposait une tenue le moins que l'on puisse dire splendide...

le jours du bal, comme elle avais promis de mettre la tenue de Stromb, elle l'essaya d'abord dans sa chambre




Mais euh...

La tenue était d'un seul morceau non détachable, le masque était lié avec le reste et trop petit quand même pour une grande femme...oui parce que même avec sa petite taille elle était très grande par rapport à cette tenue...Dommage elle aurait bien été la plus remarquée de la soirée...

Du coup elle était obligée de mettre une jolie robe comme le reste du monde normal! tout au fond de sa mal elle sorti la seule robe qu'elle a amené avec elle, une jolie robe en doré couverte d'une dentelle noir.

Une séance de maquillage, un parfum fruité, et une simple coupe de cheveux et la voila prête.




elle irait attendre Kili sur place...

En arrivant, il y avait quelque gens sur place, la mairesse avec son rouge était très séduisante. Matou très bien habillée aussi "Stromb va baver ce soir" se dit la brune amusée. Et Ado avec sa robe si élégante était là aussi, dommage que le rouquin n'était pas encore arrivé...

Elena laissa son regard parcourir les lieux quand il tomba sur une petite fille qui essayait d'attirer l'attention des grand, en s'approchant elle l'entendit se présenter, elle sourit et s'approcha d'elle.


Bonsoir Jade, je suis Eléna, je connais pas votre mère mais c'est pas étonnant je suis pas d'ici
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D'âge en âge en ne fait que changer de folies
Jade_de_kerdoret
Ravie qu'on faisait attention à elle, la petite Jade sourit à la personne qui l'interpelait :

Citation:
Bonsoir Jade, je suis Eléna, je connais pas votre mère mais c'est pas étonnant je suis pas d'ici


Enchanté Eléna, ma mère habitait ici, mais maintenant elle vit à Millau. Je suis grande à présent et je fais ma vie ici. Est-ce par hasard vous connaissez Kiliane, dit Kili ?

Jade fit une petite pause, reluquant l'accoutument que portait l'interlocutrice.

Très original votre déguisement !
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Cyriellle
Un coup d’œil vers les ménestrels cherchant à croiser le regarde du chef de cet orchestre qui me sourit en réponse au signal discret que je lui envoyai d’un signe de tête. Ils seraient maitres du bal ce soir. Et une douce mélodie s’éleva dans la pièce qui commençait à accueillir les voyageurs de passage et les villageois. L’hidalgo verre à la main se retourna et avec lui, la même hantise de revoir cet espagnol me gagna de nouveau. Il était assez bel homme et à mon plus grand plaisir ne lui ressemblait pas. Un fin sourire du se dessiner sur mes lèvres à cette pensée salvatrice ou simplement à la vu du sieur me faisant à présent face.

Enchantée Messer Ramirez, l’organisation oui j’y ai contribué avec quelques dames du village. A la proposition du verre une pensée m’habite. Allais-je terminer comme l’autre soir ? Quelle question bien sur que oui. J’offre un sourire à l’iberique. Oui je veux bien, que buvez-vous ?
A peine le temps de regarder la bouteille, en m’arrêtant sur les mains de l’ibère qu’un autre accent, breton cette fois-ci m’interpelle. Décidément, c’était a croire que je ne rencontrerais aucun rouergat ce soir. Etait-ce différent des autres soirs en même temps ? D’un pas je me retournai quittant du regard le brun pour en découvrir un second que j’accueilli d’un sourire.

Bonsoir Messer Droagon. Oui c’est bien moi et suis ravie de vous rencontrer.

Puis un autre sieur, un autre accent mais celui-ci elle connaissait. Il était revenu ! Je suis maudite ou quoi pestais-je cette fois ci, le pantin est parmi nous. L’aversion du smouikage d’hier me fit reculer d’un pas. Hum Messer qui-me-les-glace ravie de vous revoir aussi. Prêt de la porte un de mes soufifre à tombé ouvrit cette dernière pour laisser entrer la sainte, je lui adresse un sourire. Puis une autre deux autres dame accompagné d’un homme entrèrent, saluèrent et se dirigèrent vers nous. Jamais vu. Il s’avera que l’une d’elle n’était autre que donà Louisa, fraichement revenu de chez les nonnes.

Soyez la bienvenue demoiselle Louisa, c’est un plaisir de pouvoir mettre un visage sur votre nom. Comment vous portez vous ?

Du regard je vis l’Ambroise entrer et saluer. Bonjour, je vous en prie allez y. Et d’un signe de main je fit taire les menestrel pour un instant.
Koslov..



Le colosse etait un pietre danseur , surtout beaucoup moins doué que sur un champs de bataille , ou en lice .Il venait d'arriver à Villefranche en Rouergue et ne connaissant que Dame Cyriellle, l'organisatrice de ce bal , il décida d'y aller afin peut etre d'avoir des cours de gentes damoiselles , ou dames sur les danses .

Vladimir arriva , paré de sa tenue d'apparat , dans la salle de bal...Du haut de ses 2,10m , il regarda les personnes presentes , dans la foule , il reconnut la petite brunette qui l'avait accompagné de clermont jusqu'ici , à Villefranche en Rouergue...
Il admira le travail qu'avait du demandé aux organisatrices pour ce bal ...

Vladimir se presenta à la bourgmestre de villefranche...

Bonsoir tres chere Bourgmestre , je vois que ce bal va etre une reussite sans nul doute possible.En tout cas , vous etes en beauté avec cette belle robe ...
Je vous laisse acceuillir vos invités à ce bal...mais j'espere que vous m'accordez quelques danses , bien que je suis pas tres doué avec mes pieds pour ce qui est de danser ... cela ne vous genera point ..En attendant , je vais voir si je connais quelques visages ici , et aussi profiter du buffet ..


Il salua les personnes deja presentes , mais en arrivant à la hauteur du buffet , il entendut une presentation, un nom qui le fit reagir .

Pardonnez mon intrusion, je m'appelle Jade, Jade de Kerdoret, fille de Mel Comtesse de Rouergue. Puis-je me joindre à vous ?

Vladimir observa la damoiselle en question... elle ressemblait trait pour trait à sa mere , qu'il avait pour honneur de connaitre , vu qu'ils etaient membres du meme parti. La Comtesse lui avait, lors d'une discussion,parlé de ses enfants , mais vladimir ne pensait pas rencontrer ainsi la fille de Dame Mel de Kerdoret...Le Géant hesita de se presenter à la damoiselle , peut etre allait il lui faire peur au vue de sa carrure ?




--Helena_di_rivombrosa


La brunette avait promis à son amie de venir au bal qu'elle organisait à Ville franche.
Elle s'était même rendue pour l'occasion au Manoir des Artistes pour commander une nouvelle robe pour faire honneur au bal organisé par Cyrielle.


[Quelques jours avant au Manoir des Artistes]

Venant de terminer son travail à la douane et au tribunal,la brunette était rentrée au domaine pour changer de tenue afin d'entreprendre un voyage qui allait durer quelques heures.
Ne perdant pas une minute, elle s’engouffra dans la voiture que son fidèle coursier avait préparé. Après quelques heures, le manoir se dessina au lointain. Helena était perdue dans ses pensées quand le carrosse s'arrêta.
Le cocher ouvrit la porte et la Juge du Rouergue descendit et entra dans le manoir. Elle était fébrile..depuis le temps qu'elle n'y avait pas mis les pieds. Elle fut accueillit pas une jeune femme. Un peu naïvement , la brunette lui fit par de sa commande. Rapidement la Bonne mémé arriva virant l'imposteur. Helena se sentait bien bête du coup mais bon... Elle réexpliqua les raisons de sa venue et montra la robe de la couturière Annaïg qu'elle souhaitait.La commande prise Helena remercia la Bonne Mémé et retourna à son domaine.


[Quelques heures avant le départ pour Villefranche]

Il fallait partir mais comment presser deux demoiselles??? Pas facile tout cela. Helena avait reçu par coursier la robe tant attendue. Quelle était belle. Aidée d'Ophélie elle se prépara puis se rendit dans la chambre d'Anna.
Et là c'était plus compliqué à vue d'oeil. Anna semblait faire tourner en rond la pauvre Ophélie. Helena regarda amusée. Finalement au bout d'un certaines temps les demoiselles étaient enfin prête.
Elles descendirent l'escalier. Sur le péron, Armant le fidèle cocher de la famille Di Rivombrosa attendait avec la voiture attelée. Durant le trajet, Anna ne cessa de poser des questions à sa mère ce qui fit sourire la brunette.
La campagne défilait. Le soleil perçait les nuages. Une belle journée s’annonçait.


[L'arrivée à Ville franche ville du bal!]

Enfin la ville. La brunette se redressa et s’exclama

Regarde ma chérie nous y voilà. c'est Villefranche!!!

Impatiente telle une enfant, la jeune nobliote regarda par la fenêtre comptant les maisons encore à dépasser.
Enfin le carrosse s'arrêta devant la salle de fête du village. Armant ouvrit la porte aidant Anna et sa mère a descendre. Helena regarda en souriant Anna partir en courant. Déjà un petit nombre de personne était là.


Anna fait attention ma puce!!!!

Ses paroles semblaient être partie loin mais bon.
La juge fit alors son entrée et salua les personnes d'un sourire

Elle apperçu alors Cyrielle et s'approcha d'elle un sourire aux lèvres


Bonjour ma belle
Comment vas tu? C'est magnifique.Je te félicite pour cet ouvrage. Alors du monde?


Eleena
la petite était très aimable, et la brunette l'écouta parler de sa mère apparemment elle était très fière d'elle...

Puis lui demandant si elle connaissait Kili, toujours gardant son beau sourire, Eléna lui répondit


je connais bien Kiliane, et vous le connaissez aussi?

en levant la tête, le regard de la brune croisa celui d'un colosse qui comme elle se tenait parmi tous ce monde, certainement en train d'attendre sa compagne ou sa cavalière. lui lançant un léger sourire

Bonsoir messire, je suis Eléna de Fécamp

elle porta son regard vers Jade

et cette grande fille c'est demoiselle Jade

[petite précision, Eléna ne porte pas le costume, c'était essayé dans sa chambre jade^^]

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D'âge en âge en ne fait que changer de folies
Kekeradoco_
[Rodez J-2 avant le bal]
Le jeune connétable avait reçue l invitation pour le bal.
Il ne sait pas si oui ou non il y va.
C est loin d'être un homme qui aime la foule et il a horeur de dansait.
Mais il ne refuse jamais une invitation.


[J-1 toujours à Rodez]

Enfin il se décide, il a accepté l'invitation.
Il recherche son uniforme de cérémonie.
Oui il le met que très rarement.
Et se met en route.



[Jour J: le bal de villefranche]

Il arrive enfin.
Attendus ou pas il ne le sait pas.
Il s approche des gens déjà présent.

Il salua la mairesse.


Madame votre bal semble une réussite.
Je vous présente mes excuses d'arrivé aussi tard.


Il présente aussi ses amitiés à la juge et aux personnes qu'il connaissait
Alphi
Comme à son habitude, Al serait en retard. Elle avait décidément de gros problème de ponctualité ! Pourtant elle savait bien à quelle il fallait qu'elle se présente au Bal, et puis elle ne pouvait pas dire qu'elle avait oublié, la Bourgmestre lui avait envoyé un pigeon ! Alphi avait enfilé à la hâte une belle robe de velours bleu dont le col était brodé de fils argentés et avait laissé ses cheveux tomber en cascades sur ses épaules.



Elle arriva près de l'entrée de la salle du bal, s'aspergea le décolleté d'eau parfumée et s'avança. Enfin, elle était arrivée ! En même temps, elle était bien plus à l'aise dans ses braies qu'en robe, mais bon il fallait bien qu'elle s'arrange un peu. Sortant de ses pensées, elle leva les yeux. WAOUH ! Elle ne savait où regarder tellement les femmes de Villefranche et d'ailleurs avaient revêtu leur plus belle robe. Finalement elle aurait peut être dû venir en braies !
Il faut dire qu'elle était plutôt intimidée, ne connaissant plus grand monde, tous ses amis étant partis. Elle chercha du regard la mairesse, puis Kili et ne voyant aucun des deux, elle se planta devant le buffet pour hydrater sa gorge sèche.
Matouminou


Dansons joue contre joue...Comme si sur la Terre il n'y avait que nous...

Très vite, Stromb l'avait rejointe et ils s'étaient dirigés, main dans la main, vers la salle de bal. Matou vit Stromb sourire en voyant sa banderole. Elle lui fit un petit clin d'oeil et lui murmura, espiègle:

- Tu es rassuré...le bateau n'aura pas de voile rose...

Et ils firent leur entrée. Matou, pour l'occasion avait revêtu une houppelande simple, mais c'est toute la simplicité du vêtement qui en faisait la beauté et la grâce. Ses bijoux sans être ostentatoires, relevaient la toilette, ses yeux, brillants de la joie qu'elle avait d'être au bras de son volcan et d'assister à ce bal, faisaient le reste. Stromb avait accepté de discipliner ses cheveux sous une toque dans laquelle il avait planté une plume de paon. Il avait dit à Matou de quel endroit du paon il pensait que la plume venait, et elle avait pouffé. Puis, il avait mis une paire de braies noires, une chemise blanche et sa veste d'apparat par dessus laquelle il avait enfilé un très beau mantel. Lui comme elle formaient un couple resplendissant.



Matou était fière d'être à son bras, d'être sa compagne et de partager sa vie. Tous deux savaient ce qu'ils avaient enduré, par quels chemins tortueux et semés d'embûches, ils étaient passés. Tous deux mesuraient la pleine mesure de leur bonheur à sa juste valeur. Et si Aristote les avait malmenés, il n'en restait pas moins témoin de leur bonheur. Et Matou affichait un grand sourire, et peu lui importait qu'on dise qu'elle affichait ce bonheur de façon trop insolente...elle assumait.

Elle tendit sa cape au serviteur qui les avait accueillis et ils allèrent saluer la bourgmestre:


- Bonsoir Cyrielle...encore merci de cette excellente idée d'organiser un bal...Et tu vois, les gens arrivent...Il va y avoir de l'animation cette nuit à Villefranche...

Puis, Matou fit un sourire à Eleena qui discutait avec une jeune fille et un homme que Matou n'avait jamais vu. Elle aperçut également Adorianna. Ses amies étaient très en beauté. La Normandie était fort agréablement représentée et les normandes seraient, ce soir, un plaisir pour les yeux.

Elle regarda autour d'elle, vit Ambroise, le vagastrel, mi vagabond, mi ménestrel comme elle l'avait qualifié en taverne, lui sourit, puis reconnut l'espagnol Julio...il y avait d'autres personnes qu'elle n'avait jamais eu l'occasion de rencontrer.
Elle irait vers eux se présenter plus tard, tout comme elle irait papoté avec ses amis normands et autres.
Elle espéra vivement que Eremon, Tig et Albéric feraient aussi leur apparition.

Mais pour l'heure, la troupe de ménestrels embauchés pour l'occasion avait commencé à jouer une musique légère. Les notes vinrent virevolter aux oreilles de Matou.
Elle serra dans sa main celle de Stromb, et levant son regard bleu vers lui, elle lui murmura:


- Et si nous dansions Mon Volcan...


Edit pour réduire un peu l'image

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