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Bim Bam Boum !! Baston !!

Isleen
Signe de tête léger au tavernier. Oui oui prend ton temps, mais pas trop non plus c’est jamais bon pour les affaires. Petite sourire en coin, onyx qui s’attardent un peu plus sur la flore locale jusqu’à ce que le papy à ses cotés attire son attention.

Mazette! Du poteen?! 'Faites pas dans la dentelle, vous! Je suis Joãozinho, je…

Le sourire se fait plus sincère, un connaisseur de poteen le méritait forcément, et surement qu’elle lui offrirait un verre. La rouquine est généreuse, surtout avec les écus des autres, et en l’occurrence, quitte à avoir laissé les bonnes résolutions au placard, ses mains de cleptomane avaient choisi leur cible avant de venir : les poches désormais vides d’un bourgeois.

Hé non jam’ais…

Juste le temps à peine de lui répondre, que le tavernier vient jusqu’à eux. Pas de poteen irlandais. Haussement d’épaule, ça ne l’étonne guère, mais qui sait un jour peut être tombera t-elle sur une taverne tenu par un irlandais en mal du pays.
Bien peu connaisse cet alcool brulant, et assurément pas pour les mauviettes, il en avait terrassé des gros balourds qui pensaient tenir. Et la rouquine se marrait toujours en les voyant dégobiller après coup.


Va pou’r le wiskey alors !

Léger rire en entendant le tavernier jurer ! Celui là de juron, elle ne le connaissait pas, faudrait qu’elle le retienne, c’est toujours bon pour le vocabulaire.

Et d’un coup, tout s’emballe, une étincelle, une fraction de seconde et tout s’embrase, crachat, injures, défis, paris, ça allait castagnier ! Testostérone mon amour, je t’adore, tu nous apporte de l’animation ! Elle avait bien fait de la choisir cette taverne, oh que oui, il y allait avoir du spectacle ! Et Isleen en frissonnait déjà d’excitation.


Du spectacle, mesdames. regardez-moi ça, c'est pas beau?! Ah, si j'avais dix ans d'moins, c'est moi qui leur r'ferai la face à ces guignols…


Oh oui, ça promet d’être ma’gnifique même !

Une certaine excitation devait s’entendre dans sa voix, elle coula un regard amusé sur le papy à ses cotés. Elle avait toujours aimé les petits vieux, ils avaient un petit coté attachants qui plaisait à la rouquine, à moins que ce ne soit leur manière bien à eux d’être .

Et on pa’rierait sur vou’s Joãozin’ho, vous n’en ferriez qu’une bou'chée j’suis sure ….

Un peu de flatterie. Ca ne coûte rien, ça fait plaisir et ça rappelle les jeunes années passées.

Onyx à nouveau portés sur les adversaires du moment histoire de les juger, apprécier la quote de chacun, par tout un tas de petits critères totalement subjectifs : qualité du muscles, détermination vis à vis du combat, intelligence dans le regard…heu non on oublie le dernier critère. Rapide calcul et le choix de son poulain étant fait, la rouquine hausse un tout petit peu la voix pour être entendu, en donnant un coup du plat de la main sur le comptoir.


Jari ! J’tiens l’paris ! 100 sur l’é'clopé amou’reux ! Va l’dégommer l’blon'dinet !

Elle ne compte pas l’irlandaise lorsqu’elle parie avec les sous des autres, ça y va, sans demi mesure aucune ! Pas tous les Dieux, elle avait bien fait d’venir, ça allait être chouette, et lui rappeler l’Irlande. Ca pétille dans les onyx, ça frisonne sous la peau. Isleen ou la fascination des combats !

Large sourire , il n’a rien d’petit le colosse blond, le ”inet” est un peu de trop, mais faut savoir encourager les troupes !


Au fait moi c’est Isleen.


Clin d’oeil au papy , elle ne s’était pas présentée jusque là. Voilà qui était chose faite. Maintenant, place au spectacle. On veut des coups, du sang, des bing, bam, et des boums !
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Zephyrine


Longue et pénible journée. Zéphyrine avait bien besoin de s'aérer l'esprit. De boire et de se faire séduire. Elle connaissait l'endroit, elle savait y trouver de bons alcools et une bonne ambiance.
Zéphyrine n'eut pas besoin d'ouvrir la porte, c'était ouvert. Et ça gueulait déjà. Rien de sérieux pour l'instant. Les concernés semblaient être un barbu - quelle barbe - et un costaud blond - quel costaud!. Une jolie fille les excitait en prenant les paris et un vieux mettait son grain de sel. Ce serai bien, ce soir.
Zéphyrine se fraya un chemin jusqu'au comptoir, entre une superbe blonde, le vieux et une jolie rousse.

Jari!! Un whisky.
Le tavernier ne l'entendait peut-être pas, occupé avec ses paris. De ses étonnants yeux violets, Zéphyrine admira la musculature du blond. Une vraie bête de compèt'! Le barbu ne ferai pas un pli. Au pire, Zéphy panserait ses plaies avec sa langue. Le goût du sang était si sensuel, limite orgasmique.
Jari!! Je mets 120 écus sur le bœuf blond! Il va lui faire manger sa barbe! ... Et bordel, un whisky sinon c'est moi qui te cogne!! Cria Zéphy.
Admirer deux hommes, assister à une belle bagarre sans boire, ce serai comme une mer sans sel. Comme un Lazare sans Zéphyrine.

Jari




Les choses s’accéléraient. Jari houspilla Tina pour qu'elle prenne les commandes pendant que lui prenait les paris. L'irlandaise fit monter les prix et fut récompensée d'un grand sourire alors que le tavernier notait les mises et le noms. Il ne vit même pas la cliente arriver. Zéphyrine. Il ne l'entendit pas non plus, jusqu'à...
- Jari!! Je mets 120 écus sur le bœuf blond! Il va lui faire manger sa barbe! ... Et bordel, un whisky sinon c'est moi qui te cogne!!
- J'arrive, ma chérie!

L'appel de l'argent. Personne n'y résiste. Du moins, pas Jari. Il lui servit un bon whisky rapidement.
- Alors, minun muotinukke *, intéressée par Taavi? Le blond. Envoie l'oseille, j'te note.

Retournant à ses affaires, il cria :
- Qui d'autre?! C'est par ici! Par iciii!




* Ma poupée
Jurgen.
Le mollard l'avait aveuglé, et le souffle avait été coupé. Il respirait tant bien que mal, et d'un geste, il passa la manche sur son visage. La substance affreuse, peut être la plus immonde de l'univers selon le pirate, ne l'avait pas épargné. Il avait visé le visage. Et il l'avait pris sur la joue. Et le coup qui avait suivit le fit avoir une furtive nausée. Quant aux paroles du Nordique, elles n'avaient fait que d'accumuler la rage qu'il ressentait.

Il releva la tête, peu dignement, et se massa rapidement la mâchoire. Sans plus attendre, il se jeta tête la première vers le ventre du blond, dans le but d'enlacer sa taille et de le faire chuter pour gagner l'avantage.
Ainsi, si le coup réussissait, il le rouerait de coups au visage, sans distinction: les pommettes, les joues, le nez.
Il était relativement rare que Jurgen perde un combat, et surtout, qu'on lui tienne tête de cette manière, et qu'on l'humilie avec les fluides buccaux lancés à même le visage. Il frapperait encore et encore.


Il se souvenait de sa cicatrice, et il n'avait plus rendu là pareil depuis bien longtemps, des mois peut être, et il ne lui pris qu'une envie: Lui ouvrir la gorge. Pourtant, ses armes étaient posées sur la table, loin de portée. Il le battrait à mort s'il fallait: personne ne touchait impunément à sa femme. Il hurla quelques mots.

-Deux cent sur moi ! Un cassage de nez, un !

Alors que sa lèvre était fendue, il tenta d'articuler qu'il pariait sur le fait qu'il lui exploserait le nez. Avec grâce, légèreté. Mais la scène était devenue violente, après la tension qui s'était fait ressentir.
Il avait mal, mais il ne le laissait pas paraître. Il saignait, mais il en récupérait chaque goutte avec sa langue malhabile. Il tremblait de colère, mais dans tout ça ressortait une certaine excitation.

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Meliane26
Méliane se promène en se demandant quoi faire .... Et en passant devant la taverne, elle ne se le demande plus.
Ça crie, ça jure, ça rit .... Ah çà, ya de l'animation ..... Un léger sourire se dessine sur ses lèvres.

Elle s'approche de l'entrée et comprend vite de quoi il retourne. Une bagarre. Un blond et un brun ..... Au premier coup d’œil, le brun n'a pas l'air très fringant ....

Son petit côté joueur s'éveille, mais elle doit faire un choix.
Soit elle parie, soit elle boit, car elle n'est pas riche.
Elle ne réfléchit pas longtemps. Elle se fait payer à boire et ainsi elle pourra parier .... sur qui ? là est la grande question .....

Et pour faire ces deux actions ultra simple, une chose sera plus difficile à réaliser. Se frayer un chemin jusqu'au comptoir : ce qu'elle entreprend de faire avant d'y renoncer. La bagarre vient juste de commencer et risque fort de finir hors de la taverne.

Bon, ya plus qu'a trouver quelqu'un qui lui paiera à boire maintenant.
Taavi


Taavi ricana très brièvement d'avoir si bien visé et envoya son poing que le barbu se prit sur la joue. Il y eut deux secondes de flottement, l'un massant sa mâchoire, l'autre secouant la main. Puis le brun lui fit le coup du taureau. Taavi tenta de bien se camper sur ses musculeuses jambes, comptant choper le gars par la taille, le retourner et le balancer par dessus sa tête. Il y était arrivé deux fois auparavant et ça faisait toujours un bel effet. Et des dégâts matériels.
Mais là, le blond était ivre et ses appuis laissaient vraiment à désirer! Comme ses réflexes. Il reçu la tête du mec en plein dans le ventre et eut juste le temps de bander ses muscles abdominaux, ce qui n'empêcha pas tout l'air de ses poumons de se vider. Ouch! Il n'avait pas une tête en mousse celui-là!

Autour d'eux se constituait un petit groupe de parieurs, mais Taavi n'entendait pas. Seul comptait le fait de péter la gueule à ce foutu barbu parce que... Parce que quoi, déjà? Qu'importait.
Il tenait Taavi par la taille, tentant habilement de le déséquilibrer, n'offrant pas de prises aux puissants bras du blond. Il fit deux pas en arrière.. et bascula, rejeté au sol par le poids du barbu. Délicate position... Taavi tenta un puissant coup de reins pour déséquilibrer son adversaire, qui, au mieux, se retrouverait lui-même au sol. Ou bien Taavi pourrait s'agripper à lui, l'empêchant de le cogner au visage, et il savait que question force brute, il arriverait à ne plus être le dos au sol.


Deux cent sur moi! Un cassage de nez, un! Beugla le mec, faisant couler du sang sur la chemise de Taavi, puante de bière et de sueur.
Et deux cent sur moi! Pour au moins deux dents! Brailla Taavi, tentant de saisir les poignet de son adversaire.
Il préférait largement la boxe à la lutte mais parfois, on a pas le choix. Son poids pouvait néanmoins jouer en sa faveur.

Jurgen.
C'était l'histoire d'un bref calin entre un colosse et un barbu.
C'était l'histoire d'un bref calin entre deux hommes qui ne se connaissait pas.
Et dans cette histoire de bref calin, il n'y avait pas d'amour, bien que l'étreinte fut passionnée.

Jurgen s'était, durant "l'attaque du taureau", tordu le cou. Brièvement, mais surement. La douleur passagère lui arracha un bref couinement -viril, le couinement, toujours !
Mais il ne fut pas le plus à plaindre, non. Il était parvenu à se retrouver sur le blond, tête contre le ventre: une position qu'il n'aimait qu'avec les femmes, et le blond n'avait rien, mais vraiment rien d'une femme. Il ressemblait tout au plus à ces maquerelles qui font la sécurité elles même, et que l'on craint malgré tout. Il ne s'agissait pas de la lourdeur de la poitrine d'une femme opulente, mais d'abdominaux bien travaillés, parfaitement musclés. Et cela ne plaisait guère au barbe.

Pensant avoir le dessus, il n'eût pourtant même pas le temps de se redresser correctement qu'il fut projeté en l'air quelques secondes avant de retomber lourdement sur le plancher craquant de la taverne. Il heurta une table au passage qui fit tomber une bouteille non loin de sa tête. Oh, le Teuton aurait aussi bien pu prendre un morceau de verre et ainsi, espérer avoir le dessus, mais cela ne lui effleura même pas l'esprit: Ce n'étaient pas là les règles du jeu qu'il connaissait et adulait tant.

Il ne s'était passé que quelques secondes, depuis le début de leur dispute et des paris, et des coups qui suivirent, mais Jurgen savait déjà qu'il serait salement amoché, car il n'avait pas prit la peine de monter une petite stratégie habituelle, et s'il en avait prit la peine, il n'aurait probablement pas été en position de la mettre en application.

Il vit trouble, un peu, et secoua très rapidement la tête, apercevant sa femme du coin de l'oeil, et d'autres donzelles. Les gens criaient alors que le barbu se réveillait peut à peu. Il se redressa de presque rien, et tendit la main jusqu'au blond, espérant emprisonner dans sa main sa puissante gorge, ce qui serait d'ailleurs probablement un échec, puisque ses propres mains étaient emprisonnées. Si Jurgen avait les mains larges, elles ne seraient probablement pas de taille.

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Braddy



BIM ! POUCH ! KLANG ! BOUM !

Le coin était animé! Le tintamarre venait d'une taverne.
J'avais bien besoin de ça! Après avoir mangé leur nourriture, bu leur alcool et payé le tout, on m'avait foutu à la porte comme un malpropre! Pour une simple escarmouche. Lionel et moi jouions au dès. Deux dès, le but simplissime étant de faire un double six. Lionel était bien entamé, alors je lui avait sorti un triple six. Il m'a alors traité de tricheur, j'ai répliqué qu'il voyait à demi double car il était à demi saoul. En plus de me faire traiter de tricheur, il a rajouté un "menteur"... Donc voilà. Lionel était un costaud. En plus il était marié à la patronne de la taverne, elle aussi costaude. Et plus que son mari!
Lui m'avait cogné à l’œil, c'était réglo. Mais elle, la folle, avait chopé le couteau, celui-là même qui avait servi à découper mon steak! Ce bon Lionel et moi-même - à nous deux! - on avait pu éviter mon éviscération. Je n'avais qu'une simple taillade. Et l’œil noir. Pour éviter le pire, je suis donc parti.

Et là, j'entends quoi? Une bagarre! Pressé, j'accourus. Je vis. Sans faire mon vaniteux, je suis un beau mec, bien taillé, bien musclé, belle gueule. Dès que c'était possible et pas trop malvenu, j'enlevais la chemise pour dévoiler mon torse et mes biceps, pour les femmes, m'voyez? Quand je vis le barbu blond, je me sentis filiforme! Et son rival, là, il avait tondu combien de brunes pour avoir une touffe pareille? Wahou. Moi, je préférais me raser. Comme les nobles, même si, pas une seconde, je faisais illusion.
Ils luttaient au sol et sans même songer à les enjamber, je fis le grand tour pour atteindre le comptoir. Une blonde, une rousse, deus brunes et un sympathique grand-père observaient. En parlant d'observer... La blonde était d'une beauté magique, sensuelle. La brune à ma gauche à l'air mutin et aux cheveux foufous me plut aussitôt. Quel sex-appeal! L'autre brune semblait presque déplacée en ce lieu de débauche. Le vieux pépé m'empêchait de mieux distinguer la rousse.


Tavernier!
Qui était le tavernier dans ce bordel?! Je me tournais vers la brune, à ma gauche, qui ne semblait pas servie. Je la regardais afin d'attirer son attention, puis je lui souris. Les femmes m'ont souvent dit que j'avais un sourire à tomber! Sauf une, qui me trouvais disproportionné. Fadaises! Selon cette myope sans gouts, mes épaules étaient bien trop larges pour ma taille, mes biceps trop développés et ma mâchoire trop carrée. La seule qui osa me rire au nez, et elle m'apprit un mot, ce soir-là. J'étais, selon elle, une "caricature". Personne n'avait redit une telle chose, bien-sûr. Je souris donc à la brune sauvage. Pas un de ces sourires auto-suffisants de dragueur débutant. De plus, c'était "juste" pour une question.
Excusez-moi... Vous savez qui fait le service? Je vois que n'êtes pas servie non plus. Pui-je vous offrir quelque chose, Mademoiselle...?
La fin de ma phrase fut en suspens, espérant qu'elle me donnerait son nom. Un œil vers le combat. Le blond avait envoyé valser le barbu! Je poussais, malgré moi un :
Holàààà! Debout, mon pote! Il va t'avoir, fais-lui ranger ses muscles chez sa mère!!
Oups. Sourire gêné vers la jolie fille, laquelle pas effrayée par les bagarres de surcroît! Indice révélateur. Du menton, je désignais les combattants, m'adressant à la brune de ma gauche comme aux autres non loin de moi, donc je levais un peu la voix :
Qui va tomber avant l'autre, selon vous?

Meliane26
Meliane finit par se résoudre à rejoindre le bar. Quelques coups de coude,un sourire par ci et un sourire par là plus tard, elle s'y accoude.
Toute son attention retenue par la bagarre, elle n'a pas remarqué le grand blond arrivé à côté d'elle. Elle tourne la tête lorsqu'il lui parle, la lève et sitôt pris note de sa blondeur, son regard se porte direct sur ses chausses ... qui sont noires.


Le tavernier c'est lui là bas


en lui montrant d'un geste désinvolte le petit sec nerveux qui court partout, tel un ... tel un furet.
Elle rajoute à mi voix :

celui qui houspille sa serveuse .... d'ailleurs soit on lui a mal appris, soit il a mal retenu les leçons de bonnes manières. Elle travaillerait mieux s'il était plus aimable avec elle.

Oui, merci. Je veux bien un rhum .... Méliane ...et oubliez le Mademoiselle

en réponse à sa muette question, le gratifiant d'un sourire et d'un signe de tête.

La bagarre continue. L'expérience allait elle l'emporter sur la jeunesse et la force ? Elle vient de se rendre compte qu'elle n'a plus d'argent pour parier si elle veut manger correctement le lendemain.
Elle ouvre la bouche pour répondre quand le dénommé Jurgen n'est pas loin de fracasser le sol de la taverne par une belle chute!


A mon avis c'est le grand blond qui va l'emporter. Il a l'air en meilleure forme et il est plus jeune.

Ses émeraudes le détaillent de bas en haut, notent l'entaille et finissent par se poser sur son œil "cocardé". Le sourire revient, taquin cette fois :

Vous êtes venu chercher un nécessaire à couture ? et de la glace ?
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