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[RP]Mariage d'Elendra d'Acoma et d'Anthoyne de la Louveterie

Anthoyne
[Logis ducal du château d'Amboise, le 18 janvier 1462]

Le jour fatidique est arrivé. Anthoyne va se passer la corde au cou, une idée qui ne l'effrayait guère jusqu'à aujourd'hui. Cependant, face au mur, l'âme s'affolle, oppressée par les circonstances et la perte de liberté à venir. Pourtant, il sait que sa future femme ne sera pas celle qui l'étouffera, au pire, il se dit que la piplette le rendra sourd. Il a beau tenté de se rassurer, il n'y arrive pas. Quelque chose le dérange. Le problème est le regard des gens. Comment le verront-ils ? Lui, épouser une si jeune femme. Il en a presque des scrupules. Et encore cela, il pourrait le supporter. Mais que dire du regard d'Ellesya ? A cette pensée, il se sent fautif de se marier, comme s'il l'abandonnait une seconde fois et cette fois-ci, pour une femme et devant le regard du Très Haut, ce qui rend l'abandon pérenne. Elle était déjà informée mais l'officialisation rendrait peut-être la douleur plus intense. Espérait-elle peut-être qu'il laisse tomber ce projet en annulant le mariage ? Cette idée trotte dans sa tête. Cependant à cet instant, il est déjà trop tard. Le son des cloches le sort alors de sa torpeur. Le fort tintement provenant de la collégiale annoncent le début des hostilités. Cela fait bien une vingtaine de minutes qu’Anthoyne est prêt. De la pièce où il se trouve, il a vu sur la cour et sur l'édifice religieux. Malgré la distance, il reconnait quelques personnes à leur stature et leur geste. Leur présence dans cette cour ne lui fait ni chaud, ni froid, quoiqu’il sent la pression montée. Toutefois, même si l’angoisse est présente, il arrive facilement à dissimuler cette faiblesse. Il jette un dernier regard aux hommes et femmes d’Amboise qui s’affairent depuis des heures pour la réussite de ce mariage. Habituellement étranger à quelconque organisation de festivités, son mariage n’a pas fait exception à la règle. L’ensemble des démarches ont été effectuées par Elendra, ce qui fut une surprise pour lui, la pensant totalement empotée. Quant à la préparation de la collégiale et du château, même s’il avait donné quelques indications, il soupçonnait sa cousine d’y avoir ajouté sa petite touche, au moins dans la gestion des troupes. Cette pensée le dérangea mais l’heure n’était pas au débat intérieur. Rénumérant dans sa tête tout ce qu'il a dû effectué, il repense aux ordres qu'il avait passé pour la décoration de la collégiale. Il avait expressément demandé de ne pas trop charger l'intérieur afin de laisser à la vue de tout le monde la hauteur des voûtes et la beauté des ogives représentant le blason d'Amboise agrémenté de sculptures diverses flattant les activités nobles telles la chasse. Cette volonté de laisser dévoilé cette partie du bâtiment avait pour but de montrer la grandeur de la famille, si le château n'avait pas réussi à convaincre les invités. Un long tapis aux croix aristoteliciennes et autres motifs religieux avait été déroulé face à l'autel. Le reste avait été décoré aux couleurs des familles et des fiefs des deux futurs mariés. Les bancs travaillés par les menuisiers locaux devaient être disposés de façon à que personne ne soit spolié derrière les majestueuses colonnes en calcaire blanc de la région. Du moins dans les premiers rangs. Avant l'arrivée des premiers invités, Anthoyne avait vérifié l'avancement. Les gens d'Amboise habitués à la préparation de grandes réceptions avaient effectué un très beau travail qui avait satisfait Maillé. Avant de quitter l'aile du château outre il s'était préparé, il réajuste ses habits. Certes très bien travaillés et magnifiquement parés, lui permettant de se distinguer en tant que futur époux, ils lui sont bien trop inconfortables pour qu'il puisse les apprécier à leur juste valeur. Il ouvre la porte et se trouve nez à nez avec un valet essoufflé. Ce dernier lui assène comme une réprimande :

"Messire ! Vous allez être en retard ! Il vous faut presser le pas si vous ne voulez pas que votre fiancée et vos invités patientent et se demandent de la sincérité de vos sentiments
- Tsss ! J'arrive, j'arrive ! Nous ne sommes pas à cinq minutes près."

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ellesya
[Collégiale Saint Bynarr du castel ducal d'Amboise,
au lendemain de la Saint Antoine de l'an 1462]



Un froid de loup pour ce jour de noces à Amboise. De quoi faire grogner Maillé, songea la jeune femme en laissant ses chambrières mettre une dernière touche à sa tenue. Ou peut-être n'aurait-il pas l'esprit à songer à ce genre de « détail ». Pourtant, elle le savait si frileux qu'elle ne manquait jamais une occasion de le titiller sur ce trait.
De son côté, la petite Walkyrie de Tyr aimait la fraîcheur, l'ambiance glacée de l'hiver lui remémorant vaguement les hauteurs d'Annecy. Même la Touraine était si douce en comparaison. Pourtant elle savait que Menthon Saint Bernard ne lui était plus ouvert puisque son seigneur et maître n'était plus de ce monde depuis tant d'années. Elle ignorait même qui en avait hérité pour ne pas tourner le couteau dans la plaie jamais cicatrisée.

En ce jour, si elle était suzeraine, cousine et chef de famille du futur marié, elle en serait également le témoin de mariage. Rôle sûrement peu judicieux mais qui s'était malgré tout imposé. Si les festivités avaient lieu en ses murs, la princesse laissa la future épousée gérer comme elle l'entendait tous les domaines où elle avait eu envie de s'investir. En coulisses, la Louve avait surtout veillé à ordonner aux gens d'Amboise de servir du mieux possible le futur couple et à prendre toutes les dispositions auxquels ces derniers n'avaient pas songé. Sans avoir le bagage de sa prédécesseure, Ellesya connaissait fort bien ses gens et les rouages du castel.

Par contre, contrairement à tout bon témoin, celle-ci avait soigneusement évité de croiser Anthoyne durant les deux jours précédents l'office. Et même ce jour d'hui. Pas d'encouragements, pas de paroles réconfortantes, certes. Mais pas non plus de gestes ou de paroles malheureuses devant l'imminence du mariage. Son choix lui semblait le plus sage qu'elle eut pu faire.
De toute manière, il était temps qu'il se marie afin d'avoir un jour des héritiers, même si elle se souvenait fort bien de ce qu'elle avait conseillé à son cousin concernant la consommation de son mariage. Il ferait ce qu'il jugerait bon de toute façon. Comme il faisait toujours quelques soient les crocs que la chef de meute pouvait découvrir.

Le son du bourdon fit vibrer l'atmosphère ambacienne, appelant les fidèles et les invités à l'office du jour.
Ayant quitté le logis ducal sans attendre, elle traversa celui des 7 vertus pour enfin apparaître devant le parvis de la collégiale que sa mère et le prince JuJu avaient fait restaurer du temps de leur vie commune.
Peu de monde semblait déjà présent mais les lieux ne tarderaient pas à se remplir.

Dans sa robe de brocart, bordé d'hermine, qu'elle avait porté en ces mêmes lieux l'année précédente, la Princesse de Montlhéry pénétra dans la collégiale dédiée à un saint que ses parents avaient connu et chercha des yeux l'officiant. La différence avec le jour de liesse auquel elle venait de songer, c'était surtout sa chevelure sombre dont la longueur avait été domptée et emprisonnée dans une résille d'or. Et évidemment cette couronne princière qui avait remplacé la ducale et que son époux lui avait offert lorsqu'ils s'étaient retrouvé au terme des réjouissances.



Patientant pour accuellir ceux qu'elle connaissait ou qui se présenteraient, elle dégrafa son mantel et le remit à son page.

Ensuite, il serait temps de rejoindre le premier rang et d'assister à l'engagement d'Anthoyne...

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>Cousin à marier
Boudicca
Ainsi donc, le ténébreux cousin de sa suzeraine s'était enfin décidé à prendre dame en épousailles! Tel fut la surprise de la Blonde Turonne à la réception du faire-part. Elle lui avait connu quelques fiancées mais elle ignorait tout de cette dernière.
Pour l'heure, il était temps de se rendre à Amboise par ce temps froid. Boudicca se couvrit chaudement et galopa jusqu'au lieu de la cérémonie. Entrant dans l'édifice religieux, elle n'y trouva qu'Ellesya attendant les invités.

Bonjour chère amie. Comment te porte tu?
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Angat
Voilà un jour d'hiver pas comme les autres autres,ce jour là son frère allait se marier.Un évènement important d'une vie où l'on se doit de choisir la bonne femme afin d'éviter de possible désagrément dans le futur.

Le jeune homme s'était préparer au mariage de son frère,profitant par la même occasion de prendre une pause de son travail en Guyenne.
La Greffe judiciaire et l'intendance du commerce était un centre d'intérêt qui lui prenait un énorme temps,ce qui détint sur les relations familial puisqu'il n'avait pas eu la chance de rencontrer tous les membres de la famille du côté de son père.

Dans ce genre d'évènement et surtout en présence de sa famille,la prestance était de mise.Le choix de sa tenue se devait être d'une certaine prestance et d'un raffinement discret mais élégant.

C'est ainsi que le jeune Angat arriva à la cérémonie de mariage de son frère avec visiblement, une certaine avance puisque les invités n'étaient pas tous arrivés.Au loin se trouvait deux dames qui visiblement amorçai une discutions.L'une d'elle était sa cousine,la chef de famille qu'il avait eu l'honneur de rencontrer,la deuxième dame,il ne l'avait jamais rencontrer peut être une amie de la marié.

C'est donc dans un certain respect qu'il se signa lors de son entré et prit place ne souhaitant pas couper la conversation.

Son regard se faisait lointain,pensif,il scrutait la salle de ses yeux gris clair.Un long moment pensif....

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Feodor
[Tours ... en partance pour Amboise]

Le trajet de Montmirail à Tours fut, contrairement à ses craintes, paisible. Il mit en sécurité ses stères et sacs de maïs puis ne tarda pas à s'apprêter. Nouvellement invité au conseil d'Amboise, il voulait répondre favorablement à une invitation. Par plaisir déjà, mais aussi par volonté d'honorer un membre d'une maison devenue chère à toutes les lames.

Par contre, pour la petite histoire il était dit aussi qu'il ne se présenterai pas tout seul à Amboise. Il avait souhaité s'y rendre en compagnie de Dame Gatimasse.


Le son du bourdon faisait grand bruit quand ils arrivèrent à Amboise.
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Gatimasse
[Tours, en partance pour Amboise]

Il lui avait demandé de l'accompagner si elle le désirait. Elle avait dit directement oui en sachant qu'Anthoyne se mariait. Ils se connaissaient peu mais Gati l'appréciait assez pour assister à son mariage. Elle espérait ne pas s'incruster à vrai dire... Après une rapide toilette à Tours après le voyage à Montmirail, ils s'étaient mis en route. Cela faisait quelques semaines que Gati et Feodor se fréquentaient. C'était là leur première apparition en public, en couple. Comment cela allait-il se passer...?
Gati appréhendait... Et si elle rencontrait une mauvaise connaissance ? Et si quelqu'un allait dire du mal d'elle..? Gati n'était pas très tendre, directe même, voire dure dans certains de ses propos. Certains la détestent pour ça. Elle avait peur que le regard de Feodor change...


Feodor... as-tu pensé à rapporter un présent...? on a encore le temps de chercher quelque chose au besoin.

Elle le regarda de haut en bas et le trouva beau, comme d'habitude. Mais la superficialité féminine prit vite le dessus

Suis-je présentable pour un mariage...? Ne devrai-je pas changer de robe..?
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Jenifael..luna
La jeune Castelnau de Montmiral sortirais de son trou Voironnais, pour le mariage d'une Gontière. Elle partie donc, bien en avance, plusieurs jours avant, plus que se qu'elle aurait du partir, car celle-ci était sans cesse mal lorsqu'elle voyageait. Des pauses régulières étaient prévu donc, pour pas que la Castelnau de Montmiral ne rende son repas sur le sol de la voiture. D'ailleurs ce n'était même pas la sienne, mais celle plus grande, sa tante, les armes seraient donc les azur et or de l'Irissarri de la montagne, mais également les gueule et or de Voiron. La jeune fille serait accompagnée de son éternelle Anne vêtu d'une nouvelle robe vert émeraude et de son garde, à ses armes, même si le garde Voironnais insisté pour venir également ... Râlant, elle le laissa venir. Jenifael avait revêtu une tenue d'un éclatant blanc crème et broder d'or, accompagné d'une ceinture tout aussi d'or. Elle avait également une cape de fourrure blanche, le tout crée par sa soeur. Elle relu le parchemin d'invitation, avant de dire :

"- La collégiale Saint bynarr à la paroisse nobiliaire d'Ambroise ... Je me demande comment c'est ... "

Elle ne se posa pas longtemps la question, puisqu'elle arriva. Un peu blanche - lire n'était jamais bon - elle ne fut même pas la première à poser le pied au sol, puisque se fût Vermine-Charlemagne qui se précipita dehors, pour faire un dos énorme et s'étirer. Elle soupira, s'appuyant contre la parois, sa main sur la gorge. Une fois les couleurs repris, elle releva la tête. Ils étaient arrivé au lieu demander, le voyage avait était infernal, car Jenifael avait choisit de prendre un cadeau pour son amie, un cadeau ... Empoisonné ! L'un des petits chiots, née un peu avant les fêtes, elle en avait déjà refilé un à Charlemagne et un à Elizabelle, il en restait toujours un et celui-ci, bien que dans une cage de fortune avait réussi à faire chier son adorable chat, qu'elle aimer temps. Autour du cou de la boule de poil un élégant ruban de couleur jaune mirabelle. Castelnau & cie? Présente !
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Maximilian..
[Tours Quelques heures plus tot . ]

Que dire de la Vie sinon qu'elle etait pleine de surprise . La surprise de faire si mal, et d'accorder ensuite la douceur d'une nouveauté. Maximilian avait pleuré son epouse pendant 6 ans. Six ans ou il n'etait qu'une ombre, ou jamais il n'aurait cru survivre à la mort des siens. Ressortir de l'abbaye ou il s’était enfermé avait été l’épreuve de plus . Il n'attendait plus rien de la vie, plus rien des autres, sauf retrouver sa cousine et ses très très nombreux cousins ; Et puis il y avait eu cette rencontre, simple. Qui etait des plus communes. une taverne a Limoges, un bonjour, un aurevoir. Ce qui s'etait passé ensuite l'avait lui meme étonné. Des parchemins echangés, un rapprochement etrange entre la si jeune femme et lui. Il ne voulait plus aimer, mais il n'avait pas fui devant elle. En un certain sens il s'en voulait, mais quand la douceur d'un etre vous rend vie, l'egoisme de se sentir si bien en sa présence vous fait oublier le danger récurrent à aimer.

C'est aujourd"hui devant les siens qu'officiellement il fréquenterait la belle blonde. En parlant d'elle la voici qui descend les escaliers portant une magnifique robe bleue. Lui meme avait opté pour une tenue noire et bleue sombre qui suivrait avec la jeune femme. Un lourd mantel sur les epaules, il serait premuni du froid, les cheveux rendus en arrière et tenue en un lien doré. Un doux sourire lui tendant la main pour les dernières marches. Main qu'il porte à ses lèvres y déposant un baiser sans jamais quitter son regard Océan.


Vraiment sublime.

Que dire de plus ? Lui prenant le bras, il l'entraina vers le carrosse qui les menera vers la chapelle ou se mariait son cousin. Le voyage serait long mais pour une fois des plus agreables en la plus délicate des compagnies.
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Constance..
[Tours, quelques heures plus tôt... Direction Amboise]

Arrivée depuis peu à Tours, la jeune Orsenac était en pleine réflexion, confrontation intérieure avec elle-même... Chevelure attachée ou laissée libre au vent... Choix crucial il est certain. Détachée, cela aurait l'avantage de cacher la fine cicatrice à la base gauche du cou.
Une fois fin prête, la blonde descendit prestement les marches pour le rejoindre Lui. Il est vrai que ça fout mal pour la première apparition officielle à ses côtés d'arriver en retard. De plus au mariage d'un de ses cousins.
Angoissée ? Non, du tout... Bon, un peu... Ne dit-on pas pour vivre bien vivons cacher ? Oui, sauf qu'ils ne pouvaient pas se cacher indéfiniment. Elle connaissait son histoire, du moins une partie, et essayait de lui apporter toute la douceur et l'amour dont elle était capable.

Bien sûr, elle ne pût s'empêcher de rosir à son compliment, comme bien souvent en sa présence, et déposa un doux baiser sur ses lèvres le trouvant beau. Puis agrafa son mantel de velours avant de monter dans le coche.
Elle avait choisit une robe bleue en velours, réhaussant ainsi la couleur de ses azurs, et la chemise réalisée pour cette tenue laissant apparaitre les manches agrémentées de petits boutons perlés.

Le voyage se fit en silence assise face à Lui. Elle, habituellement si bavarde, se contenta seulement de le regarder en souriant, perdue dans ses pensées, et ne faisant nullement attention au paysage extérieur qui défilait. Pourtant, elle brulait d'envie de lui poser des questions en pagaille... Et accessoirement de l'embrasser également. Mais il fallait rester sage... Cette dernière pensée la fit sourire.
Elle ne connaissait ni l'un, ni l'autre des mariés. Enfin si lui, elle avait dû le voir jouter une fois ou deux. Et se demandait si des personnes connues seraient présentes ou pas.

Le bourdon se faisait entendre avant qu'ils n'arrivent au lieu de la cérémonie. Et au moment où le coche stoppa, car ils étaient arrivés à destination, les battements de son coeur se firent plus pressant. Plongeant ses azurs dans les siens, et affichant un sourire qui se voulait assuré, la jeune femme se pencha légèrement, tout en murmurant.


Nous y sommes.
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Feodor
[La collégiale Saint Bynarr]

Il sortit du carrosse au son du bourdon. Lui tend la main pour l'aider à descendre et se retrouvent bien vite à l'entrée de la collégiale ...

Le déplacement avait été court mais fort agréable. Avait-il prévu un cadeau ? A sa première question il avait prit un paquet et montrer une statue représentant un couple amoureux. Il lui avait dit que ce n'était donc pas la peine sauf si le présent n'était pas à son goût. A sa deuxième question, il avait sourit. Bien plus que présentable avait-il murmuré à son oreille. Mais sa vraie réponse il se l'était gardée pour Amboise.

... Il lui tend donc la main et prononce ses quelques mots.


Tu es magnifique.
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Gatimasse
[Proche de Feodor, toujours]

Tu es magnifique.

C'est tout ce qu'il fallait à Gati pour se rassurer et être confiante face à toute cette noblesse. Elle avait maintenant l'habitude, mais certains l'avaient peut-être connue luciole... Son passé la rattrapait bien souvent.
Elle regarda la petite statue que Feodor lui présenta, en guise de cadeau.


Merci pour votre compliment mon ami.
Concernant le cadeau, j'aurai plutot pensé à quelque chose d'utile pour la vie quotidienne d'un jeune couple, mais.. va pour ça! De toute façon, nous n'avons plus trop le choix à présent.


Ne connaissant que très peu les lieux, Gati s'en remettait entièrement à Feodor. Il était bien rare pour elle de se laisser guider.
Ils arrivèrent en la collégiale. Belle bâtisse. Les carrosses commençaient à affluer. A n'en pas douter, ce mariage allait être grandiose..!

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Aemilia
Elle avait elle aussi, comme le reste de la famille, reçu une invitation. Elle ne connaissait pas la mariée, et commençait à peine à se familiariser avec cet étrange "cousin" qu'était Anthoyne. A la fois agréable et mystérieux, elle se souvenait de sa réaction lorsqu'elle avait prononcé le nom d'Amahir. Quoi qu'il en soit, elle serait présente, aux côtés de sa mère, pour la cérémonie qui se tenait en ses terres. Après tout, la blondinette commençait depuis peu une nouvelle vie, des plus agréables, auprès de sa mère, et se devait d'être présente, comme toute jeune fille qui sait à peu près bien se tenir. La nuit fut passée à Amboise, et non à l'hostel tourangeau, dans la chambre qui l'avait déjà accueillie à diverses occasions. Aemilia, consciencieusement, après avoir terminé ses travaux d'aiguille, avait pris le temps de se faire vêtir pour une fois, se laissant passer cotte à manches fuseau de soie damassée orangée par dessus sa chainse, puis cotardie de velours ciselé vert malachite galonnée du même damas, encore au-dessus, avant qu'on ne l'entoure d'une ceinture d'orfèvrerie à pans du plus bel effet. Seuls les soliers de cuir noir furent pris des mains de la camériste, pour être passés directement par la demoiselle, avant qu'elle ne soit rattrapée par la première, qui n'oublia pas de la torturer quelque peu en lui démêlant sa longue tignasse, davantage domptée que durant son enfance. Aemilia aimait les belles tenues, mais elle détestait qu'on la tripote de partout.

Ellesya était introuvable, certainement déjà partie à la collégiale. D'une main, l'agnelle drapa le bas de sa tenue sur son bras, et regardant à droite puis à gauche pour vérifier qu'on ne s'occupait pas d'elle, elle se mit à courir jusqu'au lieu de la cérémonie. ralentissant par moments quand elle rencontrait des personnes, saluant d'un hochement de tête, d'un regard, avant de reprendre sa course. Déjà, le portail de la collégiale apparaissait à ses yeux. La course fut ralentie, la robe relissée, et ainsi, l'adoptée monta les marches du parvis du lieu saint, et chercha du regard sa mère. Déjà installé au premier rang, elle alla la saluer. Empruntant l'allée centrale, elle remonta, saluant au passage encore une fois les présents, puis s'arrêta d'un sourire devant sa mère, avant de se plier dans une révérence adéquate.


Mère... Veuillez pardonner mon retard.
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Manoir des Artistes, Comptoir Parisien
Gailen_d_arduilet
En retard, l’Arduilet était une fois encore en retard. Il avait pourtant promis de ne plus faire d’esclandre à une noce mais s’étant mis à la dernière minute en recherche d’une cavalière digne d’un mariage chez les loups il se présentait seul et en retard à Amboise. Sans traîner il déposa donc ses affaires et se rendit directement en la collégiale.
L’occasion serait belle de rencontrer du beau monde. Le comte n’avait pas encore vu l’enfant princier et sa marraine lui avait parlé de nouveaux loups ou plus précisément de membres de la famille qu’il ne connaissait que de nom et sur lesquels il allait pouvoir fixer un visage. Il entra donc discrètement dans la sainte battisse et se calla dans un coin pour observer l’assemblée. Déjà bien du beau monde était présent. Il aperçut sa marraine, quelques têtes plus ou moins connues comme Boudicca Feodor et Aemilia et tout un tas de gens endimanchés qu’il connaissait de vue ou pas ….

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Ceci est un jeu. . MP moi si je vous oublie.
Maximilian..
Nous y sommes.

Cette petite phrase murmurée comme un secret le fit sourire doucement. Visiblement la belle Constance était tout aussi assurée que lui, c'etait rassurant. Prenant ses deux mains entre les siennes, il les serra avec douceur tentant d'etre reconfortant. Puis se pencha à son tour il lui vola un baiser leger mais néanmoins tendre.

- Tout se passera bien, rassurez vous,

Le coche ouvrit la porte, descendant en premier, Max tendit la main à la jeune femme l'aidant à descendre . Voilà ils y étaient. Plus de retour possible dorénavant. Un long soupir en observant l'edifice qui semblait se remplir calmement, mais surement.

Un pas vers lui. Puis un second. Accompagné à son bras de la belle d'Orsenac, le couple fit donc son entrée dans l’Église. Finalement pas autant en retard que l'eut cru Max , il s'avanca , saluant ci et la quelques connaissances, vers sa cousine et sa fille en pleine discussion.


Mesdames le Bonjour. Bise à sa Cousine et aussi à la jeune Aemilia, après tout, c’était la famille aussi et puis il aimait la jeune fille aux célèbres reverences.

Cousines, je vous presente Mademoiselle Constance d'Orsenac, ma charmante cavalière. Constance, voici Ellesya d'Amahir, la plus délicieuse des cousines, et sa fille Aemilia tout aussi délicieuse .

Voilà les présentations étaient faites et officielles.

Ou se cache donc le marié ? Il n'est pas trop effrayé de s'unir?
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ellesya
Fidèle au poste, fidèle à la vie ambacienne, Boudicca se présenta.

Le bon jour te va. Je vais bien, je te remercie.
N'aurais-tu pas croisé l'officiant en chemin ? Je ne l'ai pas encore aperçu et m'en veux de n'avoir pas eu l'occasion de l'accueillir.


L'arrivée d'Angat, aussi discrète soit-elle ne passa pas inaperçue dans la collégiale presque déserte. Mais puisqu'il opta pour prendre directement place, la jeune chef de famille le salua simplement d'un sourire.

L'homme qui vient d'arriver se prénomme Angat et vient du Sud. C'est le demi-frère d'Anthoyne. Je te présenterai si l'occasion le permet mais sinon te voilà informée sur son identité.

Autre arrivée. Une femme cette fois, qu'elle salua d'un signe du chef mais son attention fut rapidement attirée par un couple. Prenant congé auprès de Boudicca, la princesse s'en vint au devant du nouveau duo orléano-tourangeau.

Feodor, Gati, je suis très heureuse de votre présence conjointe.

Un franc sourire ponctua la phrase.

Je vous en prie, prenez place. Mais ni l'officiant ni le futur marié ne sont encore là, je crois que nous aurions eu le temps d'aller faire un petit tour aux caves avant!

Qu'aurait-elle donné pour qu'Anthoyne soit là et se charge des accueils. Non point qu'elle rechignait à saluer ses connaissances, loin de là. Mais un vague sentiment de gêne la tenait fermement de devoir jouer ce rôle au mariage d'un tiers et pas n'importe lequel.

Aemilia fut la suivante. Sya nota, avec un sourire chaleureux, que la petite gloutonne qui peinait à faire bonne figure un an auparavant lors de leur rencontre avait gagné en taille, en grâce et en beauté.


Nul besoin de pardon. Tu n'es pas en retard puisqu'aucun des principaux protagonistes n'est encore parmi nous.

Son attention portée sur Aemilia manqua pour l'instant Gaïlen dont l'entrée n'avait rien eu de tapageuse.
Maximilian s'invita à la fête. Et pas tout seul. Apparemment, le printemps était à l'avance cette année. La princesse accueillit la bise avec un sourire, puis salua aimablement la cavalière de Max. Avant de se rembrunir quelque peu au nom que lui attribua son cousin. Elle avait tant oeuvré pour sa famille qu'elle ne supportait pas d'être résumée à être « la femme de Lexhor », une « d'Amahir » alors qu'elle était avant tout chef de la famille de la Louveterie. Cela réveillait la dualité qu'elle ressentait à être mariée, à être passée dans l'ombre de son époux alors qu'elle était issue d'une Maison où les femmes tenaient le haut du pavé depuis deux générations, où la primogéniture mâle était abolie depuis des décennies.


Enchantée et bienvenue à Amboise.
Mon cousin s'est montré cachottier.


Répondant aux questions, elle enchaîna.

J'ignore où est Anthoyne et dans quelles dispositions il se trouve. Je ne l'ai pas croisé ces derniers jours. Nous avions tous tant à faire...

Petit mensonge. Elle l'avait soigneusement évité mais cela ne se disait pas.

Mon époux ne devrait pas tarder. Peut-être prendra-t-il Gaultier avec lui. Cela dépendra dans quel disposition se trouvera notre fils.

Et hop, tentative pour changer de sujet...
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>Cousin à marier
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