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[RP] Etuves et Bains de Bourgogne

Kronembourg
[ Je te suis, tu me fuis ... ]


" Faire " est l'un des mots les plus génériques qui soit. On peut l'utiliser à loisirs, l'accommoder à toutes les sauces.
Faire le beau. Faire la gueule. Faire trempette.

S'il était un mot toutefois qui caractérisait Kronembourg lorsqu'il apercevait Cyrinea, c'était bien le mot " faire " . Avec elle il était prêt à faire des folies, pour elle il aurait fait n'importe quoi. A commencer par lui faire perdre la tête ou lui faire perdre ses moyens, deux de ses rares plaisirs, ceci par une attitude sciemment adoptée depuis le début de leur relation ; Tout faire de ce qu'elle attendait de lui en sens inverse.

La tête renversée, les yeux fermés, il ne vit pas immédiatement la Sublime silhouette se dessiner dans les vapeurs de la cuve. Il la reconnut à la chemise qu'elle portait, féminité affriolante dans ce vêtement masculin, à sa dextérité dans les gestes d'enlever lentement le peu de frusques qui la recouvraient encore. Faire attendre.
Il la regarda, feignant la désinvolture amusée dans un premier temps, tout l'art de la séduction résidant dans le fait même de prendre son temps. Laisser faire. Faire semblant.

Mais c'était sans compter sur les audaces de sa partenaire, rompue à ces jeux de conquêtes où l'on y gagne parfois à aller droit au but en surprenant le premier l'adversaire. Le ballet de ses doigts dans l'eau venant reproduire des cercles sur son torse avant de plonger effrontément vers ses reliefs les plus brûlants, le prit de court. Faire mouche.


Sa Grâce n'attendait que vous Duquessa.

Déplacement dans l'eau afin que la main intrépide ne le devine pas déjà tout acquis à sa cause. Faire long feu.
Ce fut la sienne qui se tendit vers elle en retour, l'invitant à prendre place dans la touffeur du bac. Faire ses griffes.


Joignez-vous donc à moi et ôtez cette chemise bien trop gênante pour un endroit comme celui-ci. Je vais vous laver le dos. Aujourd'hui, j'ai envie de prendre soin de vous.

Faire la conversation.
Visage éclairé d'un regard espiègle, il la dévora impudiquement des yeux tandis que son autre main trouvait une éponge. Se faire cajoler, même pour un court instant, ne faisait pas partie du quotidien de Cyrinea. Les guerres incessantes qui ravageaient la Guyenne, les causes à défendre, les affrontements pour exister empêchaient tout abandon à ce genre de luxe. Il était grand temps de faire en sorte qu'elle connaisse enfin un peu de bien-être. Jusqu'à l'extase si possible.
Faire mijoter. Faire durer le plaisir.

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Aristode
[ Il y a de l'ours du chien et de A.D.N de retrouver]

Son errance ne dura que le temps d'y penser, puisqu'il avançait et que lui avait décidé de le retrouver tout allait rentrer dans l'ordre , un peu comme papa dans maman ou comme le cheval à l'écurie, la vache à l'étable, l'ours dans le baquet, il allait donc pouvoir profiter d'un moment de détente dans leur pataugeoire privée .


Hoax !!! mon poteau, comment tu vas ?

Deux énormes pattes se posent sur lui et le voilà qu'il part sur le recul- toi, une belle léchouille en travers de son visage pour marquer le coup des retrouvailles et un coup de voix qu'il eut reconnue dans la nuit la plus noire .
Le toutou à sa mémère qui file se planquer derrière lui, plus de toute, l'A.D.N ne sera pas sauvé des eaux , la traversée des terres arides se termine donc ici .
Il incline la tête , caresse le poilu et lui murmure :


Je gère, allons la retrouver .

Il avance un peu tourné une fois à droit puis une fois à gauche ; comme quoi la "' droiche " ce n'était pas si mal ; et tombe sur deux entrées possibles .
À ma gauche, pesant bien son poids et au son des clapotis, baquet affichant complet : "' la rigolade ducale '" .
À mon droite, pesant un peu moins car vide et donc sans clapotis, baquet affichant place vide pour le moment: "' les affamés enfiévrés ''
Que le combat commence !


Il tire donc la bonne tenture et aperçoit au même moment sa gracile qui file vers la sortie complètement nue .
Il l'attrape et l'enlace puis la porte de go vers leur bassine privée .


Ma dame je vous assure de cette tenue vous va à ravir ...mais permettez que j'y mette en même temps que les mains ...ma réserve de vous voir, avoir le désir de sortir ainsi ...

Il la dépose dans l'eau et reprend .

Si vous voulez sortir attendez donc que je sois moi aussi à la hauteur de votre tenue et profitez donc de l'attente pour remercier Hoax qui m'as sauvé de mon désastre .

Il avance vers la séparation tout en commençant à revêtir les mêmes habits que sa gracile .

Holà du baquet ?
Êtes-vous de votre côté au complet ?
Ici nous le serons quand
; foutre saleté de boucle ; quand je serais en mesure de m'y tremper, j'espère que vos grâces ; interrogation comme ils sont deux, aise que l'on ne doit pas dire vos graisses ? ; trouvent l'idée et l'eau à leur convenance ...

Il tourne la tête vers sa fiancée

Je suis à vous ma dame dans deux boucles et trois lacets ....

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Xanthi
[A armes égales ....]


Même pas le temps de prendre un drap qu'il est là devant elle, Hoax sur les talons.
Elle sourit, se laisse faire et remettre dans l'onde, ne gronde même pas son vilain chien, puisqu'il a trouvé son Aris.

Elle reste debout et le regarde qui s'active à se mettre à égalité de tenue, c'est à dire à peau nue.
Elle l'écoute parler à leurs amis les Dudu qui occupent le baquet de derrière le grand paravent et se retient de rire de le voir se démener avec son armure, ses boucles et autres lacets.
Elle ressort du baquet, s'approche et décide de l'aider, une lanière par ci, une boucle par là, une main qui frôle là, un baiser volé ici ....


Mon ami, ne devrions-nous pas vous laver avant que de vous laisser prendre l'eau dans notre baquet ?


Elle prend un linge et un savon qu'elle passe dans l'eau et revient vers son Aimé, le regard vert enfiévré, le sourire aux lèvres affamées.
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oui, avec Vous simplement, parler d'amour .....
Cyrinea
[Tu me fuis, je te suis...]

Donc dans l’ordre, l’eau puis la chemise. Soit. Va pour le désordre.

De toute façon, elle ne pensa plus dès lors que son regard la jaugea avec une désinvolture qui, si elle ne l’abusait pas, l’émoustilla par son insolence. Elle faisait partie de ces femmes qu’il faut un tantinet malmener avant que de les vaincre. La malin en lui l’avait bien compris, ou était-t-il tout bonnement ainsi, elle n’avait pas envie de se poser la question.


Oseriez-vous me fuir et vous dérober ? se lamenta-t-elle faussement, alors que le corps ducal faisait route à sens inverse de son doigt.

Elle sourit amusée en entendant la voix d’Aristode.

Sa Grâce semble à point mon cher Aristode, fumante…fumeuse même devrais-je dire. Je parle de l’idée bien entendu. Ce baquet m’a tout l’air d’un de ces paradis naturels qui n’ont rien à envier à l’orient.

Ce disant, elle le regardait dans les yeux, tout en enjambant avec le plus de grâce possible, ce qui n’était pas aisé, les bords du baquet afin de s’y plonger toute entière. La chaleur l’envahit, dans un long soupir d’aise, électrisant son épiderme jusqu’à la racine des cheveux. Elle en ressortit avec un « Hahahahahaaaa » éloquent, à moitié seulement, chemise trempée et le cherchant d’un pied tandis qu’elle entreprenait de l’ôter.

Elle dériva alors vers lui, dans un demi-tour savant afin de venir encastrer son dos entre ses jambes, sa tête contre son torse, ses mains parcourant ses cuisses.

N’eût été la crainte de glisser et de se retrouver la tête sous l’eau sans compter la paresse qui s’emparait d’elle, elle aurait également fait pivoter son visage pour trouver ses lèvres.

La savonner il avait dit ? Le dos ? Mhmmm, oui le dos.


Le dos avez-vous dit ?

Et, espiègle, elle bougea prudemment de haut en bas afin de lui faire sentir cette partie d’elle dont il avait promis de s’occuper.
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Duchesse de Bénauges, Dame de Castelmoront-sur-Lot.
Kronembourg
[ Si je t'attrape, je te mords ]


Ainsi donc, elle le prit au mot. D'abord l'eau puis la chemise. La plupart des femmes aurait remis les choses en ordre par souci de confort ou simplement de bon sens, mais pas Cyrinea. L'on ne peut demander à un être déraisonnable par essence de se conformer à des considérations rationnelles.
La dérobade ne lui avait pas échappée. Les yeux piquetés de gris de Stanislas se firent joueurs, mais le ton resta flegmatique.


M'avez-vous déjà vu vous fuir pour ne pas mieux vous revenir ? Je m'exerce à une nouvelle forme d'expérience : Etre tendre avec vous sans rien attendre en retour.

L'induire en erreur sur ses intentions, laisser planer un soupçon de doute. La voix de Aristode se fit entendre par dessus les rires, les murmures et les échos aquatiques qui rebondissaient de part en part autour d'eux. L'on aurait dit que des centaines de personnes se partageaient les lieux. C'était peut-être le cas.
Un cliquetis de boucle jaillit depuis le paravent, Cyrinea répliqua, Stanislas garda le silence. Elle le défiait du regard et c'est par ce même défi qu'elle s'immergea dans l'eau, sa demi nudité disparaissant du même coup, se faisant trouble et diluée au moment même où son désir à lui prenait forme. Lorsque le bout de son nez réapparut, il se vit lui laisser à peine le temps de respirer à la faveur d'une saillie brutale et sourde contre les planches de la cuve. Il n'en fit rien, l'excès de chaleur décourageant tout geste brusque, évacuant même peu à peu ses fantasmes les plus acrobatiques vers une réalité bien plus languissante.


Le dos, oui.

Un fin sourire traversa son visage. Toute la difficulté de l'exercice consistant désormais à rester raisonnable.
L'éponge plonge dans l'eau, le savon la fait mousser, la caresse se fait douce, insoupçonnable. Une main relève quelques mèches de cheveux humides qui dégagent sa nuque, et glisse la mousse en petites bulles folles le long de son dos, tandis que le geste se prolonge jusqu'à l'épaule puis le bras, le muscle, pour remonter vers la nuque. Mouvement reproduit à l'identique sur l'autre épaule, plus lent et plus appuyé afin que bien-être et confiance soient amplifiés en elle à chaque seconde.
Il s'aperçut, non sans surprise, qu'il aimait ça. Lui-même éprouvant une forme de détente bien étonnante tandis que l'éponge disparaissait le long de sa colonne et que sa main en suivait sinueusement le trajet.
Il se souleva, dans un déplacement d'eau. La fit glisser et s'agenouilla derrière elle. L'éponge reprit son mouvement avec patience, presque indolence, roulant sous un bras, effleurant un sein.


Ma Sublime est-elle satisfaite ?
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Aristode
[ Retrouvailles navales à armes égales .... ]

Puisque tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des baquets d'à coté et qu'il avait aussi le temps de lancer les débats et bien oui ils étaient aussi réunie ici pour causer des préparatifs de son union , il se concentra donc maintenant sur les paroles de son
double des plus que parfait .


Vous me dîtes... ?
Me laver ...?;énorme sourire sur sa face ; Soit ma dame je vous laissais donc faire;il penche la tête sourit et déposa un baiser sur le coin de sa bouche; Astiquez ma dame de la tête aux orteils, astiquez ce que vous voulez comme vous le voulez ...ne négligez rien...tout doit être aussi propre ... ... ... comme si je venais juste de naître …

Grand peut être un homme, puissant aussi, mais s'il ne trouve aucun complément ici lieu, longue sera l'ennui de vivre son excitante ainsi .
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Cyrinea
[Si tu me mords, je t'attrape...]

Ainsi donc, c’est ainsi qu’il voulait la jouer.

A l’angloyse.

Flegmatique. Pas en gars du Sud dont on sait qu’ils sont aussi chauds que ce baquet était fumant.

Elle ploya l’échine en signe de totale reddition et de l’esprit et du corps, ronronnant comme un chat à chaque passage de l’éponge. Elle étira ses bras vers l’avant, se déploya, le côté droit réclamant quand le Duc œuvrait à gauche et inversement, bien entendu, le plaisir étant autant dans la seconde présente que dans l’anticipation des caresses à venir.

Ce qui la mit dans un état amoureusement sensuel : tendresse il avait dit ?

Quand soudain la Duchesse se tortilla. Chatouilleuse sous les bras, elle fut surprise par ce qu’il fit exactement après le remuement aquatique qu’elle venait d’ouïr.

Puis déconcertée : par le frisson qui la parcourut toute entière à l’effleurement d’un sein.

Satisfaite ?

Un léger grognement s’échappa de sa gorge.

La frustration était à ce moment-là à la hauteur de l’anticipation.

Elle tourna vers lui un visage extatique après s’être redressée, mâtiné d’un fin sourire aux lèvres comme elle devinait que devait s’en dessiner un sur son visage. Tendit la main, sous l’eau, vers lui.

Vérifier, se rendre compte et peut-être triompher.

Son sourire s’étira.


Je ne peux que constater…

Caresse.

….que vous êtes…

Caresse.

….d’une tendresse…

Caresse.

….hautement séduisante.
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Duchesse de Bénauges, Dame de Castelmoront-sur-Lot.
Kronembourg
[ Si je te mords, je ne te lâche plus ]


Il l'aimait docile. A la limite du renoncement. Presque aussi fluide que l'eau en mouvement qui enveloppait leurs gestes.
Elle se détendait. Délicieusement relâchée sous la caresse de l'éponge, la réclamant ça et là en des endroits que le duc atteignait quelques secondes plus tard, et puis là, non, c'est mieux ici, encore un peu là, Huuuumm, et le jeu tacite continuait, et l'éponge moussait, et les sourires s'étiraient.

Il l'aimait indocile. Entreprenante, imprévisible. La main légère caressant sa virilité de plus en plus indéniable, qu'il aurait été absurde de dissimuler plus longtemps.
Soit.
Ainsi donc, vous voulez jouer Madame.
Se laissant porter par un plaisir soumis aux égards de ses doigts, il réalisa bien vite que sa seule issue devait être celle de s'en jouer lui aussi. La voix rocailleuse souffla un murmure, joue contre joue.


Vous êtes diaboliquement déloyale. Il va m'être difficile d'être à la hauteur de vos exigences.

Le ton se voulait léger tandis que sa main plongeait, laissant l'éponge moussante flotter par dessus. Torse imposant contre son dos, l'inclinant peu à peu, à la rencontre d'une chaleur qu'il espérait plus vive encore que l'eau de la cuve.
La main chercha puis trouva. S'attarda en flatteries onaniques aussi languissantes qu'insolentes. Il prendrait tout son temps.


J'espère que vous appréciez la façon dont je sais prendre soin de vous, duquessa.


Inlassablement le doigt l'amadouait tandis que l'homme contrôlait soigneusement chaque souffle de sa respiration afin qu'elle ne détecte aucun signe de fébrilité dans la dérive qui le gagnait à chaque frôlement de sa main sur Lui.
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Xanthi
[ Démon .... vraiment ?]


Hoax, allongé de tout son long était heureux. Un tap tap plus ou moins régulier frappait le bois du paravent contre lequel il était couché.
Il voyait ses maîtres de là où il était, oui ses maîtres, et il les défendrait tous deux si quelqu'un devait les attaquer.

Il les entendait parler, chuchoter, rire, respirer, murmurer, soupirer …. Bref tout allait bien. Il posa sa tête sur la pierre chaude et somnola, les tap tap ralentissant doucement.

Xanthi regarda un instant son fiancé, eut un sourire particulier et entreprit donc le nettoyage, décrassage, récurage du corps offert à ses mimines.
Elle prit un seau d'eau chaude, y trempa le linge le savonna et l'utilisa comme un gant. Elle commença par le visage, qu'elle rinça dans la foulée. Elle voulait l'embrasser sans savon. Elle caressa doucement les joues où une barbe naissante sera vite rasée par un barbier, lui donna un chaste baiser puis continua la toilette. Le cou, les bras, les jambes, les cuisses furent les suivants, puis le dos, ses reins, ses fesses et elle finit par le torse, le ventre et la murène.

Elle lui tournait autour, lui demandant ceci :

Levez votre bras, oui comme ceci. Et hop un baiser là, un frôlement ici
Ou cela :

La cuisse, là écartez un peu … . Le geste précis, délicat fit trembler l'homme.
Ses gestes étaient doux, minutieux, méticuleux. Pas un mm² de peau n'échappa à sa vigilance. Après le dernier rinçage, son sang bouillait dans ses veines.
Elle passa le corps à l'inspection. Les mains touchèrent, vérifiant que la peau était rincée comme il fallait, ses lèvres s'attardèrent parfois sur son dos, son torse, ses lèvres. Les mimines caressèrent délicatement, sensuellement.
Sa respiration s'accélérait comme les battements de son cœur. Elle ne se lassait pas de regarder et toucher ce corps offert à sa vue, à ses mains.

Elle se plaça enfin face à lui. Leurs regards se croisèrent, le sien grisé de désir, elle lui murmura alors qu'il se penchait vers elle :

Je te veux maintenant.
Elle prit sa main, le tirant vers le meuble à onguent.

Hoax leva une oreille ouvrit un œil, mais où allaient-ils donc ? Il n'avait pas envie de se lever. le tap tap joyeux repris quand il compris qu'ils restaient là

Aris comprit sa demande et la souleva. Ses mains puissantes sous ses fesses elle retient un gémissement de plaisir. A peine assise, elle l'enserra de ses jambes plaqua ses mains sur ses reins accompagnant son mouvement : la murène trouvant dans l'instant son chemin.

Aime-moi Aris.....
Elle l'embrassa à pleine bouche, gémissant, doucement. Le feu brûlait, elle le voulait maintenant. Elle s'agrippait à ses hanches. Le plaisir les prit vite et les laissant essoufflés, heureux. Ils s'embrassaient, leurs lèvres ne voulant se séparer.
Elle resta accrochée à lui, jambes autour de sa taille bras autour de son cou, alors qu'il la portait, leurs corps toujours unis l'un à l'autre, la murène avait encore faim, elle aussi puisque reprenant à peine son souffle : elle murmura :
encore …..
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oui, avec Vous simplement, parler d'amour .....
Aristode.
[ Démon .... vraiment ? ... démon surement et jeu à quatre mains ]

Ne rien demander, ne rien obliger, se laisser bercer .
Ne rien promettre et tout vouloir, se laisser faire, être à côté .
Ses gestes précis et sa voix douce l'enveloppent dans un désir perpétuel, sa maigre barque est aspirée, elle tague, chavire, plonge un instant dans la pureté de son regard et puis repart se fracasser sur son envie qu'il sent monter .
Lever un bras, bander un muscle, il lui montre que même les replis sont tous récurés .

Je te veux maintenant.

Il lui sourit, la laisse faire, plus de raison et son démon qui se déchaîne .
C'est elle la maîtresse de leur jeu, il accompagne, il accorde son corps plaque son âme à son enfer qui se réveille.
Il ne veut pas abdiquer, il lutte contre lui-même , contre cette voracité qui voudrait bien le voir s'exalter en elle .


Aime-moi Aris

Il l'aimera !
Il retrouve de la gaillardise de l'assurance, bien qu'elle ne fasse que le tourmenter , cette voracité qui voudrait le voir abonner, son démon relève la tête .
Il prend les choses en main, caresse son corps offert, imprime la cadence, il pense que cela serait bien s'ils finissaient ensemble .
D'un pas de deux voilà qu'ils accélèrent, le tourbillon se forme emportant leurs raisons .
Il embrasse sa bouche pour y noyer ses cris, son souffle est court et son cœur bat si vite .


encore


Alors il recommence et y met toute sa force, son démon a beau rugir son enfer est si grand.
Pas un son, pas un cri juste des râles qui montent de ses organes, le bruissement de lui, qu'il fera en elle .
Il murmure doucement car il garde encore un brin de ce contrôle qui bientôt lui fera défaut .


encore … et à jamais de me lasser de vous aimer ….
Xanthi
[Mon Démon .... mon paradis, mon oubli]


Elle l'embrasse à en perdre le souffle, elle le serre entre ses cuisses et ses bras, elle l'accompagne, leurs corps en harmonie, dans cette danse endiablée.


Aris .....

Hoax ne bouge pas, seul le tap tap irrégulier contre le bois du paravent, indique qu'il veille sur leur bonheur, leur solitude à deux.

Son corps tangue, elle gémit, ses mains le caressent, ses lèvres l'embrasse.
Elle ne sait s'ils utiliseront ce baquet à deux. Pour l'instant, il la transporte dans un autre monde de plaisir et de désir.
Il la porte, quitte le meuble à onguents et la dépose doucement sur le drap abandonné sur le sol dallé et chaud.
Son corps lourd sur le sien, en accord avec le sien. Ses mains se plaque sur son dos, elle s'accroche, elle murmure :


Viens mon Aimé, maintenant


Elle est à lui, il est à elle.
La jouissance la prend et elle en tremble, le sentant en accord avec elle, s'abandonnant enfin, la murène en la grotte rugit.

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