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[RP] La plume de l'oiseau s'envole en l'air ...

Gailen_d_arduilet
Lorsqu'elle rompit le silence, il la fixa dans les yeux et l'écouta sagement. Notant dans sa petite tête le moindre mot. Il s'amusa qu'elle relève la proposition de mariage avec sa fille. Lucie ne connaissait certainement pas ses positions très "vieille école" sur le mariage des nobles. Elle ne savait pas non plus que cette idée l'amusait car elle lui en rappelait une autre. Un chevalier qui veut placer sa fille dans le lit de l'Arduilet dans le but d'unir leurs maisons il avait déjà trop bien connu cette situation, même si le vieux coquin n'avait jamais avoué officiellement ses intentions.
Ainsi donc la jeune fille cherchait un compagnon...de route. C'était bien la fille de sa mère. Là ou toutes les jeunes filles de son age cherchaient le prince charmant ou le bon parti, celle-ci pensait à l'aventure, la vraie ! Le sang qui coulait dans ses veines n'y était certainement pas étranger. Elle devait souffrir du même mal héréditaire que notre comte. Quoi de plus normal puisque leurs mères respectives avaient arpenté les routes du royaume ensembles.
Quant à Lucie, elle ne releva pas la question de sa propre main. Sans doutes parce qu'elle était déjà mariée, parce qu'elle le considérait un peu comme son fils et aussi parce qu'elle ne pouvait imaginer que l'esprit torturé du gamin lui procurait une attirance pour les femmes mûres plus que pour les jeunes damoiselles de son âge.
Oui notre gaïlen était dans sa période : " chasseur de couguar".

Lorsqu'elle parla de seigneurie, il fût interpellé. En essayant de se débarrasser de cette idée, elle venait de le conforter de faire d'elle, un jour, sa vassale.
S'il y avait bien une chose à laquelle Gaïlen tenait en ce bas monde c'était à accomplir les dernières volontés de sa défunte mère. Ainsi donc elle lui avait promis de les lier ? Ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd et il ne l'oublierait pas. Il ne pût s'empêcher de murmurer.


Ce n'est pas de l'abus et je me jure de tout faire pour que ça arrive.

Mais, déjà, les ébènes de la blanche scrutaient le ciel et les paroles continuaient.

Je vous remercie, une tour sur un de mes domaines est une idée un peu folle. Je n'arrive pas à me fixer sur l'un d'entre eux. Les pauvres bêtes seraient comme Pénélope à attendre sans-cesse mon retour enfermés. Puis, non, je ne connais personne qui s'en occuperait comme il se doit.


*tandis que si vous décidiez de vivre sur l'un d'eux ...* pensa le têtu

Alors qu'il l'écoutait, il ne vit pas arriver ce qu'elle lui avait, habilement, préparé. Les gants, la plaine qui se dessinait devant eux, Cassandre qui les attendait, les rapaces dans le ciel, le gros chien qui gardait le tout...

La jeune femme qu'il avait bien du mal à reconnaitre le salua et prononça les habituelles formules de politesse auxquelles il n'eut le temps de répondre. Elle siffla et tendit le poing pour y faire revenir un magnifique faucon qui laissa notre jeune comte bouche bée. Eh voilà, comment en un geste, la blonde avait réussi à percer le mystère du jeune héritier. Oui, même une jeune femme pouvait déclencher chez lui cet effet qui transformait en un centième de seconde le grand comte d'apparence arrogant et suffisant en un gamin hésitant au regard ébahi.

Impressionné, il prononça la grande phrase :


Bravo !
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"Toujours en recherche de bons plans"
Cassandre__
D’un visage essayant de masquer assez mal sa timidité, Cassandre passa à un visage plein de malice. Il fallait reconnaître que sa mère avait eu raison. Rien de tel qu’un faucon pour briser la glace. Une becquet à l’oiseau et elle le reposa sur le bloc, attachant soigneusement les jets à celui-ci.

Merci beaucoup. J’ai eu un bon professeur.

Elle adressa un regard complice à sa mère. Durant toutes ces années, la blondinette avait soif de comprendre la vie que menait son Chevalier de maman. Avec la fauconnerie, elle avait compris cette sensation de liberté qu’on pouvait ressentir parfois et au fil des années, avait pris goût à l’activité. Il lui restait à découvrir les routes. Et ça, ce n’était pas une mince affaire quand on avait une mère poule.

Un nouveau regard vers sa mère qui lui fit un signe discret de la tête. Un fin sourire illumina son visage avant de fixer le gerfault puis à nouveau Gailen.


Voulez-vous le prendre au poing ?

Elle laissait le privilège de l’annonce à sa mère.

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Lulue_
Si elle avait lu dans les pensées, sans doute que Lucie aurait relevé l’étonnement du Lionceau sur le fait qu’elle n’ait rien dit sur le passage demandant sa main. D’abord en disant sans doute que sa vie sentimentale ressemblait à un joli sac de noeuds miné où ajouter un Comte serait un pousse au crime. Probablement qu’elle ajouterait également, que compte tenu des liens que la Brune entretenait avec sa mère, cela était impensable. Et histoire d’enfoncer le clou, si l’Arduilet était dans sa période couguar, la Monssygnac n’était pas dans sa période « j-vieillis-mal-alors-j-les-prend-au-berceau », tout aussi charmant - et parfois troublant - qu’il pouvait-être.

Mais heureusement pour tout le monde, ne pouvant deviner ce qu’il se passait dans la caboche du mioche plus vraiment mioche, Lucie se contenta de sourire lorsqu’elle vit qu’il se décrochait presque la mâchoire en voyant l’oiseau. Comme à son habitude, elle approcha du faucon pour lui caresser doucement la tête, tandis qu’elle laissait les deux jeunes refaire brièvement connaissance. Au besoin, elle s’éclipserait plus tard.

En croisant le regard de Cassandre, Lucie sourit à nouveau. Il était temps d’enchainer.


Ce faucon est l’une des raisons de notre visite. Je vous avais dit que pour votre anniversaire, j’avais une surprise pour vous. Et bien la voici.

Petite pause, pour lui laisser le temps d’assimiler l’information.

Tout est à faire avec lui, même si, comme vous avez pu le voir, il revient déjà lorsqu'on l'appelle.


Gailen_d_arduilet
En un tour de main et un coup de sifflet, la jeune blonde avait récupéré le rapace et l'avait replacé sur le bloc. Gaïlen ne lâchait pas l'oiseau des yeux. Le plumage du gerfault était magnifique et là ou bien d'autres gamins de son age auraient tenté de plonger les yeux sur les atours de la jeune femme qui se présentait à lui, l'Arduilet n'avait d'yeux que pour le volatile.
Aux mots de Lucie, il failli vaciller. C'était donc là le secret de la visite impromptue. Spontanément il répondit :


Pour moi? Vraiment ?

Son regard passait rapidement et sans s’arrêter de Lucie à Cassandre en s’arrêtant sur le magnifique rapace. Il se rendit, alors, compte de son impolitesse. Une fois de plus, me direz-vous mais il tenta avec sa maladresse habituelle de se rattraper.


Moi aussi je suis heureux de vous revoir, Cassandre. * Même si je ne me rappelle pas de vous* Vous avez visiblement tout pour devenir une fauconnière digne de votre mère. Et, ce qui ne gâche rien, vous êtes aussi charmante que le bel oiseau que vous m'amenez là. * Faut toujours complimenter les filles sur leur beauté qu'on m'a dit* Oh oui, j'aimerais le tenir même si je ne sais si j'y arriverai avec votre dextérité.

Il enfila le gant que Lucie lui avait donné et s'approcha doucement de l'oiseau. tendant maladroitement la main il dit :

Je...je peux ?

Puis pris d'une panique que nous pouvons maintenant qualifier de "Gaïlenique" tant elle est habituelle chez notre comte, il enchaîna :


Comment cela tout est à faire ? Je vais devoir l'éduquer? Je ne sais même pas si je pourrais m'éduquer moi-même. Et puis, ou vais-je l'installer ? Qui va s'en occuper pendant mes voyages entre Meymac et Roubaix ? Vous pensez qu'il aime voyager ? Est-ce raisonnable de l'emmener partout ? Et si ...si je vais a la guerre ?
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"Toujours en recherche de bons plans"
Cassandre__
Le sourire devint légèrement crispé au compliment que lui faisait le comte. Avait-elle rêvé ou l’avait –il comparé à un rapace ? Bien polie, Cassandre se concentra sur le faucon pour éviter de répondre quelque chose qui pourrait paraitre désagréable. Cependant, l’esprit tordu dont pouvait faire preuve la blondinette disparu bien vite lorsque Gailen répondit favorablement à sa demande. Elle était amusée de le voir ainsi devant l’oiseau.

Je suis sûre que les gestes redeviendront bien vite un automatisme lorsque vous l’aurez sur le poing.

Elle lui adressa un sourire, posant pour la première fois ses émeraudes dans les yeux du jeune homme. La jeune Castellléo rit discrètement sous la panique soudaine du comte. Et sans plus réfléchir, elle coupa l’herbe sous le pied de sa mère.

Il va falloir qu’il s’habitue à vous, que vous travaillez chaque jour avec lui pour qu’il vous obéisse. Il peut voyager sans problème. Bien évidemment, vous pourrez le confier à une personne de confiance pour s’en occuper avec vous si vous n’avez pas trop de temps à lui accorder. Et les faucons peuvent très bien servir comme éclaireurs lors d’une guerre, si vous le souhaitez.

Elle regarda ensuite sa mère pour s’assurer qu’elle n’avait pas dit de bêtises.

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Lulue_
Les lèvres pincées, la Brune essayait tant bien que mal de retenir son sourire mutin en voyant les deux jeunes débrouiller tant bien que mal. Et la panique de Gaïlen l’amusa particulièrement. Sous ses airs arrogants de petit Comte, c’était vraiment facile de le déstabiliser. Lucie s’apprêtait donc au Lionceau lorsque Cassandre lui coupa l’herbe sous le pied. Haaaa, la fougue de la jeunesse. Elle la laissa donc faire, opinant parfois du chef. Lorsqu’elle croisa ses émeraudes interrogatives, le Chevalier enchaina.

Effectivement, les faucons peuvent être des alliés très précieux en guerre. Je suis d’ailleurs en train d’expérimenter un projet chez les Blanches à ce sujet. C’est un travail de longue haleine, mais j’espère qu’il sera payant. Le plus dur est souvent de trouver des personnes suffisamment motivées et patientes par la fauconnerie pour prendre soin ensuite des volatiles.

Une petite pause pendant que les ébènes se posèrent sur la main gantée de l’Arduilet.

Alors Gaïlen, j’ai hâte de voir ce qu’il vous reste de mon enseignement. Et il faudra lui trouver un nom à cet oiseau. J’espère que vous avez également reconnue la race à laquelle il appartient…

Ou comment transformer une visite de courtoisie en interrogation surprise.


Gailen_d_arduilet
Ses yeux ne pouvant quitter l'oiseau il buvait littéralement les paroles de la jeune fille. Elle lui répondait avec une aisance naturelle qui le rendrait jaloux s'il n'était pas tant impressionné. Malgré son jeune âge, son interlocutrice faisait preuve de conaissances bien plus développées que les siennes.
Admirant, toujours l'oiseau il se surprenait à, déjà, imaginer la suite. les heures passées dans la nature avec lui pour qu'ils apprennent à se connaitre et s'apprivoiser.


J'espère que vous pourrez rester un moment avec moi, vos conseils me seront précieux. Lâchât-il machinalement à la blonde, sans même comprendre ce que cela voulait dire.
Entre la vue du rapace et l'écoute de la jeune femme, il en avait oublié la présence de Lucie. Il fût rappelé à l'ordre par les paroles sages et instructives de la dame.


C'est un Gerfault, ce sont mes préférés, même si je dois bien avouer que je ne connais pas assez les rapaces pour faire un choix réfléchi et que je me base plus sur des critères esthétiques.

Pour le nom, il ne savait pas quoi répondre. N'ayant pas envisagé posséder si rapidement un tel compagnon. Lui qui, il y a quelques heures, se morfondait dans sa chambre d'hôtel à attendre les ordres et les yeux encore rempli de l'horreur du massacre qu'il avait du commettre la veille.

Je vais, effectivement, devoir lui trouver un nom. Dit-il en tendant la main vers l'oiseau.
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"Toujours en recherche de bons plans"
Cassandre__
J'espère que vous pourrez rester un moment avec moi, vos conseils me seront précieux.

La phrase prononcée par le Comte semblant anodine au premier abord, claqua à son oreille, si bien qu’elle écarquilla les yeux. Di au départ elle le trouvait moins surprenant qu’elle l’avait imaginé, cette fois-ci il avait fait fort. Un large sourire fendit son visage. S’il la prenait ainsi par les sentiments, il allait forcément devenir son chouchou. Cassandre calma comme elle put son excitation. Déjà pour ne pas faire peur au brun mais aussi parce qu’ils étaient quand-même tous les deux dans les jupons de sa mère.

Je serais honorée de pouvoir mettre en pratique ce que j’ai appris sur la fauconnerie, à vos côtés, votre Grandeur. Peut-être pourrions nous voir cela d'un peu plus près prochainement?

Surtout ne pas regarder sa mère pour voir soit son visage satisfait, soit ce regard qui en disait long sur le cyclone qui allait s’abattre sur l’auberge une fois le brun parti.


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Gailen_d_arduilet
Croisant le regard de la blondinette il ne put s'empêcher de voir sa réaction. Le jeune garçon, sois disant homme avait bien du mal à comprendre les filles et l'effet que certains mots prononcés au bon moment pouvaient avoir sur elles. Je ne lui jetterai pas la pierre ayant moi même malgré de nombreuses années en plus que lui encore, bien du mal à comprendre les créatures féminines.
Alors que Cassandre lui proposait ses services et cachait bien mal la joie que cette perspective pouvait lui procurer, il essayait de se concentrer sur le volatile . Le rapace, semblait bien mieux se plaire sur son bloc que d'avoir envie de rejoindre cet inconnu. De plus, l'inconnu semblait perdu entre son envie de le prendre et son intérêt soudain pour celle qui avait l'habitude de la faire voler (Comprenez le Gerfault , Cassandre n'a pas ,encore, fait décoller le jeune Comte bande d'esprits tordus) Tous en approchant encore un peu plus sa main gantée il répondit :


Et moi, très honoré d'être votre élève particulier si votre mère vous laisse prendre la place qu'elle occupe avec tellement de talent.

Il s’arrêta un moment et reprit d'un air malicieux en s'approchant de la jeune fille tout en gardant le rapace à portée de main et en oubliant presque la présence de Lucie :


Mais pour mériter d'entrer à mon service, il vous faut passer un test. Voyons, comme vous dites si bien : "d'un peu plus près" si vous arrivez à m'aider à me faire apprécier de ce magnifique rapace.

Visiblement, jusque là, il avait eu bien plus facile à gagner la confiance des Castelléo que de l'oiseau. Mais bon, une tour aux oiseaux serait quand même de meilleur goût qu'un harem, du moins au yeux de la société et de la bonne morale car en secret bien des hommes l'envieraient plus pour la deuxième option que pour la première.

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"Toujours en recherche de bons plans"
Cassandre__
Les deux jeunes adultes semblaient déjà avoir une certaine complicité, si bien que Cassandre ne fit pas attention lorsqu’il se rapprocha au plus près d’elle. Surtout qu’avec cette histoire de test, il venait de lui mettre la pression sans le savoir. La seule élève qu’elle eut, c’était sa mère. En la sachant Grand Fauconnier de France, je vous laisse deviner qui avait eu des choses à apprendre à l’autre. Un sourire mutin illumina son visage lorsqu’elle croisa l’air malicieux du brun. Ainsi donc il était suffisamment pendu à ses lèvres pour citer mot pour mot sa phrase.

Hum ce n’est pas gagné, voyons donc si cela est possible.

Cassandre posa le dos de sa senestre sous la main gantée du comte, glissant ses doigts entre les siens, les rabattant ensuite sur leur paume afin que seul le poing couvert de cuir soit à porté des serres du faucon. Et sans grande surprise, une fois que le gerfault senti le gant, il grimpa sur le poing, bien qu’il soit encore avec son capuchon sur la tête. De sa main libre, elle donna au rapace un morceau de viande pour le récompenser. Enfin, la blondinette reprit avec délicatesse sa main gauche afin de glisser entre les doigts du brun les jets.

On dirait bien que vous êtes plus à l'aise que vous ne vouliez bien le dire. Vous vous rappelez comment le faire voler?

Son regard amusé naviguait entre Gailen et le faucon, s’assurant qu’aucune anicroche n’arrivait.


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Gailen_d_arduilet
Gaïlen était, contrairement à son habitude, étrangement calme.
Etait-ce le grand air, la présence de Lucie, l'influence de son nouveau compagnon emplumé ou la douceur de Cassandre, il ne se l'expliquait pas. Trop rares étaient les moments de calme dans l'esprit du comte et encore plus en présence d'une jeune fille.
Il se laissa guider et se retrouva donc l'oiseau au poing.
Visiblement, le Gerfault ne trouvait pas désagréable sa nouvelle position et l'Arduilet n'osait trop bouger pour ne pas l'effrayer. Il respirait lentement pour essayer de garder ce calme inespéré.

Son regard quitta, un instant, le rapace pour plonger dans celui de la jeune blonde. Un regard plein de remerciements, de douceur mais aussi de questions.


Je dois bien avouer que je ne me rappelle plus de tout. Malgré les compliments trop élogieux de votre mère, je ne me considère pas comme un expert. Je ne me rappelle que d'un vol et pas des plus habiles de surcroît.

Regardant à nouveau l'oiseau
.

Je dois lui enlever le capuchon c'est bien celà ?
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"Toujours en recherche de bons plans"
Lulue_
Elle sourit à Gaïlen lorsqu’il aborda sa préférence niveau faucon, sur le seul point de l’esthétisme. C’est souvent le premier critère que tout individu retenait.

Si vous avez une tour, nul doute que vous aurez le temps de découvrir différentes races.

Ou comment remettre un peu d’huile sur le feu. Mais, la phrase fut-elle à peine terminée que Cassandre prenait les choses en mains. La Brune ne put s’empêcher de sourire de voir la complicité qui naissait naturellement entre le Lionceau et son Ange. Elle s’éclipsa donc de leur monde pour prendre simplement place sur la charrette, tout en papouillant Persil, ravi de constater que pour une fois Lucie le faisait passer avant les rapaces.

Il fallait quand même avouer, qu’en mère trop protectrice, elle avait bien failli s’étouffer une ou deux fois dans les tableaux qu’ils lui offraient. Leur fougue, le rapprochement physique, les mains qui s’épousèrent, furent quelques passages qu’elle aurait bien censurés. Toutefois, mettant un point d’honneur à ne pas interférer dans leur vie plus que nécessaire, elle les laissa faire sans broncher. Une fois les caresses terminées avec le mastiff, Lucie prit des feuillets dans sa besace afin d’écrire une missive, non sans quitter les deux gamins du coin de l’œil, prête à intervenir à tout moment.



Cassandre__
[ Suite ici]
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