Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

(rp ouvert) Rien n'est éternel ou le cimetière de Sainte

Jamesonedin
James bafouilla quelque peu pour répondre, la donzelle était belle et elle semblait vraiment s'intéresser à lui ; il eut une pensée pour Guillemmette, mais Guillemmette était si jeune; leur amour était impossible, alors ne devait-il pas trouver une jeune femme plus proche de son âge ? Celle-ci devait avoir dans les vingt-cinq ans, cela était tout à fait convenable, et elle était si jolie... Il répondit :

- j'habite au bord du lac. J'ai un potager, je ne suis qu'un simple paysan vous savez.

James préférait annoncer la couleur, au cas ou la jeune femme le prendrait pour un homme ayant du bien. Il ne voulait pas de femme intéressée par ses économies, qui étaient maigres cela dit en passant.
Quentin_de_montfort
Se promenant un jour au cimetière cela fessait d'ailleurs bien longtemps qu'il ne l'avait pas fait il le vit en bien mauvais état. Le portail qui venais d'être changer a son dernier passage était en mauvais état et se dit que maintenant qu'il était forgeron il pourrai le réparer. Il le démonta soigneusement et l'emporta a sa forge pour le réparer

Et bien même si il est en mauvais état il est encore bien lourd, bon allez droit a la forge
Quentin_de_montfort
Cela fessait longtemps que ce cimetière était déserte et peu entretenu il avait il y longtemps réparé le portail de celui ci et ce dit qu'il allait pouvoir recommencer. Une fois arriver la bas sa ce voyait que personne n'avait entretenue cette endroit depuis longtemps.

Hé bien voila bien du travail a faire.

Il ouvrit le portail rouillé et commença a le démonter pour le rénover, pour ensuite l'emporter a sa forge.
Raffaele_
6 Décembre 1464.

Silence aux alentours. Les rues sont désertes. Les lampes éclairent déjà les vitres des maisons.
Le froid, c'est bien connu, en dissuade plus d'un de quitter son coin de cheminée.

Quelle paix! Quelle sérénité!...L'instant idéal pour ma première sortie hors du couvent.
Devant les grilles à moitié démontées du cimetière, un homme est occupé à ce qui semble être de grands travaux de rénovation. Timidement je le salue, et continue mon chemin.
Drôle de choix de promenade, les allées d'un cimetière...Mais au moins on y est tranquille. Le silence est un ami fidèle qui m'accompagne depuis mes 12 ans.

Une semaine.
Encore une semaine et je quitterai le cloître.

Emmitouflée dans ma capeline chaudement doublée de peau de lapins, je parcours d'un pas lent les allées jonchées d'herbes folles et de cailloux aux couleurs en dégradé de rouge.
Je marche au hasard, observant les tombes, déchiffrant leurs inscriptions...Ici un enfant oublié sous sa croix, parti rejoindre les anges il y a bien longtemps. Là, un vieil homme qu'on a enterré récemment, au vu du monticule de terre tout frais qui bonde le sol.
Je le regarde un instant, ce monticule, et puis je prends en moi-même une ferme résolution.
Quand je rentrerai, voilà où ira ma première visite. Au tombeau de mon frère, et de mes parents adorés.

Un vent froid chante sa douce musique entre les tombes, et se prend dans les arbres comme des poissons dans un filet, hurlant sa frustration d'être si fort, et pourtant si facile à attraper. Une bourrasque. Mes cheveux s'envole en mèches folles par dessus mon capuchon, comme autant d'épis de blé poussés par la brise.
Je ferme les yeux, et respire profondément l'air glacé de la fin du jour. Je souris aux anges, je souris à ma première bouffée d'air libre depuis 5 années, en dehors de grilles sécurisantes du merveilleux jardin du cloître.

Au loin des cloches se mettent à sonner. Bientôt on chantera vêpres. Je sursaute à ce bruit que je connais si bien, rouvre les yeux et jette un dernier regard à l'étendue des disparus qui s'étendent ici, à perte de vue.
Les jours raccourcissent. Il fera bientôt nuit. Une angoisse familière me serre l'estomac.
Je devrais déjà être rentrée à cette heure...
Quentin_de_montfort
Il avait déjà démonter la porte de gauche et allai attaquer c'elle de droite quand quelqu'un passa au cimetière. Ils ce saluèrent brièvement , la laissa passé et repris son travail ce demandant bien ce qu'elle pouvait venir faire dans ce cimetière par pareil temps. Pendant qu'il démonta la porte il l'a vit ce promener dans le cimetière et vit qu'elle semblait ce plaire a si promener ici. Apres un long travail voici enfin les portes démonter. Il avait déjà apporter une porte lorsqu'il revient il tenait une chope de vin chaud pour lui une tasse de thé bien chaude pour la jeune femme qui se promenais dans ce cimetière. Les cloches au loin venait de sonner et il s’approchât de la jeune femme, lui tendant la tasse de thé.

Je me suis dit que vous aviez peut être froid a vous promener ici par ce temps aussi voici une tasse de thé bien chaude si vous la voulez.
Raffaele_
Dans le brouillard naissant qui annonce le crépuscule tout proche, je réajuste mon capuchon, et hâte le pas dans les allées désertes, en espérant de tout mon cœur que mon retard n'aura pas été remarqué.
A cet instant, l'homme du portail qui avait quitté l'entrée réapparaît entre les grilles qu'il vient de démonter. Je continue ma route. Il s'avance vers moi et se met à me parler. Une tasse de thé? Mon cœur se met à battre. Que me veut-il? Que dirait-on si l'on me voyait parler à un homme sans personne d'autre autour de nous?
Je pose sur lui un regard mi-apeuré, mi-surpris, et puis mes yeux vont de son visage, à la tasse qu'il me tend, et terminent leur course sur le haut clocher de mon cloître.


- Merci, mais...

Si j'accepte la tasse, je vois déjà en pensée sœur Suzanne du haut de la tour qui renferme sa cellule, froncer les sourcils et me fixer d'un regard désapprobateur. Et elle aurait raison d'ailleurs, je sais que je devrais partir sans répondre. Et pourtant...
Et pourtant mon cœur me hurle de la prendre, en me disant qu'il n'y a après tout rien de mal à cela, que la sœur est trop loin pour le voir et que, de toute façon, ce n'est qu'une tasse de thé bien innocente...
Un dernier regard sur mon clocher, j'accepte son offre, et saisis de mes deux mains tremblantes la tasse à la chaleur providentielle.
Ce n'est l'affaire que de quelques minutes, après tout...Je souffle sur le breuvage, en bois une petite gorgée, et dans un souffle reprends timidement:


- Merci...
Quentin_de_montfort
Il l'observe, il sent qu'elle hésite ce qui est normal après tout vu qu'ils ne se connaissent pas. Mais elle fini tout de même par prendre la tasse et commença a la boire, puis après la première gorgé elle le remercia.

De rien, je n'allai pas vous laisser geler par ce temps alors que je buvais quelque chose de chaud.

Il lui sourit
Raffaele_
- Oui, c'est très....hum, très gentil à vous, vraiment je...hum...

Il me sourit. Je m'empourpre. Je baisse les yeux, et tente bien maladroitement de lui rendre la pareille par un sourire des plus réservés.
La cloche, encore. Mon cœur s'affole. Voilà que le soleil est presque couché maintenant. Oh mon Dieu, quelle heure est-il..???

- Pardon, je....il faut que je parte...merci pour le verre, euh...la tasse...je la lui rend à moitié vide et en toute hâte,... oui, c'était vraiment très...très... - Dieu du Ciel mes jours sont en feu! - adieu, messire...!

Je cours presque en quittant mon pourvoyeur de boisson chaude, le capuchon bien calé sur la tête, afin qu'il ne puisse remarquer mes joues cramoisies.
Sur le chemin de mon cloître qui se rapproche à vue d’œil, je marmonne une prière silencieuse afin que le Ciel me pardonne d'avoir osé cette discussion, et pire encore, d'avoir trouvé cet instant agréable...
Quentin_de_montfort
Elle était vraiment hésitante, elle semblai ne pas savoir quoi dire, ne pas trouver ses mots . Puis quand les cloches au loin résonnèrent elle s'agita, elle lui rendit sa tasse et parti presque aussitôt, il eu a peine le temps de lui dire au revoir. Il sourit amusé par cela et parti apporté le reste de la porte a sa forge pour les rénover.
Eudoxie_
“La malchance est un oiseau déplaisant et il faut l'empêcher de se percher sur soi...” (Donat Coste)

Cimetière ? Tombe ? Pas de bol...

Il était de ces jours où il était judicieux de rester couché, celui-ci en était un pour la petite brune, aujourd'hui était un jour singulier, le premier anniversaire de sa mère depuis son décès alors sans trop savoir pourquoi, juste par envie, Eudoxie avait été acheté des lys pour fleurir une tombe inconnue.
Arrivée au cimetière, la béarnaise avait arpenté les allées, dans le recueillement sans faire de bruit, telle une ombre sous sa capuche violine, le regard sombre détaillait les sépultures jusqu'à ce qu'elle en trouve une dénuée de toute attention, anonyme.

Sans plus de cérémonie, la brunette avait déposé les quelques fleurs blanches, les préférées de sa mère, elle ne savait pas qui elle honorait mais peu lui importait par son intermédiaire c'était la tombe de celle qui lui avait donné la vie qu'elle fleurissait.
Frisson et long soupir, la béarnaise se redressa, butant contre une racine qui la fit chavirer en arrière en lâchant un cri perçant le silence pour se retrouver.... dans une tombe fraichement creusée.

Non de... !!!!!

Comment, mais comment cette journée pouvait-elle être pire ???? Se retrouver allongée de tout son long dans un trou prévu pour les morts !!!! Rester couchée oui c'est ça, elle aurait dû rester couchée....
Se frottant l'arrière du crâne, l'inénarrable s'asseya dans la sépulture, levant les onyx vers le haut de sa prison en soupirant, se demandant bien comment elle allait pouvoir se sortir de cette situation quand une goutte d'eau suivie de ses copines vinrent s'écraser sur son visage.

Nan mais sérieusement....

Long soupir lâché, la petite brune se leva pour agripper comme elle pouvait l'extérieur de la tombe, maugréant contre sa petite taille une fois de plus, tirant de toutes ses forces pour se hisser vers le haut.
Bottes s'ancrant dans la terre, le corps de la bestiole s'extirpa en rampant comme un mort vivant, un pauvre badaud se promenant par là aurait hurlé au démon en voyant le faciès boueux de la brunette.

Raconter ça à quelqu'un ? Nan, nan, surtout pas, c'était d'un ridicule pas possible, et pourtant après coup Eudoxie ne put que se mettre à rire, rire à n'en plus finir.
Dignement, la figure barbouillée de gadoue, la béarnaise rejoignit donc l'auberge en mode furtive pour aller s'adonner à quelques ablutions et reprendre visage humain.

_________________
Jamesonedin
James bafouilla quelque peu pour répondre, la donzelle était belle et elle semblait vraiment s'intéresser à lui ; il eut une pensée pour Guillemmette, mais Guillemmette était si jeune; leur amour était impossible, alors ne devait-il pas trouver une jeune femme plus proche de son âge ? Celle-ci devait avoir dans les vingt-cinq ans, cela était tout à fait convenable, et elle était si jolie... Il répondit :

- j'habite au bord du lac. J'ai un potager, je ne suis qu'un simple paysan vous savez.

James préférait annoncer la couleur, au cas ou la jeune femme le prendrait pour un homme ayant du bien. Il ne voulait pas de femme intéressée par ses économies, qui étaient maigres cela dit en passant.
Quentin_de_montfort
Se promenant un jour au cimetière cela fessait d'ailleurs bien longtemps qu'il ne l'avait pas fait il le vit en bien mauvais état. Le portail qui venais d'être changer a son dernier passage était en mauvais état et se dit que maintenant qu'il était forgeron il pourrai le réparer. Il le démonta soigneusement et l'emporta a sa forge pour le réparer

Et bien même si il est en mauvais état il est encore bien lourd, bon allez droit a la forge
Quentin_de_montfort
Cela fessait longtemps que ce cimetière était déserte et peu entretenu il avait il y longtemps réparé le portail de celui ci et ce dit qu'il allait pouvoir recommencer. Une fois arriver la bas sa ce voyait que personne n'avait entretenue cette endroit depuis longtemps.

Hé bien voila bien du travail a faire.

Il ouvrit le portail rouillé et commença a le démonter pour le rénover, pour ensuite l'emporter a sa forge.
Raffaele_
6 Décembre 1464.

Silence aux alentours. Les rues sont désertes. Les lampes éclairent déjà les vitres des maisons.
Le froid, c'est bien connu, en dissuade plus d'un de quitter son coin de cheminée.

Quelle paix! Quelle sérénité!...L'instant idéal pour ma première sortie hors du couvent.
Devant les grilles à moitié démontées du cimetière, un homme est occupé à ce qui semble être de grands travaux de rénovation. Timidement je le salue, et continue mon chemin.
Drôle de choix de promenade, les allées d'un cimetière...Mais au moins on y est tranquille. Le silence est un ami fidèle qui m'accompagne depuis mes 12 ans.

Une semaine.
Encore une semaine et je quitterai le cloître.

Emmitouflée dans ma capeline chaudement doublée de peau de lapins, je parcours d'un pas lent les allées jonchées d'herbes folles et de cailloux aux couleurs en dégradé de rouge.
Je marche au hasard, observant les tombes, déchiffrant leurs inscriptions...Ici un enfant oublié sous sa croix, parti rejoindre les anges il y a bien longtemps. Là, un vieil homme qu'on a enterré récemment, au vu du monticule de terre tout frais qui bonde le sol.
Je le regarde un instant, ce monticule, et puis je prends en moi-même une ferme résolution.
Quand je rentrerai, voilà où ira ma première visite. Au tombeau de mon frère, et de mes parents adorés.

Un vent froid chante sa douce musique entre les tombes, et se prend dans les arbres comme des poissons dans un filet, hurlant sa frustration d'être si fort, et pourtant si facile à attraper. Une bourrasque. Mes cheveux s'envole en mèches folles par dessus mon capuchon, comme autant d'épis de blé poussés par la brise.
Je ferme les yeux, et respire profondément l'air glacé de la fin du jour. Je souris aux anges, je souris à ma première bouffée d'air libre depuis 5 années, en dehors de grilles sécurisantes du merveilleux jardin du cloître.

Au loin des cloches se mettent à sonner. Bientôt on chantera vêpres. Je sursaute à ce bruit que je connais si bien, rouvre les yeux et jette un dernier regard à l'étendue des disparus qui s'étendent ici, à perte de vue.
Les jours raccourcissent. Il fera bientôt nuit. Une angoisse familière me serre l'estomac.
Je devrais déjà être rentrée à cette heure...
Quentin_de_montfort
Il avait déjà démonter la porte de gauche et allai attaquer c'elle de droite quand quelqu'un passa au cimetière. Ils ce saluèrent brièvement , la laissa passé et repris son travail ce demandant bien ce qu'elle pouvait venir faire dans ce cimetière par pareil temps. Pendant qu'il démonta la porte il l'a vit ce promener dans le cimetière et vit qu'elle semblait ce plaire a si promener ici. Apres un long travail voici enfin les portes démonter. Il avait déjà apporter une porte lorsqu'il revient il tenait une chope de vin chaud pour lui une tasse de thé bien chaude pour la jeune femme qui se promenais dans ce cimetière. Les cloches au loin venait de sonner et il s’approchât de la jeune femme, lui tendant la tasse de thé.

Je me suis dit que vous aviez peut être froid a vous promener ici par ce temps aussi voici une tasse de thé bien chaude si vous la voulez.
See the RP information <<   1, 2   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)